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BRETAGNE

Scoop ... le "breton" bientôt enseigné à Harvard !

Publié à 12:38 par yvonne92110 Tags : bretagne scoop le breton bientot enseigné à harvard
Scoop  ...  le "breton" bientôt enseigné à Harvard !

Le breton bientôt enseigné à Harvard !

Le breton va prochainement être enseigné au sein du plus ancien établissement d’enseignement supérieur aux Etats-Unis : Harvard. Un accord a été conclu avec l’université de Rennes.

Apprendre le breton à l’université Harvard sera bientôt possible. Un accord de coopération entre le département de breton et d’études celtiques de l'Université Rennes 2, et celui de littératures celtiques de l’Université de Harvard vienten effet  d’être signé. L’objectif ? "Enrichir l’étude des langues, littératures et cultures auprès des étudiants de master et de doctorat" et "intensifier la collaboration de recherche pour les enseignants chercheurs des deux universités", a expliqué Yann Bevant, chercheur au site rennais du Centre de recherches bretonnes et celtiques (CRBC).

"Des échanges d'étudiants et d'enseignants organisés" :

L’accord prévoit ainsi l’organisation régulière, par l'université de Rennes, de séminaires des études bretonnes à Harvard. "Concrètement, le breton va être enseigné à Harvard dans le cadre de sessions spécifiques" (appelées crash courses), et "des échanges d'étudiants et d'enseignants seront organisés", a précisé Yann Bevant. Initié en 2010 lors de conférences données à Harvard par des universitaires du CRBC, cet accord a été contresigné en juin par la partie américaine. Quelque 300 étudiants sont inscrits en études celtiques à Rennes 2.

Castel Meur ... la petite maison entre les rochers !

Publié à 14:07 par yvonne92110 Tags : bretagne castel meur la petite maison entre les rochers
Castel Meur  ...  la petite maison entre les rochers  !

Castel Meur, la petite maison entre les rochers !

Plougrescant (côtes d'armor),  est surtout connu pour la carte postale qui a fait le tour du monde et qui représente une petite maison de pierre construite et enchâssée entre deux énormes blocs de granit. Entourée d'un muret de pierre, elle a été construite à quelques mètres d'un gouffre.

Sorte d'image d'Epinal, cette curiosité était devenue la carte de visite d'un village bordant des falaises sauvages où vous trouverez une nature qui, là aussi, a laissé libre cours à sa fantaisie.

Vous ne trouverez plus dans les boutiques de souvenirs de cartes postales représentant cette maison : elles ont toutes disparu.


Castel Meur est le nom de cette maison surprenante. Elle tourne le dos à la mer depuis 1861, année de sa construction, pour se protéger des vents violents qui soufflent lors des tempêtes, fréquentes à cet endroit. Cette demeure minuscule fut érigée à une époque où les permis de bâtir n'existaient pas, où chacun pouvait construire à sa guise et laisser libre cours à sa fantaisie.

Il fallait par ailleurs avoir un amour immodéré pour la mer et ses caprices pour vivre en un tel endroit, surtout en hiver. Son bâtisseur était de cette trempe et vivra ici de nombreuses années, creusant presqu'entièrement de ses mains la lande pour y aménager deux étangs.

Ses héritiers ne l'occuperont qu'épisodiquement, les jours de beau temps. Elle sera une résidence secondaire pendant plusieurs décennies, paraissant même parfois abandonnée car ouverte seulement une fois tous les deux ou trois ans depuis la fin du 20ème siècle.

 L'occupante actuelle, en effet, petite-fille du premier maître des lieux quittera Tréguier où elle était née, pour aller faire fortune en Amérique. Après avoir cédé son affaire, elle revint s'installer ici en 2004.

Entretemps, les édiles locaux, soucieux de développer la vague déferlante du tourisme côtier, se seront emparés de l'image de Castel Meur pour en faire l'emblème de la Pointe de Plougrescant ...

Elle fera le tour du monde, générant un engouement tel qu'elle n'était plus considérée par le visiteur de passage comme une propriété privée mais comme un site ouvert à toutes les curiosités.

