Thèmes

à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images bon mercredi les ptits bouts

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Recherchez aussi :

Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

ACTUALITES

Attentat de St Pétersbourg ... 14 morts, 49 blessés !

Publié à 09:51 par yvonne92110 Tags : actualités attentat st pétersbourg 14morts 49blessés
Attentat de St Pétersbourg  ...  14 morts, 49 blessés !

 

(Le président russe Vladimir Poutine a déposé lundi soir un bouquet de fleurs rouges devant la station où s’est immobilisée la rame visée.)

                                                                                                                                                                                                                                                           Saint-Pétersbourg en deuil au lendemain d’un attentat dans le métro ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Saint-Pétersbourg est en deuil et ses drapeaux en berne, ce mardi, au lendemain d’un attentat meurtrier dans le métro et d’un second déjoué de justesse dans une station du centre historique et touristique de la deuxième ville de Russie.

Le dernier bilan de ce qui est sans aucun doute un attentat, perpétré lundi dans le métro de Saint-Pétersbourg, les services antiterroristes font état de 11 morts et 45 blessés hospitalisés.

Le président Vladimir Poutine a déposé dans la soirée un bouquet de fleurs rouges devant la station où s’est immobilisée la rame visée. Il avait auparavant dirigé une réunion avec des représentants des services de renseignement du FSB, des secouristes et du ministère de l’Intérieur.

« Tous les signes d’un attentat »

« Le président est informé quasiment en temps réel par les services spéciaux et d’enquête », a assuré son porte-parole Dmitri Peskov, cité par les agences russes. Il a ajouté que le drame présentait « tous les signes d’un attentat ».

Cet attentat, qui n’a pas été revendiqué, intervient alors que l’organisation État islamique (EI) avait appelé à frapper la Russie après son intervention en soutien aux forces de Bachar al-Assad en Syrie, fin septembre 2015.

Selon le FSB, une explosion a eu lieu à 14 h 40 (12 h 40 en France) dans une rame circulant entre deux stations d’une ligne fréquentée qui traverse le centre-ville, Sennaïa Plochtchad et Tekhnologuitcheski Institout.

Les images diffusées sur les réseaux sociaux et par les télévisions russes montraient une rame de métro soufflée, et de nombreux voyageurs tentant de sortir des victimes des décombres.

Une seconde bombe désamorcée :

« L’enquête a été ouverte pour + acte terroriste + », a indiqué le Comité d’enquête russe dans un communiqué, précisant que « toutes les autres pistes » seraient examinées.

Peu après, une bombe artisanale a été « découverte et désamorcée à temps » dans une autre station du centre-ville, Plochtchad Vosstaniïa.

Le pays n’avait pas été aussi durement touché depuis l’explosion en plein vol le 31 octobre 2015 d’un vol reliant l’Égypte à la Russie avec 224 personnes à bord, un attentat revendiqué par l’EI.

Depuis, plusieurs attaques ont touché les instables républiques russes du Caucase et les services de sécurité russes avaient annoncé à plusieurs reprises avoir démantelé des cellules jihadistes s’apprêtant à frapper Moscou et Saint-Pétersbourg.

 

« L’explosion a eu lieu entre deux stations mais le conducteur a pris la bonne décision de continuer sa route jusqu’à la station, ce qui a permis de procéder rapidement à l’évacuation et à l’aide aux victimes », a déclaré dans un communiqué le Comité d’enquête.        

 

nb.  Dernière minute :  un kamikaze identifié, le bilan monte à 14 morts et 49 blessés ...

 

Au lendemain de l'attentat qui a fait 14 morts dans le métro de la ville, les drapeaux sont en berne dès ce mardi. Un deuil national de trois jours a été décrété.  (source AFP)

 

 

Royaume-Uni. Jour J pour le déclenchement du Brexit !

Publié à 13:30 par yvonne92110 Tags : actualités Royaume Uni Jour J déclenchement Brexit
Royaume-Uni. Jour J pour le déclenchement du Brexit !

                                                                                                                                                                                                                                                                                               Royaume-Uni :  "Jour J ", pour le déclenchement du Brexit ...                                                                                                                                                                                                                                                                                                           

.Ouest-France, toute l’actualité locale et internationale                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         La Première ministre britannique, Theresa May, déclenche ce mercredi la procédure de divorce avec l’Union européenne, précipitant le Royaume-Uni dans l’inconnu et amorçant deux années de négociations susceptibles de mettre à l’épreuve le bloc européen.

