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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Les sacs plastique fins disparaissent des caisses des magasins.
Les sacs plastique fins distribués aux caisses des commerces sont interdits à partir de vendredi 1 juillet 2016, et doivent être remplacés par des sacs en papier, en tissu ou en plastique épais afin de lutter contre le gaspillage et la pollution.
Cette mesure, prévue dans la loi sur la transition énergétique d'août 2015, concerne les sacs d'épaisseur inférieure à 50 micromètres, sans considération de volume, gratuits ou payants.
Boulangeries, boucheries, pharmacies, drogueries, petites et grandes surfaces et marchés sont visés par l'interdiction. Son application était prévue au 1er janvier 2016 mais avait été repoussée par le gouvernement pour donner aux commerçants et aux industriels le temps de préparer la transition. Pollution majeure :Les sacs plastique fins, qui ne peuvent pas être réutilisés, sont à l'origine d'un gaspillage énorme (5 milliards d'exemplaires distribués en caisse chaque année en France) et mettent plusieurs centaines d'années à se dégrader. Pour ceux qui atterrissent dans la nature, ils sont une source de pollution, en particulier pour les océans: la faune marine et les oiseaux de mer les ingèrent.
Selon le ministère de l'Environnement, les estomacs de 94% des oiseaux de la mer du Nord contiennent du plastique et 86% des espèces de tortues marines. Fruits et légumes dans le collimateur :Depuis une dizaine d'années, la grande distribution a déjà quasiment éliminé les sacs fins distribués aux caisses, en les faisant payer et en proposant des sacs très solides également payants.
Au 1er janvier 2017, une deuxième interdiction entrera en vigueur: les sacs plastique fins utilisés au rayon des fruits et légumes. Chaque année, 12 milliards de ce type de sac sont consommés en France. Avec les même conséquences que les sacs distribués aux caisses. Virage vert :Le décret de mars 2016 autorise seulement des sacs "biosourcés" - composés d'un mélange de plastique et d'amidon de maïs ou de pomme de terre - et compostables par des particuliers. La teneur en matériaux biosourcés devra être de 30% à partir du 1er janvier 2017, puis 40% en 2018, 50% en 2020 et 60% en 2025.
Plusieurs industriels ont mis au point ce type de sac qui, sous réserve qu'ils soient compostés, se décomposent en eau et en CO2. Opportunité d'affaires :Les entreprises françaises, qui ne produisaient que 2,6 milliards de sacs plastique sur les 17 milliards distribués en caisse et aux rayons fruits et légumes, entendent bien tirer leur épingle du jeu dans ce nouveau cadre réglementaire. Sphère, Styl Pack, Limagrain, Barbier, Bagherra, La Française des plastiques notamment sont sur les rangs.
Le coût unitaire d'un sac sera de quelques centimes, comparé à environ 0,5 centime pour un sac en plastique fin dont 80% sont importés, en général d'Asie.
Selon le ministère de l'Environnement, "le développement de ces nouveaux plastiques biosourcés permettra de créer 3000 emplois sur le territoire national".
Turquie : 36 personnes tuées et 147 blessées dans un triple attentat-suicide à l'aéroport international Atatürk à Istanbul ...
"Selon les dernières informations, 36 personnes ont perdu la vie", a annoncé dans la nuit le Premier ministre Binali Yildirim, le visage grave, devant la presse sur les lieux de l'attaque, ajoutant que "les indices pointent Daech" (acronyme arabe de l'EI).
Mercredi, une dizaine d'heures après l'attentat, aucune précision n'avait été fournie sur le nombre ni les nationalités d'éventuels étrangers parmi les victimes ni sur la nationalité des assaillants.
Des photos et vidéos choc diffusées sur les réseaux sociaux ont montré une énorme boule de feu à l'entrée du terminal et des membres de la sécurité en train de faire évacuer des passagers qui hurlaient dans des couloirs, pris de panique.
Sur l'une des vidéos saisissantes, l'un des kamikazes apparaît au sol, blessé par un tir de policier, se tordant avant de déclencher sa ceinture d'explosifs.
