Thèmes

à méditer abdication du roi albert II actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belgique belle journée belles femmes

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

PEOPLE

Pour ses nombreux fans ... Marilyn for ever !

Publié à 19:49 par yvonne92110 Tags : people marilyn for ever pour ses nombreux fans

Milla Jovovich et le groupe Daft Punk ... photos !

Publié à 15:05 par yvonne92110 Tags : people milla jovovich et le groupe daft punk photos
Milla Jovovich et le groupe Daft Punk  ...  photos !

Milla Jovovich, sublime ancienne mannequin reconvertie dans le cinéma, a pris la pose avec le groupe français Daft Punk pour le magazineCR Fashion Book. Le photographe a voulu illustrer une "histoire d'amour digitale", entre les auteurs à succès de l'album Random Access Memories, toujours masqués par leurs célèbres casques, et l'actrice.

 

Disparition d'un grand Avocat ... Me Jacques VERGES !

Publié à 14:31 par yvonne92110 Tags : people disparition de me jacques verges grand avocat
Disparition d'un grand Avocat  ... Me  Jacques VERGES  !

Maître Vergès, "avocat de l’indéfendable", n'est plus                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Souvent controversé, il s’était fait le défenseur de tous ceux que l’Histoire avait condamnés. Nazis, terroristes ou encore dictateurs, selon Jacques Vergès, tout le monde avait le droit d’être défendu. L’avocat est décédé ce jeudi 15 août à l’âge de 88 ans.

 

Il faisait partie de ceux que l’on appelle les ténors du barreau. Jacques Vergès laissera sans doute le souvenir de l’un des avocats les plus brillants de sa génération, mais aussi celui des plus controversés. Décrit comme « l’avocat de l’indéfendable », celui qui avait bâti sa réputation en se faisant le défenseur de tous ceux que l’Histoire avait condamnés, est décédé ce jeudi 15 août à l’âge 88 ans, de cause naturelle, a confirmé hier Christian Charrière-Bournazel, président du Conseil national des barreaux.

« Serais-je prêt à défendre Hitler ? Bien sûr ! »

Avocat, notamment, du nazi Klaus Barbie, du terroriste «Carlos», de Slobodan Milosevic, l’ancien président serbe qui a été reconnu coupable de crimes contre l’humanité en 2002, du khmer rouge Khieu Samphan, le jardinier Omar Raddad, Maître Vergès s’était aussi dit prêt à défendre Mouammar Kadhafi. « Serais-je prêt à défendre Hitler ? Bien sûr ! Et même George W. Bush. Je suis prêt à défendre tout le monde à condition qu’ils plaident coupables » avait-il déclaré. « Je ne suis pas l’avocat de la terreur, mais l’avocat des terroristes. Hippocrate disait : « Je ne soigne pas la maladie, je soigne le malade ». C’est pour vous dire que je ne défends pas le crime mais la personne qui l’a commis ». « Défendre ce n’est pas excuser. L’avocat ne juge pas, il ne condamne pas, il n’acquitte pas : il essaie de comprendre » avait encore déclaré celui qui estimait ainsi faire « un travail social ».

« Jacques Vergès était un homme fascinant et mystérieux » :

Gilbert Collard a aussitôt salué la mémoire de son confrère. « Il était de ceux qui sont capables de dire non. C'est ce dont nous avons besoin aujourd'hui. D'hommes capables d'être aux cotés de ceux sur lequel tout le monde s'acharne » a déclaré l’avocat et député du FN. Maître Georges Kiejman, avocat et ancien ministre de François Mitterrand lui a lui aussi rendu hommage. « Jacques Vergès était un homme fascinant et mystérieux. Sa dimension intellectuelle dépassait le cadre judiciaire. Il faisait partie des deux ou trois avocats extraordinaires de ma génération. […] Au fil des années, ses convictions ont évolué. Il a défendu les intérêts des Allemands nazis ou des terroristes comme Carlos. Le personnage avait changé. Il n'avait pas perdu son talent mais sans doute de sa puissance de conviction » a-t-il déclaré à propos de celui qu’il considérait comme son « meilleur ennemi » dans les prétoires.