Neuf mois après le vote des Britanniques, May va officialiser la sortie de l’Union européenne, rejointe en 1973 par le Royaume-Uni, dans une lettre adressée au président du Conseil européen, Donald Tusk.

La Première ministre, à l’origine favorable au maintien dans le bloc, disposera de deux ans à compter de mercredi pour parvenir à un accord sur les termes de la séparation, soit d’ici fin mars 2019. « Maintenant que la décision de quitter l’UE a été prise, il est temps de se rassembler », devrait-elle déclarer mercredi devant les députés britanniques, selon des extraits de discours publiés par son cabinet.

« Quand je serai assise à la table des négociations dans les mois à venir, je représenterai toutes les personnes du Royaume-Uni tout entier - les jeunes et les vieux, les riches et les pauvres, les grandes villes, les petites villes, la campagne et tous les villages et hameaux au milieu », dira-t-elle selon ces extraits.

Assurer l’unité du royaume :

A la veille du Brexit, la Première ministre doit travailler sur deux fronts : assurer l’unité du royaume face aux demandes d’indépendance renouvelées de l’Écosse tout en menant avec les 27 des discussions complexes sur tout l’éventail des sujets européens, allant de la finance au commerce en passant par la sécurité et l’agriculture.

Ces négociations sur le Brexit peuvent mettre en péril une économie de 2 600 milliards de livres (3 000 milliards d’euros) et fragiliser la place de la City sur l’échiquier financier mondial. Les dirigeants européens assurent qu’ils ne souhaitent pas punir Londres. Mais sur fond de recrudescence des mouvements nationalistes, ils peuvent difficilement accorder au Royaume-Uni des termes généreux, de crainte de voir d’autres pays lui emboîter le pas.

Une lettre officielle signée mardi par Theresa May doit être remise de la main à la main à Donald Tusk mercredi à Bruxelles par Tim Barrow, représentant permanent de la Grande-Bretagne auprès de l’UE. Theresa May informera le parlement britannique de l’envoi de cette lettre. Donald Tusk devrait pour sa part donner une conférence de presse après l’avoir reçue.

Selon des responsables européens, la lettre cherchera à lancer les négociations sur une note positive tout en récapitulant les douze objectifs de divorce énoncés le 17 janvier par la Première ministre. Dans les 48 heures suivant sa réception, Donald Tusk enverra aux 27 États membres de l’UE un projet de directives pour les négociations. Des ambassadeurs des 27 se réuniront ensuite à Bruxelles pour discuter de ces lignes directrices.

Une ère d’incertitudes :

Rien ne permet aujourd’hui d’esquisser les contours des négociations à venir. Theresa May a déclaré qu’elle chercherait à obtenir un partenariat équitable avec l’UE mais elle a aussi spécifié que le Royaume-Uni se retirerait du marché unique et de ses 500 millions de consommateurs.

Dans les douze objectifs fixés par Theresa May figurent la fin de la compétence de la Cour européenne de justice sur le Royaume-Uni, la sortie de l’Union douanière - qui fixe pour les États membres les taxes à l’importation - et la maîtrise de l’immigration en provenance d’Europe - qui heurte de front le principe européen de la liberté de circulation des personnes.

À Bruxelles, on doute toutefois qu’un délai de deux ans suffise pour forger de nouveaux accords commerciaux avec la Grande-Bretagne. De nombreux doutes entourent toujours le devenir de larges pans de l’économie britannique. Les exportateurs se demandent s’ils pourront accéder au marché unique sans barrière douanière et le secteur financier ne sait pas s’il aura encore le droit de proposer ses services sur le sol de l’Union européenne.

« Tâche ardue »  :

La question du sort des citoyens européens résidant en Grande-Bretagne et de celui des Britanniques résidant dans l’Union européenne n’a pas non plus été tranchée. Devant ces incertitudes, plusieurs grandes banques, Goldman Sachs, par exemple, ont décidé de transférer certaines de leurs activités hors du Royaume-Uni et le déclenchement de l’article 50 pourrait leur fournir une occasion d’informer les investisseurs sur le sujet.

