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PARIS ADRESSES MYTHIQUES

Les 5 lieux où la nature reprend ses droits à Paris ...

Publié à 12:32 par yvonne92110 Tags : paris adresses mythiques 5 lieux nature reprend droits
Les 5 lieux où la nature reprend ses droits à Paris  ...

 Les 5 lieux où la nature reprend ses droits à Paris ...

 

Oubliez tout ce que vous savez sur les jardins parisiens, tirés à quatre épingles et disciplinés « à la française », comme celui du Luxembourg ou des Tuileries. Il existe dans la capitale des espaces naturels où les jardiniers ne mettent jamais les pieds et où la faune et la flore, insoumises, évoluent à leur guise. De rares îlots de verdure coincés entre le bitume. Ici, la nature se fait libre et sauvage comme en forêt ou à la campagne. Un grand bol d’air pur ! Voici les 5 lieux parisiens où la nature a repris ses droits…

                                                                                                                                                                       Le Jardin sauvage Saint-Vincent, Montmartre :

 

jardin-saint-vincent-montmartre-nature 

Il faut avoir un peu de chance pour pouvoir pousser le portail du jardin sauvage Saint-Vincent, ouvert uniquement une à deux fois par mois d’avril à octobre. Mais une fois à l’intérieur, on réalise la rareté d’un tel lieu à Paris, sorte d’enclave secrète à deux pas des vignes de Montmartre et du Sacré-Coeur. Dans ce bel espace pentu de 2000m2, ronces, digitales, lierres, marronniers, sureaux, et autres arbustes ont pris leur place, tout naturellement durant des années. La ville l’avait laissé à l’abandon, livré à lui-même, avant de décider en 1987 de conserver et de protéger la biodiversité qui s’y était installée. Comme à la campagne, on y rencontre une mare et ses crapauds, une colonie d’insectes, des orties miraculeuses qui soulagent les rhumatismes, ou des moustiques qui nous piquent les jambes tandis que l’on se fraye un chemin parmi les herbes folles…

 

17 rue Saint-Vincent 75018 PARIS
Du 1er avril au 31 octobre, le premier dimanche de chaque mois de 10h30 à 12h30, et le troisième mercredi du mois de 14h30 à 16h30.

 

     Le jardin naturel du 20ème arrondissement :

 

jardin-naturel-paris-paris20

 

Si les espaces verts parisiens sont trop guindés à votre goût, sachez que dans ce jardin du 20ème arrondissement, c’est un peu tout l’inverse : ici, pas d’arrosage ni de tonte, les plantes et les arbres se débrouillent seuls et évoluent en toute liberté, depuis 1995, date de sa création. Chênes, érables, fougères, fleurs sauvages, noisetiers… Tous ces végétaux, qui poussaient jadis dans la capitale, se partagent les 6300m2 de cet espace préservé en une joyeuse cacophonie. On traverse une mare aux nénuphars baignée de soleil, une prairie de fleurs ou un sous-bois, croisant de temps à autre la route d’habitants bienheureux comme des grenouilles ou des libellules. Certaines parcelles sont un peu sombres, mais ce jardin se laisse apprécier, à condition tout de même d’aimer voir la nature s’exprimer…

 

Rue de la Réunion, 75020

 

La petite Ceinture :

 

petite-ceinture-paris-nature-sauvage

A gauche, celle du 16ème arrondissement et à droite, celle du 15ème arrondissement   

 

        La petite Ceinture du 16ème arrondissement :

 

En 1993, quand les trains ont arrêté d’emprunter la ligne d’Auteuil dans le 16ème arrondissement, les herbes folles, qui n’attendaient que cela, se sont rapidement frayé un chemin entre les rails, jusqu’à les coloniser. Aujourd’hui, ce tronçon de chemin de fer reliant la Porte d’Auteuil à la Muette est devenu un sentier Nature, long de plus d’un kilomètre. Une promenade confidentielle, à l’abri de la circulation, ponctuée par six étapes pédagogiques pour apprendre à observer plantes grimpantes, fougères, papillons, oiseaux, et autres représentants de la biodiversité francilienne.