Charlie Chaplin ... le connaissez-vous bien !

Publié à 14:27 par yvonne92110 Tags : people charlie chaplin le connaissez vous bien
Charlie Chaplin   ...  le connaissez-vous bien   !

  LE JOUR OÙ JE ME SUIS AIMÉ POUR DE VRAI !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Le Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
N’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle … l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente
Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle … la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus
Dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
Sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle … le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,
Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle … l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
Et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle … la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert  … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s’appelle … la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur,
Elle devient une alliée très précieuse !
Tout ceci, c’est … le Savoir vivre.
- Charlie Chaplin -  

 

 « J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore ! »

 

Rencontre entre Charlie Chaplin et Albert Einstein

— Ce que j’admire le plus dans votre art,

dit Albert Eins­tein c’est son universalité.

Vous ne dites pas un mot, et pourtant le monde entier vous comprend.

— C’est vrai, réplique Chaplin.

Mais votre gloire est plus grande encore :

le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend.»

 

Témoignage de Charlie Chaplin :

“Je rencontrai Gandhi peu après mon séjour chez les Churchill. J’ai toujours respecté et admiré Gandhi pour son habileté politique et sa volonté de fer. Mais j’estimais que sa visite à Londres était une erreur. Sa signification légendaire s’évaporait sur la scène londonienne, et sa piété profonde n’avait plus rien d’impressionnant. Dans le climat froid et humide de l’Angleterre, vêtu de son pagne traditionnel dont il ramassait les plis en désordre autour de lui, il semblait incongru. Et sa présence à Londres prêtait le flanc aux plaisanteries et à la caricature. On est toujours plus impressionnant loin de Londres. On m’avait demandé si j’aimerais le rencontrer. Bien sûr, j’étais ravi.

Je le trouvai dans une humble petite maison des faubourgs du côté d’East India Dock Road. La foule emplissait les rues, et la presse et les photographes s’entassaient dans la résidence de Gandhi. L’entrevue eut lieu dans une petite chambre du premier étage. Le Mahatma n’était pas encore arrivé ; et en l’attendant, je me mis à penser à ce que j’allais lui dire. J’avais entendu parler de son emprisonnement et de ses grèves de la faim, du combat qu’il menait pour la libération de l’Inde et je savais vaguement qu’il était hostile à la mécanisation.

Lorsqu’il arriva enfin, il y eut des hurrahs! et des acclamations quand il descendit du taxi en serrant son pagne autour de ses reins. C’était une scène bizarre dans cette petite rue encombrée d’un faubourg que de voir cette silhouette étrangère pénétrer dans une humble maison, au milieu des acclamations de la foule. Il monta au premier étage et se montra à la fenêtre, puis me fis signe et tous deux nous saluâmes la foule.

Nous allâmes sur le divan et les éclairs des ampoules de magnésium fusèrent soudain de tous côtés. J’étais à la droite du Mahatma. Maintenant était venu le moment terrifiant où il me fallait dire quelque chose de fin et d’intelligent sur un sujet que je connaissais à peine…Le silence se fit brusquement dans la pièce. Et, comme le visage impassible du Mahatma exprimait l’attente, j’eus l’impression que toute l’Inde attendait aussi mes paroles. Je m’éclaircis donc la voix.

- Naturellement, dis-je, je sympathise avec les aspirations de l’Inde et la lutte qu’elle mène pour sa liberté. Néanmoins, je suis quelque peu déconcerté par votre haine des machines.

Le Mahatma acquiesça en souriant tandis que je poursuivais : - Après tout, si les machines sont utilisées de façon altruiste, cela devrait aider à libérer l’homme de la servitude, lui permettre d’avoir des horaires de travail plus courts et du temps pour cultiver son esprit et profiter de la vie.

