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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Grand-mère de l'actrice Lola Dewaere, Mado Maurin qui a joué de nombreux seconds rôles au cinéma, à la télévision et au théâtre, était une figure du monde artistique. Elle était la mère d'une fratrie de comédiens : Patrick Dewaere, Jean-Pierre Maurin, Yves-Marie Maurin, Dominique Collignon-Maurin, Jean-François Vlérick et Marie-Véronique Maurin.
Formée au Conservatoire de Paris, la comédienne qui était aussi pianiste, a débuté au Théâtre du Grand Guignol en 1932. L'année suivante, elle est révélée dans le rôle de la Princesse Mi pour "Le Pays du sourire" à la Gaîté Lyrique". Mado Maurin a tenu une centaine de rôle dans des opérettes, avant d'être régulièrement à l'affiche de grandes productions du Théâtre de la Commune d'Aubervilliers, à Chaillot, à la Cartoucherie, au Carré Sylvia Montfort...
Au cinéma, Mado Maurin a tourné sous la direction des plus grands cinéastes dont Claude Lelouch ("Viva la vie!"), Claude Sautet ("Un Mauvais fils"), Yves Boisset ("La Femme flic") et Claude Zidi.
Elle a été à l'affiche d'une cinquantaine de pièces au total ("Hamlet", "Britannicus", "Le Mariage de Figaro", "Les Femmes savantes"). En 2002, Laurent Baffie l'avait enrôlée sur scène dans "Sexe, Magouilles et Culture Générale" et au cinéma dans son premier film, "Les clés de la bagnole". L'humoriste en avait fait aussi la principale pensionnaire de son émission sur Europe 1.
Le fils de Valérie Trierweiler plusieurs fois interpellé en possession de drogue ...
Le fils de Valérie Trierweiler a-t-il bénéficié d’un traitement de faveur de la part des policiers ? D’après le dernier numéro du magazine Closer, paru ce samedi, l’un des trois enfants de la compagne de François Hollande aurait été interpellé par la police à plusieurs reprises en possession de drogue. Mais il aurait été aussitôt relâché et aucune poursuite n’aurait été engagée contre lui.
Pris en flagrant délit :
Selon Closer, le fils de Valérie Trierweiler a été interpellé le 23 octobre dernier à Saint-Ouen par la brigade anti-criminalité, alors qu’il venait d’acheter du cannabis. Le Point, qui a pu consulter le compte-rendu rédigé par les policiers, note qu’il aurait alors bénéficié de la clémence des forces de l’ordre, puisque les interpellations en ZSP, en zones de sécurité prioritaires, sont soumises à une procédure particulière : elles doivent faire l’objet d’un avis au parquet, et une amende doit être dressée sur place à l’encontre du malfrat. Rien de tout cela n’aurait ici été appliqué et le fils de Valérie Trierweiler aurait été récupéré par son garde du corps peu de temps après.
« Des policiers en porte à faux » :
« Nous avons pris contact avec l'officier de sécurité » note dans son rapport le policier. « Afin de lui faciliter la prise en charge, nous l'avons pris à notre bord pour le confier à X avec lequel nous avions rendez-vous à la porte de la Chapelle à 17h40. Nous lui avons rappelé que, pour cette action, nous nous trouvons en porte à faux... de ne pas avoir fait notre travail d'anti-criminalité... ni de devoir rendre compte des faits au vu du caractère récent et sensible de la création de la zone de sécurité prioritaire ».
Récidiviste ?
Un incident qui n’était visiblement pas une première. Selon les extraits de La Frondeuse, la biographie écrite par Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn, publiés par L’Express en 2012, le fils de la compagne de François Hollande avait déjà été arrêté dans la rue, en mars 2012, alors qu’il était en possession d’un pétard. A l’époque, pas un mot de filtré.
Jacques Chirac hospitalisé pour une intervention rénale L'ancien chef d'État est hospitalisé depuis dimanche au service d'urologie de la Pitié-Salpétrière à Paris, pour "une intervention rénale.
