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Claude François

Claude François

 

 

Claude François, surnommé « Cloclo », né le 1er février 1939 à Ismaïlia en Égypte et mort accidentellement le 11 mars 1978 à l'âge de trente-neuf ans à Paris, est un chanteur populaire et producteur français des années 1960 et 1970. Il est notamment l'un des auteurs-compositeurs et le premier interprète de Comme d'habitude, adapté en anglais par Paul Anka sous le titre mondialement célèbre de My Way.

 

 

Son père, Aimé, Français originaire d'Égypte, est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, lors de sa naissance le 1er février 1939, à Ismaïlia en Égypte. 
Il porte les prénoms Claude, Antoine, Marie. Il était de tradition chez les François d'appeler les garçons par un prénom commençant par un A, mais Chouffa, sa mère avec son caractère trempé d'italienne a su imposer le prénom de "Claude", Antoine fut donc attribué en deuxième prénom et Marie étant le prénom de la Vierge pour protéger l'enfant.
Sa mère, Lucia alias Chouffa, originaire de Calabre en Italie, s'occupe du foyer familial. 
Frère : aucun. 
Sœur : une seule (Josette François) 
Claude François a aussi deux enfants, Claude Junior alias Coco, et Marc. 
Sa famille est expulsée d'Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) lors de la nationalisation du canal de Suez ; il arrive avec ses parents à Marseille en 1956. La famille s'installe à Monaco puis à Nice. 
Il apprend le piano, le violon et la batterie. 
Il trouve une place de batteur dans un orchestre de quartet de jazz à Monte-Carlo, place que son père refusera tout d'abord car celui-ci souhaitait que son fils soit comptable (réf: Clo-Clo, le film de sa vie) 
C'est à l'hiver 1960 qu'il arrive à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel avec Janet Woolcoot, qu'il a épousée le 5 novembre 1960 à Monaco. 
Mars 1961 : son père décède d'une maladie des poumons, se laissant mourir, persuadé que la France l'a abandonné. 
1962 : premier succès avec Belles belles belles. 
1963 : Claude François demande à Michel Bourdais, dessinateur à Salut les copains, de réaliser son portrait. Il qualifiera de « merveilleux » ce dessin hyperéaliste qui est devenu par la suite, très célèbre. 
1964 : Claude François à l'Olympia 
1966 : apparition des Clodettes, ses danseuses. 
1967 : il compose avec Jacques Revaux et écrit avec Gilles Thibaut le titre Comme d'habitude, à la suite de sa rupture avec la chanteuse France Gall, qui sera adapté en anglais par Paul Anka (My Way) et repris notamment par Frank Sinatra Elvis Presley et Sid Vicious (mais avec des modifications du texte). 
13 mars 1967 : Claude François et Janet Woolcoot divorcent. Elle l'avait quitté au printemps 1962 pour Gilbert Bécaud qu'elle avait rencontré à l'Olympia. 
1967 : il fonde sa maison de disques Flèche. Il rencontre Isabelle Forêt qui donne naissance à Claude Junior le 8 juillet 1968 et Marc le 15 novembre 1969. Sa chanson Parce que je t'aime mon enfant est adaptée en anglais et reprise par Elvis Presley, sous le titre My Boy. 
14 mars 1970 : malaise pendant un concert à Marseille salle Vallier, 
17 mai : accident de voiture sur l'autoroute du sud près d'Orange, un pneu éclate, Claude saura faire par la suite la « publicité » de cette marque de pneu à chaque interview qui suivirent. Son nez est fracturé et les pommettes éclatées. Il devra subir une rhinoplastie. 
1972 : Il reprend le journal Podium qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes. 
Séparation d'avec la mère de ses enfants. Il rencontrera Sofia, une suédoise avec laquelle il restera quatre ans. 
1973 : un fan l'agresse lors d'un concert. 
1975 : il est une victime collatérale d'un attentat de l'IRA dans son hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une passante qui prendra la déflagration de plein fouet. 
1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année. Le 26 juin, il se fait tirer dessus alors qu'il est au volant de sa voiture, en chemin vers son moulin de Dannemois. Il échappe miraculeusement à la mort alors que la course poursuite avec ses agresseurs a duré pendant une dizaine de kilomètres. 
Son dernier titre sera Alexandrie Alexandra (composé à l'automne 1977). Claude François meurt le 11 mars 1978, par électrocution dans la salle de bains, boulevard Exelmans à Paris, alors qu'il tentait de redresser une applique en cuivre qui était de travers sur le mur au dessus de la baignoire. Il devait, l'après-midi même (il était déjà en retard) participer à l'émission Rendez-vous de Michel Drucker. Un flash spécial à la radio et à la télévision annonce, à 16 heures, son décès. 
15 mars 1978 : son nouveau 45 tours Alexandrie, Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques qui eurent lieu en l'église d'Auteuil, à Paris. 
Il est enterré au cimetière de Dannemois (Essonne) où sa tombe est l'objet de nombreuses visites. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée. 
Le 11 mars 2000, une place Claude-François est inaugurée à Paris, boulevard Exelmans dans le 16e arrondissement, au pied de son ancien domicile parisien. 
En 2005, une rue d'Ismaïlia est également baptisée en son honneur. 
La discographie de Claude François comporte un peu plus de 400 titres, (près de 500 chansons avec les versions en public). Il en a commercialisé près de 400, ce qui démontre une volonté de travail hors du commun. La liste du lien ci-dessus concerne environ 380 titres différents commercialisés et un relevé exhaustif des essais et répétition. La discographie étrangère de Claude François comporte des titres en anglais, en italien, en espagnol et même en japonais. Il sortit 278 titres en France et en Français (car les chiffres donnés au-dessus comprennent les versions étrangères).
Il est le sixième plus gros vendeurs de disques en France derrière Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean Jacques Goldman, Celine Dion et Sheila.



