Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Quelques exemples connus :
L'Empire des sens du Japonais Nagisa Oshima (1976) est un film de référence parmi les films non pornographiques contenant des scènes explicites.
L'un des tout premiers films non destiné à être diffusé dans le circuit du cinéma pornographique mais contenant des scènes explicites fut le film canadien L'Ange et la Femme (1978) - Scènes de fellation, de pénétration et d'éjaculation faciale avec Carole Laure et Lewis Furey.
Caligula de Tinto Brass est un film de 1979 traditionnel retraçant les quelques années du règne de Caligula césar de 37 à 41 après J.-C. agrémenté de scènes pornographiques rajoutées au montage (pour une version longue de 3 heures) contre l'avis du réalisateur.
L'un des films de Paul Verhoeven montre explicitement une fellation : Spetters (1980).
Le premier film à large diffusion montrant explicitement une fellation hétérosexuelle est Le Diable au corps de Marco Bellocchio, adaptation modernisée du roman éponyme de Raymond Radiguet, sortie en 1986.
Les Idiots de Lars von Trier contient de la nudité et une courte scène de groupe avec pénétration non simulée (1998).
Romance de Catherine Breillat présente également des scènes sexuelles explicites avec des acteurs « traditionnels » tels que Sagamore Stévenin et Caroline Ducey, mais aussi Rocco Siffredi (1999).
Baise-moi de Virginie Despentes défraye la chronique lors de sa sortie en 2000 par le caractère complètement explicite de toutes les scènes sexuelles et violentes.
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Pour le numéro de Novembre de Vanity Fair, Zach Galifianakis a sorti le maillot. Le magazine féminin, qui nous a habituées à orner ses pages de bien jolies femmes, nous offre cette fois-ci un poil de virilité dans un beau une pièce tout rose, façon Pamela Anderson dans Alerte à Malibu. Sensuellement échoué sur la plage, regard dans le vague et petite moue boudeuse, Zach (qui a rasé sa barbe pour l’occasion) a tous les atouts d’une pin-up de calendrier et c’est avec joie que nous l’afficherions sur nos murs. Formes et poils assumés, Zach serait-il notre nouveau gourou ?
Knut Schwander
La cuisine danoise a le vent en poupe. Le Noma est sacré "meilleure table du monde". Et à Copenhague, la nouvelle cuisine viking fleurit. Luxe, audace et... quiproquo: à la découverte de l'AOC.
Un week-end à Copenhague? Bonne idée! La ville est charmante, les magasins nordiques juste ce qu'il faut pour assurr un shopping différent, les musées pleins d'oeuvres à découvrir... et la gastronomie fait tellement parler d'elle qu'on a envie d'y goûter.
Je ne pense pas au ragout de renne, aux smoegasbroed et au hareng fumé... que j'aime bien, notez. Mais de ces tables qui remplissent des pages dans les journaux du monde occidental tout entier. Même ceux qui n'y sont jamais allés savent qu'au Noma on vous sert des crevettes vivantes... hmm...
Avec quinze jours d'avance obtenir une table au Noma est simplement impossible, surtout le week-end. Mais dans son sillage, plusieurs tables développent une cuisine d'un genre nouveau, inspirée par les forêts de bouleaux, les sols tourbeux, la mer froide, qu'elles réinventent dans les assiettes.
Ce n'est que grâce à une relation, un sommelier-écrivain-communicateur qui tutoie tous ces chefs, que j'ai obtenu une table au restaurant AOC (www.restaurantaoc.dk/), où Ronny Emborg déploie son talent de prestidigitateur culinaire.
Le lieu est magique. En plein centre de la capitale, la cave voutée d'une noble bâtisse du XVIIIème siècle est merveilleusement dépaysante, épurée à l'extrème. Le service se montre d'une prévenance rare, même si le charme de l'accent danois ne simplifie pas toujours la communication. Et la formule séduit.
Un menu unique de sept plats. On peut y ajouter trois plats supplémentaires et les accompagner de vins sélectionnés par un sommelier enthousiaste et volubile qui ose des associations et des choix aussi judicieux que surprenants.