"Jacques Chirac a subi une intervention rénale au sein du service d'urologie de la Pitié-Salpétrière, qui s'est très bien passée" et il va "bien", a indiqué son entourage, ce lundi 2 décembre. Jacques Chirac "restera quelques jours en observation à l'hôpital", a-t-on ajouté.
L'ancien chef de l'Etat, qui a fêté le 29 novembre ses 81 ans, avait été victime en 2005 d'un accident vasculaire cérébral qui l'avait affaibli.
Le 21 novembre, il avait assisté à la remise du prix de sa fondation au docteur Denis Mukwege, engagé aux côtés des femmes violées de République démocratique du Congo, et à l'organisation Femmes Africa Solidarité, par le président François Hollande.
L'ancien président était apparu la démarche hésitante, comme c'est le cas depuis plusieurs années.
L'écrivain baroudeur, Gérard de Villiers, auteur des sulfureux polars d'espionnage "SAS" écoulés à des dizaines de millions d'exemplaires, est mort jeudi à Paris à l'âge de 83 ans, a-t-on appris vendredi auprès de ses proches.
"Il avait souhaité que son décès soit annoncé comme cela", a-t-il précisé. Une sorte de "pied de nez" selon lui, de la part de quelqu'un qui n'avait jamais écrit le moindre "tweet" et rédigeait tous ses SAS sur une machine à écrire datant de 1976.
"En mai on lui avait diagnostiqué un cancer du pancréas avec des métastases au foie", a affirmé Christine de Villiers, l'épouse de l'auteur et elle-même dirigeante des éditions Gérard de Villiers.
"Sur les dernières semaines, il restait conscient mais très fragile", selon Mme de Villiers. "C'est exactement la mort qu'il ne voulait pas".
"La Vengeance du Kremlin", le dernier tome de sa saga, était paru début octobre.
Ex-journaliste de Paris Presse et à France Dimanche, passé à la littérature dans les années 1960, ce passionné d'actualité était très introduit dans les milieux du renseignement et de la diplomatie, lui permettant d'offrir à ses lecteurs des récits bien informés, toujours teintés de sexe.
Début février, le New York Times l'avait consacré comme "l'auteur de romans d'espionnage qui en savait trop". Il venait de passer dix jours en Afghanistan, théâtre de ses deux SAS à venir, les 198ème et 199ème de la série.
"Conteur d'histoires pour adultes", il était aussi un "passeur d'informations". "Les services ont maintes fois utilisé des SAS pour faire passer des messages à leurs homologues", a révélé Me Morain, ami et avocat de De Villiers depuis 15 ans.
"C'était un homme passionné de géopolitique, de l'information, c'était un homme qui se tenait sans arrêt informé", a renchéri Renaud Girard, grand reporter au Figaro, saluant au passage sa grande force de travail.
Alors que la série SAS affiche aujourd'hui 200 titres, Gérard de Villiers déclarait récemment ignorer le nombre exact de livres vendus depuis 1965 et la publication de "SAS à Istanbul", le premier de la collection, il y a près d'un demi-siècle: "Sans doute entre 120 et 150 millions tous pays confondus", avançait-il.
"Ce qui lui manquait c'était la reconnaissance. Il ne pouvait pas s'empêcher de choquer", a dit Ariane Chemin, journaliste au Monde, qui avait récemment consacré un portrait, sous le titre "Itinéraire d'un réac", à l'auteur à succès méprisé des critiques littéraires.
L'écrivain Christophe Ono dit Biot, grand prix du roman de l'Académie française 2013, a pour sa part estimé que "la pop culture française perd un de ses représentants".
"Je crois que c'est une mythologie française d'une autre époque", a-t-il ajouté, qualifiant les SAS de "littérature de très mauvais goût mais marquante" que l'on retrouve à coup sûr "dans tous les foyers français".
Dans un document d'archive diffusé par BFMTV, Gérard de Villiers racontait qu'il parcourait le monde, souvent dans des zones à risque, pour aller à la rencontre des villes et des personnages fictifs de ses romans. "L'ambiance d'une ville, vous ne pouvez pas l'inventer", disait le très productif auteur qui écrivait jusqu'à cinq tomes par an.