- Je comprends, dit-il d’un ton calme, mais avant que l’Inde puisse atteindre ces buts, elle doit se débarrasser d’abord du joug anglais. Ce sont les machines autrefois qui nous ont rendus dépendants de l’Angleterre, et la seule façon dont nous pouvons nous débarrasser de cette dépendance, c’est de boycotter tous les produits faits par des machines. C’est pourquoi nous avons déclaré que c’était le devoir patriotique de tout Indien de filer son propre coton et de tisser les tissus dont il a besoin. C’est notre façon d’attaquer une très puissante nation comme l’Angleterre, et, bien sûr, il y a d’autres raisons. L’Inde a un climat différent de l’Angleterre ; et ses coutumes et ses besoins sont différents …

J’eus ainsi droit à une leçon de choses d’une remarquable clarté sur la tactique du combat de l’Inde pour la liberté, combat inspiré paradoxalement par un visionnaire réaliste, à l’esprit viril et doté d’une volonté de fer pour le mener jusqu’au bout. Il m’expliqua aussi que la suprême indépendance consiste à se débarrasser du superflu et que la violence finit par se détruire elle-même.

Quand la pièce se fut vidée, il me demanda si j’aimerais rester pour assister aux prières. Le Mahatma s’assit en tailleur sur le sol tandis que cinq autres personnes prenaient place en cercle. C’était un curieux spectacle : six personnes accroupies sur le plancher de cette petite chambre, au cœur des faubourgs de Londres, tandis qu’un soleil safran disparaissait rapidement derrière les toits, et moi assis sur un divan à les regarder pendant qu’ils murmuraient humblement leurs prières. « Quel paradoxe », songeai-je en observant cet homme extrêmement réaliste, avec son esprit habile de juriste et son sens profond de la réalité politique, alors que tout cela semblait s’évanouir dans leurs psalmodies. "

hebergeur d'image

Charlie Chaplin  
( 1889-1977 )

Sir Charles Spencer dit Charlie Chaplin est né le 16 Avril 1889 (quatre jours avant Hitler, avait-il fait spécifier à un journaliste) dans East Lane à Walworth, Londres ( quartier pauvre ). Mais selon des "spécialistes" de Chaplin, « il n'existe aucun acte de naissance, ni extrait de baptême » prouvant les faits de ce que Chaplin dit lui-même. Un mystère plane donc sur ses origines  ...

Décès  : 25 décembre 1977, à Corsier-sur-Vevey, en Suisse.
3 Enfants  : Géraldine Chaplin, Charles Chaplin Jr, Sydney Chaplin.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Charles Spencer Chaplin passe son enfance dans une troupe de théâtre. En 1912, il s’installe aux États-Unis et travaille pour la compagnie de film Keystone. Il ne lui faudra pas plus de cinq années pour s’imposer. Il aura réalisé et joué dans plus de soixante-dix courts et moyens métrages, où il célèbre le personnage de Charlot, clochard frondeur et généreux. En 1921, il réalise son premier long métrage ‘The Kid’, une oeuvre bouleversante. Ses films dénonceront les injustices de la société américaine, tout en refusant initialement le passage au cinéma parlant (L’Opinion publique)en 1923, ‘Les Temps modernes’ en 1936). Avec le parlant, Chaplin enterre Charlot et s’attaque aux plus sombres pulsions de l’époque : ‘Le Dictateur’ (1940) reste la critique cinématographique la plus intelligente produite contre le fascisme. En 1952, il réalise son dernier chef - d’oeuvre, le tragique ‘Limelight’. Entre-temps, ses sympathies communistes inquiètent le CIA, qui le force à un exil européen. Il réalisera deux dernier films, dont un colorisé, avant de s’éteindre, célébré comme un génie du cinéma.