 

Accès face au 77 boulevard de Montmorency
Ou face à la rue du Ranelagh
Ou face au 36 boulevard de Beauséjour

 

                                        La petite Ceinture du 15ème arrondissement :                                                                                                                                                                           

La poésie n’est pas toujours où on l’attend. Et il y en a beaucoup sur les anciennes voies ferrées du 15ème arrondissement, qui s’étendent de la rue Olivier de Serres à la Place Balard. Jadis, ces rails servaient à desservir les usines Citroën et les abattoirs de Vaugirard et ce fut un incessant ballet de trains jusque dans les années 1970. Aujourd’hui, si le paysage reste urbain avec les immeubles avoisinants, les rails, les ponts ou encore les murets, la nature a repris sa place : comme en forêt, on y admire des chauves-souris et on y part à la cueillette de fraises des bois ou de mûres. Pour garantir la protection des 220 espèces de végétaux et d’animaux, la promenade n’est possible que sur un tronçon d’1,3 kilomètre. Bien suffisant pour prendre une bouffée d’oxygène…                                                                                                                                                                                     

Accès face au 99 rue Olivier de Serres
Au 397ter-399 rue de Vaugirard
Ou face au 82 rue Desnouettes

 

                                      Le Jardin écologique du Jardin des Plantes :                                                                                                                                                                                                                  

jardin-ecologique-paris-plantes

 

À priori, le Jardin des Plantes est l’endroit où l’on est susceptible de croiser le plus de jardiniers au mètre carré à Paris ! Pourtant, une parcelle de cet immense jardin a longtemps été préservée des arrosages, coups de sécateurs et autres interventions humaines : le jardin écologique. Fermé au public de 1960 à 1982, cet espace a rapidement été reconquis par la nature sauvage, qui l’a transformé en friche et en sous-bois. Aujourd’hui, les écoliers parisiens viennent s’y initier à l’écologie et à la biodiversité des milieux forestiers et sauvages d’Île de France, et observer insectes, mollusques, petits mammifères et plantes messicoles, comprenez « qui poussent habituellement dans les champs de céréales »… 

                                                                                                                                                                       57, rue Cuvier, 75005

 

Le square du Marais aux multiples trésors ...

Publié à 12:23 par yvonne92110 Tags : paris adresses mythiques le square du marais
Le square du Marais aux multiples trésors  ...

Le square du Marais aux multiples trésors !

  

Discrètement adossé au Musée Carnavalet, le square Georges-Cain fait partie de ces petits espaces verts parisiens que l’on connait peu, mais dont on tombe inexorablement amoureux en les découvrant. Et pour cause, ce calme coin de verdure du Marais abrite un impressionnant figuier de six mètres de haut, de nombreux vestiges et un agréable parterre de fleurs colorées. On découvre ces jolis détails.

 

Baptisé en l’honneur de Georges Cain, peintre et conservateur du Musée de l’Histoire de la Ville de Paris au tournant du XXème siècle, ce petit parc circulaire d’à peine 2 000 m² est né en 1923. En passant ses grilles, on découvre un véritable petit musée en plein air. Le square abrite en effet plusieurs vestiges, pour la plupart venant de monuments disparus lors de la Commune de Paris. L’élément principal est un imposant portique ionique adossé à un mur et conservé de l’ancien Palais des Tuileries.

Square Georges Cain

De part et d’autre de ce vestige, se dressent des caissons de plafonds de l’ancien Hôtel de Ville, ainsi que des anciennes fenêtres de l’hôtel de Thou, bâtisse détruite en 1898 et autrefois située rue Danton. Cet ensemble est complété par plusieurs autres pièces disposées le long de l’orangerie, dont un magnifique bas-relief représentant un Soleil. Régulièrement recouvert de lierre grimpant, il provient de l’ancien grenier à sel de la rue Saint-Germain l’Auxerrois. Au centre du parterre de fleurs, une statue représentant une femme nue et réalisée par le sculpteur Aristide Maillol vient parfaire le tout.

Square Georges Cain

A côté de ces vestiges, l’on pourra profiter calmement de l’ombre offerte par le grand figuier du square, entamer une partie sur le damier disponible en libre service ou simplement trouver refuge sur l’un des bancs installés autour du parterre. Le square Georges Cain – situé juste en face de l’Institut Suédois, à côté du Musée Carnavalet et à quelques rues du Musée Cognacq-Jay- est un lieu véritablement inattendu. Un calme îlot à garder en tête lorsque l’on se balade dans le coin.

Square Georges Cain

Square Georges-Cain – 8 rue Payenne, 75003
Métro : Saint-Paul (ligne 1), Chemin Vert (ligne 8)

 

4 squares secrets et insolites à Paris ...

Publié à 10:20 par yvonne92110 Tags : paris adresses 4 squares secrets et insolites à paris
4 squares secrets et insolites à Paris    ...

4 squares secrets et insolites à Paris ...

 

 

Non, les espaces verts à Paris ne sont pas tous des lieux où le moindre mètre carré se retrouve pris d’assaut par les Parisiens dès qu’un rayon de soleil pointe son nez. La preuve avec ces quatre jolis squares, peu fréquentés et méconnus… parce que très bien cachés !

