Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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Barbara Kent est une actrice canadienne née le 16 décembre 1907 et morte le 13 octobre 2011. Elle était l'une des dernières stars encore en vie au xxie siècle de l'époque du cinéma muet.
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Jennifer Garner [ˈd͡ʒɛnɪfɚ ˈgain ».">ɡɑːɹnɚ] est une actrice américaine, née le 17 avril 1972 à Houston (Texas).
Elle a longtemps été associée au personnage de Sydney Bristow, l’agent secret de la CIA, qu’elle interprétait dans la série Alias, de 2001 à 2006.
Au cinéma, elle se distingue d'abord dans des rôles d'héroïne d'action — Daredevil (2003), Elektra (2005), Le Royaume (2007) —, avant d'enchaîner surtout les comédies — 30 ans sinon rien (2004), Juno (2007), Hanté par ses ex (2009), ou encore Valentine’s Day (2010).
Mais depuis le début des années 2010, elle privilégie surtout un cinéma plus indépendant : La Famille Pickler (2011), Dallas Buyers Club (2013), Men, Women and Children (2014), Danny Collins (2015), Wakefield (2016), The Tribes of Palos Verdes (2017), Love, Simon (2018).
Elle alterne aussi avec des films familiaux : La Drôle de vie de Timothy Green (2012), Alexandre et sa journée épouvantablement terrible et affreuse (2014) et Ma vie de chat (2016).
En 2018, elle revient avec deux projets de premier plan : les premiers rôles du film d'action Peppermint, de Pierre Morel, et de la série télévisée Camping, conçue par les créatrices de Girls. Cette année-là, elle est honorée par la Chambre de commerce de Los Angeles, en recevant sa propre étoile sur le célèbre Hollywood Walk of Fame.
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Gérard Philip, dit Gérard Philipe, est un acteur français, né le 4 décembre 1922 à Cannes et mort le 25 novembre 1959 à Paris.
Actif au théâtre comme au cinéma, il fut en France, jusqu'à sa mort prématurée, l'une des principales vedettes de l'après-guerre. Le public garde de lui une image juvénile et romantique, qui en fait l'un des emblèmes du cinéma français.
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Gwen Wong (née le 12 août 1942) est une mannequin et actrice philippino-américaine . Elle est eurasienne et est un mélange de chinois, d'écossais, d'espagnol, d'australien, de philippin et d'irlandais. Elle était la Playmate du mois du magazine Playboy pour son numéro d'avril 1967. Sa page centrale a été photographiée par Mario Casilli et Gene Trindl .
Wong a travaillé comme lapin au Playboy Club de Los Angeles, puis est devenu un artiste spécialisé dans le moulage corporel et les portraits sculpturaux.
Elle est apparue dans un film, The Witchmaker (1969), jouant le rôle de "Fong Qual". Son générique de film, Gwen Lipscomb, était le résultat de son premier mariage.
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Le jeu des osselets est un jeu d'adresse ancêtre des jeux de dés qui remonte à l'Antiquité.
Historique
Les osselets se rencontrent dans tout le bassin méditerranéen. Une peinture à l'encaustique du peintre Alexandre l'Athénien appelée Les Joueuses d'osselets a été découverte à Herculanum. Le jeu se joue avec de petits os qui ont une forme particulière (ils composent le tarse ou l'astragale du très jeune mouton ou d'autres animaux), leur permettant de se glisser à la racine des doigts (les osselets artificiels du commerce sont beaucoup plus petits que les osselets naturels). C'est un jeu très populaire en Grèce antique. Socrate prend les osselets (talus en latin, et astragalos en grec) comme exemple lorsqu'il raisonne avec Théétète sur l'idée de quantité (Théétète, 154c).
Ils sont à l'origine des dés sous le nom d’astragaloi, comportant quatre faces planes, deux larges et deux étroites. Dès l'antiquité, le jeu se jouait également comme jeu d'adresse de lancement, le penthelita.