On peut déduire de cette discographie certains éléments :
Son attachement à sa première parolière Vline Buggy, et plus tard aux paroliers Gilles Thibaut, Eddy Marnay, Jean-Michel Rivat, Michèle Vendôme, Yves Dessca (qui deviendra producteur de Gloria Gaynor), Jacques Plante, Pierre Delanoë et Didier Barbelivien.
En 1977, il marque sa volonté de donner un sens plus pointu à ses chansons en faisant appel à Étienne Roda-Gil.
Il ne compose et écrit personnellement que très peu de chansons, mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français yéyés de l'époque, il va surtout faire des reprises qu'il adapte au public français, les titres anglais originaux n'étant pas distribués ou tout simplement directement cédés à l'exportation pour adaptation.
Si Claude François s'inspire souvent de la Motown, particulièrement du compositeur Lamont Dozier, associé aux frères paroliers-producteurs Brian & Eddie Holland, il fait également appel aux compositeurs français. Ainsi, il fait appel à Patrick Juvet, Alice Dona, Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort) et Jacques Revaux qui composera Comme d'habitude. Mais c'est surtout Jean-Pierre Bourtayre qui, s'inspirant des sources de la Motown, lui composera ses plus grands succès.
Sa minutie lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées comme pour Comme d'habitude qui s'inspire de sa rupture avec France Gall. Il est l'auteur du titre "Belles belles belles", que Vline Buggy à l'origine avait intitulée "Rien rien rien".
Pour la plupart des chansons, un extrait sonore de 30 secondes est disponible sur le site de D. Vallin ou sur Amazon.
À ce jour (2007), environ 70 millions d'albums ont été vendus.


Albums


1962 : Le nabout twist (sa toute première chanson qui sera peu connue en France) mais dont il dut changer les paroles car certains passages étaient en arabe. On était alors en pleine guerre d'Algérie.
1962 : Belles, Belles, Belles (c'est sa première chanson à succès : il devient une vedette)
1962 : Marche tout droit
1963 : Si j'avais un marteau
1964 : Donna, donna
1964 : J'y pense et puis j'oublie
1965 : Même si tu revenais
1967 : Comme d'habitude (c'est la troisième chanson la plus interprétée dans le monde)
1968 : Eloïse
1969 : J'attendrai
1969 : Un monde de musique
1969 : Tout éclate, tout explose
1969 : Claude François à l'Olympia
1970 : Le monde extraordinaire de Claude François
1970 : Le jouet extraordinaire
1971 : C'est la même chanson
1971 : Tournée été 71
1971 : Il fait beau, il fait bon
1972 : Y'a le printemps qui chante
1972 : Le lundi au soleil
1973 : Je viens dîner ce soir
1973 : Sha la la
1973 : Chanson populaire
1973 : Claude François sur scène
1974 : Le mal aimé
1974 : Le téléphone pleure (c'est son plus grand succès)
1975 : Toi et moi contre le monde entier
1975 : Pourquoi pleurer
1975 : Été 75
1975 : Le chanteur malheureux
1976 : Cette année-là
1976 : À 17 ans
1976 : Pour les jeunes de 8 à 88 ans
1976 : Le vagabond
1977 : Je vais à Rio
1977 : Magnolias for ever
1977 : Toi et le soleil
1978 : Bordeaux rosé
1978 : Alexandrie, Alexandra (c'est sa dernière chanson)
1993 : Hommages
1996 : Le monde extraordinaire de Claude François
1996 : En vrai
1998 : Danse ma vie (Remix)
1998 : Les concerts inédits de musicorama
1998 : Eloïse - 65/69
1998 : Bernadette - 68/75
2003 : J'attendrai
2004 : Comme d'habitude



Filmographie



1977 : Drôles de zèbres, film de Guy Lux
2004 : Podium, film pastiche sur les sosies de Claude François.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Fran%C3%A7ois

 
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    Musique : Postes (Sommaire)
    Claude François
    Claude François : Belinda
    Claude François : Comme d'habitude
    Claude François : Dis lui
    Claude François : Même si tu revenais
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Clark Gable

Publié à 01:31 par dessinsagogo55 Tags : mort vie photo blogs musique clark gable center centerblog sur merci
Clark Gable

 

 

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Clark Gable

Publié à 01:25 par dessinsagogo55 Tags : loisirs center centerblog sur bonne homme femme amis travail maison mort fille film merci musique blogs
Clark Gable

 

 

Clark Gable, né le 1er février 1901 à Cadiz dans l'Ohio et mort le 16 novembre 1960 à Los Angeles en Californie, est un acteur américain.

 

 

Plus grande star au box-office du début du cinéma parlant, au cours de sa longue carrière il apparaît avec les plus grandes actrices de l’époque : Joan Crawford, qui était sa partenaire favorite, joue avec lui dans huit films ; Myrna Loy est à ses côtés dans sept films et il forme un duo avec Jean Harlow dans six productions. Il est aussi la star de quatre films avec Lana Turner et trois avec Norma Shearer.

 

Clark Gable remporte l’Oscar du meilleur acteur en 1934 pour son interprétation dans le film New York-Miami. Suit une autre nomination pour son rôle de Fletcher Christian dans Les Révoltés du Bounty (1935). Mais, il reste pour le grand public surtout célèbre pour avoir incarné le rôle de Rhett Butler dans le classique Autant en emporte le vent, sorti en 1939.

 

Il est un des rares acteurs à avoir joué dans trois films ayant obtenu un Oscar du meilleur film

 

 

Clark Gable naît à Cadiz (Ohio) de William Henry « Bill » Gable, foreur de puits de pétrole d’ascendance allemande, et Adeline Hershelman, d’origine allemande et irlandaise

.

