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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
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Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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BRETAGNE
Crues à Quimper ... des riverains "à cran" !
Crues à Quimper ... Des riverains à cran !
Quimper. L'Odet en crue, rue de l'Hippodrome par Letelegramme
Inondation sur inondation. Les riverains touchés par les crues sont fatigués. D’autant qu’aucune amélioration n’est prévue avant plusieurs jours. Reportage à Quimperlé, Quimper et Châteaulin.
Ce vendredi, en fin de matinée, nombreux étaient les Quimperlois à guetter le moindre signe de décrue de la Laïta. Comme à son habitude, quand elle sort de son lit, la rivière avait envahi les rez-de-chaussée des quais Brizeux et Surcouf.
"Quand j’étais gosse, il n’y avait que des débarras sous les voûtes au premier niveau. Les gens avaient conscience des dangers de la rivière. Après, on y a aménagé des magasins, des logements, avec les dégâts que l’on connaît", commentait un habitant.
"C'est usant" :
Ici, la décrue est intervenue vers midi. La rivière est quand même montée à la cote 4,52 m, contre 4,69 m fin décembre, inondant une cinquantaine de maisons et commerces. "C'est usant, soulignait un couple rencontré derrière sur les bords de l’Isole. C'est la troisième fois depuis le 24 décembre que la maison de mes parents, âgés de plus de 90 ans, est inondée, précisait la femme. Nous avons une nouvelle fois surélevé le mobilier. On s'est levé à 5 h du matin pour le faire après avoir consulté les niveaux sur Internet. Mes parents sont hébergés chez mon frère sur les hauteurs de la ville. Ils ne risquent rien".
A Quimper, où 70 habitations et commerces ont été touchés, c’est le Steir - et non l’Odet - qui est sorti de son lit inondant le quartier du Moulin-Vert, mais aussi la rue René-Madec et la place Terre-au-Duc dans le centre historique. Vers 9 h, les pompiers poursuivaient leurs opérations de reconnaissance, de l’eau jusqu’à mi-cuisses.
"Vers 22 h, mes voisins ont mis ma voiture à l’abri. Après, j’ai dormi", expliquait ce retraité qui habite le Moulin Vert depuis son enfance. "Ce n’est que ce matin que j’ai constaté l’étendue des dégâts. Ma maison a été construite légèrement surélevée, il n’y a pas d’eau à l’intérieur. Par contre, mon garage est inondé".
Des prévisions parfois jugées alarmistes :
A 100 m de là, un informaticien, aidé de sa femme et de sa fille, raclait les dernières traces d’eau boueuse dans son local professionnel. "Quand on a acheté ici, on savait que c’était inondable. Alors on fait avec. Hier, quand j’ai su que le Steir risquait de sortir de son lit, je suis revenu ici pour surélever mon matériel qui a été épargné".
Vers 14 h, le Steir reculait enfin. Dans le même temps, le débit de l’Aulne à Châteaulin augmentait sérieusement. Mais dans des proportions moindres que l’avaient prévu les services de la préfecture qui tablaient sur une crue équivalente à celle de 2000. Cela n’a heureusement pas été le cas. Certains habitants, ne croyant pas à ces prévisions alarmistes, ont refusé de quitter leur domicile. Même si les niveaux d’eau n’étaient pas importants, une trentaine de maisons ont été impactées par les crues.
Dans tout le sud-Finistère, l’inquiétude régnait, car un nouvel épisode pluvieux était prévu. (source : Le Télégramme)
TEMPETES ... ma région natale touchée aussi !
Pleyben. Pont-Coblant : l'auberge touchée par la crue (source : Le telegramme)
Qumaira, Ruth : Comment se forment les tempêtes ?
Alors que la tempête Qumaira a touché le Nord-Ouest du pays, suivie de Ruth aujourd'hui, explications sur le phénomène des tempêtes, normal en hiver.
Comment naît une tempête ?
A partir de l’interaction entre les masses d’air. « Elles résultent d’un conflit entre la masse d’air polaire (froid et sec) et d’un air marin plus chaud. Quand les deux masses d’air se rencontrent, l’air chaud, plus léger, va monter au-dessus de l’air froid. C’est ce qu’on appelle des fronts et la perturbation de ces fronts engendrent les dépressions », explique Pierre Queffeulou, Océanographe physicien au Centre Ifremer Bretagne (basé à Brest).
Pourquoi se succèdent-elles ?
Depuis le 15 décembre, cinq épisodes d’intempéries se sont succédé en Bretagne. Mais, à l’heure actuelle, l’origine de cette répétition n’est pas établie. Ce que peuvent expliquer, en revanche, les scientifiques, c’est pourquoi ces tempêtes s’abattent sur l’Ouest. « On observe un décalage vers le sud des tempêtes. Habituellement, elles se situent plus vers le nord, c’est-à-dire vers l’Irlande ou l’Ecosse ». Autre constat : pour Pierre Queffelou, « ces tempêtes n’ont rien d’extraordinaire. Ce qui est plus exceptionnel, c’est leur fréquence. » Même si, en janvier et février 1990, pas moins d’une dizaine de tempêtes s’était succédé dans l’Ouest de la France.