Au niveau intérieur, Theresa May s’efforce de contenir les divisions apparues lors du vote du 23 juin dernier sur la sortie de l’Union européenne, qui menacent de fragmenter le pays. L’Angleterre et le Pays de Galles ont voté en majorité pour le Brexit, l’Écosse et l’Irlande du Nord contre.

Le Parlement écossais a autorisé mardi la Première ministre écossaise à organiser un nouveau référendum sur l’indépendance, entre l’automne 2018 et le printemps 2019, une fois les conditions du Brexit connues. Londres a exclu une consultation à une telle date.

En Irlande du Nord, les nationalistes du Sinn Féin ont réclamé un scrutin portant sur une réunification de l’Irlande. « La tâche de May est tellement ardue - maintenir le Royaume-Uni tout en sortant de l’Union - que je ne pense pas que beaucoup voudraient être à sa place », note un diplomate non-européen.

Tignes: une avalanche fait au moins quatre morts !

Publié à 13:14 par yvonne92110 Tags : actualités avalanche à Tignes au moins quatre morts
Tignes: une avalanche fait au moins quatre morts !

Avalanche à Tignes : 9 personnes emportées, au moins quatre morts ...

 

 

Tignes : une avalanche, dans un secteur hors-piste, a fait au moins quatre morts, ont indiqué les secours.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Une avalanche dans un secteur hors-piste de Tignes (Savoie) a fait au moins quatre morts ce lundi, ont indiqué les secours, qui révisent ainsi à la hausse un premier bilan qui faisait état de deux décès.

Au total, neuf personnes ont été emportées dans cette avalanche large de 400 mètres qui s'est produite en pleines vacances scolaires. Peu avant 13H00, les opérations de secours se poursuivaient et il n'était pas possible de savoir si toutes les victimes avaient pu être dégagées.

Attaque terroriste au Carrousel du Louvre ...

Publié à 14:14 par yvonne92110 Tags : actualités attaque terroriste carrousel du louvre
Attaque terroriste au Carrousel du Louvre ...

 

L'attaque de militaires au Carrousel du Louvre "à caractère terroriste" ...  

 
Le militaire agressé a riposté et grièvement blessé l'attaquant au ventre. L'assaillant a proféré des menaces et a crié "Allah akbar !"

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Un Un homme a tenté d'agresser avec une machette, et peut-être une autre arme, un militaire de l'opération Sentinelle, qui a riposté en ouvrant le feu, vendredi matin au Carrousel du Louvre à Paris. « L'agresseur a proféré des menaces, notamment Allah akbar ! » a fait savoir le préfet de police de Paris, Michel Cadot. C'est « visiblement » une « attaque à caractère terroriste », a estimé le Premier ministre, Bernard Cazeneuve. En déplacement en Bretagne, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est immédiatement retourné à Paris.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      L'incident est intervenu dans la galerie du Carrousel du Louvre, dans laquelle environ 250 personnes sont actuellement confinées et devaient être évacuées progressivement,  de source policière.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                L'agresseur a été grièvement blessé par cinq balles, notamment au ventre. Il a été pris en charge par les pompiers. Selon BFM TV, son pronostic vital est engagé. Le militaire a été légèrement blessé au cuir chevelu. Après vérification des deux sacs que transportait l'individu, il a été constaté qu'il n'y avait « pas d'explosifs et pas de menace », a précisé le préfet Cadot. Une deuxième personne a été interpelée. Son implication sera déterminée par le procureur de la République. La section antiterroriste du parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance du chef de tentatives d'assassinats aggravées en relation avec une entreprise terroriste. Les investigations sont confiées à la section antiterroriste de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris (SAT) et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Dans l'après-midi, de nombreux responsables politiques ont sévèrement condamné cette attaque et ont salué la réactivité des autorités. François Hollande a « salué le courage et la détermination » des militaires « face à l'agression sauvage » commise vendredi aux abords du musée du Louvre. « Je tiens à saluer le sang-froid et la réaction des forces de sécurité qui ont mis l'agresseur hors d'état de nuire », a également déclaré le dirigeant des Républicains, François Fillon, dans un communiqué.        

Attentat contre une mosquée : le Canada choqué !

Publié à 11:31 par yvonne92110 Tags : actualités 6morts attentat mosquée canada choqué
Attentat contre une mosquée : le Canada choqué !

Attentat contre une mosquée : le Canada choqué ...

