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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Attaque djihadiste dans une église en France : Un des tueurs connu de l'anti-terrorisme ...
Cette attaque, qui menace de fracturer davantage une société française meurtrie, est la première contre un lieu de culte catholique en Europe revendiquée par le groupe Etat islamique (EI). «
Attaquer une église, tuer un prêtre, c’est profaner la République qui garantit la liberté de conscience », a réagi mardi soir le président François Hollande dans une allocution solennelle.
Il a exhorté une nouvelle fois les Français à « faire bloc » et à ne pas se diviser face à « une guerre » visant la « démocratie » française.
Car la polémique enclenchée au lendemain de l’attentat de Nice (84 morts le 14 juillet) a déjà commencé à rebondir, l’opposition de droite et d’extrême droite mettant en cause l’efficacité de la lutte antiterroriste menée par le gouvernement.
L’attaque, rapidement endossée par le groupe terroriste Etat islamique, qui avait aussi revendiqué deux récents attentats en Allemagne, s’est déroulée à Saint-Etienne-du-Rouvray, une cité ouvrière de 29.000 habitants dans la banlieue de Rouen, en Normandie.
Église de Saint-Étienne-du-Rouvray en Normandie
Un des deux djihadistes, identifié comme Adel Kermiche, âgé de 19 ans et originaire de la région, était déjà inculpé pour lien avec le terrorisme.
Il était assigné à résidence avec un bracelet électronique depuis mars, après une dizaine de mois en prison. A deux reprises en 2015, il avait tenté de se rendre en Syrie.
Il avait été interpellé une première fois en Allemagne, une seconde en Turquie, a indiqué le procureur de Paris chargé de l’enquête, François Molins.
L’identification du second terroriste tué par les services de police est toujours en cours. Un mineur de 16 ans né en Algérie a été placé en garde à vue.
Il s’agit du frère cadet d’un individu faisant l’objet d’un mandat d’arrêt pour être parti sur la zone irako-syrienne le 29 mars 2015 avec les papier d’identité d’Adel Kermiche.
Récit des événements :
Vers 07h30 , en pleine messe, les deux djihadistes, « porteurs d’armes blanches, ont surgi dans l’église pendant la messe matinale et pris en otages six personnes », dont le père Jacques Hamel, un prêtre octogénaire qu’ils ont égorgé, a raconté le procureur Molins.
Un autre otage de 86 ans a été grièvement blessé, mais ses jours ne sont pas en danger, selon le procureur Molins. Après une tentative de négociation avortée, les policiers d’élite sur place ont renoncé à donner l’assaut dans l’église, trois des otages se trouvant en position de boucliers humains.
Les djihadistes ont été abattus par la police au moment où ils sont sortis sur le parvis de l’église en criant « Allah Akbar » (en arabe : « Dieu est les plus grand »).
Le prêtre était encore en aube, il était au pied de l’autel, ils l’ont obligé à se mettre à genoux et puis "pas bouger". Quand on a vu le couteau, la main droite, j’ai dit - "bon, c’est sûr que là, y a quelque chose qui va se passer", a témoigné dans des médias français une religieuse, Soeur Danielle, qui a donné l’alerte en réussissant à s’enfuir avant l’assassinat.
« Ils se sont enregistrés. Ils ont fait un peu comme un sermon autour de l’autel en arabe », a-t-elle ajouté.
« Détermination absolue »
Sous le feu de l’opposition depuis l’attentat de Nice, le président Hollande a réitéré « la détermination absolue » du gouvernement à lutter contre le terrorisme.
« Le gouvernement applique et appliquera avec la plus grande fermeté les lois qui ont été adoptées. Mais restreindre nos libertés, déroger à nos règles constitutionnelles, n’apporterait pas d’efficacité à la lutte contre le terrorisme », a-t-il martelé, en dénonçant « les surenchères, les polémiques, les amalgames, et les suspicions ».
