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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Tasha, un Staffordshire Bull Terrier, partage la vie de Dylan (10 ans) depuis six années. Mais les parents de l’enfant plongé dans un état végétatif sont très inquiets : une loi pourrait les séparer.Dylan Gerzmehlem est un garçon âgé de 10 ans. Depuis sa naissance, il est plongé dans un état végétatif. A ses côtés, un Staffordshire Bull Terrier nommé Tasha et considéré dangereux à Brandebourg (Allemagne).
"Présence thérapeutique" :
Chaque matin, et c’est le cas depuis six ans, le chien se faufile dans la chambre de l’enfant. Il lui témoigne son affection, replace sa couverture ou lui lèche le visage. Les parents de Dylan, Eckhard and Barbara Gerzmehlem, sont convaincus du soutien affectif de ce Staffordshire Bull Terrier, même si l’enfant ne peut pas bouger dans son lit. Certains spécialistes parlent même d’une "présence thérapeutique".
Espèce considérée comme dangereuse :
Petit problèm: l’enfant devra probablement se séparer du chien. En effet, la législation de Brandebourg (Allemagne) interdit la présence de Staffordshire Bull Terrier. Un malencontreux incident avec le chien des voisins de la famille a remis en cause la présence du chien.
Pétition et page Facebook :
Malgré tout, les parents de Dylan refusent de jeter l’éponge. Ils sont décidés à se battre et à faire appel à la justice pour garder Tasha. Une pétition et une page Facebook ont été créées pour soutenir la famille. (Quelle belle leçon de vie et d'amour : laissez les tranquilles !)
(Source : 7s7)
Ted Rummel, un chirurgien orthopédiste du Missouri, s’est retrouvé brusquement paralysé en 2010 quand un kyste rempli de sang a éclaté dans sa colonne vertébrale. Après un an d’une rééducation épuisante, il était déjà de retour au travail.
Les problèmes du docteur Ted Rummel ont commencé en 2009. On lui annonce alors la présence d’un hémangiome caverneux sur sa colonne vertébrale. Mais une opération lui ferait courir de trop gros risques de paralysie et les médecins décident de ne pas l’opérer. Il vit donc avec ce kyste pendant onze mois.
Mais en septembre 2010, le kyste éclate et l’opération est inévitable. Ted Rummel quitte le bloc opératoire avec une paralysie de ces deux membres inférieurs : il est désormais paraplégique. Lui qui pratiquait près d’un millier d’opérations chirurgicales par an, le voilà à craindre de ne plus jamais pouvoir travailler. "Une de mes premières pensées, ça a été de me dire : Oh mon Dieu, ma vie telle que je la connaissais a été effacée", se confie-t-il au Dailymail.
Retour au bloc :
Mais Ted Rummel est un battant. Sentant qu’il n’a pas perdu ses sens, il se jure qu’il fera un jour son retour en salle d’opération, et pas pour s’installer sur la table. A force de travail et de volonté, il retrouve petit à petit ses capacités. Un an plus tard, c’est chose faite : Ted effectue sa première opération depuis son accident. Un autre chirurgien était présent au cas où Ted ai besoin d’aide. Mais il n’a pas eu à intervenir. Rummel commence alors à exécuter toutes les opérations possibles depuis son fauteuil roulant: mains, coudes, pieds, chevilles et genoux. Mais il ne peut pas effectuer sa spécialité, l’opération de l’épaule. Il doit être capable de se tenir debout pour cela.
Ted a depuis trouvé la parade : un fauteuil un peu spécial capable de "se redresser". Attaché à ce fauteuil à l’aide de sangles, il peut se tenir debout et donc opérer presque aussi confortablement qu’avant. En pouvant travailler de nouveau, Rummel se sent revivre. Mais il sait d’où il revient : "Je n’aurais pas réussi à traverser tout cela si je n’avais pas ma merveilleuse épouse " explique-t-il. "Je suis tellement reconnaissant envers elle et ma famille, avec qui j’ai du tout recommencer ".
Rummel admet qu’il y a parfois des moments difficiles, mais il reste positif et déterminé à faire le bien autour de lui : "Quand cela m’est arrivé, j’avais une profession, j’étais instruit, j’avais des ressources, une famille et des collègues pour me soutenir. Je sais que beaucoup de gens n’ont pas tout cela, et je me bats comme je peux pour aider les autres".
(Source : Yahoo)
Grâce à un message posté sur Facebook par sa sœur, un employé de supermarché atteint du syndrome d’Asperger est devenu une célébrité dans sa petite ville de l’Etat de New York.
