Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
25.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Décès
304 (ou au ier siècle) : Sainte Justine de Padoue (voire de Nicomédie), vierge martyre fêtée comme sainte ci-après (° entre ier siècle et iiie siècle si bien exécutée en 304). |
336 : Marc, 34e pape, en fonction en 336 (° 290). |
929 : Charles III, roi de France de 898 à 922 (° 17 septembre 879). |
1106 : Hugues de Die, prélat français (° v. 1040). |
1612 : Giovanni Battista Guarini, écrivain et poète italien (° 10 décembre 1538). |
1754 : Alexandre Dubois-Descours, marquis de La Maisonfort, officier de marine français (° 6 octobre 1680). |
1819 : Marc-Théodore Bourrit, alpiniste, chantre, compositeur, artiste peintre, graveur, écrivain et historiographe suisse (° 6 août 1739). |
1834 : Nicolas-Charles de Vincent, général et diplomate autrichien (° 11 août 1757). |
1847 : Alexandre Brongniart, minéralogiste et naturaliste français (° 5 février 1770). |
1849 : Edgar Allan Poe, écrivain américain (° 19 janvier 1809). |
1870 : Fernand Ogier de Baulny, entomologiste français (° 17 janvier 1839). |
1881 : Augustin-Pierre Dubrunfaut, chimiste français (° 1er septembre 1797). |
1886 : |
William Barnes, prêtre anglican et écrivain britannique (° 22 février 1801). |
Gideon Jacques Denny, peintre américain (° 15 juillet 1830). |
Antonio Romero y Andía, compositeur et clarinettiste espagnol (° 11 mai 1815). |
1894 : Oliver Wendell Holmes, écrivain, médecin, essayiste et poète américain (° 29 août 1809). |
1900 : « Dominguín » (Domingo Del Campo y Álvarez dit), matador espagnol (° 12 juin 1873). |
1906 : |
Honoré Beaugrand, homme politique canadien, maire de Montréal de 1885 à 1887 (° 24 mars 1848). |
Émile Pouvillon, écrivain français (° 10 octobre 1840). |
1912 : « El Jerezano » (Manuel Lara Reyes dit), matador espagnol (° 8 décembre 1867). |
1925 : Christopher « Christy » Mathewson, joueur de baseball américain (° 12 août 1880). |
1949 : Joséphine Marguerite Operti, religieuse italienne carmélitaine, fondatrice de la congrégation des Sœurs Carmélites de Sainte Thérèse en 1894 (° 16 novembre 1871). |
1956 : Émile Parys, syndicaliste et homme politique belge |
1958 : « Saleri II » (Julián Sainz Martínez dit), matador espagnol (° 19 juin 1891). |
1959 : Mario Lanza, artiste lyrique américain (° 31 janvier 1921). |
1963 : Gustaf Gründgens, acteur allemand (° 22 décembre 1899). |
1964 : Albert Willemetz, auteur et scénariste français (° 14 février 1887). |
1970 : Alphonse-Marie Parent, prêtre canadien (° 2 avril 1906). |
1974 : René Dary, acteur français (° 18 juillet 1905). |
1975 : Antonio Bienvenida (Antonio Mejías Jiménez dit), matador espagnol (° 25 juin 1922). |
1983 : George Abell, astronome américain (° 1er mars 1927). |
1991 : |
Leo Durocher, joueur de baseball américain (° 27 juillet 1905). |
Natalia Ginzburg, écrivain italien (° 14 juillet 1916). |
1993 : |
Cyril Cusack, acteur irlandais (° 26 novembre 1910). |
Agnes de Mille, chorégraphe, danseuse et metteur en scène américaine (° 18 septembre 1905). |
1994 : Niels Kaj Jerne, immunologiste danois, prix Nobel de médecine en 1984 (° 23 décembre 1911). |
1998 : Walter Bryce Gallie, philosophe, sociologue et historien écossais (° 5 octobre 1912). |
2001 : |
Marie-Louise Camille « Gaby » Basset, actrice française, première épouse de Jean Gabin (° 29 mars 1902). |
Mongo Beti (Alexandre Biyidi Awala dit), écrivain camerounais (° 30 juin 1932). |
Roger Gaudry, chimiste, chercheur et gestionnaire québécois (° 15 décembre 1913). |
2002 : Marcel Paillé, gardien de but de hockey sur glace québécois (° 8 décembre 1932). |
2003 : Israel Asper, entrepreneur canadien (° 11 août 1932). |
2006 : Anna Politkovskaïa (Анна Степановна Политковская), journaliste russe (° 30 août 1958). |
2007 : Norifumi Abe (阿部典史), pilote de moto japonais (° 7 septembre 1975). |
2009 : Irving Penn, photographe américain (° 6 juin 1917). |
2010 : Milka Planinc, femme politique croate, Première ministre yougoslave de 1982 à 1986 (° 21 novembre 1924). |
2011 : Ramiz Alia, homme politique albanais, président de la République d'Albanie de 1982 à 1992 (° 18 octobre 1925). |
2013 : Patrice Chéreau, metteur en scène et réalisateur français (° 2 novembre 1944). |
2015 : |
Gene Allen, directeur artistique américain (° 17 juin 1918). |
Dominique Dropsy, footballeur français (° 9 décembre 1951). |
2016 : |
Peter Denton (en), footballeur anglais (° 1er mars 1946). |
Ross Higgins (en), acteur et chanteur australien (° 14 juin 1930). |
Lioudmila Ivanova (Людмила Ивановна Иванова), actrice russe (° 22 juin 1933). |
Natalie Lamb (de), chanteuse américaine de jazz et de blues (° 10 novembre 1932). |
Anne Pashley, athlète britannique, médaillée olympique en 1956 (° 5 juin 1935). |
Gonzalo Peralta, footballeur argentin (° 17 septembre 1980). |
Martha Roth (en), actrice italienne (° 29 mai 1932). |
Wolfgang Suschitzky (en), photographe et cinématographe britannique (° 29 août 1912). |
Alistair Urquhart (en), auteur et militaire écossais (° 8 septembre 1919). |
William Bond « Bill » Warren (en), historien du cinéma et critique de films américain (° 26 avril 1943). |
Rebecca Wilson (en), journaliste et présentatrice australienne (° 22 décembre 1961). |
2017 : |
Hugo Budinger, joueur allemand de hockey sur gazon (° 10 juin 1927). |
George Dempsey, basketteur américain (° 19 juillet 1929). |
Hugo Dollheiser, hockeyeur sur gazon allemand (° 18 septembre 1927). |
Viatcheslav Vsevolodovitch Ivanov, linguiste et indo-européaniste soviétique puis russe (° 21 août 1929). |
Temir Jumakadyrov, homme politique kirghize (° 4 août 1979). |
Catherine Prévert, scripte française (° 21 décembre 1944). |
Kundan Shah, réalisateur et scénariste indien (° 19 octobre 1947). |
2018 : |
René Bouin, homme politique français (° 23 avril 1937). |
Mohamed Douihasni, homme politique algérien (° 1947). |
Oleg Pavlov, écrivain russe (° 16 mars 1970). |