Dernier hommage émouvant ... à Bernadette Lafont !

Publié à 14:54 par yvonne92110 Tags : people dernier adieu émouvant à bernadette lafont
Dernier hommage émouvant  ...  à Bernadette Lafont !

Quelques 250 personnes ont rendu ce lundi matin un dernier hommage à la comédienne cévenole Bernadette Lafont, décédée jeudi à Nîmes à l'âge de 74 ans lors d'une messe simple célébrée au temple de Saint-André-de-Valborgne.

 
Photographe : :: Les obsèques de l'actrice Bernadette Lafont au temple de Saint-André-de-Valborgne, le 29 juillet 2013 
augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte

Ce sont essentiellement les habitants de la commune de 400 habitants, toutes générations confondues, qui ont voulu accompagner celle qu'ils ont "connue jeune", qui est "toujours restée simple et a toujours gardé ses racines cévenoles".

"Un mot résume sa vie et sa carrière : "gentillesse", a dit le pasteur Pierre-Alain Jacot devant la famille de l'actrice, avant de souligner qu'elle "aimait écouter pour permettre aux autres de s'exprimer".

"Elle a toujours travaillé de la même façon pour les petits projets comme pour les grandes entreprises", a ajouté le pasteur, rappelant également que l'un des engagements discrets mais forts de l'actrice avait été la formation, dans son village, à Sommières et jusqu'en Chine.

Pour cette cérémonie au bord du Gardon, au fond des Cévennes, peu de personnalités avaient fait le voyage, hormis le réalisateur Jean-Pierre Mocky qui s'est souvenu, avec émotion, "avoir cohabité pendant 50 ans" avec la comédienne égérie de la Nouvelle vague, "une fille formidable".

Vue aussi aux abords du temple, l'actrice Marianne Denicourt ainsi que le comédien et auteur de pièces de théâtre Lionel Astier, dont Bernadette Lafont avait accepté il y a tout juste trois semaines d'être la marraine de sa pièce, "La nuit des Camisards", donnée jusqu'au 15 août à Alès.

Selon la tradition protestante dans les Cévennes, conséquence d'une longue interdiction d'enterrer les morts dans les cimetières publics pour les non-catholiques, la comédienne a ensuite été inhumée dans la propriété familiale aux côtés de sa fille, Pauline, morte accidentellement en 1988 à 25 ans, et de ses parents et grands-parents.

Le Roi des Belges ... en vacances à l'Ile d'Yeu !

Publié à 12:27 par yvonne92110 Tags : people le roi des belges en vacances à l ile d yeu
Le Roi des Belges ... en vacances à l'Ile d'Yeu  !

Le roi des Belges séjourne à l’Île-d’Yeu pour les vacances !

 
  • Le palais royal a organisé une séance photo dans la matinée, pour officialiser la venue du Roi et de sa famille sur l’île, et éviter que les paparazzis viennent perturber son séjour.

     Ce couple de touristes flamands n’en revient toujours pas. Ils viennent de rencontrer Philippe Ier, leur nouveau roi depuis le 21 juillet, et d’échanger quelques mots avec lui, et son épouse. « Nous ne savions pas qu’il venait à l’île d’Yeu. Il nous a dit qu’il y passait ses vacances. »

La famille royale a posé ses valises sur l’île, dans la journée de mardi, après être arrivée de Bruxelles, à l’aéroport de Nantes. Mais le palais royal insiste : le souverain souhaite passer des vacances sereines. Seule une délégation de photographes et de cameramen a été autorisée à approcher le souverain des Belges et produire des images officielles. Elle est repartie hier, en début d’après-midi.

Officiellement, le palais royal ne sait pas combien de temps dureront ces vacances. Sur place, des Islais évoquent une quinzaine de jours, comme lors des précédentes venues de Philippe Ier. Mais selon, le groupe de presse belge Sud Presse, le roi devrait rentrer au pays le 31 juillet, pour la cérémonie de l’anniversaire du décès du roi Baudouin, son oncle. Il pourrait revenir sur l’île ensuite.