Il répondait à ses détracteurs, jugeant ses livres "vulgaires", qu'il se considérait "comme un conteur" ayant "la chance de ne pas faire un métier ennuyeux".
Laeticia et Johnny Hallyday ont fait sensation en vampire et Cléopatre sexy, pour assister à la soiree annuelle d'Halloween organisée par Kate Hudson, à Brentwood, le 26 octobre.
Légende du rock américain qui a influencé des générations entières, l'ex-leader du Velvet Underground Lou Reed est mort dimanche à l'âge de 71 ans près de New York, de complications après une greffe du foie subie au printemps dernier.
L'interprète de "Walk on the wild side" et "Perfect Day" "est mort ce matin à 11H00 à Long Island", a déclaré à l'AFP son agent Andrew Wylie, confirmant une information donnée dans un premier temps par le magazine américain Rolling Stone. "La cause en est des complications dues à sa greffe du foie", a-t-il ajouté. Quelques heures avant l'annonce de sa mort, ses comptes officiels Twitter et Facebook avaient publié un dernier message, intitulé "La porte" : une photo d'une affiche le représentant, collée sur l'entrée d'un bâtiment.
Au printemps dernier, ce poète de la ville (dont le premier album du Velvet Underground est considéré comme une des oeuvres majeures du rock), avait subi aux Etats-Unis une greffe du foie alors qu'il "était en train de mourir", selon les propos de sa femme Laurie Anderson.
"Je ne pense pas qu'il s'en remettra totalement, mais il reprendra des activités dans quelques mois. Il s'est déjà mis au Tai Chi", avait déclaré l'artiste expérimentale dans un entretien accordé au journal britannique The Times fin mai. Lou Reed avait cependant dû annuler une série de concerts en avril et notamment deux soirées au festival de Coachella en Californie.
Au cours de l'un des derniers entretiens accordé avant sa mort au Times début septembre, le musicien avait revendiqué un statut à part: "Je n'ai jamais vendu beaucoup de disques. Bon, d'accord, ça m'est presque arrivé, une fois (avec l'album Transformer). Mais j'ai toujours été à la marge, je le suis encore, je n'ai jamais fait ce qu'ils voulaient". Lors de cet entretien, il était apparu "très frêle", le visage émacié, le teint gris, marchant à l'aide d'une canne à pommeau d'argent, raconte le journaliste du Times. Lou Reed avait largement évoqué ses problèmes avec la drogue et l'alcool dans le passé : "J'ai essayé de me débarrasser de la drogue en buvant", avait-il écrit en 1992. "Mais ça n'a pas marché", avait-il reconnu.
Né à New York en 1942, il était marié avec Laurie Anderson depuis 2008. Le couple résidait à New York.
L'annonce du décès de cette figure du rock aussi légendaire que peuvent l'être David Bowie, Mick Jagger, Bob Dylan ou Iggy Pop, a immédiatement suscité une avalanche de réactions.
L'auteur britannique Irvine Welsh, dont l'adaptation sur grand écran de son roman "Trainspotting" avait fait redécouvrir aux plus jeunes le titre "Perfect Day" s'est dit "triste" sur Twitter d'apprendre le décès du chanteur: "C'était une telle star. "R.I.P. LOU", et merci de nous avoir donné "Perfect Day" pour "Trainspotting".
Sur le compte Twitter officiel du groupe britannique The Who, un message faisait référence à l'autre titre le plus connu de l'artiste, "Walk on the wild side", qui a connu un énorme succès alors qu'il évoquait des questions difficiles, comme la drogue et la transsexualité: "RIP Lou Reed. Walk on the peaceful side" ("marche en paix").
"NY (New York) a perdu un de ses représentants les plus marquants", a écrit l'actrice Susan Sarandon sur son compte Twitter.
Parmi les dizaines de messages envoyés, celui qui résume sans doute le mieux le sentiment général est venu de David Bowie sur sa page Facebook: "C'était un maître".
