Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Le Junkers Ju 87 est le plus connu des bombardiers en piqué de la Luftwaffe employé durant la Seconde Guerre mondiale. En allemand, « bombardier en piqué » se traduit par Sturzkampfflugzeug, composé de trois mots : « Sturz » (chute), « Kampf » (combat) et « Flugzeug » (avion) — soit littéralement « avion de combat en piqué ». En abrégé, le mot donne « Stuka », terme qui fut depuis presque invariablement associé au Ju 87, bien que les Stukas soient une catégorie d'avions, et non un terme désignant un unique modèle.
L'intervention de l'Allemagne dans la guerre civile espagnole allait permettre d'évaluer l'avion, avec les autres appareils de la Légion Condor, dans un contexte opérationnel réel. Le chef de la légion, le colonel von Richthofen, qui s'était opposé quelques années plus tôt à la réalisation du Stuka, fut si impressionné par sa précision qu'il alla jusqu'à réclamer davantage d'appareils. L'avion sera ensuite utilisé du premier au dernier jour de la Seconde Guerre mondiale sur tous les fronts où la Luftwaffe fut engagée. D'autres pays alliés de l'Allemagne utiliseront également cet appareil. Environ 5 700 Ju 87 furent produits par la firme aéronautique Junkers.
Genèse
L'idée du bombardier en piqué vient des militaires américains dans les années 1920. Conscients de la montée en puissance de la marine japonaise dans le Pacifique, ils préconisent l'emploi d'attaques de précision pour frapper une cible mobile (tel un navire) plus efficacement que ne le ferait un bombardier classique en vol horizontal. La tactique est indéniablement calquée sur celle du rapace fonçant sur sa proie : frapper vite et fort en ne laissant aucune chance à la cible. Jusque dans les années 1930, des essais et des meetings ont lieu avec succès, ce qui n'échappe pas aux observateurs japonais et allemands. Dès lors, ces deux nations vont s'efforcer de développer leur propre bombardier en piqué .
Les obstacles sont pourtant nombreux : lors du piqué, la machine doit supporter des contraintes aérodynamiques élevées, tout comme le pilote qui doit encaisser des « g » notamment lors de la ressource juste après le largage de la bombe.
En janvier 1930, le RLM lança un appel d'offres pour la conception d'un bombardier en piqué. Répondent présentes les firmes Arado avec son Ar 81, Heinkel avec son He 118, Blom & Voss avec le Ha 137 et Junkers avec le Ju 87 qui possède déjà de l'avance sur l'appel d'offres. Conçu sous l'initiative d'Hermann Pohlmann (en) en 1933 (déjà cofondateur du K 47 (en)), le premier prototype du Ju 87 V1 effectua son premier vol à l'automne 1935, propulsé par un moteur Rolls-Royce Kestrel de 640 ch. Il était entièrement métallique, avec une aile en « W » et possédait une dérive double. Point négatif toutefois, la stabilité du V1 était médiocre et le prototype sera détruit au cours des essais près de Dresde le 21 janvier 1936 en raison de la difficulté à le maîtriser dans les évolutions en lacets.
Le deuxième prototype V2, immatriculé D-UHUH, reçoit une dérive simple et est également doté de plans rapportés à l'intrados, à l'extérieur des pantalons de roues. Ces plans pouvaient pivoter de 90 degrés et constituer de cette façon d'excellents aérofreins, limitant sa vitesse en plongée à environ 600 km/h. La bombe était fixée à un cadre rectangulaire spécial articulé sous le ventre de l'avion, juste à l'arrière du radiateur. Au cours du piqué, ce cadre basculait vers l'avant, afin que la trajectoire de la bombe évite le cercle de l'hélice. Enfin, son moteur était à présent un Jumo 210 de fabrication allemande et développant 610 ch.
