Publié à 17:37 par dessinsagogo55
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Voir , entendre ,
toucher ,
sont des miracles
et chaque partie
et chaque particule
de moi-même
est un miracle . . .
" Walt Whitman "
Le socle, avant d'accueillir Miss Liberty.
La réalisation de l'immense socle de la statue avait été confiée par Bartholdi aux Américains, alors que les Français devaient se charger de la construction de la statue puis de son assemblage. La collecte des fonds nécessaires à la réalisation de l'ouvrage fut placée sous la responsabilité du procureur général, William M. Evarts. Mais comme elle avançait très lentement, Joseph Pulitzer accepta de mettre à la disposition des responsables de la construction les premières pages du New York World afin de récolter de l'argent. Le journal fut également utilisé par son créateur pour critiquer les classes aisées, étant donné leur incapacité à trouver les fonds nécessaires, ainsi que les classes moyennes, qui comptaient sur les plus riches pour le faire. Les critiques acerbes du journal eurent alors des effets positifs, en incitant les donneurs privés à se manifester, tout en procurant au journal une publicité supplémentaire, puisque 50 000 nouveaux abonnés furent enregistrés pendant cette période. Les fonds nécessaires à la construction du socle imaginé par l'architecte américain Richard Morris Hunt et réalisé par l'ingénieur Charles Pomeroy Stone, furent toutefois rassemblés en août 1884. La première pierre du piédestal fut posée le 5 août 1884, et le socle, majoritairement composé de pierre de Kersanton provenant des carrières de Loperhet et de Logonna-Daoulas (deux communes de Finistère), fut construit entre le 9 octobre 1883 et le 22 août 1886. Lorsque la dernière pierre de l'édifice fut posée, les maçons prirent plusieurs pièces d'argent dans leur poche, et les jetèrent dans le mortier. Les participants à la cérémonie déposèrent leurs cartes de visite, des médailles et des journaux dans un coffret de bronze, déposé dans le socle. Au cœur du bloc qui compose le socle, deux séries de poutres rattachent directement la base à la structure interne imaginée par Gustave Eiffel de façon que la statue ne fasse qu'un avec son piédestal. En outre, la pierre de parement du socle de la statue de la Liberté provient des carrières d'un petit village de France, Euville dans la Meuse, réputé pour la blancheur de sa pierre, dite « d'Euville » et pour ses qualités de faible érosion à l'eau de mer.
Stenay est la capitale de la dragée.
Bar-le-Duc est spécialisée dans les confitures, notamment la confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie.
Stenay possède un important musée de la bière.
Commercy est connue pour ses madeleines.
À Saint-Mihiel, on trouve les Rochers et les Croquets.
Les côtes de Meuse, où sont cultivées les mirabelles de Lorraine, produisent de l'eau-de-vie de mirabelle et le vin gris côtes-de-meuse.
A Void-Vacon, la spécialité est la gastronomie de terroir notamment la perléquoi.
Nicolas Lebel, né le 18 août 1838 à Saint-Mihiel (Meuse) et mort le 6 mai 1891 à Vitré (Ille-et-Vilaine), est un officier français, qui a contribué à la création du fusil de l'armée française qui porte son nom : le fusil Lebel.
Intéressé par la carrière militaire, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr en 1855. En 1857, il intègre le 58e régiment d'infanterie de ligne comme sous-lieutenant. Durant la guerre franco-prussienne de 1870, alors capitaine et commandant de compagnie, il combat avec courage mais, le 1er septembre, il subit le sort de toute l'armée de Sedan et part en captivité en Allemagne.
Libéré après le traité de Francfort, il retrouve un commandement à Tours, au 66e régiment d'infanterie de ligne, durant les années de réorganisation de l'armée française qui fait suite à la défaite. Nommé chef de bataillon en 1876, Lebel devient chef de l'école normale de tir et se passionne pour l'armement d'infanterie. Ses compétences sont vite reconnues et en 1883, le ministre de la Guerre (le général Jean Thibaudin) le nomme membre d'une commission des armes à répétition présidée par le général Tramond. Elle a pour objectif d'élaborer un nouveau fusil d'infanterie qui doit remplacer le fusil Gras. Nicolas Lebel est chargé de mettre au point la balle destinée à ce futur fusil d'infanterie. Cette balle doit, avant tout, fonctionner avec la nouvelle poudre sans fumée du chimiste français Paul Vieille qui assure des vitesses initiales très élevées. Ces dernières font fondre le plomb nu des balles conventionnelles de l'époque. Le Lt Col Lebel dessine alors une balle de 8mm qui est chemisée en maillechort et fonctionne parfaitement. Elle sera la première balle adoptée pour le futur fusil Mle 1886 : la balle "M" .