 

Square Denys-Bühler (VIIème arrondissement) :

 

On remarque facilement ce petit espace de verdure parce qu’il détonne dans la rue de Grenelle, presque exclusivement composée de béton et d’immeubles. Et pourtant seuls quelques braves osent s’y aventurer ! Emménagé au pied de la charmante Église Saint-Jean et d’une maison à colombages, le square Denys-Bühler appartient à la paroisse luthérienne Saint-Jean mais, peu de gens le savent, est ouvert au public tous les jours. Pour profiter de ce coin de tranquillitéà quelques pas de l’Hôtel des Invalides, il suffit de franchir la grille de la paroisse et de longer l’église. Un jardin composé de quelques bancs et massifs de bruyères vous attend dans le calme et le silence.

 

Le square Denys Buhler à Paris

© François Grunberg / Mairie de Paris

 

Square Denys-Bühler - 147 rue de Grenelle, 75007
Métro : La Tour-Maubourg (ligne 8)
Ouvert tous les jours de 8h00 à 18h00 et jusqu’à 20h30 entre avril et août

 

Square Colbert (XIème arrondissement) :

 

On ne s’imagine pas une seconde qu’un beau et grand jardin public se cache derrière cette inhospitalière grille bleue. Et pourtant, derrière la barre d’immeubles du 159 rue de Charonne, le square Colbert abrite des allées arborées, une aire de jeu pour enfants, des pelouses pour pique-niquer, un jardin partagé et un élégant pavillon néoclassique, ultime vestige de l’ancienne pension Belhomme. Tout ça pour seulement quelques privilégiés : les riverains et les quelques promeneurs qui connaissent ce lieu bien gardé.  

 

Le square Colbert à Paris

 

Le pavillon Belhomme au square Colbert Paris

Le pavillon de l’ancienne pension Belhomme au fond du jardin.

 

Square Colbert - 159 rue de Charonne, 75011
Métro : Charonne (ligne 9)
Ouvert tous les jours de 9h30 à 17h en hiver et de 9h30 à 20h30 en été

 

Square Roger-Stéphane (VIIème arrondissement) :

 

Anciennement nommé Square Récamier, du nom de la rue en cul-de-sac au bout de laquelle il se trouve, le square Roger-Stéphane est une pépite de verdure et de tranquillité. Lilas japonais, rhododendrons, chèvrefeuilles et bruyères poussent à leur aise autour d’un bassin en cascade et d’une architecture vallonnée. Un lieu où la nature reprend définitivement ses droits… On en oublierait presque que nous sommes dans l’un des quartiers les plus fréquentés de la capitale !

 

Square Roger Stéphane à Paris

 

Square Roger-Stéphane – 7 rue Récamier, 75007
Métro : Sèvres-Babylone (lignes 10 et 12)
Ouvert tous les jours

 

Square Saint-Gilles Grand Veneur – Pauline Roland (IIIème arrondissement) :

 

Ses bancs, ses jolies roses toutes plus colorées les unes que les autres, ses pelouses centrales et ses colonnes grimpantes font de ce joli coin de verdure un jardin à la française aussi calme qu’accueillant. Pour atteindre ce lieu bien gardé du Marais, il existe deux accès : l’un par la rue du Grand-Veneur, l’autre par la rue de Hesse. Dans tous les cas, il ne faut pas hésiter à passer le porche des immeubles qui bordent le square et le cachent aux visiteurs les moins attentifs.

 

Le square Saint Gilles Grand Veneur à Paris

Square Saint-Gilles Grand Veneur Pauline Roland - 9 rue du Grand Veneur, 75003
Métro : Chemin Vert (ligne 8)

 

Quelques pâtisseries qui font fureur à Paris ...

Publié à 10:21 par yvonne92110 Tags : paris adresses mythiques patisseries qui font fureur
Quelques pâtisseries qui font fureur à Paris ...

Quelques pâtisseries qui font fureur à Paris ...

 

 

Gâteaux, tartes, viennoiseries… Même si c’est pas très raisonnable, on mangerait bien des pâtisseries tous les jours. Mais vu le nombre de calories planquées dans une mini-part, parfois on a tendance à tout simplement saliver devant les vitrines… Bon, même si c’est bourré de sucre, voici 5 adresses de pâtisseries qui font fureur à Paris, et pour lesquelles un petit écart vaut vraiment le coup :

 

La Pâtisserie des Rêves :

 

Bienvenue dans le royaume de la pâtisserie, c’est comme si on franchissait la porte de la maison de sucre du conte Hensel et Gretel. Ici, les petits gâteaux sont exposés sous des cloches. Pas si bête comme idée, car ils ont tellement l’air appétissants, qu’on aurait du mal à ne pas croquer dedans instinctivement. La première Pâtisserie des Rêves ouvre en 2009, sur une idée de Thierry Teyssier et de son ami le chef pâtissier Philippe Conticini. Aujourd’hui, il existe 5 adresses à Paris, en plus de 2 pâtisseries londoniennes et 2 japonaises. Les recettes changent très régulièrement mais vous ne devez absolument pas passer à côté du Paris-Brest (le meilleur de tout Paris) et du Saint-Honoré. C’est très fin, ça se mange sans faim…

