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HISTOIRES VRAIES

Internautes mobilisés pour ... une petite fille cancéreuse !

Publié à 11:47 par yvonne92110 Tags : histoire vraie internautes pizzas petite fille cancéreuse
Internautes mobilisés pour ... une petite fille cancéreuse !

Un utilisateur a remarqué le message,  l’a pris en photo et l’a publié sur le site communautaire Reddit et sur Facebook. En conséquence, des centaines d’internautes se sont mobilisés pour répondre à cette drôle de demande. Résultat : le cliché est arrivé en première position du site et plus d’une vingtaine de pizzas ont été envoyées à la petite Hazel !

Sa mère raconte sur son blog « Nous essayons de faire passer le temps de manière agréable en faisant toutes sortes de choses drôles et divertissantes pour notre chère petite. Ici, ma mère et moi avons plaisanté en inscrivant ce message sur des feuilles et l’avons accroché à la fenêtre. Nous n’avons eu aucune réponse pendant plusieurs jours, mais dès la parution de la photo sur Reddit et Facebook, la machine était lancée ! »Après avoir fait profiter les autres patients et le personnel de toutes ces pizzas, l’hôpital et la famille de l’enfant ont finalement remercié les internautes en indiquant qu’ils n’avaient plus besoin de pizza à la chambre 4112.

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Voilà la preuve que l’on peut encore donner de la joie à quelqu’un avec des petites attentions. Les internautes ont offert à Hazel un peu de réconfort et de courage pour lutter contre sa maladie. Ne trouvez-vous pas que ce geste désintéressé redonne un peu foi en l’humanité ?

 

Emouvante histoire ... Combien coûte un miracle ?!!

Publié à 14:17 par yvonne92110 Tags : histoires vraies combien coute un miracle
Emouvante histoire  ...  Combien coûte un miracle  ?!!
Combien coûte un miracle  ?

Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père parler de son petit frère, Andrew. Tout ce qu'elle savait c'était qu'il était très malade et ils n'avaient plus un sou. Ils déménageraient dans un mois, dans un tout petit appartement, parce que son père n'avait plus d'argent pour les factures du médecin et de la maison. Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère maintenant et il n'y avait personne pour leur prêter l'argent. Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larmes et désespérée, "seulement un miracle peut le sauver maintenant." ... Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d'une de ses cachettes.

Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement. À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur. Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.

Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit. Rien. Elle s'éclaircit la gorge avec le bruit le plus fort qu'elle pouvait faire. Pas bon ... Enfin elle prit 25 cents de son pot et l'a cogné sur le comptoir de verre. Cela avait marché ! "Et que veux-tu?" demanda le pharmacien, je parle à mon frère de Chicago que je n'ai pas vu depuis très longtemps, lui dit-il ,  sans attendre une réponse à sa question.  - "Bein, je veux vous parler au sujet de mon frère, répondit Tess avec le même ton. Il est vraiment, vraiment malade ... et je veux acheter un miracle." - "Je te demande pardon?" dit le pharmacien. - "son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à l'intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle  ?" - "Mais nous ne vendons pas de miracle ici petite fille. Je suis désolé mais je ne peux pas t'aider" dit le pharmacien plus doucement.  - "Écoutez, j'ai l'argent pour payer.Si ce n'est pas assez, je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte." ... Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé. Il se pencha vers la petite fille et lui demanda :  - "de quel genre de miracle ton frère a t-il besoin ?" - "Je ne sais pas," répondu Tess. Je sais juste qu'il est vraiment malade et maman dit qu'il a besoin d'une opération, mais mon papa ne peut pas payer, alors je veux utiliser tout mon argent" ...        - "Combien tu as?" demanda l'homme de Chicago. - "un dollar et onze cents" répondit Tess tout bas,  c'est tout l'argent que j'ai, mais je peux en obtenir encore un peu plus s'il le faut. - "Bien, quelle coïncidence," dit l'homme en souriant :  - "Un dollar et onze cents, c'est le prix exact d'un miracle pour les petits frères !"   ... Il prit l'argent dans une main et avec l'autre main il saisit celle de la petite fille et dit : - "emmènes-moi où tu demeures. Je veux voir ton frère et rencontrer tes parents. Voyons si j'ai le genre de miracle dont tu as besoin."

Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien, se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L'opération a été faite sans coûter un sou et rapidement Andrew était de retour à la maison et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d'événements qui les avaient menés au bout de ce chemin. - "cette chirurgie", chuchota sa mère, fût un vrai miracle. Je me demande combien il aurait coûté ?" ... Tess a souri ... Elle savait exactement combien le miracle avait coûté ... (un dollar et onze cents) ... plus la foi d'un enfant. Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient …

Belle leçon de vie ... Le chauffeur de taxi a du coeur !

Publié à 15:48 par yvonne92110 Tags : histoires vraies bravo à ce chauffeur de taxi
Belle leçon de vie ... Le chauffeur de taxi a du coeur !
LA COURSE EN TAXI (un chauffeur de taxi raconte)


Voilà vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie.
Lorsque je suis arrivé à 14h30,  l'immeuble était sombre excepté une simple lumière dans une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis.

Mais, j'avais vu trop vu de gens démunis qui dépendaient des taxis comme leur seul moyen de transport. À moins qu'une situation sente le danger, je suis toujours allé à la porte. Cette passagère pourrait être quelqu'un qui a besoin de mon aide, ce que j'ai pensé en moi-même. Alors, j'ai marché jusqu'à la porte et j'ai cogné.
"Juste une minute", a répondu une voix fragile d'un certain âge.

Je pouvais entendre quelque chose qui était traîné lentement sur le plancher. Après une longue pause, la porte s'est ouverte. Une petite femme dans les 80 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau sans bord avec un voile épinglé dessus, comme quelqu'un sorti d'un film de 1940. À ses côtés, il y avait une petite valise de nylon. L'appartement semblait vide,  comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tous les meubles étaient recouverts de draps. Il n'y avait pas d'horloges sur les murs, pas d'objets de décoration ou autres . Dans le coin il y avait une boîte de carton remplie de photos et de verres.

"Voudriez-vous porter mes bagages à l'auto" ?  elle a demandé.
J'ai apporté la valise jusqu'au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle continuait de me remercier pour ma gentillesse.
"C'est rien", je lui ai dit. "J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon que je voudrais que ma mère soit traitée".
"Oh, vous êtes le genre de bon garçon", elle a dit.
Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m'a donné une adresse, puis a demandé, "Pourriez-vous me conduire en ville" ?
"Ce n'est pas le chemin le plus court " lui ai-je répondu.
"Oh, ça ne me dérange pas",
  '
"Je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice".
J'ai regardé dans le rétroviseur arrière. Ses yeux scintillaient. "Il ne me reste pas de famille, Le docteur dit que je n'en ai pas pour longtemps".
J'ai tranquillement éteint le compteur et je l'ai écoutée.
"Quelle route voudriez-vous que je prenne" ? Je lui ai demandé.

Pendant les deux heures suivantes, Nous sommes allés dans la ville. Elle m'a montré les différents endroits où elle avait travaillé ...  
 Nous sommes allés dans le quartier où elle et son mari avaient vécus quand ils étaient jeunes mariés. Elle m'a fait arrêter devant un entrepôt de meubles qui avait été une salle de danse où elle allait danser quand elle était jeune fille. Quelquefois elle me demandait de ralentir en avant d'un immeuble particulier ou d'un coin et s'asseyait en fixant la noirceur, ne disant rien.

Comme la première lueur du soleil se repliait à l'horizon, elle a soudainement dit : "Je suis fatiguée. Allons-y maintenant".

Nous sommes allés en silence jusqu'à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un édifice bas, comme une petit foyer de convalescence, avec un stationnement qui passait sous un portique. Deux infirmiers sont sortis jusqu'au taxi aussitôt que nous sommes arrêtés. Ils étaient soucieux et prévoyants, surveillant chacun de ses mouvements. Ils devaient l'attendre.