Un peu plus tôt, le chef de l’opposition de droite et prédécesseur du président Hollande, Nicolas Sarkozy, avait réclamé à l’exécutif de « changer profondément » de stratégie.
La présidente du parti d’extrême droite Front national Marine Le Pen a dénoncé la « responsabilité (…) immense » des gouvernants français « depuis 30 ans ». D’autres membres du FN ont appelé « les chrétiens » à se « lever pour résister à l’islamisme ».
« Journée de jeûne et de prière » :
A Saint-Etiene-du-Rouvray, des dizaines de bougies ont été allumées devant la mairie mardi soir par les habitants venus rendre hommage au père Hamel. Dans plusieurs villes comme Lyon (centre-est) et Montpellier (sud-est), des messes ont été célébrées à la mémoire du prêtre assassiné.
La Conférence des évêques a appelé les catholiques français à une « journée de jeûne et de prière », vendredi prochain.
Chrétiens, musulmans ou juifs, les représentants des cultes en France ont affiché leur solidarité dans le deuil avec leurs « frères » catholiques, appelant à « l’unité ».
« Provoquer une guerre de religions » :
Frappée trois fois en 18 mois par des attentats sans précédent (17 morts en janvier 2015, 130 le 13 novembre, 84 le 14 juillet), la France vit dans la crainte de nouvelles attaques risquant de fracturer davantage encore la société.
« En s’attaquant à un prêtre, on voit bien quel est l’objectif : jeter les Français les uns contre les autres, s’attaquer à une religion pour provoquer une guerre de religions », a mis en garde le Premier ministre Manuel Valls sur la chaîne de télévision privée TF1.
Le groupe terrorisme Etat islamique, qui perd du terrain en Irak et en Syrie où il a proclamé un califat en 2014, a régulièrement menacé la France de représailles pour sa participation à la coalition militaire internationale dans ces deux pays.
Cela faisait plus d’un an que la menace d’une attaque contre un lieu de culte chrétien planait sur le pays, notamment depuis l’échec d’un projet d’attentat en avril 2015 contre une église catholique de Villejuif, en banlieue parisienne.
Un prêtre de 84 ans a été tué mardi matin lors de la prise d'otages dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray, dans l'agglomération de Rouen, à l'issue d'une intervention qui a permis de "neutraliser" les deux preneurs d'otages.
Deux hommes armés de couteaux sont entrés vers 10 h 00 dans l'église au moment de la messe à laquelle assistaient six personnes : le prêtre, trois religieuses et un couple de fidèles. L'une des religieuses a réussi à prendre la fuite et a donné l'alerte.
Par dizaines les habitants se sont rendus ce mardi soir à la mairie de Saint-Étienne-du-Rouvray pour rendre hommage au père Jacques Hamel, égorgé dans l'église de la ville par deux preneurs d'otage, un acte revendiqué par le groupe État islamique.
« Sincères condoléances, quelle horreur, quelle barbarie. J'espère plus jamais çà », a écrit un jeune sur le registre de condoléances ouvert par la mairie. « A notre prêtre avec qui nous avons partagé toutes les étapes catholiques de notre enfant », a rédigé une mère de famille.
Devant l'édifice municipal, de pierres et de briques, des dizaines de bougies ont été allumées. Quelques petits bouquets ont été déposés.
Le président de la Conférence des évêques, Mgr Georges Pontier, a invité « tous les catholiques de France » à observer « une journée de jeûne et de prière » vendredi « pour notre pays et pour la paix dans le monde ».
Direct
Une fusillade a fait neuf victimes et seize blessés, dont trois au pronostic vital engagé, ce vendredi aux abords d'un centre commercial situé près du stade olympique de Munich, dans le sud de l'Allemagne.