Celeste Yarnall, actrice américaine (° 26 juillet 1944). |
2019 : |
André Barbault, astrologue français (° 1er octobre 1921). |
Eugène Saccomano, journaliste français (° 23 septembre 1936). |
Makoto Wada, illustrateur, graphiste et réalisateur japonais (° 10 avril 1936). |
2020 : |
Nabil Bechaouch, footballeur tunisien (° 1970). |
Jean Martin, pianiste français (° 7 novembre 1927). |
Mario J. Molina, chimiste et ingénieur mexicain (° 19 mars 1947). |
Károly Vekov, historien, historien de l'art, enseignant et homme politique hongrois (° 26 septembre 1947). |
2021 : |
James Brokenshire, Myriam Sarachik, Ronald S. Stroud, |
le Dr. Jean-Daniel Flaysakier, médecin et chroniqueur médical français de télévision (° 23 septembre 1951). |
Étienne Mougeotte, journaliste et dirigeant de médias français (° 1er mars 1940). |
Naissances
1471 : Frédéric Ier, roi de Danemark et de Norvège de 1523 à 1533 († 10 avril 1533). |
1552 : Sir Walter Raleigh, marin, homme d'État et poète anglais († 29 octobre 1618). |
1573 : William Laud, archevêque de Cantorbéry de 1633 à 1645 († 10 janvier 1645). |
1719 : Jacques Cazotte, écrivain français († 25 septembre 1792). |
1732 : Gilbert Soury, prêtre catholique français, inventeur de la « Jouvence de l'Abbé Soury » († 12 janvier 1810). |
1772 : Jean-François O'Mahony, militaire français († 1842). |
1779 : Louis-Charles d'Orléans, prince du sang français († 30 mai 1808). |
1786 : Louis-Joseph Papineau, homme politique canadien († 25 septembre 1871). |
1794 : |
Théodore-Bara Proust, homme politique français († 15 mars 1845). |
David Lévi Alvarès, pédagogue français († 16 juillet 1870). |
1832 : William Thomas Blanford, géologue et naturaliste britannique († 23 juin 1905). |
1836 : Henri-Elzéar Taschereau, magistrat canadien († 14 avril 1911). |
1839 : Anna Brassey, écrivaine voyageuse britannique († 14 septembre 1887). |
1841 : Antoine de Hohenzollern-Sigmaringen, prince allemand combattant lors guerre austro-prussienne de 1866 († 5 août 1866). |
1860 : Mary Eucharia Ryan, religieuse et pédagogue irlandaise († 1er mai 1929). |
1871 : Simen Fougner, banquier et homme politique norvégien, représentant au Storting († 28 avril 1963). |
1885 : Niels Bohr, physicien danois, prix Nobel de physique en 1922 († 18 novembre 1962). |
1889 : Fanny Durack, nageuse australienne, première championne olympique de natation († 21 mars 1956). |
1894 : Delmer « Del » Lord, réalisateur, scénariste et producteur américain d'origine canadienne († 23 mars 1970). |
1895 : Maurice Grevisse, grammairien belge († 4 juillet 1980). |
1897 : |
Elijah Muhammad, militant religieux américain, meneur de la Nation of Islam († 25 février 1975). |
Charles Chauvel, réalisateur australien († 11 novembre 1959). |
1898 : Jean Grimaldi, chanteur et directeur de théâtre burlesque québécois († 14 octobre 1996). |
1900 : |
1900 : Heinrich Himmler, homme politique nazi allemand († 23 mai 1945). |
Roger François, haltérophile français, champion olympique en 1928 († 15 février 1949). |
1901 : Souvanna Phouma, prince et homme politique laotien, Premier ministre du Laos de 1951 à 1952, de 1956 à 1958, en 1960 et de 1962 à 1975 († 10 janvier 1984). |
1904 : Suzanne Savale, résistante française († 6 septembre 1952). |
1905 : Andrew Vabre « Andy » Devine, acteur américain († 18 février 1977). |
1907 : Pierre Simon, illustrateur, peintre et dessinateur français († 30 janvier 1999). |
1909 : Shura Cherkassky, musicien américain († 27 décembre 1995). |
1911 : Vaughn Monroe, chanteur, musicien et chef d’orchestre américain († 21 mai 1973). |
1913 : Elizabeth Janeway, romancière et critique littéraire américaine († 15 janvier 2005). |
1914 : |
Sarah Churchill (Sarah Millicent Hermione Tuchet-Jesson dite), actrice britannique († 24 septembre 1982). |
Alfred Drake, acteur et chanteur américain († 25 juillet 1992). |
Gelsomino Girotti, joueur de basket-ball italien. |
1916 : Walt Whitman Rostow, économiste et théoricien politique américain († 13 février 2003). |
1917 : |
June Allyson (Ella Geisman dite), actrice américaine († 8 juillet 2006). |
Mila Parely, actrice française († 14 janvier 2012). |
1919 : Georges Duby, historien français († 3 décembre 1996). |
1921 : |
Raymond Goethals, joueur et entraîneur de football belge († 6 décembre 2004). |
André Jacob, philosophe français, universitaire, encyclopédiste, devenu centenaire. |
1923 : |
Michel Kuehn, prélat français († 18 septembre 2012). |
Jean-Paul Riopelle, peintre, graveur et sculpteur canadien († 12 mars 2002). |
1925 : Jacques Crozemarie, fondateur français de l'ARC († 24 décembre 2006). |
1926 : |
Claude Le Sauteur, peintre québécois († 29 novembre 2007). |
Simone Bertière, écrivaine française. |
1927 : |
Juan Benet, écrivain espagnol († 5 janvier 1993). |
Al Martino (Alfred Cini dit), chanteur et acteur américain († 13 octobre 2009). |
1928 : Raymond Lévesque, chanteur québécois († 15 février 2021). |
1931 : Desmond Mpilo Tutu, prélat sud-africain, prix Nobel de la paix en 1984 († 26 décembre 2021). |
1933 : Gilbert Chapron, boxeur français († 5 septembre 2016). |
1934 : |
Amiri Baraka, écrivain, dramaturge et essayiste américain († 9 janvier 2014). |
Ulrike Meinhof, activiste allemande († 8 mai 1976). |
1935 : Thomas Keneally, écrivain australien, auteur de La liste de Schindler. |
1936 : Charles Dutoit, chef d'orchestre suisse. |
1937 : Édouard-Jean Empain, homme d’affaires belge († 20 juin 2018). |
1938 : |
Ann Haydon-Jones, joueuse de tennis britannique. |
Marin Karmitz, exploitant, distributeur, producteur et réalisateur de cinéma français, fondateur de la société MK2. |
1939 : Yvon Le Corre, peintre, navigateur et auteur breton et français († 25 août 2020). |
1943 : Oliver North, militaire américain. |
1944 : Jean Arthuis, homme politique français. |
1945 : |
Kevin Godley, musicien anglais du groupe 10cc. |
Jean-Luc Thérier, pilote de rallye français († 31 juillet 2019). |
1946 : |
1946 : Bernard Lavilliers (Bernard Oulion, dit), chanteur français. |