J'ai ouvert la malle de la voiture et pris la petite valise jusqu'à la porte. La femme a été dès ce moment assise dans une chaise roulante.

"Combien je vous dois" m'a-t-elle demandé, en ouvrant sa bourse.
"Rien" ,  j'ai dit.
"Mais vous devez gagner votre vie", elle m'a répondu.
"Il y a d'autres passagers", ne vous inquiétez pas , j'ai répondu.
Presque sans penser, je me suis penché et l'ai serrée dans mes bras. Elle s'est tenue sur moi étroitement.
"Vous avez donné à une vieille femme un petit moment de joie",    
"Merci".

Je lui ai serré la main, puis j'ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s'est refermée. C'était le son de la fermeture d'une vie.
Je n'ai pas pris d'autres passagers  ce jour-là ... J'ai conduit sans but, perdu en pensées.
Pour le reste de la journée, je pouvais difficilement parler.
Et si cette femme avait pris un chauffeur fâché, ou quelqu'un qui était impatient de finir son travail ?
Et si j'avais refusé de prendre cette course, ou si j'avais klaxonné une seule fois,puis reparti ?  Je ne pense pas que j'ai fait quelque chose de plus important dans ma vie.
Nous sommes conditionnés à penser que nos vies circulent autour des grands moments. Mais les grands moments souvent nous saisissent sans que nous soyons au courant, magnifiquement emballés de ce que les certains parfois peuvent penser petit.

LES GENS PEUVENT NE PAS SE RAPPELER EXACTEMENT CE QUE VOUS AVEZ FAIT, OU CE QUE VOUS AVEZ DIT,  ~MAIS ~  ILS SE RAPPELLERONT TOUJOURS COMMENT VOUS LES AVEZ FAIT SE SENTIR.

La vie peut ne pas être la fête que nous espérons, mais pendant que nous y sommes prenons le temps de bien danser.

Tous les matins quand j'ouvre les yeux, je me dis que c'est spécial.
Tous les jours, toutes les minutes, chaque respiration vraiment est un cadeau de Dieu.

Saint Valentin ... Histoire très émouvante et vraie !

Publié à 15:45 par yvonne92110 Tags : histoires vraies triste mais émouvante
Saint Valentin ... Histoire très émouvante et vraie !

Son nom est Katie Kirkpatrick, 21 ans.
Près d'elle, se trouve son fiancé Nick, 23 ans.

Cette photo a été prise avant leur mariage, le 11 janvier 2005.
Katie avait le cancer et était en phase terminale.

Elle passait des heures en chimiothérapie.

Ici, Nick attendait pendant qu'elle terminait une  séance.

Même dans la souffrance
et ayant à vivre avec ses organes qui se fermaient,
avec l'aide de la morphine,
Katie prenait soin de chaque détail de son mariage.

Sa robe a dû être ajustée plusieurs fois,
car elle perdait constamment du poids.

 

 Un invité inattendu était son réservoir d'oxygène.

Katie devait l'utiliser pendant la cérémonie et la réception.

L'autre couple, dans cette photo, sont les parents de Nick, très émus par le mariage et,
bien sûr, de voir leur fils se marier avec la fille
dont il était tombé amoureux pendant son adolescence.

 

 Katie, dans une chaise roulante,
écoutait son mari et ses amis lui chanter une petite ballade.

 

Au milieu de la fête, Katie a dû se reposer un peu et reprendre son souffle.

La douleur ne lui permettait pas de rester debout pendant très longtemps.

 

 Katie mourut 5 jours après son mariage.

De voir une femme si fragile,
revêtue d'une robe de mariée, avec un beau sourire,
vous fait certainement réfléchir !
 

 Le bonheur est toujours là, à la portée, peu importe la durée.
Profitez de la vie et ne vivez pas une vie compliquée.

La vie est trop courte!

Travaillez comme si c'était votre premier jour.
Pardonnez aussi rapidement que possible.

Aimez sans barrières.
Riez sans vous contrôler.

Ne cessez jamais de sourire,
même si vous ne savez pas pourquoi.

