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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Le festival des "Vieilles Charrues"... Rendez-vous annuel musical incontournable en Bretagne ! L'’édition 2014 réserve de belles surprises : parmi de nombreux artistes, Arctic Monkeys,Shaka Ponk ou encore Stromae seront de la partie. Rendez-vous à Carhaix du 17 au 20 juillet 2014.
La Gacilly, les Etats-Unis dans le viseur :
Avec 20 expositions de photos, gratuites et en plein air, le 11e festival Peuples et nature de La Gacilly met l’Amérique à l’honneur.
Une vingtaine d’expositions de photos se déploient jusqu’au 30 septembre sur les murs du petit village de La Gacilly, dans le Morbihan, à l’occasion du 11e festival Peuples et nature.
Parmi les reporters et les plasticiens, une personnalité se détache : John G. Morris, photo-éditeur du prestigieux magazine américain Life pendant la Seconde Guerre mondiale. Le 20 juillet 1944, cet homme de l’ombre, un peu « tête brûlée », décide de quitter son bureau et de rejoindre ses reporters sur Utah Beach, en pleine bataille de Normandie.
Boîtier en main, Morris travaille pour lui-même, sans contrainte, et capture les à-côtés, les civils, les réfugiés, les prisonniers allemands exténués. Son œil saisit par petites touches la vie qui reprend doucement, la libération progressive des villes, en Normandie d’abord, puis en Bretagne. Son reportage, exposé ici et édité en avril chez Marabout (« Quelque part en France, l’e?te? 1944 de John G. Morris »), tombe à point nommé alors que l’on vient de célébrer le 70e anniversaire du D-Day.
Robert Capa et Steve McCurry :
Parmi les photographes mandatés par Life sur les combats, Robert Capa, qui deviendra un symbole du photojournalisme outre-Atlantique. Le festival, qui cette année a choisi pour thème les Etats-Unis, lui consacre une exposition. Il n’avait pourtant obtenu sa carte verte qu’en 1946… Né Endre Friedmann, en Hongrie, Robert Capa aurait en fait choisi son surnom pendant la guerre pour se faire passer pour un Américain. L’accrochage privilégie des images de paix et de bonheur qu’il réalisait entre deux batailles : les travaux des champs en Ukraine, des gamins français riant aux éclats sur une carcasse de moto, les amoureux des kibboutz israéliens, les suiveurs du Tour de France, les belles de la place Vendôme …
En 1947, il cofonda l’agence Magnum dans laquelle s’illustrera, quarante ans plus tard, Steve McCurry dont la photo de la petite Afghane aux yeux verts, publiée en 1984 en une du National Geographic, a rejoint le panthéon des icônes photographiques. Aux côtés de ce cliché, les tirages exposés à La Gacilly retracent trente années de carrière. Egalement photographe pour National Geographic, Pete McBride a embarqué dans un petit avion et suivi le cours du fleuve Colorado depuis sa source, dans les montagnes Rocheuses, jusqu’à son embouchure dans le golfe de Californie.
Des clichés de la NASA :
Ses clichés montrent combien ces paysages sont désormais menacés par l’assèchement à cause, notamment, de l’irrigation agricole intensive. David Maisel a lui aussi opté pour la photographie aérienne mais ses images se révèlent moins documentaires que plasticiennes. Capturées à 13.000 mètres d’altitude, elles évoquent des peintures de Rothko ou de Zao Wou-Ki.
Pas étonnant qu’on les ait déjà aperçues dans les plus prestigieuses galeries d’art. La NASA nous fait prendre encore plus de hauteur avec trois images très grand format montrant les premiers pas de l’homme sur la Lune. On décèle une pointe d’humour lorsque John Young, le commandant de bord d’Apollo 16, rend les honneurs au drapeau américain en sautant en l’air à 80 centimètres du sol.
En 1947, Capa cofonda l’agence Magnum dans laquelle s’illustrera, quarante ans plus tard, Steve McCurry. Sa petite Afghane aux yeux verts, publiée en 1984 en Une de National Geographic, a rejoint le panthéon des icônes photographiques.
(source : Relaxnews)
Marianne, 93 ans, prend sa retraite de videuse de discothèque !
L'élégante Marianne Duigou a pris sa retraite à contrecoeur, il y a quelques semaines. Son fils Jo, 68 ans, a décidé de fermer Le Spot, la discothèque de Spézet (Finistère), où il officiait comme DJ. Marianne, elle, filtrait les entrées. Cet endroit, incontournable, était qualifié de « Las Vegas breton ».
Il y a un peu moins d'un mois, à 93 ans, elle veillait encore sur son antre, le samedi soir. Petit gabarit devant la porte. Faisant confiance à sa «mémoire physique », pour filtrer les entrées. Aux uns, Marianne Duigou faisait la bise. Aux autres, elle pouvait juste dire bonsoir à l'entrée. Voire directement au revoir.