A Port-Joinville, tout le monde ne met pas encore un visage sur celui qui vient passer ses vacances à l’Île-d’Yeu depuis maintenant cinq ans. « Seuls les Belges le reconnaissent », admet-on, au restaurant les Bafouettes. Et pour cause, le gérant, Stéphane Gilot, est lui-même belge. Philippe s’est déjà arrêté dans son établissement à deux reprises. « Mon mari est allé le saluer en salle la première fois, se souvient Mireille, la femme du restaurateur. Sinon, il ne sort jamais de sa cuisine. » Le fils d’Albert II n’était alors qu’un prince. Laurence, une touriste wallone et amie du couple de restaurateurs, s’étonne d’ailleurs de revoir Philippe Ier à l’Île-d’Yeu, cet été. « Maintenant qu’il est roi, je ne pensais pas qu’il reviendrait ici. »

Fondu dans la population locale :

C’est que la famille royale a déjà ses petites habitudes. Hier matin, Philippe Ier et ses enfants sont allés louer des vélos à La Trottinette, pour une petite balade. « Ils viennent toujours ici depuis quatre ans, explique Olivier Rouet, le gérant du commerce. Avant, je faisais mine de ne pas les reconnaître, mais cette année, je les ai félicités. » Une notoriété accrue, avec un nouveau statut à gérer. Philippe Ier pourra-t-il continuer à prendre une bière sur la terrasse de l’hôtel des Voyageurs, incognito ? 

« À l’Île-d’Yeu, le roi apprécie aussi de pouvoir faire ses courses tranquillement, reconnaît Pierre Nolleau, directeur de l’établissement. Mais est-ce que cela va durer ? » En attendant, la famille semble se fondre parfaitement dans la population islaise. Au club de voile, on ne sait même pas qui sont les enfants héritiers parmi tous ceux qui viennent prendre des cours. Parfois, c’est au tennis-club.

Mais sous leur apparence ordinaire, les visites de Philippe Ier sont toujours un peu particulières. Pas de dispositif mis en place par la préfecture, mais la surveillance étroite de plusieurs gardes du corps.

Une personnalité appréciée :

Tous ceux qui ont déjà rencontré le roi sur l’île sont unanimes : l’homme est timide, très réservé. « Il en est intimidant ...  La dernière fois, par exemple, j’ai eu avec lui des discussions sur des sujets locaux », ajoute Pierre Nolleau.

Certains bruits font état d’une installation sur l’île, à terme. « Mais je crois que c’est compliqué, pour des  raisons de sécurité », précise Pierre Nolleau. Difficile d’être normal quand on est roi.

Denys de la Patellière ... un grand réalisateur disparaît !

Publié à 12:18 par yvonne92110 Tags : people denys de la patellière disparait à l age de 92 ans
Denys de la Patellière ... un grand réalisateur disparaît !

(ci-dessus : une photo prise en 1969 du réalisateur français Denys de La Patellière, à l'entrée d'un cinéma lors de la diffusion de son film "Sabra").                        

Le cinéaste français Denys de La Patellière, réalisateur notamment de "Un taxi pour Tobrouk", est décédé dimanche à Dinard (Ille-et-Vilaine) à l'âge de 92 ans.

Denys de la Patellière a réalisé quelques uns des grands succès populaires du cinéma des années 50 et 60, dont "Un taxi pour Tobrouk", "Du rififi à Paname", "Le Tatoué" ou "Les grandes familles", et fait jouer les plus grandes stars de l'époque.

Né Denys Dubois de la Patellière le 8 mars 1921 à Nantes dans une famille anoblie pendant la Restauration, fils d'un officier de carrière et dernier de sept enfants, il prépare Saint-Cyr lorsque la guerre éclate. Il entre alors dans l'Armée de libération et perd deux de ses frères engagés dans la Résistance.