 La désinvolture ira à son comble un beau jour d'été où un autocar de touristes japonais aura la mauvaise idée de s'arrêter là : ses passagers voulant à tout prix un souvenir original iront jusqu'à grimper sur le toit de la maisonnette afin de s'y faire photographier ! Les dégâts qu'ils auront occasionné pousseront la propriétaire à protéger son bien : elle intentera une action en justice afin de faire valoir sa "propriété à l'image" et, depuis lors, toute représentation commerciale de Castel Meur est désormais interdite ...

Une barrière interdit l'accès au site bien au delà des limites de la propriété mais elle a une autre raison d'être. Construite à l'instigation de la LPO, elle est destinée à éviter le passage des hordes de touristes peu soucieux de l'intégrité des espaces naturels. Un oiseau se faisant rare sur ces côtes y niche à la belle saison, déposant un ou deux oeufs entre les galets : le gravelot. Il n'est pas le seul à devoir être protégé : le site entier menaçait d'être inondé aux grandes marées tant les galets y étaient emportés par des visiteurs indélicats. Jusqu'au milieu du 20ème siècle, ce furent les résidents de la région, plus tard, ce furent les touristes de passage voulant emporter un souvenir ...

Derrière la petite maison, une faille s'est taillée un chemin presque jusqu'au pied du rocher qui la protège. Faisant face aux éléments lorsque les vents soufflent, ses pans de rochers en amplifient le déchaînement au point d'en faire trembler, parfois, les fondations. La nature a placé ici un des jumeaux d'une autre image qui a fait la renommée de Plougrescant :

 le Gouffre !

Situé à l'autre extrémité de la plage, s'enfonçant un peu plus dans la mer devant un amas chaotique, le "vrai" Gouffre ouvre sa gueule tel un dragon tapis dans les entrailles du granit rose qui caractérise la côte. Surnommé gouffre de la Baie d'Enfer, il est formé d'un enchevêtrement de pans de falaise écroulés il y a bien longtemps. Les jours de tempêtes font vibrer les rochers où le vent et les éléments déchaînés hurlent alors avec une rare intensité la force d'un océan tout proche.

Le panorama qui s'y déroule semble ne plus vouloir s'arrêter à l'horizon d'une côte parsemée de pointes et de rochers rivalisant de sauvagerie.

Ce site remarquable, mais surtout impressionnant par la rudesse du paysage, décuple l'impression d'être en enfer lors des coups de vent. A ce moment, les déferlantes se ruent avec une violence décuplée entre les énormes blocs de granit, soulevant des gerbes d'écume soufflées sur des centaines de mètres !

Certains jours, le déchaînement des éléments prend des proportions extraordinaires, comme en mars 2008 où des vagues gigantesques faillirent emporter Castel Meur.

 D'une hauteur et d'une violence extrême, elles soulevèrent des tonnes de galets, arrachant également les pierres du muret d'enceinte édifié il y a 150 ans, pour les déposer plus loin, sur près d'un mètre de hauteur !

Belles faïences de Quimper et un p'tit air d'accordéon ...

Publié à 14:20 par yvonne92110 Tags : bretagne belles faiences et un p tit air d accordéon

Le juge devrait d'abord y séjourner ... à l'île de Sein !

Publié à 14:48 par yvonne92110 Tags : bretagne le juge devrait d abord y séjourner ile de sein
Le juge devrait d'abord y séjourner  ...  à l'île de Sein  !

Un juge de Montpellier a rejeté la demande d'une mère de famille séparée d'établir la résidence de ses enfants sur l'île de Sein en estimant que la commune était un lieu "relativement hostile" pour des enfants, ce qui a choqué le maire de la petite île finistérienne, a-t-on appris lundi auprès de celui-ci.

"Je ne met pas en cause le jugement, je m'élève contre le fait que l'île de Sein ait été traitée d'île hostile pour les enfants", a assuré à l'AFP Jean-Pierre Kerloc'h, confirmant une information du Télégramme.

Le juge du tribunal de Montpellier souligne dans son jugement rendu début août que l'île, située à une heure de bateau des côtes bretonnes, "peut-être assurément regardée comme étant un lieu de vie hostile pour les enfants", rapporte le quotidien.