Selon les autorités, des explosions ont d'abord eu lieu à l'entrée du terminal des vols internationaux vers 22H00 (19H00 GMT). Trois assaillants ont mitraillé des passagers ainsi que des policiers en faction, une fusillade a éclaté puis les kamikazes se sont fait sauter.
"Trois kamikazes ont mené une attaque", a indiqué Vasip Sahin, le gouverneur d'Istanbul, aux journalistes.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rapidement exhorté la communauté internationale à une "lutte commune" contre le terrorisme.
"Cette attaque, qui s'est déroulée pendant le mois du ramadan, montre que le terrorisme frappe sans considération de foi ni de valeurs", a dit le chef de l'Etat.
Le mode opératoire rappelle les attentats jihadistes ayant ensanglanté Paris en novembre (130 morts) et à Bruxelles (32 morts dans le métro et à l'aéroport) en mars.
L'aéroport de Bruxelles a tweeté ses condoléances: "Nos pensées aux victimes de l'attaque de @istanbulairport".
- Enorme boule de feu -
Le président français François Hollande a "condamné fermement" un "acte abominable" tout en appelant lui aussi à un renforcement de la coopération internationale en matière de lutte antiterrorisme.
A Washington, un porte-parole de la Maison Blanche a condamné ces attaques "abominables" tout en promettant le soutien des Etats-Unis à Ankara. Le sécrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a "condamné l'attaque terroriste" et a lui aussi réclamé une coopération internationale accrue.
Un grand mouvement de panique s'est emparé du terminal des vols internationaux lorsque deux violentes explosions suivies de coups de feu ont d'abord été entendues.
Un photographe de l'AFP a vu des corps recouverts de draps à l'aéroport, jonché de bagages abandonnés. Des centaines de policiers et pompiers étaient sur place.
"J'attendais mon vol pour Tokyo et soudain plein de gens se sont enfuis et je les ai suivis. J'ai entendu des coups de feu et c'était la panique", a expliqué à l'AFP une Japonaise, Yumi Koyi.
Oftah Mohammed Abdullah, une Somalienne, raconte à l'AFP avoir vu l'un des assaillants: "Il avait une écharpe rose, une veste courte et avait caché un fusil (dessous). Il l'a sorti et a commencé à tirer sur les gens. Il marchait comme un prophète".
Les télévisions montraient en boucle des scènes de pagaille devant un grand hôpital proche de l'aéroport, Bakirkoy, submergé par des proches cherchant à avoir des nouvelles de voyageurs et où s'est rendu dans la nuit M. Yildirim, sous haute escorte.
Le Premier ministre est arrivé d'Ankara à l'aéroport d'Atatürk quelques heures seulement après le triple attentat.
Tous les vols ont été suspendus au départ d'Atatürk, le plus grand aéroport de Turquie et le 11e dans le monde, avec ses 60 millions de passagers en 2015.
Puis le trafic aérien a pu reprendre à partir de 03H00 (00H00 GMT) mercredi, selon M. Yildirim.
Sur les réseaux sociaux, les internautes ont dénoncé la proximité présumée du régime islamo-conservateur du président Erdogan avec l'EI en Syrie voisine, une thèse toujours démentie par les dirigeants au pouvoir en Turquie.
"Les assassins que vous avez entraînés (Syrie) et tolérés commettent des massacres", a écrit notamment Fehim Tastekin sur Twitter.
Istanbul et Ankara ont été secouées depuis l'an dernier par une série d'attentats qui ont fait près de 200 morts, des centaines de blessés et créé un climat de forte insécurité.
Istanbul avait déja été visée en janvier (12 touristes allemands tués, attaque imputée à l'EI), en mars (4 touristes tués - trois Israéliens et un Iranien - attribuée aussi à l'EI) et début juin (11 morts dont six policiers, attentat revendiqué par les combattants kurdes).
Les attentats en Turquie ont visé des lieux touristiques emblématiques, provoquant une chute immédiate du tourisme, ou les forces de sécurité turques.
Ils ont été attribués soit à l'EI - qui n'en a jamais revendiqué aucun - ou aux rebelles kurdes, notamment aux TAK, une émanation du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK).