                                                  Outre les six morts, huit personnes ont également été blessées, dont cinq se trouvaient dans un état grave.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Un étudiant de 27 ans a été arrêté et inculpé pour l'attaque contre une mosquée qui a fait 6 morts et a plongé le pays dans l'effroi.                               

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      L'enquête après le massacre qui a fait six morts dans une mosquée à Québec a permis l'arrestation d'un étudiant canadien connu pour avoir des idées nationalistes. Alexandre Bissonnette, 27 ans, étudiant en sciences politiques à l'université Laval, voisine de la mosquée, a été interpellé peu après la tuerie, une des pires attaques contre la communauté musulmane jamais perpétrée dans un pays occidental. Il est accusé d'avoir tué par balle six fidèles dans le Centre Islamique de Québec. La fusillade a également fait huit blessés, dont cinq étaient lundi dans un état grave.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Le jeune homme est sorti menotté d'une voiture de police avant d'être présenté à un juge lundi 30 janvier dans la soirée. « Le directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a porté 11 chefs d'accusation à l'encontre d'Alexandre Bissonnette », a déclaré Jean-Pascal Boucher, porte-parole du DPCP. Les 11 chefs d'inculpation correspondent aux « meurtres avec préméditation » des six fidèles abattus pendant la prière et aux « tentatives de meurtre avec arme à feu » pour les cinq blessés graves. Avec 80 policiers sur place, l'enquête se poursuit afin de rassembler des éléments pouvant mener dans les prochains jours à une inculpation supplémentaire pour « terrorisme » et atteinte à la sécurité nationale, a précisé la Gendarmerie royale du Canada (GRC, police fédérale).

Un suspect aux idées nationalistes :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Quelles sont les raisons qui ont poussé ce jeune homme à tirer sur des fidèles dans un lieu de culte situé à moins d'un kilomètre de son domicile dans le quartier Sainte-Foy à Québec ? Ses idées nationalistes et le partage sur ses réseaux sociaux, fermés depuis, des propos du président américain Donald Trump donnent un premier éclairage sur un geste condamné unanimement dans le monde. Si la police avait d'abord fait état de deux suspects, la progression de l'enquête a permis de disculper un autre étudiant, d'origine marocaine, interpellé alors qu'il sortait de la mosquée juste après la fusillade.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             La communauté musulmane de Québec est effondrée. « C'est terrible pour la communauté, c'est terrible pour le Québec, c'est terrible pour le vivre-ensemble », a déclaré à l'Agence France-Presse Mohamed Ali Saïdane, venu participer à un rassemblement des élus et des représentants des associations de musulmans à l'hôtel de ville.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Les six personnes tuées étaient toutes des Canadiens binationaux, a indiqué Mohamed Labidi, vice-président du Centre culturel islamique de Québec. Un Marocain, deux Algériens, un Tunisien et deux Guinéens ont perdu la vie, a-t-on appris de sources officielles. Ils étaient âgés de 39 à 60 ans, a annoncé le médecin légiste. Le recteur de l'université Laval, Denis Brière, a déploré la mort de Khaled Belkacemi, professeur à la faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation (FSAA). Originaire d'Algérie, Khaled Belkacemi « était un homme très cultivé, passionné et engagé au sein de la faculté », a déclaré le doyen de la FSAA, Jean-Claude Dufour.

Le message de tolérance de Justin Trudeau :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Quand l'alerte a été donnée, des effectifs policiers ont été rapidement déployés autour du petit bâtiment abritant le lieu de culte, au cœur du quartier résidentiel Sainte-Foy, à une dizaine de kilomètres à l'ouest du centre historique de la ville de Québec. À l'extérieur de la mosquée, les policiers ont interpellé Mohamed Belkhadir, qui a expliqué au journal La Presse avoir fui par peur. Il a été remis en liberté plus tard, considéré par les enquêteurs comme un simple témoin. Environ une demi-heure après la fusillade, un homme a appelé la police en disant qu'il était « impliqué dans l'incident » et voulait se rendre, a expliqué Martin Plante, officier de la GRC.