L'auteur, un Germano-Iranien de 18 ans, a été retrouvé mort : il se serait suicidé. Selon les premiers éléments de l'enquête, samedi matin, il y aurait un «lien évident» avec la tuerie d'Utøya, en Norvège, où le terroriste d'extrême-droite Anders Breivik avait tué 77 personnes il y a cinq ans jour pour jour.
En revanche, les autorités écartent la piste de l'Etat islamique.
Fusillade de Munich : Neuf morts & plusieurs blessés graves ...
(photo en titre : Des policiers effectuent des recherches dans les couloirs de la station de métro Karlsplatz).
Six personnes ont été tuées vendredi par balles dans un centre commercial de Munich, dans le sud de l'Allemagne, selon la police qui «suspecte un acte terroriste» et a mobilisé toutes ses forces pour retrouver «jusqu'à trois» tireurs présumés.
Un important déploiement policier a été installé autour du centre commercial.
Toute l'agglomération bavaroise était placée en état d'alerte en début de soirée, avec la mobilisation de l'ensemble des «moyens disponibles», selon la police de Munich. Le ciel était sillonné par des hélicoptères.
«Jusqu'à trois auteurs» de la fusillade, qui a aussi fait plusieurs blessés graves, étaient recherchés dans toute la ville, a indiqué un représentant de la police à la presse.
Selon des informations recueillies par l'AFP, plusieurs témoins ont évoqué des hommes de type «arabe» mais le porte-parole de la police n'a pas confirmé cette information.
Par ailleurs, la police a indiqué ne pas disposer à ce stade d'éléments indiquant qu'il s'agirait d'un attentat islamiste.
La gare centrale de la ville a été évacuée, l'ensemble des transports en commun suspendus, et sur Twitter, la police a appelé les habitants de Munich à «éviter de sortir dans les rues».
La fusillade a éclaté peu avant 16 h dans un restaurant McDonald's, avant de se poursuivre dans une rue adjacente. Les assaillants sont ensuite entrés dans le centre commercial situé près du stade olympique, selon une porte-parole de la police.
«Nous avons malheureusement déjà six morts à déplorer», a indiqué la police sur son compte Twitter, en faisant également état de plusieurs blessés graves.
Selon l'édition en ligne du quotidien Bild, un homme a couru dans le centre commercial et fait feu sur plusieurs personnes, avant de s'enfuir en direction d'une station de métro.
«Nous suspectons un acte terroriste» a déclaré un porte-parole de la police à l'AFP, alors qu'un autre porte-parole des forces de l'ordre sur place, cité par l'agence DPA, a lui parlé d'une «situation terroriste en cours».
«Panique» :
Il s'agit de la troisième attaque contre des civils en Europe de l'Ouest en moins de dix jours, après l'attentat au camion bélier à Nice, le 14 juillet, qui a fait 84 morts et une attaque à la hache dans un train en Bavière (cinq blessés).
Le président américain Barack Obama a promis aux autorités allemandes «tout le soutien dont elles ont besoin» alors que le chef de l'État français François Hollande a adressé un «message personnel de soutien» à la chancelière allemande Angela Merkel.
La police a démenti qu'une deuxième fusillade ait éclaté dans un autre endroit de la ville de Munich, alors que des témoins en avaient fait état.
«C'est la panique dans plusieurs endroits de la ville», a concédé un porte-parole de la ville.
Ces évènements surviennent quatre jours après une attaque à la hache dans un train, à Wurzbourg également en Bavière.
L'assaillant, un jeune demandeur d'asile, a blessé quatre touristes chinois de Hong Kong dans le train, et une passante, avant d'être abattu par la police.
Attentat De Munich ...Une patrouille de la police allemande surveille les environs de la gare centrale de Munich ...
L'attaque a été revendiquée par le groupe Etat islamique. Il s'agit de la première revendication formulée par l'organisation jihadiste en Allemagne, même si le gouvernement allemand ne pense pas en l'état que l'EI a commandité l'attentat.
