Date de création : 09.04.2012
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Léon-François Comerre, né le 10 octobre 1850 à Trélon(arrondissement d'Avesnes), et mort le 20 février 1916 au Vésinet, est un peintre et sculpteur orientaliste français.
Il est l'oncle du peintre Albert Gleizes.
Fils d'Oscar Louis Comerre, instituteur, et d'Apolline Knorr, Léon-François Comerre se retrouve à Lille où sa famille s'installe en 1853. Il est l'élève du peintre Alphonse Colas. En 1867, il obtient une médaille d'or à l'Académie de Lille et une bourse du Département du Nord qui lui permettent de poursuivre ses études à Paris. En 1868, il entre dans l'atelier d'Alexandre Cabanel, dont il subira l'influence orientaliste, puis est admis à l’École des beaux-arts de Paris. Il y obtient la grande médaille d'émulation décernée par le ministre des Beaux-arts.
Mobilisé à la guerre de 1870, il reprend la peinture une fois libéré et expose pour la première fois au Salon de Paris de 1871 avec portrait intitulé L'Italienne. Il y présente de nouveau son travail en 1874 puis en 1875, date à laquelle il obtient une médaille de 3e classe pour Cassandre.
À partir de 1872, il monte plusieurs fois en loge pour le concours du grand prix de Rome. Il reçoit le prix de Rome en peinture d'Histoire de 1875 pour L’Annonce aux bergers. La ville de Lille, très honorée que, pour la première fois, un de ses élèves de l'École académique de Lille obtienne ce grand prix, lui décerne une médaille d'or grand modèle. Après un court séjour d'études en Belgique et en Hollande, il réside en Italie à la villa Médicis de janvier 1876 à décembre 1879. Il enverra en France : Jézabel dévorée par les chiens, Junon en 1878, et Le Lion amoureux en 1879.
Installé à Paris dans un hôtel particulier où il a un atelier au 67 rue Ampère, il trouve l'atelier de ses rêves au Vésinetet en confie l'aménagement à l'architecte Louis Gilbert. C'est à partir de 1884 qu'il y vient toutes les semaines et finit par s'y installer avec sa famille. Il y restera jusqu'à sa mort. Il est élu conseiller municipal du Vésinet de 1904 à 1908, sous le mandat de Gaston de Casteran. En 1909, il est nommé Rosati d'honneur.
Son épouse, Jacqueline Comerre-Paton (1859-1955), est également une artiste peintre. Après la mort de son mari, elle donne à la ville de Trélon le tableau La Poupée de Cosette (ou Cosette endormie) en son souvenir. Leur fils, l'architecte Maxime Comerre, fera en 1928 l'acquisition d'une petite maison dans la ville, au 15 rue des Charmes.
La succession de sa petite-fille, Denise Lion-Comerre, mit sur le marché de l'art le fonds d'atelier de son grand-père (343 lots) le 3 février 2003. La ville de Trélon y fit l'acquisition de huit tableaux dont l'Étude de tête féminine sur fond bleu, Le Chapeau à plumes, La Petite Fille au cerceau, Le Clin d'œil, Femme en tenue de bal et Femme au Chapeau noir.
Chevalier de la Légion d'honneur en 1885
Officier de la Légion d'honneur
Molly Malone, une chanson aussi appelée « Cockles and Mussels » (les bucardes et les moules), est l'hymne officiel de la ville irlandaise de Dublin. Elle est chantée par les supporters de l'équipe de Dublin GAA et de l'équipe internationale de rugby à XV. La chanson raconte l'histoire d'une belle poissonnière qui exerçait son métier dans les rues de Dublin, mais qui est morte de la fièvre alors qu'elle était encore jeune.
Une statue commémorative, conçue par Jeanne Rynhart et située en bas de Grafton Street à Dublin, a été érigée en son honneur pour fêter le premier millénaire de la ville en 1987. Restaurée elle a été replacée à St Andrew's street en juillet 2014. Cette statue est familièrement nommée « The Tart with the Cart » (la prostituée à la charrette). Elle représente Molly Malone comme une jeune femme à la poitrine plantureuse, habillée à la mode du XVIIe siècle et prétend montrer la véritable personne sur laquelle la chanson est basée. On justifie sa robe décolletée et sa poitrine généreuse par le fait que, à l'époque de Molly, les femmes allaitaient en public et que de ce fait, leurs seins étaient visibles de tous.
Une légende urbaine a grandi autour de l'image de la Molly Malone historique qui a été présentée à la fois comme une marchande ambulante le jour et une prostituée à temps partiel la nuit, ou, au contraire, comme une des rares femmes marchandes ambulantes de son temps qui était chaste.
Cependant, il n'existe aucune preuve que la chanson soit basée sur une personne ayant réellement existé au XVIIe siècle, ou à n'importe quel autre moment, bien que certains affirment avoir localisé ses actes de naissance et de décès. Il y a sans aucun doute eu beaucoup de Mary ou de Molly nées à Dublin au cours des siècles, mais il n'y a rien qui puisse relier aucune d'entre elles aux événements évoqués dans la chanson. Il n'existe d’ailleurs aucune trace de cette chanson avant le début des années 1880, pendant lesquelles une œuvre composée et écrite par James Yorkston d'Édimbourg a été publiée. Elle est dans un registre tragi-comique habituel populaire à cette époque, probablement influencée par des chansons plus anciennes aux thèmes similaires, telle que Oh My Darling, Clementine de Percy Montross, qui a été écrite vers 1880.
Paroles
« In Dublin's fair city,
where the girls are so pretty,
I first set my eyes on sweet Molly Malone,
As she wheeled her wheel-barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, "Cockles and mussels, alive alive oh!"
Chorus :
"Alive-a-live-oh,
Alive-a-live-oh",
Crying "Cockles and mussels, alive alive oh".
She was a fishmonger,
But sure 'twas no wonder,
For so were her father and mother before,
And they each wheeled their barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, "Cockles and mussels, alive, alive oh!"
(chorus)
She died of a fever,
And no one could save her,
And that was the end of sweet Molly Malone.
But her ghost wheels her barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, "Cockles and mussels, alive, alive oh!"
(chorus) »
Traduction
Autre traduction, moins exacte, mais chantable sur l'air d'origine
Refrain
Refrain
Refrain
Reprises
De nombreux artistes célèbres, généralement irlandais, ont repris cette chanson. Parmi ceux-ci, U2, Metallica, Frank Harte, Ian McCulloch, Sinéad O'Connor, Johnny Logan and Paul Harrington, ou encore Renaud et Hugues Aufray en traduction française. La version la plus connue est sans doute celle de The Dubliners.
Autres adaptations
Molly Malone – Balade irlandaise est le titre d'un album du chanteur français Renaud sorti en novembre 2009 où le titre, librement traduit, figure à la dernière position.
Une chanson d'Hugues Aufray a pour titre La ballade de Molly Malone.
Dans un des épisodes de la saison 5 de la série Game of Thrones de la chaine HBO, le personnage d'Arya Stark y fait largement référence. On y voit le personnage traîner une brouette en prétextant vendre des bucardes et des moules aux passants.
Une version chantée par un itinérant figure dans le film Orange mécanique de Stanley Kubrick, sorti en 1971. Elle se situe dans les dix premières minutes du long-métrage
Chanson
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