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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Située au nord-ouest de Paris, sur la rive gauche de la Seine, la Ville d'Asnières sur Seine était, au XIXème siècle, une destination dominicale privilégiée pour des Parisiens en quête de verdure et de distractions.
L'île des Ravageurs fait alors face aux bords de Seine tant appréciés. Selon la légende, l'île longtemps inoccupée, aurait abrité un repaire de brigands au XIXème siècle. En fait, il s'agissait de chiffonniers qui ramassaient tissus, métaux et autres objets abandonnés pour les revendre.
Après avoir obtenu l'assurance que la loi du 21 juin 1898 sur l'enfouissement des animaux domestiques serait respectée, le Préfet ne s'oppose pas à la création du cimetière. A la fin de l'été 1899, le Cimetière des Chiens d'Asnières est officiellement ouvert au public.
L'architecte parisien Eugène Petit, dont plusieurs immeubles du XIVème arrondissement portent la signature, est chargé de dessiner l'entrée du cimetière. Il concevra le portail de style Art Nouveau, flanqué de deux portes pour le passage des piétons.
En 1976, le comblement du bras de Seine, rendu possible par la disparition d'une seconde île, l'île Robinson, fait perdre au cimetière son caractère insulaire.
Les Locataires du Cimetière :
Autre témoin du lien unissant hommes et animaux, le monument dressé à la mémoire des chiens policiers victimes du devoir. Érigé en 1912, quelques années après que les commissariats de banlieue furent dotés de chiens de police, il abrite Dora (1907-1920) du commissariat d'Asnières ; Top, plusieurs fois médaillé ; Papillon, huit ans de service dans le XVIème arrondissement ; Léo, tué en service.
Mais le cimetière d'Asnières ne serait rien sans la multitude des anonymes, chiens, chats, oiseaux, lapins, tortues, souris, hamsters, poissons, chevaux et même lions, singe, gazelle, fennec, maki, dont les sépultures richement sculptées ou simplement fleuries, témoignent de l'affection de leurs maîtres.
Aussi au hasard d'une promenade, peut on découvrir la reconnaissance d'une mère à qui le chien Loulou "rendit son enfant qui en 1895 se noyait dans la Garonne. Le brave Loulou n'avait que neuf mois et de plus une patte cassée ..." Plus loin, un petit chien de pierre tend la patte à un soldat casqué. C'est Mémère, née en 1914 et qui resta quinze ans durant la mascotte des chasseurs à pied.
Enfin, anonyme parmi les anonymes, un chien errant vint mourir, le 15 mai 1958, aux portes du cimetière. La direction lui érigea un monument. C'était le 40.000ème animal a être enterré dans la nécropole.
L'avenir du cimetière :
Le 29 septembre 1987, la commission départementale des Hauts de Seine, à la demande du ministre de l'équipement, Pierre Mehaignerie, inscrit le site du cimetière des chiens compte tenu de : "son intérêt à la fois pittoresque, artistique, historique et légendaire ".
En mai 1989, la mairie d'Asnières rachète à la Société Française anonyme du cimetière pour chiens et autres animaux domestiques le terrain et en confie la gestion à une société indépendante. Enfin, le 1er février 1997, la mairie d'Asnières reprend en main la gestion du cimetière pour aborder sereinement son second siècle d'existence. Des travaux de restauration ont lieu en 2001.
On considère généralement le cimetière des chiens d'Asnières comme le premier du genre créé dans le monde. Il a été fondé en 1899 par le publiciste Georges Harmois et Marguerite Durand, directrice du journal féministe La Fronde.
On y trouve bien sûr des chiens et autres animaux domestiques, mais aussi des chevaux, des singes et même des lions, dont celui de la fondatrice.
Comme dans tout cimetière, on y trouve des célébrités, tels Rintintin, le chien du feuilleton éponyme, des chevaux de course, Barry, un Saint-Bernard qui sauva 40 personnes au début du 19ème siècle, et des animaux de célébrités : ceux de Sacha Guitry, Alexandre Dumas, Courteline ou Camille Saint-Saëns (auteur, bien sûr, du Carnaval des Animaux).
