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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Le jardin des Rosiers, le plus planqué du Marais ...
Si par une belle journée, l’envie nous prend de nous promener dans les charmantes ruelles pavées du Marais, on ne manquera pas de franchir les portes de l’Hôtel de Coulanges, vieil hôtel particulier qui fut un temps la demeure de Madame de Sévigné et de son époux. L’on découvre alors trois petites parcelles de jardins totalement à l’abri de l’agitation extérieure.
Trois parcelles de végétation préservées du tumulte parisien :Jusqu’en 2007, ces parcelles étaient la propriété de chacun des trois hôtels qui les entourent. La réunion de ces 2000 m² de verdure a permis de créer ce lieu unique, connu sous le nom de jardin des Rosiers. De fait, on y accède également au niveau de l’Hôtel d’Albret, siège de la Direction des affaires culturelles de la Ville de Paris, établi au n° 10 de la rue des Rosiers.
© jasber / Instagram
A l’ombre des marronniers et des bouleaux, on se retranche en toute tranquillité sur les pelouses et les bancs en bois de ce jardin secret, au milieu d’une impressionnante diversité d’arbustes : cannes de Provence, orangers du Mexique, cornouillers blancs, etc… Idéal pour bouquiner au calme, pique-niquer en amoureux ou passer du temps en famille près de l’aire de jeux !
© filoubazart / Instagram
Pour avoir la chance de s’y prélasser, il faut connaître cette adresse méconnue et c’est tout à l’avantage des petits chanceux mis dans la confidence ! Ils pourront se mettre au vert tout en s’imprégnant du patrimoine historique exceptionnel du lieu : au milieu des hôtels particuliers bourgeois du 17ème siècle, on peut admirer la cheminée la plus planquée du Marais, et les vestiges de l’une des 77 tours de l’enceinte de Philippe-Auguste, construite au 13ème siècle et aujourd’hui classée Monuments historiques.
Le jardin alpin : le grand bol d’air frais du 5ème arrondissement de Paris ...
Peu le savent mais, au coeur du célèbre Jardin des Plantes, se trouve un véritable jardin alpin, regroupant près de 2000 espèces de plantes montagnardes. Ce jardin situé non loin des Grandes Serres et de la Galerie de Botanique est un pari audacieux et une balade idéale pour tous !
Pour reconstituer un environnement favorable à cette végétation issue de régions plus fraîches qu’à Paris, il a été fait appel aux meilleurs jardiniers qui ont créé de réels micro-climats, aidés par la localisation naturelle du jardin. De fait, ce joli coin de verdure qui le jardin alpin appartient au Muséum national d’histoire naturelle est situé dans une cuvette abritée par la forêt environnante, ce qui le protège des vents, du froid et de la chaleur.© MNHN / François Grandin
Rocailles, îlots de verdure, tunnel de pierre, petits escaliers, toutes les conditions sont réunies pour nous couper du bitume parisien et nous offrir une balade sous le signe de l’évasion et de la découverte. Sachez par ailleurs que les plantes, fleurs, arbres et herbes du jardin alpin ne proviennent pas uniquement de l’hexagone, mais bien du monde entier : Japon, Himalaya, Maroc, Palestine… Classé monument historique depuis 1993, ce jardin est le lieu idéal pour observer de multiples espèces ne poussant habituellement pas en ville.
© MNHN / Pauline Soulat
Ouvert au public depuis 1931, ce vallon de verdure s’étale sur plus de 4000 m² et se présente comme le lieu idéal pour prendre un bon bol d’air en plein Paris. Toutefois, on vous conseille d’éviter d’y aller le week-end puisque l’endroit, proche de la Ménagerie, est bien souvent bondé.
Une journée autour de la Place de Clichy à Paris ...
Ce n’est pas parce que les alentours de la place de Clichy ne jouissent pas d’une belle réputation qu’ils ne méritent pas d’être explorés le temps d’une journée. Vous allez changer de regard sur ce quartier niché entre les familiales Batignolles et la sulfureuse Pigalle. Voici notre guide pour y faire de belles découvertes, s’y régaler et y dénicher des produits rares !