Le V2 participe avec ses trois concurrents aux essais à Rechlin en mars 1936. Très vite, l'Ar 81 de configuration biplan s'avéra obsolète par rapport aux standards de la guerre moderne et le He 118 était davantage un chasseur qu'un bombardier en piqué, et ses performances dans ce domaine déçoivent. Le Ha 137 et le Ju 87 sont au contraire massifs et peu esthétiques, mais solidement bâtis et offrent tous deux la même configuration d'aile en « w ». De prime abord similaire, le Ha 137 n'offre pourtant pas de poste de mitrailleur arrière de protection, comme le spécifiait le cahier des charges, à l'inverse du Ju 87 qui, lui, se conforme aux spécifications requises9. On apprécie également sa robustesse et son agilité malgré ses formes ramassées, la bonne ergonomie du poste de pilotage et surtout sa capacité à piquer presque à la verticale. Le Ju 87 V2 finit donc par convaincre et est déclaré vainqueur.
Un troisième prototype fut testé le même mois avec un Jumo 210 Da de 680 ch. La dérive avait été agrandie et la canopée quelque peu modifiée. L'appareil avait une envergure de 14 mètres et pouvait atteindre une vitesse maximale de 320 km/h à une altitude de 4 000 m. L'armement comprenait une mitrailleuse fixe dans l'aile droite en plus de celle à l'arrière du poste de pilotage. Il fut tenu en réserve pendant que le V2 concourait face à ses adversaires.
Le quatrième prototype possédait un meilleur aérodynamisme du bâti-moteur à la queue, ainsi qu'une verrière revisitée. Il donnera naissance à la série A « Anton » dont dix avions de pré-production nommés A-01 à A-11 sont construits durant l'été 1936 (voir série Anton).
Prototypes :
Ju 87 V1 : W.Nr 4921 - testé le 17 septembre 1935
Ju 87 V2 : W.Nr 4922 - testé le 25 février 1936
Ju 87 V3 : W.Nr 4923 - testé le 27 mars 1936
Ju 87 V4 : W.Nr 4924 - testé le 20 juin 1936
Outre la forme particulière de ses ailes en « W », ce bombardier monomoteur se caractérisait par des éléments disproportionnés, comme le radiateur sous le nez et le train d'atterrissage principal fixe.
Malgré sa taille, le Ju 87 était souple aux commandes mais la masse du moteur requérait de solliciter les freins en douceur en fin d'atterrissage. Si le pilote freinait trop brusquement, l'avion avait tendance à se mettre en pylône. Un système innovant de redressement automatique équipait également l'appareil, afin de le récupérer systématiquement après l'attaque en piqué. L'équipage évitait ainsi le crash si le pilote devait perdre connaissance au moment de la ressource (apparition d'un voile noir).
Le terme Stuka désigne en allemand tout appareil de bombardement en piqué. Cependant, la légende du Ju 87 et son exclusivité dans ce rôle au sein de la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale eut comme conséquence que ce nom lui soit maintenant spécifiquement (mais non exclusivement) attribué.
Également appelée « trompette de Jéricho », la sirène mécanique était fixée sur chaque train d'atterrissage, voire sur un seul. Elle possédait une petite hélice qui, en tournant, produisait un son strident lors des attaques en piqué qui s'amplifiait proportionnellement à la vitesse de l'air s'écoulant autour de l'avion. Le pilote pouvait l'activer à l'aide d'une commande située à l'intérieur du cockpit. Elle se déconnectait ensuite automatiquement lorsque les freins de piqué se rétractaient.
Ce son aigu, rapidement associé au bombardement en piqué, avait pour objectif de terroriser les populations et démoraliser les militaires à son approche. Il a également parfois été dit qu'elles permettaient au pilote de l'avion de deviner la vitesse atteinte en piqué, celui-ci n'ayant qu'à écouter le son pour le savoir, et pouvant ainsi rester concentré sur son attaque.