S.V.P., priez pour ceux qui souffrent du cancer
ou d'une autre maladie sérieuse.

Nous en connaissons tous, un ou une, que nous aimons.

Ces personnes souffrantes
ne méritent pas d'être mises de côté ou négligées ...
 

 

Une superbe histoire d'amour ... triste certes, en cette Saint Valentin, mais belle et émouvante ... (source : chez MAYA)

Saint Valentin ... Histoire la plus romantique !

Publié à 15:57 par yvonne92110 Tags : histoires vraies histoire la plus romantique st valentin
Saint Valentin ... Histoire la plus romantique   !
Saint Valentin : Découvrez l'histoire du plus romantique des bouquets de fleurs ! 
Une femme raconte comment son défunt mari lui offre encore le plus beau des bouquets pour la Saint-Valentin.
Si vous voulez que votre Saint Valentin  soit réussie, tachez d’être aussi romantique que l’histoire qui suit. Sue Jonhston, une Américaine de 68 ans, raconte comment son défunt mari lui offre encore le plus beau des bouquets pour la Saint-Valentin. Les plus sceptiques reconnaîtront peut-être que l'amour peut parfois survivre à tout et même à la mort...
La Saint Valentin magnifique de Sue Jonhston :
La version britannique Huffington Post relaie l'histoire racontée par Sue Jonhston. Elle y regrette l'amour de sa vie qui ne ratait pas une occasion comme la fête de la Saint-Valentin pour lui offrir des fleurs. "John, mon cher mari, et moi avons été mariés pendant quarante six ans. Pour chaque Saint-Valentin, il m'envoyait les plus belles fleurs accompagnées de quelques mots :'Mon amour pour toi est encore plus fort'. Quatre enfants, 46 bouquets et une vie d'amour étaient ce qu’il m’avait laissé le jour de sa mort deux plus tôt", se souvient-elle.
Arrive alors le premier 14 février qui suit la mort de son mari. "Pour ma première Saint-Valentin sans lui, dix mois après l’avoir perdu, j’ai reçu, abasourdie, un magnifique bouquet de la part de... John. Indignée, j'ai appelé le fleuriste le cœur brisé pour lui signaler qu’il avait commis une erreur", se rappelle Sue Jonhston. Ce serait une plaisanterie de bien mauvais goût si ce n’était pas en fait le plus beau des gestes romantiques les plus inattendus. "Non, madame, ce n'est pas une erreur. Avant son décès, votre mari a payé pour de nombreuses années et nous a demandé de lui assurer que vous continuerez encore à recevoir un bouquet pour les prochaines Saint-Valentin", a répondu le fleuriste. Émue, Sue Johnston est restée sans voix. "J'ai raccroché le téléphone le coeur noué avant de lire la carte ci-jointe : 'mon amour pour toi est éternel'".
(Publié le 11 février 2013 par Maxime Lambert)

Une belle histoire vraie ... Un homme sauve un aigle !

Publié à 15:49 par yvonne92110 Tags : histoires vraies un homme sauve un aigle qui guérit
Une belle histoire vraie  ...  Un homme sauve un aigle !

(photo : FREEDOM blotti contre JEFF !)