Catharine MacKinnon, juriste et militante féministe américaine. |
1950 : Jakaya Kikwete, économiste et homme d'État tanzanien, président de la République du 21 décembre 2005 au 5 novembre 2015. |
1951 : |
Enki Bilal (Enes Bilal dit), auteur de bande dessinée et cinéaste français. |
John Mellencamp, chanteur américain. |
1952 : |
Mary Badham, actrice américaine. |
1952 :Vladimir Poutine (Влади́мир Влади́мирович Пу́тин), homme d'État russe, président de la Fédération de Russie de 1999 à 2008, et depuis 2012. |
Jacques Richard, hockeyeur canadien († 8 octobre 2002). |
Ludmilla Tourischeva (Людми́ла Ива́новна Тури́щева), gymnaste soviétique. |
1953 : |
Pawel Lewicki, scientifique en psychologie cognitive américain. |
Hector Juan Samuel « Tico » Torres, musicien américain. |
1954 : Christine Verger, haute fonctionnaire française. |
1955 : Yo-Yo Ma, violoncelliste américain d'origine chinoise. |
1956 : Brian Sutter, hockeyeur canadien. |
1959 : |
Simon Cowell, cinéaste britannique. |
Jean-Marc Fournier, homme politique québécois. |
1960 : |
Viktor Lazlo (Sonia Dronnier dite), chanteuse française. |
Hubert Mansion, musicien et chanteur belge francophone, l'un des trois frères membres du groupe Léopold Nord et Vous. |
1964 : Valérie Maurice, présentatrice de télévision française. |
1965 : Marco Apicella, pilote automobile italien. |
1967 : |
Toni Braxton, chanteuse américaine. |
Marcos Sánchez Mejías (Marcos Ruiz de Alda Sánchez Mejías dit), matador espagnol. |
1968 : |
Sextoy,(Delphine Palatsi), DJ française († 3 février 2002). |
Thomas Edward « Thom » Yorke, musicien britannique du groupe Radiohead. |
1971 : |
Daniel Boucher, chanteur canadien. |
Elena Shevchenko, gymnaste soviétique, championne olympique. |
1973 : |
Nelson de Jesus Silva, footballeur brésilien. |
Clara Dupont-Monod, écrivaine et journaliste française. |
1974 : Charlotte Perrelli, chanteuse suédoise. |
1976 : |
Marc Coma, pilote de rallye-raid moto espagnol. |
Taylor Hicks, chanteur américain, 5e gagnant de l’émission American Idol. |
Gilberto Silva, footballeur brésilien. |
Santiago Solari, footballeur argentin. |
1977 : Ivan Gavalugov, homme politique bulgare. |
1978 : Alesha Dixon, chanteuse britannique. |
1979 : |
Aaron Ashmore, acteur canadien. |
Shawn Ashmore, acteur canadien. |
Simona Amânar, gymnaste roumaine, triple championne olympique. |
1980 : Edison Chen, acteur chinois. |
1982 : |
Madjid Bougherra, footballeur algérien. |
Jermain Defoe, footballeur anglais. |
Robert Louis « Robby » Ginepri, joueur de tennis américain. |
Yundi Li (李云迪), pianiste chinois. |
Jacob Adam « Jake » McLaughlin, acteur américain. |
1983 : Marouane Zemmama, footballeur marocain. |
1986 : |
Bree Olson (Rachel Marie Oberlin dite), mannequin et actrice de cinéma pornographique américaine. |
Anthony Jordan « A. J. » Price, basketteur américain. |
Holland Roden, actrice américaine. |
1987 : Sam Querrey, joueur de tennis américain. |
1989 : |
Hugo Clément, journaliste français. |
Kilian Le Blouch, judoka français. |
1992 : Akou Dulcie Nodjo, escrimeuse togolaise. |
1993 : Lucas Pazat, céiste français. |
1997 : Nicole Maines, actrice transgenre américaine. |
1998 : Trent Alexander-Arnold, footballeur international anglais. |
2000 : Oumaima El Bouchti, taekwondoïste marocaine. |
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
Événements | 7 octobre : Événements | ||||||||||||||||||||||||||
Naissances | 7 octobre : Naissances | ||||||||||||||||||||||||||
Décès | |||||||||||||||||||||||||||
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Dictons | |||||||||||||||||||||||||||
Prénoms | |||||||||||||||||||||||||||
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Événements
1337 : la décision d'Édouard III, roi d'Angleterre, qui dénonce l'hommage prêté à Philippe VI de Valois, et revendique la couronne de France, déclenche la guerre de Cent Ans. |
1346 : lors de la guerre de Cent Ans, David II, roi d’Écosse, attaque l’Angleterre à la tête de 12 000 hommes. |
1513 : bataille de Vicence, l'armée vénitienne est défaite, et anéantie par une armée espagnole. |
1538 : de retour d'un long périple, François Ier de France rencontre sa belle-sœur Marie de Hongrie à Crévecœur-sur-l'Escaut, environ dix ans après la Paix des Dames de leurs aînées, avec pour tentative de transformer en paix durable les trêves des Dames, puis d'Aigues-Mortes, et pour projets de nouveaux mariages de conciliations. |
1539 : une lettre du roi de France François Ier, datée de ce jour, donne autorisation à Charles Quint et un cortège de traverser la France, depuis l'Espagne jusqu'aux Flandres (aux villes en rébellion à mater), ce que l'empereur entreprendra à compter des 10 et 27 novembre suivants. |
1571 : bataille de Lépante, où les flottes espagnole et vénitienne anéantissent la flotte turque ; mais Miguel de Cervantès, encore peu connu, fait partie des prisonniers de cette dernière. |
1777 : victoire américaine décisive, à la deuxième bataille de Saratoga, pendant la guerre d'indépendance américaine. |
1780 : victoire américaine à la bataille de Kings Mountain, pendant la guerre d'indépendance américaine. |
1800 : capture du navire anglais le Kent, par le corsaire malouin Robert Surcouf, où son équipage victorieux aurait entonné la chanson de marins Au 31 du mois d'août, selon la tradition. |
1840 : Guillaume II devient roi des Pays-Bas. |
1870 : lors du siège de Paris, de la guerre franco-prussienne de 1870-71, Léon Gambetta quitte la capitale française à bord du ballon monté L'Armand Barbès, et rejoint le gouvernement replié à Tours. |
1879 : signature de la Duplice, entre l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie. |
1887 : le scandale des décorations éclate, entraînant la démission du troisième président de la jeune IIIe République française Jules Grévy, et la chute du cabinet Rouvier. |
1917 : à Kreuznach, une conférence gouvernementale allemande définit de nouveaux buts de guerre pour le Reich (Première guerre mondiale). |