 

Infos pratiques : 
93, rue Bac 75007
19, rue de Poncelet 75017
111, rue de Longchamp 75016
Centre Beaugrenelle – 12, rue Linois 75015
36, rue de la Verrerie 75004

 

patisserie-des-reves-paris
                                                                                                                                                                      Aux Merveilleux  :

 

Vous avez sans doute entendu parler de cette pâtisserie qui fait maintenant partie des incontournables de la capitale. Frédéric Vaucamps a décidé de revisiter la recette du Merveilleux, pour en faire un gâteau toute en légèreté. Aujourd’hui, la recette s’est démocratisée et des boutiques s’ouvrent un peu partout en France et dans le monde. L’incroyable, l’Impensable, le Magnifique ou encore l’Excentrique… ce sont les noms des différentes déclinaisons du Merveilleux. Et vous en avez pour tous les goûts : spéculoos, chocolat, café… Les Merveilleux portent très bien leur nom car ce sont de très beaux gâteaux assez impressionnants, et surtout délicieux. Pour les anniversaires (ou les très très gros gourmands), vous pourrez même vous offrir un Merveilleux version XXL. Si vous passez devant la boutique, de dehors, vous pourrez aussi apercevoir les pâtissiers en pleine préparation.

 

Infos pratiques : 
7, rue de Tocqueville 75017
29, rue de l’Annonciation 75016
129 bis, rue Saint-Charles 75015
94, rue Saint-Dominique 75007
24, rue du Pont Louis Philippe 75004
2, rue Monge 75005

 

merveilleux-paris

 

Berko  :

 

Cette adresse ne suit pas exactement les même codes que la pâtisserie française. En effet, Berko se spécialise dans les recettes « from the USA », comme les cheesecakes, mais c’est surtout pour ses cupcakes que la boutique est connue et reconnue en France. Des recettes originales aux goûts inattendus (comme le cupcake aux Schtroumpfs) et aux couleurs pétillantes. Une sélection d’une dizaine de petits cupcakes tout mignons fera l’affaire pour plaire à ses beaux parents ! Pour les fans de cheesecake, on vous prévient, les parts sont énormes. Dans tous les sens du terme : généreuses et divinement bonnes ! Berko est une adresse à ne pas louper au hasard d’une de vos balades dans le Marais.

 

Infos pratiques : 
23, rue Rambuteau 75004

 

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Popelini :

 

Dans la famille des boutiques mono-produit, on demande Popelini : la pâtisserie 100% dédiée aux choux à la crème. Le café, la vanille, la rose, le caramel beurre salé, le chocolat, la pistache, le citron… Tout, tout, tout vous saurez tout sur le chou à la crème ! Popelini n’est autre que le créateur de cette petite bouchée fourrée à la crème pâtissière et nappée de glaçage, née au 16ème siècle. Les petits choux de Popelini sont donc confectionnés chaque jour de façon artisanale à partir des meilleurs ingrédients.

 

Infos pratiques :
29, rue Debelleyme 75003
44, rue des Martyrs 75009

 

popelini-paris

 

L’Eclair de Génie :

 

Ici, c’est un autre classique de la pâtisserie française qui est revisité avec audace : l’éclair. Des saveurs originales comme le caramel au beurre salé, la vanille et noix de pécan ou encore le citron Yuzu. Une cinquantaine de création, pour le plaisir de notre palais. Le tout nouveau ? L’éclair Passion-Chocolait au lait. Cette idée farfelue mais géniale, sort tout droit de l’imagination du chef pâtissier Christophe Adam en 2012. Aujourd’hui, il existe 5 adresses parisiennes et 3 au Japon.

 

Infos pratiques : 
14, rue Pavée 75004
122, rue Montmartre 75002
32, rue Notre Dame des Victoires 75002
35, Boulevard Haussmann 75009
13, rue de l’Ancienne Comédie 75006
99, rue de Rivoli 75001

 

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Une soirée au Moulin Rouge ... à Paris !

Publié à 12:10 par yvonne92110 Tags : paris adresses mythiques une soirée au moulin rouge

L’étonnante façade alsacienne du McDo Saint-Lazare !

Publié à 10:42 par yvonne92110 Tags : paris adresses mc do st lazare facade alsacienne
L’étonnante façade alsacienne du McDo Saint-Lazare !

                                L’étonnante façade alsacienne du McDo Saint-Lazare ...