On peut aussi lire les épitaphes de tous les autres animaux anonymes, se promener dans les jardins, admirer le portail de style Art Nouveau conçu par l'architecte Eugène Petit, visiter la nécropole.
Adresse :
4, pont de Clichy - 92600 Asnières
Tél. : 01 40 86 21 11
Horaires d'ouverture :
(Bibliographie : L'Ile aux Chiens - Laurent Lasne - Editions Val Arno )
Une escapade à quelques heures de Paris : Lavardin ...
Niché au pied d’un château médiéval, ce petit village d’à peine une centaine d’habitants est l’une des nombreuses pépites situées au bord du Loir. On vous emmène à la découverte de ce hameau riche en histoire et parfait pour un week-end à quelques heures de la capitale.
Un village parmi les plus beaux de France :188 âmes. Que peut-on faire dans un si petit village ? C’est évidemment la question que l’on se pose avant d’arriver au sein de ce minuscule bourg… Et pourtant, c’est un patrimoine assez exceptionnel que l’on peut découvrir dans ce village blotti au milieu de la verdure.
Les ruines du château de Lavardin, d’abord. Les vestiges de cet édifice établi sur un promontoire rocheux depuis le XIème siècle nous dévoilent tout ce qui caractérise si bien les châteaux médiévaux que l’on s’imaginait enfants, en jouant aux chevaliers et troubadours : donjon, crypte, muraille, châtelet, salle de garde dotée de travées de voûtes… Et c’est sans compter la hauteur à laquelle il se situe qui lui donne, même en ruines, encore plus de prestance !
© axellegeyre / Instagram.
Mais Lavardin ne se résume pas à son château. Au pied des ruines si impressionnantes du château médiéval, on peut également se balader le long de ruelles bordées de maisons gothiques, à colombages ou Renaissance, arpenter son vieux pont en pierre particulièrement photogénique ou pique-niquer sur les bords si verdoyants du Loir.
© axellegeyre / Instagram
On s’arrêtera évidemment dans l‘église romane de Saint-Genest, l’un des premiers édifices classés monuments historiques en France en 1862, pour y admirer les multiples fresques murales qui s’y trouvent. Elles datent du XIIème siècle pour les plus anciennes et du XVème siècle pour les plus récentes. Un petit musée caché sous la mairie nous permet même de découvrir un peu l’histoire de ce village vieux de presque un millier d’années !
La promenade Pereire, l’autre coulée verte parisienne ...
Cette promenade située entre la porte Maillot et la place du Maréchal Juin traverse une bonne partie du 17e arrondissement. Et pourtant, elle reste bien méconnue des Parisiens qui lui préfèrent souvent la coulée verte René-Dumont, dans le 12e. On part à sa dé:couverte !
Une promenade seulement connue des habitants du quartier :Comme sa grande soeur du sud-est parisien, cette promenade linéaire prend place le long de l’ancien tracé de la Petite Ceinture aujourd’hui en majorité bétonné. Son nom lui vient des frères Emile-Jacob et Isaac Pereire, deux importants industriels du Second Empire notamment connus pour avoir financé la création de la ligne d’Auteuil. Un nom guère étonnant quand on sait que c’est à la place de cette ligne qu’est aujourd’hui installée la promenade !
© emilie.soulier / Instagram
Isolé du boulevard qui l’entoure, ce tranquille îlot de verdure nous plonge loin de Paris et de son tumulte. Ici, on est entouré de magnifiques massifs de rosiers ou plantes de bruyère, de plantes grimpantes comme la glycine ou le chèvrefeuille, mais rarement d’êtres humains ! Ponctué de nombreux bancs, de quelques tables de ping-pong, de petits kiosques disséminés ici ou là et de structures de jeu pour les enfants, cet agréable parc linéaire a pourtant tout pour nous charmer.
L’été, période de l’année où les passants se font un peu plus nombreux, on se réjouit de la présence de pergolas, aussi fleuries que pratiques, qui nous offrent une halte ombragée toujours bienvenue. Enfin, quelques sculptures en bronze réalisées au moment de son ouverture dans les années 1990 achèvent de parfaire ce joli tableau et de faire de la promenade Pereire l’un des lieux les plus agréables pour une balade dominicale.