Grenoble: le maire Éric Piolle (EELV) invoque la liberté d'expression après la polémique suscitée par une œuvre d'art urbain jugée "anti-police" ...
Le Le maire de Grenoble, Éric Piolle (EELV), a invoqué lundi la liberté d'expression, après la polémique suscitée par une œuvre d'art urbain jugée "anti-police" et réalisée dans le cadre d'un festival subventionné par la municipalité.
"On comprend bien sûr l'émoi de la police. Mais comprendre cet émoi ne veut pas dire s'asseoir sur les textes fondateurs de la République", a souligné M. Piolle.
"La liberté d'expression fait partie des bases fondamentales de la République. C'est ce que nous défendons tous et ce que la police a défendu après les attentats contre Charlie Hebdo", a-t-il ajouté, en refusant de commenter l'œuvre en elle-même.
Due à l'artiste Goin (http://www.goinart.net/), cette fresque représente une femme à terre, tenant un drapeau bleu-blanc-rouge effiloché, frappée par deux policiers en tenue anti-émeute, dont l'un tient un bouclier sur lequel est écrit "49-3".
Elle a suscité de nombreuses condamnations de parlementaires de droite comme de gauche, qui en ont demandé le retrait. "Plein soutien aux policiers qui protègent chaque jour les Grenoblois", a même réagi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve dans un tweet, en estimant que ces derniers attendaient du maire "qu'il leur dise ses regrets".
"Il faut que le ministre de l'Intérieur fasse la liste des œuvres autorisées ou non", a commenté M. Piolle, en disant regretter que les élus réclament un "droit de censure, 18 mois après Charlie".
L'œuvre, réalisée dans le cadre du "Grenoble Street Art Fest", qui a rassemblée 45 artistes pendant trois semaines, doit de toute façon être détruite "la semaine prochaine" dans le cadre de travaux de réaménagement de la gare prévus de longue date, selon Éric Piolle.
Une vingtaine de fresques de ce type ont été peintes dans le cadre de ce festival subventionné à hauteur de 25.000 euros par la mairie.
"Ce n'est pas une commande publique de la mairie", a cependant précisé le maire, en parlant d'un "festival indépendant" sur lequel "nous ne voulons pas avoir de droit de regard".
L'organisateur du festival, Jérôme Catz, a indiqué à l'AFP que l'artiste Goin avait titré l'œuvre "L'État matraquant la liberté" pour "montrer qu'il n'avait rien contre les policiers en tant qu'individus".Cette fresque, conçue il y a six mois, "est une allégorie de l'État", a-t-il souligné. Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a affiché son «plein soutien aux policiers qui protègent chaque jour les Grenoblois» et a estimé que ces derniers attendaient du maire «qu'il leur dise ses regrets».
BREXIT :
La sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne pourrait avoir des répercussions sur Eurotunnel et le camp de migrants de Calais …
Ils ont choisi le « out ». Les résultats du référendum sur le maintien ou non de la Grande-Bretagne dans l’union Européenne sont tombés, vendredi matin, confirmantune courte victoire des partisans de la sortie. Les présidents d’Eurotunnel et de la région Hauts-de-France n’ont pas tardé à réagir à cette annonce.
Une opportunité ?
Jacques Gounon, président du groupe Eurotunnel, a pris les devants dans un communiqué publié, ce vendredi. Le ton employé est d’ailleurs plutôt optimiste, sans doute pour tenter de rassurer les actionnaires (-14% ce vendredi matin) alors que la panique des investisseurs faisait plonger les Bourses de Londres, Paris et Francfort. « L’issue du référendum ne devrait pas affecter les activités de la Concession du tunnel sous la Manche et Groupe Eurotunnel maintient par conséquent ses objectifs », a affirmé Jacques Gounon.
Mieux, le PDG d’Eurotunnel anticipe même une chute de la livre sterling qui « ferait baisser le montant de la dette du groupe dans cette monnaie et augmenterait les coûts des concurrents maritimes ».
Il est vrai qu’en pratique, pour les usagers du tunnel, le Brexit ne changera pas grand-chose. Etant donné que le Royaume-Uni n’a jamais été dans l’espace Schengen, les personnes voyageant sous la Manche devaient déjà se soumettre aux formalités douanières.