Il est par erreur enregistré comme une fille sur son certificat de naissance. Son nom de naissance est probablement William Clark Gable, mais les registres de naissances, d’écoles et d’autres documents se contredisent à ce sujet. « William » en l’honneur de son père et « Clark » étant le nom de jeune fille de sa grand-mère maternelle. Dans l’enfance, on l’appelle le plus souvent « Clark » ; mais pour certains amis il est « Clarkie », « Billy » ou « Gabe »

 

Lorsqu'il atteint l’âge de six mois, sa mère, déjà malade, le fait baptiser dans la religion catholique. Elle meurt quatre mois plus tard, sans doute d’une tumeur du cerveau. Après sa mort, sa famille refuse de l’élever dans la religion catholique, provoquant l’animosité du côté maternel. La querelle prend fin avec l’autorisation de la famille de son père à aller voir son oncle, le frère de sa mère disparue, Charles Hershelman, et sa femme dans leur ferme de Vernon en Pennsylvanie

 

En avril 1903, son père Will épouse Jennie Dunlap, dont la famille vient de la périphérie de Hopedale (Ohio). Gable était un grand et timide garçon avec une grosse voix. La nouvelle famille s’installe dans une maison neuve sur un terrain acheté par son père. Jennie joue du piano auquel elle initie son beau-fils ; plus tard il se mettra aux cuivres. Elle l’élève en apportant grand soin à sa mise et ses vêtements mais l’enfant préfère la mécanique et enlève ses beaux habits pour réparer des voitures avec son père. À treize ans, il est le seul garçon de l’orchestre local. Malgré l’incitation de son père à faire des loisirs virils, comme la chasse et le travail physique, il aime les mots. En bonne compagnie, il récite du Shakespeare, surtout les sonnets. Will consent à lui acheter une collection de 72 volumes de The World’s Greatest Literature pour parfaire l’éducation de son fils mais déclara ne l’avoir jamais vu le lire. En 1917, Clark est au lycée quand son père connaît des déboires financiers. Pour régler ses dettes, Will s’essaie à la ferme et installe sa famille à Ravenna, près de la ville d’Akron. Mais Clark s’accommode mal de la campagne. Son père aura beau insister pour qu’il aide à la ferme, le jeune homme part travailler dans l’usine de pneus B.F. Goodrich d’Akron

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Clark_Gable
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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La Marseillaise

Publié à 01:15 par dessinsagogo55 Tags : film sommaire center centerblog prix sur merci amour enfants dieu texte musique blogs
La Marseillaise

 

En réalité, la version complète de La Marseillaise ne compte pas moins de quinze couplets, mais le texte a subi plusieurs modifications. On compte aujourd'hui six couplets et un couplet dit « des enfants ». Seul le premier couplet est chanté lors des événements. Deux couplets (les « couplets des enfants ») ont été ajoutés ultérieurement ; l'un d'eux a depuis été supprimé de la version « officielle ». Enfin, eu égard à son caractère religieux, le 8e couplet a été supprimé par Joseph Servan, ministre de la Guerre, en 1792. Un autre couplet a été supprimé car il a été jugé trop violent.

Sur le manuscrit autographe de Rouget de Lisle, reproduit sur le site de l'Assemblée nationale, on remarque que certains « nos » originaux ont été remplacés dans la version « officielle » par « vos » : « Ils viennent jusques dans nos bras / Égorger nos fils, nos compagnes ! » On y voit clairement le refrain noté comme deux alexandrins : « Aux armes, citoyens, formez vos bataillons, / Marchez, qu'un sang impur abreuve nos sillons. », les verbes « marchez » et « formez » étant tous deux à la 2e personne du pluriel. La transcription « officielle » est pourtant sur cinq vers avec une 1re personne du pluriel « Marchons, marchons », qui tenterait d'établir une rime avec « bataillons » et « sillons ».

En réalité, Rouget de Lisle était capitaine. En qualité d'officier, il commandait ses hommes, d'où la 2e personne de l'impératif. Néanmoins, La Marseillaise est une marche et on peut imaginer que les soldats en manœuvre en reprenaient le refrain, en chantant « marchons » et non « marchez ». Cette version se serait imposée par transmission orale.

 

 

 

La version dite « officielle » est la suivante

La Marseillaise

 

Premier couplet

Allons, enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie
L'étendard sanglant est levé, (bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !

 

Refrain :

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

 

Couplet 2

Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français, pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !

Refrain

 

Couplet 3

Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis)
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient !
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !

Refrain

 

Couplet 4

Tremblez, tyrans, et vous, perfides,
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !

Refrain

 

Couplet 5

Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Épargnez ces tristes victimes,
À regret s'armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !

Refrain

 

Couplet 6

Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs.
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs ! (bis)
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !

Refrain

 

Couplet 7
(dit « couplet des enfants »)

Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n'y seront plus,
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.

Refrain

 

 
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Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Marseillaise
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Friedrich Paulus

Friedrich Paulus

 

 

Friedrich Paulus, né le 23 septembre 1890 à Guxhagen et mort le 1er février 1957 à Dresde est un Generalfeldmarschall du Troisième Reich qui s'est illustré au cours de la Seconde Guerre mondiale.

 

Il mène en 1942 la 6e armée allemande jusqu'à Stalingrad, où il est encerclé et défait par l’Armée rouge : Paulus se rend le 31 janvier 1943, le lendemain de sa nomination par Hitler au grade de Generalfeldmarschall de l’Armée de terre allemande.

 

Collaborant avec ses anciens ennemis, il devient très critique à l'égard du régime nazi, servant la propagande de guerre soviétique. Il est un témoin à charge lors des procès de Nuremberg.

 

Naissance

 

Friedrich Paulus est né à Guxhagen en province de Hesse-Nassau ; il est le fils de Ernst Paulus, percepteur, et de Bertha Nettelbeck.

 

La particule von est parfois accolée au nom de Paulus, mais il s'agit d’une erreur manifeste car Paulus n'a jamais été noble ni anobli. La confusion vient à la fois du mariage de Paulus avec une femme de la noblesse, et du fait que nombre de figures de la Wehrmacht étaient issues de l'aristocratie prussienne, comme Erich von Manstein, Gerd von Rundstedt, Wilhelm von Leeb, Fedor von Bock, etc. Il avait en outre la réputation, dans les cercles mondains, d'avoir une prestance noble par ses manières policées et son port altier.

 

Jeunesse et Première Guerre mondiale

 

Paulus essaye sans succès d'entrer comme cadet dans la Marine impériale, puis étudie brièvement le droit à l'université de Marbourg. Après avoir quitté l'université sans diplôme, il rejoint le 111e régiment d'infanterie comme cadet en février 1910.