Puis les amuse-bouche décoiffent: ce pain carboisé et réduit en sable, par exemple. On chemine dans une nature gourmande qui joue admirablement sur les textures et les couleurs, sur les saveurs douces, amères et acidulées. Chaque assiette est un paysage composite à l'intitulé évocateur et complexe.
Complexe au point que l'on s'y perd, d'ailleurs. Malgré le menu danois-anglais posé sur la table, on s'aventure dans l'inconnu. Et comme on ne sait pas quand va surgir l'un des trois plats pris en supplément, il faut se montrer attentif. Mais le mousseux danois (une méthode champenoise qui mérite une mention), les vins et la bière qui se succèdent à un rythme soutenu et en quantités adaptées aux habitudes nordiques (oui, c'est un peu un cliché, mais...) finissent pas brouiller un peu cette promenade parmi les lichens et les terres meubles, les baies et les fleurs sèches.
L'esprit brouillé, les papilles en effervescence, on joue à reconnaître les ingrédients, parfois nombreux. Incroyable ce flétan (helleflynder, dans le texte), se dit-on. Mais lorsqu'au plat suivant on annonce justement le...flétan, on se dit qu'on s'est égaré. J'ai beau passer ma vie au restaursant, je me suis lamentablement planté! La honte.
Après avoir terminé l'expérience, être sortit titubant dans le froid galcial de la nuit danoise, je me suis quand même dit qu'après tout, à ridicule, ridicule et demi. Si l'on sert des plats complexes au point de ne pas être identifiables, c'est peut-être aussi une forme d'égarement. Mais fort heureusement pour l'excellent Ronny Emborg et pour moi, au Danemark non plus, le ridicule ne tue pas.
L'addition en revanche peut faire mal.
Après ses déclarations sur les dégâts occasionnés à la pelouse du Champ de Mars par la manifestation contre le « mariage » pour (tan)tous(es), et sa demande d’une indemnisation, le maire de Paris a reçu des milliers de chèques de 10 centimes d’euro en moyenne.
Delanoë réclamait 100.000 euros au collectif de la Manif pour tous, le voici aujourd’hui submergé de chèques :
« J’ai reçu un certain nombre de milliers de chèques de 10 centimes d’euros, ce qui fait à peu près 3000 euros en tout, a indiqué Bertrand Delanoë lundi matin, sur France Bleu.
Je ne sais même pas comment je vais faire parce qu’il faut, selon la loi, que je leur envoie un récépissé, ça va me coûter plus cher en timbres que ce qu’ils ont envoyé. »
La mairie de Paris a reçu en tout 9000 courriers.
Lors de précédents événements sur le Champ-de-Mars, qui avaient causé «beaucoup plus de dégradations», se souvient Bernard Loing, président de l’Association des amis du Champ-de-Mars, la Mairie de Paris ne s’était pas montrée si tatillonne.
La facture de 73.640 euros adressée à SOS Racisme après le concert de l’association, le 11 juillet 2011, s’était, elle, volatilisée.
Avant que le Canard Enchaîné ne la retrouve, impayée.
FRANCE REVOLUTION
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Publié | 00:30
L'Eclair d'Usain Bolt (OLIVIER MORIN / AFP)
Usain Bolt a prouvé dimanche à Londres qu'il était toujours l'homme le plus rapide de la planète, au grand dam de tous ses poursuivants, en conservant sa couronne de champion olympique avec un sprint foudroyant couru en 9"63. Bien entendu, le Jamaïcain est "heureux" de sa course et de sa victoire.
"Je suis heureux. Quand j'ai disputé ma première course ce matin, je me suis dit "OK, je peux le faire". Je dois avouer que j'étais un peu inquiet au départ (des séries). Je ne voulais pas faire un nouveau faux-départ (en référence à son faux-départ en finale du 100 m des Mondiaux-2011 à Daegu, NDLR). Je suis un peu resté dans les blocks, ce n'est certainement pas le meilleur départ de ma carrière. Mon coach m'a dit avant la course: "ne te préoccupe pas du départ car là où tu es le meilleur, c'est sur la fin". Les gens peuvent dire ce qu'ils veulent, quand les grands championnats sont là, je réponds présent".