À l'époque moderne, on ne joue plus guère avec de vrais osselets, mais avec des copies en métal ou en plastique, plus petits, et donc plus faciles à manipuler pour les enfants mais dont le poids — trop léger pour le plastique — et la surface trop lisse empêchent d'accomplir les figures compliquées.
Description du jeu
Dans l'Antiquité, lorsque les osselets étaient utilisés en tant que dés, chacune des quatre faces portaient les valeurs suivantes :
les faces larges :
la face convexe : IV (4)
la face concave : III (3)
les faces étroites :
la face plane : I (1)
la face sinueuse : VI (6)
Un jeu d'osselets comporte habituellement cinq osselets, dont un peut être identifié, par exemple par une couleur différente. On appelle cet osselet « le Père ».
Une des règles de ce jeu consiste à tester son adresse et sa rapidité en :
lançant en l'air un osselet (en général le Père ) ;
ramassant un osselet parmi ceux posés par terre ;
et en rattrapant le Père avant qu'il touche le sol.
Au premier tour, on ramasse donc quatre fois un osselet. Au deuxième tour, il faut ramasser deux fois deux osselets à la fois, puis trois osselets et un, et enfin les quatre.
À l'issue de ces quatre tours de jeu, on fait une « retournette » : on lance tous les osselets en l'air et on tente d'en rattraper le plus possible sur le dos de la main. On devra ensuite les relancer et les rattraper en pratiquant ce qu'on appelle « le coup de cent » : d'abord, on positionne les osselets sur le dos de la main en bougeant légèrement les doigts, sans bien sûr s'aider de l'autre main. Si un osselet tombe pendant l'opération, c'est perdu et les osselets passent au joueur suivant. Le but de ce positionnement est de placer les osselets en deux groupes — si l'on en a rattrapé quatre sur cinq, par exemple un groupe de trois et un tout seul —, puis on les relance en l'air et on les rattrape dans la paume de la main, alternativement par un mouvement de supination, suivi d'un autre de pronation : on prend au moins un osselet au premier passage (supination) et tous les autres au second (pronation), en opérant entre les deux un pivotement rapide de la main au niveau du poignet.
Ce « coup de cent » apporte, comme son nom l'indique, 100 points par osselet, donc par exemple 300 points si l'on réussit cette retournette avec trois osselets : deux pris en supination et le dernier en pronation, ou l'inverse au choix du joueur.
Après une retournette réussie, le joueur reprend comme expliqué ci-dessus et « fait les un », puis « fait les deux », et ainsi de suite jusqu'à la retournette suivante.
À chaque fois que l'on atteint ou dépasse un millier de points se place une variante plus difficile qu'on appelle « les omelettes ». Cela consiste à « faire les un », puis les deux, les trois, etc. comme dans le jeu normal, sauf qu'au lieu de poser à l'écart les osselets capturés, on doit tous les garder dans la main. Ainsi, quand on « fait les deux » normaux, on jette le père en l'air, on ramasse deux osselets, on rattrape le père lorsqu'il redescend. Puis, on pose à l'écart les deux osselets que l'on vient de capturer et on répète le mouvement pour les deux derniers. Cela n'est déjà pas forcément si facile en fonction de la distance séparant les osselets, obligeant à réaliser parfois des « balayettes » sur plusieurs dizaines de centimètres. Pendant les omelettes, l'exercice est rendu plus complexe par le fait qu'au lieu de reposer à l'écart les deux osselets capturés, il faut les garder en main : dans le « deux d'omelettes », donc, ce n'est pas que le père qu'on lance pour aller capturer les deux derniers osselets pendant qu'il est en l'air, mais ce sont trois osselets qu'il faut lancer et rattraper ensemble lorsqu'ils retomberont.
Les omelettes réussies, on opère une nouvelle retournette, puis l'on reprend le jeu normal.