Car dans cette boîte de nuit où jeunes et moins jeunes se mélangeaient, en tenue de foot ou apprêtés comme pour une cérémonie, la dame avait malgré tout quelques « interdits de séjour ». Trente ans après, elle reconnaissait ceux qui avaient « foutu le reuz ». Une bagarre ? «Je fonçais dedans. Je n'avais pas letemps d'avoir peur ! » Un soir, elle a quand même eu une côte cassée. « Les pénibles, on devait les laisser dehors ! »
« Je ne sais pas si je suis née avec du caractère mais j'ai appris à en avoir », glisse, aujourd'hui en retraite, celle qui se reconnaît comme seul péché l'amour du thé vert.
Avec son fils, Jo, elle tenait depuis plus de quarante ans Le Spot, à Spézet, 1 800 habitants, au coeur de la Bretagne. Durant ses années folles, c'était le « Las Vegas breton ». Le regard porté sur les tourterelles qu'elle nourrit, elle lance : «Aujourd'hui, tout a changé ».
Marianne a les doigts fins et le regard précis. Elle était couturière, confectionnait les atours des femmes, avant de se lancer sur la piste. Une de ses spécialités était les robes de mariée. « J'en ai fait tellement ! »
Durant la guerre, elle a été résistante, comme ses parents. Quand elle en parle, les larmes lui brûlent les yeux mais elle les retient. « Ma mère, ma soeur, ont été en prison, à Châteauneuf-du-Faou. J'ai aussi été ramassée et puis relâchée. Mon père a été déporté six mois en Allemagne ... »En 1945, elle a épousé un militaire. «C'était un coureur de jupon, au bout de trois ans et demi c'était fini. » Mère célibataire, elle ne subit pas, elle vit. C'est pour élever son garçon qu'elle est revenue s'installer à Spézet, la terre de son enfance.
Le Spot était un café lorsqu'elle l'a acheté, en 1964. Il y en avait encore une vingtaine à Spézet, à ce moment-là. Rapidement, Marianne, qui a le commerce dans l'âme, achète un juke-box, un Wurlitzer.
À l'époque, il y en avait très peu. Jackpot : tout le monde se retrouve au café. Les jeunes font de ce lieu, habillé de bois massif, leur quartier général. « Ça venait de partout ! Fallait voir, ça ne désemplissait pas. Tout marchait. »
En 1970, le café s'agrandit et devient une discothèque. « J'étais allée à la Foire de Nantes, avec Jo. On a mangé dans un endroit appelé Le Spot. C'est comme ça qu'on a nommé la boîte de nuit. C'était l'une des seules. De ce temps-là, même à Quimper, il n'y avait que des bals. »
À Spézet, tout le monde n'est pas enthousiaste. « Ceux du Cercle celtique voulaient que le café reste tel quel. Les « Breizh » ne voulaient pas que ça change », assure Marianne.
La bouillonnante tenancière elle-même a parfois eu du mal à voir certaines choses évoluer, au fil du temps. Non fumeuse, elle déplore quand même la loi de 2008 interdisant la cigarette à l'intérieur des bars et discothèques.
Elle regrette aussi « la belle génération des années 1960 à 1980. Aujourd'hui, les jeunes sont trop gâtés. Ce n'est plus la même mentalité. Certains se présentent à l'entrée alors qu'ils ont 13 ans. Ce n'est pas leur place ! »
Marianne tançait, chaperonnait. Les murs du Spot, elle les avait décorés d'affiches de la sécurité routière.
Pour elle, la fermeture de la discothèque est une déchirure. « J'ai aimé Le Spot. Le samedi, j'avais le droit à plus de 100 bises. L'hypnotiseur Dany Dan, Nicoletta... ils sont tous venus ici. C'était l'époque des moustaches et des cheveux longs. La belle époque. »
Séisme. La terre a tremblé en Bretagne et en Normandie !
Le séisme est de magnitude 4,9. Il s'agit d'un séisme léger, comme il s'en produit environ 6 000 par an dans le monde.
Selon le Renass, l'épicentre se situe entre l'île de Jersey et Paimpol.
On voit sur cette carte de l'activité sismique en Bretagne, la faille qui va de la région de Saint-Brieuc à la Manche. L'épicentre se situe sur cet axe :
Selon les sites du CEA (commissariat à l'énergie atomique) et le bureau central sismologique français, la secousse s'est établie à 4,8 sur l'échelle de Richter. Selon le CEA, l'épicentre du séisme se trouve à 30 kilomètres au sud-ouest de Saint-Helier, la capitale de l'île anglo-normande Jersey.