La coulée verte de Paris ...
La coulée verte du 12ème arrondissement est finalement assez peu connue des parisiens. Appelée aussi promenade plantée, elle relie les environs de Bastille (Avenue Daumesnil) à la Porte Dorée et la Porte de Vincennes.
Une balade aménagée :C’est une balade idéale pour quitter le vacarme de la ville au milieu de la nature.
Aménagée le long de l’ancienne voie ferrée de la ligne de Vincennes fermée depuis 1969, la promenade vous dépaysera le long de ses 4.5 kilomètres.
Une bonne moitié de la Coulée Verte vous permettra de surplomber la ville puisque le parcours se situe environ 7 mètres au dessus des rues. Après les passerelles, la balade redescend au niveau de la rue, vous passerez également sous des petits tunnels. Bref vous l’aurez compris, le parcours est loin d’être monotone !
Nous pouvons la comparer à la « highline » de New-York, qui s’en est largement inspirée.
La coulée verte porte bien son nom car outre les jardins que vous croiserez (jardin Hector Malot, de Reuilly ou encore Charles Péguy), vous vous baladerez au milieu d’arbres et plantes que vous n’aurez pas l’habitude de croiser à Paris. C’est également un patchwork architectural qui vous attend. Vous déambulerez ainsi parmi les immeubles haussmanniens mais aussi des constructions plus modernes.
La Coulée Verte est accessible tout au long du parcours grâce à des escaliers ou des ascenseurs.
Sachez que la deuxième partie du parcours propose une piste cyclable en plus du passage pour les piétons.
Côté Pratique :
Retrouvez-ici le plan de la Promenade Plantée et de ses accès.
Ouverture à partir de 8h30
Fermeture variable selon les mois
– Horaire d’hiver à fin février 17h45
– 1er mars à l’horaire d’été 19h00
– Horaire d’été au 30 avril 20h30
– 1er mai au 31 août 21h30
– 1er au 30 septembre 20h30
– 1er octobre à l’horaire d’hiver 19h30
10 monuments français inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO et qu'il faut visiter ...
A l’approche des vacances, il y a toujours un grand moment d’hésitation au moment de choisir sa prochaine destination. Et souvent, les personnes préfèrent mettre les voiles vers l’étranger. Pourtant, notre pays possède un patrimoine particulièrement riche et varié.
En effet, de nombreux sites français, naturels ou construits par la main de l’Homme, sont inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Alors à quoi bon partir loin quand on ne connaît même pas tout ce qui se trouve chez nous ? C’est vrai, les voyageurs des quatre coins du monde font des milliers de kilomètres pour venir visiter nos châteaux, nos monuments, nos musées, c’est bien la preuve qu’il y a des choses très intéressantes à y voir.
Aujourd’hui, Jetlag vous propose la liste des 10 monuments français inscrits à l’UNESCO, et à voir absolument lors de vos prochaines vacances !
1. Le pont du Gard (en tête de l"article) :
2. Les arènes d’Arles :
3. La citadelle de Vauban :
Crédit photo : saphiresa
4. Le Mont-Saint-Michel :
5. La cathédrale Notre-Dame de Reims :
6. La cité de Carcassonne :
7. Le palais des Papes :
8. Le château de Chambord :
9. Le centre historique de Strasbourg :
10. Les quais de Seine :
Le portail le plus charmant de Paris se cache dans le 14ème arrondissement ...
La Cité Bauer, dans le 14ème arrondissement, fait partie de ces petites rues bucoliques et tranquilles si caractéristiques du quartier Pernety. Cette voie voisine de la rue des Thermopyles nous offre une balade ponctuée de charmantes façades colorées et de jardinets fleurissant dès les premiers jours du printemps.
© Lesgribouillesdemia / Instagram
Mais son plus beau trésor reste le sublime portail en fer forgé et bois orné du numéro 19. Cette véritable oeuvre d’art semble irrémédiablement happer le regard des passants. Et pour cause, on ne croisera pas deux fois une entrée de ce style dans la capitale ! Cette double-porte est l’œuvre d’Alexandre Mezei, sculpteur sur bois d’origine hongroise qui a vécu là dans les années 1950.