Le ministre de l'Intérieur, Thomas de Maizière, avait averti mercredi ses concitoyens que l'Allemagne «se trouve dans le viseur du terrorisme international».
«La situation est sérieuse, nous devons aussi en Allemagne compter avec des attentats de petits groupes ou de personnes radicalisées», avait-il déclaré lors d'une conférence de presse.
A environ 500 km au nord-ouest de Munich, l'État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie a annoncé avoir relevé ses mesures de sécurité, avec effet immédiat ...
Attentat de Nice : une minute de silence sera observée lundi à 12H00 dans le pays, ont déclaré plusieurs sources politiques.
Une minute de silence sera observée lundi à 12H00 dans le pays en hommage aux victimes de l'attentat de Nice, ont déclaré vendredi soir à l'AFP, plusieurs sources gouvernementales et parlementaires.
Un tel hommage, déjà observé après les attentats de janvier et de novembre 2015, a été décidé pour honorer les victimes de l'attentat de jeudi soir, qui a fait au moins 84 morts - dont 10 enfants - et 202 blessés.
Le président François Hollande a par ailleurs décrété trois jours de deuil national, samedi, dimanche et lundi et annoncé la prolongation de trois mois de l'état d'urgence.
Décrété il y a huit mois dans la foulée des attentats parisiens du 13 novembre, les plus meurtriers commis en France avec 130 morts, il devait s'achever le 26 juillet.
Nice : 84 personnes sont mortes, "18 en urgence absolue", fauchées par un camion qui a foncé dans la foule - faisant de plus une centaine de blessés - sur la Promenade des Anglais ...
Un attentat le jour même de la Fête nationale : à Nice, un homme au volant d'un camion a commis un carnage jeudi soir, quelques instants après la fin du feu d'artifices du 14 juillet, tuant 84 personnes en leur fonçant dessus sur la Promenade des Anglais ... 18 blessés sont toujours en "urgence absolue", selon le dernier bilan du ministère de l'Intérieur.
Huit mois après les attaques jihadistes commises en novembre 2015 à Paris et Saint-Denis, le président de la République François Hollande a évoqué, quelques heures après les faits, "une attaque dont le caractère terroriste ne peut être nié", annonçant la prolongation de trois mois de l' état d'urgence,qui devait s'achever le 26 juillet. Il est attendu à Nice vendredi en compagnie du Premier ministre Manuel Valls, qui a évoqué dans la nuit une "immense douleur".
Sur la Promenade des Anglais, qui était fermée à la circulation en ce soir de 14 juillet, les témoins de l'attaque, dont un journaliste de l'AFP présent sur place, Robert Holloway, ont décrit des scènes de panique lorsque le camion a fendu la foule, composée notamment de nombreuses familles.
Autour, "c'était le chaos absolu", "des gens hurlaient", a décrit Robert Holloway, qui assistait aux festivités du 14 juillet dans cette ville de la Côte d'Azur. "Nous avons vu des gens touchés et des débris voler partout", a-t-il encore raconté, ajoutant qu'il avait très vite compris, que la "trajectoire en ligne droite" d'un camion de cette taille ne pouvait être que la résultat d'un "acte totalement délibéré".
Plusieurs personnes ont enjambé le parapet de la promenade pour se jeter en contrebas sur la plage et échapper au véhicule, dont la course longue de quelque 2 km s'est arrêtée non loin du Palais de la Méditerranée, pneus crevés et pare-brise criblé de balles. Son chauffeur a été abattu par les forces de l'ordre.
"Au moment où il a été abattu par les policiers, il avait fait feu plusieurs fois", a souligné le premier adjoint LR de la ville de Nice et président de la région Paca, Christian Estrosi
Selon une source proche des enquêteurs, une grenade "inopérante" et des "armes longues factices" ont été retrouvées à bord du camion de 19 tonnes. M. Estrosi avait auparavant évoqué le fait que le chauffeur du camion était en possession d'armes "lourdes".