Freedom et moi sommes ensemble depuis 1998 ... Quand elle arriva elle était un bébé avec 2 ailes brisées. Son aile gauche ne s’ouvrait pas complètement, même après une chirurgie, c’était cassé à 4 endroits. Elle est mon bébé. Elle était décharnée et couverte de poux. Nous avons décidé de lui donner une chance, alors je l’ai amenée chez le vétérinaire. A partir de ce moment j’étais toujours près d’elle. On l’avait mise dans une grande cage de transport pour chien dont on avait enlevé le dessus, et on lui avait mis un tapis de papier journal déchiré en lambeaux pour qu’elle puisse s’y coucher. J’avais l’habitude de m’asseoir près d’elle, de lui parler et lui demander de vivre, de se battre, elle restait couchée là à me regarder avec ses gros yeux bruns. Nous avons dû la nourrir par tube pendant des semaines. « A partir d’ici je vais vous raconter le restant de l’histoire en plus court, car l’histoire est pas mal longue. Je vais essayer de vous donner l’essentiel de celle-ci et de passer outre sur les détails qui ne sont pas essentiels pour la bonne compréhension de celle-ci ». Les soins ont été prodigués de 4 à 6 semaines et malgré cela elle ne tenait pas encore sur ses pattes. On ne veut jamais avoir à décider quelle est la ligne entre la torture et la réhabilitation. Le jour de l’euthanasie avait été décidé, et je ne me sentais pas capable de me rendre au centre. Mais j’y suis allée de toute façon. Quand je suis arrivé au centre tout un chacun se parlait à l’oreille. Je me suis dirigé immédiatement vers sa cage, elle était debout se tenant fièrement sur ses pattes, un superbe aigle. J’en pleurais. c'était une très bonne journée. Comme elle ne pouvait pas voler, le directeur du centre m’a proposé de l’entraîner avec le gant. Ils ont commencé un cours dans une école de l’ouest de Washington, les journaux se sont emparés de l’histoire et même la TV dont un programme américain appelé ''TV Miravle Pets'' Au printemps 2000 j’ai été diagnostiqué "lymphome non-hodgkinien’’ j’étais rendu en phase 3. (un organe majeur attaqué + métastases partout) ! Chimio pour 8 mois avec tout ce que cela comporte d’inconvénients. J’ai manqué beaucoup de travail. Quand je le pouvais j’allais au centre Sarvey et sortais Freedom, l’on faisait de longues marches. Freedom venait aussi vers moi dans mes rêves et m’aidait à me battre contre le cancer. Allons directement au mois de novembre 2000. Le jour suivant la fête de l’Action de Grâces, j’allais pour ma dernière vérification. L’on me dit, à ce moment là, que, si toutes les cellules cancéreuses ne sont pas toutes parties après 8 fois de chimio, mon dernier recours serait une transplantation de cellules souches. Avant de ce faire il me fallait passer d’autres examens, quand je suis retourné pour les résultats on m’apprend que le cancer n’est plus là. La première chose que j’ai faite fut d’aller chercher Freedom pour une grande marche. Nous sommes allés tout au haut de la colline, je n’ai rien dit mais d’une manière ou d’une autre elle comprit (6ème sens animal ?) que j’étais guéri. Elle me regarda et m’enveloppa de ses ailes. Je pouvais sentir ses ailes s’appuyer sur mon dos. (J’étais englouti par des ailes d’aigles), elle toucha mon nez avec son bec et me fixa dans les yeux, nous sommes restés ainsi pendant un long, long moment. C’était un moment magique. Nous avons été des âmes sœurs depuis le début. C’est un oiseau très spécial ...  Quand l’on se promenait à l’extérieur, des gens qui étaient malades, venaient vers nous et Freedom, avec une certaine bonté se tenait sur leur épaule. Un jour quelqu’un qui était en phase terminale s’approcha, je l’ai laissé la tenir. Ses genoux ont flanchés, il jura avoir senti sa force passer dans son corps. Je n’oublie jamais que j’ai l’honneur d’être si proche d’un esprit aussi magnifique que celui de Freedom. J’espère que vous avez aimé cette histoire (vraie) ...  Ici il y a un psaume de Isaiah ... Comme je le trouve beau je vais essayer de le traduire au meilleur de mes petites connaissances anglaises et surtout avec l'aide de mon dictionnaire. ''Mais ils comptaient sur Dieu pour renouveler leur force ; ils doivent voler comme avec des ailes d'aigles ; ils doivent courir, et ne pas s'inquiéter; ils doivent marcher, sans faiblir'' 5Isaiah 40:31) - Le cancer est une étrange cellule. Vous vivez avec pendant des années, en rémission, un jour elle relève la tête, encore. Si vous l’avez déjà vous n’en êtes jamais libéré. Priez pour qu’un jour il y ait une guérison permanente !  
Je ne demande rien, je vous laisse le choix de propager cette histoire, ou pas. Si, en fait, je vous demande une petite chose, une seule ligne à penser ou à dire : "Seigneur Dieu, je vous prie, au nom de Jésus, afin que vous guidiez un chercheur qui trouvera un remède contre le cancer en 2013. Amen".  La seule chose qui vous est demandée c’est de faire circuler, même si ce n’est qu’à une seule personne, en mémoire de ceux qui ont été battus par le cancer ou qui vivent encore avec ...
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Une belle histoire ... Celle de Fleming et de Churchill !