© Lesgribouillesdemia / Instagram
En s’approchant, on remarque d’abord les deux coeurs coupés dans le bois, puis on découvre les nombreux détails au charme slave qui ornent les deux portes : des ferrures en forme de tulipes, un tableau représentant un berger jouant de la flûte accompagné de son chien, une petite cloche là pour nous rappeler l’époque où les sonnettes n’étaient pas encore nées, et une sublime frise qui court le long du portail.
Une impasse bucolique et artistique au pied de la Tour Montparnasse ...
C’est au début du XXème siècle que Marie Vassilieff, peintre-sculptrice ancienne élève de Matisse, crée son atelier au coeur du quartier Montparnasse dans une petite impasse pavée enveloppée de verdure. On part à la découverte de ce petit chemin parisien devenu tour à tour incubateur artistique, musée et établissement culturel.
Plus qu’un simple atelier, Marie Vassilieff fait de sa demeure installée au 21 avenue du Maine une véritable académie artistique dès 1911. Ce lieu de culture très vite reconverti en cantine pour artistes démunis devient dans les années 1920 l’un des QG de l’avant-garde artistique et sera fréquenté par les plus grands : Soutine, Modigliani, Picasso, Apollinaire, Cendrars, Max Jacob, Léger ou encore Chagall font ainsi partie des centaines d’artistes ayant foulé les pavés de cette petite impasse tout au long de la première moitié du XXème siècle.
© wanderwonders / Instagram
Mais comme de nombreux lieux culturels de cette époque, la Villa Vassilieff va peu à peu perdre de sa splendeur. Resté tout au long de son existence une tanière pour artistes, mais oublié du grand public, ce lieu historique est racheté par la Mairie de Paris au cours des années 1990 alors qu’un projet immobilier le menace de démolition. Le Musée du Montparnasse s’y installe en 1998, avec pour but de préserver et valoriser le passé artistique du quartier. Faute de moyens et, surtout, d’envie de conserver ce patrimoine historique et architectural de la part de la Mairie de Paris, il est fermé quinze ans plus tard, en 2013.
Il faudra attendre 2016 et le soutien de l’association Bétonsalon – Centre d’art et de recherche pour voir le lieu renaître de ses cendres, sous le nom de « Villa Vassilieff ». Pensée comme une maison de 350 m2, autour d’un coin café, la Villa est constituée d’un espace ouvert au public (en accès libre) qui accueille des expositions, mais également une résidence pour artistes, commissaires ou chercheurs, porteurs d’un projet en lien avec le quartier du Montparnasse. À l’abri des regards et remarquablement bien restauré, ce lieu verdoyant incarne un patrimoine culturel et social exceptionnel à découvrir de toute urgence !
Les Péniches les plus insolites de Paris ...
L’eau et les rêves :
Une péniche librairie a posé son ancre et son encre le long du quai de l’Oise. Dans le navire, nous sommes entourés de toute sorte d’objets liés à l’univers marin. Ainsi, bâteaux en bouteille et cadrans côtoient des compas et un ancien levier de commande. Fidèle à son décor, la librairie propose essentiellement des ouvrages liés à la navigation, à l’océan ou encore au voyage mais pas que… Un endroit qui conviendra parfaitement à tous les vieux loups de mer férus de littérature.
L’eau et les rêves – Quai de l’Oise
Ouvert du mercredi au dimanche de 13h à 19h
Metro : Ligne 7 Crimée
Monsieur Mouche :
C’est l’endroit qu’il nous faut pour boire un cocktail sur un toit terrasse. Le Monsieur Mouche a été pensé comme un hommage à Alphonse Gaston Mouche, le père des Bateaux-Mouches, à la fois armateur, philanthrope, épicurien et aventurier. On y boit son verre avec une vue plongeante sur la Tour Eiffel, ce qui a de quoi nous ravir. A noter, les cocktails sont faits par de vrais acrobates du shaker, de quoi rajouter un peu plus de spectacle à la soirée… Monsieur Mouche organise même des soirées concert-croisière, sur la plus belle avenue de Paris : La Seine !