Où sera la frontière ?
Autre effet possible du Brexit, la remise en question des « accords du Touquet ». C’est en tout cas ce que s’est empressé de demander via Twitter le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand.
Ce traité a été signé après la fermeture du camp de migrants de Sangatte, en 2003. Ratifié par les gouvernements Français et Britannique, il prévoyait de « déplacer » la frontière Anglaise en France, afin de faciliter les contrôles dans les infrastructures portuaires de la Manche et de la mer du Nord.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Xavier Bertrand demande que l’on se penche à nouveau sur les termes de ce contrat. Concrètement, la remise en cause du traité du Touquet pourrait avoir de lourdes conséquences pour le Royaume-Uni en termes d’immigration clandestine. La frontière replacée côté Anglais, il n’y aurait plus, en théorie, de « filtrage » côté Français déplaçant les « jungles » sur l’autre rive de la Manche.
Les derniers sondages penchaient pour le "remain". C'est finalement le "leave" qui l'emporte. Les Britanniques vont quitter l'UE, un processus qui va provoquer d'immenses remous.
Les Britanniques ont voté à 51,9% pour une sortie de l'Union européenne, selon les résultats définitifs publiés vendredi matin 24 juin à 8h (heure française). Un référendum historique qui fait déjà sentir ses premiers effets sur les marchés financiers.
David Cameron a annoncé ce vendredi matin sa prochaine démission de ses fonctions de Premier ministre pour laisser à un autre le soin d'engager les négociations de sortie de l'Union Européenne ...
- Les Britanniques ont choisi une sortie de leur pays de l'Union européenne. Une procédure qui pourrait prendre des années. -
Le Brexit aura finalement bien lieu :
Après 43 ans d'union tourmentée, les Britanniques ont choisi le divorce avec l'Union européenne. Selon les résultats définitifs publiés vendredi matin 24 juin, 51,9% des électeurs ont voté pour le Brexit lors du référendum organisé la veille qui a été marqué par une participation importante (72,2%). Un désaveu pour le Premier ministre David Cameron et la construction européenne qui a assommé les marchés mondiaux en ouvrant une ère d'incertitude sans précédent depuis des décennies. Outre la rupture avec l'UE, ce choix montre un pays divisé, avec Londres, l'Écosse et l'Irlande du Nord qui voulaient rester, tandis que le nord de l'Angleterre ou le Pays de Galles ont largement voté contre.
Après la victoire du "Leave", le chef du gouvernement a annoncé ce vendredi matin sa prochaine démission. "Les Britanniques ont pris une décision claire (...) et je pense que le pays a besoin d'un nouveau leader pour prendre cette direction", a déclaré David Cameron, qui avait milité pour le maintien dans l'UE. "Je voudrais aussi rassurer les Britanniques qui vivent dans des pays européens et les citoyens européens vivant au Royaume-Uni, sur le fait qu'il n'y aura pas de changement immédiat concernant leur situation", a-t-il ajouté. "Il n'y aura pas de changement immédiat dans la manière dont notre population voyage, dont nos biens circulent et dont nos services sont vendus", a-t-il encore dit, soulignant que les discussions allaient démarrer avec l'UE pour négocier la sortie et mettre en oeuvre l'article 50 du Traité de Lisbonne, qui encadre de telles négociations.
Pas de changement immédiat ? Comment va se passer le retrait du Royaume-Uni de l'UE, une première depuis sa création ?
• Un (très) long processus :
Londres va à présent entrer dans un long tunnel de négociations avec l'UE sur les conditions de sortie, à l'aide notamment de l'article 50 du Traité de Lisbonne, ou "clause de retrait", qui définit les modalités d'un retrait volontaire et unilatéral, qui est un droit ne nécessitant aucune justification.