10h- On prend un café face au Maréchal Moncey :
Avant d’entamer une belle journée autour de la place de Clichy, on prend le temps de s’y arrêter. Car si elle est aujourd’hui davantage un lieu de passage que de contemplation béate, cette belle place est historiquement intéressante, en plus d’être jolie. En son centre, on observe la majestueuse statue du maréchal Moncey, major général de la Garde nationale, qui a protégé Paris de l’invasion russe en 1814. Notre conseil ? S’attabler sur la belle terrasse du bistrot le Petit Poucet pour profiter d’une vue imprenable sur la place, en buvant un café crème.
Le Petit Poucet
5, place de Clichy, 75017 Paris.
11h – On fait une balade bucolique et arty :
Après ce petit coup de fouet matinal, on est paré pour un petit tour de quartier. On commence par la rue Biot pour aller admirer une belle brochette d’oeuvres de street-art colorées, puis on emprunte la très animée rue des Dames avant de rejoindre naturellement l’avenue de Clichy. C’est là que l’on fait une halte au square des Deux-Nèthes, un petit espace doté de belles pelouses, d’un potager partagé et bordé par deux allées champêtres, l’impasse des Deux-Nèthes et celle de la Défense. Dans cette dernière, on accède au BAL, un lieu dédié aux documentaires où l’on peut voir des expositions assez pointues, dénicher des livres rares ou déguster des pâtisseries viennoises sur une terrasse ensoleillée.
Le BAL
6, impasse de la Défense, 75018 Paris.
12h – On fait des emplettes de qualité :
Avant d’aller déjeuner, on s’octroie une petite heure de shopping. Juste le temps d’aller jusqu’à l’Herboristerie de la Place de Clichy, rue d’Amsterdam, afin de faire le plein d’huiles essentielles, de tisanes, de plantes en vrac et… de bons conseils ! On prend bien sûr le temps d’admirer la façade ancienne et les vieux meubles d’apothicaire de cette institution datant de 1880. On finit par un saut à la Librairie de Paris, tout près du métro Place de Clichy, une grande boutique indépendante où l’on trouve de tout et où sont organisées plusieurs fois par semaine des rencontres avec des auteurs et des séances de lecture.
L’Herboristerie, 87 rue d’Amsterdam, 75008 Paris.
Librairie de Paris, 7 place de Clichy, 75017 Paris.
13h – On mange des fruits de mer au Wepler :
Impossible de passer dans le quartier sans s’attabler dans son bistrot parisien le plus emblématique et facile d’accès : le Wepler. Ici, on déguste en priorité les très réputés fruits de mer, avant même les traditionnelles soupes à l’oignon ou les plats de viande. Et pour cause, ce restaurant né en 1892 est la première huîtrière de Paris ! Confortablement assis sur ses banquettes en moleskine rouge, on s’offre un délicieux repas iodé là où Toulouse-Lautrec, Picasso, Modigliani, Miller, Apollinaire et Truffaut venaient en leurs temps s’encanailler.
Le Wepler
14, place de Clichy à Paris, 75018
15h – On se fait une toile au Cinéma des Cinéastes :
Cet endroit fut d’abord un cabaret, qui a inspiré Manet pour sa toile Chez le Père Lathuille, un café-concert où officia par exemple Maurice Chevalier, avant de devenir un cinéma au cours des années 30. Laissé à l’abandon après la Seconde Guerre mondiale, il devint en 1996 le Cinéma des cinéastes, l’une des plus sympathiques salles d’art et essai de la rive droite, dont la marraine n’est autre que Fanny Ardant ! On y prend sa place pour un film d’auteur, un documentaire de qualité ou encore pour assister à des avants-premières, en toute intimité. L’autre atout de ce ciné attachant ? Son bistrot où l’on peut échanger nos impressions après la projection.
Cinéma des cinéastes
7, avenue de Clichy, 75017 Paris.