1940 : |
1940 : en France, le régime de Vichy abroge le décret Crémieux, qui accordait la nationalité française aux Juifs d'Algérie (Seconde guerre mondiale). |
mémo McCollum, concernant les actions à mener afin de lutter contre l'empire du Japon sans mener une guerre ouverte. |
1949 : fondation de la République démocratique allemande. |
1950 : début de l'intervention militaire chinoise au Tibet. |
1958 : la loi martiale est proclamée par le président Iskander Mirza, au Pakistan. |
1963 : ratification américaine du traité d'interdiction partielle des essais nucléaires. |
1977 : adoption de la constitution soviétique de 1977. |
1989 : le jour de la République est célébré pour la dernière fois en République démocratique allemande à la suite de l'effondrement du régime. |
2000 : |
adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de la résolution 1322, qui condamne les actes de violence, particulièrement le recours excessif à la force contre les Palestiniens, qui ont fait des blessés et causé des pertes en vies humaines, et demande à Israël, puissance occupante, de se conformer scrupuleusement à ses obligations juridiques. |
Le prince Henri devient grand-duc du Luxembourg. |
2001 : début de la guerre d'Afghanistan, en représailles aux attentats du 11 septembre précédent, à New York, et en traque de BenLaden et de ses principaux complices talibans. |
2004 : abdication du roi du Cambodge Norodom Sihanouk. |
2014 : |
Ahmed Awad Mubarak est nommé Premier ministre du Yémen. |
En Belgique, les partis CD & V, MR, NVA et Open VLD, s'accordent pour former un gouvernement, dirigé par Charles Michel. |
2016 : attribution du prix Nobel de la paix au président colombien Juan Manuel Santos, pour le processus de paix engagé avec les FARC. |
2018 : |
en Bosnie-Herzégovine, les élections générales ont lieu. |
Au Brésil, au premier tour de l'élection présidentielle, le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro arrive largement en tête, devant le candidat de centre gauche Fernando Haddad. |
Au Cameroun, l'élection présidentielle se tient, dans un contexte d'importantes violences. |
À Sao Tomé-et-Principe, aux élections législatives, l'A.D.I. du Premier ministre Patrice Trovoada arrive en tête, mais perd sa majorité absolue. |
2022 : au Lesotho, les élections législatives sont organisées afin de renouveler les membres de l'assemblée nationale du pays. |
Arts, culture et religion |
1787 : Anne Louis Henri de La Fare devient évêque de Nancy. |
1950 : Mère Teresa fonde les Missionnaires de la Charité. |
1953 : inauguration et consécration de la basilique Notre-Dame-du-Rosaire, dans le Sanctuaire de Fátima (Portugal). |
1993 : Toni Morrison reçoit le prix Nobel de littérature. |
1998 : première diffusion de la série télévisée américaine "Charmed" avec Shannen Doherty, Holly McCombs, Alyssa Milano puis plus tard Rose MacGowan dans les rôles des sœurs sorcières de charme Halliwell, Prue, Piper et Phoebe. |
2021 : le prix Nobel de littérature est attribué au Tanzanien Abdulrazak Gurnah6. |
2022 : le prix Nobel de la paix est attribué au Biélorusse Alès Bialiatski, à l'association russeMemorial et à l'association ukrainienne Centre pour les libertés civiles. |
Sciences et techniques |
1952 : le premier brevet concernant le code-barres est déposé par les Américains Joseph Woodland et Bernard Silver. |
1959 : premières photos prises de la face cachée de la Lune par une sonde soviétique avant que des Américains ne la voient et photographient "humainement" vers Noël 1968. |
2012 : Premier vol du SpaceX Dragon. |
2019 : le prix Nobel de physiologie ou médecine est attribué aux Américains William Kaelin et Gregg Semenza, ainsi qu'au Britannique Peter J. Ratcliffe, pour leurs travaux sur le contrôle de l'oxygénation des cellules. |
2020 : le prix Nobel de chimie est attribué à la Française Emmanuelle Charpentier et l'Américaine Jennifer A. Doudna pour le développement d'une méthode d'édition génomique. |
Économie et société |
1825 : incendie de Miramichi (Nouveau-Brunswick, Canada), qui détruit le village de Newcastle, et 15 000 km2 de forêt (environ 1/5e de la province). |
1940 : création des conseils de l'Ordre des médecins, en France. |
1948 : Citroën présente la 2 CV type A, au salon automobile de Paris. |
1978 : lancement en France du Figaro Magazine. |
2018 : en Roumanie, échec du référendum constitutionnel sur l'interdiction du mariage homosexuel, faute d'une participation suffisante. |
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Dans le monde du transport, les clignotants, ou feux clignotants sont un dispositif lumineux produisant un clignotement, émission de lumière discontinue. Le but de ce fonctionnement discontinu est d'en faire un signal lumineux distinctif et mieux perçu par le cerveau humain.
Signalisation
Les travaux sur les routes sont de plus en plus souvent signalés aux usagers par des feux clignotants de couleur orangée, associés aux panneaux de signalisation routière habituels pour travaux.
D'une manière générale, un feu clignotant sur une voie de circulation indique un danger.
Les aéronefs sont obligatoirement munis de feux de gabarit clignotants.
Habituellement, les clignotants, appelés « signophiles » ou « indicateurs » en Suisse, « clignoteurs » en Belgique, sont utilisés comme indicateurs de changement de direction, ou comme feu de détresse (« warning ») lorsqu'ils fonctionnent ensemble des deux côtés.
Le premier indicateur de changement de direction fut le bras, il était utilisé en automobile de la même manière dont nous l'utilisons toujours à vélo.
Au début des années 1900, les flèches de direction apparaissent en Europe, il s'agit d'un système qui, à la manière des sémaphores ferroviaires, dresse mécaniquement un signe à l'horizontal d'un côté ou de l'autre. En 1908, l'Italien Alfredo Barrachini ajoute des lumières électriques à un système activé par câble et en 1918, une entreprise de Boston ajoute un moteur électrique.
