Date de création : 09.04.2012
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26.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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Par Anonyme, le 23.09.2024
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Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Genèse
Black Denim Trousers and Motorcycle Boots, écrite par le duo d'auteurs-compositeurs américains Jerry Leiber et Mike Stoller, est enregistrée en 1955 par le groupe américain The Cheers (en) avec l'orchestre de Lex Baxter. Elle se classe à la 6e place du palmarès des singles les plus vendus du magazine Billboard à l'automne 1955, devenant ainsi le premier Top 10 des succès pop de Leiber et Stoller. La chanson est le deuxième grand succès des Cheers, après Bazoom (Need Your Lovin'). C'est aussi la première chanson sur les motos et les « nouveaux » motards à figurer dans le hit-parades, ce qui lui vaut la réputation d'être la première chanson de bikers. Sa popularité coïncide avec la mort de l'idole des jeunes, James Dean, dans un accident de voiture la semaine suivant la sortie du disque.
Le texte, adapté en français par Jean Dréjac, se compose de deux couplets et trois refrains (avec une variante pour le dernier). C'est l'histoire d'un terrible motard qui, après avoir délaissé sa petite amie, trouve la mort en percutant une locomotive.
« C'est le film L'Équipée sauvage avec Brando qui m'a inspiré, ainsi que tous ces jeunes en blouson de cuir qui apparaissaient dans les banlieues », confie Jean Dréjac en 1996. Les paroles originales sont pratiquement les mêmes que celles en français :
Edith Piaf enregistre L'Homme à la moto dans les studios Capitol à New-York en décembre 1955, accompagné par un orchestre et des chœurs sous la direction de Robert Chauvigny. Elle est "labellisée" par Pathé-Marconi le 3 janvier 1956, puis sortie sur disque 45-tours simple par Columbia France, couplée avec la chanson Avant Nous, et sur 45-tours 4 titres avec en supplément Soudain une vallée et Les Amants d'un jour. Elle est également enregistrée en public à l'Olympia en 1956 et en 1958, ainsi qu'au Carnegie Hall en 1956 et en 1957, et à Québec en 1956.
Reprises
Vaughn Monroe fait une reprise de Black Denim Trousers and Motorcycle Boots en 1955, classée 38e du Billboard Hot 100 ; la chanson fait également une apparition dans le top 10 du classement Cash Box (qui comptabilise les chansons plutôt que les disques, et compte donc toutes les versions différentes d'une chanson comme une seule).
Cette chanson est également enregistrée par le groupe canadien The Diamonds pour le label Coral Records ; les Diamonds deviendront célèbres plus tard avec Little Darlin'. En 1994, Chris Spedding enregistre une nouvelle version. Elle est également enregistrée par Joan Morris et William Bolcom qui en font un incontournable de leur répertoire de concert.
« L'Homme à la moto nous emmène sur un terrain qui nous appartient en propre, et qu'aucun David Bowie, que nulle Björk ne pourra jamais venir piétiner. Le rock français. Tout simplement. En ce qu'il a de plus profond. Éternel. Une fascination du noir et du drame. Le goût rimbaldien pour les bad boys. »
— Patrick Eudeline, 2007.
L'Homme à la moto devient un tube repris par de nombreux artistes :
Nicoletta pour son premier 45 tours en 1966 : Un "scopitone" (clip) fut réalisé en 1967, avec 3 figurants sur leurs Harley-Davidson. "L'homme" de la chanson y est joué par Maurice Combalbert, concessionnaire HD Parisien, qui fut aussi le mécanicien de Johnny Hallyday.
Vince Taylor en mai 1974,
Catherine Ribeiro en 1977,
Renaud parodie la chanson avec Les Aventures de Gérard Lambert en 1980,
Djemila en 1981,
Michèle Torr en 1983,
Bernard Lavilliers en janvier 1988 tourne un clip où il chevauche une Triumph T6, casqué d'un Cromwell (casque bol), lunettes Climax... Marco Papazian l'accompagne à la guitare électrique,
Norma Loy en 1988, dans le style rock gothique,
Juliette en 1991,
Fanny la même année : elle chante dans l'émission "sacrée soirée" de Jean-Pierre Foucault, le Modèle:Ddate-,
Mireille Mathieu sur son album Mireille Mathieu chante Piaf de 1993 (rééditions 2003 et 2012),
Michel Hermon accompagné de l'accordéoniste Gérard Barreaux, sur son album Michel Hermon chante Piaf en 1995,
Florent Pagny en 2003,
Brigitte Fontaine la même année,
Jeanne Cherhal en concert à l'Olympia en 2007,
Wynton Marsalis et Richard Galliano dans une version instrumentale sur leur album From Billie Holiday to Edith Piaf: Live in Marciac en 2009,
Christine Tassan et les Imposteures en 2010,
Beth Ditto en octobre 2013 sur France 2 dans l'émission Hymnes à la môme et en 2018 lors de son concert aux Escales, à cappella,
Vladimir Korneev en 2014,
Kids United en 2015,
Jack's Sound en 2017, groupe de rock alternatif Haut-Savoyard : clip tourné au Château Rouge à Annemasse,
Chimène Badi sur son album Chimène chante Piaf en 2023.
Paroles
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Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Musique : Sommaire | |||||||||||||||||||||||||||
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Édith Piaf | |||||||||||||||||||||||||||
Édith Piaf : À l'automne 1935 | |||||||||||||||||||||||||||
Édith Piaf : De 1946 à 1948 | |||||||||||||||||||||||||||
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Édith Gassion, dite Édith Piaf, est une chanteuse, parolière, compositrice et actrice française, née le 19 décembre 1915 à Paris et morte le 10 octobre 1963 à Grasse.
Surnommée à ses débuts « La Môme Piaf », elle est à l'origine de plusieurs succès devenus des classiques du répertoire, comme La Vie en rose, Non, je ne regrette rien, Hymne à l'amour, Mon légionnaire, La Foule, Milord, Mon Dieu ou encore L'Accordéoniste.
Chanteuse à l'interprétation et à la voix saisissantes, elle a inspiré de nombreux compositeurs et a été le mentor de jeunes artistes tels qu'Yves Montand, Charles Aznavour, Les Compagnons de la chanson, Georges Moustaki, Charles Dumont... Elle acquiert une renommée internationale, mais sa fin de carrière est rendue difficile par de graves problèmes de santé ; elle meurt à l’âge de 47 ans.
La légende issue de l'imagination d'un journaliste, et entretenue par Piaf, la fait naître le 19 décembre 1915 à Paris, au 72, rue de Belleville, dans le 20e arrondissement, d'après la plaque apposée sur la maison sise à cette adresse — certaines sources précisent même qu'elle serait née « sur les marches » de la porte d'entrée de l'immeuble, dans la pèlerine d'un agent de police qui aurait recueilli le bébé au sortir du ventre de sa mère. Toutefois, selon son acte de naissance à l'état civil de Paris, Édith Giovanna Gassion est née au 4, rue de la Chine, adresse de l'hôpital Tenon, qui est effectivement l'un des établissements de santé les plus proches de la rue de Belleville.
Née dans la misère, Édith Piaf est une enfant de la balle dont les ascendants appartenaient au monde du spectacle depuis deux générations.
Louis Gassion, le père d'Édith Piaf, rejoint le 89e régiment d'infanterie, basé à la caserne Gémeau à Sens (Yonne), le 11 août 1914. Il aurait bénéficié d'une permission de trois jours pour se marier, le 4 septembre avec Annetta Maillard. De cette union scellée à l’hôtel de ville de Sens, peu d’informations ont été rendues publiques. L’acte de mariage conservé dans les archives municipales indique que la cérémonie s’est déroulée à 10 h 30, le 4 septembre, alors que les combats de la Première Guerre mondiale font rage dans l'Est de la France et que les Allemands menacent Paris. L’officier d’état-civil de permanence, ce jour-là, est Alphonse Dupêchez, adjoint au sénateur-maire de Sens, Lucien Cornet, et fils de Sylvain Dupêchez, illustre maire de la cité, de 1872 à 1879.
La présence des parents d’Édith Piaf à Sens s’explique par l’incorporation de son père, le 11 août 1914 au sein du 89e régiment d’infanterie. Ce dernier est cantonné, à l’époque, dans la caserne Gémeau, site aujourd’hui occupé par l’École nationale de police. Dans son ouvrage Piaf, la vérité, le biographe Emmanuel Bonini confirme que la mobilisation du « seconde classe » Gassion est l’unique attache du couple avec Sens : « Ils s’y sont mariés au cours d’une permission de trois jours, alors qu’ils étaient domiciliés à Paris, rue du Château-des-Rentiers, dans le XIIIe arrondissement. » L’auteur ajoute que « les quatre témoins du mariage — un typographe de Vendôme, un ciseleur parisien, un cultivateur de Wissous et un employé de commerce de Savigny-sur-Orge — étaient certainement tous mobilisés à Sens, avant de rejoindre le front ».
Louis Alphonse Gassion, né à Falaise, dans le Calvados, le 10 mai 1881 et mort à Paris le 3 mars 1944, est dans le civil un artiste de cirque (contorsionniste et antipodiste). Il est le fils de Victor Alphonse Gassion, un Normand de Falaise, écuyer de cirque, et de Léontine Louise Descamps, dite « Maman Tine », patronne d'une maison close à Bernay, en Normandie.