Quand elle a posté un message sur Facebook pour consoler son frère Chris Tuttle après une dure journée de travail, Jamie Virkler espérait récolter quelques commentaires attentionnés qui permettraient au jeune homme – atteint du syndrome d’Asperger – de se sentir un peu mieux. Mais elle était bien loin de s’imaginer que sa gentille initiative serait à l’origine d’un véritable raz-de-marée sur le réseau social. Pourtant, depuis sa publication ce dimanche 10 novembre, son billet a été "liké" plus de 120 000 fois, et a généré près de 22 000 commentaires.
"Une cliente s’est mise à hurler car elle le trouvait trop lent"
A l’origine de cette incroyable histoire, une altercation entre le jeune homme de 28 ans et une cliente un peu virulente de l’épicerie Wegmans – dans le nord de l’Etat de New York – où il travaille. "Une cliente s’est mise à hurler car elle le trouvait trop lent en caisse", explique un témoin de la scène. "Elle l’a tellement secoué que Chris a fini par faire accidentellement tomber une bougie qu’elle comptait acheter et l’a cassée."
Encore touché par cet échange musclé à la fin de son service, le jeune homme a parlé de ses déboires à sa sœur, qui s’est mis en tête de le consoler : "Il est toujours sur Facebook et je voulais trouver un moyen de le faire se sentir mieux sur un support qu’il adore". Le lendemain, Jamie s’est donc fendue d’un message plein d’attention sur le réseau social.
"Il n’a pas arrêté de sourire"
Et les réactions ne se sont pas fait attendre. Quelques heures après l’apparition des quelques lignes sur la toile, des milliers d’internautes ont apporté leur soutien au jeune handicapé. "Tout cela est arrivé si vite", a expliqué Jamie. "J’espère pouvoir répondre à chaque commentaire. Je veux remercier tout le monde car ces gens n’ont pas idée de ce que cela représente pour Chris. Depuis, je crois qu’il n’a pas arrêté de sourire."
"Cela me rend plus heureux, je me sens béni", a quant à lui confié Chris. Et pour cause : depuis le début de la semaine, le jeune homme est devenu une célébrité sur son lieu de travail, où de nombreux clients viennent lui offrir des cartes de soutien, lui serrer la main et même lui demander des autographes ! "Aujourd’hui, j’ai signé la tasse de café Starbucks d’une femme parce qu’elle n’avait rien d’autre", s’amuse le principal intéressé.
(Source : Yahoo)
Un garçonnet de 5 ans, atteint de leucémie, est devenu le héros d'un jour à San Francisco, en prenant la cape et le masque de "Batman" pour délivrer la ville de ses méchants, sous l'oeil de milliers de fans.
L'événement, organisé par la fondation "Make-a-Wish" - qui réalise les rêves d'enfants atteints de maladie graves - a séduit les foules, et même le président américain Barack Obama, qui a lancé, dans une vidéo sur le compte Twitter de la Maison Blanche: "Bien joué, Miles ! Gotham est sauvé !".
La Première dame, Michelle Obama, n'a pas été en reste, écrivant sur son compte Twitter: "Merci d'avoir attrapé tous ces sales types Batkid ! Tu es une source d'inspiration pour nous tous".
Les exploits de "Batkid" ont été épaulés par la police de San Francisco (SFPD), qui a sorti le grand jeu en confiant au garçonnet la lourde tâche de terrasser Riddler, accompagné de plusieurs officiers.
Les sportifs ont eux aussi salué l'événement. "Notre héros est arrivé. Les rues de San Francisco sont saines et sauves !", ont twitté les "49ers", l'équipe de football américain de la ville.
Le "batkid" a immédiatement fait sensation sur les médias sociaux, et suscité une couverture télévisée nationale.
Les habitants de San Francisco eux-mêmes ont répondu en masse, des milliers d'entre eux étant venus célébrer le mini-héros à Union Square, la place centrale de la ville.
"Je n'ai jamais vu une telle traînée de poudre sur internet, et un soutien aussi massif venu des quatre coins du monde", a déclaré Patricia Wilson, de la fondation "Make-a-Wish".
Miles Scott, dont la leucémie est en rémission, va aussi recevoir les clés de la ville de San Francisco, des mains de son maire Ed Lee.
Après 50 années de mariage, Phillip, un agriculteur américain a trouvé un moyen de faire plaisir à sa femme en lui offrant un cadeau très original pour leurs noces d’or. En effet, il a choisi de reproduire dans son champs de maïs la photo de leur mariage. Ces noces d’or très particulières resteront à coup sûr gravées dans leur mémoire !