Publié à 15:52 par yvonne92110 Tags : histoire vraie la belle histoire de fleming et de churchill
Une belle histoire  ...  Celle de Fleming et de Churchill !
 Formidable Histoire entre Fleming et Churchill ...  Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

Un paysan écossais du nom de Fleming  peinait un jour dans son champ pour gagner la vie de sa famille lorsqu'il entendit un cri de détresse provenant d'une mare située tout près. Jetant ses outils, il y courut et vit un enfant qui se débattait en hurlant de terreur dans une mer de boue où il était déjà enfoncé jusqu'à la taille.Le fermier sauva l'enfant de ce qui aurait pu être une mort lente et horrible.

Le jour suivant, un riche équipage s'arrêta devant l'humble demeure de l'Écossais. En descendit un gentilhomme élégant qui se présenta:c'était le père de l'enfant que Fleming avait sauvé.

- Je veux vous dédommager pour votre peine. Vous avez sauvé la vie de mon enfant.
- Non, répondit le fermier en repoussant l'argent que le père lui tendait, je ne peux pas accepter d'être rétribué pour ce que j'ai fait.

À ce moment apparut un garçonnet à la porte de la pauvre masure.
- C'est votre fils, demanda le gentleman  ?- Oui, répondit fièrement Fleming.
- Eh bien, voici ce que je vous propose : Laissez-moi lui procurer le haut niveau d'instruction dont mon propre fils jouira à l'avenir, et si le vôtre ressemble un tant soit peu à son père, il deviendra sans aucun doute un homme dont nous serons fiers tous les deux.
Ce qui fut fait.
Le fils du paysanfut inscrit dans les meilleures écoles, obtint son diplôme de St Mary's Hospital Medical School, à Londres et finit par être connu mondialement pour sa découverte de la pénicilline. On aura reconnu Sir Alexander Fleming. Plusieurs années passèrent : le fils du gentilhomme souffrit d'une pneumonieSa vie fut sauvée cette fois par la pénicilline.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Le nom du gentilhomme :Lord Randolph Churchill.

Le nom de son fils  : Sir Winston Churchill. 
                                                                                                                       Le "SAGE" a dit un jour : " Tout ce qui s'en va, revient... " Travailles comme si tu n'avais pas besoin d'argent ... Aimes comme si tu n'avais jamais été blessé ... Danses comme si personne ne te regardait ... Chantes comme si personne ne t'écoutait ... Vis comme si le Ciel était sur la Terre !

Chaque jour il se rend ... sur la tombe de son maître !

Publié à 14:02 par yvonne92110 Tags : histoire vraie une belle histoire émouvante en réalité
Chaque jour il se rend ... sur la tombe de son maître !
Italie : Depuis un an, le chat dépose des cadeaux sur la tombe de son maître, chaque jour !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  (image ci-dessus : En médaillon, le chat fidèle : "Toldo")

On connaît les histoires de chiens fidèles à leur maître après leur mort. Depuis un an, c’est un chat, en Italie, qui se rend quotidiennement sur la tombe de son maître. Avec un cadeau.

 

L’histoire serait incroyable s’il n’y avait pas autant de témoins. Mais les habitants de Montagnana, un hameau de la commune de Marliana en Toscane, ne parlent plus que de Toldo. Et la presse italienne vient de leur emboîter le pas …

 

Toldo est un chat gris et blanc, âgé de 3 ans. Il a été recueilli, chaton, par un habitant de Montagnana, qui s’appelait Renzo Iozzelli. Celui-ci est décédé en septembre 2011, à 71 ans.