 

Il épouse Elena Rosetti-Solescu (ro) (1889-1949) le 4 juillet 1912, dont il a ensuite trois enfants. Ce mariage lui ouvre les portes des milieux aristocratiques allemands, sa femme étant issue de la haute noblesse roumaine. Dès lors, sa carrière s'en trouve quelque peu accélérée. Paulus est un officier d'état-major plus que de terrain.

 

Au déclenchement de la Première Guerre mondiale, son régiment participe à l'offensive allemande sur le front français. Il combat dans les Vosges et autour d'Arras à l’automne 1914. Après une absence du front pour maladie, il rejoint l’Alpenkorps comme officier d'état-major, servant en Macédoine, en France et en Serbie. Il termine la guerre au grade de Hauptmann (équivalent de capitaine en France).

 

Entre-deux-guerres

 

Après l'Armistice, Paulus combat avec les Freikorps (Corps francs) à l'Est (Pays baltes) comme adjoint d'un commandant de brigade. Il reste dans des grades subalternes de la nouvelle Reichswehr créée après le traité de Versailles et est affecté au 13e régiment d'infanterie comme commandant d'une compagnie. Il sert dans différentes fonctions d'état-major pendant plus d'une décennie — de 1921 à 1933 — puis commande brièvement un bataillon motorisé (1934-1935) avant d'être nommé responsable d'état-major au quartier général des Panzer en octobre 1935, une nouvelle formation placée sous le commandement du général Oswald Lutz qui dirige l'entraînement et le développement des trois divisions blindées de l'Armée de terre.

 

En février 1938, Paulus est nommé Chef des Generalstabes du nouveau XVIe corps d'armée (Motorisiert, c'est-à-dire mécanisé), qui succède au commandement de Lutz. Guderian, qui le décrit comme « brillamment intelligent, consciencieux, travailleur, original et talentueux », a des doutes sur sa capacité de décision et sa fermeté. Paulus reste dans cette fonction jusqu'en mai 1939, date à laquelle il est promu Generalmajor et devient chef d'état-major pour la 10e armée allemande, alors commandée par le général Walter von Reichenau.

 

Seconde Guerre mondiale

 

 
Adolf Hitler, Adolf Heusinger, Fedor von Bock, Friedrich Paulus, en 1942 au quartier général du groupe d'armées Sud.
 

Avec cette unité, il sert lors de l'invasion de la Pologne, en septembre 1939, puis sur le front de l'Ouest, lors de l'offensive sur les Pays-Bas et la Belgique (pour celle-ci, son unité est renommée « 6e armée »).

 

Paulus est promu Generalleutnant (équivalent en France de général de division) en août 1940 et, le mois suivant, il est nommé adjoint au chef d'état-major adjoint de l'Armée de terre, Franz Halder. Dans ce rôle, il contribue, par son expérience de l'arme blindée, à l'élaboration des plans pour l'invasion de l'Union soviétique.

 

Paulus est également chargé de missions diplomatiques auprès des gouvernements hongrois, finlandais et italien. Il se rend en Libye, en 1941, pour enquêter sur les initiatives de Rommel.

 

Nommé général des troupes blindées, il prend le commandement de la 6e armée le 5 janvier 1942, alors qu'il n'a jamais commandé un corps d'armée ni même une division. Il subit trois mois d'offensives soviétiques pendant l'hiver 1942. Sa hiérarchie le considère comme « un homme assez ordinaire ».

 

Paulus semble avoir eu des rapports distants avec l'idéologie nazie. Il refuse d'appliquer l'« ordre sur les commissaires » (Kommissarbefehl) qui affranchit explicitement les troupes allemandes de la convention de Genève en prévoyant d'assassiner les commissaires politiques de l'armée rouge et les cadres du Parti communiste. Il fait rapporter les mesures féroces contre les civils russes, juifs en particulier, qui ont été édictées par son prédécesseur, Reichenau (décédé d'une crise cardiaque en janvier 42). Paulus semble avoir été apolitique : ni partisan ni opposant au régime nazi.

 

Stalingrad

 
Friedrich Paulus sur un aérodrome sur le front de l'Est en janvier 1942.
 

Paulus progresse le long du Don et jusqu'à la Volga de juillet 1942 à septembre 1942, en menant une série de batailles d'encerclement contre les armées soviétiques. Il lance alors ses troupes à l'assaut de Stalingrad à trois reprises, sans parvenir à contrôler totalement la ville.

 

Paulus suit les ordres de Hitler de ne pas évacuer la position allemande à Stalingrad quoi qu'il arrive et ce malgré son encerclement par de puissantes formations soviétiques en novembre 1942. Le réel effort du groupe d'armées du Don sous les ordres du Generalfeldmarschall Erich von Manstein pour faire la jonction échoue en décembre 1942. Paulus ne reçoit jamais l'autorisation de faire une sortie, même lors de l'opération de secours de Manstein. Après guerre, les généraux allemands lui ont reproché de n'avoir rien tenté. Les historiens pensent aujourd'hui que, hormis peut-être le tout premier jour après l'encerclement, une sortie n'était guère réalisable en raison de la faiblesse des réserves de carburant disponibles dans la poche encerclée, et que la 6e armée ne pouvait que se défendre sur place.

 

Les troupes assiégées de Paulus résistent jusqu'au début du mois de février 1943. Le manque de ravitaillement en vivres, munitions et carburant, la détérioration de l'équipement et de la condition physique des soldats allemands, la rigueur de l'hiver, et, bien sûr, les assauts soviétiques, ont finalement raison des défenseurs. Paulus a refusé plusieurs offres de reddition présentées à partir du 8 janvier 1943 par le général Konstantin Rokossovski, commandant du front du Don de l’Armée rouge.