17h – On s’offre un goûter À la Volée :
C’est un peu comme aller prendre un bon goûter chez sa tante, après une journée parisienne intense voire stressante. Dans ce tout petit salon de thé de la rue des Dames, on se réconforte avec les gâteaux qui ont fait notre enfance. Brownie, cheesecake en passant par les financiers, les tartelettes aux fruits et les petits sablés…Ici, tout semble artisanal et rien n’est très calibré, comme en témoigne la forme irrégulière de certains gâteaux. Tout est bel et bien fait maison et la délicieuse odeur qui chatouille nos narines dès l’entrée indique que plusieurs fournées sont quotidiennement assurées. Mobilier en bois dépareillé, vaisselle ancienne, la chanson est la même côté décor avec un esprit vintage non feint. On peut prendre à emporter, ou rester sur place pour profiter du calme de cette adresse encore confidentielle.
À la volée
21 rue des Dames, 75017 Paris.
Une journée autour de la Place du Tertre à Montmartre ...
Montmartre … un mot qui suffit à évoquer l’un des quartiers les plus charmants et les plus attrayants de Paris. Pourtant, les Parisiens ne portent pas toujours dans leur coeur ce quartier qui a une image très touristique. Parmi les nombreux trésors qui s’y cachent, la place du Tertre et ses environs offrent à coup sûr une journée pleine d’activités et de bonnes adresses.
Cette place est le centre de l’ancienne commune de Montmartre et existait déjà au 14ème siècle. C’est d’ailleurs sur ces lieux que se dressaient les fourches patibulaires des abbesses de Montmartre. Le lieu est de nouveau au cœur de l’histoire de Paris à la fin du 19ème siècle. A la fin du siège de Paris, une partie des 171 canons sont stockés sur la butte. Le 18 mars 1871, c’est d’ailleurs une tentative de retirer ces canons qui est à l’origine d’une importante émeute, annonciatrice de la Commune de Paris.
10h – Rien de mieux qu’un café et des croissants pour bien commencer la journée !
Impossible d’attaquer la journée sans un bon déjeuner. L’idéal avant de visiter le quartier serait de déguster un ou deux croissants et un café, le tout dans un joli cadre. Cela tombe bien, un tel endroit existe mais il faut s’éloigner un peu de la place du Tertre. Direction la rue Norvins et le Café Montmartre. A l’image du quartier, l’établissement est un endroit calme, qui respire la nostalgie et où l’on peut heureusement profiter d’une place en terrasse. Sa devanture évoque en effet à elle seule l’histoire de Montmartre. Parfait avant d’entamer une longue journée de découvertes.
Café Montmartre – 9 rue Norvins, 75018 Paris
Métro : Lamarck-Caulaincourt (ligne 12)
Ouvert tous les jours de 8h30 à 19h30
01 53 41 66 32
11h30 – Une marche religieuse sur les hauteurs de Montmartre :
On pourrait bien sûr continuer cette journée par l’inévitable Sacré-Cœur, mais il existe d’autres trésors architecturaux. Il en est un d’ailleurs bien caché par l’imposante basilique de Montmartre, la paroisse Saint-Pierre de Montmartre. Consacrée en 1147, elle est l’une des plus vieilles églises de Paris. Il s’agit aussi d’un superbe témoignage d’architecture gothique. En sortant, on peut effectuer une dernière marche au calme dans le cimetière du Calvaire.
Paroisse Saint-Pierre de Montmartre – 2 Rue du Mont Cenis, 75018 Paris.
14h – Pause repas depuis l’une des plus belles vues du quartier :
Après une matinée bien remplie, on rêve de se poser et de casser la croûte. Plutôt qu’une simple salle de restaurant, il est toujours possible de profiter de la vie et l’animation du quartier en se dirigeant Chez Plumeau. Si le temps le permet, l’idéal est d’aller en terrasse pour profiter du soleil et surtout de la glycine qui sert de toit. Dans l’assiette, on mise avant tout sur du traditionnel, avec des aliments classiques parfois revisités de manière originale. Certaines fois dans le mois, l’établissement est aussi l’occasion d’assister à des concerts.