Une partie se déroule normalement en 5 000 ou 10 000 points, et peut comporter d'autres figures complexes en fin de jeu, notamment la « tête de mort », qui consiste à insérer les quatre osselets à la racine des doigts, puis à les ramener dans la paume à l'aide du pouce, tout en gardant le père à plat sur le dos de la main sans le faire choir.
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Le microscope optique ou microscope photonique est un instrument d'optique muni d'un objectif et d'un oculaire qui permet de grossir l'image d'un objet de petites dimensions (ce qui caractérise sa puissance optique) et de séparer les détails de cette image (son pouvoir de résolution) afin qu'il soit observable par l'œil humain. Il est utilisé en biologie, pour observer les cellules, les tissus, en pétrographie pour reconnaître les roches, en métallurgie et en métallographie pour examiner la structure d'un métal ou d'un alliage.
Il ne faut pas le confondre avec la loupe binoculaire qui n'exige pas des échantillons plats de faible épaisseur, ou réfléchissants, et permet d'observer des pièces naturelles sans préparation en grossissant l'image d'un facteur peu élevé, mais en gardant une vision stéréoscopique propice à l'examen macroscopique révélateur de grains, de criques, de fissures, etc.
Actuellement, les microscopes optiques les plus puissants possèdent un grossissement de ×2500.
Du fait des limites du spectre de la lumière visible, les microscopes optiques, sous réserve de grossissement suffisant, permettent d'observer des cellules (mais pas toutes les unités et sous-unités cellulaires), des champignons, des protozoaires, des bactéries mais ne permettent pas d'observer de virus.
Histoire
Il est difficile de dire qui a inventé le microscope composé. On dit souvent que l'opticien hollandais Hans Janssen et son fils Zacharias Janssen fabriquèrent le premier microscope en 1595, mais ceci provient d'une déclaration de Zacharias Janssen lui-même au milieu du xviie siècle. Zacharias Janssen est né vers 1570.
Un autre favori au titre d'inventeur du microscope est Galilée. Il a développé un occhiolino, un microscope composé d'une lentille convexe et d'une autre concave en 1609. Athanasius Kircher décrit son microscope en 16461 qu'il utilise pour l'observation du sang.
Un dessin par Francesco Stelluti de trois abeilles figure sur le sceau du pape Urbain VIII (1623-1644) et passe pour la première image de microscopie publiée3. Christian Huygens, un autre Hollandais, a développé à la fin du xviie siècle un oculaire simple à deux lentilles corrigé des aberrations chromatiques, ce qui fut un grand pas en avant dans le développement du microscope. L'oculaire de Huygens est toujours fabriqué aujourd'hui, mais souffre d'un champ assez réduit et d'autres problèmes mineurs. On attribue en général à Antoni van Leeuwenhoek (1632-1723) le fait d'avoir attiré l'attention des biologistes sur les utilisations du microscope, même si des loupes ordinaires étaient déjà fabriquées et utilisées au xvie siècle. Les microscopes artisanaux de Van Leeuwenhoek étaient des instruments simples et de taille réduite comprenant une lentille unique mais forte. En comparaison, les systèmes à plusieurs lentilles restaient difficiles à mettre au point et il fallut pas moins de 150 ans de développement des optiques avant que le microscope composé puisse livrer une qualité d'image équivalente à celle des microscopes simples de Van Leeuwenhoek. Néanmoins, et malgré de nombreuses revendications, on ne peut pas considérer Antoni Van Leeuwenhoek comme l'inventeur du microscope composé. Robert Hooke est aussi l'un des premiers à en concevoir.
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Léonid Ilitch Brejnev (prononcé, en français, /le.o.nid i.litʃ bʁɛʒ.nɛf/ en russe : Леони́д Ильи́ч Бре́жнев, /lʲɪɐˈnʲit ɪˈlʲjitɕ ˈbrʲeʐnʲɪf/ ; en ukrainien : Леоні́д Іллі́ч Бре́жнєв), né le 6 décembre 1906 (19 décembre dans le calendrier grégorien) à Kamenskoïe et mort le 10 novembre 1982 à Moscou, est un homme d'État soviétique d'origine ukrainienne, secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique, et donc principal dirigeant de l'URSS de 1964 à 1982. Il fut en outre président du Præsidium du Soviet suprême (fonction honorifique de chef de l’État) à deux reprises, de 1960 à 1964 et de 1977 à 1982.