La mère d'Édith, Annetta Maillard, née à Livourne en Italie le 4 août 1895 et morte le 6 février 1945 à Paris, est une chanteuse de rue connue dont le nom d'artiste est Line Marsa, d'origine kabyle (Berbère de Kabylie, Algérie ; Kabyle d'après Arletty, qui la connut bien et affirma : « Elle partageait ses repas avec Line Marsa, la mère d’Édith Piaf, Anetta Maillard, de son vrai nom, était la fille d'un directeur de cirque et d'Aicha Ben Mohamed, une Kabyle algérienne, copine de La Goulue », et aussi d'après Monique Lange qui écrivit : « Elle venait de très loin. Elle venait de Kabylie. La grand-mère d’Édith était Kabyle et, sous le nom d’Aïcha, faisait dans des cirques ambulants un numéro de puces savantes ». Celle-ci est aussi mentionnée par Claudine Boulanger, auteur d'une biographie intitulée Édith Piaf.
Albert Bensoussan quant à lui conteste l'origine kabyle d'Édith Piaf, déclarant : « Le bébé sera donc bercé, peut-être, par des chants berbères du Maroc, encore que, là aussi, le récit flirte avec la légende. Car on a souvent présenté cette femme comme une Kabyle, ce qu'elle n'était certainement pas, la Kabylie se trouvant en Algérie », estimant que sa famille maternelle renvoie plus sûrement aux berbères marocains via son grand-père, Saïd Ben Mohamed, né à Mogador.
Elle est la fille d'Auguste Eugène Maillard (1866-1912) et d'Emma Saïd Ben Mohamed, une artiste de cirque née à Soissons le 10 décembre 1876, morte à Paris en 1930, fille de Said Ben Mohammed, un acrobate de cirque marocain, né à Mogador en 1827, mort en 1890 à Montluçon, et de Marguerite Bracco, d'origine italienne, née à Murazzano en 1830, morte à Paris en 1898. Selon Arletty, sur La Danse mauresque, l'un des panneaux du Décor de la baraque de la Goulue de Toulouse-Lautrec, Emma Saïd pourrait être la danseuse mauresque assise à droite, derrière La Goulue.
Louis Gassion et Annetta Maillard prénomment leur fille Édith en hommage à Edith Cavell, une infirmière anglaise fusillée par les Allemands deux mois plus tôt.
Après Édith, ils ont un second enfant, Herbert Lucien Gassion, né le 31 août 1918 à Marseille et mort le 22 janvier 1997 à Clichy. À propos de sa mère, Herbert a dit : « Une grande artiste, mais qui n'a pas su forcer sa chance… Elle a chanté au Chat noir, au Mikado, au Monocle… », puis part à la dérive « la dérive, le mot est gentil… », et Arletty raconte : « c'était pas la mère qui avait la voix de la fille, c'était la fille qui avait la voix de la mère. »
Sa mère, trop pauvre pour l'élever, la confie très petite à sa grand-mère maternelle, Emma Said Ben Mohammed qui habite rue Rébeval dans le XIXe arrondissement. Sa grand-mère ne se serait pas occupée d'elle, laissant la petite fille dans la saleté, ignorant l'eau et l'hygiène. Ses biberons, selon la légende, se seraient faits au vin rouge. Elle reste 18 mois dans cette pauvre demeure avant que son père en permission de retour du front, ou peut-être sa tante Zéphora, la confie à sa grand-mère paternelle, patronne d'une maison close à Bernay en Normandie. Édith est choyée par les prostituées de la maison, mangeant pour la première fois à sa faim, portant de jolies robes et buvant du lait de Normandie. Très jeune (un âge de 3 à 8 ans est évoqué selon ses biographies), elle est atteinte d'une kératite des deux yeux due vraisemblablement au manque de soins et d'hygiène.
Selon des interviews, des articles dans les revues à grand tirage et des biographies successives, elle perd la vue, le médecin diagnostiquant une double kératite, jamais soignée. Sa grand-mère, ayant appris la guérison d'une gamine atteinte de la même maladie après qu'on avait prié pour elle sur la tombe de sainte Thérèse Martin à Lisieux, décide d'aller avec ses « filles » y demander la guérison de la petite, ou selon d'autres biographies, y emmène sa petite fille. On prend le train, on prie sur la tombe de Thérèse, on ramène de la terre qu'on lui applique en bandeau sur les yeux tous les soirs. Après huit jours environ, Édith est guérie. À la suite de cela, elle conservera toute sa vie une dévotion particulière à la « petite Thérèse », dont elle gardera la médaille autour du cou sa vie durant. Sur sa table de nuit trônait un portrait de la sainte. Il se trouve que Édith et Thérèse Martin sont cousines au 14e degré. À la suite de cet épisode de cette guérison, Édith devient croyante et va régulièrement dans les églises en dehors des offices pendant ses tournées. Elle portait une croix autour du cou et priait avant d'entrer en scène. Édith a commencé à chanter sur la scène du théâtre à Bernay en Normandie. Elle y est revenue en mai 1954, sous un chapiteau, après un spectacle de cirque, accompagnée de son mari Jacques Pills.
En 1922, son père la reprend avec lui, pour vivre la vie d'artiste de petits cirques itinérants, puis la vie d'artiste de rue indépendant et misérable. C'est, à l'image de sa mère, en chantant des airs populaires dans la rue avec son père qu'Édith révèle son talent et sa voix d'exception. Ils séjourneront à plusieurs reprises dans la petite ville de garnison de Mourmelon-le-Grand où se tenait le music-hall « l'Alcazar ». Selon la légende, elle l'accompagne en chantant d'abord La Marseillaise, la seule chanson qu'elle connaisse
En 1930, elle quitte son père et chante en duo dans la rue avec Simone Berteaut, dite Momone, qui deviendra son amie, son alter ego et son « ange maudit ». En 1932, elle rencontre son premier grand amour, Louis Dupont, garçon-livreur âgé de 18 ans. Tous les deux s'installent à Montmartre et ont une fille, Marcelle, née le 11 février 1933. Édith s'essaye à cette époque à des emplois « normaux », bonne à tout faire, apprentie-crémière, mais reprend vite la chanson avec Momone, aussi bien dans la rue que dans les casernes et les bars à prostituées. Louis ne supportant pas qu'Édith chante dans la rue avec sa fille sous le bras ou fasse boire des clients dans des boîtes de Pigalle, il reprend Marcelle avec lui. Deux ans plus tard, l'enfant meurt, sans doute d'une méningite, le 7 juillet 1935. C'est à cette occasion que se situe le seul moment connu — ou avoué — par Édith de prostitution afin de pouvoir payer l'enterrement de sa fille.
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À l'automne 1935, Édith Piaf est découverte au coin de l'avenue Mac-Mahon et de la rue Troyon par Louis Leplée, gérant du cabaret Le Gerny's, sur les Champs-Élysées. À cette époque, Piaf fredonne principalement des chansons du répertoire de Fréhel. C'est Leplée qui devient son mentor et son père adoptif et qui, en l'engageant dans son cabaret, lui choisit comme nom d'artiste « la môme Piaf » (un « piaf », familièrement, est un moineau, et « la môme Moineau » existait déjà) en raison de sa petite taille de 1,47 m héritée de son père et de sa silhouette gracile. Leplée lui fait rencontrer Jacques Bourgeat, philosophe et littéraire qui devient son professeur, son confident voire son confesseur. Elle rencontre également le tout jeune directeur artistique de Radio Cité, Jacques Canetti.
En 1936, Jacques Canetti lui propose de lui faire enregistrer son premier disque, Les Mômes de la cloche, chez Polydor, qui connaît un succès public et critique immédiat. Selon la mythologie, son premier succès a déjà eu lieu dans le cabaret de Leplée qui l'avait engagée initialement une semaine, mais où elle triompha pendant sept mois jusqu'à l'assassinat de Leplée dans son lit. Des petites frappes du milieu de Pigalle, connaissances ou amants de Piaf dont elle donne les noms au cours de sa garde à vue pendant 48 heures, sont évoquées comme les auteurs possibles mais l'affaire est classée faute de preuves. Cet évènement sera à l'origine d'une vindicte médiatique contre la chanteuse qui risque de la renvoyer d'où elle vient : la rue et les petits cabarets de misère33. Du jour au lendemain, elle n'a plus d'engagements, mais le succès ne tarde pas à revenir. Radio Cité, dirigée par Marcel Bleustein et Jacques Canetti, lui ouvre son antenne. Son talent et sa voix hors normes sont remarqués entre autres par le compositeur Raymond Asso, et par Marguerite Monnot, compositrice et pianiste virtuose, sa future et fidèle grande amie, qui l'accompagnera tout au long de sa carrière et composera les musiques de Mon légionnaire, Hymne à l'amour, Milord, Les Amants d'un jour. Elle passe ainsi à Bobino et à L'Européen à la fin du printemps.
Quelques disques et un peu de scène ne peuvent néanmoins nourrir une artiste débutante. À la fin de l'été, elle reprend contact avec Raymond Asso, auquel elle avait refusé Mon légionnaire (créé par celle à qui elle devait tant, Marie Dubas en 1935, titre que Piaf reprend début 1937, avec le Fanion de la légion). Après Leplée, Asso devient son nouveau mentor. Il la prend en main et la fait travailler pour en faire une chanteuse professionnelle de music-hall, à l'instar de ses rivales Renée Lebas et Léo Marjane. À l'automne 1936, elle décroche l'Alhambra. Au printemps 1937, elle est à nouveau à Bobino. Elle continue à enregistrer d'autres disques… Mais, Édith veut plus : l'ABC, le plus prestigieux music-hall parisien
En mars 1937, Édith Piaf entame sa carrière de music-hall à l'ABC à Paris avec l'appui de l'impresario Émile Audiffred, où elle devient immédiatement une immense vedette de la chanson française, aimée du public et ses chansons sont diffusées à la radio. C'est à cette époque qu'elle rencontre Danielle Bonel, cette dernière deviendra sa secrétaire et confidente tout au long de sa carrière.