Chez Plumeau - 4 Place du Calvaire, 75018 Paris
Ouvert tous les jours de 11h à minuit
01 46 06 26 29
16h30 – On se fait tirer le portrait sur la place du Tertre :
Célèbre dans le monde entier pour ses artistes peintres et ses terrasses, la place principale de l’ancien village de Montmartre est le lieu de flânerie par excellence dans Paris. Cette ancienne place publique accueillait autrefois la population bohème montmartroise tels que des peintres, chansonniers et poètes. Aujourd’hui, de nombreux peintres côtoient les nombreux touristes sur le terre-plein central. Ce « carré aux artistes » est divisé en 149 emplacements de 1m² où chacun laisse libre cours à son talent. Malgré la foule de touristes, un portrait est toujours possible et en un instant, nous voilà le modèle d’une œuvre picturale.
18h – Rencontre avec l’un des plus grands artistes du 20ème siècle :
Depuis toujours, Montmartre et ses charmes ont séduit de nombreux artistes, et encore aujourd’hui. Rien d’étonnant à ce que le quartier rende hommage depuis quelques années à l’un des plus grands peintres du 20ème siècle, Salvador Dali. Avec plus de 300 œuvres, l’Espace Dali regroupe principalement des sculptures et des gravures de l’artiste espagnol. Une collection qui vaut le détour.
Espace Dali – 11 Rue Poulbot, 75018 Paris
Métro : Abbesses (ligne 12)
Ouvert tous les jours de 10h à 18h
01 42 64 40 10
21h – On dîne chez une légende de Montmartre :
Impossible de passer une journée autour de la place du Tertre sans s’arrêter chez La Mère Catherine. Fondé en 1793, l’établissement est tout simplement considéré comme « le plus vieux bistrot de Paris ». Entre la bataille de Paris en 1814, la chute de l’Empire napoléonien ou encore la Commune de Paris, on peut dire que le lieu est définitivement associé à l’histoire de la capitale. L’endroit a donc accueilli de célèbres clients, notamment Danton et ses disciples pendant la Révolution. On dit d’ailleurs que c’est dans cet endroit qu’aurait été inventé le terme de « bistrot ».
La ruelle cachée de la place de la Bastille ...
C’est par une simple porte coincée entre deux cafés sans intérêt que l’on accède à cette petite ruelle, reliant la place de la Bastille à la rue Daval. Clairement, si l’on ne sait pas où l’on va mettre les pieds, impossible d’imaginer ce que l’on va trouver derrière ! Mais une fois la grille passée, c’est bien simple, on entre dans un autre monde. Fini le brouhaha de la place de la Bastille et l’agitation fatigante de la rue de Lappe.
© miss_sego / Instagram
Ici, on dirait que le temps s’est arrêté. Cette allée pavée longue d’une centaine de mètres est bordée de petits immeubles aux façades typiquement industrielles et joliment habillées de plantes grimpantes. Lors de son aménagement par Antoine Pierre Damoye, un quincailler du XVIIIème siècle, la cour abritait, comme de nombreuses autres passages et cours de l’est parisien, des dizaines d’ateliers d’artisans du Faubourg Saint-Antoine.
Entièrement rénovée dans les années 1990, cette petite enclave n’a pas tout perdu de son atmosphère d’antan. Aujourd’hui, elle abrite certes quelques bureaux d’agences de communication, mais aussi un atelier de restauration d’anciennes affiches, un maroquinier et un atelier de torréfaction, installé à la place de l’ancienne Brûlerie Daval, l’une des plus emblématiques enseignes de la capitale pendant près de cinquante ans.
6 façades colorées à découvrir à Paris ...
Si quelques rues de la capitale possèdent des maisons toutes plus colorées les unes que les autres, la palette de coloris rencontrés au gré de nos balades parisiennes est rarement très étendue. On vous a donc concocté une petite sélection de façades parisiennes pour qui le maitre mot est la couleur… Et on a bien dit LA couleur !
La façade bleue :Cette façade au ton bleu-vert se trouve dans la petite Cité du Figuier, dans le 11ème arrondissement, et possède tout l’attirail pour nous faire de l’oeil. A voir absolument !
© 1little_nut / Instagram
Où ? Cité du Figuier, 75011 Paris.
La façade rose :Quand on pense « façade rose » à Paris, c’est forcément à elle que l’on pense ! On ne pouvait donc pas mettre autre chose que la plus emblématique maison rose de Paris… même si ses volets verts contrarient un peu notre envie de monochrome.