Des papiers d'identité au nom d'un Franco-Tunisien de 31 ans, domicilié à Nice, ont été retrouvés à l'intérieur du camion mais l'identification formelle du chauffeur n'avait toujours pas été confirmée à l'aube vendredi. Selon une source policière, l'homme figurant sur ses papiers est seulement connu pour des faits de droit commun.
Parmi les dizaines de morts figurent plusieurs enfants, a précisé François Hollande.
A ce lourd bilan, s'ajoutent des dizaines de blessés, dont 18 se trouvaient "en état d'urgence absolue", selon le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve, qui s'est rendu sur place dans la nuit.
De nombreuses zones de la ville ont été bouclées au cours de la nuit de jeudi à vendredi dans une ville dont les rues se sont peu à peu vidées de leurs habitants, appelés par les autorités à rester chez eux, notamment le temps de déterminer si le chauffeur avait agi seul.
Le long de la Promenade des Anglais, des dizaines de corps étaient étendus, recouverts parfois d'un simple drap.
L'enquête sur cet attentat, qui n'avait pas été revendiqué vendredi matin, a été confiée à la section antiterroriste du parquet de Paris.
Cette attaque replonge le pays dans une ambiance lourde, en plein coeur des congés d'été, après la parenthèse d'un Euro de football au cours duquel les Bleus se sont illustrés en allant jusqu'en finale et qui s'est achevé le 10 juillet sans incident majeur et surtout sans attentat, malgré les craintes qui l'entouraient.
Ce nouvel attentat confirme que la menace terroriste est toujours très élevée en France, un pays notamment visé par les jihadistes pour son intervention contre l'organisation Etat islamique en Syrie. Le chef de l'Etat, qui réunira un conseil restreint de sécurité et de défense vendredi à 09H00, a déjà annoncé un "renforcement" de l'action de la France en Irak et en Syrie.
L'attentat commis à Nice est le plus important commis en Europe depuis les attentats qui ont fait 130 morts le 13 novembre 2015 à Paris et 32 morts le 22 mars 2016 à Bruxelles, commis par le même réseau du groupe Etat islamique.
Il a suscité une vague de réactions indignées dans le monde, le président américain Barack Obama assurant la France, "notre plus vieil allié", de sa "solidarité". Son secrétaire d'Etat John Kerry, qui avait assisté jeudi matin au défilé du 14 juillet à Paris a de son côté fustigé une "attaque affreuse (...) contre des personnes innocentes durant un jour qui célèbre la liberté, l'égalité et la fraternité".
Le cabinet de la nouvelle Première ministre britannique Theresa May s'est dit "très choqué et inquiet" et les 15 pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont condamné une "'attaque terroriste barbare et lâche".
En France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a lui aussi condamné avec "la plus grande vigueur" l'attentat.
Au moins vingt-cinq personnes ont trouvé la mort et cinquante ont été blessées dans une collision frontale entre deux trains mardi dans les Pouilles, dans le talon de la botte italienne. Ce drame est l'un des pires accidents ferroviaires ayant frappé l'Italie ces dernières années. L'accident s'est produit dans le "talon" de la Botte.
Les circonstances de l'accident n'étaient pas claires dans l'immédiat mais le chef du gouvernement Matteo Renzi a promis que toute la lumière serait faite sur cette tragédie. « Nous ne nous arrêterons pas tant que toute la lumière ne sera pas faite », a déclaré M. Renzi, qui s'est rendu dans la soirée sur les lieux.
« Une journée de douleurs et de larmes » s'est-il ému mardi soir sur Twitter.
L'accident s'est produit entre Corato et Andria, dans le « talon » de la botte italienne, lors d'une collision frontale entre deux convois composés de quatre voitures chacun. Les deux trains se trouvaient sur la même ligne ferroviaire locale, l'un des rares endroits où il n'y a pas de double voie, selon des images diffusées sur les télévisions.