De nombreuses photos attestent de la présence des sirènes sur certains Ju 87 en France en 1940, mais aussi pendant la campagne des Balkans de 1941, tout comme sur le front russe jusqu'en 1943. Elles furent du reste montées en série à partir de la version B1, à l'exception des premiers appareils livrés, ainsi que sur d'autres, postérieures, jusqu'en 1943. Cependant, les sirènes étaient probablement démontées sur beaucoup de Ju 87 en opération, et ce dès l'année 1940. Elles freinaient en effet un avion déjà assez lent et leur bruit alertait l'ennemi de sa présence. Un capot de protection conique était alors fixé à leur place. Finalement et mis à part au tout début de la guerre, les sirènes furent très peu employées mais le bruit caractéristique qu'elles produisaient demeura associé au Ju 87 dans l'imaginaire.
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Marilyn Hanold, née le 09 juin 1938 à Jamaica, New York.
En juin 1959, Marilyn Hanold a posé en tant que playmate pour le magazine Playboy.
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Le massacre de Gardelegen est un massacre de travailleurs forcés, principalement polonais, perpétré par les troupes allemandes SS et de la Luftwaffe à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le nord de l'Allemagne.
Le 13 avril 1945, sur le domaine Isenschnibbe à proximité de la ville de Gardelegen (située entre Berlin et Hanovre, au nord de Magdebourg), les troupes ont rassemblé 1 016 travailleurs, pour la plupart Polonais, évacués des camps de concentration de Mittelbau-Dora et de Hannover-Stöcken, dans une grange qui a ensuite été incendiée. La plupart des prisonniers ont été brûlés vifs ; certains ont été abattus en essayant de s'échapper. Le crime a été découvert deux jours plus tard par la Compagnie F du 2e Bataillon du 405e Régiment de la 102e Division d'Infanterie des États-Unis, lorsque l'armée américaine a occupé la région.
Détails
Des soldats américains près des corps dans la grange
Sous la direction d'un soldat américain, des civils de Gardelegen portent des croix de bois à l'endroit où ils ont reçu l'ordre d'enterrer les corps des prisonniers des camps de concentration tués par les SS dans une grange juste à l'extérieur de la ville.
Le massacre semble avoir été découvert par hasard : le lieutenant américain Emerson Hunt, officier de liaison entre le QG de la 102e division et le 701e bataillon blindé, a été capturé le 14 avril 1945 et a fait croire aux forces allemandes défendant Gardelegen que les chars américains approchaient, provoquant ainsi la reddition du commandant allemand. Les Américains sont arrivés sur le site avant que les Allemands aient eu le temps d'enterrer tous les corps.
Les 3-4 avril, après la traversée du Rhin par l'armée américaine et la poussée vers l'Allemagne, l'administration SS du camp de Mittelbau-Dora avait ordonné l'évacuation des prisonniers du camp principal et de plusieurs camps secondaires. L'objectif était de déplacer les détenus par train ou à pied vers les autres camps de concentration d'Allemagne du Nord : Bergen-Belsen, Sachsenhausen ou Neuengamme.
En quelques jours, environ 4000 prisonniers de Mittelbau-Dora, de ses camps satellites, et du camp de Hanovre-Stöcken, un camp extérieur de Neuengamme, arrivés dans la région de Gardelegen, sont débarqués des wagons car les trains ne peuvent plus avancer à cause des voies endommagées par les raids aériens alliés. Beaucoup moins nombreux que les prisonniers, les gardes SS commencent à recruter des renforts parmi les pompiers de la ville, la Luftwaffe, la Milice populaire (Volkssturm), les Jeunesses hitlériennes et d'autres organismes pour surveiller les détenus.
Le 13 avril, plus d'un millier de prisonniers, la plupart malades et trop faibles pour continuer à marcher, sont déplacés de la ville de Gardelegen vers une grande grange sur le domaine Isenschnibbe, et massés de force à l'intérieur du bâtiment. Les gardes barricadent les portes et mettent le feu à la paille imbibée d'essence. Les prisonniers qui ont échappé à l'incendie en creusant sous les murs de la grange sont tués par les gardes. Le lendemain, les SS et les auxiliaires locaux retournent sur les lieux pour effacer les traces de leur crime. Ils ont prévu d'incinérer ce qui reste des corps dans la grange et de tuer tous les survivants de l'incendie. L'avance rapide de la 102e division d'infanterie américaine empêche cependant les SS et leurs complices de mener à bien ce plan.