Où ? 2 Rue de l’Abreuvoir, 75018 Paris.
La façade jaune :L’intérieur si reconnaissable de la piscine Molitor nous en ferait presque oublier la beauté de sa façade, intégralement vêtue d’un pétillant jaune/ocre.
© Fred Romero / Flickr
Où ? Piscine Molitor - 13 Rue Nungesser et Coli, 75016 Paris.
La façade verte :Qui dit vert, dit verdure, non ? Notre façade verte ne peut donc qu’être un mur végétal ! Et pour nous, ce sera celui du 262 rue Saint-Jacques, dans le 5e arrondissement. Moins connu que la plupart des murs végétaux nés ces dernières années, il est aussi beaucoup plus vert puisqu’il n’est constitué que de lierre grimpant.
Où ? 262 rue Saint-Jacques, 75005 Paris
. La façade violette :Très prisée des Instagrameurs, cette impressionnante façade du 15ème arrondissement, n’est pourtant pas facile à trouver. En effet, si l’on cherche à rejoindre la rue Robert de Flers (où se trouve le bâtiment), tout nous indique qu’elle se trouve sous la dalle de Beaugrenelle… Or, l’édifice se situe, lui, au-dessus de la dalle ! Vous le savez maintenant.
© allanleewis / Instagram
Où ? Tour Avant-Seine - 4-8 rue Robert de Flers, 75015 Paris.
La façade rouge :On parie que vous ne trouverez rien de plus rouge à Paris que cette maison du 13ème arrondissement ?
Où ? 31-33 rue de la Glacière, 75013
Et si vous voulez découvrir toutes ces couleurs en même temps, il suffit d’aller du côté de la rue Crémieux ou du canal Saint-Martin !!!
Quatre impasses secrètes à découvrir absolument à Paris ...
On pourrait quitter Paris par manque d’espaces verts et de plantes sauvages. Et pourtant, notre capitale cache son lot de petites impasses verdoyantes où il fait bon flâner. Certaines pourraient même rivaliser avec la province ! Suivez-nous pour une balade champêtre dans le Paris que seuls les vrais curieux ont la chance de connaître.
La cité du Midi :Entre les Abbesses et Pigalle, c’est plutôt touristes que verdure et quiétude. Pourtant, une mini impasse s’y cache timidement… La Cité du Midi est une petite parenthèse provençale au cœur de la capitale. On peut notamment y voir les anciens bains-douches de Pigalle et leur classique devanture en carreaux de faïence. L’histoire raconte que son nom vient de ses premiers habitants, originaires du Midi.
© @ashley_e_orr / Instagram
Cité du Midi - 48 boulevard Clichy, 75018 Paris.
Les cités du Figuier et Durmar :Quand on traine rue Oberkampf, on ne se doute pas qu’au milieu de ses bars bondés se cachent de petites impasses fleuries. Il faut quitter le tumulte de la rue pour s’immiscer dans ses allées à l’ombre des soiffards.
La cité du Figuier : Cette impasse pavée et verdoyante est calme à souhait. Les maisons basses de style industriel qui font tout son charme étaient jadis des ateliers et logements pour les ouvriers qui y travaillaient. Aujourd’hui, ce sont des habitations que les propriétaires gardent jalousement. Mention spéciale pour la maison verte dont les arcades datent de l’Exposition Universelle de 1900 !
© mathieukermabonphotographie / Instagram
Cité du Figuier – 104-106 rue Oberkampf , 75011 Paris.
La cité Durmar : Lorsqu’on continue la balade vers Ménilmontant, une autre impasse invite au dépaysement. La cité Durmar est un peu la petite sœur de celle du Figuier. En plus de ses pavés (très) inégaux, elle aussi recèle d’ateliers aux façades si caractéristiques. Tout aussi fleurie, bien qu’un peu moins bien entretenue (mais c’est ce qui fait aussi son charme), cette allée est parfaite pour une dose d’évasion.
© Laurence Buisson / Instagram
Cité Durmar – 154 rue Oberkampf , 75011 Paris.