Une fois la décision prise, Londres devrait négocier un "accord de retrait", conclu au nom de l'Union par le Conseil de l'UE (qui réunit les 28 États membres), à une majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen. Un Conseil européen se tient justement prochainement, les 28 et 29 juin. Les traités européens cesseraient de lui être applicables à partir de la date d'entrée en vigueur de cet "accord de retrait". Ou bien deux ans après la notification du retrait, si aucun accord n'a pu être conclu dans l'intervalle, ce qui s'avère probable. Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avait prévenu qu'il ne leur rendrait pas la chose facile, pour ne pas encourager d'autres à suivre cette voie. "Le Royaume-Uni devra accepter d'être considéré comme un État tiers, que l'on ne caressera pas dans le sens du poil", avait-il mis en garde, ajoutant : "dehors c'est dehors". "Il est probable que cela prendrait longtemps, d'abord pour négocier notre sortie de l'UE, ensuite nos futurs arrangements avec l'UE, et enfin nos accords commerciaux avec les pays hors UE", soulignait le gouvernement britannique dans une étude communiquée au Parlement en février. Il y évoquait "jusqu'à une décennie d'incertitudes" qui pèseraient sur les marchés financiers ou encore sur la valeur de la livre. Donald Tusk évoquait une procédure de divorce de sept ans. "Tout serait bouclé d'ici la fin 2019", assurait de son côté un ministre eurosceptique britannique, Chris Grayling.
Londres devrait aussi modifier sa législation nationale pour y remplacer la multitude de textes découlant de sa participation à l'UE, comme dans le domaine des services financiers. Jusqu'à 15% de la législation britannique devrait être entièrement réinventée rapporte Le Point.
Nouveau couac gouvernemental mercredi au sujet de la manifestation syndicale de ce jeudi : Celle-ci a tout d'abord été interdite puis autorisée ...
Comme si cela ne suffisait pas entre les manifestations, les violences, le recours au 49-3 et des sondages au plus bas, le gouvernement Valls et l'Elysée ont été le théâtre d'atermoiements qui ne les grandissent pas dans cette période de forte tensionet qui témoigne surtout de tensions au sein de l'équipe gouvernementale sur la stratégie à suivre face aux syndicats.
Acte I : la manifestation interdite à 9 h !9 h mercredi matin, la préfecture de police de Paris a annoncé l'interdiction de la manifestation prévue ce jeudi par l'intersyndicale menée par la CGT et FO contre le controversé projet de loi travail, une première depuis la tragique manifestation de 8 février 1962 au métro Charonne.
Les protestations politiques pleuvent de la gauche de la gauche au FN en passant par le PS. Les dirigeants syndicaux Philippe Martinez (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO) ont demandé à être reçus en urgence par M. Cazeneuve.
Fin de matinée à l'Elysée: François Hollande, Manuel Valls et Bernard Cazeneuve se retrouvent, en marge du Conseil des ministres, pour tenter de trouver une sortie de crise, selon leurs entourages.
Acte II : la manifestation finalement autorisée à 13 h !« En marge du Conseil des ministres, le président de la République, le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur se sont vus en convenant de proposer (à MM. Martinez et Mailly) un itinéraire extrêmement sécurisé, un parcours beaucoup plus facile à sécuriser », explique-t-on dans l'entourage de Manuel Valls.
En l'occurrence Bastille-Bastille, en faisant le tour du petit bassin de l'Arsenal, soit 1,6 kilomètre. Pas « statique » comme le souhaitait au départ le gouvernement, mais « pratiquement statique », résume une source gouvernementale. Une proposition acceptée par les syndicats, entraînant la levée de l'interdiction et un nouveau pataquès de communication.
L'exécutif n'aurait-il pas pu poursuivre les négociations sans annoncer d'interdiction ? « C'est parce qu'il y a eu ce durcissement que les organisations syndicales sont revenues à la raison », affirme un conseiller. La CGT et FO sont « rincés. Il fallait faire un geste pour que les syndicats tiennent leurs troupes », analyse un conseiller gouvernemental.
Acte III : Valls accusé d'avoir décidé l'interdiction !Est-ce-que ces atermoiements masquent des désaccords au sommet de l'Etat - certains à gauche accusant Manuel Valls d'avoir été celui qui poussait trop en faveur de l'interdiction ? Selon un député PS légitimiste, Hollande et Cazeneuve l'ont finalement emporté sur Valls.
« Le petit jeu qui consiste à laisser penser qu'il y aurait eu une décision au sein de l'exécutif prise par le Premier ministre est une fausse question. Les décisions sont prises de manière collective », a démenti le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll, après le Conseil des ministres.