"Ce n'est pas plus difficile de vivre à l'île de Sein que dans une commune de montagne", assure le maire de la commune, se disant "choqué par les propos du juge".

"Le jugement a été rendu au nom du peuple français, c'est donc au nom du peuple français que ma commune a été traitée d'hostile, je ne suis pas d'accord", a-t-il poursuivi. "C'est une discrimination que je ne puis accepter".

"Dans notre île on vit admirablement bien, en toute sécurité", a tenu à souligner M. Kerloc'h, indiquant que des enfants de 5 ou 6 ans se rendaient seuls à l'école le matin sur l'île. "Est-ce que vous croyez que dans toutes les communes de France et notamment dans les grandes communes un gamin de 5 ou 6 ans va à l'école tout seul  ?", a demandé le maire, disant avoir écrit au tribunal de grande instance de Montpellier pour demander le retrait de l'ordonnance des propos jugés choquants.

Quelque 140 personnes vivent à l'année sur l'île de Sein (2.000 en été) dont six enfants inscrits en primaire et sept en collège.

Hymne National Breton ... bro gozh ma zadoù !

Publié à 15:05 par yvonne92110 Tags : bretagne hymne national breton bro gozh ma zadou
Hymne National Breton  ...  bro gozh ma zadoù !

Nous Bretons de cœur, nous aimons notre vrai pays !
L'Arvor est renommée à travers le monde !
Sans peur, au cœur de la guerre, nos ancêtres si bons
Versèrent leur sang pour elle.

Refrain

O Bretagne, mon pays, que j'aime mon pays ;
Tant que la mer comme un mur d'elle,
Sois libre mon pays !

Bretagne, terre des vieux Saints, et terre des Bardes ;
Il n'est d'autres pays au monde que j'aime autant ;
Chaque montagne, chaque vallée est chère dans mon cœur ;
En eux dorment plus d'un Breton héroïque !

Les Bretons sont des gens durs et forts ;
Aucun peuple, sous les cieux n'est aussi ardent ;
Complainte triste, aux sons harmonieux s'élèvent en eux
O ! Combien tu es belle, ma patrie !

Si autrefois Bretagne, tu as fléchi durant les guerres,
Ta langue est restée vivante à jamais,
Son cœur ardent tressaille encore pour elle,
Tu es réveillée maintenant ma Bretagne !
  Ni Breizhiz a galon, karomp hon gwir Vro !
Brudet eo an Arvor dre ar Bed tro-dro !
Dispont e kreiz ar brezel, hon tadoù ken mad
A skuilhas eviti o gwad.

Diskañ

O Breizh ! Ma Bro ! Me 'gar ma Bro ;
Tra ma vo 'r mor 'vel mur 'n he zro,
Ra vezo digabestr ma Bro !

Breizh, douar a Sent kozh, douar ar Varzhed ;
N'eus Bro-all a garan kement 'barzh ar Bed ;
Pep menez, pep traonienn d'am c'halon 'zo ker ;
Enno 'kousk meur a Vreizhad ter !

Ar Vretoned a zo tud kalet ha kreñv ;
N'eus pobl ken kalonek a-zindan an neñv ;
Gwerz trist, son didius a ziwan eno ;
O ! Pegen kaer ez out, ma bro !

Mard eo bet trec'het Breizh er brezelioù bras,
He yezh a zo bepred ken bev ha biskoazh,
He c'halon a lamm c'hoazh 'n he c'hreiz,
Dihunet out bremañ, ma Breizh !

 

 
                    Paroles en français   Paroles en breton
L'hymne national breton s'appelle "Bro gozh ma zadoù"
(Vieux pays de mes ancêtres).

Exceptionnel ... marcher dans la mer en bretagne !

Publié à 12:19 par yvonne92110 Tags : bretagne exceptionnel marcher dans la mer finistère
Exceptionnel  ...  marcher dans la mer en bretagne !

Triélen-Molène, la marche dans la mer aux confins du Finistère Une fois l'an, par marée exceptionnellement basse et si la météo le permet, des randonneurs rééditent la marche à travers la mer qu'entreprenaient jadis les habitants de l'îlot de Triélen pour faire leurs courses  - et surtout boire un coup  -  dans la "grande" île voisine de Molène, aux confins du Finistère.