Le square des Peupliers :On peut s’y méprendre. Le Square des Peupliers n’en est pas un. Ici pas de jeux d’enfants ni de bancs, mais une impasse triangulaire aux allures de village. De part et d’autres de cette allée piétonne, des maisons qui n’ont rien à envier aux appart’ 6 pièces du 8ème arrondissement. Entre calme et intimité, ce petit coin du 13ème est un havre de paix à garder secrètement.
© maoli.fr
Square des Peupliers - 68 et 72 de la rue du Moulin-des-Prés, 75013 Paris.
Petite histoire des Buttes-Chaumont ...
Le cinquième espace vert de Paris en superficie est aujourd’hui un lieu hautement prisé. Quelques irréductibles pêchent dans son lac, d’autres s’y pressent le matin pour un footing tout en dénivelé, tandis que la plupart d’entre nous se contente de prendre l’apéro’ sur ses pelouses pentues ou au Rosa Bonheur. Mais cet espace vert du XIXème arrondissement n’a pas toujours été le lieu de vie que l’on connait aujourd’hui. Retour sur son histoire.
La colline du Mont Chauve : voici comment on appelait les Buttes-Chaumont autrefois ... Haute d’une centaine de mètres environ, elle était parfois être appelée « les carrières d’Amérique ». Pourquoi ? Parce qu’on y extrayait du gypse qui fut en partie exporté en Nouvelle-France, la colonie nord-américaine du royaume de France. On y dégageait aussi de la pierre meulière, très utilisée pour construire les immeubles parisiens.
Longtemps ses galeries ont servi d’abris aux brigands et aux vagabonds, alors même que la colline était utilisée comme décharge publique. Puis Belleville, commune sur laquelle se trouvaient les Buttes-Chaumont, fut intégrée à Paris le 1er janvier 1860.
L’un des premiers grands projets lancés par Napoléon III lorsqu’il prend le pouvoir consiste à modifier Paris en profondeur. Il souhaite sortir la capitale de l’insalubrité dans laquelle elle se développe depuis des siècles, l’ouvrir, l’aérer. Outre les travaux urbains qu’il confie à Haussmann, il charge l’ingénieur Jean-Charles Alphand de construire un parc à l’emplacement des anciennes carrières de la colline du Mont Chauve.
Alphand s’entoure donc d’un architecte (Davioud), d’un jardinier (Deschamps) et d’un confrère (Belgrand) pour créer un vaste espace vert tout en dénivelé. L’État achète les carrières en 1863, quelques années seulement après l’intégration du quartier à la capitale, les travaux commenceront un an plus tard et l’inauguration aura lieu en 1867.
Le parc que nous connaissons a nécessité l’apport d’un million de mètres cube de terre pour que la flore puisse s’épanouir, la qualité du sol d’origine étant informe à toute vie. Les anciennes carrières sont aménagées, on mélange des roches artificielles et naturelles et un lac d’un hectare et demi est créé. Il est alimenté par trois ruisseaux dont un provenant du bassin de la Villette.
Ce lac fait apparaître l’île du Belvédère, au sommet de laquelle on installe un kiosque qui s’inspire du temple de Vesta à Tivoli. Pour y accéder, il suffit d’emprunter la passerelle suspendue ou bien le pont dit « des suicidés »… N’oublions pas la grotte artificielle, construite à partir d’un ancienne entrée de carrière : elle se trouve sur le flanc sud du lac et possède une cascade (artificielle, elle aussi), ainsi que des fausses stalactites en ciment. Tout un programme !
Les 4 joyaux incontournables du Marais ...
Suivez-nous dans le quartier le plus historique de la capitale, le Marais, et voyagez à travers les siècles grâce à ses petites rues émaillées d’élégants hôtels particuliers et d’édifices incontournables. Voici les quatre joyaux à ne louper sous aucun prétexte !
L’emblématique - la place des Vosges :
Tout simplement l’une des plus belles places de Paris. La place Royale, appelée aujourd’hui place des Vosges, est la plus ancienne place monumentale de Paris. Construite à l’initiative d’Henri IV à partir de 1605, elle abrite de nombreux restaurants et cafés, malheureusement hors de prix. Ne manquez pas le musée Victor Hugo, l’hôtel de Sully et, surtout, ses rails bien cachés !