 

Alors que les combats touchent à leur fin, Hitler promeut Paulus au grade de Generalfeldmarschall le  30 janvier1943, probablement pour le dissuader de toute reddition : aucun maréchal de l'armée allemande ne s'étant rendu jusque-là, Hitler attendait de Paulus qu'il se suicide plutôt que de se rendre. Mais Paulus refuse déclarant ne pas vouloir se suicider pour un caporal (Hitler fut caporal durant la Première Guerre mondiale).

 

Malgré sa promotion, Paulus et son état-major se rendent le lendemain, le 31 janvier 1943. Le surlendemain, le 2 février, les restes de la 6e armée allemande capitulent ; 2 500 officiers et 24 généraux sont faits prisonniers. Mikhail Stepanovich Shumilov (it), commandant de la 7e armée de la Garde lors de l'Opération Uranus, mène l'interrogatoire du maréchal Paulus. Durant son interrogatoire, Paulus ne fait montre que de haine envers Hitler.

 

Prisonnier, bien qu'ayant dans un premier temps refusé de collaborer avec les Soviétiques, Paulus devient après l'attentat du 20 juillet 1944 contre Hitler une voix critique contre le régime nazi, rejoignant le Comité national pour une Allemagne libre, parrainé par les Soviétiques et appelant les Allemands à se rendre.

 

Paulus reste prisonnier des Soviétiques jusqu'à la capitulation de l'Allemagne nazie.

 

Témoin de l'accusation à Nuremberg

 

L'annonce des procès contre les principaux criminels de guerre allemands suscite en novembre 1945 une grande agitation parmi les officiers capturés qui avaient combattu à Stalingrad : un des chefs d'accusation concernait le meurtre de 40 000 civils. Les subordonnés de Paulus rejettent toute responsabilité et se retranchent derrière ses ordres. C'est ce qui pousse sans doute Paulus à collaborer avec l’Union soviétique : il fait savoir à l'officier de liaison du NKVD qu'il souhaite témoigner au sujet de la préparation de l'opération Barbarossa et de ce qu'il sait sur le Gouvernement général de Pologne.

 

Sous le pseudonyme de Satrap et sous protection soviétique, il est emmené discrètement en Allemagne au début de 1946 et le 11 février, il est témoin de l'accusation devant le tribunal. Il explique son propre rôle lors de la préparation de l'opération Barbarossa et aussi le caractère de guerre de conquête et de destruction que les accusés ne pouvaient pas ignorer. Interrogé sur les principaux coupables, il désigne Keitel, Jodl et Göring. La défense ne parvient pas à affaiblir ses affirmations en lui reprochant son propre rôle dans l'état-major général de la 6e armée et ensuite, après sa capture, au sein du NKVD : en effet, le juge ne considère pas ces aspects comme importants. La déclaration de Paulus satisfait parfaitement les attentes des responsables soviétiques, mais Paulus n'obtient rien en échange. Il lui est notamment interdit d’aller au chevet de sa femme gravement malade : « on n'en voit pas l'utilité ». Ainsi, celle-ci meurt en 1949 sans avoir revu son mari.

 

L'attitude du Generalfeldmarschall ne convainc pas les soldats et les officiers prisonniers des Russes : la plupart le tiennent pour quelqu'un de méprisable et estiment qu'il n'est pas moins coupable que Keitel, Jodl ou Göring. Pour cette raison, plusieurs pensent qu'il sera lui-même jugé également. À son retour d’Allemagne, Paulus n'est pas ramené au camp, mais installé dans une datcha à Tomilino. Il y retrouve les généraux Vincenz Müller et Arno von Lenski ainsi que son officier d'ordonnance, le colonel Adam. En convalescence après une tuberculose pulmonaire, ils séjournent deux mois en Crimée pendant l'été 1947. Leur régime change en 1948, quand — contrairement à Paulus — ils sont relâchés et qu'on ne laisse avec Paulus que deux prisonniers de guerre allemands en tant que cuisinier et ordonnance. Cette situation et les mauvaises nouvelles sur la santé de sa femme, provoquent chez lui une dépression. Aussi, en juin 1948, il demande à être rapatrié en zone orientale de l'Allemagne, car il souhaite aider à la construction d'une Allemagne démocratique étroitement liée à l'Union soviétique. Apparemment, il escompte avoir ainsi des chances plus grandes d'être libéré ; mais sa demande reste sans réponse. Paulus a le sentiment que l’Union soviétique cherche à le mettre en accusation : les sorties au théâtre de Moscou ne lui sont plus permises, il ne reçoit plus la visite de fonctionnaires et on lui retire sa radio sous un prétexte futile. Cependant, en 1949, bien qu'il existe contre lui des charges assez lourdes, il n'est toujours pas inculpé.

 

La mort de sa femme en novembre 1949 lui est cachée pendant quatre semaines : on veut éviter que Paulus refuse désormais d'aller vivre en Allemagne de l'Est, puisque le fils et la fille qui lui restent vivent tous deux en Allemagne de l'Ouest. Pour cette raison, si on donne un accord de principe à une nouvelle demande en mai 1950, la permission définitive n'arrive toujours pas. Un rapport de 1953 indique : « le rapatriement de Paulus est repoussé jusqu'à un ordre exprès, on n'a plus à en parler. » Il ne peut désormais être question pour lui que de s'installer en Allemagne de l'Est, puisqu'à l'Ouest son image a été dégradée, notamment par un roman de Theodor Plievier, relatif aux évènements de Stalingrad ; en outre, l'Allemagne de l'Ouest a la possibilité de le mettre en accusation. En septembre 1953, il rencontre à nouveau Walter Ulbricht en Russie, et son retour est à nouveau évoqué. Avant que Paulus ne monte dans le train pour Francfort-sur-l'Oder avec ses deux domestiques le 24 octobre 1953, il écrit une nouvelle lettre pour parler de son dévouement envers l'Union soviétique, ce qui, aux yeux du public allemand, le classe définitivement parmi les traîtres.

 

Dernières années

 

Le 27 octobre 1953, Paulus foule le sol allemand pour la première fois depuis 1946 : sur le quai, l'attendent Arno von Lenski et Wilhelm Adam. Ils se rendent ensuite à Berlin-Est à une réception officielle donnée par la direction de l'État et du parti de la RDA.