"A l'avant-garde du rock, Lou Reed nous laisse un patrimoine musical exceptionnel qui a définitivement marqué l'histoire de la musique", a estimé la ministre française de la Culture, Aurélie Filippeti dans un communiqué.
Actrice, magistrale, éblouissante, intemporelle, libre, amoureuse, Catherine Deneuve, qui vient de fêter ses 70 ans, le 22 octobre, s'est imposée comme la plus grande star du cinéma français. Portrait d'une femme authentique et passionnée à mille lieues de la froideur et de la sophistication qu'on veut bien lui coller, trop souvent ! Née le 22 octobre 1943 dans une famille de comédiens : Antoinette, la grand-mère maternelle, était souffleuse au théâtre. Renée Deneuve, sa mère, qui vient de souffler ses 102 bougies, a été doyenne de l'Odéon. Le père, Maurice Dorléac, a fait du cinéma et du doublage ... Catherine n'est d'abord que la soeur cadette de la sémillante Françoise Dorléac qui a, elle, le cinéma dans la peau.
Sa longévité exceptionnelle, l'universitaire Ginette Vincendeau attribue à son "statut transitionnel" entre les stars hypersexuées comme Bardot et les "héroïnes naturalistes et libérées" à la Girardot.
"Discrète sans être empaillée, proprette sans être banale, ingénue sans être niaise et jolie, si jolie, sans avoir l'air de le savoir", s'enflamme France Roche dans France Dimanche. Mais Catherine Deneuve alimente alors surtout la chronique des magazines people : elle est la "fiancée n°3" de Roger Vadim (après Brigitte Bardot et Annette Stroyberg), vit en couple sans être mariée, puis élève en mère-célibataire, leur fils Christian.
Sa rencontre avec Jacques Demy, qui lui offre ses "Parapluies de Cherbourg", change le cours de sa carrière et la propulse, à 20 ans, au rang de star.
Deuxième collaboration avec Jacques Demy dans Les Demoiselles de Rochefort (1967) dans lequel elle donne la réplique à sa sœur, Françoise Dorléac.
En 1970, elle joue dans Peau d'âne, un film de Jacques Demy adapté du conte de Charles Perrault. "Avec ses conceptions ultramodernes, elle fait fi de tous les préjugés et de toutes les traditions", grince son père Maurice Dorléac. Hormis brièvement le photographe anglais David Bailey, elle n'épousera aucun de ses compagnons, dont le plus célèbre reste Marcello Mastroianni, père de sa fille Chiara.
Dans "Le Sauvage" en 1975, Catherine Deneuve donne la réplique à Yves Montand. L'actrice apparaît moins apprêtée, mais plus sexy. Son interprétation lui vaut une nomination au César de la meilleure actrice.
Derrière son glamour bourgeois, "ce n'est pas du tout la femme glaciale qu'on décrit. Elle fonce, elle est toujours partante pour prendre des risques", assure à l'AFP Nadine Trintignant, qui l'a dirigée dans "Ca n'arrive qu'aux autres". Ici avec Johnny Hallyday, lors du tournage du film Les Parisiennes en 1961.
Ultra-discrète aujourd'hui sur sa vie privée, elle a un caractère bien trempé. "Dominatrice", avait lâché Roger Vadim.
Dans "Place Vendôme", Catherine Deneuve incarne une alcoolique. Son rôle, joué à la perfection, lui vaut le prix d"interprétation à la Mostra de Venise.
"Il est évident que je suis liée avec le père de ma fille (Marcello Mastroianni). Nous avons une enfant, Chiara que nous adorons et nous sommes très proches". (Paris Match, 1999).
Iconoclaste, elle se lie avec Serge Gainsbourg et s'engage, en signant notamment en 1971 "L'Appel des 343 salopes", pétition pour la légalisation de l'avortement. Catherine Deneuve et Serge Gainsbourg ont été amenés à collaborer ensemble sur le film "Je vous aime", de Claude Berri, en 1980. Les médias leur ont, par la suite, prêté une idylle.