Star de la fin des années 1930, Piaf triomphe à Bobino, ainsi qu'au théâtre en 1940, dans Le Bel Indifférent, une pièce spécialement écrite pour elle par Jean Cocteau et qu'elle interprète avec succès en compagnie de son compagnon du moment, l’acteur Paul Meurisse (rôle muet). Toujours avec Paul comme partenaire, elle joue dans le film Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe (1941). C’est lors du tournage de ce long métrage qu’elle fait la connaissance d'Henri Contet, qui deviendra, à l’instar de Marguerite Monnot, l’un de ses paroliers fétiches.
Pendant l’occupation allemande, Édith, qui a définitivement troqué « La Môme Piaf » contre « Édith Piaf », continue de donner des concerts. Elle se rend à Berlin en août 1943 avec quelques artistes français dont Loulou Gasté, Raymond Souplex, Viviane Romance, Albert Préjean, où elle pose devant la porte de Brandebourg à l'occasion d'un voyage censé promouvoir la chanson française. En 1942, elle loge dans une maison close « L'Étoile de Kléber », situé 5, rue Villejust, aujourd'hui rue Paul-Valéry, elle en occupe tout le troisième étage à deux pas du siège de la Gestapo, 92, rue Lauriston, lupanar réservé à la clientèle du quartier le plus chic de Paris, notamment aux officiers allemands et aux collaborateurs. Elle y croise souvent l'amant de son amie Annie Jean-Claude, Henri Lafont, chef de la Gestapo française, dont elle s’accommode de la présence, de même que des officiers allemands.
Au printemps 1944, elle se produit au Moulin Rouge où le tout jeune chanteur de music-hall Yves Montand, proposé par son producteur Émile Audiffred, passe en première partie de son spectacle. C'est le coup de foudre et Édith Piaf, déjà célèbre et adulée, entreprend de l'initier aux ficelles du métier et à la vie d'artiste. Elle va propulser sa carrière en lui présentant des gens importants (et quelquefois de premier plan) dans le monde du spectacle de l'époque : Joseph Kosma, Henri Crolla, Loulou Gasté, Jean Guigo, Henri Contet, Louiguy, Marguerite Monnot, Philippe-Gérard, Bob Castella, Francis Lemarque, Henri Betti…
C'est également cette année-là que le père d'Édith meurt. Elle perdra sa mère l'année suivante.
À la Libération, elle est blanchie par un comité d'épuration grâce au témoignage de sa secrétaire Andrée Bigard, membre de la Résistance qui, d'abord à son insu, l'implique dans ses actions et qui déclare que la chanteuse en tournée en Allemagne se serait laissé photographier avec des prisonniers français des stalags et que ces clichés auraient servi, de retour en France, à la fabrication de faux papiers pour faire passer ces prisonniers comme des membres de son orchestre et permettre à 118 d'entre eux de regagner la France en s'évadant. Ce nombre important de prisonniers sans passer par un réseau de résistants et le fait qu'aucun témoignage n'a jamais confirmé cette histoire font douter les biographes sur sa véracité. À cette époque, Piaf donne quelques récitals au cabaret, le Club des Cinq. C'est là que Marcel Cerdan l'entend pour la première fois.
En 1945, elle écrit l’un de ses premiers titres, La Vie en rose (enregistré en 1946), sa chanson la plus célèbre, désormais devenue un classique. Elle joue également à la Comédie-Française.
Yves Montand devient à son tour une vedette du music-hall. Il débute au cinéma aux côtés de Piaf dans Étoile sans lumière, puis obtient son grand premier rôle dans Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Ils partent en tournée jusqu'en 1946, l'année où ils se séparent.
C'est en 1946 que la chanteuse rencontre Les Compagnons de la chanson, avec lesquels elle interpréte le célèbre morceau Les Trois Cloches de Jean Villard (dit Gilles). Elle part ensuite avec ses protégés donner des concerts en Europe du Nord pendant l’année 1947.
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De 1946 à 1948, Piaf est la compagne de Jean-Louis Jaubert, le directeur des Compagnons. Mais, en 1948, alors qu'elle est en tournée triomphale à New York, elle vit la grande histoire d'amour de sa vie avec le boxeur Marcel Cerdan, français né à Sidi Bel Abbès en 1916 et qui devient champion du monde de boxe des poids moyens le 21 septembre 1948.
Au début de l'année suivante, elle fait avec lui l'acquisition de sa première maison, un hôtel particulier au 5, rue Gambetta à Boulogne-Billancourt acheté dix-neuf millions de francs à un milliardaire ruiné, Gilbert des Crances. Là, installée avec Simone Berteaut, elle y compose Hymne à l'amour, chanté sur scène pour la première fois en septembre.
Le 28 octobre 1949, Cerdan meurt dans un accident d'avion. Le vol Paris-New York d'Air France s'écrase aux Açores, alors qu'il venait la rejoindre sur sa demande. Parce qu'il n'y avait plus de place dans cet avion, un couple avait cédé, avec gentillesse, ses places au boxeur. Anéantie par la souffrance morale (ainsi que par un sentiment de culpabilité) et par une polyarthrite aiguë, Édith Piaf prend, pour calmer sa douleur, de fortes doses de morphine. Elle chantera son grand succès, Hymne à l'amour et également Mon Dieu, en sa mémoire. Elle installe dans son hôtel particulier les trois enfants de Marcel Cerdan et leur mère, Marinette. Son état reste cependant si délabré qu'elle se voit contrainte de refuser des rôles au cinéma.
En 1951, le jeune auteur-compositeur-interprète Charles Aznavour devient son homme à tout faire et secrétaire, chauffeur et confident. Il lui écrit certaines chansons particulièrement notables comme Plus bleu que tes yeux, ou encore Jezebel, dans cet hôtel particulier près du Bois de Boulogne, où elle tient table ouverte mais qu'elle revend, avec ses tristes souvenirs, pour s'installer à Paris même, 67 boulevard Lannes. En contrepartie, Édith Piaf dénicheuse de talents conseille Aznavour, lance sa carrière débutante, lui apprend les ficelles du métier. Lorsque le jeune chanteur lui soumet la chanson Je hais les dimanches qu'il avait composée, Piaf manifeste son désaccord, faisant valoir le fait qu'il y avait suffisamment de travailleurs obligés ce jour-là à une journée de labeur. En septembre 1951, elle entame avec le cycliste Louis (Toto) Gérardin, qui est marié et habite également au Parc des Princes, à mille mètres de chez elle, une nouvelle relation amoureuse qui tourne court dès février 1952. Passionnément éprise, elle continue une correspondance enfiévrée, jusqu'au 18 septembre 1952 (correspondance qui sera vendue aux enchères en 2009).
Deux jours plus tard, le 20 septembre 1952, elle épouse le chanteur français Jacques Pills en l'église Saint-Vincent-de-Paul de New York. Son témoin est l'actrice Marlène Dietrich, qui a choisi la robe de mariée. L'événement est couvert par plus de soixante magazines.
En 1953, devenue dépendante de la morphine administrée par les médecins après un accident de voiture en juillet 1951, Édith Piaf entame une première cure de désintoxication.
En 1955, après plusieurs cures de désintoxication, elle se sort de son addiction à la morphine mais soigne sa polyarthrite rhumatoïde à hautes doses de cortisone et se réfugie dans l'alcool, qui lui avait permis de noyer son chagrin après la mort de Marcel Cerdan.
Elle devient à cette époque une immense vedette de music-hall en Occident, notamment aux États-Unis, où elle remporte un triomphe en 1956 au Carnegie Hall de New York, dont elle devient une habituée. Cette même année, elle divorce.
De février 1958 à février 1959, elle connaît une histoire d'amour avec Georges Moustaki, qu'elle lance dans la chanson et avec qui elle a un grave accident de voiture le 6 septembre 1958 sur la nationale 10 à Coignières, ce qui fait empirer son mauvais état de santé et sa dépendance à la morphine. Elle enregistre la chanson Milord (sur une musique de Marguerite Monnot), dont il est l'auteur, l'un de ses plus grands succès, et lui inspire Sarah, qui est créée par Serge Reggiani.
Le 13 décembre 1959, la chanteuse s'effondre sur scène durant une tournée à New York. Elle subit de nombreuses opérations chirurgicales (ulcères, hémorragies digestives) et revient à Paris en piteux état et sans Moustaki, qui l'a quittée. Elle est cependant récompensée pour la chanson Milord au cours d'une émission de télévision du nom de TV Award.
En 1960, l'auteur-compositeur-interprète québécois Claude Léveillée vient travailler avec elle à Paris. Édith interprétera quatre de ses chansons : Le Vieux Piano (nouvelle version de sa chanson Les Vieux Pianos), Boulevard du Crime, Ouragan et La Voix (ballet).
En 1961, à la demande de Bruno Coquatrix, Piaf donne à l'Olympia de Paris, menacé de disparition à cause de problèmes financiers, une série de concerts parmi les plus mémorables et émouvants de sa carrière. C'est dans sa salle de spectacle de prédilection qu'elle interprète Non, je ne regrette rien, une chanson qui lui colle à la peau et que Charles Dumont et Michel Vaucaire viennent d'écrire pour elle. Édith sauve l'Olympia de la faillite, mais a du mal à se tenir debout et à bouger du fait de sa polyarthrite très invalidante, et ne réussit à chanter que grâce à une importante perfusion de morphine.
Le 9 octobre 1962, âgée de 46 ans, épuisée et malade, elle épouse Théo Sarapo (de son vrai nom, Théophánis Lamboukas), un jeune chanteur âgé de 26 ans. Ils chantent en duo À quoi ça sert l'amour ? écrit par Michel Emer, un de ses fidèles compositeurs.