Phillip Derthick voulait offrir quelque chose d’extraordinaire à sa femme pour leur cinquante ans de mariage. Cet agriculteur de 72 ans vivant dans l’Ohio a donc eu l’idée d’utiliser son immense champ de maïs, afin d’y reproduire sa photo de mariage. Avec l’aide de ses enfants et sans en dire le moindre mot à sa dulcinée, ils ont sculpté ce labyrinthe à leur image. Au départ, Marie, sa femme n’en croyait pas ses yeux, « Je pensais qu’ils étaient fous, mais en fait ça s’est avéré très bien. »
(source D.G.S.)
Alors qu’ils effectuaient une sortie nocturne en pleine mer, des plongeurs ont fait la rencontre d’un dauphin à la nageoire blessée qui réclamait visiblement leur aide. Une histoire exceptionnelle que DGS vous raconte plus en détails !
En partant observer les raies manta, ces plongeurs ne devaient pas s’attendre à rencontrer ce dauphin blessé à la nageoire pectorale gauche par une ligne de pêche et un hameçon. En détresse, son instinct de survie l’a conduit à nager tout autour des plongeurs pour bien pouvoir leur montrer sa plaie et demander leur aide. Un comportement pour le moins inhabituel qui montre que le cétacé savait parfaitement qu’il n’y avait que ces hommes qui pouvaient le soigner. Dans cette vidéo, le dauphin fait preuve d’un calme remarquable tandis qu’un des plongeurs tente d’enlever la ligne de pêche avec précaution.
On aimerait bien pouvoir vous raconter tous les jours des histoires aussi belles et émouvantes. Celle-là donne un message d’espoir à tous ceux qui pensaient que l’Homme ne pouvait que détruire la nature. On n’imaginait pas qu’un dauphin décide de lui-même de demander de l’aide à des humains pour lui sauver la vie, c’est vraiment touchant. Dans tous les cas, on ne se lassera jamais de découvrir des histoires aussi émouvantes que celle-ci.
La Petite Fille !
Une petite fille allait à l'école à pied chaque matin, bien qu'elle soit un peu éloignée de chez elle.
Ce matin là, bien que l'orage menaçait et que des nuages se formaient déjà, elle se rendit à pied à son école, comme d'habitude.
Durant l'après-midi, les vents devinrent violents, les éclairs apparurent dans le ciel, et le tonnerre se mit à gronder.
La Maman de la petite craignait que sa fillette prenne peur en revenant à la maison.
Inquiète, elle décida donc d'aller la chercher à l'école, en voiture.
En route elle vit apparaître sa petite fille qui s'arrêtait à chaque éclair, regardait vers le ciel, et souriait.
Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa vitre et lui demanda aussitôt : - "Mais que fais-tu ma chérie" ?
L'enfant de répondre, en souriant :
- "J'essaye d'être belle, Maman, car Dieu n'arrête pas de me prendre en photos" !
Les liens que nous entretenons avec les vivants peuvent-ils nous ramener de chez les morts ? Une maman, accompagnée de son mari, ressuscite son bébé en le câlinant pendant deux heures … Incroyable pour le médecin qui accompagnait cette jeune maman.
Le petit Jamie est déclaré cliniquement mort alors qu’il vient de naître prématurément à 27 semaines, et que sa sœur jumelle semble survivre. Après avoir essayé pendant plus de 20 minutes de le ramener à la vie, les médecins déclarent l’avoir perdu et acceptent de laisser le corps de l’enfant aux parents pour qu’ils lui disent au revoir. C’est alors que la mère, Kate Oggs, défait son bébé de sa couverture et le prend contre elle, peau à peau. « Je voulais le tenir contre moi pour le rencontrer. Je voulais qu’il nous connaisse, même s’il était en train de nous quitter, pour qu’il sache qui avaient été ses parents. Je voulais qu’il sente que nous l’avions aimé avant qu’il ne meure. Je lui ai dit son nom, et le nom de sa sœur jumelle et comment elle allait. Et nous lui avons raconté tout ce que nous aurions aimé faire avec lui, s’il avait grandi avec nous ». Pendant deux heures, Kate et David, les parents, vont câliner et parler à leur bébé. C’est alors qu’après avoir cherché à reprendre son souffle plusieurs fois, Jamie ouvre les yeux. Miracle. Kate met un peu de son lait maternel sur son doigt et lui en donne. Jamie commence à sucer le doigt de sa mère. L’équipe médicale n’en revient pas. « Le médecin n’arrêtait pas de secouer la tête en disant "Je n’arrive pas à y croire, je n’arrive pas à y croire" », raconte Kate. Cette histoire a depuis fait le tour de la planète.