Finalement, la Commission finit par adopter les propositions des colonels Gras, Bonnet et Lebel concernant le nouveau fusil d'infanterie. Il sera donc officiellement adopté en tant que Fusil Mle 1886 puis, un peu plus tard, en tant que Fusil Mle 1886M93. Dans le langage courant la nouvelle arme fut vite baptisée fusil Lebel par ses utilisateurs.
Lebel est ensuite nommé colonel en 1887 et il devient ainsi chef de corps du 120e régiment de ligne, alors en garnison à Sedan. Mais à cause de problèmes cardiaques, il obtient sa retraite en 1890, se reconvertissant dans le civil comme inspecteur du Trésor à Vitré. Il décède l'année suivante, le 6 mai 1891.
Il a également été décoré comme commandeur dans l'Ordre national de la Légion d'honneur.
Groseille : Le « Caviar de Bar »
La confiture de groseilles épépinée à la plume d'oie, tradition unique au monde depuis 1344, est surnommée le “caviar de Bar".
Hier comme aujourd'hui, le travail de l'épépineuse demande un long apprentissage et beaucoup de patience : prenant un à un les grains de groseilles entre le pouce et l'index, elle perce légèrement la peau du fruit avec une plume d'oie taillée en biseau et extrait les pépins sans endommager la pulpe !
Aucune machine ne peut se substituer à ce travail et trois heures de labeur sont nécessaires pour obtenir un kilogramme de groseilles épépinées. Versées ensuite délicatement dans un sirop de sucre légèrement bouillonnant, elles conservent leur saveur et leur couleur. Après refroidissement, la confiture est présentée dans des verrines à facettes.
La ducale et tastépépineuse sénéchalerie des gousteurs de groseilles est une association loi 1901 inscrite le 30 octobre 1974 à la préfecture de la Meuse sous le n° 1267,elle a pour but le développement et la prospérité de la ville de Bar-le-Duc st de faire connaître et apprécier au delà des rives d'Ornain la véritable confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie de Bar-le-Duc, de conserver et de protéger la qualité de cette spécialité locale et unique au monde.
La confrérie se compose de membres d'honneur, et de grappilleurs, elle est dirigée par le grand conseil élu tous les 3 ans par tiers, elle s'interdit toutes discussions ou manifestations poli
Noémie Lenoir, née le 19 septembre 1979 à Gif-sur-Yvette, est une top-model et
actrice française.
Noémie Lenoir au festival de Cannes 2005
Elle est née d'une mère malgache et réunionnaise, un père métropolitain. Elle débute ses études secondaires au collège Juliette Adam de Gif-sur-Yvette, qu'elle poursuit au lycée Henri Poincaré de Palaiseau.
Noémie est découverte par un ancien mannequin en septembre 1998, alors qu'elle achète des timbres dans un bureau de poste près de chez elle. Elle abandonne une vie très paisible à Gif-sur-Yvette pour aller frapper à la porte de l'agence Ford de New York, persuadée qu'elle ferait plus vite carrière aux États-Unis, à condition de bien se débrouiller en langue anglaise.
Ses yeux verts et sa beauté sauvage enchantent les directeurs de casting. C'est immédiatement le succès : les grands photographes (comme Mario Testino et Peter Lindbergh) se l'arrachent et la jeune femme pose en couverture des éditions françaises ou américaines des magazines Vogue, Elle, Marie Claire et même du célèbre Sports Illustrated.
Elle apparaît également dans les campagnes publicitaires de Ralph Lauren, Gap, Victoria's Secret, Gucci et bien d'autres. En 2000, elle signe un contrat avec L'Oréal et monte les marches du festival de Cannes 2001, en compagnie de Laetitia Casta et d'Andie MacDowell.
Elle était le visage de Marks & Spencer durant quatre ans. Elle a aussi participé au défilé de la marque de lingerie Victoria's Secret en 2007 et en 2008. Elle est représentée dans le monde entier par Elite Model Management. Son contrat avec Marks & Spencer est résilié à Noël 2009.
Après la fin de son histoire avec Stomy Bugsy, Noémie Lenoir rencontre, au printemps 2004, le footballeur français Claude Makelele, ancien joueur du Paris Saint-Germain. Le couple a eu son premier enfant, prénommé Kelyan, le 24 janvier 2005. Ils sont séparés depuis 2008. Elle a eu une brève histoire avec le producteur américain Russell Simmons puis l'héritier franco-suisse Carl Hirschmann en 2009. En mai 2010, elle fait une tentative de suicide.