Son autorité, d'abord partagée, s'affirma progressivement à la tête du Parti et de l'État, atteignant son apogée durant les années 1970, avant que la vieillesse et la maladie ne limitent progressivement son rôle politique au profit des membres de la nomenklatura.
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Maria Ivanivna Dolina (en ukrainien : Марія Іванівна Доліна ; en russe : Мария Ивановна Долина, Maria Ivanovna Dolina), est une aviatrice soviétique, née le 18 décembre 1922 et décédée le 3 mars 2010. Pilote pendant la Seconde Guerre mondiale, elle fut distinguée par le titre de Héros de l'Union soviétique.
Carrière
Maria Dolina est née le 18 décembre 1922 à Charovka, dans l'actuelle oblast d'Omsk. Elle est contrainte d’abandonner l’école à l’adolescence pour travailler à l’usine, son père ne pouvant plus s’occuper de la ferme familiale à la suite d’un accident. Elle parvient toutefois rejoindre le club de planeur local où son talent est remarqué par le responsable. Celui-ci s’emploie alors à modifier la date de naissance de Dolina afin de lui donner deux ans de plus et lui permettre ainsi de rejoindre l’école de pilotage de Kherson, qu’elle était sinon trop jeune pour intégrer. Elle quitte l’école avec le grade de lieutenant et travaille dans l’aviation commerciale avant la guerre.
Au premier jour de la guerre, elle participe à l’évacuation des avions des aérodromes proches de la ligne de front, tentant d’en sauver le plus possible de la capture. Elle est ensuite assignée au 587e régiment de bombardiers en piqué, qui deviendra ultérieurement le 125e régiment de la Garde “Marina M. Raskova” Borisov, dans lequel elle exerce les fonctions d’adjointe puis commandant par intérim d'un escadron.
Au cours de la guerre, Dolina a participé a soixante-douze missions, largué 72 000 kg de bombes et abattu trois appareils, ce qui est remarquable étant donné l’extrême dangerosité des attaques au sol réalisées de jour sur Pe-2. Pour ces réalisations, elle reçoit le 18 août 1945 le titre d’héroïne de l’Union soviétique.
Après la guerre, elle continue à servir dans l'armée de l'air, elle est commandant adjoint du régiment d'aviation bombardier jusqu'en 1950. Elle vit dans la ville de Šiauliai, puis à Riga, où elle est diplômée de l'école du parti. Elle travaille au comité du parti de la ville de Riga et au Comité central du Parti communiste de la RSS de Lettonie jusqu'en 1975. Membre du conseil administratif de la société de l'amitié URSS - France, du Comité de la paix, depuis 1975 - membre honoraire du régiment de chasse 2/30 Normandie-Niemen.
Depuis 1983, elle vit à Kiev. Citoyenne d'honneur de Kiev.
Elle s’illustre le 9 mai 1990 lors du Congrès des vétérans de guerre, en prenant la défense des vétéranes, dont beaucoup n’avait presque rien pour survivre. Lors d’un discours enflammé, elle interpella Mikhaïl Gorbatchev en lui demandant d’augmenter les pensions, ce qui fut fait le lendemain. Elle est par ailleurs promue au rang de major le 9 mai 1995.
Maria Dolina est décédée le 3 mars 2010 à Kiev, en Ukraine. Elle est enterrée dans le cimetière Baïkov, à Kiev.
Décorations
Héros de l'Union soviétique le 18 août 1945 (médaille no 7926)
Ordre de Lénine
Deux fois l'ordre du Drapeau rouge
Ordre de la Guerre patriotique
Médaille du Courage
Médaille pour la victoire sur l'Allemagne dans la Grande Guerre patriotique de 1941-1945
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