Début 1963, elle enregistre sa dernière chanson, L'Homme de Berlin, écrite par Francis Lai (un des compositeurs de la fin de sa carrière, la moitié du récital de Nimègue en 1962, par exemple, est composée de ses chansons) et Michèle Vendôme.
Connue pour ses talents d'interprète, elle est également parolière : elle écrit au total 87 chansons, la première Y en a un de trop (1940) et la dernière Le Chant d’amour (1963).
Édith Piaf meurt le 10 octobre 1963 à 13 h 10 à Plascassier, un quartier excentré de Grasse, à 47 ans, d'une rupture d'anévrisme due à une insuffisance hépatique. Elle est usée par les excès, l'alcool, la morphine, la polyarthrite rhumatoïde et les souffrances de toute une vie. Elle s'éteint dans les bras de Danielle Bonel, sa secrétaire et confidente tout au long de sa carrière.
Le transport de sa dépouille jusqu'à son appartement du 67, boulevard Lannes, à Paris, est organisé clandestinement et dans l'illégalité. Sa mort est annoncée officiellement le 11 octobre 1963 à Paris grâce à un faux certificat de décès postdaté de son médecin, Claude Bernay de Laval. Six heures après cette annonce, son ami Jean Cocteau, avec qui Édith entretenait une correspondance suivie, meurt à son tour. Apprenant la nouvelle, il déclare :
« C'est le bateau qui achève de couler. C'est ma dernière journée sur cette Terre. » Et il ajoute : « Je n'ai jamais connu d'être moins économe de son âme. Elle ne la dépensait pas, elle la prodiguait, elle en jetait l'or par les fenêtres ». »
L'organisation des obsèques est encadrée par le préfet de la Seine Louis Amade. Le convoi funèbre du boulevard Lannes jusqu'au cimetière du Père-Lachaise est salué par un demi-million de personnes. L'inhumation a lieu au Père-Lachaise (division 97). Comme l'artiste a vécu en contradiction avec les valeurs morales du catholicisme, divorcé et mené une vie sexuelle « tumultueuse », l'Église catholique refuse de lui accorder des obsèques religieuses. L'Osservatore Romano, le journal du Vatican, écrit qu'elle a vécu « en état de péché public » et qu'elle était une « idole du bonheur préfabriqué ». Cependant, à titre personnel, l'aumônier du théâtre et de la musique, le père Thouvenin de Villaret, lui accorde une dernière bénédiction au moment de l'enterrement. Au moins 40 000 personnes, dont Marlene Dietrich, viennent lui rendre un dernier hommage au cimetière. La foule hystérique est telle que le service d'ordre est débordé : des jeunes se hissent sur les mausolées, Bruno Coquatrix, bousculé, tombe dans la fosse.
Édith Piaf est embaumée avant d'être enterrée. Elle se trouve dans un caveau où reposent également son père, Louis-Alphonse Gassion, mort en 1944, son second mari, Théo Sarapo, tué dans un accident de voiture en 1970 à Panazol près de Limoges, et sa fille Marcelle, morte en 1935 d'une méningite foudroyante, à l'âge de 2 ans.
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Édith Piaf enregistra chez Polydor de 1935 à 1946, puis chez Columbia, label de Pathé-Marconi, de 1946 à 1963. Quelques disques furent également pressés pour Philips à partir de 1956. Dans ses compilations, Sonorama publia des titres de Piaf de 1958 à 1961.
1935 : Les Mômes de la cloche, label Polydor, premier 78 tours enregistré par Piaf. Directeur artistique : Jacques Canetti.
Édith Piaf : Simple comme bonjour/Le vagabond - Polydor 524.780 (78 tours)
Édith Piaf : Browning/C’est toi le plus fort - Polydor 524.356 (78 tours)
Édith Piaf : J’ai dansé avec l’amour/C’est un jour de fête - Polydor 524.706 (78 tours)
Édith Piaf : Correqu’ et reguyer/Entre Saint-Ouen et Billancourt - Polydor 524.323 (78 tours)
Les compagnons de la chanson et Édith Piaf : C'est pour ça/Les yeux de ma mère - Columbia DFX247 (1947)
Les compagnons de la chanson et Édith Piaf : Dans les prisons de Nantes/Céline - Columbia DF3053 (78 tours)
1954 : De l'accordéoniste à Milord
1961 : Olympia 1961.
1936 : Mon légionnaire, paroles de Raymond Asso, musique de Marguerite Monnot.
1940 : L'Accordéoniste, paroles et musique de Michel Emer.
1946 : Les Trois Cloches avec Les Compagnons de la chanson, paroles et musique de Jean Villard, dit Gilles.
1946 : La Vie en rose, paroles d’Édith Piaf, musique de Louiguy et Marguerite Monnot (non créditée).
1947 : Une chanson à trois temps, paroles et musique d'Anna Marly.
1950 : Hymne à l'amour, paroles d’Édith Piaf, musique de Marguerite Monnot.
1951 : La P'tite Lili, comédie musicale en 2 actes et 8 tableaux, livret Marcel Achard, musique Marguerite Monnot, A.B.C.
1951 : Padam… Padam, paroles d’Henri Contet, musique de Norbert Glanzberg.
1954 : Sous le ciel de Paris, paroles de Jean Dréjac, musique d’Hubert Giraud, du film Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier.
1956 : L'Homme à la moto, adaptation par Jean Dréjac du rock américain Black denim trousers and motorcycle boots de Jerry Leiber et Mike Stoller.Voir pour plus de détails la section « Bibliographie ».
1956 : Les Amants d'un jour, paroles de Claude Delécluse et Michelle Senlis, musique de Marguerite Monnot.
1957 : La Foule, paroles françaises de Michel Rivgauche.Pendant sa tournée en Argentine, Édith Piaf avait écouté Que nadie sepa mi sufrir (qui porte aujourd'hui le titre Amor de mis amores dans ses reprises), paroles originales de Enrique Dizeo et musique de Ángel Cabral. C'est cette chanson qui a donné naissance à La Foule.
1958 : Mon manège à moi, paroles de Jean Constantin, musique de Norbert Glanzberg.
1958 : Je sais comment, paroles de Julien Bouquet, musique de Robert Chauvigny et Julien Bouquet.
1959 : Milord, paroles de Georges Moustaki, musique de Marguerite Monnot.
1960 : Non, je ne regrette rien, paroles de Michel Vaucaire, musique de Charles Dumont.
1960 : Mon Dieu, paroles de Michel Vaucaire, musique de Charles Dumont.
1962 : À quoi ça sert l'amour, paroles et musique de Michel Emer.
Imprésarios
Plusieurs imprésarios (aujourd'hui appelés agents artistiques) se succédèrent dans la vie d'Édith Piaf :
Jacques Canetti de 1935 à 1937 ;
Raymond Asso de 1937 à 1939 ;
Pierre Bourgeois de 1939 à 1941. Pierre Bourgeois alors directeur artistique chez Polydor, label d'Édith, fut son manager et son conseiller artistique. À partir de 1946, il prit la direction de Pathé-Marconi et signa l'artiste chez Columbia, label de la major française en décembre 1946 ;
Jack Coulon, directeur artistique chez Polydor succédant à P. Bourgeois, chargé de la carrière d'Édith de 1941 à 1945 ;
Louis Barrier de 1946 à 1963.
Hormis Louis Leplée qui la découvrit, Édith Piaf fut soutenue à la scène par Fernand Lumbroso alors directeur du théâtre Mogador puis par Bruno Coquatrix, célèbre patron de l'Olympia.
Filmographie
1936 : La Garçonne de Jean de Limur : la chanteuse
1941 : Montmartre-sur-Seine de Georges Lacombe : Lily
1946 : Étoile sans lumière de Marcel Blistène : Madeleine
1948 : Neuf garçons, un cœur de Georges Friedland : Christine
1952 : Paris chante toujours de Pierre Montazel : elle-même
1954 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge : elle-même
1954 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry : une fille du peuple qui chante Ah ! ça ira
1954 : French Cancan de Jean Renoir : Eugénie Buffet
1959 : Les Amants de demain de Marcel Blistène : Simone
Publications
Édith Piaf, Ma vie, Union générale d'éditions, Paris, 1963.
Édith Piaf et Marcel Cerdan, Moi pour toi - Lettres d'amour, Le Cherche Midi Éditeur, Paris, 2002
Édith Piaf, Au bal de la chance, Archipoche, 2007, 224 p.
Édith Piaf, Mon amour bleu, Grasset et Fasquelle, 2011.
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Personnalité et voix de la chanson française hors du commun, elle reste l'une des chanteuses françaises les plus célèbres au monde et a lancé avec succès la carrière de nombreux chanteurs, comme Yves Montand, Charles Aznavour, Gilbert Bécaud ou Georges Moustaki. Son image est associée à son inséparable petite robe noire caractéristique de la chanteuse réaliste.
Le musée Édith-Piaf lui est consacré, rue Crespin-du-Gast, dans le 11e arrondissement de Paris.
Une statue de Piaf est érigée place Édith-Piaf, dans le 20e arrondissement de Paris.
En 2019, l'hôpital Tenon lui rend hommage en exposant un portrait réalisé et offert par l'artiste français Hom Nguyen. Cette œuvre, La vie en rose, Portrait d'Édith Piaf, dont une reproduction monumentale couvre également le mur extérieur de la maternité, est exposée à l’entrée de l’aile Meyneil.
Une plaque commémorative marque son prétendu lieu de naissance au 72, rue de Belleville, dans le 20e arrondissement de Paris.
Piaf est évoquée dans un des 480 souvenirs cités par Georges Perec dans Je me souviens.
À Bernay (Eure), le théâtre porte son nom.