Quelques années plus tôt, Kate Oggs avait lu un article sur une femme qui avait pris soin de son bébé prématuré en le portant directement contre elle. « Cette pratique reposant sur un contact intime au cours des premières heures suivant la naissance peut faciliter le comportement d’attachement et les interactions entre la mère et son bébé par le biais de stimuli sensoriels tels que le toucher, la chaleur et l’odeur », rapporte l’Organisation Mondiale pour la Santé (OMS). Mais ne serait-ce pas, au travers du peau à peau, le lien d’amour entretenu par les parents, pendant ces deux heures qui ont séparé la naissance du petit Jamie de son « retour » à la vie, qui a permis ce miracle ? De nombreux témoignages de personnes ayant vécu des expériences de mort imminente disent combien certains liens forts avec des proches les ont décidés à revenir dans leur corps.
Le Dr Eben Alexander, un neurochirurgien américain ayant vécu une expérience de mort imminente considérée comme exceptionnelle par les plus grands experts, raconte dans son livre "La preuve du paradis", combien tout particulièrement l’appel de son fils l’a incité à revenir à la vie. Alors qu’il « voyage » dans un monde qu’il qualifie de plus réel que le nôtre, le Dr Eben Alexander voit un visage particulièrement familier ... « C’était le visage de quelqu’un qui avait besoin de moi. Quelqu’un qui ne pourrait jamais s’en remettre si je partais. (…) Ce visage a gagné en détail, jusqu’à ce que je voie finalement qu’il était en train de me supplier de revenir ». De son côté, au 7ème jour de coma de son père et en écoutant les médecins, le fils d’Eben Alexander comprend que son père ne va, en fait, jamais revenir. « Bond a couru dans ma chambre jusqu’à mon lit. En sanglotant il a embrassé mon front et frotté mes épaules. Puis il a soulevé mes paupières et a dit, directement dans mes yeux vides et dans le vague : "Tu vas aller bien papa, tu vas aller bien". Il n’a cessé de le répéter, encore et encore, croyant comme tout enfant que s’il le disait suffisamment de fois, cela deviendrait à coup sûr la réalité ». Et c’est devenu une réalité. Quelques instants plus tard, le Dr Eben Alexander se réveille miraculeusement.
Les grands sages nous l’ont toujours dit, l’amour fait des miracles. L’histoire du petit Jamie semble nous montrer combien l’amour d’une mère peut aller à l’encontre des pronostiques médicaux. « J’ai de la chance d’avoir une femme très intelligente et très forte, nous dit le père, qui a instinctivement su faire ce qu’elle a fait. Elle m’a dit qu’il fallait qu’on l’entoure d’autant d’amour qu’on le pouvait ».
(Source : INREES)
Un Destin incroyable : Nés le même jour, et après avoir vécu 75 ans ensemble, ils décèdent à 24 heures d'intervalle et sont enterrés le même jour. Helen et Les Brown ont vécu ensemble pendant 75 ans. Une histoire d’amour touchante que seule la mort a arrêtée. Le couple s’est rencontré en plein milieu de l’adolescence, au lycée, et ne s’est pas quitté depuis. Mais le plus incroyable, c’est que Les, photographe professionnel, et Helen, mère au foyer, sont tous les deux nés le même jour, le 31 décembre 1918 ! Cette histoire d’amour qui aura duré trois quarts de siècle s’est concrétisée le 19 septembre 1937 par un mariage, célébré contre l’avis défavorable de leurs parents respectfs. Les Jr., l’aîné des enfants du couple, et Daniel, le petit dernier, racontent que les parents du couple ne voyaient pas cet amour d’un très bon œil. Les deux familles venaient de milieux différents, Helen d’une famille d’ouvriers et Les d’une famille un peu plus fortunée. Ils voyaient déjà cet amour voué à l’échec. Et le temps leur a prouvé le contraire puisque Les Jr. raconte qu’ils "étaient vraiment faits l’un pour l’autre" et qu'ils "étaient ensemble tous les jours pendant 75 ans" !
Les deux fils racontent que, bien que nés le même jour, leurs parents étaient radicalement différents, ce qui ne les a pas empêché de rester ensemble aussi longtemps, même s’il y a bien sûr eu quelques bas dans la relation. Le couple faisait partie des témoins de Jéhovah, une foi qui leur a justement permis de souder encore plus leur relation, au jour le jour. Ils réaffirmaient sans arrêt leur amour l’un pour l’autre, racontent-ils. « Ils se frottaient le menton affectueusement, ou des choses comme ça. » Le couple était également amoureux de leur région, la Californie. Ils ne se privaient pas et ne se lassaient pas d’aller faire des « road trips » dans l’État.
