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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Parmi les conducteurs roulant dans l'illégalité, ce jeune Chinois manchot remporte sans conteste la palme de l'originalité.
Alors qu'un camion s'arrête, lors d'un contrôle routier, apparaît à la fenêtre, un conducteur sans... mains. Malgré les suppliques du contrevenant, les forces de l'ordre chinoises, de la province du Hùnàn, interceptent le camionneur.
La palme de l'originalité :
Parmi les conducteurs roulant dans l'illégalité, ce jeune Chinois manchot remporte sans conteste la palme de l'originalité. Un contrôle routier que les policiers chinois ne sont pas près d'oublier.
Vous aimeriez, vous, qu’on vous traite de maudit sauvage ? Qu’on vous arrache à votre terre et à vos parents ? Qu’on vous oblige à renier vos origines et vos valeurs ? L’histoire paraît d’un autre temps. Le chef amérindien Dominique Rankin, pourtant, du haut de ses 67 ans, peut en témoigner. C’est l’histoire qu’il a vécue, enfant, lorsque les Blancs ont exproprié sa famille pour s’accaparer la forêt où elle vivait. Lorsqu’ils se sont retrouvés parqués à proximité de la ville, sans avoir le droit de la fréquenter. Lorsque qu’il a été envoyé de force avec cinq de ses frères et sœurs au « pensionnat des petits sauvages », confiés aux bons soins d’hommes et de femmes d’Eglise « qui ne nous aimaient pas ».
Un processus déshumanisant :« Leur but était de faire de nous des Blancs, en tuant le petit indien à l’intérieur », se souvient Dominique Rankin. Interdiction de parler l’algonquin ou de porter des vêtements traditionnels. Interdiction d’être identifié autrement que par un numéro. Interdiction de croire en autre chose que dans le Diable et le Bon Dieu… La violence est morale, mentale, mais aussi physique. Chaque pas de travers est puni par des sévices corporels et des abus sexuels, perpétrés par des hommes autant que par des femmes. « Certains missionnaires étaient bons, tient-il à nuancer, mais ils se protégeaient les uns les autres. »
Les jeunes amérindiens sont cloîtrés, désemparés, incapables de concevoir ce qu’ils endurent et d’en parler. « Avant d’arriver là, nous ne connaissions pas la violence, rappelle Dominique Rankin. Dans notre langue, il n’y a pas de mot pour désigner le viol ; on n’en a pas besoin. » Au fil des années, les élèves se blindent, apprennent à répondre à la haine par la haine, à la violence par la violence. Après 6 ans au pensionnat, « à 14 ans, j’étais devenu dangereux, confirme le chef algonquin. Tout ce qu’on voulait, c’était faire mal », au point de s’organiser pour filer une raclée au plus sadique de leurs oppresseurs. Bilan : fracture du crâne pour l’agressé, passage devant la justice pour ses jeunes agresseurs, et là, miracle, l’oreille attentive d’un juge. Le magistrat écoute leur récit et ordonne qu’ils ne remettent jamais les pieds au pensionnat.
Mais le mal est fait. « Nous avions appris à ne pas nous aimer, à ne pas aimer nos parents et à détester les Blancs », indique Dominique Rankin. Comme bien des siens, il sombre alors dans l’alcool et l’errance, jusqu’au jour où sa mère vient le chercher dans le parc où il a échoué. Sans un pourquoi, juste pour le ramener chez lui, à lui – car « pas de réconciliation possible avec les autres sans réconciliation, d’abord, avec soi-même ».
Retour à soi :Au contact de sa terre, des anciens et de leurs enseignements, Dominique Rankin retrouve ses esprits.« Dans la nature, tu as l’esprit et le cœur libres, estime-t-il. En observant les arbres, les plantes, les animaux, en les écoutant, tu reçois de purs enseignements. Quand je suis retourné dans la forêt, je suis redevenu moi ; non plus l’enfant du pensionnat mais celui de la forêt », que ses aînés avaient reconnu dès l’âge de 7 ans comme un futur homme-médecine.