 

 
Friedrich Paulus à une conférence de presse à Berlin en 1954.
 

Son nom gagne en importance après que Konrad Adenauer, le chancelier fédéral, ancre à l'Ouest la RFA : en effet, on veut lui opposer des figures connues qui soutiennent la RDA. On le loge donc dans une villa de Dresde, dans le quartier de Weisser Hirsch, et il a le privilège de porter une arme et de disposer d'une voiture fabriquée en Allemagne de l'Ouest : une Opel Kapitän. Il n'en est pas moins soumis, après son arrivée, à la surveillance de la Stasi : tous ses employés font partie des services secrets, son courrier est espionné, son téléphone et son logement surveillés.

 

En RDA, on ne lui donne aucun poste où il peut avoir de l'influence. Sa fonction officielle est de diriger le bureau de recherche d'histoire de la guerre à la Haute École de la police populaire en caserne : il y est, entre autres, l'un des principaux auteurs des instructions de service de l'Armée populaire nationale de la RDA. Paulus écrit et donne des conférences sur la bataille de Stalingrad. Pour le reste, il mène la vie des notables locaux et passe volontiers des soirées entre vieux soldats. De fait, il a alors des difficultés à établir le contact avec ses compatriotes et s'entend mieux avec les généraux soviétiques.

 

En 1955, il est associé à l'initiative « Rencontres panallemandes entre officiers », qui vise à empêcher le réarmement des deux Allemagnes. Lors de cette initiative, il s'efforce d'obtenir la libération des derniers prisonniers de guerre. Pour cela, il contacte le gouvernement de la RDA qui n'y trouve aucun intérêt. La deuxième rencontre appelle à la résistance nationale contre la politique menant à une scission durable de l'Allemagne. Cet appel, ainsi que la participation d'officiers de la Waffen-SS, conduisent la RDA à interdire les rencontres qu'il organise.

 

Ensuite, principalement pour des raisons de santé, Paulus se retire de la vie publique : en effet, à compter de 1955-1956, il souffre de paralysie bulbaire avec sclérose latérale amyotrophique, une affection du système nerveux central qui conduit à la paralysie des muscles mais qui n'affecte pas sa lucidité intellectuelle. L'aggravation rapide de son état de santé l'empêche de terminer une étude sur la bataille de Stalingrad. Il meurt en fin d’après-midi le 1er février 1957 dans sa villa de Dresde et il est inhumé avec les honneurs militaires au cimetière de Dresde-Tolkewitz.

 

Sa tombe est ensuite déplacée au cimetière de Baden-Baden pour qu'il repose au côté de sa femme morte huit ans avant lui.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Paulus

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Frite

Publié à 02:59 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur plat merci france monde 2010
Frite

 

 

La frite est un bâtonnet de pomme de terre cuit par friture dans une graisse animale ou une huile végétale. Les appellations « pomme frite » et « patate frite » sont utilisées indifféremment pour ce bâtonnet, pour une tranche ou pour une rondelle du même végétal cuit de cette façon. La graisse (suif) de bœuf est utilisée pour la cuisson des frites en Belgique et dans le nord de la France (surtout sous la marque Blanc de bœuf). La frite a été créée en 1781.

 

La frite est devenue un des plats les plus populaires mondialement, et un des dix aliments les plus consommés au monde, au même titre que la pizza ou les pâtes. Elle est la préparation de pomme de terre la plus consommée au monde ; on en consomme 11 millions de tonnes par an. La Belgique est le plus gros exportateur mondial et le pays où l'on en consomme le plus par habitant.

 

Au début du xxie siècle, la plupart des frites consommées dans le monde sont des frites surgelées fabriquées industriellement, commercialisées soit directement dans la grande distribution ou les chaînes spécialisées dans les produits surgelés, soit dans les friteries ou les sandwicheries (en particulier dans les chaînes de restauration rapide).

 

La cuisson à la poêle ou en marmite tend à disparaître dans les ménages au xxe siècle au profit d'un appareil électroménager appelé friteuse. Vers 2010, un panier de cuisson permettant la cuisson au four avec un minimum de matière grasse apparait dans le commerce pour une cuisson annoncée comme « plus diététique ».

 

Typologie

 

On distingue différentes appellations en fonction de la taille du bâtonnet :

les « bûches » : section carrée de 2 cm ;

les « pont-neuf » : section carrée de 1 cm ;

les « allumettes » (aussi nommées coupe julienne au Québec) : section de 0,5 cm, souvent utilisées dans la restauration rapide ;

les « pailles » : section de 0,25 cm ;

les « cheveux d’or » (taillées encore plus finement) ;

les frites « en nid » (pommes paille dressées en nid dans un moule-panier et frites à nouveau).

  Gastronomie

 

Les moules-frites et le steak frites, pour les Belges et les Français, et le fish and chips pour les Britanniques sont des plats très populaires dans leurs pays respectifs. Les frites accompagnent traditionnellement certains mets comme les boulets à la liégeoise, les moules, le steak poêlé, le steak tartare, la mitraillette ou le vol-au-vent.

 

Au Québec, les frites sont l'ingrédient principal de la poutine (plat québécois avec du fromage cheddar frais en grains et d'une sauce brune dont il existe de nombreuses variantes).

 

Depuis la fin du xxe siècle, la plus grosse quantité de frites est utilisée par la restauration rapide, qui les reçoit précuites et surgelées.

 

 
Liens externes                                                  
 

Frite — Wikipédia (wikipedia.org)

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
    Frite
    Frite : Origine
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Frite : Origine

Publié à 02:51 par dessinsagogo55 Tags : plat center livre centerblog sur base merci france chez belle mode article
Frite : Origine

 

L'origine de la frite reste controversée car son nom découle de « pomme de terre frite », réduit par ellipse au simple terme « frite ». La pomme de terre ayant été cuite dans la graisse en rondelle et en bâtonnet, le terme « frite » se retrouve dans de très nombreux textes des xviiie siècle et xixe siècle sans que les auteurs précisent la forme de l'aliment, ce qui ouvre la porte à de nombreuses interprétations. Une des premières mentions est d'ailleurs donnée par le militaire hispano-chilien Francisco Núñez de Pineda y Bascuñán dans son œuvre Cautiverio feliz de 1673, le 29 novembre 1629 au fort de Nacimiento, où il décrit la nourriture offerte à deux caciques indiens, comme composée de « pommes de terre cuites et frites ».