« Tout a été fait ensemble » avec MM. Hollande et Cazeneuve pour que la manifestation puisse se tenir, a renchéri le Premier ministre lors de la séance des questions d'actualité à l'Assemblée.
Néanmoins, dans la matinée, l'entourage de François Hollande avait ajouté une certaine confusion, en affirmant que l'interdiction était « une décision de gestion opérationnelle de l'ordre public »incombant à la préfecture et que « l'arbitrage n'a(vait) pas été rendu par le président lui-même ». Ce que certains ont pu interpréter, à tort selon l'Elysée, comme une prise de distance avec M. Valls.
Acte IV : la gauche une nouvelle fois ébranlée !Après le recours au 49-3 pour faire passer le texte en première lecture à l'Assemblée nationale, et le choix répété de ne pas céder à la fronde menée par la CGT, une interdiction aurait marqué une nouvelle crispation autour du dernier grand texte du quinquennat.
La CFDT, quoique soutien précieux du gouvernement sur la loi travail, avait elle aussi « condamné » l'interdiction, s'ajoutant à l'émoi syndical.
Au PS, les frondeurs ont tiré à boulets rouges, mais les critiques débordaient largement jusqu'aux légitimistes. « Interdire la manifestation sur la loi travail est une blessure démocratique et une provocation politique inutile », avait jugé l'ancien ministre Benoît Hamon. « Faute historique », fustigeait Christian Paul.
« On aurait pu éviter cette montée de tension », a lâché le patron des députés PS, Bruno le Roux, soulignant que « la proposition par l'Etat de cet itinéraire avait été faite avant ».
Dénonçant « la décision du Premier ministre » et « une escalade autoritaire », treize députés PS, PCF et écologistes, dont Cécile Duflot, Benoît Hamon et Christian Paul, avaient annoncé qu'ils braveraient l'interdiction, écharpes tricolores visibles, en manifestant avec les syndicats.
Le policier et sa compagne assassinés seront inhumés lundi dans l'Hérault ...
Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, les deux policiers tués par un djihadiste lundi à Magnanville dans les Yvelines seront inhumés le 20 juin prochain dans l'Hérault.
Le policier et sa compagne assassinés par un djihadiste le 13 juin à Magnanville (Yvelines) seront inhumés lundi dans l'Hérault, d'où était originaire Jean-Baptiste Salvaing, selon l'avis de décès publié vendredi par la famille.
Les membres de la famille « ont la douleur de faire part de la tragique disparition de Jean-Baptiste Salvaing et de Jessica Schneider », indique le faire part publié dans Midi Libre.
« Un hommage leur sera rendu le lundi 20 juin 2016 à 10h00, sur la place de la mairie de Pézenas, suivi de l'inhumation au cimetière de Montagnac », situé à environ 7 km, selon cette annonce.
Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, a été tué le 13 juin devant son pavillon, dans les Yvelines. Le meurtrier, Larossi Abballa, a ensuite pris en otage son épouse, âgée de 36 ans, qu'il a exécutée en présence de leur fils Matthieu, 3 ans et demi, retrouvé indemne mais en état de « sidération ».
Le commandant de police était originaire de Pézenas, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Montpellier.
Terrorisme: François Hollande préside une cérémonie officielle d'hommage au policier et à sa compagne tués lundi, à la préfecture de Versailles ...
François Hollande préside, ce vendredi à 10 heures, à la préfecture de Versailles, une cérémonie officielle d'hommage au policier et à sa compagne tués lundi, en présence des familles des deux victimes, du Premier ministre Manuel Valls et du ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.rassemblé jeudi 2.500 personnes en hommage à Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, et sa compagne Jessica Schneider, 36 ans, assassinés par un jihadiste dont trois proches ont vu leur garde à vue prolongée.
Policiers, gendarmes, pompiers et une foule d'anonymes ont défilé, en silence et en civil, depuis les abords de l'hôtel de police de Mantes-la Jolie (Yvelines), où avait travaillé le commandant Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, et où sa compagne Jessica Schneider, 36 ans, exerçait en tant qu'agent administratif. Ils ont marché jusqu'au domicile du couple à Magnanville.