Comment se développe une tempête ?
Pour comprendre comment se développe une tempête il faut tenir compte de deux phénomènes : le vent et l’état de la mer. Quand les dépressions se créent dans l’Atlantique nord, elles se forment dans la partie ouest de l’Océan, vers Terre-Neuve et se propagent d’Ouest en Est. Elles se creusent plus ou moins selon les propriétés des masses d’air (chaleur, humidité…). Elles engendrent au niveau de la surface de la mer des vents de différentes intensités suivant la dépression. Plus le gradient de pression est fort (différence de pression entre deux points de même altitude), plus le vent se lève.
Pour la création de vagues, il faut que le vent souffle suffisamment longtemps ? sur une surface suffisamment grande et dans le même sens. « Lors des dépressions assez étendues comme nous traversons en ce moment, cela signifie que un vent relativement fort souffle de manière constante sur de longues distances ».
Lorsque le vent arrive sur la côte il rencontre des reliefs qui ralentissent sa course. « C’est pourquoi le vent est ainsi atténué à l’intérieur des terres », explique Pierre Queffeulou.
Quelles ont été les tempêtes les plus remarquables ?
Pierre Queffeulou se réfère à un ouvrage de météo publié en 1973 qui indiquait qu’elle remontait au 4 décembre 1896. « A cette période-là l’île de Sein avait été recouverte par les vagues », raconte le chercheur. Selon Météo France, le record, en France métropolitaine, date toujours des 15 et 16 octobre 1987. A Granville (Manche) et à la pointe du Raz (Finistère), des rafales avaient atteint 216 km/h.
(Source : Ouest France)
Ruth : Attention ce week-end, mer "très grosse" !
Attention, ce week-end, mer "très grosse" !
Météo France prévoit pour ce week-end des conditions épouvantables en mer au large des côtes de l'Ouest.
Ce n'est plus la faute de Qumaira, mais de sa cousine Ruth, une tempête située sur l'Irlande et qui file vers l'Ecosse. Elle va entraîner durant le week-end une très forte houle et un fort vent de mer sur la façade ouest du pays.
Selon Météo France, de samedi midi à dimanche midi, la mer va grossir pour devenir "très grosse" localement, notamment en mer d'Iroise.
8e degré sur 9 !
Cet état de "très grosse" est le 8e degré de l'échelle de Douglas, qui sert à mesurer l'état de la mer. Il n'y a qu'un seul échelon au dessus de "très grosse", c'est "énorme"...
Prudence sur les côtes, donc !
TEMPETE QUMAIRA ... 8 départements en vigilance !
Tempête Qumaira : 6 départements en viligance orange, 2 en alerte rouge !
© Météo France
Météo France a maintenu ce vendredi 6 départements en vigilance orange en raison de la tempête hivernale Qumaira. Le Finistère et le Morbihan sont quant à eux en alerte rouge à cause des risques de crues. Une vigilance en vigueur jusqu'à samedi matin 6 heures.
Conséquence des vents violents qui ont balayé l'ouest du pays ces dernières heures, près de 55 000 foyers sont privés d'électricité, a indiqué ERDF. "Des chiffres qui risquent d'évoluer rapidement à la hausse", a regretté un porte-parole de l'entreprise.
Autre incident dû à l'épisode tempétueux, l'échouage d'un cargo espagnol dans le port d'Anglet. Causé par la tempête Petra, qui s'est abattue sur les côtés françaises en début de semaine, l'accident n'a heureusement pas fait de victimes parmi l'équipage du bâteau, mais inquiète quant aux éventuelles conséquences environnementales. Si les autorités ont assuré que le risque de pollution majeure était écarté, environ 20 tonnes de carburant se seraient déversées près des côtes, a de son côté assuré Le Monde.
De puissantes rafales de vent :
Le Pas-de-Calais, en alerte orange aux vents, est également, avec l'Ille-et-Vilaine, placé en vigilance orange pour le risque de crues. "Près des côtes, on a relevé des vents à 128 km/h à l'Ile d'Yeu (Vendée), 111 km/h à Groix (Morbihan)", a indiqué l'agence météorologique. Météo France a aussi précisé que des vents de 111 km/h avait été enregistrés à Roissy (Val-d'Oise) et à Nantes-Bouguenais (Loire-Atlantique). Les alertes vigilance orange "précipitations" et "vagues-submersion" ont en revanche, elles, été lévées.