 

Selon les Belges

 

L'hebdomadaire belge Pourquoi pas ? a publié en 1985 un article de Christian Souris qui a popularisé une fausse affirmation de l’historien belge Jo Gérard, selon laquelle les pommes de terre frites auraient existé à la fin du xviie siècle. L'article citait un manuscrit que l’aïeul de l’historien aurait rédigé en 1781 : « Les habitants de Namur, Andenne et Dinant ont l'usage de pêcher dans la Meuse du menu fretin et de le frire pour en améliorer leur ordinaire, surtout chez les pauvres gens. Mais lorsque le gel saisit les cours d'eau et que la pêche y devient hasardeuse, les habitants découpent des pommes de terre en forme de petits poissons et les passent à la friture comme ceux-ci. Il me revient que cette pratique remonte déjà à plus de cent années. » Ceci donnerait, comme date, les années 1680. Or ce manuscrit est introuvable à ce jour.

 

Pierre Leclercq, autre historien belge rappelant grâce aux travaux de Fernand Pirotte sur la pomme de terre, que celle-ci n'est arrivée dans le Namurois qu'aux alentours de 1735, considère que ces habitants n'ont pu tailler les pommes de terre et les frire qu'à partir de 1739. Au xviiie siècle, la graisse était un luxe pour les petites gens, le beurre coûtait cher, la graisse végétale se consommait sur du pain ou en potage avec parcimonie, c'est pourquoi la cuisson en friture était rarissime dans la paysannerie. Il était donc exceptionnel de trouver une poêle dans le matériel de cuisine d'un humble habitant du xviiie siècle. Pierre Leclercq est formel indiquant que « la frite est d’origine parisienne » dans un article repris par l'Université de Liège. L'origine de la frite est issue de la pratique des marchands ambulants du xviiie siècle qui trimballaient une bassine de friture dans laquelle ils trempaient de la viande et des légumes enduits de pâte à beignet. .

 

Les frites ont pourtant séduit de nombreux Belges et sont popularisées dans la cuisine locale.

 

En 1861, le Belge Philippe Édouard Cauderlier indique dans son Économie culinaire que la taille des pommes de terre à frire peut se faire en bâtonnet. Il semble que l'alternative rondelle-bâtonnet était à la mode puisqu'on la retrouve dans la deuxième édition du dictionnaire de Guillaume Belèze.

 

Dès avant 1862, les frites étaient vendues en bâtonnets dans les friteries ambulantes des frères Krieger. Cauderlier ne fait donc que reprendre une pratique courante en Belgique. Pierre Leclercq indique quant à lui que l'arrivée des frites en Belgique serait le fait de l'Allemand Frederik Krieger qui a appris à confectionner les frites à Montmartre (Paris) avant de s'installer en Belgique en 1842 pour ouvrir la première baraque à frites du pays.

 

Le 10 janvier 2014, la Région flamande reconnaît les friteries en tant qu'héritage culturel immatériel.

En 2017, la Communauté française de Belgique reconnaît également les friteries comme patrimoine immatériel.

Par contre, la communauté germanophone ne l'a pas encore reconnue.

 

Selon les Français

 

Côté français, on soutient parfois que la frite est née sur les ponts de Paris en 1789, en pleine Révolution française, sous l'appellation « pommes Pont-Neuf » quelques années après qu'Antoine Parmentier eut fait la promotion de la pomme de terre en 1771 au concours de l'académie de Besançon. Maurice Edmond Sailland dit Curnonsky (1872-1956), auteur, journaliste, défenseur de la cuisine du terroir et prince des gastronomes, cru 1927, a déclaré : « Les pommes de terre frites sont une des plus spirituelles créations du génie parisien ». En réalité, cette « pomme Pont-Neuf » est une pomme de terre coupée en lamelle puis frite, et non un bâtonnet de pomme de terre.

 

Les Français arguent que des livres du xviiie siècle citent les frites ; ainsi, par exemple, dans La Cuisinière républicaine, recueil de recettes de pommes de terre, le premier en langue française, publié en 1794 à Paris par madame Mérigot. Les frites telles qu'on les connaît aujourd'hui n'y sont pas citées, mais on y trouve notamment une recette de « pommes de terre en friture », selon laquelle on fait frire des tranches de pommes de terre préalablement trempées dans une pâte à frire à base de farine de pommes de terre. Autre exemple : en 1823, Louis Eustache Audot donne dans La Cuisinière de la campagne et de la ville, une recette de pommes frites : « Vous coupez vos pommes de terre crues en tranches, vous les jetez dans une friture bien chaude ; quand elles sont bien cassantes et de belle couleur, vous les retirez, les saupoudrez de sel fin et servez chaud. » Comme dans la recette précédente, les pommes de terre sont découpées en tranches et non pas en bâtonnets. Selon Karen Hess, historienne culinaire américaine, il semble que la découpe en tranches, qui apparaît dans toutes les recettes les plus anciennes de pommes de terre frites, était alors considérée comme plus élégante que la forme en bâtonnets.

 

Nom des frites en anglais américain

 

Les frites sont appelées French fries en anglais américain et chips au Royaume-Uni.

 

La première attestation de l'expression french fries en anglais est datée de 1894 dans le livre intitulé Rolling Stones de l'écrivain américain O. Henry, précédée en 1884 de French Fried Potatoes28. Mais c'est seulement à la fin de la Première Guerre mondiale que cette expression décolla aux États-Unis, lorsque les soldats américains qui avaient goûté des frites dans le nord de la France ou en Belgique sont retournés dans leur pays. Comme la langue parlée dans ces régions était le français, ils les auraient tout simplement appelées French fries.