Monsieur Mouche – Port de la Conférence, Pont de l’Alma, Rive droite, VIIIème
Ouvert du mercredi au vendredi de 18h à 1h les samedis et dimanches de 15h à 1h
Metro: Ligne 9, Alma-Marceau
La nouvelle scène :
La scène sous la Seine. Cette salle nous offre un décor lumineux et contemporain avec une vue imprenable sur Notre-Dame. Dotée de 120 places, elle propose toute l’année des spectacles et des représentations. Le principal choix artistique du lieu ? Une sélection pointue et hétéroclite. Ainsi, les artistes de stand-up se succèdent au fil des mois et de petites représentations théâtrales sont aussi au programme. En bonus, la partie bar-restaurant propose des happy-hour de 18h à 22h. De quoi prendre un verre tranquillement avant le spectacle.
La nouvelle Seine – Ouvert sur les berges en face du 3 quai de Montebello, Vème
Le mardi de 19h à 1h, du mercredi au jeudi de midi à 1h et le dimanche de 11h30 à 1h
Métro: Ligne 10, Maubert Mutualité
Rosa Bonheur sur Seine :
À quelques mètres du pont Alexandre III, le petit cousin de la guinguette des Buttes Chaumont, est un bar qui a tout pour plaire. Il faut dire que niveau restauration, en plus des pizzas au feu de bois, nombreux sont les amuses bouches qui composent la carte (tapas, assiettes de charcuterie, rillettes, tapenade, pélardons des Cévennes, etc…). La liste est longue et fournie. Le navire est équipé d’une piste de danse et même d’un baby-foot ! Attention, l’endroit est victime de son succès et il est donc souvent bondé.
Rosa Bonheur sur Seine - 37, quai d’Orsay VIIème
Ouvert le lundi et mardi de 18h à minuit, du mercredi au samedi de midi à 2h et le dimanche de midi à minuit.
Métro: Ligne 8, 13 Invalides
Bâteau El Alamein :
Amarrée non loin de la bibliothèque Nationale de France, cette large péniche violette ne peut qu’attirer notre attention. À l’intérieur, on trouve un coin détente, où il est possible d’apprécier un café au milieu des plantes et entouré d’eau. Une vraie petite île sur la Seine ! On y profite du soleil parisien, été comme hiver ! En termes de programmation musicale, le bateau mise sur la diversité : musique du monde, chanson française, rock et pop. Des concerts sont souvent organisés dans la cale. L’ambiance est à la hauteur des couleurs qu’elle arbore.
Péniche El Alamein – 11 quai François Mauriac Port de la Gare, XIIIème
Ouvert tous les jours de 15h30 à 1h et le dimanche de 13h à 1h
Métro : Ligne 6, Quai de la gare
Afterwork péniche Le Quai :
Cette vieille péniche restaurée datant de 1920 offre un cadre unique avec sa vue panoramique sur la Seine et son Paris historique. Au pied du musée d’Orsay, ce restaurant (qui fait aussi discothèque) est installé dans un superbe vaporetto vénitien. On plonge immédiatement dans l’ambiance particulière des années 20, dans un univers à la fois cosy et décontracté. On y danse jusqu’au bout de la nuit, après avoir siroté de délicieux cocktails. On peut même y venir pour un brunch, hors du temps.
Afterwork péniche le quai – 21 quai Anatole France, VIIème
Ouvert pour bruncher tous les samedis, dimanches et jours fériés, de 11h45 à 16h-17h. et le jeudi de 19h à 1h.
Métro: Ligne 12, Assemblée Nationale
Le OFF Paris Seine :
Ce bar-hôtel 4 étoiles offre un cadre exceptionnel privilégié à tous les Parisiens qui souhaitent s’évader le temps d’une nuit. Avec une programmation étoffée et de qualité, le lieu est toujours animé. Les Djs se succèdent en After Work. En plus, le navire est équipé d’une piscine entourée d’une terrasse en bois de 80m². On profite de la vue sur la Seine. Les chambres sont très design.
La bibliothèque-musée de l’Opéra Garnier ...