Visages fermés, souvent en pleurs : l'émotion dans le cortège était palpable. Devant le pavillon des victimes, la foule compacte s'est recueillie dans un profond silence pendant plus de dix minutes, avant d'entamer spontanément La Marseillaise.
"Je ne ressens pas une forme de peur, plutôt une déception. Mais face aux terroristes, je ne me laisserai jamais faire", confiait un chef d'unité de police parisien.
Jean-Baptiste Salvaing a été tué lundi soir devant son pavillon, avant que le meurtrier, Larossi Abballa, ne prenne en otage son épouse, qu'il a exécutée en présence de leur fils Matthieu, 3 ans et demi, retrouvé indemne mais en état de "sidération".
Le tueur, qui dit avoir prêté allégeance aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI), a été tué lors de l'assaut des policiers du Raid.
Les enquêteurs tentent d'établir s'il a agi seul ou s'il a bénéficié de complicités dans la préparation ou dans l'exécution de l'attaque.
Trois de ses proches, des hommes âgés de 27, 29 et 44 ans, interpellés mardi, ont vu jeudi leur garde à vue prolongée de 48 heures supplémentaires. Deux d'entre eux avaient été condamnés avec Abballa en 2013 au procès d'une filière d'envoi au Pakistan de volontaires pour le jihad.
Les investigations avaient à l'époque mis en lumière "l'engagement religieux radical" de l'un des gardés à vue, et "son rôle particulièrement actif dans le recrutement de candidats au départ", selon une source proche de l'enquête. Lors d'une perquisition à son domicile, une importante documentation jihadiste et un plan de la Seine-Saint-Denis, mentionnant l'emplacement des commissariats de police du département, avaient été retrouvés par les enquêteurs.
L'autre, appellé l'"émir", s'était envolé vers le Pakistan en janvier 2011 où il avait été immédiatement interpellé avant d'être expulsé vers la France trois mois plus tard.
"On ne sait pas encore le pourquoi précis de cette cible-là", a expliqué une source proche de l'enquête.
Se connaissaient-ils dans le cadre de précédentes affaires? Abballa, 25 ans, était connu des services de police dans les Yvelines, où il a toujours vécu et a notamment été condamné à deux reprises pour un vol et un recel, et Jean-Baptiste Salvaing a fait une bonne partie de sa carrière de policier dans le département.
Les enquêteurs espèrent aussi puiser des informations dans le matériel informatique et téléphonique saisi chez les trois gardés à vue, ainsi que dans celui d'Abballa trouvé chez ses parents et dans celui avec lequel il a mis en ligne sa vidéo de revendication depuis le domicile du policier.
Cette attaque jihadiste, en plein Euro de football et alors que le mouvement de contestation contre la loi travail a encore été émaillé de violences, a décuplé le feu des critiques venues de l'opposition de droite.
Accusés de laxisme et de "négligence", Manuel Valls et Bernard Cazeneuve montent régulièrement au créneau pour défendre leur politique de fermeté et balayer les demandes d'instaurer des "centres de rétention" (Eric Ciotti, Nicolas Dupont-Aignan) ou des "camps d'internement" (Laurent Wauquiez).
Pour sa part, Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains, propose de "mettre tous les détenus islamistes à l'isolement" et "demande la création en urgence d'un service de renseignement des prisons", dans une interview à six journaux européens, dont Le Figaro.
(ci-dessus : Dessin de Jean-Charles de Castelbajac) ... La barbarie a de nouveau frappé, dans la nuit du samedi à dimanche 12 juin 2016. A Orlando, aux Etats-Unis, un homme a ouvert le feu dans une boîte de nuit LGBT (Lesbiennes, Gay, Bi, Trans), le « Pulse ». La fusillade a fait 50 morts, et 49 blessés.
Avec une arme toute aussi puissante, le crayon, celle de l'expression et la liberté, des artistes connus et moins connus ont rendu hommage aux victimes de ce terrible attentat homophobe avec des dessins. Voici quelques illustrations de soutien à la communauté LGBT qui dénonce l’horreur de ce week-end :