 

Selon une autre version, c'est le président américain Thomas Jefferson, parce qu'il aimait beaucoup les frites préparées par son cuisinier français, qui les aurait naturellement appelées French fries. On affirme ainsi que Jefferson, président des États-Unis 1801-1809, qui fut aussi ambassadeur en France de 1785 à 1789, a probablement introduit les frites aux États-Unis en 1802, d'une recette très probablement obtenue de son chef français, Honoré Julien, et qu'il évoque de sa main déjà les potatoes fried in the French manner avec son annotation « Pommes de terre frites à cru, en petites tranches ». Là encore, on ne parle pas de bâtonnet.

 

Toutefois, les frites n'apparaissent dans les livres de cuisine populaire qu'en 1813 en Amérique, d'où leur nom de French fries, pour les Américains et les Canadiens anglophones. Cette explication est cependant contestée.

 

Pour mémoire, l'affirmation fréquemment exprimée que to french signifie « couper à la française » ou « émincer à la française » est mise à mal par la consultation d'éminents dictionnaires : le Dr James A. H. Murray cite le verbe to french comme employé pour désosser les os des viandes et nullement pour tailler des frites — qui étaient pourtant connues aux États-Unis à cette époque — et les dictionnaires Harrap's et Collins ne donnent aucun verbe de ce nom.

 

Pendant le refroidissement des relations diplomatiques franco-américaines consécutif à la guerre en Irak, son nom a été transformé temporairement en freedom fries par une partie de la droite américaine.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

Frite — Wikipédia (wikipedia.org)

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
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Clémence Botino, Miss France 2020

Publié à 18:45 par dessinsagogo55 Tags : sommaire monde centerblog sur merci france mode histoire art cadre
Clémence Botino, Miss France 2020

 

Clémence Botino, née le 22 janvier 1997 à Baie-Mahault, est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Guadeloupe 2019 puis Miss France 2020, devenant la 90e Miss France et la 3e Miss Guadeloupe couronnée. Elle se classe neuvième à l'élection de Miss Univers 2021 et va représenter la France au concours Miss Monde 2023.

 

Biographie

Jeunesse

 

Clémence Botino a des origines indo-caribéennes de sa mère, afro-caribéennes et européennes de son père.

 

Elle a un frère, Lucas, de deux ans son cadet.

 

Études

 

Elle obtient un baccalauréat scientifique avec mention « très bien » en 2014. À l'âge de 17 ans, elle vit pendant une année aux États-Unis et suit des études dans une école internationale située à Miami, pour parfaire son anglais.

 

Après deux années de classes préparatoires littéraires au lycée Gerville-Réache, elle s'installe à Paris en 2017 pour étudier en troisième année de licence puis en première année de master d'histoire de l'art à la Sorbonne. Elle se spécialise dans l'étude de l'histoire de la mode avec comme ambition, au moment de son élection de Miss France, de devenir conservatrice du patrimoine. Elle prépare dans le cadre de ses études un mémoire dont le sujet est « L'histoire de la mode aux Caraïbes ».

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9mence_Botino

 
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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LO (Sommaire)

Publié à 17:40 par dessinsagogo55 Tags : photo center femme sexy blog centerblog sur mer merci france sport musique femme you
LO (Sommaire)

 

L (Sommaire) comprend 6 pages

 

LA  LE LES x LI x LO x x x x

 

Date LO Désignation
     
    LO (Sommaire) SOMMAIRE
../../....   Locomotive (Sommaire) TRANSPORT
../../....   Locomotive 140 C 268 TRANSPORT
../../....   Locomotive 141 TD TRANSPORT
../../....   Locomotive 214 P TRANSPORT
../../....   Locomotive BB 20200 TRANSPORT
../../....   Locomotive BB 25100 TRANSPORT
../../....   Locomotive BB 9200 TRANSPORT
../../....   Locomotive Diesel CC 72000 TRANSPORT
../../....   Locomotive Diesel CC 72000 TRANSPORT
../../....   Locomotive électrique BB 16000 TRANSPORT
../../....   Locomotive électrique BB 17000 TRANSPORT
../../....   Locomotive électrique BB 26000 SYBIC TRANSPORT
../../....   Locomotive électrique BB 26000 SYBIC TRANSPORT
../../....   Locomotive indienne classe WAP-1 TRANSPORT
    Lola Montez MONARCHIE
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    Louis bertignac : Ces Idées-Là MUSIQUE
01/07/1872   Louis Blériot PERSONNALITE CIVILE
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../../....   Louis Chedid : La femme ...  
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LA  LE LES x LI x LO x x x x

 

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Amandine Petit : Miss France 2021

Publié à 16:00 par dessinsagogo55 Tags : fille centerblog sur merci vie france
Amandine Petit : Miss France 2021

 

 

Amandine Petit, née le 30 septembre 1997 à Caen (France), est une reine de beauté française. Elle est élue Miss Normandie 2020 puis Miss France 2021, lors du centenaire du concours. Elle est la 91e Miss France.

 

Situation personnelle

Jeunesse

 

Amandine Petit naît à Caen le 30 septembre 1997 et grandit dans la commune de Bourguébus. Elle est la fille cadette de Nathalie Petit, qui travaille à l'office de tourisme de Caen, et de Jean-Luc Petit, surveillant pénitentiaire. Elle a une grande sœur, Pauline, de trois ans son ainée.

 

Études

 

Après avoir tenté les concours infirmiers, elle se lance dans un BTS Négociation et relation clients. Après deux ans, elle repasse les concours infirmiers, qu'elle obtient, puis intègre l'IAE de Caen en licence 3.

 

Ensuite, elle suit un master 2 Management des établissements et structures gérontologiques, toujours à l'IAE de Caen, dans le but d'accéder au poste de direction en EHPAD ou en résidence autonomie.

 

Vie privée

 

Au moment de son élection comme Miss France, Amandine Petit est en couple depuis plusieurs années avec un étudiant

 

 

Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Amandine_Petit

Notes et références                                                    
   
   
   
    Miss France (Sommaire)
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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