Après la guerre, il décide de faire du cinéma et est engagé comme ouvrier développeur dans un laboratoire, avant de devenir monteur aux "Actualités françaises". Il est ensuite second assistant réalisateur, puis premier assistant, et réalise son premier film en 1955, "Les aristocrates" avec Pierre Fresnay.

Denys de La Patellière a réuni également Jean Gabin et Louis de Funès dans "Le tatoué" en 1968.

Il a travaillé avec Michel Audiard, Pascal Jardin et Alphonse Boudard pour les dialogues de ses films. Vivement critiqué par les jeunes loups de la Nouvelle Vague pour son "cinéma à la papa", il disait plusieurs années plus tard ne pas leur en vouloir. "De nouveaux réalisateurs devaient se faire une place et ils n'avaient pas tort. Si on ne veut pas prendre de coups de poing, on ne monte pas sur le ring", déclarait-il en 2002.

"J'étais un metteur en scène commercial et ce n'est pas pour moi un mot péjoratif. Je n'avais pas l'ambition de faire une oeuvre mais de réaliser des spectacles et d'intéresser les spectateurs", ajoutait-il.

Son dernier film pour le cinéma fut "Prêtres interdits" (1973) avec Robert Hossein.                      

Philippe nouveau Roi des Belges ... a prêté serment !

Publié à 15:57 par yvonne92110 Tags : people le roi Philippe de belgique a prete serment
Philippe  nouveau Roi des Belges  ...  a prêté serment !
Le roi des Belges Philippe, sa femme la reine Mathilde et leurs enfants, avec à partir de la gauche la princesse Eléonore, le prince Gabriel, la princesse Elisabeth et le prince Emmanuel, le 21 juillet 2013 sur le balcon du Palais Royal à Bruxelles.
augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte

Le nouveau souverain, qui devient à 53 ans le septième roi de l'histoire du royaume, a prêté serment, ce dimanche,  peu avant 12H15 (10H15 GMT) devant les chambres réunies.

"Je jure d'observer la Constitution et les lois du peuple belge, de maintenir l'indépendance nationale et l'intégrité du territoire", a déclaré Philippe d'une voix ferme en néerlandais, français et allemand, les trois langues nationales.

"J'entame mon règne avec la volonté de me mettre au service de tous les Belges", a ajouté le chef de l'Etat dans sa première allocution en tant que souverain, promettant également "d'intensifier le dialogue" avec les citoyens belges.

"Donnons tous ensemble un nouvel élan d'enthousiasme" au pays, a-t-il ajouté, avant de lancer un vibrant "Vive la Belgique".

A l'issue d'un règne de 20 ans, Albert, 79 ans, avait signé son acte officiel d'abdication une heure et demie plus tôt, lors d'une cérémonie pleine d'émotion dans la grande salle du trône du Palais royal de Bruxelles.

Dans sa dernière adresse à la Nation, Albert II avait de nouveau appelé les responsables du pays à "travailler sans relâche à la cohésion de la Belgique".

La voix brisée par l'émotion, il a rendu hommage à son épouse Paola. "Je voudrais simplement lui dire merci". "Et un gros kiss  !", a-t-il ajouté en sortant de son discours écrit.

Il a alors été acclamé par tous les dignitaires rassemblés. Paola et la future reine Mathilde n'ont pu retenir leurs larmes.

Le nouveau roi, qui aurait pu succéder à son oncle après la mort brutale du roi Baudouin en 1993, n'avait alors pas été considéré comme prêt à assumer la fonction. Vingt ans plus tard, le doute subsiste en raison de quelques propos maladroits et de son manque persistant d'aisance en public.

Il pourra compter sur le soutien actif de son épouse Mathilde, populaire, compétente et atout charme de la monarchie depuis leur mariage en 1999. A 40 ans, elle deviendra la première reine d'origine belge de l'histoire du pays.