 
Photographe : Fred Tanneau :: Des randonneurs traversent la mer de l'îlot de Triélen à l'île de Molène le 22 août 2013, dans le finistère   
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"Ce n'est pas la course, mais il ne faudra pas traîner  : la mer remonte vite",  prévient René Masson,  président de l'Amicale molénaise, organisatrice de cette traversée unique en son genre.

La centaine de randonneurs tout juste débarqués sur l'îlot serrent fort leurs bâtons de bambous et se jettent à l'eau : ils ont à peu près une heure et demie, à la faveur d'un gros coefficient de marée, pour accomplir à marée basse les 3,5 km de traversée jusqu'à Molène (200 habitants), jadis terre promise et seul contact avec la civilisation pour les habitants de Triélen.

Inoccupé depuis les années 1960, acquis en 1972 par le conseil général du Finistère et aujourd'hui classé réserve naturelle, ce confetti de 900 mètres sur 300 ne compta jamais plus qu'une trentaine d'âmes vivant en quasi-autarcie. Il garde les traces des rudes conditions d'existence de ses anciens occupants: des fosses empierrées où ceux-ci faisaient brûler le goméon pour fabriquer de la soude.

"C'étaient des proscrits, des anciens demi-soldes, des gens pas très recommandables. Seul le patron avait un bateau. Eux venaient à pied et c'était pour la  "liche" (la picole, ndlr), pas pour la messe", évoque M. Masson.

A 79 ans, ce Molénais garde le souvenir de ces "débarquements à pied" qui rythmèrent la vie de l'île jusqu'à la Seconde guerre mondiale.

"En 1979, quand nous avons décidé de ressusciter cette traversée, on nous a traités de farfelus, d'irresponsables. Nous n'étions que 13 pour la première traversée, puis 30, et très vite nous avons dû refuser du monde", confie-t-il.

Impossible par coefficient de marée inférieur à 107, la traversée reste soumise aux aléas météo: en 35 ans, elle n'a pu être réalisée qu'à 22 reprises, la dernière fois jeudi à la faveur d'une grande marée de coefficient 109.

Saucisse fumée au goémon :

Dès le premiers pas, les randonneurs sont dans le bain, au sens le plus littéral du terme: l'eau, qui, grâce à un été exceptionnellement chaud, frôle les 16 degrés, atteint la taille.

Rapidement, la procession atteint des affleurements de rochers, rendus glissants comme du verglas par les laminaires, une variété de goémon plate et large comme des tagliatelles géantes.

Les randonneurs, âgés d'une cinquantaine d'années en moyenne et tous originaires de la région, trébuchent, glissent, tombent parfois, se raccrochent les uns aux autres, rient aux éclats.

"Il faut aimer cet environnement : être pendant une heure et demie à moitié dans l'eau, parmi les algues. Moi je trouve ça génial", indique Cécile, venue exprès de Nantes.

Aux deux tiers du parcours, et juste avant le passage le plus difficile, un caisse de muscadet attend les randonneurs: "il faut relancer les machines et ne pas oublier l'origine de cette marche", explique Christian, venu de l'île voisine d'Ouessant. "Attention, la gueule de bois n'améliore pas la flottaison", tempère un participant facétieux.

Car le dernier gué est le plus redoutable, alors que la mer remonte à grande vitesse. Les retardataires ont de l'eau jusqu'à la poitrine et certains, qui commencent à être emportés par le courant, doivent être secourus par des embarcations pré-positionnées.

Une fois séchés et changés, les randonneurs se voient remettre un certificat et participent à un joyeux banquet où l'on déguste de la saucisse molénaise, une spécialité fumée  ... au goémon, toujours exploité localement.

Connue par le bouche-à-oreille, la traversée Triélen-Molène, strictement contingentée pour raisons de sécurité, refuse chaque année des dizaines de participants et il faut montrer patte blanche pour en être.