 

Le 119 rue Saint-Lazare est assurément l’un des bâtiments les plus insolites de Paris !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Une cigogne perchée sur la cheminée, une façade tout en pans de bois et briques, des tuiles alsaciennes sur un toit en pignon, tout nous rappelle l’architecture alsacienne. Tout, sauf un petit détail : l’édifice est occupé depuis une vingtaine d’années par le géant américain McDonald’s. Un lieu inattendu pour un établissement de ce genre, d’autant plus qu’une bonne partie du bâtiment – la façade, la toiture et les trois salles du rez-de-chaussée – est inscrite aux  monuments historiques depuis 1997.                                                                                                                                                                    

                         Une brasserie alsacienne typique de la fin du XIXème siècle :

                                                                                                                                                                        Construit à partir de 1892, puis entièrement remanié deux ans plus tard, l’édifice avait pour destination première d’accueillir une brasserie alsacienne. Ce type d’établissement est alors très à la mode et l’on en trouve dans tous les quartiers de la capitale. En effet, après la guerre franco-allemande de 1870 et la perte de l’Alsace-Lorraine, de nombreux alsaciens ont quitté leur région natale pour s’installer à Paris. Beaucoup d’entre eux ont ouvert des brasseries, afin de se retrouver, mais aussi pour partager leurs spécialités locales avec les Parisiens. C’est par exemple le cas de l’emblématique Brasserie Lipp, voisine du Café de Flore et des Deux Magots, ouverte en 1880 par un exilé alsacien.                                                                                                                                                                                                                 

Aussi, la France rumine encore sa défaite contre son voisin allemand. Tout moyen de revendiquer ce petit bout de territoire est bon à prendre. On ne s’étonnera donc pas de trouver sur la façade un blason qui ressemble à s’y méprendre à celui de la ville de Strasbourg. Sur la façade, on aperçoit également un personnage moins alsacien que flamand, mais tout aussi révélateur de l’histoire du lieu : Gambrinus, le « roi de la Bière »… Comme le nom de l’ancienne brasserie située là à partir de 1894. Inscrite aux monuments historiques, donc légalement protégée de toute modification, cette petite bâtisse n’a pas changé d’un pouce depuis 120 ans et continuera vraisemblablement d’attirer l’œil un petit bout de temps !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       

La façade alsacienne du 119 rue Saint-Lazare

McDonald Saint-Lazare – 119 rue Saint-Lazare, 75008
Métro : Gare Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14)

 

Bistrot parisien le plus emblématique : le Wepler !

Publié à 14:20 par yvonne92110 Tags : paris adresses bistrot emblématique le wepler
Bistrot parisien le plus emblématique : le Wepler !

                                                                                                                                                                                 On mange des fruits de mer au Wepler ...                                                                                                                                                                                                                                                

Impossible de passer dans le quartier sans s’attabler dans son bistrot parisien le plus emblématique et facile d’accès : le Wepler. Ici, on déguste en priorité les très réputés fruits de mer, avant même les traditionnelles soupes à l’oignon ou les plats de viande. Et pour cause, ce restaurant né en 1892 est la première huîtrière de Paris ! Confortablement assis sur ses banquettes en moleskine rouge, on s’offre un délicieux repas iodé là où Toulouse-Lautrec, Picasso, Modigliani, Miller, Apollinaire et Truffaut venaient en leurs temps s’encanailler.

Le Wepler
14, place de Clichy à Paris, 75018

Paris : Les meilleurs "spas" pour se faire chouchouter !

Publié à 11:31 par yvonne92110 Tags : paris adresses les meilleurs spa de paris
Paris : Les meilleurs "spas" pour se faire chouchouter !

Les meilleurs spas pour se faire chouchouter ...

 

Il n’y a pas de saison pour prendre soin de soi. Et avec cet été en dents de scie, on a des envies de se faire chouchouter. A Paris, de nombreuses adresses se sont spécialisées dans le bien-être. On découvre ainsi les rituels de tous horizons. Spa oriental, asiatique… Il y en a pour tous les goûts !

Charme d’Orient

Le spa Charme d'Orient à Paris

Charme d’Orient est une adresse bien connue de l’est Parisien. Non contente de délivrer des soins à la carte dans son spa, la marque a commercialisé une ligne de produits dont on ne peut plus se passer ! Les textures sont délicates à souhait et les senteurs nous font voyager. Ici, on a son propre hammam privatisé le temps de notre rituel. Un véritable plus pour les moins à l’aise. On peut aussi réserver l’espace pour plusieurs personnes. Parfait pour des soins en couple ou entre copines.

Charme d’Orient, 18 Boulevard du Temple, 75011 Paris. 

Les Cents Ciels

Le spa les 100 ciels à Paris

En franchissant les portes des Spa Les Cents Ciels, on voyage immédiatement dans les pays orientaux. Jolie mosaïque, lumière tamisée, chaleur… Les deux adresses franciliennes à Paris et Boulogne sont immenses et sont toutes les deux munies d’une piscine. Idéale pour des après-midi de farniente. Les soins sont réalisés de manière traditionnelle dans des cabines privatisées ou des alcôves. On en sort vraiment dépaysés !