« Le pensionnat avait fait de moi un objet, une victime. » Au gré des initiations, au contact des anciens et du monde spirituel, il lâche prise de la violence et de la rancœur qui le rongeait. « Pendant des années, j’ai jugé : l’Eglise, les religieux, les Blancs. Dans ma tête, c’est tout ce monde-là qui m’avait violé. Mais ce n’est pas vrai ; c’est simplement l’homme et la femme malades ». La force de Dominique Rankin est d’avoir pris conscience que « l’autre » n’est pas « tous les autres ». Que le bourreau peut être aussi victime : d’un système, d’un schéma de pensée, d’un problème ou d’une pathologie personnelle… Et qu’il avait en lui la possibilité de recouvrer sa liberté d’être. « Ma chance est d’avoir eu des bases solides, dit-il. Merci à mes ancêtres, merci au grand esprit ! J’ai simplement eu à aller rechercher ce que j’avais délaissé. »
Dominique Rankin est devenu un exemple. Son témoignage a permis à d’autres de s’ouvrir et de faire le chemin. En tant que chef politique, il a œuvré pour l’affirmation et la reconnaissance de la culture amérindienne. Aujourd’hui, il se consacre à son rôle d’homme-médecine et de leader spirituel, tant pour les siens que pour les Blancs qui, de plus en plus, font la démarche de venir à lui pour bénéficier de sa sagesse et de ses enseignements. « Aujourd’hui, j’aime le monde, conclut-il. Avant je le détestais. » Mais impossible d’oublier. Le processus de guérison est quotidien. Tous les jours, il doit, nous devons tous, dépasser nos peurs et nos conditionnements pour faire l’effort de « nous trouver comme humains » et travailler, ensemble, au rassemblement.
(Source : INREES)
Rencontres avec Dominique Rankin en Europe
On nous appelait les sauvages, Dominique Rankin Marie-Josée Tardif.
Le jour (Mars 2012 : 160 pages)
La photo émouvante du jour : Le Le baiser d'adieu d'une girafe à son gardien malade !
Une girafe est venue donner un bisou d’adieu à son gardien. Celui-ci, en phase terminale d’un cancer, avait émis comme dernier souhait de retourner voir une dernière fois les animaux dont il avait eu la charge durant de nombreuses années.
Mario, un gardien de zoo en phase terminale d’un cancer est venu dire au revoir aux girafes dont il s’est occupé durant ses 25 années de services pour le zoo Diergaarde Blijdorp de Rotterdam.
La girafe l'a reconnu :
Selon le directeur de la fondation qui organisait la dernière visite ("Ambulance Wish Foundation"), les girafes l’ont reconnu et ont senti qu’il n’allait pas bien. L’une d’entre elle est venu déposer un bisou d'adieu sur sa joue, le remerciant ainsi d’avoir pris soin d’elle durant tout ce temps. Une fin émouvante pour celui qui a consacré sa vie aux animaux.
Myles Eckert est un petit Américain 8 ans. Le petit garçon a perdu son papa, mort sur le front en Irak, cinq semaines après sa naissance. L’enfant a récemment croisé un soldat dans un restaurant de l’Ohio et a eu un geste adorable.
Myles a offert un billet de 20 dollars et un petit mot au lieutenant-colonel Frank Dailey. La note disait : "Cher soldat, mon papa était soldat. Il est maintenant au ciel. J’ai trouvé ces 20 dollars sur le parking quand nous sommes arrivés ici. C’est votre jour de chance. Merci pour votre service. Myles Eckert"... L’enfant avait prévu de s’acheter un jeu vidéo quand il a trouvé le billet. Il a changé d’avis en croisant le soldat Dailey. "Il était soldat et les soldats me rappellent mon papa", a expliqué Myles à CBS.
Le soldat qui a reçu ce cadeau a été submergé par l’émotion. "C’est incroyable d’être reconnu d’une telle manière", a-t-il confié. "Je regarde ce message tous les jours". Il va jusqu’à dire que ce geste a donné une "nouvelle direction à sa vie".
Après son joli geste, Myles a demandé à sa mère de le conduire au cimetière. "Il voulait aller voir son père", explique-t-elle. "Et cette fois, il y est allé seul." Elle a immortalisé le moment émouvant de l’enfant en train d’étreindre la pierre tombale de celui qu’il n’a jamais connu.
(Source : RTL)
Owen est un enfant de 7 ans avec une maladie rare appelée syndrome de Schwartz-Jampel, ce qui provoque ses muscles à rester dans un état de tension constante. Haatchi est un chien adopté qui a vu sa part de prix des lacunes de la vie, il a perdu une jambe dans un accident de train. Ensemble, ces deux font une paire impressionnante de compagnons tellement qu’ils ont besoin de l’un et de l’autre.