Hervé, 60 ans, ne rate plus une édition depuis qu'il l'a découverte, voilà une demi-douzaine d'années. "J'aime la marche à pied. On vient de faire 15 jours de randonnée en Lozère. Mais là, ça n'a rien à voir", résume-t-il.

Balade aux Monts d' Arrée ... ma belle région natale !

Publié à 15:20 par yvonne92110 Tags : bretagne balade monts d arrée ma belle région natale
Balade aux Monts d' Arrée  ... ma belle région natale !
Le Huelgoat, au bord d’un lac de 15 hectares et d’une magnifique forêt domaniale, réservant mille surprises parmi ses chaos rocheux, est l’un des plus beaux sites des Monts-d’Arrée.
  
La forêt de Huelgoat fait tout le charme de cette bourgade du Centre-Finistère. La promenade est si magique que l'on ne manquera pas de faire des kilomètres pour venir se plonger dans ce monde à part. Vestige de l'antique forêt de Brocéliande, c'est un site de légendes où flotte encore le souvenir du roi Arthur. Les magnifiques chaos granitiques bercés par le chant de la rivière d'Argent -  elle doit son nom à l'exploitation d'une mine argentifère  - se découvrent au fil des sentiers. Plantée essentiellement de chênes et de hêtres, on y recense également de beaux pins et sapins et mélèzes. Des plans sont disponibles à l'office de tourisme, proposant des circuits de quatre à 12 kilomètres.

De nombreux sites dans la forêt :

A l'entrée de la forêt, vous pourrez ainsi descendre par une étroite échelle dans la Grotte du Diable, où la rivière retentit de façon assourdissante sur les amas granitiques.
 Après avoir traversé le théâtre de verdure, La Roche Tremblante vous incitera peut-être à suivre le rituel en cours en ce lieu : faire bouger ce bloc de 100 tonnes en appuyant au bon endroit !

Après avoir admiré le Ménage de la Vierge, le sentier des Amoureux vous conduira à la grotte d'Artus ainsi qu'au camp d'Artus, vestige d'une motte féodale. Un petit pont de bois vous permettra ensuite de franchir la Mare aux Sangliers.
Le Gouffre et sa magnifique chute d'eau, la Mare aux Fées ainsi que le point de vue de La Roche Cintrée sont d'autres sites à découvrir dans la forêt.

  • Un beau lac de 15 hectares se découvre par ailleurs aux pieds de la ville. Les Jardins de l'Argoat sont l'idéal pour une agréable promenade botanique (tél. 02.98.99.76.26) de même que Poerop (tél. 02.98.99.95.90). La Miellerie vous fera pénétrer dans le monde secret des Abeilles (tél. 02.98.99.94.36).

L'église, au centre-ville, mêle les style gothique et Renaissance. Dominant la cité, la chapelle Notre-Dame des Cieux arboreun clocher du XVIIIème.


Le mobilier et les statues (saint Michel et saint Raphaël) dans le choeur de l'Eglise, n'existent plus, suite à divers pillages ...  

Succès de la fête des Jumeaux ... à Pleucadeuc !

Publié à 21:27 par yvonne92110 Tags : bretagne succès de la fete des jumeaux à pleucadeuc
Succès de la fête des Jumeaux  ... à Pleucadeuc !

1.800 "doubles" réunis dans la capitale européenne des jumeaux Depuis 20 ans, le petit village breton de Pleucadeuc donne chaque 15 août l'impression de voir double à l'occasion de sa "fête des deux et plus" qui a réuni cette année, devant quelque 11.000 personnes, près de 1.800 jumeaux, triplés et quadruplés, une fréquentation record depuis sa création.

  
Photographe : Fred Tanneau :: Deux paires de jumelles prennent la pose lors de la 20e édition de la 'fête des deux et plus' à Pleucadeuc (Morbihan), le 15 août 2013 
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"Il n'y avait jamais eu autant de monde", constate, souriante, une des organisatrices de l'évènement, elle-même jumelle. "C'est laquelle, celle-là  ? Aurélie ou Cécile?", demande une dame. Elle, c'est Aurélie Launay, mais elle est habituée à la question.