Il ne pleut plus ce vendredi matin sur Guingamp. Mais ça n'a pas cessé de la nuit. Du coup, ce matin, le parking Saint-Sébastien, en bordure du Trieux est entièrement inondé. Tout comme la rue Penquer, dans le quartier Sainte-Croix. Néanmoins, heureusement, les dégâts semblent minimes, ce matin. L'eau n'a pas pénétré dans les maisons. A l'exception de quelques garages inondés, notamment, rue du Croissant, à Pabu, les pompiers n'ont pas eu trop de travail. Elus et secouristes s'attendaient à pire, à vrai dire.
trois départements bretons restent en alerte orange !
Tempête Petra. Seuls trois départements bretons restent en alerte orange !
Trois départements de la pointe bretonne sont maintenus en vigilance orange "fortes-précipitations". L'alerte "vague-submersion" est levée partout.
Une accalmie avant une autre tempête. La vigilance orange "fortes-précipitations" est maintenue pour les Côtes-d'Armor, le Finistère et le Morbihan.
Elle est levée pour les six autres départements : Charente-Maritime, Gironde, Landes, Loire-Atlantique, Pyrénées-Atlantiques et Vendée.
Plus de risque de submersion :
Par ailleurs, la vigilance "vagues-submersion" est entièrement levée par Météo-France.
Toutefois, un épisode pluvieux notable arrivant sur des sols déjà saturés et nécessitant une vigilance accrue est attendu.
Une nouvelle dépression au nord-ouest de la Corogne en fin de nuit va remonter vers le sud-ouest-Bretagne au cours de la journée de jeudi, puis se décaler en Manche.
Associée à cette dépression, une zone pluvieuse atteindra en fin de nuit prochaine la façade atlantique. Au cours de leur progression vers le nord-est en matinée, les pluies vont s'intensifier, plus particulièrement sur les départements de l'ouest-Bretagne.
Toujours du vent :
Les pluies s'évacueront de la Bretagne en seconde partie de nuit de jeudi à vendredi. Sur l'épisode, on attend des précipiations comprises entre 20 et 40 mm, localement 50 à 60 mm sur les versants exposés du relief. Le sud-est du Morbihan devrait rester en deçà de ces seuils (15 mm attendus).
En liaison avec ces pluies, le vent de sud-est à sud se renforce avec des rafales de 80 à 100 km/h dans les terres, 90 à 110 km/h sur les côtes. A l'arrivée de la dépression en soirée, puis son passage au cours de la nuit, le vent de sud à sud-ouest puis ouest à ouest-nord-ouest va se renforcer sensiblement.
Un passage en vigilance orange vent est probable vers 6 heures jeudi matin avec extension à d'autres départements. (source : Ouest-France)
Tempête Petra ... rafales à plus 150 km/h !
Tempête Petra. 14500 foyers sans électricité, rafales à plus 150 km/h. en Bretagne !
DANS LE FINISTERE ...
La tempête Petra s'abat sur le Finistère, avec des rafales dépassant les 150 km/h par endroits. Mercredi matin, de violentes rafales sont à nouveau attendues sur le Finistère. Elles atteindront 120 à 140 km/h sur le littoral de ce département, voire 150 sur les caps exposés, et 100 à 110 dans les terres", A 11 heures mercredi, 22.500 foyers sont privés d'électricité en Bretagne.
Plusieurs routes coupées :
Les sapeurs-pompiers sont déjà intervenus à 330 reprises, essentiellement dans le Sud-Finistère, pour des chutes d'arbres et de branchages.
La chute d'un arbre a ainsi interrompu la circulation sur l'axe reliant Quimper à Fouesnant, et la N165 est coupée à hauteur de l'échangeur de Kerandréo, à Riec-sur-Bélon. Elle le sera toute la nuit; sa réouverture est prévue vers 6h30. La D28 est aussi coupée à Tréglonou.
Coupures d'électricité et dégâts :
A 22h30, quelque 8500 clients EDF étaient privés d'électricité, dans les secteurs de Crozon, du Cap Sizun et du Pays Bigouden. Les environs de Quimperlé sont plongés dans le noir.
Le vent a aussi causé des dégâts : à Melgven, le toit d'un haras s'est envolé ; à Plomelin, une partie du toit de la tribune du stade de football s'est froissée ; à Camaret, un ponton a cassé, nécessitant l'évacuation d'une douzaine de plaisanciers.
La préfecture du Finistère a ouvert une cellule de crise. Elle se réunira mercredi matin à 7h30.
Des vagues de 10 mètres sont attendues au large de La Torche mercredi vers 10 heures.
DANS LE MORBIHAN ...
Liaisons maritimes supendues :
A partir de 18 h, les liaisons maritimes ont été suspendues entre Quiberon et Belle-Ile et des routes ont été coupées après des chutes d'arbres.