Les Cents Ciels, 7 rue de Nemours 75011 Paris et 45 bis avenue Edouard Vaillant92100 Boulogne-Billancourt

Spa 28

Le spa 28 à Paris

Le Spa 28 est un havre de paix en plein cœur du quartier Saint Germain. Il se trouve dans une très spacieuse cave voûtée et, outre les cabines cosy et les hammams et saunas, la salle de repos nous invite à tout oublier avec ses transats et sa piscine. Musique jazzy et jeux de lumière finissent de nous détendre.
Spa 28, 28 Rue Monsieur le Prince, 75006 Paris.

Villa Thalgo

Le spa Villa Thalgo à Paris

La réputation de La Villa Thalgo n’est plus à faire. Cette marque a mis l’accent sur les bénéfices tirées des produits de la mer. Le spa qui a ouvert à deux pas duTrocadéro est la porte qui mène à une vraie journée de relaxation. Sur 1000 m2, on trouve une piscine, différentes cabines cocoon, un espace restauration avec une jolie terrasse et un personnel très attentionné. Parfait pour nous rendre plus zen que jamais.
La Villa Thalgo, 8 avenue Raymond Poincaré, 75016 – Paris

Spa Thémaé

Le spa Thémaé à Paris

Le spa Thémaé a mis l’accent sur… Le thé ! La maison est allé à la recherche des thés avec le plus de propriétés bénéfiques et les utilise en fonction des besoins des clientes. Ici, on a le choix de la musique, des senteurs, des pressions. Les praticiennes s’attachent aux détails qui changent tout, pour notre plus grand bien !
Spa Thémaé20-22 rue Croix des Petits Champs75001Paris.

Spa 5 Mondes

Le spa 5 mondes à Paris

Le Spa Cinq Mondes se trouve dans le quartier de l’Opéra et nous emmène bien plus loin. Le menu des soins s’articule autour des rituels de beauté du monde entier. En un instant, on peut choisir notre destination : Bali, Polynésie… Les odeurs des produits utilisés sont incroyables et complètent parfaitement notre escale. Un voyage que l’on n’est pas près d’oublier !
Cinq Mondes, 6, Square de l’Opéra Louis Jouvet, 75009 Paris.

L’Échappée

Le spa L'échappée à Paris

L’Échappée est une des bonnes adresses bien-être du quartier Oberkampf. Ce lieu hybride rassemble une piscine, un hammam, des salles de soins et de massage, des cours de pilates et de yoga et un petit restaurant où il fait bon bruncher après une matinée dans ce « spa urbain« . On vous recommande le massage aux pierres chaudes. Les praticiennes sont très douces et à l’écoute.
L’Échappée, 64 Rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris.

Spa O’Kari

Le spa O'Kari à Paris

Karima, la créatrice du spa O’Kari, a tenu à recréer la véritable ambiance des hammam orientaux. Exclusivement réservée aux femmes, cette adresse est parfaite pour se détendre le temps d’une après-midi. D’ailleurs, ici, peu de soins express, on nous invite à prendre notre temps. Tous les produits sont naturels et directement importés d’Algérie ou du Maroc. O’Kari est un endroit traditionnel qui nous fait réellement découvrir l’art de la beauté méditerranéenne.
O’Kari, 22 rue Dussoubs 75002 Paris.

La Sultane de Saba

Le spa la Sultane de Saba à Paris

La Sultane de Saba est une adresse que l’on garde toujours en tête lorsque l’on a un petit coup de blues. L’ambiance y est chaleureuse, les produits sont réconfortants et on se détend en un clin d’œil. Les soins sont à un prix très raisonnable et l’on peut s’offrir un vrai nettoyage de peau pour un peu plus de 50 euros. Le succès de la maison n’est pas démérité et c’est grâce à sa clientèle fidèle qu’elle a pu ouvrir plusieurs adresses à Paris et en proche banlieue.
La Sultane de Saba, 8 bis rue Bachaumont 75002 Paris ou 78 rue Boissière 75016 Paris.

Spa Nuxe

Le spa Nuxe à Paris

Le principal atout du spa Nuxe est la qualité des produits utilisés. Nuxe est une marque chère au cœur de nombreuses parisiennes. Les soins effectués dans les très jolies cabines voûtées de cette adresse sont tous adaptés en fonction du type de peau de la cliente et il y a alors peu de risque d’avoir de mauvaises surprises. L’ambiance y est douce et cosy. Un spa à découvrir.
Spa Nuxe, 32-34 rue Montorgueil, 75001 Paris

 

Le mystère des tombes de Molière et La Fontaine  ...

Publié à 13:46 par yvonne92110 Tags : tombes molière et la fontaine paris adresses lachaise
Le mystère des tombes de Molière et La Fontaine  ...