Poussettes doubles, enfants-sosies vêtus à l'identique, adultes déguisés, jouant de leur ressemblance, ont investi les rues du village du Morbihan, où vivent une trentaine de paires de jumeaux en temps normal, pour le traditionnel défilé au son d'airs bretons, suivi d'une kermesse qui a duré jusqu'au soir.

Sur les pelouses, entre les stands de buvettes et le château gonflable, les visages et les tenues se déclinent en double ou en triple. Deux Pierrots, trois jeunes filles en robe blanche, et même quatre femmes à la ressemblance stupéfiante, les seules quadruplées présentes cette année.

Tous sont venus pour rencontrer d'autres "deux et plus" et cesser d'être l'exception pour devenir la norme, le temps des deux journées que dure la fête.

En temps normal, "dans la rue, les gens nous remarquent, nous demandent de prendre des photos  ... Ici, on sent qu'on n'est pas les seules", expliquent, presque à l'unisson, Loezia et Mylène Caro, jumelles de 14 ans vêtues de robes beiges identiques.

Contrairement à beaucoup, qui ne se sont habillés de la même façon que pour l'occasion, il arrive aux deux jeunes filles de le faire au quotidien.

C'est pour que ses jumelles, nées en 1981, sachent qu'elles n'étaient pas seules dans leur cas qu'Alain Launay, maire du village, a créé la "fête des deux et plus" en 1994.

Marjorie et David Malherde, parents de cinq enfants dont deux jumelles de neuf ans, sont venus de Brest pour cela. "Aujourd'hui, c'est nous (les non-jumeaux) qui sommes différents!", lance la maman.

Certains parents sont également venus chercher des conseils pour l'éducation de ces enfants un peu différents.

"Ils n'ont qu'un an, mais on sent déjà qu'il y a un lien spécial entre eux", explique Céline Corlou, appuyée sur la poussette double où dorment Timéo et Jeanne, ses jumeaux. "Ils dorment dans la même pièce, se recherchent l'un l'autre, ils n'aiment pas être séparés".

Si le nombre de jumeaux monozygotes, plus de 600.000 en France, ne cesse de croître notamment avec le développement de la procréation assistée, les occasions de se rencontrer sont rares. C'est donc avec fierté que Pleucadeuc s'auto-proclame "capitale européenne des jumeaux", en dépit de la concurrence de certaines communes, comme Jumeaux, dans le Puy-de-Dôme, qui a lancé son propre rassemblement.

"Le village des jumeaux", annonce un panneau à l'entrée de la commune bretonne - d'ailleurs non jumelée. Le boulanger du village a même inventé le "gâteau des jumeaux", le "Jumelien", à base de pommes caramélisées.

Tout le village s'approprie cette identité et bénéficie des célébrations de la gémellité. Selon Aurélie Launay, "tous les hôtels sont bouclés, à Pleucadeuc et dans les alentours, jusqu'à Vannes".

Festival de Saint Malo ... la route du Rock est lancée !

Publié à 12:22 par yvonne92110 Tags : bretagne festival de st malo la route du rock est lancée
Festival de Saint Malo  ...  la route du Rock est lancée  !
La 23e édition du festival se déroule du 14 au 17 août : trois groupes joueront à la salle de concerts la Nouvelle Vague et le festival se poursuivra au Fort Saint-Père.

Le travail de défrichage a encore été énorme. Le directeur du festival, François Floret, et les organisateurs ont fait des trouvailles. Et misent aussi sur des pointures reconnues : Nick Cave and the Bad Seeds, qui fêtent trente ans de carrière, font partie des têtes d’affiche.

Avec Tame Impala, le festival a également su attirer une valeur sûre de la scène montante du rock psychédélique. Leur excellent deuxième album, lonerism, a été encensé par la critique.

En salle d’abord :

Cette année, une soirée d’ouverture est proposée à la salle de concerts La Nouvelle Vague, à Saint-Malo. La maison de production Domino Records, qui produit entre autres Arctic Monkeys et Franz Ferdinand, est à l’affiche.

Au programme :  Austra, une formation originaire de Toronto, à l’univers unique entre musique classique et sonorités électroniques ; Clinic, un groupe post-punk qui avance masqué et dont les derniers albums marquent un revirement vers un son plus posé :  Julia Holter, une héritière de Kate Bush par son approche expérimentale et polyphonique.