Dans son discours, le roi Philippe a évoqué sa "chance" de pouvoir "compter sur le soutien permanent de Mathilde", en saluant son "sens inné du contact humain".

"Philippe, tu as toutes les qualités de coeur et d'intelligence pour très bien servir notre pays dans tes nouvelles responsabilités", avait déclaré un peu plus tôt le roi Albert II.

La monarchie est présentée comme un des derniers symboles d'unité du pays, devenu un Etat fédéral au fil des crises politiques qui se sont succédé ces 40 dernières années. Défendue dans le sud francophone du pays, elle est remise en cause dans le nord néerlandophone, particulièrement par les indépendantistes de la N-VA, républicains par principe et à tout le moins partisans d'une monarchie purement protocolaire.

Le règne d'Albert II a été ponctué par plusieurs crises politiques, particulièrement après les élections de 2010 où les partis avaient mis 541 jours, un record mondial, pour former un gouvernement. Le roi avait alors joué un rôle majeur pour sortir de l'impasse.

A l'approche des élections législatives de 2014, qui devraient voir une nouvelle poussée des indépendantistes flamands, une majorité de Belges auraient préféré que le vieux monarque reste encore sur le trône malgré sa santé déclinante.Une foule se pressait devant le Palais en milieu de journée. "C'est le moment le plus fort, les voir en chair et en os, l'idéal pour souhaiter la bienvenue au nouveau roi".

Philippe nouveau Roi des Belges ... prête serment !

Publié à 18:18 par yvonne92110 Tags : people philippe nouveau roi des belges prete serment
Philippe  nouveau Roi des Belges  ...  prête serment  !

Le 21 juillet 2013 sera une journée historique pour la Belgique puisqu'auront lieu l'abdication du roi Albert II, la prestation de serment du prince Philippe et les festivités de la fête nationale avec le défilé militaire et le feu d'artifice ...
Le roi Philippe devient ce 21 juillet le nouveau roi des Belges après l'abdication du roi Albert II. Né le 15 avril 1960, il est le premier enfant d'Albert et de Paola. Après un parcours scolaire au Collège Saint-Michel de Bruxelles et à l'Ecole abbatiale de Zevenkerken près de Bruges, Philippe suit jusqu'en 1981 une formation universitaire à l'École Royale Militaire. Il décroche ensuite les brevets de pilote de chasse, de parachutiste et de commando avant d'assurer le commandement d'un peloton de parachutistes. En 2010, il est promu au grade de lieutenant-général et de vice-amiral. Le prince Philippe poursuit sa formation universitaire au Trinity College de l'Université d'Oxford (Grande-Bretagne) et à la Graduate School de l'Université de Stanford (USA) où il obtient, en 1985, le diplôme de Master of Arts en Sciences Politiques. Il épouse le 4 décembre 1999, Mathilde d'Udekem d'Acoz qui devient reine ce 21 juillet 2013. En tant que ducs de Brabant, le nouveau roi et la nouvelle reine ont déjà eu l'occasion de mettre l'intérêt du peuple belge au centre de leurs priorités. À travers ses diverses missions économiques, ou grâce au Fonds Prince Philippe qui tient à rassembler nos communautés linguistiques, le roi Philippe a déjà engagé les prémices d'un règne au service de ses citoyens.
hebergeur image 
Une nouvelle reine et une princesse héritière L’accession au trône de Philippe va aussi modifier le statut de Mathilde, c’est la première reine d’origine belge. Quant à la princesse Elisabeth, fille aînée de Philippe et Mathilde, elle devient la première héritière présomptive de l’histoire de Belgique.
hebergeur image

Belgique ... Abdication du Roi Albert II !

Publié à 18:06 par yvonne92110 Tags : people belgique abdication du roi albert II
Belgique  ...    Abdication du Roi Albert II   !