À Châteauroux (Indre), une salle de spectacle porte son nom.
À Dugny (Seine-Saint-Denis), la salle de spectacle communale se trouve sur le parvis Édith-Piaf.
Dans la commune de Martel (Lot), la place de l'église du hameau de Gluges, où Piaf venait prier et dont elle avait assuré la restauration des vitraux, porte son nom.
À Mondelange (Moselle), il existe une allée Édith-Piaf.
À Mantes-la-Ville (Yvelines), il existe une rue Édith-Piaf ainsi qu'une rue Marcel-Cerdan.
La Quinzième Improvisation pour piano, du compositeur français Francis Poulenc, a été écrite en 1960 en « Hommage à Édith Piaf ».
Dès les années 1960, de nombreux interprètes, tant hommes que femmes, francophones comme anglophones, ont repris La Vie en rose.
En 1961 à l'écoute du disque Hommage à Édith Piaf par Jean Leccia, la chanteuse engage celui-ci pour écrire ses arrangements et diriger l'orchestre lors de son dernier passage à l'Olympia.
En 1967, le chanteur Léo Ferré enregistre la chanson À une chanteuse morte, destinée à figurer dans l'album Cette chanson. Cette chanson écrite en hommage à Édith Piaf sera censurée par sa maison de disque et n'apparaîtra sur disque qu'en 2003.
1984 : la chanson Hymne à l'amour est reprise par le groupe français Cyclope sur son premier album.
1984 : la chanson Non, je ne regrette rien est reprise par Panik Ltdc.
Dans son premier album, Mec (1986), Allain Leprest lui consacre une chanson intitulée Édith - notamment reprise par Enzo Enzo en 2007 - qui relate une visite au cimetière du Père-Lachaise. Elle figure aussi sur son album live Je viens vous voir (2002).
1987 : la chanson Mon légionnaire est reprise par Serge Gainsbourg sur l'album You're Under Arrest.
La chanteuse québécoise Marie Carmen lui dédie sa chanson Piaf chanterait du rock, écrite par Luc Plamondon (single en 1987, album Dans la peau de 1989 et album live Déshabillez-moi de 1996). Le titre est repris en 1991 par Céline Dion, sur son album Chante Plamondon.
1991 : la chanson L'Homme à la moto est reprise par la chanteuse Fanny.
1993 : la chanson Mon manège à moi est reprise par Étienne Daho.
Mireille Mathieu lui consacre un album Chante Piaf, paru en 1993, en français et allemand, réédité en 2003 et, avec deux nouvelles chansons, en 2012, pour le cinquantième anniversaire de sa mort.
Les titres Je n'en connais pas la fin et Hymne à l'amour ont été repris en concert par le chanteur et guitariste américain Jeff Buckley, notamment en France en septembre 1994 et pendant sa tournée de 1995.
En 1997, Jacqueline Danno lui consacre son album Il était une fois… Édith Piaf.
En 1998, Cassita interprète La Foule (Remix 98) (chanson utilisée dans les spots publicitaires pour une eau gazeuse)
2000 : la chanson Non, je ne regrette rien est reprise par Johnny Hallyday.
Chimène Badi interprète fréquemment des titres de Piaf lors de ses concerts, notamment Hymne à l'amour.
2002 : La chanteuse norvégienne Herborg Kraakevik sort un album "Eg Og Edith" consacré à Edith Piaf, dans lequel elle chante en français "La vie en rose".
2004 : la chanson Hymne à l'amour est reprise par Hélène Fasan dans son album Crie.
2009 : le groupe de rock allemand Rammstein reprend certaines paroles de Non je ne regrette rien dans sa chanson Frühling in Paris, dans l'album Liebe ist für alle da.
Le groupe français de reggae Danakil interprète Non, je ne regrette rien à l'Olympia, en 2009.
L'album Kaas chante Piaf de Patricia Kaas, en 2012, suivi d'une tournée en 2013, lui rend hommage en célébrant le cinquantième anniversaire de sa disparition.
Le rappeur Youssoupha a écrit une chanson en hommage à Édith Piaf, La Foule - Partie 2, sur son album En noir & blanc (En attendant Noir Désir) (2011).
En février 2013, la compagnie du Confluent Art music (sous la direction musicale de Jean-Claude Dufaut) crée un spectacle musical intitulé Piaf, le temps d'illuminer, véritable florilège des grandes chansons de la Môme, mis en scène par sept interprètes.
En 2014 Stellia Koumba chante Piaf spectacle créé et mis en scène par Roger Louret
En 2015, Lady Gaga chante en français La Vie en rose sur chaque date de la tournée commune Cheek To Cheek Tour avec Tony Bennett.
Après les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, de nombreuses chansons d'Édith Piaf, véritables symboles français, ont été reprises lors de concerts dans le monde entier. Ainsi, Céline Dion a chanté Hymne à l'amour lors des American Music Awards 2015.
En 2016, Madonna chante La Vie en rose pendant sa tournée Rebel Heart Tour et citant Édith Piaf comme « sa chanteuse préférée au monde ».
Piaf ! Le Spectacle, interprété par Anne Carrere, produit, et mis en scène par Gil Marsalla, considéré par Charles Dumont, Charles Aznavour et Ginou Richer comme le plus bel hommage sur scène à la carrière d'Édith Piaf. Depuis 2015, c'est le plus gros succès mondial français à l'international avec 300 représentations dans 50 pays et un million de spectateurs. Fait rare pour un spectacle français, le spectacle s'est produit à guichets fermés au Carnegie Hall de New York le 6 janvier 2017 pour célébrer le 60e anniversaire du concert d'Édith Piaf dans cette salle mythique.
Créé en 2018, le spectacle Rue La Môme rend hommage à Edith Piaf à travers différentes périodes de sa vie (de ses débuts dans la rue à la consécration à l'Olympia) ; non seulement musical, mais également visuel, grâce à des archives inédites provenant d'une collaboration avec Anthony Berrot, collectionneur reconnu dans le monde de La Môme.
Piaf Symphonique , une version symphonique des chansons d'Edith Piaf a été crée pour la première fois en 2019 à l'Opéra de Nice par Gil Marsalla, sur des arrangements de Nobuyuki Nakajima.
L'artiste est l'effigie d’une pièce de 10 euros en argent éditée en 2012 par la Monnaie de Paris, pour la collection « Les Euros des régions », afin de représenter sa région natale, l'Île-de-France.
1996 : Piaf, je t'aime, comédie musicale sur sa vie, paroles de Claude Lemesle et musiques de Charles Dumont ; mise en scène par Jacques Darcy avec Nathalie Cerda dans le rôle d'Édith Piaf, Cirque d'Hiver.
1997 : Piaf, je t'aime, comédie musicale, reprise avec Nathalie Lhermitte dans le rôle d'Édith Piaf, théâtre Comedia puis au théâtre du Gymnase Marie Bell.
2003-2004 : La Musique à tout-va, comédie musicale, à l'occasion du 40e anniversaire de la disparition d'Édith Piaf. Théâtre du Trianon. Mise en scène d'Arnaud Romain, arrangements de Patrice Peyriéras.
2006 - 2010 : Rechercher Édith Piaf ((hr) Priča o Edith Piaf), récital de Ksenia Prohaska, production théâtre national de Croatie - Caravan Split.
2007 : Piaf, je t'aime, comédie musicale, reprise avec Marie Orlandi dans le rôle d'Édith Piaf, Olympia.
2005 - 2013 : Piaf, une vie en rose et noir, comédie musicale sur sa vie, mise en scène par Rubia Matignon avec Jacques Pessis, Aurélien Noël et Nathalie Lermitte dans le rôle d'Édith Piaf. Seconde version de 2012 à 2013 sur une mise en scène de Nathalie Lermitte.
2006-2009 : L'EmPIAFée, one-woman-show musical de Christelle Chollet.
2011-2012 : Édith immortelle, comédie musicale sur sa carrière, production Contre Temps Prod.
2012-2013 : Piaf : le temps d'illuminer, comédie musicale sur sa carrière, mise en scène : Compagnie du Confluent / direction et arrangements musicaux : Jean-Claude Dufaut.
2013 : Les Hommes de Piaf, comédie musicale sur sa vie, crée à Bernay, mise en scène par Guillaume Ségouin et Raphaël Kaney Duverger (Compagnie Le Théâtre de la Cerisaie).
2015 - 2017 : Piaf, ombres et lumière, pièce de théâtre musical évoquant la vie d'Édith Piaf, écrite, mise en scène (en collaboration avec Stéphane Vélard) et interprétée par Nathalie Lermitte.
2015 - 2019 : Piaf, Le Spectacle, Spectacle Musical évoquant la vie d'Édith Piaf, produit et mise en scène par (Gil Marsalla) et interprété par Anne Carrere, et Nathalie Lermitte
1974 : Piaf, de Guy Casaril, avec Brigitte Ariel dans le rôle d'Édith Piaf.
1978 : (en) Piaf, téléfilm britannique de Pam Gems (en), avec Jane Lapotaire (en).
1983 : Édith et Marcel, de Claude Lelouch, avec Évelyne Bouix.
1993 : Édith Piaf : une brève rencontre, téléfilm de Michel Wyn, avec Sophie Artur, Jean-Claude Bouillon, Florence Rougé et Dora Doll.
2007 : La Môme (intitulé La Vie en rose au Québec et dans les pays anglo-saxons), d'Olivier Dahan, avec Marion Cotillard (césar de la meilleure actrice, oscar de la meilleure actrice, BAFTA de la meilleure actrice et Golden Globes de la meilleure actrice en 2008).
Documentaires
1967 : Piaf, quatre ans déjà, de Marcel Blistène.
2003 : Piaf, sans amour on n'est rien du tout, de Marianne Lamour.