Raymond Bru a surpris tout le monde. Cet ancien coiffeur normand, décédé en 2012 à l’âge de 93 ans, a légué l’ensemble de son patrimoine à son village d’origine, Saint-Germain-de-la-Coudre, dans l’Orne. Un patrimoine qui prend des airs de véritable fortune puisque le montant du legs s’élève à 2,5 millions d’euros.
« Il n'a jamais voulu profiter de cet argent » :
« C’était un ancien coiffeur, passionné de bourse, qui vivait très modestement à Paris dans un 20m² au 5e étage sans ascenseur » a expliqué Danièle Mary, maire de la petite commune. « Il n'a jamais voulu profiter de cet argent. Il a tout légué à la commune qui l'a vu naître et grandir ». Et le montant de ses biens est important : Raymond Bru laisse en effet à son village natal 2,15 millions d’euros, tirés de la vente de ses titres en bourse, auxquels s’ajoutent son assurance-vie, ainsi que trois biens immobiliers. Une fortune pour la commune normande, puisque ce don tombé du ciel représente trois fois son budget annuel.
Un espace « Raymond et Claude Bru » ouvert en sa mémoire :
Le conseil municipal, qui a découvert en 2013 le montant du legs, avait décidé d’annoncer la bonne nouvelle aux habitants à l’occasion de la cérémonie des vœux début 2014. La commune va ainsi pouvoir procéder à des travaux de rénovation et d’aménagement. Un espace « Raymond et Claude Bru » a été ouvert en mémoire de son généreux bienfaiteur et de son frère, décédé lui deux ans plus tôt.
Un chauffeur de taxi de Las Vegas a rapporté un sac oublié par son propriétaire avec 300.000 dollars en liquide à l'intérieur.
Le taxi a offert un beau cadeau à son passager distrait. Ce dernier avait oublié son sac contenant 300.000 dollars dans le véhicule. Le client, dont l'identité n'a pas été dévoilée, avait gagné cette somme (soit environ 220.000 euros) au casino dans la nuit de dimanche à lundi, précise le Las Vegas Sun.
Gerardo Gamboa, auquel le passager avait laissé un pourboire de cinq dollars à la fin de sa course entre deux hôtels, a été félicité par la compagnie qui l'emploie, Yellow Checker Star Transportation, qui l'a nommé "chauffeur de l'année" et lui a offert une prime de 1.000 dollars ainsi qu'un dîner en ville pour deux.
L'histoire ne dit pas si le passager étourdi lui a versé la récompense financière qu'il lui a promise lorsque celui-ci l'a retrouvé avec l'aide d'un policier. "S'il ne me donne rien, pas de problème", a déclaré Gerardo Gamboa au Las Vegas Sun. "Je n'attends pas de récompense, je voulais juste être honnête."
Delaney Brown est une petite fille de 8 ans atteinte de leucémie. Ne lui restant que peu de temps à vivre, elle a récemment fait une liste des choses qu’elle aimerait faire et voir avant de mourir. Afin de réaliser son voeu, près de 10.000 personnes se sont ainsi rassemblées devant sa maison samedi 21 décembre, pour entonner des chants de Noël.
Delaney Brown est une jeune Américaine de 8 ans originaire de West Reading, en Pennsylvanie. Il y a sept mois, les médecins lui ont diagnostiqué une leucémie aiguë myéloblastique, une grave maladie du sang qui requiert un traitement très lourd. Il y a un peu plus d’une semaine, ils constatent une aggravation de sa pathologie et lui annoncent qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre. La jeune fille décide alors de faire une liste de toutes les choses qu’elle aimerait faire ou voir avant de mourir.
Plus de 10 000 personnes présentes :
Samedi soir, des centaines de personnes étaient ainsi attendues dans les rues de sa ville natale afin d’organiser une chorale géante en l’honneur de la fillette. Ce sont finalement 10.000 choristes, touchés par son histoire, qui se sont rassemblés pour entonner des chants de Noël, à deux pas de sa maison. En raison de la maladie, Delaney ne peut plus se déplacer mais elle a tenu à remercier les personnes présentes en postant une photo sur sa page Facebook sur laquelle on peut la voir les deux pouces levés, son visage recouvert d’un masque à oxygène. "Je vous entends, merci ! Je vous adore !" pouvait-on lire sur son compte personnel, où l’on peut découvrir son histoire et suivre son combat contre la maladie.