Ci-dessus avec la Reine Paola, le roi Albert II a fait ses adieux samedi en appelant les Belges à la "cohésion", face aux profondes divisions entre Flamands et Wallons, et à "entourer" son fils aîné Philippe, qui monte sur le trône dimanche 21 Juillet 2013, à l'occasion de la Fête Nationale.

Après 20 ans de règne, Albert II a prononcé un dernier discours à la fois sobre, grave et optimiste. "La Belgique peut envisager l'avenir avec confiance "car elle" a trouvé un souffle nouveau tant sur le plan intérieur qu'européen" au cours des dernières années, a-t-il déclaré dans son discours télévisé.

A 79 ans, Albert II est le premier monarque belge à décider de se retirer volontairement en "laissant le flambeau" à son fils aîné, Philippe, 53 ans, malgré les doutes qui subsistent au sein de la population sur l'aptitude de ce dernier à assurer la fonction royale.

Dans son discours, Albert II a demandé aux Belges "d'entourer le futur roi" et "la future reine Mathilde" de leur "collaboration active" et de leur "soutien". "Ils forment un excellent couple au service de notre pays et ils jouissent de toute ma confiance", a-t-il assuré.

Le roi, dont le règne a été marqué par deux grandes crises politiques entre Flamands et francophones, a reconnu que la Belgique n'était "pas toujours facile à gouverner". Heureusement, "le sens du compromis constructif" de la plupart de ses responsables politiques lui a permis de franchir les obstacles et de se transformer  "d'un Etat unitaire en un Etat fédéral".

"Je suis convaincu que le maintien de la cohésion de notre Etat fédéral est vital, non seulement pour la qualité de notre vie ensemble (...) mais aussi pour la préservation de notre bien-être à tous", a-t-il ajouté.

Ce message est particulièrement adressé à la Flandre, qui regroupe près de 60% de la population belge et dont la première force politique est celle des indépendantistes, dont une nouvelle progression est attendue lors des élections législatives de 2014.

"Sans chichi" ni têtes couronnées :

Les festivités débuteront réellement dans la soirée, lorsque la famille royale se rendra au "bal national" dans le quartier populaire des Marolles à Bruxelles.

Elle aura dimanche une journée très chargée avec deux moments forts et suivis en direct par les télévisions. A 10H30 (08H30 GMT), Albert signera solennellement l'acte officiel d'abdication, devant 250 invités rassemblés au palais.

Une heure et demi plus tard, Philippe prêtera serment dans les trois langues officielles (néerlandais, français et allemand) devant les sénateurs et députés réunis. Il portera, comme le veut la tradition, un uniforme militaire et sera assis sur un trône mais n'aura ni couronne ni spectre, attributs royaux inconnus en Belgique.

Au premier rang, seront assis les quatre enfants de Philippe et de la très populaire Mathilde, dont la princesse Elisabeth, qui prend, à bientôt 12 ans, le titre d'héritier du trône.

Le couple royal apparaîtra ensuite au balcon du Palais avant d'assister au traditionnel défilé militaire et aux animations populaires, auxquelles sont attendues plusieurs centaines de milliers de personnes dans le centre de Bruxelles.

"Il y aura un côté "roi normal" dans cette journée", a résumé samedi le quotidien Le Soir, en soulignant la dimension modeste de cette passation de pouvoir "entre nous (...) sans chichi, à notre mode, entre sérieux et décontraction". De fait, son coût, évalué à 600.000 euros, devrait être à peine supérieur à celui d'une fête nationale habituelle.

Aucune tête couronnée étrangère n'a été conviée comme "c'est la tradition en Belgique, où le roi prête serment devant la nation représentée par le Parlement". 

A défaut d'être représentées, les autres capitales ont commencé à envoyer des messages de félicitations. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a ainsi rendu hommage à Albert II, qui "a admirablement servi le peuple belge durant ses 20 ans de règne".