2003 : Piaf, le concert idéal.
2013 : Piaf amoureuse, de Philippe Kohly.
2013 : Piaf intime, de Valérie Esposito.
L’Association d’amitié Pologne-France en collaboration avec l’association parisienne Les Amis d’Édith Piaf organisent depuis 2009, à Cracovie en Pologne, le Festival international de la chanson française Grand Prix Édith Piaf (en polonais, Miedzynarodowy Festiwal Piosenki Francuskiej). Ce concours est ouvert à tous, la seule exigence étant de présenter deux chansons françaises, dont au moins une du répertoire d’Édith Piaf. Les participants peuvent remporter le Grand Prix Édith Piaf. En juin 2014, la sixième édition avait pour titre Chanter comme Piaf. Elle a permis d'entendre de jeunes musiciens français (Zaz, Shy’m, Tal, Indila, Christophe Maé, et Amel Bent). La Française Laurette Goubelle, sosie vocal d'Édith Piaf, a remporté le prix de la meilleure interprétation. En juin 2015, la septième édition s'intitulait De Piaf à Zazie
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1925 | Télégramme |
Comme un moineau74 | Une enfant |
1933 | Plus bleu que tes yeux |
Entre Saint-Ouen et Clignancourt | Le Noël de la rue |
1934 | La Valse de l'amour |
L'Étranger | La Rue aux chansons |
1935 | Jezebel |
Mon apéro | Chante-moi (avec M. Jiteau) |
La Java de Cézigue | Chanson de Catherine |
Fais-moi valser | Chanson bleue |
1936 | Je hais les dimanches |
Les Mômes de la cloche | 1952 |
Moi j'aime ça !74 | Au bal de la chance |
J'suis mordue | Elle a dit |
Mon légionnaire | Notre-Dame de Paris |
Le Contrebandier | Mon ami m'a donné |
La Fille et le Chien | Je t'ai dans la peau (du film Boum sur Paris) |
La Julie jolie | Monsieur et Madame |
Va danser | Ça gueule ça, Madame (avec Jacques Pills) (du film Boum sur Paris) |
Chand d'habits | 1953 |
Reste | Bravo pour le clown |
Les Hiboux | Sœur Anne |
Quand même (du film La Garçonne) | N'y va pas Manuel |
La Petite Boutique | Les Amants de Venise |
Y'avait du soleil | L'Effet qu'tu m'fais |
Il n'est pas distingué | Johnny, tu n'es pas un ange |
Les Deux Ménétriers | Jean et Martine |
Mon amant de la Coloniale | Et moi… |
C'est toi le plus fort | Pour qu'elle soit jolie, ma chanson (avec Jacques Pills) (du film Boum sur Paris) |
Le Fanion de la Légion | Les Croix |
J'entends la sirène | Le Bel Indifférent (monologue de Jean Cocteau) |
Ding, din, don | Heureuse |
Madeleine qu'avait du cœur | 1954 |
Les marins, ça fait des voyages | La Goualante du pauvre Jean |
Simple comme bonjour | Enfin le printemps (Vise, mon Jules…) |
Le Mauvais Matelot | Retour |
Celui qui ne savait pas pleurer | Mea culpa |
1937 | Ça ira (du film Si Versailles m'était conté…) |
Le Grand Voyage du pauvre Nègre | Avec ce soleil |
Un jeune homme chantait | L'Homme au piano |
Tout fout le camp | Sérénade du pavé (du film French Cancan) |
Ne m'écris pas | Sous le ciel de Paris |
Partance | 1955 |
Dans un bouge du Vieux-Port | L'Accordéoniste |
Mon cœur est au coin d'une rue | Un grand amour qui s'achève |
1938 | Miséricorde |
С'est lui que mon cœur a choisi | C'est à Hambourg |
Paris-Méditerranée | Légende |
La Java en mineur (Acétate enregistré chez Marie Dubas.) | Le Chemin des forains |
Browning | 1956 |
Le Chacal | Heaven Have Mercy (Miséricorde en anglais) |
Corrèqu' et réguyer | One Little Man (Le Petit Homme en anglais) |
1939 | Autumn Leaves (Les Feuilles mortes en anglais) |
Y'en a un de trop | Cause I Love You (en anglais) |
Elle fréquentait la rue Pigalle | Chante-moi Sing To Me (Chante-moi en anglais)) |
Le Petit Monsieur triste | Don't Cry (C'est d'la faute à tes yeux en anglais) |
Les Deux Copains | I Shouldn't Care (J'men fous pas mal en anglais) |
Je n'en connais pas la fin | My Lost Melody (Je n'en connais pas la fin en anglais) |
1940 | Avant nous |
Embrasse-moi | Et pourtant |
On danse sur ma chanson | Marie la Française |
Sur une colline | Les Amants d'un jour |
C'est la moindre des choses | L'Homme à la moto |
Escale | Soudain une vallée |
La fille de joie est triste (L'Accordéoniste) | Une dame |
1941 | Toi qui sais |
Où sont-ils, mes petits copains ? | 1957 |
C'était un jour de fête | La Foule |
C'est un monsieur très distingué | Les Prisons du roy |
J'ai dansé avec l'Amour (du film Montmartre-sur-Seine) | Opinion publique |
L'Homme des bars | Salle d'attente |
Le Vagabond | Les Grognards |
1942 | Comme moi |
Jimmy, c'est lui | 1958 |
Un coin tout bleu (du film Montmartre-sur-Seine) | C'est un homme terrible |
Sans y penser | Je me souviens d'une chanson |
Un monsieur me suit dans la rue | Je sais comment |
Mon amant de Saint-Jean74 | Tatave |
1943 | Les Orgues de Barbarie |
Tu es partout (du film Montmartre-sur-Seine) | Eden blues |
J'ai qu'à l'regarder… | Le Gitan et la Fille |
Le Chasseur de l'hôtel | Fais comme si |
C'était une histoire d'amour (Jean Jal, Henri Contet) | Le Ballet des cœurs |
Le Brun et le Blond | Les Amants de demain |
Monsieur Saint-Pierre | Les Neiges de Finlande |
Coup de grisou | Tant qu'il y aura des jours |
De l'autre côté de la rue | Un étranger |
La Demoiselle du cinquième74 | Mon manège à moi |
1944 | 1959 |
Les Deux Rengaines | Milord |
Y'a pas d'printemps | T'es beau, tu sais |
Les Histoires de cœur | 1960 |
C'est toujours la même histoire | Non, je ne regrette rien |
1945 | La Vie, l'Amour |
Le Disque usé | Rue de Siam |
Elle a…74 | Jean l'Espagnol |
Regarde-moi toujours comme ça | La Belle Histoire d'amour |
Les Gars qui marchaient | La Ville inconnue |
Il riait | Non, la vie n'est pas triste |
Monsieur Ernest a réussi | Kiosque à journaux |
1946 | Le Métro de Paris |
La Vie en rose | Cri du cœur |
Les Trois Cloches (avec Les Compagnons de la chanson) | Les Blouses blanches |
Dans ma rue | Les Flonflons du bal |
J'm'en fous pas mal | Les Mots d'amour |
C'est merveilleux | T'es l'homme qu'il me faut |
Adieu mon cœur | Mon Dieu |
Le Chant du pirate | Boulevard du Crime |
Céline (avec Les Compagnons de la chanson) | C'est l'amour |
Le Petit Homme | Des histoires |
Le roi a fait battre tambour (avec Les Compagnons de la chanson) | Ouragan |
Dans les prisons de Nantes (avec Les Compagnons de la chanson) | Je suis à toi |
Mariage | Les Amants merveilleux |
Un refrain courait dans la rue | Je m'imagine |
Miss Otis Regrets | Jérusalem |
1947 | Le Vieux Piano |
C'est pour ça (du film Neuf Garçons, un cœur, avec Les Compagnons de la chanson) | 1961 |
Qu'as-tu fait John ? | C'est peut-être ça |
Sophie (du film Neuf Garçons, un cœur) | Les Bleuets d'azur |
Le Geste | Quand tu dors |
Si tu partais | Mon vieux Lucien |
Mais qu’est-ce que j’ai ? | Le Dénicheur74 |
Une chanson à trois temps | J'n'attends plus rien |
Un homme comme les autres | J'en ai passé des nuits |
Les cloches sonnent | Exodus |
Johnny Fedora et Alice Blue Bonnet74(avec Les Compagnons de la chanson) | Faut pas qu'il se figure |
Le rideau tombe avant la fin | Les Amants (avec Charles Dumont) |
Elle avait son sourire | No Regrets (Non, je ne regrette rien en anglais) |
1948 | Le Billard électrique |
Monsieur Lenoble | Marie-Trottoir |
Les Amants de Paris | Qu'il était triste cet Anglais |
Il a chanté | Toujours aimer |
Les Vieux Bateaux | Mon Dieu (en anglais) |
Il pleut | Le Bruit des villes |
Cousu de fil blanc | Dans leurs baisers |
Amour du mois de mai | 1962 |
Monsieur X | À quoi ça sert, l'amour ? |
1949 | Le Droit d'aimer |
Bal dans ma rue | À quoi ça sert, l'amour ? (avec Théo Sarapo) |
Pour moi tout' seule | Fallait-il |
Pleure pas | Une valse |
Le Prisonnier de la tour (Si le roi savait ça, Isabelle) | Inconnu excepté de Dieu (avec Charles Dumont) |
L'Orgue des amoureux | Les Amants de Teruel (du film Les Amants de Teruel, avec Mikis Theodorakis) |
Dany | Quatorze juillet (du film Les Amants de Teruel, avec Mikis Theodorakis) |
Paris (du film L'Homme aux mains d'argile) | Roulez tambours |
1950 | Musique à tout va |
Hymne à l'amour | Le Rendez-vous |
Le Chevalier de Paris | Toi, tu l'entends pas ! |
Il fait bon t'aimer | Carmen's Story |
La P'tite Marie | On cherche un auguste |
Tous les amoureux chantent | Ça fait drôle |
Il y avait | Emporte-moi |