Les pompiers des Côtes-d'Armor, qui ont indiqué l'avoir senti et entendu, ont indiqué avoir reçu seulement trois appels à ce sujet. Selon eux, il n'a avait pas de dégâts ni de victimes en milieu d'après-midi. Les pompiers de la Manche, à Saint-Lô, ne l'ont pas ressenti et n'ont reçu aucun appel, ainsi que les pompiers d'Ille-et-Vilaine.
« Notre maison et celle des voisins ont tremblé violemment quelques secondes vers 14 h » explique un habitant de Carteret (Manche). « Les gens se sont appelés les uns les autres pour savoir ce qui s'est passé : avion supersonique ? Tremblement de terre ? Ou explosion de la centrale nucléaire de Flamanville ? »
Selon vos témoignages sur les réseaux sociaux, la secousse a été ressentie du Mont-Saint-Michel à Brest, tout le long de la côte nord de la Bretagne ...
La ville s'est constituée au Moyen Âge à partir de la « Ville close » située dans l'estuaire du Moros. Cet abri naturel a permis le développement du septième port de pêche français en tonnage débarqué et d'importants chantiers navals
Sa situation sur le littoral et son patrimoine historique en font aujourd'hui une destination touristique bretonne de premier plan.
L'acte le plus ancien, dans lequel est fait mention de Concarneau est le carticulaire de l'abbaye de Landévennec. Cet acte écrit aux alentours de 1050 ne cite pas directement Concarneau (ou tout autre nom désignant Concarneau), on y lit : Ego Gradlonus do sanclo Uuingualeo…, locum sancli Uuingualet in Buduc, V villas Traduit en Moi, Gradhlon, je donne à Saint-Guénolé, le lieu de Saint-Guénolé, en la paroisse de Beuzec, cinq maisons .
Saint Guénolé (461 - 532) est le fondateur de l'abbaye de Landévennec. À l'époque, la paroisse de Beuzec regroupe l'actuel quartier de Beuzec et l'îlot de Conq. Les maisons dont il est fait référence furent constituées en prieuré sur la partie la plus haute de l'île. Aujourd'hui on peut situer cet endroit sur la place Saint-Guénolé. Les moines de Landévennec vont donc construire leur prieuré, et aider au développement de la cité.
Selon d'autre sources, Concarneau aurait été fondée par Concar fils d'Urbien et petit-fils du roi Judicaël. Il aurait chassé les pictes présent et se serait donc installé sur l'îlot rocheux de Concarneau. Concar baptise en 692 la ville Concar-Keroneos ou Conkerneos qui se traduirait par Concar, fils d'Urbien. Concar meurt en 725. Concarneau est pris par les Francs en 799, mais reprise par les bretons en 809 .
L'îlot rocheux est défendu par des fossés profonds avec retranchements de terre surmontés de fortes palissades en troncs d'arbres entourant un château.
( photo ci-dessus : Un portique écotaxe a été incendié, le 5 juin 2014, à Jugon-les-Lacs, dans les Côtes-d'Armor). L'écotaxe va être remplacée par un "péage de transit poids lourds" Le cabinet du Premier ministre a confirmé les informations de "Ouest-France". Le nouveau dispositif doit entrer en vigueur d'ici le 1er janvier 2015.
Ségolène Royal voulait une remise à plat de l'écotaxe. C'est chose faite. Le dispositif va être remplacé par un "péage de transit poids lourds", annonce Matignon, dimanche 22 juin, confirmant une information du quotidien régional Ouest-France. Selon le journal, il devrait concerner les camions de plus de 3,5 tonnes, et un total de 4 000 km de routes contre les 15 000 prévus initialement.
Dans l'Ouest, où la fronde des "bonnets rouges" avait conduit le gouvernement à suspendre l'écotaxe à l'automne dernier, seul l'axe Saint-Lô/Nantes via Rennes sera concerné par le nouveau péage, précise le journal, qui cite des sources au ministère de l'Ecologie, et publie une carte du nouveau dispositif.
Véhicules agricoles exonérés :Selon Ouest-France, le système retient les axes de grand transit enregistrant un trafic "supérieur à 2 500 poids lourds par jour". Il épargne ainsi les trajets courts ainsi que la Bretagne à l'ouest de Rennes. "Cela correspond aux grands itinéraires traversant le pays sans péage et à des axes parallèles aux autoroutes payantes, comme la RN4 entre Paris et l'est de la France et la RN10 entre Bordeaux et Poitiers", précise une source au ministère de l'Ecologie, citée par le quotidien.
Le barème repose sur un taux moyen, modulable, de 13 centimes d'euro par kilomètre. "Les camions devront être équipés d'un GPS qui calculera le nombre de kilomètres parcourus et facturera en conséquence", indique le quotidien. Les véhicules et matériel agricoles tout comme les véhicules dédiés à la collecte du lait seront, eux, exonérés du péage.
Trois mois de rodage technique sont prévus avant l'entrée en vigueur du nouveau dispositif, prévu le 1er janvier 2015, annonce Ouest-France.