« Avant, je ne savais pas vraiment pourquoi je me battais. Avant cela, vous auriez dit que ces histoires étaient de la propagande, mais maintenant vous savez que ce n'en était pas. Il y a les corps et tous ces gars sont morts. »
Ont survécu à l'incendie de la grange et ont été retrouvés vivants par les soldats américains3 les prisonniers suivants : deux Polonais : Wladimir Wognia et Eugen Sieradzki ; Trois Français : Georges Cretin, Guy Chamaillard et Léon (dit Maurice) Roussineau ; un Italien : Amaro Castellevi ; un Hongrois : Géza Budai et deux Russes (noms inconnus).
Le 21 avril 1945, le major-général Franck A.Keating commandant de la 102e a ordonné à 200-300 hommes habitant Gardelegen de donner une sépulture convenable aux prisonniers assassinés. Les jours suivants, les civils allemands ont exhumé 586 corps des tranchées et récupéré 430 corps de la grange, les plaçant chacun dans une tombe individuelle.
Le 25 avril, la 102e a organisé une cérémonie pour honorer les morts et a érigé une plaque commémorative pour les victimes, qui déclarait que les habitants de Gardelegen devront « garder ces tombes vertes pour toujours, comme sera conservée la mémoire de ces malheureux dans le cœur des hommes épris de liberté partout dans le monde ». Le 25 avril également, le Colonel George Lynch a adressé aux civils allemands de Gardelegen la déclaration suivante :
« On a dit au peuple allemand que les histoires d'atrocités allemandes étaient de la propagande des Alliés. Ici, vous pouvez voir par vous-même. Certains vont dire que les Nazis étaient responsables de ce crime. D'autres vont montrer du doigt la Gestapo. La responsabilité ne leur incombe pas — c'est la responsabilité du peuple allemand....Votre prétendue Race supérieure a démontré qu'elle est supérieure seulement en criminalité, cruauté et sadisme. Vous avez perdu le respect du monde civilisé. »
Enquête
Une enquête a été menée par le Lieutenant-Colonel Edward E. Cruise, de l'unité Crimes de Guerre de la Neuvième Armée.
Le texte du rapport du Lieutenant-Colonel Cruise et d'autres pièces sont archivés dans le fichier 000-12-242 de l'armée américaine.
Le SS-Untersturmführer Erhard Brauny (de), chef du transport des détenus évacués du camp de concentration de Mittelbau-Dora vers la ville de Gardelegen, a été jugé en 1947 par un tribunal militaire américain et condamné à la prison à perpépuité. Il est mort en 1950.
Le Kreisleiter Gerhard Thiele (de), responsable local du Parti nazi, qui a confirmé l'ordre d'exécution des détenus, a échappé aux poursuites en prenant une fausse identité. Il est mort en 1994.
Les déclarations des survivants ont été recueillies par l'écrivain polonais Melchior Wańkowicz et publiées en 1969.
Monuments
La ville de Gardelegen a maintenu un mémorial national, qui a été restauré par l'ancienne République démocratique allemande à partir de 1952 jusqu'en 1971. En 2015 le Mémorial de la grange d´Isenschnibbe à Gardelegen est devenu une partie de la Fondation des Mémoriaux de la Saxe-Anhalt. En 2020 un nouveau Centre de Documentation a été inauguré par Frank-Walter Steinmeier, Président de la République Féderale d´Allemagne, et par Reiner Haseloff, Ministre-Présisent de la Saxe-Anhalt.
Le panneau du cimetière, érigé par l'Armée américaine, est ainsi libellé :
«
Gardelegen
Cimetière Militaire
Ici reposent 1016 prisonniers de guerre alliés qui ont été assassinés par leurs ravisseurs.