C'est d'la faute à tes yeux | Polichinelle |
C'est un gars | Le Petit Brouillard (Un petit brouillard) |
Hymn to Love | Le Diable de la Bastille |
The Three Bells (Les Trois Cloches) | Elle chantait (avec Théo Sarapo) |
Le ciel est fermé | 1963 |
La fête continue | C'était pas moi |
Simply a Waltz (en anglais) | Le Chant d'amour |
La Vie en rose (en anglais) | Tiens, v'là un marin |
1951 | J'en ai tant vu |
Padam… padam… | Traqué |
Avant l'heure | Les Gens |
L'Homme que j'aimerai | Margot Cœur Gros |
Du matin jusqu'au soir | Monsieur Incognito |
Demain (Il fera jour) | Un dimanche à Londres |
C'est toi (avec Eddie Constantine) | L'Homme de Berlin (Son dernier enregistrement.) |
Rien de rien | Filles d'Israël (Chanson inédite.) |
Si, si, si, si (avec Eddie Constantine) | Un jour (Chanson inédite.) |
À l'enseigne de La Fille Sans Cœur |
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Décès
1469 : Fra Filippo Lippi, peintre italien (° 1406). |
1719 : Charles Louis Bretagne de La Trémoïlle (° 15 mars 1683). |
1771 : Jan Klemens Branicki, militaire polonais (° 21 septembre 1689). |
1781 : Pierre Corgne, théologien et homme d'Église français (° 15 mars 1695). |
1794 : Corentin Le Floc'h, homme politique français (° 31 janvier 1754). |
1799 : Pierre Joseph Georges Pigneau de Behaine, homme d'Église et diplomate français (° 2 novembre 1741). |
1886 : |
José Casado del Alisal, peintre espagnol (° 24 mars 1832). |
Alexis Didier, médium français (° 30 mars 1826). |
Jean-Jacques Uhrich, général de division français (° 15 février 1802). |
Zacharie Vincent, peintre canadien (° 28 janvier 1815). |
1896 : Ferdinand von Müller, botaniste allemand (° 30 juin 1925). |
1906 : Joseph Glidden, fermier américain, inventeur du barbelé (° 18 janvier 1813). |
1910 : Elzéar Abeille de Perrin, avocat et entomologiste français (° 3 janvier 1843). |
1930 : João Suassuna, homme politique brésilien (° 9 janvier 1886). |
1934 : |
Alexandre Ier (Александар I Карађорђевић), roi de Yougoslavie de 1929 à 1934 (° 16 décembre 1888). |
Louis Barthou, homme politique français, président du Conseil des ministres français en 1913 (° 25 août 1862). |
1943 : Pieter Zeeman, physicien néerlandais, prix Nobel de physique en 1902 (° 25 mai 1865). |
1948 : Joseph Wedderburn, mathématicien britannique (° 2 février 1882). |
1950 : George Hainsworth, hockeyeur canadien (° 26 juin 1895). |
1954 : Olivier Guimond, père, comédien canadien (° 18 mars 1893). |
1955 : Theodor Innitzer, prélat autrichien (° 25 décembre 1875). |
1958 : Pie XII (Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli dit), 260e pape, en fonction de 1939 à 1958 (° 2 mars 1876). |
1967 : |
Ernesto « Che » Guevara, médecin et révolutionnaire argentin (° 14 juin 1928). |
André Maurois, romancier, essayiste et académicien français (° 26 juillet 1885). |
Cyril Norman Hinshelwood, physicien et chimiste anglais, prix Nobel de chimie en 1956 (° 19 juin 1897). |
1968 : Jean Paulhan, écrivain et académicien français (° 2 décembre 1884). |
1969 : |
Elsa Rendschmidt, patineuse artistique allemande (° 11 janvier 1886). |
Claude Renoir, réalisateur français, frère de Jean Renoir (° 4 août 1901). |
1970 : |
Edmond Michelet, résistant et homme politique français (° 8 octobre 1899). |
Louis Pasteur Vallery-Radot, médecin et académicien français (° 13 mai 1886). |
Jean Giono, écrivain français académicien Goncourt (° 30 mars 1895). |
1972 : Miriam Hopkins, actrice américaine (° 18 octobre 1902). |
1973 : Rosetta Tharpe, chanteuse américaine (° 20 mars 1915). |
1974 : Oskar Schindler, industriel allemand, Juste parmi les nations (° 28 avril 1908). |
1978 : Jacques Brel, chanteur et acteur belge (° 8 avril 1929). |
1982 : Anna Freud, psychanalyste britannique d'origine autrichienne, fille de Sigmund Freud (° 3 décembre 1895). |
1984 : Lew Christensen, danseur et chorégraphe américain (° 9 mai 1909). |
1985 : Emilio Garrastazu Medici, militaire et homme politique brésilien, président de la République du Brésil de 1969 à 1974 (° 4 décembre 1905). |
1987 : |
Clare Boothe Luce, journaliste américaine (° 10 mars 1903). |
William Murphy, médecin américain, prix Nobel de physiologie ou médecine en 1934 (° 6 février 1892). |
1988 : |
Clifton E. « Cliff » Gallup, guitariste américain (° 17 juin 1930). |
Felix Wankel, ingénieur allemand (° 13 août 1902). |
1995 : Alexander Frederick « Alec » Douglas-Home, homme politique britannique, Premier ministre de 1963 à 1964 (° 2 juillet 1903). |
1996 : Yoshio Aoyama, peintre japonais (° 10 janvier 1894). |
1997 : Jean Pasqualini, écrivain sino-français (° 1926). |
1999 : Milt Jackson, musicien américain (° 1er janvier 1923). |
2000 : David Dukes, acteur américain (° 6 juin 1945). |
2001 : Herbert Ross, cinéaste américain (° 13 mai 1927). |
2002 : |
Bruno O'Ya, acteur et chanteur estonien (° 12 février 1933). |
Aileen Wuornos, tueuse en série américaine (° 29 février 1956). |
2003 : Justinas Bašinskas, compositeur lituanien (° 22 janvier 1923). |
2004 : |
Jacques Derrida, philosophe français (° 15 juillet 1930). |
Maxime Faget, ingénieur américain (° 26 août 1921). |
Alberto Rizzo, photographe de mode et danseur américano-italien (° 2 mai 1931). |
2005 : |
Serge Lancel, philosophe, archéologue et historien français (° 5 septembre 1928). |
Louis Nye, acteur américain (° 1er mai 1913). |
2006 : |
Coccinelle (Jacqueline Charlotte Dufresnoy dite), artiste transgenre française (° 23 août 1931). |
Marek Grechuta, chanteur polonais (° 10 décembre 1945). |
Danièle Huillet, cinéaste française (° 1er mai 1936). |
Bernard Primeau, batteur de jazz québécois (° 5 janvier 1939). |
Concha Valero, actrice espagnole (° 8 décembre 1958). |
2007 : Bernard Morrot, journaliste français (° 28 octobre 1936). |
2009 : |
Jacques Chessex, écrivain français (° 1er mars 1934). |
Louis Sanmarco, administrateur colonial français (° 7 avril 1912). |
Horst Szymaniak, footballeur allemand (° 29 août 1934). |
2010 : Maurice Allais, économiste et physicien français, prix Nobel d'économie en 1988 (° 31 mai 1911). |
2011 : Pavel Kareline (Павел Владимирович Карелин), sauteur à ski russe (° 27 avril 1990). |
2013 : Wilfried Martens, homme politique belge, premier ministre de 1979 à 1981 et de 1981 à 1992, président du Conseil européen en 1987 et président du Parti populaire européen de 1990 à 2013 (° 19 avril 1936). |
2015 : |
Leny Escudero (Joaquin Leni Escudero dit), chanteur, auteur-compositeur et acteur français (° 5 novembre 1932). |
Geoffrey Howe, homme politique britannique (° 20 décembre 1926). |
2016 : |
Aaron Pryor, boxeur américain (° 20 octobre 1955). |
Andrzej Wajda, réalisateur et scénariste de cinéma, metteur en scène de théâtre polonais (° 6 mars 1926). |
2017 : Jean Rochefort, comédien français (° 29 avril 1930). |
2018 : Venantino Venantini, acteur italien (° 17 avril 1930). |
2022 : |
Bruno Latour, sociologue, anthropologue et philosophe français des sciences (né en 1947). |
Naissances
1261 : Denis Ier, roi de Portugal de 1279 à 1325 († 7 janvier 1325). |
1328 : Pierre Ier, roi de Chypre de 1358 à 1369 († 17 janvier 1369). |
1709 : Jean Baptiste de Belloy, prélat français († 10 juin 1808). |
1727 : Étienne-Charles de Loménie de Brienne, prélat et homme politique français († 19 février 1794). |
1735 : Charles-Guillaume-Ferdinand de Brunswick, militaire prussien († 10 novembre 1806). |
1757 : Charles X, roi de France de 1824 à 1830 († 6 novembre 1836). |
1771 : Sewrin, auteur dramatique et goguettier français († 22 avril 1853). |
1775 : Vladimir Gadon, homme politique et insurgé lituanien († 9 août 1842). |
1797 : Philippe Suchard, confiseur et entrepreneur suisse († 14 janvier 1884). |
1835 : Camille Saint-Saëns, compositeur français († 16 décembre 1921). |
1845 : Ferdinand Arnodin, ingénieur et industriel français († 14 avril 1924). |
1846 : Julius Maggi, entrepreneur suisse († 19 octobre 1912). |
1847 : Stephanus Jacobus du Toit, écrivain, historien et traducteur sud-africain († 28 mai 1911). |
1849 : Laurent Amodru, homme politique français († 27 avril 1930). |