Direction le Fort Saint-Père :

Comme chaque année, le festival sera véritablement aujourd'hui, le 15 août. Le premier jour fait la part belle à des groupes encore peu connus dans l’Hexagone, comme Fuck Buttons, ou !!! (prononcer chk chk chk) dont les sonorités funk et rock sont sublimées par la belle présence scénique du chanteur Nic Offer.

À noter également la présence de Jacco Gardner, petite réincarnation des Pink Floyd de la fin des années 60. À ne pas manquer non plus, Local Natives, beau mélange entre The National et Grizzly Bear.

Tame Impala très attendus :

Le second jour de festival mettra en lumière de superbes ovnis mélodieux, tels le collectif montréalais « Godspeed You ! Black Emperor », qui avait disparu de la scène pendant près de dix ans. Leur retour engagé porte l’empreinte du printemps érable, grand mouvement de grève étudiant qui avait mis le Québec sens dessus dessous l’année dernière.

À découvrir également, le groupe danois Efterklang, dont le quatrième album rafraîchissant a été enregistré en exil dans l’Arctique.

On ne pouvait rêver meilleur point d’orgue pour le dernier jour : l’inimitable voix du chanteur de Junip (José Gonzales, également en solo), les très attendus Tame Impala, et les petits voisins normands de Concrete Knives.

Gageons que d’ici deux ans, les pépites d’aujourd’hui seront devenues des incontournables de la discothèque de tout mélomane qui se respecte.

Les frelons asiatiques ... ont colonisé la Bretagne !

Publié à 11:02 par yvonne92110 Tags : bretagne les frelons asiatiques colonisent la bretagne
Les frelons asiatiques  ...  ont colonisé la Bretagne !

Les apiculteurs bretons le craignent mais ne s’étonnent plus de le croiser : le frelon asiatique a bel et bien investi la région. L’espèce est reconnue comme étant particulièrement nuisible pour les abeilles. La vigilance est de mise pour tenter de contenir le phénomène.

En Bretagne depuis 2008 :

De couleur sombre avec un large anneau orangé à l’extrémité de l’abdomen, des pattes jaunes et une taille inférieure au frelon classique : le frelon asiatique est facilement reconnaissable. Depuis quelque temps, ce prédateur volant a envahi la Bretagne, région qui, jusqu’alors, était épargnée. Les premiers nids ont été repérés en 2008 à Saint-Malo.

Dans le Morbihan, on a dépassé les 100 nids détectés. En Ile-et-Vilaine, 17 foyers ont été identifiés et 10 nids ont été localisés et détruits, selon la Fevildec. Dans les Côtes-d’Armor, 7 fondatrices ont été capturées. Plusieurs cas ont également été signalés dans le Finistère. D’autres régions sont considérablement plus impactées, et parmi elles la Gironde, où l’on a dénombré plus de 700 nids.

Pourquoi sont-elles dangereuses ?

Postés en vol stationnaire au-dessus de la ruche, les frelons asiatiques, par groupe de 20 ou 30 spécimens, « chassent » les abeilles pour nourrir leurs larves. Outre le fait de perdre quelques abeilles, ce que déplorent les apiculteurs, c’est le stress permanent dans lequel se trouvent les abeilles. Tétanisées, elles ne travaillent plus, ne pollinisent plus, ne produisent plus de miel.

"L’homme aussi peut craindre ce prédateur asiatique, puisque son venin peut être mortel, si la personne piquée est allergique".

Ouvrez l’œil :

Lorsqu’un nid est repéré, il ne faut en aucun cas prendre l’initiative de le détruire seul. Le mieux est d’appeler immédiatement la Fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles (FDGON) qui fera intervenir un professionnel en combinaison et en lunettes de protection.

Pour les apiculteurs qui voudraient eux-mêmes confectionner des pièges contre les frelons asiatiques : à nouveau, prudence. Des insectes non nuisibles pourraient être tués du même coup. La FDGON propose gratuitement des pièges spécialement adaptés à la capture des frelons asiatiques.