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Un soir, je réunis le silence et la paix

Je vais, l'âme affamée dans toute ma solitude

Et j'explore mon coeur plus que jamais séduit

Par ce ciel sans étoile parfumé d'inquiétude.

Il y a à cette heures tant de vies qui sommeillent

En ce monde nocturne d'existences paisibles

et tant d'exaltation en mon coeur qui veille

De ces charmes qui ne peuvent laisser insensible.

Et j'admire l'étrange aux formes hésitantes

Sous le pesant silence qui a tout envahi

Et perdue dans la nuit, la vie paraît plus lente

Et perdue dans mon coeur, je suis mélancolie.

"Aubrylia"

J'aime à regarder les gens,

je les devine étrangement,

Comme moi, ils marchent dans la rue

Ces centaines d'individus.

Il y a ceux dont la beauté s'exprime

Par la douceur d'un regard sublime.

Ceux qui vivent en bons bourgeois

Dont les yeux ne regardent pas.

Ceux dont l'âme est toute jeunesse

Et dont les yeux pétillent d'ivresse.

Ceux habillés de pauvreté

et dont les yeux semblent fermés.

Ceux que le temps a fait vieillir

Et qui sifflotent et qui soupirent...

Puis encore ceux qui, romantiques

Ont l'oeil bleu et magnifique,

Et enfin nos amis poètes

Dont les yeux sont toujours en quète...

"Aubrylia"

Le premier maillon c'est tes yeux,

Le second, c'est un peu nous deux

Le troisième ta si chaude voix

Et le quatrième est à moi.

Le cinquième est comme un sourire,

Le sixième, un doux souvenir

Et le reste de la chaînette

Est une délicieuse recette.

Un grand litre d'amour bien frais,

Une pincée de doux regrets,

une larme de tendresse

Et une cuillèrée d'îvresse.

Faire mijoter à feu très doux

Dans un coeur immensément fou,

Saupoudrer d'un regard intense

Et savourer dans l'indolence...

"Aubrylia"

De votre visite !

Le temps passe, les gens m'agacent

Mon coeur se lasse

On s'embrasse, on s'enlasse

Puis tu me chasses, le chagrin menace,

L'amour est coriace...

Et tu t'effaces , mon coeur trépasse

Tu es rapace et moi bêtasse,

Situation nullement cocasse.

Mes souvenirs sont tenaces et les peiness'amassent...

De mon coeur tu te débarasses,

le pousse au fond d'une crevasse,

Le blessant à coups de caillasses.

Je me ramasse, cherchant ta trace, perdant ma place.

Je marche, tête basse

Sans plus d'audace.

Tu me jettes de façon efficace,

Tu rentres dans ta carapace

Te voilant la face,

Avoue que tout cela manque de classe...!

"Aubrylia"

Et me voilà d'humeur chagrine,

C'est cette envie de vivre à deux

Qui me poignarde et m'assassine

C'est comme si je mourais un peu

Et c'est cet amour incendiaire

Qui chaque instant lance un défi,

Joue de mon coeur et l'incinère,

La flamme amoureuse m'envahit.

Et ainsi mes pensées naviguent

Charchant une plage où rêver

de cet amour si plein d'intrigues

Qui fait pâlir l'obscurité.

"Aubrylia"

Tendre et seule, ma douce frénésie,

Tendre et seule, et belle aussi.

Douce joie,Parfum de bonheur,

Souris moi, embaume mon coeur,

Fais moi rire, rire encore,

Sans soupirs et sans remords.

Ma vie vois tu est un jeu,

Jeu de hasard et de folie,

La joie illumine mes yeux,

Et tout en mon regard pétille.

"Aubrylia"

                                               de votre visite! 

Tu es parti

Un soir d'été

Sans faire un bruit,

Sans même un cri,

Tu nous a quitté.

Le son de ta vois résonne dans ma tête

C'est un souvenir qui ne peut mourir,

Mais pourquoi faut il que la vie s'arrête  ?

Et pourquoi la vie ne peut elle suffir ?

Je me souviens tes yeux si bleus

Et ton pas lourd sur le parquet,

Tu es parti sans un adieu,

Mon coeur est gorgé de regrets.

Ton regard s'est figé

Sur un mur d'hopital

Et tes deux poings serrés se sont relâché

Car tu n'avais plus mal.

Et tu es parti

Un soir d'été

Sans faire un bruit, 

Sans même un cri,

Tu nous a quitté.

"Aubrylia"

de votre visite et de vos commentaires.

Tendre passion de mon coeur,

Douce te belle et folle aussi,

A chaque instant et à toute heure,

Je suis passion à la folie...

Que de désirs et que de rage !

Cette rage de vivre à en crever,

Que de projets dans mes bagages,

Projets fous à réaliser.

Amour, discours et sans détour,

Plaisirs de vivre, éclats de rire,

J'ai faim de vie, j'ai soif d'amour,

De jour en jour ma rage empire.

Mon appétit est insatiable

Et  soif pour l'éternité,

Tendre passion inébranlable

En mes grands yeux bleus passionnés.

"Aubrylia"

de votre visite et de vos commentaires!

Je te regarde bel ourson blanc

Et tes grands yeux consolateurs

Ont consolé bien des enfants

Quand dans la nuit ils avaient peur

Jolie peluche, tu es si douce,

Combien de larme as tu séché ?

Chevelures brunes, blondes ou rousses

Tu as si souvent cajolé.

Tu es leur tendre confident

Et ils t'avouent tant de chagrins,

Petit ourson brun, noir ou blanc,

Compagnon de jeux, de câlins.

Ils t'en racontent de histoires

Que tu écoutes si sagement

Et c'est dans tes bras chaque soir

Que commencent leurs rêves d'enfants.

"Aubrylia"

de vos commentaires

Elle voulait un enfant, tant et tellement

Elle le voulait si fort et l'espérait encore

Elle a tant attendu et têvé chaque nuit

Mais la vie est injuste, car là voilà punie.

Elle aurait tant aimé une grande famille

Elle aurait su apprendre,elle aurait su donner,

et au fond de ses eux, lueur de peine scintille

Et au fond de son coeur moisissent des regrets.

Elle avait préparé la chambre de bébé,

Elle avait acheté un beau berceau d'osier

Les volets de la chambre à jamais seront clos,

Un drap de coton blanc pleure sur le beau berceau...

"Aubrylia"

de vos commentaires