Ce drame vient jeter une ombre sur l'image d'un Canada inclusif qui a accueilli quelque 40 000 réfugiés syriens en un peu plus d'un an. Sur les 36 millions d'habitants au Canada, environ 1,1 million sont de confession musulmane. « Nous n'allons pas répondre à la violence par la violence. Face à la peur et à la haine, nous répondrons par l'amour et la compassion », a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau devant la Chambre des députés. Le chef du gouvernement et son épouse Sophie Grégoire ont assisté à une veillée en face de la mosquée Sainte-Foy, entourés de plusieurs responsables politiques et de représentants de toutes les confessions. Cette veillée a rassemble quelques milliers de personnes par un froid glacial, avec des bougies, des fleurs et des messages de condoléances.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        D'autres veillées étaient organisées dans plusieurs villes canadiennes comme à Montréal et Toronto.

Miss Kenya, finaliste : "pique à Trump" ...

Publié à 14:50 par yvonne92110 Tags : actualités miss kenya finaliste pique à trump
Miss Kenya, finaliste :   "pique à Trump"  ...

Pique à Trump ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Miss Kenya -  qui était également parmi les six finalistes - a de son côté affirmé que Donald Trump, élu à la Maison-Blanche, après avoir longtemps été le patron du concours de Miss Univers, «n'avait peut-être pas été le premier choix de nombreuses personnes» et qu'il divisait les États-Unis.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      M. Trump a déclenché une vague de protestations aux États-Unis et à l'étranger en décrétant pour plusieurs mois des mesures de limitation de l'immigration.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Mary Esther Were, 27 ans, a en même temps rendu hommage à Barack Obama: «Il me semble qu'il a su unifier toute la nation quand il a pris le pouvoir».

Donald Trump devient le 45ème président des États-Unis !

Publié à 14:34 par yvonne92110 Tags : actualités trump devient 45ème président etats unis
Donald Trump devient le 45ème président des États-Unis !

 

 Donald Trump devient le 45e président des États-Unis !

 

 

 

Donald Trump devient aujourd'hui le 45ème président des États-Unis...

 

                                                                

 

Donald J. Trump prête serment vendredi sur les marches du Capitole, au coeur de Washington, pour succéder à Barack Obama et devenir le 45ème président des États-Unis, incroyable épilogue d'une campagne anti-élites qui a pris tout le monde à revers.

 

A 70 ans, sans la moindre expérience politique, diplomatique ou militaire, le magnat de l'immobilier s'apprête à prendre les rênes de la première puissance mondiale sous le regard inquiet des alliés des États-Unis, échaudés par ses déclarations tonitruantes, parfois contradictoires.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Après une nuit à Blair House, résidence réservée aux hôtes de marque située en face de la Maison-Blanche, Donald Trump et son épouse Melania devaient partager un thé avec Barack et Michelle Obama avant de se rendre ensemble au Capitole.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Des centaines de milliers d'Américains, partisans enthousiastes et farouches opposants, sont attendus sur les larges pelouses du National Mall qui lui fait face. Trois de ses prédécesseurs - Jimmy Carter, George W. Bush, Bill Clinton - seront présents, ainsi qu'Hillary Clinton, son adversaire malheureuse.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            « Je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des États-Unis, et, dans toute la mesure de mes moyens, de sauvegarder, protéger et défendre la Constitution des États-Unis » : peu avant midi, l'homme d'affaires prêtera serment, comme l'ont fait avant lui George Washington, Franklin D. Roosevelt ou encore John F. Kennedy.

 