Ils ont été inhumés par les habitants de Gardelegen, responsables de garder ces tombes vertes pour toujours, comme sera conservée la mémoire de ces malheureux dans le cœur des hommes épris de liberté partout dans le monde.
Établi sous l'autorité de la 102e Division d'Infanterie de l'Armée des États-Unis. Le vandalisme sera puni par les peines maximales selon les lois du gouvernement militaire.
Frank A. Keating Major Genéral, Commandement des États-Unis d'Amérique »
Le panneau sur le mur restant de la grange, mis en place par les autorités de la République démocratique allemande, indique :
« VOUS ÊTES DEVANT LES RUINES D'UNE GRANGE, OÙ UN DES CRIMES LES PLUS CRUELS DU FASCISME A ÉTÉ COMMIS. DURANT LA NUIT DE LEUR LIBÉRATION, QUELQUES HEURES AVANT L'ARRIVÉE DES FORCES ALLIÉES, 1016 RÉSISTANTS ANTI-FASCISME DE TOUTES NATIONALITÉS ONT ÉTÉ BRUTALEMENT ET INHUMAINEMENT BRÛLÉS VIVANTS. SI JAMAIS VOUS RESSENTEZ DE L'INDIFFÉRENCE OU DE LA FAIBLESSE DANS LA LUTTE CONTRE LE FASCISME ET LA MENACE IMPÉRIALISTE DE GUERRE, SOYEZ RENFORCÉS PAR NOS MORTS INOUBLIABLES. »
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Ibrahim Mohamed Solih, dit Ibu, né le 1er mars 1962, est un homme d'État maldivien. Il est président de la république des Maldives de 2018 à 2023.
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Jalal Talabani (kurde : Celal Talebanî), né le 12 novembre 1933 dans le village de Kelkan au Kurdistan irakien et mort le 3 octobre 2017 à Berlin, est un homme d'État irakien d'ethnie kurde, président de la république d'Irak de 2005 à 2014.
Il a été élu président de la république d'Irak par l'Assemblée nationale transitoire pour un mandat provisoire le 6 avril 2005 puis réélu pour un premier mandat le 22 avril 2006. Le 11 novembre 2010, il est réélu pour un deuxième mandat.
Jalal Talabani, plus connu sous le nom de Mam Celal (« Oncle Jalal ») chez les Kurdes, est aussi le fondateur de l'Union patriotique du Kurdistan, l'un des deux principaux partis politiques kurdes.
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Aníbal Cavaco Silva [ɐˈniβɐɫ ɐ̃ˈtɔɲcoup ».">u kɐˈvakcoup ».">u ˈsiɫvɐ], né le 15 juillet 1939 à Boliqueime (Algarve), est un homme d'État portugais. Membre du Parti social-démocrate, il est Premier ministre de 1985 à 1995 et président de la République de 2006 à 2016.
Ministre des Finances et du Plan dans le gouvernement de Francisco Sá Carneiro entre 1980 et 1981, il est élu président du Parti social-démocrate (PPD/PSD) en 1985. Il met alors fin à la grande coalition avec le Parti socialiste (PS) et remporte les élections législatives anticipées, ce qui l'amène à devenir le chef d'un gouvernement minoritaire. Il est Premier ministre pendant dix années, son parti obtenant la majorité absolue aux scrutins parlementaires de 1987 et de 1991.
Candidat à l'élection présidentielle de 1996, il recueille 46 % des suffrages et s'incline face à l’ancien maire socialiste de Lisbonne Jorge Sampaio. Cet échec le convainc de se mettre en retrait de la vie politique pour un certain temps.
Il fait son retour en se présentant à l'élection présidentielle de 2006, qu'il remporte dès le premier tour avec 50,5 % des voix. Il devient ainsi le premier chef de l’État issu du centre droit depuis la révolution des Œillets de 1974. Il est reconduit pour un second mandat à l’issue de l'élection présidentielle de 2011, recueillant 53 % des suffrages au premier tour. Il quitte la présidence du pays en 2016, ne pouvant légalement briguer un troisième mandat.
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