 

Présent à l’enterrement :

 

Le jour de l’enterrement, Ada Iozzelli, la veuve de Renzo, a remarqué que le chat accompagnait la procession jusqu’au cimetière.

 

Le lendemain, elle a trouvé sur la tombe un rameau d’acacia… Elle a dit à sa fille qu’elle était persuadée que c’était un hommage de Toldo à son maître, celle-ci ne l’a pas prise au sérieux.

 

Mais les jours suivants, plusieurs habitants du village ont croisé Toldo au cimetière. Depuis, on le voit quotidiennement se rendre sur la sépulture de son maître.

 

Petits cadeaux :

 

Plus surprenant encore, Toldo dépose parfois sur la tombe des petits cadeaux ! Des trouvailles de chat : il y a parfois des brindilles, un petit tas de feuilles, un mouchoir en papier, ou un gobelet en plastique…

 

Ada Iozzelli raconte que son mari était très affectueux avec Toldo. Le chat lui en est visiblement toujours reconnaissant ...

Une bouteille à la mer ... Une bien jolie histoire vraie !

Publié à 14:53 par yvonne92110 Tags : histoire vraie en irlande un enfant trouve bouteille mer
Une bouteille à la mer  ...  Une bien jolie histoire vraie !

                                   En Irlande, un enfant trouve  une bouteille jetée à la mer ... huit ans plus tôt !

La bouteille était partie du Canada il y a huit ans. Elle a été retrouvé en Irlande par un enfant. Une campagne sur les réseaux sociaux a permis de retrouver qui l’avait envoyée.

Un garçon irlandais de 9 ans a découvert un message dans une bouteille partie du Canada il y a huit ans et a réussi à retrouver les deux jeunes filles qui l'avaient envoyée, avec lesquelles il a communiqué mardi par Skype.

Charlene Dalpe et Claudia Garneau, de Montréal, avaient 12 ans lorsqu'elles ont placé le message dans la bouteille alors qu'elles passaient des vacances dans la région québécoise de la Gaspésie, en juin 2004

Message en français :

Jeudi dernier, Oisin Millea a découvert le message, daté du 4 juin 2004, à l'intérieur d'une bouteille de plastique verte de deux litres sur la plage proche de son domicile dans le petit village de pêcheurs de Passage East, sur la côte sud-est de l'Irlande.

Cette découverte survenait après des jours de marées hautes et de vents violents qui ont battu les côtes irlandaises.

« Il y avait des quantités d'objets échoués. J'ai cru qu'il y avait juste une étiquette à l'intérieur de cette bouteille, mais quand j'ai vu le bandeau pour les cheveux utilisé pour la maintenir fermée, je l'ai ouverte », a raconté Oisin.

A l'intérieur, le message était intact. « Je n'ai pas pu en comprendre un seul mot, parce qu'il était écrit en français, mais j'ai vu la date et une adresse email », a-t-il expliqué. « J'ai couru à la maison et ma mère m'a aidé à me servir d'internet pour le traduire », a-t-il ajouté.

Les messagères ont aujourd'hui 20 ans !

La bouteille avait traversé l'océan Atlantique, était remontée vers l'estuaire de Suir, en Irlande, avant d'être découverte par Oisin alors qu'il était en train de jouer avec des amis.

Les filles n'avaient pas indiqué leurs noms de famille sur le message et l'adresse email n'était plus valable. Une campagne à la télévision et sur des réseaux sociaux de chaque côté de l'Atlantique a permis de retrouver mardi à Montréal les deux messagères, aujourd'hui âgées de 20 ans.

Stupéfaites !

Charlene et Claudia ont contacté Oisin pour une conversation par Skype au cours de laquelle il leur a montré la bouteille et le message datant de huit ans. Elles se sont dites stupéfaites que quelqu'un ait pu trouver leur message de l'autre côté de l'océan après tant d'années.

Une jolie histoire véridique ... écrite par CELAN !

Publié à 10:28 par yvonne92110 Tags : histoires vraies écrite par celan histoire véridique
Une jolie histoire véridique  ... écrite par CELAN !

Une petite histoire véridique ...