Place des Vosges, 75004
Métro : Saint-Paul (ligne 1) ou Chemin Vert (ligne 8)
Le méconnu - l’hôtel de Marle :
Typique des hôtels particuliers présents dans le Marais, l’hôtel de Marle accueille actuellement la collection d’art de l’Institut Tessin (collection de dessins français du 17e siècle) et le Centre culturel suédois où il est très agréable de prendre un café dans la cour. Un endroit peu connu des Parisiens qui mérite pourtant le détour.
11 Rue Payenne, 75003
Métro : Saint-Paul (ligne 1)
Le déroutant - l’hôtel de Guénégaud :
Ce magnifique édifice construit par François Mansart a été entièrement décoré sur le thème de la chasse. Offrez-vous un safari à travers les petits cabinets, les antichambres et les salons de cet hôtel qui abrite la Fondation de la Maison de la Chasse, mais se distingue surtout par l’élégance de sa géométrie et sa façade épurée.
60, rue des Archives, 75003
Métro : Arts et Métiers (lignes 3 et 11)
L’historique - l’hôtel de Beauvais :
Depuis son achèvement en 1660, l’hôtel de Beauvais est l’un des plus fameux édifices de Paris : une sorte de palais baroque dans un mouchoir de poche. Sa visite vous mènera dans des lieux passionnants comme le grand escalier, la grande salle d’audience ou le cellier gothique. Pour la petite anecdote, c’est ici que le jeune Mozart séjourna lors de son premier voyage parisien en 1763-1764 !
La cour centrale de l’Hôtel de Beauvais © val_bloomsberry / Instagram
Le plus grand marché de tissus de Paris ...
Le marché Saint Pierre est généralement l’endroit où il faut se rendre lorsque l’on cherche du tissu de qualité. Au pied de la butte Montmartre, les bonnes affaires sont nombreuses !
Dans ce quartier, impossible de ne pas voir du textile partout, tant il envahit les trottoirs et les boutiques. De gauche à droite, toutes les enseignes ou presque affichent en gros le mot « tissus ». Alors que les magasins spécialisés se suivent à la chaîne, des prix très attractifs sont proposés à l’extérieur de manière à attirer les clients. De la « Galerie des tissus » au « Paris tissus », en passant par « Star tissus », les choix ne manquent pas… Les enseignes les plus célèbres ont pignon sur rue.
Réputé dans le monde entier, le magasin « Dreyfus déballage du marché Saint-Pierre » est devenu un incontournable quand il s’agit de trouver du beau tissu de qualité. Particuliers, professionnels et touristes s’y rendent logiquement pour faire de bonnes affaires. Il faut dire que l’institution a un argument de poids puisqu’une fois à l’intérieur, le client se retrouve dans un espace de vente de 2.500 m², réparti sur 6 niveaux. On dit d’ailleurs que le magasin Dreyfus serait « le plus grand magasin de tissus au monde ». À l’intérieur, impossible d’échapper aux mythiques rouleaux. À chaque niveau, ils sont partout, empilés les uns sur les autres.
Bien que l’on se retrouve dans un bâtiment, le côté déballage et libre-service donne vite l’impression de se trouver sur un marché. Chacun vient ainsi dérouler le tissu, le toucher et prendre les mesures. Soieries, lainages, voilages, velours ou dentelle, les amateurs succombent facilement à la tentation. Au total, on retrouve plus de 50 000 références. Les prix sont l’ultime raison de se rendre dans le quartier ! De 99 centimes à 3 euros le mètre, inutile de préciser que le terme « bonnes affaires » prend tout son sens…
Pour ceux qui n’aiment pas les grandes boutiques et craignent l’affluence, sachez qu’il n’y a pas que le magasin Dreyfus pour satisfaire vos envies. Le magasin Moline est aussi un incontournable. Il s’agit d’une véritable institution puisque la maison a été fondée en 1879. Au cœur d’une boutique qui a su garder son charme d’antan, le choix est infini. Pour les amoureux de la marque, il existe une deuxième boutique dans le même quartier. Pour deux fois plus de tissus et de couleurs.