En 1923, les inventeurs français Gustave Deneef et Maurice Boisson utilisent un solénoïde et en 1927 les Allemands Max Ruhl et Ernst Neuman ajoutent un système lumineux à l'appareil. Les Ford A (1927-1931) construites en Allemagne en sont pourvues, alors que les modèles produits aux États-Unis n'en sont pas équipés.
Les flèches de direction sont rendues obligatoires en France sur les voitures neuves vers 1950. Les Peugeot 402 et Peugeot 203, mais aussi les premiers modèles de Peugeot 403 (jusqu'en septembre 1956), certaines Mathis et Coccinelle en sont pourvues (jusqu'en 1960, où elles sont remplacées par des clignotants sur tous les modèles de Coccinelle). Ce système est fragile car le bras casse facilement ou reste bloqué en position ouverte. Il disparaitra au profit de systèmes plus modernes de clignotants électriques.
En janvier 1907, Percy Douglas-Hamilton, un inventeur américain, dépose le premier brevet pour un système d'indicateur de direction (U.S. patent 912831), son système utilise un signal lumineux en forme de main de chaque côté du véhicule. De nombreux brevets seront déposés aux États-Unis dans les années qui suivront mais aucun constructeur ne considère ce type d'installation comme prioritaire.
En 1938, c'est le constructeur américain Buick qui équipe en premier ses véhicules de série de clignotants électriques, le système est appelé « Flash-Way Directional Signal » et n'opère que sur les feux arrière. En 1940, Buick ajoute un mécanisme de coupure automatique sur la colonne de direction et complète le système par des feux à l'avant. Cette même année, les indicateurs de direction sont montés en série aux États-Unis par Buick, Cadillac, et LaSalle et proposés en option par Chevrolet, Oldsmobile, Pontiac, Hudson, et Packard. En 1941, Dodge propose aussi l'option sur tous ses modèles.
Après la Seconde Guerre mondiale, le système se généralise aux États-Unis et des kits sont vendus pour équiper les véhicules qui en sont dépourvus.
La plupart des clignotants automobiles étaient à base de bilame, dorénavant l'électronique a remplacé les technologies électromécaniques. Les signaux à LED font leur apparition à la fin des années 1980.
La présence de feux indicateurs de direction sur un véhicule est régie par l'article R313-14 du Code la route.
L'article R412-10 (mis à jour au 2 avril 2003) du Code de la Route prévoit que :
« Tout conducteur qui s'apprête à apporter un changement dans la direction de son véhicule ou à en ralentir l'allure doit avertir de son intention les autres usagers, notamment lorsqu'il va se porter à gauche, traverser la chaussée, ou lorsque, après un arrêt ou stationnement, il veut reprendre sa place dans le courant de la circulation. »
Les véhicules de secours non prioritaires (France), comme les ambulances, disposent d'un feu clignotant bleu sur le toit, nommé « feu à éclats ».
L'article 28 alinéa 1 de l'Ordonnance sur les règles de la circulation routière (OSR) dispose entre autres :
« Le conducteur annoncera tout changement de direction, y compris vers la droite. »
La lumière émise doit être une lumière clignotante à une fréquence de 90 pulsations par minute plus ou moins 30s, c'est-à-dire entre 1 et 3 Hz. Une lumière clignotant de façon synchrone à une fréquence de 4,0 plus ou moins 1,0 Hz (c'est-à-dire entre 3 et 5 Hz) indique un freinage d'urgence.
Les premières motos équipées de clignotants sont dotées de systèmes lumineux placés à chaque extrémité du guidon.
Les clignotants commencent à se généraliser sur les deux-roues à moteur à partir des années 1970, notamment sur les motos d'origine japonaise. En France, les indicateurs de changement de direction ne seront obligatoires sur les motocyclettes qu'à partir de mars 1989 (pour les véhicules mis en circulation à partir de cette date).
Le symptôme de dysfonctionnement le plus fréquent est une vitesse anormale du clignotement, d'un seul côté. Généralement, ceci indique qu'une lampe est défectueuse précisément de ce côté : il suffit de la changer ou de supprimer le mauvais contact de cette lampe (oxydation des contacts). Ceci est induit par le règlement 48 de la CEE-ONU: «il doit être clignotant et s’éteindre ou rester allumé sans clignoter ou doit présenter un changement de fréquence marqué au moins en cas de fonctionnement défectueux de l’un quelconque de ces feux indicateurs de direction.»
Un autre dysfonctionnement classique est un éclairage faible d'un clignotant arrière, en même temps que le clignotant allume le « feu stop ». Il s'agit d'une masse défectueuse (tôle de carrosserie oxydée, par exemple).
Une absence totale de fonctionnement peut être due à un fusible défectueux.
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Les BB 17000 sont des locomotives électriques monocourant 25 000 volts de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF). Mises en circulation de 1965 à 1968 sur les lignes au départ de Paris-Saint-Lazare et de Paris-Nord, elles assuraient la traction de trains rapides sur des relations comme Paris – Le Havre ou Paris – Lille. Ces machines ont servi à tracter des trains de banlieue depuis ou vers trois gares parisiennes, à tirer des rapides et express ou de lourds trains de marchandises jusque dans les années 2000. Elles sont en cours de radiation progressive depuis 2007.
Ce sont des machines à courant monophasé (uniquement aptes au 25 kV) de la grande famille des « BB Alsthom », surnommées « danseuses », avec les BB 8500, les BB 16500, les BB 20200 et les BB 25500. À l'origine en livrée verte, la SNCF voulu mettre à jour son parc en repeignant une partie de la série en livrée béton dès 1976 avec la BB 17029. La série a été ensuite repeinte pour une partie en livrée Île de France dans les années 1990 ou, pour 21 d'entre elles, en livrée En Voyage dans les années 2000.
Ces locomotives sont issues des BB 25500 mais sans l'équipement d'alimentation électrique en courant continu. Le reste de l'engin est identique à sa série mère sur la plupart des points : double réduction, châssis, etc.
Elles ont été construites à 105 exemplaires (BB 17001 à 17105). La série a été complète pendant un peu plus de 39 ans : les premières machines radiées ont été les BB 17099 et BB 17101 en novembre 2007.
Descendantes directes des BB 16500, elles ont sur ces dernières un certain avantage sur le plan de la puissance. Elles peuvent rouler à 140 km/h(150 km/h dans le passé).
L'appellation « danseuses » par les mécaniciens provient de la mauvaise stabilité de ces locomotives (très faible empattement des bogies) qui ont tendance à prendre un mouvement de lacet qui entraîne une oscillation de la caisse par rapport à l'axe longitudinal de celle-ci. Leur suspension rudimentaire avec des plaques de friction en acier pour supporter la caisse les rend particulièrement bruyantes dans les entrées et sorties de courbes.