"Ce mot "encore belle" je l'entends effectivement souvent, sans qu'il me paraisse injuste. On sent bien à travers lui que les gens pensent que je vais vers le bord "d'autre chose", vers le coucher de soleil, vers l'aube, ce qu'il faut accepter, on ne peut pas s'en extraire". (Le Journal du Dimanche, 1999).
Consacrée "plus belle femme du monde" par le magazine américain Look, l'égérie d'Yves Saint Laurent (ici en 1983) est immortalisée en Marianne.
En 1985, Catherine Deneuve prête ses traits à la sculpture de Marianne, symbole de la République Française. Une consécration de taille pour l'actrice préférée des Français.
Avec sa fille, Chiara Mastroianni(ci-dessus), maman de deux enfants Milo et Anna.
"Il y a un cliché que je ne supporte pas à mon sujet, c'est "la grande dame du cinéma français". Tout ça pour en arriver là ! Je ne veux pas être une dame, encore moins une grande". En 2005, elle incarne la reine Eugénia dans le film "Palais Royal !" de Valérie Lemercier.
"Elle s'est imposée comme une figure emblématique de l'identité socio-culturelle française", renchérit Gwénaëlle Le Gras, dans "Le mythe Deneuve".
Dans son dernier film, "Elle s'en va", l'actrice incarne une sexagénaire partie sur les routes en quête d'une nouvelle vie.
Le 18 août 1965, Catherine Deneuve se marie avec le photographe David Bailey à l'église de St. Pancras, à Londres. Quinze jours après l'avoir rencontré. Lors d'un dîner chez Roman Polanski, en 1970, l'actrice fait la connaissance de Marcello Mastroianni, le futur père de sa fille Chiara. Catherine Deneuve et son ami Yves Saint Laurent, lors du dernier défilé du couturier. (Paris, 1e février 2002.)
Le "gentleman cambrioleur" Georges Descrières est mort dimanche 20 octobre 2013, à 16heures30.
L'acteur, sociétaire de la Comédie française qui avait incarné Arsène Lupin, a succombé à un cancer.
C'était un homme de théâtre mais le grand public retiendra de lui son rôle d'Arsène Lupin dans les années 1970. Le comédien Georges Descrières est mort samedi matin à Cannes, à l'âge de 83 ans, selon une information du Point, confirmée par Europe 1. L'acteur souffrait d'un cancer. Il sera inhumé mercredi ou jeudi prochain, a indiqué son agent.
Théâtre. Même s'il commence sa carrière au cinéma, dans Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara, Georges Descrières est un homme de théâtre. Après une formation classique au conservatoire de Bordeaux, puis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, il entre à la Comédie Française, en 1955. Trois ans plus tard, il en devient sociétaire. Il sera même le
plus jeune doyen de l'institution, à 49 ans. Il gardera ce statut jusqu'à son départ de la comédie Française en 1985. Au total, il aura joué pas moins de 65 rôles au Français.
Regardez ce que disait Georges Descrières de ce statut de doyen en 1980 :
Avec les plus grands. Pour le cinéma et la télévision, Georges Descrières a tourné dans une cinquantaine de films, collaborant avec les plus grands : Claude Autan-Lara, Georges Lautner,Jean Meyer ou encore Denys de la Patellière pour les réalisateurs, Brigitte Bardot, Anna Karina ou Audrey Hepburn côté partenaires.
Lupin de légende. Mais c'est son rôle mythique d'Arsène Lupin qui a marqué le grand public.
Georges Descrières a incarné le "gentleman cambrioleur" de 1971 à 1974 sur la deuxième chaîne de l'ORTF. 26 épisodes seront tournés et sont toujours régulièrement diffusés depuis. "A
l'époque où le feuilleton passait à la télévision, je recevais des lettres d'hommes et de femmes me demandant d'intervenir pour que leur pension leur soit payée. Comme si j'étais réellement
le justicier Lupin", racontait-il dans France Soir en 1985.