1851 : Pierre Marie Yves Le Bozec, marin français, commissaire principal de la Marine à Brest, puis à Caen († 23 juin 1904). |
1852 : Hermann Emil Fischer, chimiste allemand, prix Nobel de chimie en 1902 († 15 juillet 1919). |
1859 : Alfred Dreyfus, militaire français († 12 juillet 1935). |
1864 : Maud Watson, joueuse de tennis britannique († 5 juin 1946). |
1866 : Philippe Berthelot, diplomate français († 22 novembre 1934). |
1871 : Georges Gauthier, prélat canadien († 31 août 1940). |
1873 : Karl Schwarzschild, astrophysicien allemand († 11 mai 1916). |
1879 : Max von Laue, physicien allemand, prix Nobel de physique en 1914 († 24 avril 1960). |
1881 : Victor Klemperer, philologue allemand († 11 février 1960). |
1884 : « Bombita III » (Manuel Torres Reina dit), matador espagnol († 10 octobre 1936). |
1887 : Manuel Ortiz de Zárate, peintre chilien († 28 octobre 1946). |
1888 : Nikolaï Boukharine (Никола́й Ива́нович Буха́рин), intellectuel, révolutionnaire et homme politique soviétique († 15 mars 1938). |
1892 : Ivo Andrić, écrivain yougoslave, prix Nobel de littérature en 1961 († 13 mars 1975). |
1894 : Hagop Arakelian, maquilleur de cinéma français († 11 novembre 1977). |
1895 : Félix Lasserre, joueur de rugby à XV français († 19 novembre 1965). |
1899 : Alain Laubreaux, journaliste et écrivain français († 15 juillet 1968). |
1900 : |
Roger François, haltérophile français († 15 février 1949). |
Sylvio Cator, athlète haïtien, vice-champion olympique en saut en longueur († 22 juillet 1952). |
1902 : Freddie Young, chef opérateur britannique († 1er décembre 1998). |
1903 : |
Walter O'Malley, dirigeant de baseball américain († 9 août 1979). |
André Mourlon, athlète français, spécialiste du sprint († 31 juillet 1970). |
1905 : Paul Barrère, joueur de rugby français († 21 août 1978). |
1906 : |
Léopold Sédar Senghor, homme d'État et homme de lettres sénégalais, président de la Fédération du Mali en 1960 et président de la République du Sénégal de 1960 à 1980 († 20 décembre 2001). |
Wolfgang Staudte, réalisateur allemand († 19 janvier 1984). |
1907 : Jacques Tati (Jacques Tatischeff dit), réalisateur et acteur français († 5 novembre 1982). |
1911 : Joseph John « Joe » Rosenthal, photographe américain, prix Pulitzer en 1945 († 20 août 2006). |
1914 : Guy Charmot, médecin et militaire français, compagnon de la Libération († 7 janvier 2019). |
1917 : |
Kusuo Kitamura, nageur japonais, champion olympique du 1 500 m en 1932 († 6 juin 1996). |
Louis Rubaud, maître fusilier marin français, compagnon de la Libération († 30 juin 1990). |
1918 : |
Howard Hunt, espion américain († 23 janvier 2007). |
Lila Kedrova (Елизавета Николаевна Кедрова), actrice russe († 16 février 2000). |
Edgard Pisani, homme politique français, plusieurs fois ministre († 20 juin 2016). |
1921 : |
Michel Boisrond, cinéaste français († 10 novembre 2002). |
Tadeusz Różewicz, écrivain polonais († 24 avril 2014). |
1922 : |
Léon Dion, politologue canadien († 20 août 1997). |
John William (Ernest-Armand Huss dit), chanteur baryton français († 8 janvier 2011). |
1924 : Robert Aitken Rushworth, astronaute américain († 17 mars 1997). |
1926 : Danièle Delorme (Gabrielle Girard dite), actrice et productrice française († 17 octobre 2015). |
1927 : René Groebli, photographe et photojournaliste suisse. |
1930 : Lucien Daloz, prélat français († 31 juillet 2012). |
1934 : Mohamed Mounib, écrivain marocain († 3 décembre 2017). |
1935 : |
Edward de Kent, prince britannique. |
Don McCullin (Donald McCullin dit), photographe britannique de guerres et de misères, de vie urbaine et de paysages. |
1936 : Nicole Croisille, chanteuse et actrice française. |
1940 : John Lennon, chanteur et musicien britannique († 8 décembre 1980). |
1941 : |
Robert Lemieux, avocat québécois actif dans la défense des libertés civiles († 20 janvier 2008). |
Chucho Valdés (Jesús Valdés Rodríguez dit), musicien cubain. |
1944 : John Entwistle, musicien britannique († 27 juin 2002). |
1947 : |
France Gall (Isabelle Gall dite), chanteuse française († 7 janvier 2018). |
Wayne Thomas, joueur canadien de hockey sur glace. |
Pierre Turgeon, romancier et essayiste canadien. |
1948 : Jackson Browne, chanteur américain. |
1949 : Evguenia Mikhaïlova, femme politique et philanthrope russe. |
1952 : Pierre Jolivet, acteur et cinéaste français. |
1953 : |
Denis Bouchard, acteur canadien. |
Sophie Calle, artiste française. |
Denis Dufour, compositeur français. |
Anthony Marcus « Tony » Shalhoub, acteur américain. |
1954 : |
René Bittinger, cycliste sur route français. |
Scott Bakula, acteur américain. |
1955 : |
Linwood Boomer, réalisateur et acteur américain. |
Steve Ovett, athlète de demi-fond britannique. |
Leonardo Padura, écrivain cubain. |
1957 : |
Ini Kamoze, chanteur de reggae jamaïcain. |
Iouri Ousatchev (Юрий Владимирович Усачёв), cosmonaute russe. |
1958 : |
Allen David « Al » Jourgensen, musicien américain du groupe Ministry. |
Michael Paré, acteur américain. |
1960 : |
Kenny Garrett, musicien américain. |
Guylaine Tremblay, actrice canadienne. |
Piero Poli, rameur d'aviron italien, champion olympique. |
1961 : |
Julian Bailey, pilote automobile britannique. |
Ahmed Otmane, figure du grand banditisme français. |
Sanseverino (Stéphane Sanseverino dit), chanteur français. |
1962 : Jorge Burruchaga, footballeur puis entraîneur argentin. |
1964 : |
Martín Jaite, joueur de tennis argentin. |
Guillermo del Toro, réalisateur, scénariste, romancier et producteur de cinéma mexicain. |
Héléna Marienské, romancière, actrice et présentatrice française. |
1965 : Dionicio Cerón, athlète mexicain. |
1966 : |
David Cameron, homme politique britannique, Premier ministre de 2010 à 2016. |
Katerina Golubeva (Екатерина Николаевна Голубева), actrice russe († 14 août 2011). |
1967 : Eduardo Gory « Eddie » Guerrero Llanes, lutteur américain († 13 novembre 2005). |
1968 : Deon Hemmings, athlète jamaïquaine, championne olympique du 400 m haies. |
1969 : |
Polly Jean « P.J. » Harvey, chanteuse britannique. |
Laurent Mariotte, animateur de télévision, de radio et chroniqueur culinaire français. |
Torsten May, boxeur allemand, champion olympique. |
Simon Fairweather, archer australien, champion olympique. |
1970 : |
Kenneth « Kenny » Anderson, basketteur américain. |
Annika Sörenstam, golfeuse professionnelle suédoise. |
Lin Li, nageuse chinoise, double championne olympique. |
1971 : Alexandre Joly, prélat catholique français, évêque de Troyes |
1972 : Véronique Pecqueux-Rolland, handballeuse française. |
1973 : Terry Balsamo, musicien américain du groupe Evanescence. |
1974 : Yann Barthes, journaliste français. |
1975 : |
Marie Labory, journaliste et animatrice de télévision française. |
Sean Lennon, musicien, acteur et scénariste américain, fils du chanteur et musicien John Lennon, né également le même jour. |
Ge fei, joueuse de badminton chinoise, double championne olympique. |
1978 : |
Juan Dixon, basketteur américain. |
Miguel Miranda, basketteur portugais. |
1979 : Brandon Routh, acteur américain. |
1980 : Henrik Zetterberg, hockeyeur canadien. |
1981 : |
Marc-André Fortin, chanteur québécois. |
Gaël Givet, footballeur français. |
Darius Miles, basketteur américain. |
Rafał Murawski, footballeur polonais. |
1982 : |
Yingchao Kong (孔颖超), biathlète chinoise. |
Modeste M'Bami, footballeur camerounais. |
1983 : Spencer Grammer, actrice américaine. |
1986 : |
Nikita Chabalkine (Никита Алексеевич Шабалкин), basketteur russe. |
Laure Manaudou, nageuse française. |
1987 : |
Craig Brackins, basketteur américain. |
William Henry « Bill » Walker, basketteur américain. |
1988 : Blessing Okagbare, athlète de sprint et de saut en longueur nigériane. |
1991 : Oleksandr Lypovyy (Олександр Липовий), basketteur ukrainien. |
1992 : Jerian Grant, basketteur américain. |
1993 : Niccolò Bonifazio, cycliste sur route italien. |
1994 : |
Alexie Alaïs, athlète française. |
Jodelle Ferland, actrice canadienne. |
1996 : |
Bella Hadid, mannequin américaine. |
Étienne Ory, basketteur français. |