Les BB 17000 disposent d’un système de redresseurs de courant en pont employé, en opposition aux systèmes des blocs redresseurs des BB 12000, BB 16000 et des BB 16500, qui est un montage « push-pull » ou va-et-vient. On utilise pour cela des gros « interrupteurs » qui vont être ouverts quand le courant est opposé à leurs sens et fermés quand le courant est dans leurs sens. Le composant électronique qui fait cette tâche est, en théorie, la diode.
Comparaison entre un graduateur linéaire (BB 16500) et un graduateur circulaire (BB 17000) :
graduateur linéaire type BB 12000, BB 16000, BB 16500 : assez encombrant, il fournit une tension variable de 0 à 15 kv en 20 crans et 20 intercrans utilisables sur résistance. La commande est manuelle par volant (BB 12000) ou par cerclo et servomoteur électrique JH (BB 16000, BB 16500) ;
graduateur circulaire type BB 17000 (utilisé également sur les BB 25500, BB 25100 et BB 25200) : il est compact et fournit une tension variable de 0 à 25 kv en 32 crans avec intercran de passage : le schéma et le fonctionnement sont identiques au précédent. La commande est faite par cerclo et un servomoteur électro-pneumatique est installé (4 pistons disposés en ligne).
Cette série de machines a été mise en service en 1966 sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre à la suite de l'électrification de la section d'Achères à Sotteville. Après une première partie de carrière variée sur différents types de trains qui les conduisait jusqu'à Vaires via la Grande Ceinture, elles ont été regroupées sur les trains de la banlieue parisienne. Elles sont aujourd'hui affectées à l'activité Transilien.
Les machines du dépôt d'Achères subsistent en réserve de secours pour les groupes IV et VI du réseau de Paris Saint-Lazare (Paris-Saint-Lazare – Mantes par Conflans-Sainte-Honorine / Pontoise / Gisors) et sur le groupe V (Paris-Saint-Lazare - Mantes-la-Jolie par Poissy).
Celles du dépôt des Joncherolles étaient présentes aussi sur le réseau de Paris-Nord, entre Paris et Persan - Beaumont par Ermont - Eaubonne.
L'arrivée des BB 27300 sur le réseau de Paris Saint-Lazare entraîne progressivement la radiation de ces engins depuis dix ans. Elle sera accélérée avec l'arrivée des Z 50000.
Machines particulières
BB 17005 : machine reconstruite sur un châssis de BB 25500 après un accident. Cette locomotive est visible en tête d'un train de fret dans le film Un air de famillelors d'une séquence tournée aux abords d'un passage à niveau de Stains.
BB 17011 : machine ayant parcouru la plus longue distance parmi tous les éléments radiés avec un total de 4 973 421 kilomètres, nombre pouvant bien sûr être dépassé par les locomotives encore en service.
BB 17029 : c'est la seule locomotive de la série ayant conservé la livrée béton jusqu'à sa radiation consécutive à un incendie en 2010 à Paris-Saint-Lazare.
BB 17037, 46, 59, 66 ont reçu une livrée IDF avec un bas de caisse rouge.
BB 17075 : cette locomotive a porté un panneau d'adieu le 8 décembre 2016, lors du remplacement de ces machines attelées à des RIB, par des rames Z 50000, sur l'axe transversal de la ligne H.
BB 17083 : elle participa à une campagne de publicité pour la SNCF en 2006.
BB 17099 et BB 17101 : ce sont les deux premières vendues à la Roumanie.
Achères – Pontoise
Bréauté-Beuzeville – Gravenchon-Port-Jérôme
Grande ceinture de Paris (Achères – Bobigny ou Villemomble)
Paris-Saint-Lazare – Le Havre (pendant la première partie de leur carrière où elles ont remorqué la quasi-totalité des trains express et des trains de fret)
Ligne P du Transilien : Paris-Est – Meaux et Paris-Est – Coulommiers, jusqu'en 2014
Ligne K du Transilien : Paris-Nord – Crépy-en-Valois, jusqu'en septembre 2016
Ligne H du Transilien : Pontoise – Creil, jusqu'au 8 décembre 2016
Ligne J du Transilien : Paris Saint-Lazare – Tous les terminus de la ligne J jusqu'au 7 avril 2019
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Les CC 72000 forment une série de locomotives Diesel-électriques, construites à 92 exemplaires, pour la Société nationale des chemins de fer français par Alsthom. Ce sont les locomotives Diesel les plus puissantes de la SNCF. Trente d'entre elles sont devenues des CC 72100, par remotorisation.
Elles ont été commandées le 29 décembre 1965 ; la première a été mise en service le 20 décembre 1967 au dépôt de Rennes et la dernière le 21 juin 1974. Leur design est dû à Paul Arzens.
Les vingt premières de la série n’atteignaient que 140 km/h, la vitesse maximale des suivantes (ainsi que de la 72017 après une réparation accidentelle suite à un incendie) a été rehaussée à 160 km/h. Trente d’entre elles ont été remotorisées et renumérotées, entre 2002 et 2004, dans la tranche CC 72100 (en conservant leur numéro d'ordre initial) ; trente six autres ont été radiées, dont douze en 2005. Par ailleurs, les 72001 à 72020, plus lentes, ont été soit radiées soit affectées au Fret. Six d'entre elles (72003, 72009, 72018, 72020, 72027 et la 72085) ont été vendues à l'ONCF, les chemins de fer marocains. Les dernières CC 72000 françaises sont affectées à Nevers. Leur coût de maintenance élevé ainsi que leur limitation à 85 km/h sur le rapport de réduction marchandises ont accéléré la fin de leur carrière.
En service international, les CC 72000 ont desservi régulièrement les villes suisses de Bâle et de Genève avec les dessertes Paris - Bâle via Mulhouse et Valence - Genève via Grenoble. Sur cette dernière relation les CC 72000 tractaient des compositions allant jusqu'à quatorze voitures Corail les vendredis et dimanches. Elles ont également tracté en service intérieur les trains allers et retours Grenoble - Nantes ou Grenoble - Bordeaux (« Le Ventadour »), relations assurées de bout en bout qui comptèrent parmi leurs plus longs parcours en service voyageurs.
En décembre 2009, les CC 72000 ont effectué leurs dernières prestations commerciales régulières sur la transversale Nantes - Tours - Lyon, où elles furent remplacées par des X 72500. Toutefois, une des principales raisons de leur retrait, outre leur âge, est la pollution générée par leurs moteurs Diesel non compatibles avec les nouvelles normes UIC européennes. Depuis 2009, seules subsistent au parc les 72049, 72074 et 72084, versées à l'activité Matériel. Elles sont utilisées principalement pour l'acheminement dans un dépôt ou à la casse de matériel radié ou lors des campagnes d'essais de nouveau matériel. De façon plus rare, elles remplacent, sur la ligne 4, les CC 72100 défaillantes jusqu'au retrait complet des compositions tractées en avril 2017.