Le mystère des tombes de Molière et La Fontaine  ...

 

Le mythique cimetière du Père Lachaise a été créé en 1804 : pourtant, en vous y baladant, vous pourrez remarquer que des personnalités disparues avant cette date y sont enterrées…

C’est le cas de Molière et La Fontaine par exemple, respectivement décédés en 1673 et en 1695 ! Comment est-ce possible ?

                           Un projet qui laisse les parisiens sceptiques :                                                                                                                                     

Lorsque le Père Lachaise est créé, son aménagement est confié à l’architecte Brongniart (qui a réalisé la Bourse de Paris), qui en fait un véritable jardin à l’anglaise.

Mais peu habitués des cimetières ouverts au public, les parisiens boudent ce lieu qu’ils estiment également trop loin du centre, situé dans un quartier pauvre et populaire, avec des concessions trop chères…

A peine 2 000 personnes accepteront donc d’y être enterrées les dix premières années.

En 1817, pour donner un côté plus prestigieux à ce cimetière délaissé, on décide d’y transférer les corps de Molière et de La Fontaine.

Bingo ! Dix ans plus tard on pouvait déjà y admirer plus de 33 000 tombes de parisiens honorés de partager leur dernière demeure avec ces célébrités.

Et aujourd’hui ce sont bien près de 70 000 sépultures auxquelles plus de 3 millions de visiteurs du monde entier viennent rendre hommage.

Opération marketing réussie donc, mais comment être sûr qu’il ne s’agissait pas seulement d’un coup de com’ ?

Les restes de Molière et La Fontaine sont-ils vraiment là ?

La tombe de Jean de la Fontaine au Père Lachaise à Paris

La mort embarrassante de Molière :

                                                                                                                                                                          A l’époque de Jean-Baptiste Poquelin dit Molière, les comédiens sont excommuniés d’office et n’ont le droit à une sépulture et à une cérémonie que s’ils renoncent à leur profession, par écrit ou sur leur lit de mort.

Dans ses derniers souffles, après s’être écroulé sur scène et avoir été transporté chez lui, notre dramaturge national aurait demandé à recevoir les derniers sacrements.

Malheureusement deux prêtres ont refusé de venir… et le troisième est arrivé trop tard !

Molière n’a donc pas le droit à une sépulture religieuse. Mais il s’agit quand même d’un personnage réputé, notamment à la cour…

La situation embarrasse le clergé. Finalement un compromis est trouvé par le curé de St Eustache : il sera enterré mais de nuit et sans cérémonie, au cimetière St Joseph, qui se situait entre les actuelles rues du Croissant, rue Montmartre et rue Saint-Joseph.

Aucune inscription ne figure alors sur sa pierre tombale, en revanche sur le registre des enterrements le curé inscrit « Jean-Baptiste Poquelin, tapissier » (le titre officiel de Molière à la cour du roi).

La tombe de Molière à Paris

Une erreur qui coûtera cher à La Fontaine :

                                                                                                                                                                                 Quelques années plus tard c’est au tour de Jean de la Fontaine de trépasser.

Contrairement à Molière, il avait annoncé deux ans avant de mourir qu’il renonçait à la publication de ses contes et fables, il s’était dès lors soumis à des exercices religieux quotidiens, et il aurait même promis de n’écrire que des ouvrages pieux !

Lorsqu’il décède en 1695 de la tuberculose, il est enterré au cimetière des Innocents, qui dépend de sa paroisse : St Eustache.

Cependant, une trentaine d’années plus tard, un abbé, nommé Olivet, raconte que le fabuliste est enterré près de Molière au cimetière Saint-Joseph.

Une erreur qui lui coûtera cher lorsque presque cent ans plus tard, en pleine Révolution, on souhaite honorer les grands Hommes.

Car personne n’est sûr de l’endroit exact où se trouve le corps de Molière et l’on pense à tort que La Fontaine est près de lui …

C’est ainsi que le 6 juillet 1792 on exhume quand même leurs restes présumés pour les transporter au Musée des Monuments français.

Ce dernier fermera ses portes en 1816, donnant l’occasion parfaite au cimetière du Père Lachaise de redorer sa réputation en récupérant les deux célébrités nationales.

 

Jean de la Fontaine

L’ombre d’un doute pèse encore sur ces restes : 

                                                                                                                                                                    S’il y a une chance infime que Molière ait bien été exhumé à St Joseph, en revanche on sait aujourd’hui grâce aux registres que La Fontaine avait bien été enterré au cimetière des Innocents … donc qu’il n’était pas aux côtés de Molière et qu’il ne peut pas être au Père Lachaise !