Un miracle de Noël :
Pendant plus d’une heure, les 10 000 apprentis chanteurs se sont donc évertués à reprendre les plus grands classiques de Noël, le tout dans la convivialité et la festivité, tous étant rassemblés pour la jeune fille mais aussi, de manière plus générale, pour profiter de la magie des fêtes. "Je souhaite de tout mon coeur qu’un miracle se produise et sauve cette petite fille de 8 ans. Mais le véritable miracle, c’est justement qu’une petite fille de 8 ans montre à toute une ville, tout un pays, le véritable sens de Noël" a déclaré une des participantes.
(Source : Yahoo)
Trois ans après sa mort, elle offre le plus beau des cadeaux à sa famille ... Juste avant sa mort, Brenda Schmitz a écrit une lettre dans laquelle elle exprimait ses trois derniers souhaits. Elle a remis le courrier à un ami qui ne devait le publier qu’au moment où son mari retrouvait l’amour.
Brenda est décédée en janvier 2011 après un long combat contre un cancer des ovaires. Un mois avant de disparaître, elle a écrit une lettre à une radio locale en Iowa, "Star 102.5". Elle n’a pourtant été envoyée que cette semaine, par un ami de la défunte. Il avait pour mission de la dévoiler une fois que David, le mari, était retombé amoureux.
L’émission diffusée sur "Star 102.5" a pour objectif de réaliser les rêves de ses auditeurs durant la période des fêtes. "Cela fait 20 ans que nous faisons cela. Mais nous n’avons jamais reçu une telle demande", s’étonne Scott Allen, le directeur de la radio. "Personne n’a pu retenir ses larmes dans le studio quand nous avons reçu la lettre. Nous voulions dès lors faire quelque chose pour Brenda et pour ses proches."
Vendredi, la radio a invité David pour lui faire lire le courrier de son épouse. Un moment qui donne la chair de poule, comme on peut le voir dans la vidéo ci-dessous.
"Je vous aime, qui que vous soyez" ...
Pour son premier souhait, Brenda a demandé à la radio qu’elle offre à la nouvelle compagne de son mari, Jane, une journée complète de détente, pour la remercier de s’occuper de ses quatre enfants. "Donnez-lui le sourire et faites-lui savoir que j’apprécie son investissement auprès de ma famille. Je vous aime, qui que vous soyez", écrit-elle.
Brenda a également demandé que ses enfants puissent avoir un voyage "magique": "Quelque part où ils peuvent tous apprécier la compagnie de l’autre, dans un endroit qui crée des souvenirs dont ils se souviendront toujours." Elle tient aussi à récompenser le personnel de l’hôpital où elle était soignée, en demandant qu’il puisse se voir offrir une soirée de fête avec boissons et repas.
Tous les souhaits de Brenda ont été exaucés. Ses quatre enfants ont pu partir à DisneyWorld avec leur papa et sa nouvelle compagne. Une belle preuve d’amour, venue de l’Au-delà.
(Source : 7s7)
Matt Muircroft a fait un geste d’une beauté incroyable pour sa femme, Julie, âgée de 75 ans et souffrant de démence. L’homme, décorateur de métier, a recréé point par point l’intérieur de leur ancienne habitation pour aider son épouse à s’y sentir bien.
Le couple a vécu pendant dans 30 ans dans le Berkshire en Angleterre mais est retourné il y a peu dans sa ville natale de Motherwell pour se rapprocher de ses proches. Craignant que Julie soit bouleversée par ce déménagement, Matt a décoré leur nouvel appartement de l’exacte même façon que l’ancienne.
"Julie souffre de démence depuis 2009. Nous sommes retournés à Motherwell en mai dernier pour être plus près de notre famille", confie-t-il au Daily Mail. "Je savais que de grands changements pouvaient créer de la confusion et de l’anxiété chez quelqu’un touché par la démence. J’ai beaucoup réfléchi pour que la transition soit aussi facile que possible pour Julie. La chose la plus évidente à faire était d’utiliser les compétences de mon métier."
Matt a poussé le détail jusqu’à placer les photos aux mêmes endroits qu’avant. "Ca a sans aucun doute été le travail le plus important de ma vie. Prendre soin de Julie et l’aider à faire face aux changements que son état provoque, en faisant ce que je peux, est devenu mon seul objectif", confie l’époux aimant.
(Source : 7s7)