Il a choisi pour ce faire deux bibles : la sienne, qui lui a été offerte par sa mère en 1955, et celle d'Abraham Lincoln, sauveur de l'Union, également utilisée par Barack Obama il y a quatre ans.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Après le temps de la campagne (17 mois) et celui de la transition (deux mois et demi), voici venu celui de l'exercice du pouvoir (quatre ans) pour cet ancien animateur d'une émission de téléréalité qui a promis de « rendre sa grandeur à l'Amérique » mais fait face à un pays fracturé, tant son style et ses propos, volontiers provocateurs, divisent.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               « Nous allons rassembler notre pays », a-t-il promis jeudi.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Des manifestations hostiles se sont déroulées jeudi soir à New York, avec des célébrités comme Robert de Niro accompagnant des milliers d'habitants, et vendredi matin à Manille devant l'ambassade américaine avec des centaines de Philippins. D'autres étaient attendues vendredi à Prague, Bruxelles, Berlin ou Londres.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Niveau d'impopularité record ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Dans une journée chargée en rituels dont l'Amérique est friande, le 45ème président de l'histoire américaine prononcera un discours d'investiture moins en forme de programme que de « vision », assure son entourage.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            La cérémonie, qui sera suivie en direct à travers le monde, aura un goût de revanche pour l'homme d'affaires à la coiffure étonnante dont l'annonce de candidature avait été accueillie par des ricanements, chez les républicains comme chez les démocrates.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Son équipe annonce pour le début de la semaine prochaine une série de décrets visant à défaire une partie du bilan de son prédécesseur démocrate (climat, immigration...) et à ébaucher le sien. Il pourrait en signer quelques-uns dès vendredi.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               La tâche s'annonce ardue pour l'auteur du livre à succès The Art of the Deal qui a promis, avec un sens de la formule qui enchante ses partisans et consterne ses détracteurs, d'être « le plus grand créateur d'emplois que Dieu ait jamais créé ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           La constitution de ses équipes a été difficile tant la victoire a pris le camp républicain par surprise. Du fonctionnement quotidien de la Maison-Blanche, énorme administration, aux interactions avec les autres agences, les premières semaines pourraient être chaotiques.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Et jamais depuis 40 ans un président américain n'avait pris le pouvoir avec un niveau d'impopularité aussi élevé.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Par ailleurs, selon une étude du Pew Research Center publiée jeudi, 86 % des Américains jugent que le pays est plus politiquement divisé que par le passé (ce chiffre était de 46 % lorsque Barack Obama est arrivé au pouvoir en 2009).         

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Grâce à Twitter, le septuagénaire continue de régler quotidiennement ses comptes avec ceux qui ont émis des critiques à son égard, de John Lewis, figure du mouvement des droits civiques, à l'actrice Meryl Streep, accusée d'être le « larbin » d'Hillary Clinton.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               « Il semble vouloir se battre contre tous les moulins à vent de la terre plutôt que de se concentrer sur le fait d'endosser le poste le plus important au monde », a résumé d'une formule assassine le sénateur républicain John McCain, l'une des rares voix dissidentes au sein du Grand Old Party.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Résultat, l'opposition démocrate fourbit ses armes, et des dizaines d'élus boycotteront la cérémonie, tandis que des manifestations sont également prévues vendredi et samedi.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Sur la scène internationale, le bouillant promoteur immobilier a déjà décoché ses flèches à l'encontre de la Chine, de l'OTAN ou encore de la chancelière allemande Angela Merkel.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Or c'est sur ce front que son mandat à venir suscite les plus grandes interrogations. Les dirigeants de la planète s'interrogent sur la valeur exacte à accorder à ses déclarations quand les responsables qu'il a nommés - à la tête du département d'État ou du Pentagone - prennent des positions apparemment inverses, comme sur la Russie de Vladimir Poutine ou l'accord nucléaire iranien.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Juste après la cérémonie, Barack Obama, 55 ans, s'envolera directement pour la Californie, pour ses premières vacances en famille d'ex-président.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Après huit années au pouvoir, le président démocrate qui a surmonté une crise économique et financière qui menaçait de tout emporter sur son passage a indiqué qu'il entendait rester à l'écart de la « mêlée » pour laisser son successeur gouverner.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Mais il a aussi promis, lors de son ultime conférence de presse mercredi, de sortir du bois si « les valeurs fondamentales » de l'Amérique, de l'immigration à la liberté d'expression, étaient menacées.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               (source : ( source : Agence France-Presse Washington) 
 

La famille Obama quitte la Maison Blanche !

Publié à 10:08 par yvonne92110 Tags : acualités famille obama quitte la maison blanche

La Célèbre Forêt de Sherwood réellement menacée !

Publié à 14:34 par yvonne92110 Tags : actualités la Foret de Sherwood réellement menacée
La Célèbre Forêt de Sherwood réellement menacée !

La Célèbre Forêt de Sherwood réellement menacée 

par l’exploitation du Gaz de Schiste  ...                                                                                                                                                                                                                                                        

                                                                                                                                                                                                                                                        (Photo Disney)
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     En Grande-Bretagne, la forêt de Sherwood, rendue célèbre par « Robin des bois », est menacée par une multinationale qui veut y extraire du gaz de schiste. Des opposants se mobilisent et une pétition en ligne a déjà récolté près de 50.000 signatures.