Il se trouve probablement quelque part dans les catacombes…

La vérité la plus probable sur Molière est qu’il aurait eu deux sépultures : une officielle « près que la croix centrale » du cimetière St Joseph, pour répondre à la demande appuyée du roi Louis XIV de donner une sépulture à celui qui l’avait tant diverti.

Mais, il aurait été immédiatement retiré pour être enterré dans un coin plus officieux du cimetière, avec les suicidés et morts-nés.

Il aurait ensuite disparu en même temps que le cimetière St Joseph, et serait donc lui aussi dans les catacombes !

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Histoire de l’Hôtel du Nord à paris 10ème ...

Publié à 23:46 par yvonne92110 Tags : paris adresses mytiques hotel du nord paris 10ème
Histoire de l’Hôtel du Nord à paris 10ème ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                              Histoire de l’Hôtel du Nord à paris 10ème ...

 

 
 Sur les bords du Canal Saint-Martin, un véritable emblème qui semble résister au temps et imposer sa sobriété apparente, à deux pas des boutiques colorées et des concept-stores du quartier. Cela fait plus de 100 ans que l’Hôtel du Nord offre sa façade blanche et ses lettres en mosaïque bleue aux passants, 100 ans qu’il garde secrètes les petites et grandes histoires qui s’y sont déroulées. À part bien sûr celles de Madame Raymonde, Mr Edmond, Renée et Prosper l’éclusier…
                                                                                                                                                                                              Un hôtel rendu célèbre par le cinéma :                                                                                                                                                                                                                           

Ces noms vous paraissent familiers ? C’est normal, ce sont ceux des personnages principaux du film de Marcel Carné, L’Hôtel du Nord. En 1938, l’hôtel est la vedette du nouveau long-métrage de ce réalisateur à succès, au même titre qu’Arletty ou Louis Jouvet qui figurent au casting. Pourtant, c’est en studio, où l’intérieur de l’établissement ainsi qu’une partie du canal Saint-Martin ont été recréés, que la grande partie des scènes ont été tournées. Mais il n’en reste que la façade si caractéristique, elle, a marqué les esprits à jamais !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     L’idée de raconter le destin croisé des clients de cet hôtel n’est pas de Marcel Carné : le cinéaste s’est contenté d’adapter sur écran le roman d’Eugène Dabit, le fils des propriétaires, très inspiré par l’atmosphère populaire du lieu.                                                                                                                                    

Une célèbre scène du film Hôtel du Nord

Une célèbre scène du film Hôtel du Nord.

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                                                                                                                                                                                                                          Un hôtel très « titi parisien » :                                                                                                                                                                

Au tout début du XXème siècle, l’établissement de quarante chambres attirait une clientèle populaire d’éclusiers, d’ouvriers et de chômeurs qui louaient leurs chambres à la semaine. Peu de temps après son ouverture en 1912, son parquet était déjà délabré, mais la chaleureuse salle de restaurant et la courette avec écurie et poulailler lui apportent un charme pittoresque.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Témoin de toutes les pérégrinations de l’hôtel, Eugène Dabit eut le temps de tout consigner dans un livre, mais pas de voir ce dernier adapté à l’écran. Il mourut trop tôt d’une scarlatine, en 1936.                                                                                                                                                                                                                                              

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                                                                                                                                                                                                                    Une façade classée Monument historique  :                                                                                                                                                                               

Le succès du film fut immédiat, mais malgré l’engouement des Français pour ce petit hôtel pittoresque, l’établissement se dégrada davantage. Grâce au support de quelques passionnés de Paris et de cinéma, il échappa plusieurs fois à la destruction avant de voir sa célèbre façade  classée au titre des monuments historiques en 1989.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Pour les repreneurs, impossible donc de toucher à ce qui est aujourd’hui un lieu de pélerinage pour de nombreux nostalgiques. James Arch, l’ancien assistant de Marcel Carné qui transforma le lieu en restaurant en 1995 conserva l’enseigne « Hôtel du Nord » malgré le changement d’activité.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Et aujourd’hui encore, malgré l’arrivée d’un nouveau propriétaire et l’aménagement de logements aux étages, la façade reste inchangée.

                                                                                                                                                                       

                                                 Aujourd’hui, un restaurant élégant :                                                                                                                                                                                                                                                                   

Au rez-de-chaussée, le restaurant actuel, beaucoup plus accueillant que l’Hôtel du Nord du début des années 30, ne trahit en rien l’histoire hors norme du lieu . Dans la partie bistrot, les dalles de ciment noir et blanc et le comptoir en zinc ont été préservés.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Dans l’espace restaurant, de nombreux livres sur le cinéma, consultables sur place, jonchent les étagères de la bibliothèque, tandis que des affiches de films et des photos vintage d’acteurs habillent les murs  …                                                                                                                                                                                                                                                                                                           

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102, Quai de Jemmapes, 75010
Métro : Jacques Bonsergent (ligne 5)

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