Rafales à 130 km/h :
Le vent souffle fort dans le Morbihan ce mardi soir et pas uniquement le long du littoral où des pointes à 130 km/h ont été relevées. Au point que les liaisons ont été annulées entre Quiberon et Belle Île à partir de 18 heures.
Chutes d'arbres :
Dans les terres, les bourrasques ont en effet aussi fait des dégâts, touchant notamment plusieurs lignes électriques.
De 3 000 foyers privés d'électricité à 20 h, on est passé à 6.000 à 21h30, essentiellement dans les secteurs de Baud et Le Faouët, mais aussi entre Saint-Allouestre et Ploërmel. Les agents d'ERDF sont actuellement mobilisés pour effectuer des réparations.
Pas de blessés :
Au centre opérationnel départemental, actionné depuis le milieu d'après-midi à la préfecture à Vannes, à 20 heures on recensait une soixantaine d'interventions des pompiers à travers tout le Morbihan, essentiellement pour des routes coupées par des chutes d'arbres et de pierres. Mais aucun blessé n'est à déplorer.
EN LOIRE-ATLANTIQUE ...
Le département est placé en alerte orange pour des vagues attendues à partir de 6h mercredi matin.
Ce mardi soir, à 20h30, les pompiers n'ont pas enregistré de dégâts liés à la tempête.
Il est conseillé de ne pas circuler en bord de mer, et de ne pas pratiquer des activités nautiques. (source : Ouest-France)
Trois départements bretons en vigilance orange !
Coup de vent : 3 départements bretons en vigilance orange ! (source : Ouest-France) Les Les Côtes-d'Armor, le Finistère et le Morbihan, ont été placés ce mardi matin en vigilance orange par Météo France.
Dans son bulletin de 06 h 00, Météo France annonce que cet événement débutera mardi à 16 h 00 et se terminera mercredi à 03 h00
Actuellement, précise l'agence de prévision dans son communiqué, "une nouvelle dépression très creuse circule sur l'Atlantique en direction de l'Irlande et génère des vents tempétueux".
Jusqu'à 140 km/h sur les côtes :
Si le vent, de secteur sud, est "faible ou modéré" mardi matin, il va "se renforcer progressivement et les rafales maximales atteindront en fin de journée et soirée, 90 à 110 km/h dans l'intérieur des terres, et jusqu'à 120 à 130 km/h sur les côtes, voire 140 km/h sur les endroits les plus exposés", précise le bulletin météo.
Météo France prévoit aussi "de nouvelles précipitations, modérées, mais dont l'écoulement vers la mer pourra être contrarié par ce vent fort, ainsi que par une houle de sud-ouest qui s'amplifiera la nuit prochaine sur le littoral atlantique".
Intempéries violentes ... à l'Ile de Sein !
Sein a subi un nouveau coup de tabac, dans la nuit de samedi à dimanche. L’île perd du terrain. Un morceau du quai des Paimpolais est tombé.
Les clients de l’hôtel des Trois dauphins, quai des Paimpolais, ont été évacués vers 5 h 30 ce dimanche matin. La porte de l’établissement a explosé sous l’effet des vagues. Une partie du quai, entre 4 et 7 mètres, selon les sources, s’est couchée. Les intempéries n’ont pas fait de blessé.
"Le littoral a énormément souffert" :
Ce matin, le maire de l’île, Jean-Pierre Kerloc’h, a fait un tour du propriétaire pour évaluer les dégâts. « Les bottes ne suffisaient plus. Il fallait des cuissardes », rapporte-t-il. La gare maritime du Men-Drial a littéralement explosé. La deuxième gare maritime a également subi de gros dégâts. « Le littoral a énormément souffert. Nous avons encore perdu énormément de terrain, constate Jean-Pierre Kerloc’h. C’est impressionnant. »
"Un mur a volé en éclats" :
Vers 8 h 30, la mer était encore « très grosse ». « Dans l’arrière-port, on a vu des vagues franchir les parapets. Le mur en pierre de protection d’une des propriétés a volé en éclat. La porte n’existe plus. Il y a pas mal de casse, poursuit le maire. Du goémon se trouve près de l’église, le point culminant de l’île, à 9 m d'altitude. Ça veut dire que la mer est venue jusque-là… »
"Le chemin côtier a disparu" :
« Au Nord de l’île, des blocs entiers de granit de plus d'une tonne sont tombés. D’autres menacent de s’écrouler. Le chemin côtier côté nord a pratiquement disparu. C’est dangereux pour les piétons », prévient Jean-Pierre Kerloc’h.
« C’est la mer qui se met en colère. Elle a le droit. À nous de faire avec, philosophe le maire. La vie continue. On espère que la houle va s’apaiser d’ici à ce soir car on attend encore un gros coefficient de marée. En attendant, on va parer au plus pressé. »
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