Vous avez toutes et tous déjà entendu parler de Sherwood. Cette forêt située dans le Comté de Nottingham est associée depuis des centaines d’années à Robin de bois. Elle est considérée comme le repère de ce personnage légendaire qui vole les riches pour donner aux pauvres.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       

(Le repère de Robin des Bois)

                                                                                                                                                                                     Vous le ne saviez peut-être pas, mais cette forêt des Midlands est bien réelle. Elle s’étend sur 423 hectares et c’est là que se trouve le Major Oak, un gigantesque chêne qui aurait près de 1.000 ans et qui aurait servi de cachette à Robin de bois. 

                                                                                                                                                                                                                                      

Mais aujourd’hui, ce lieu emblématique risque de disparaitre. En effet, la multinationale suisse Ineos, spécialisée dans l’industrie pétrochimique, serait en train de chercher à prospecter les sols en vue d’éventuellement extraire du gaz de schiste en utilisant la fracturation hydraulique.   

                                                                        

Cartes et documents à l’appui, l’ONG Friends of the Earth (Les Amis de la Terre) a dévoilé cette information le 1er  janvier.

                                                                                                                                                                                                                                                    Il faut sauver la Forêt de Sherwood :

                                                                                                                                                                                                                                                             L’organisation a mis en ligne une pétition adressée à la Secrétaire d’Etat chargée de l’Environnement et intitulée : « Sauvez la forêt de Sherwood de la fracturation ».

L’organisation demande aux responsables politiques de « ne pas permettre la fracturation hydraulique or l’exploration de gaz de schiste dans la forêt de Sherwood, ou n’importe quelle des forêts publiques. »

Estimant qu’il s’agit là  d’ « une étape dangereuse vers la fracturation dans nos forêts et une menace pour notre patrimoine culturel et pour le climat. ».

 

Une manifestation est également prévue aux abords de la forêt, ce samedi 7 janvier.

 

F. Hollande accorde une grâce totale à J. Sauvage !

Publié à 10:39 par yvonne92110 Tags : actualités grace totale de f hollande à j sauvage
F. Hollande accorde une grâce totale à J. Sauvage !

Peu avant 18 h 30, une voiture est sortie de la prison de Réau (Seine-et-Marne) où Jacqueline Sauvage était détenue pour le meurtre de son mari violent.

 

Le véhicule ne s'est pas arrêté devant les nombreux journalistes présents mais une source policière a confirmé que Jacqueline Sauvage, 69 ans, se trouvait à son bord, en compagnie de trois membres de sa famille.

Avant Jacqueline Sauvage, le capitaine Dreyfus, Philippe Pétain ou encore Omar Raddad ont été graciés.

                                                                                                                                                                 La libération surprise de Jacqueline Sauvage résonne comme un véritable symbole pour les victimes de violences conjugales.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   

Condamnée à dix ans de prison pour avoir tiré dans le dos de son mari en 2012 après 47 années de violence inouïe, Jacqueline Sauvage est à ce jour « immédiatement libérable ».

 


Après de longues années d’incertitudes et de débats mouvementés sur la scène médiatique concernant l’application – ou non - de la légitime défense dans l’affaire, le Président de la République François Hollande a décidé d’accorder une grâce totale à celle qui incarne aujourd’hui un véritable symbole !

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               "J'ai décidé d'accorder à Jacqueline Sauvage une remise gracieuse du reliquat de sa peine. Cette grâce met fin immédiatement à sa détention".


 

L’Élysée avait initialement transmis la demande de libération au Ministère de la Justice qui devait trancher avant de laisser le Président se prononcer sur le sort de l’accusée. « Le président de la République a estimé que la place de Mme Sauvage n'était plus aujourd'hui en prison, mais auprès de sa famille » finit par affirmer le Palais Présidentiel. 

L’affaire avait particulièrement touché les nombreuses victimes de violences conjugales dans les quatre coins de l’hexagone. Le 10 décembre dernier, de nombreuses personnes s’étaient même retrouvées à Paris, place du Trocadéro, afin de réclamer la grâce totale de Jacqueline Sauvage.

Cette décision met fin à la détention de cette dernière qui pourra très bientôt rattraper le temps perdu auprès des siens, mais aussi et surtout se reconstruire. Il s'agit également d'un message d'espoir destiné à toutes les victimes des coups de leurs conjoints, trop souvent oubliées.