 

Quand j’avais entre 14 ans et 17 ans, je donnais un coup de main à un mécanicien.

Voilà la petite histoire ......


Nous étions en 1954, dans mon village, il y avait un monsieur très riche qui possédait un château sur les bords de l’Yonne devenu maintenant une maison de retraite.
 
Ce monsieur habitait là tout l’été, sa voiture vraiment très belle avait besoin d’entretien,
mais aucun garage du coin ne pouvait lui faire.

Cet homme avait donc passé une annonce sur
la gazette locale : « cherche mécanicien sachant entretenir une Hispano Suisa, pas sérieux s’abstenir »
 
Un certain "Jacques" travaillant comme mécanicien dans un très grand garage Peugeot, situé dans une belle ville de l’Yonne, avait répondu à l’annonce, en précisant qu'il était disponible tous les samedis, les deux hommes
se mirent d'accord et quelques jours plus tard Jacques put commencer, après avoir acheté le livret d’entretien de cette Hispano Suisa.

Ce monsieur était ravi de pouvoir faire entretenir cette magnifique voiture à domicile, car dans son château il y avait une grande dépendance qui faisait office de garage.
 

Il avait même fait poser une petite pompe à essence avec une cuve de 500 litres, il faut dire qu'une Hispano Suisa consommait plus qu’une 4 CV.

Habitant à quelques centaines de mètres, de
ce château, j'allais souvent voir travailler ce mécano. Devenu mon ami, il m’invitait le samedi de temps à autre  à faire l’arpette, en accord avec le propriétaire ;

Il avait besoin de quelqu'un pour lui passer
les clefs, le moteur était très long, les ailes
très amples freinaient le côté accessible pour
les travaux, le contraire de nos jours sur nos voitures modernes, quoique pas toujours sur certaines marques.

La première des choses à faire c’était de déposer sur les ailes, des housses de protection, des housses très spécifiques aimantées , les ajuster proprement sur ces ailes aux longs profilés, pour ne pas laisser de traces, voir d’empreintes digitales, ensuite on devait ouvrir la caisse à outils, déposer sur un linge blanc les clefs dans un ordre croissant, chaque clef devait être très propre, un chiffon était de rigueur, un vrai travail de chirurgien, par contre le temps passé n’avait aucune importance, nous pouvions rester deux heures comme une journée, tout dépendait des travaux.


Le prix des heures de travail de mon camarade était toujours satisfaisants pour le patron de la voiture , moi je touchais un bon pourboire pour l’époque, ce qui me valait un peu de bonheur, vu que mes parents ne m’offraient jamais d’argent de poche, il faut dire que ce n’était pas courant dans ces années d’après guerre, même si certains en avait quand même.
 
J’ai ainsi découvert la bonne mécanique, et le fonctionnement d'un gros moteur.

Après deux années passées, presque chaque samedi, auprès de lui, à jouer l’arpette dans ce cadre idyllique, un moteur n’avait plus beaucoup de secret pour moi.
 
A cette époque, il y avait un grand respect du matériel, en plus la beauté de cette élégante voiture, est restée dans ma mémoire.

Le côté hyper organisé de mon ami d’enfance avec une grande conscience professionnelle
très répandue à cette époque, m'avait appris
et donné la passion et l'envie d'entretenir mes voitures.

Mon camarade Jacques est décédé un an après mon père, quand je vais au cimetière, je n’oublie jamais de m’arrêter sur sa tombe et même arroser le peu de fleurs déposées par les enfants d’une de ses voisines encore vivants
à ce jour.

Voici la voiture en haut de ma petite histoire, enfin la même, je peux dire cela !


© Auteur Celan

(Paul Celan (1920-1970) est actuellement l’un des poètes de langue allemande les plus traduits et étudiés dans le monde. Son œuvre requiert plus que d’autres un important travail de recherche, qui souvent concerne le fonds posthume : manuscrits, carnets, bibliothèque personnelle, correspondance, et sollicite des compétences diversifiées (germanistes, comparatistes, historiens du XXe siècle, philosophes, traducteurs…) -