Mais il y a un peu plus d’un mois, le 16 juillet dernier, Helen, atteinte d‘un cancer de l’estomac s’est éteinte à l’âge de 94 ans. Elle qui, selon ses fils, n’aurait pas supporté de voir son mari mourir avant elle, est finalement partie avant lui. Mais de seulement 24 heures ! Les Brown, qui souffrait de la Maladie de Parkinson, s’est lui aussi éteint le 17 juillet, un jour seulement après sa femme, depuis 75 ans. Le couple a eu droit à un service mémorial commun et a été enterré ensemble, le même jour.
(Source : Daily Geek Show)
Ils vivaient en Californie ...
Si je pouvais te dire ... avec la maladie d'alzheimer !
(Je voudrais dédier ce texte magnifique à mon Amie PATRICIA qui se dévoue corps et âme, avec abnégation et tant d'amour, pour sa Maman, atteinte d'Alzheimer)
" Si je pouvais te dire ma peine quand je sens ton angoisse, que tes yeux te trahissent malgré toi, quand je déçois ton espoir de me retrouver (puisque tu as perdu une partie de moi).
Non, je ne suis plus la même.
je me suis perdue aussi et je me cherche en vain.
Si je pouvais te dire combien, à certains moments,
je m'ennuie de moi !
Mais rassures-toi, j'oublie aussi très vite ces moments de tristesse, qui émergent le plus souvent à la tombée du jour.
Serait-ce qu'au fond de ma mémoire ancienne je revivrais inconsciemment le souvenir de ton retour de l'école avec un ange collé dans ton cahier ou un genou écorché ?
Ou encore, peut être l'heure où ton père revenait de travailler, le journal sous le bras, fatigué mais content de nous retrouver ensemble autour de la table.
Tu te souviens de mon rôti de lard qu'il aimait tant, et de l'odeur rassurante qui embaumait notre maison ? Mmmmm ... il me semble que je mangerais de la graisse de rôti ...
Si je pouvais te dire le plaisir que tu me fais quand tu poses ton chat sur mes genoux.
C'est chaud, c'est doux :
il ronronne comme "gros minou" qui s'installait parmi mes pelotes de laine, quand je savais encore tricoter ...
As-tu encore la fameuse photo... Je ne sais plus jouer du piano, mais j'aime encore beaucoup entendre de la musique.
Je retrouve même parfois les mots de mes anciennes chansons préférées, mais ne me demande surtout pas de les chanter devant les autres parce que, si à ce moment-là j'en oubliais la moitié, j'aurais peut être l'impression de subir un échec ... un de plus !
Si je pouvais te dire d'essayer de me prendre, sans trop de chagrin, pour ce que je suis devenue, c'est à dire une personne différente, mais une personne encore capable d'aimer,de rire à ses heures, de goûter, de sentir, de ressentir.
Une personne qui aime encore les caresses, qui aime qu'on la touche.
Tu sais, quand tu me masses les mains, le dos, les pieds, quand tu appliques du vernis sur mes ongles (même si je le gratte peu de temps après), quand tu brosses mes cheveux, je vis des minutes privilégiées que j'oublierai peu après, mais chacune de ces petites douceurs me rassurent et me font plaisir.
Si je pouvais te dire de prendre soin de toi comme tu le fais pour moi (c'est peut être pour ça que je t'appelle parfois maman), tu dois te protéger.
Je ne te demande pas de m'oublier, tu en serais incapable et moi aussi, mais laisse-toi aider, partages avec d'autres les corvées que je t'impose, bien malgré moi, et tu seras ainsi en mesure de veiller sur moi plus longtemps sans aller au bout de tes forces.
(tu vois, je suis toujours aussi coquine !)
Si je pouvais te dire combien je t'aime, mais les mots se bousculent dans ma tête, ils semblent faire des culbutes et sortent parfois de façon très drôle.
Tu peux rire de ces fantaisies, ça ne m'offusque pas et ça fait du bien de réaliser que tout n'est pas que triste dans mon état.
Ce que je peux te dire c'est de regarder les petites étoiles qui scintillent dans mes yeux quand tu t'approches de moi et tu sauras que, même si j'oublie parfois ton nom, mon coeur, lui, ne fait pas ... d'alzheimer " !!!
(auteure : Gisèle St-Hilaire)