Nul Parisien ne saurait nier la splendeur de ce célébrissime édifice répondant au nom de Palais Garnier. Certains passent devant tous les jours, d’autres en sont des habitués, mais peu de personnes savent qu’entre ses murs se cache une véritable bibliothèque-musée.
Installée dans le pavillon de l’Empereur, à l’Ouest de l’édifice, la bibliothèque-musée de l’Opéra possède près de 600 000 documents (livres, périodiques, partitions, programmes, estampes, etc …) accumulés au fil des ans, ainsi que de quelques oeuvres d’art et objets divers (costumes, maquettes de décors, tableaux, bijoux de scènes, etc…).
Le pavillon de l’Empereur en 1875
Aujourd’hui rattaché au département de la musique de la Bibliothèque nationale de France, ce fonds a été officiellement créé en 1866 sous l’initiative de l’archiviste Charles Nuittier, mais ce n’est qu’en 1881 qu’il est entreposé dans sa structure actuelle et que lui est adjoint un musée.
Le pavillon a conservé ses magnifiques décors d’époque et offre trois espaces à part entière : le salon qui fait office de salle de lecture, l’ancien fumoir dans lesquelles ont été installées les collections permanente, et enfin la rotonde basse consacrée aux expositions temporaires.
Lithographie représentant la bibliothèque-musée de l’opéra au XIXème siècle.
La partie musée est accessible à tous les visiteurs du Palais Garnier. Malheureusement, la salle de lecture est réservée aux personnes munies d’une carte de lecteur recherche de la Bibliothèque nationale de France. Découvrir ce petit musée reste néanmoins une occasion parfaite de se plonger dans les dessous d’un univers magique !
Bibliothèque-musée de l’Opéra (BMO) – Palais Garnier – 8, rue Scribe, 75009 Paris.
Métro : Opéra (lignes 3, 7 et 8)
Ouvert tous les jours de 10h à 17h sauf le dimanche Entrée plein tarif à 11 euros (accès à tous les espaces de l’Opéra)
Une escapade à deux pas de Paris : l’abbaye des Vaux de Cernay ...
Situé à une quarantaine de kilomètres de Paris, au cœur de la Vallée de Chevreuse, le domaine abbatial des Vaux de Cernay fait partie de ces lieux chargés d’histoire qui nous promettent une balade dépaysante, entre campagne et culture. Partons à la découverte de ce domaine à l’atmosphère si apaisante.
900 ans d’histoire au coeur d’un domaine de 75 hectares :Une abbaye à couper le souffle, des ruines presque millénaires, un étang en lisière de forêt et un immense domaine vallonné et ombragé de 75 hectares. Voilà ce qui nous attend lorsque l’on se rend du côté de l’abbaye de Vaux de Cernay !
Si l’on y vient avant tout ici pour se ressourcer, on profite également d’un environnement chargé d’histoire. Cet ancien monastère ne compte en effet plus les années : fondé en 1118, il fête cette année ses 900 ans ! Un miracle car l’abbaye des Vaux de Cernay a traversé pas mal d’épreuves, au cours de ses siècles d’existence.
Souvent pillée, laissée complètement à l’abandon après la Révolution française, l’abbaye a dû être restaurée à de nombreuses reprises. Ainsi, c’est un domaine qui tombe en ruines que la Baronne de Rothschild achète et restaure intégralement à la fin du XIXème siècle.
Aujourd’hui, le monastère et son parc appartiennent au groupe hôtelier « Les Hôtels Particuliers » et l’abbaye a été réaménagée en un luxueux hôtel-restaurant. Aussi, si l’on décide d’y déjeuner, c’est sous les sublimes voûtes en pierres de l’ancien réfectoire ou sur une terrasse en bord d’étang que l’on dégustera notre magret de canard mariné ou notre ris de veau meunière. Il faudra néanmoins y mettre le prix, les tarifs pour les menus tournant autour de 75 €.
Cependant, si l’on préfère visiter librement le parc et les espaces extérieurs, la visite peut facilement se coupler avec celle de la maison de Louis Aragon et Elsa Triolet située non loin, pour une journée culturelle et historique complète aux portes de Paris.