Les CC 72000 sont reconnaissables au bruit de leur moteur, qui donne la mesure de leur puissance.
Les premières locomotives diesels de lignes françaises des années 1960 ne permettent pas de remplacer de façon économique la traction vapeur : la puissance fournie est trop faible, ce qui complique le service sur les lignes non électrifiées qui voient passer des trains de passagers express de 850 tonnes et de marchandises de 1 500 tonnes. Il y a aussi le problème du chauffage des trains de voyageurs : pour augmenter la température de la rame de 15° par rapport à l’extérieur, il faut parfois abaisser la vitesse de 82 à 78 km/h. C’est pour satisfaire à ces problèmes que la CC 72000 fut mise en service. Le 12 avril 1968, la CC 72002 est venue à Grenoble pour y effectuer des essais sur la ligne des Alpes de Grenoble à Veynes.
Les CC 72001 à 72016 et 72018 à 72020 étaient aptes à 140 km/h, les CC 72017 et 72021 à 72092 étaient aptes à 160 km/h. On les voyait ainsi en tête de trains rapides, bien adaptées à prendre le relais de la traction vapeur sur les lignes non électrifiées. Cependant, elles furent surtout utilisées pour des trains de longue distance, comme Quimper - Toulouse via Nantes et Bordeaux, Lyon - Marseille via Grenoble et Veynes (ligne des Alpes), Valence - Genève viaGrenoble (ligne de Grenoble à Montmélian), Genève - Marseille et Genève - Nice via Grenoble (de Genève à Valence), Saint-Gervais - Nice (avec traction des trains de Chambéry à Valence), Grenoble - Nantes et Lyon - Nantes, Grenoble - Bordeaux et Lyon - Bordeaux, Reims - Dijon via Châlons-en-Champagne, Paris-Montparnasse - Nantes, Paris-Est - Belfort, Paris-Est - Bâleou encore Paris-Austerlitz - Clermont-Ferrand.
Les CC 72000 ne connurent pendant leurs carrières que les dépôts de Rennes, Chalindrey, Vénissieux et Nevers. Les CC 72100 sont toutes basées à Chalindrey. En 2009, seuls les dépôts de Nevers et de Chalindrey étaient encore dotés de ce type de locomotives dont certaines ont été revendues au Maroc. Les CC 72000 connurent leurs heures de gloire avec la traction des Trans-Europ-Express (TEE) « Jules Verne » Paris-Montparnasse - Nantes (395,1 km) créé le 28 septembre 1975, et « L’Arbalète » Paris-Est - Zurich jusqu’à Bâle à partir du 28 septembre 1969 et jusqu’au 26 mai 1979, ainsi que du train « Ventadour » Bordeaux - Grenoble via Brive-la-Gaillarde et Lyon. Avant l’électrification, les CC 72000 assuraient la traction des grands rapides de la ligne Paris Gare de Lyon - Clermont-Ferrand : l’Arverne, le Bourbonnais, le Thermal et le Cévenol. En service international, les CC 72000 ont desservi régulièrement les villes suisses de Bâle et de Genève.
La CC 72000 avait quand même ses limites. Aux heures de pointe du vendredi soir et dimanche soir, où les trains sont généralement plus lourds car complets, il y avait un manque de puissance et il fallait fréquemment la remplacer par deux locomotives des séries BB 67400, avec pour conséquence le ralentissement de la marche de 160 à 140 km/h, en partie compensé par la nervosité plus importante des 67400, et une consommation accrue de carburant pour les deux machines.
À titre d’essai en 1987, le moteur fut remplacé sur quelques-unes des locomotives par un SEMT Pielstick de type V12 PA 6, qui peut fournir 3 100 kW à 1 050 tr/min. Seules les 72044 et 72075 ont été modifiées de la sorte.
En 1972, des CC 72000 du dépôt de Vénissieux effectuent la traction d’un train quotidien entre Lyon et Marseille viaGrenoble et Veynes par la ligne des Alpes. Ce service resta exceptionnel et n’aura duré qu’un seul été. En effet, en raison du grand gabarit des CC 72000, lors de leur passage dans le tunnel du Grand Brillon (long tunnel en « S » et à gabarit étroit) au-dessus de la gare de Vif, les gaz d’échappement refoulaient à l’intérieur des engins en étouffant le moteur thermique.
En 1974, la construction des CC 72000 est stoppée en raison du choc pétrolier de 1973. Les prix du kWh ont trop augmenté, passant de 4 centimes avant 73 à 12, 20, puis 30 centimes.
Le 26 décembre 1996, la locomotive diesel CC 72067, en livrée bleue et blanche, tracte le train Corail Grenoble - Nantes viaLyon, Bourges, Vierzon, Tours, Saumur et Angers.
Le 29 juin 1999, la locomotive diesel CC 72070, en livrée bleue et blanche, tracte le train Corail Genève - Valence viaBellegarde, Aix-les-Bains, Chambéry et Grenoble.
Le 12 août 2003, la locomotive diesel CC 72059, en livrée bleue et blanche, tracte le train 4490/1 « Le Ventadour » Bordeaux - Grenoble via Clermont-Ferrand et Lyon.
En 2009, les dernières CC 72000 en service sont utilisées pour le fret et les Intercités ; les CC 72100 tractent encore les Intercités sur Paris - Mulhouse via Troyes et Belfort ainsi que des TER Reims - Dijon via Châlons-en-Champagne.
Le 13 décembre 2009, les CC 72000 restantes ont assuré leurs derniers trains réguliers sur la transversale Nantes - Lyon et ne sont plus utilisées à ce jour (août 2011) que comme machines de réserve.
À l’automne 2011, pour pallier l’indisponibilité des BB 15000 et CC 72100 sur les trains Intercités au départ de Paris-Est, les CC 72074 et 72084 effectuent un retour aussi remarqué qu’inattendu en tête de trains sur l’axe Paris - Mulhouse via Troyeset Belfort.
Avec les nouvelles réglementations UIC antipollution, les dernières CC 72000 sont retirées du service, la plupart d’entre elles ont été revendues à l'ONCF (Office National des Chemins de fer Marocains). Ne devraient subsister que les CC 72100 remotorisées.
Le 18 janvier 2012, la CC 72084 assure à Paris un train exceptionnel composé d’une voiture Club 32 sur la Petite Ceinture. Acheminée depuis Juvisy par les voies du RER C, elle marque un arrêt à la station Invalides afin d’embarquer les membres de l'association propriétaires des voitures à dégarer et les agents de manœuvre et de sécurité SNCF. Au boulevard Victor-Pont du Garigliano, elle manœuvre pour emprunter la Petite Ceinture. Sa mission sera alors de récupérer les 4 voitures BAR Corail stationnées dans le tunnel de la gare de Vaugirard. Ces 4 voitures seront ensuite acheminées vers la gare de la Glacière-Gentilly. La CC 72084 et sa voiture Club 32 repartiront ensuite sur la Petite Ceinture vers le boulevard Victor avant d’emprunter de nouveau les voies du RER C afin de rentrer à son dépôt. Les quatre voitures Corail seront à terme repositionnées dans le tunnel de la porte d'Ivry
CC 72006 : cette machine est la seule locomotive de la série peinte en livrée Multiservices bleue Isabelle. Par la suite, elle a été repeinte en livrée Fret, avec laquelle elle finit sa carrière.
CC 72029 : livrée Fret, préservée à la cité du train de Mulhouse. Elle est exposée depuis peu dans le nouvel espace extérieur, ouvert au public tous les jours d'avril à septembre.
CC 72030 (blasonnée Chalindrey et devenue CC 72130) a reçu 4 livrées : la livrée bleue d'origine, la livrée Bleu Blanc Rouge (livrée unique sur un engin à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, l'été 1989), la livrée Multiservices rouge et enfin la livrée En voyage en devenant CC 72130. Elle est également la locomotive diesel française totalisant le plus de kilomètres parcourus depuis sa mise en service (plus de 9 millions de km à son retrait du service le 2 avril 2017[réf. nécessaire]).
CC 72061, 72062, 72064 : ont été équipées pour la traction du TGV Atlantique pour la desserte « TGV Vendée » des Sables-d'Olonne (attelage Scharfenberg...) qui a été supprimée le 11 décembre 2004. Du fait de leur moindre utilisation, ces trois machines ont fait partie du dernier carré de la série en service commercial le 13 décembre 2009.
CC 72049 et 72074 : ces machines servent uniquement pour les trains de l'AEF (Agence d'Essais Ferroviaire) et font des acheminements spéciaux et des essais dans toute la France.
La 72075 : équipée du moteur 12PA6 280 de chez Pielstick d'une puissance de 4800CV. Remise au type avec le moteur AGO V16 elle servira de banc d'essai pour le moteur 16PA4-200. Elle sera de nouveau remise au type AGO V16. Lors de la transformation en 72100 elle recevra à nouveau un moteur 16PA4-200. Elle a donc eu 5 motorisations successives au cours de sa carrière.
CC 72084 : toujours en circulation et conservée en état d'origine, avec le macaron peint en rouge, seules les plaques latérales et le blason ont été ôtées. Cette machine a tracté le 1er octobre 1978 le train du centenaire de la ligne des Alpesentre Grenoble et Veynes. Affectée aux acheminements spéciaux, elle a également tracté le Train du Rugby, train-expo faisant la promotion de la Coupe du Monde 2007, pendant l'année 2006 dans toute la France, profitant de cette occasion pour être remise en peinture mais avec poses du nouveau logo SNCF et d'autocollants du rugby de façon transitoire, avant de retourner à l'état d'origine. Elle est affectée à l'Agence d'Essai Ferroviaire. À terme, elle devrait intégrer les collections de la Cité du Train de Mulhouse à la fin de son service
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Le TEE Jules Verne (Paris-Montparnasse - Nantes).
Paris-Est - Troyes - Chaumont - Culmont-Chalindrey - Belfort - Mulhouse - Bâle, en service international.
Valence - Grenoble - Chambéry - Bellegarde - Genève, en service international.
Le Catalan Talgo Genève - Barcelone, entre Chambéry et Valence via Grenoble, en service international.
Le Rhodanien Genève - Marseille, entre Chambéry et Valence via Grenoble, en service international.
Bâle - Nice, entre Genève et Valence via Grenoble, en service international.
Le Ventadour Bordeaux - Clermont-Ferrand - Lyon - Grenoble.
L'Aubrac Paris - Béziers, entre Paris et Clermont-Ferrand.
Paris - Nevers - Clermont-Ferrand - Le Mont-Dore.
Paris - Brest et Saint-Malo.
Paris - Quimper.
Paris - Remiremont, de Nancy à Remiremont, relayant ainsi une locomotive électrique à Nancy.
Paris-Nord - Calais-Ville (uniquement entre Amiens et Calais-Ville), Calais Maritime et Boulogne Maritime de 1970 à 1995.
Paris-Nord - Beauvais.
Paris-Nord - Laon.
Quimper - Lorient - Vannes - Nantes - La-Roche-sur-Yon - La Rochelle - Rochefort - Saintes - Bordeaux - Toulouse.
Quimper - Marseille.
Amiens - Reims.
Reims - Épinal.
Reims - Châlons-en-Champagne - Saint-Dizier - Chaumont - Culmont-Chalindrey - Dijon.
Nantes - Angers - Saumur - Tours - Vierzon - Bourges - Lyon - Voiron - Grenoble.
Nantes - La-Roche-sur-Yon - La Rochelle - Rochefort - Saintes - Bordeaux.
Lyon - Roanne - Vichy - Riom - Clermont-Ferrand.
Lyon - Grenoble.
Lyon - Grenoble - Veynes - Marseille (uniquement pendant l'été 1972).
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Rumilly - Annecy.
Valence - Grenoble - Chambéry - Aix-les-Bains - Bellegarde-sur-Valserine - Genève, en service international.
Nancy - Belfort.
Strasbourg - Nice, de Mulhouse ou Belfort à Lyon.
Strasbourg - Lyon, de Mulhouse ou Belfort à Lyon.
Paris - Troyes - Belfort - Mulhouse.
Lyon - Grenoble.
Vénissieux - La Buisserate (Grenoble).
Nevers - Montchanin - Dijon.
Riom - Châtelguyon.
Saint-Germain-des-Fossés - Vichy.
Saint-Germain-des-Fossés - Puy-Guillaume.
Saint-Germain-des-Fossés - Moulins-sur-Allier.
Vierzon - Tours.
Vierzon - Saint-Amand-Montrond.
Vierzon - La-Guerche-sur-l'Aubois - Marseilles-lès-Aubigny.
Petite ceinture à Paris.
Portes-lès-Valence - Valence - Grenoble.
Chambéry - Grenoble.
Saint-Étienne - Saint-Germain-des-Fossés.
Le Mans - Saint-Pierre-des-Corps.
Grande Ceinture Nord parisienne.
Creil - Beauvais.
Corbeil - Malesherbes.
De nombreuses lignes à voie unique dans plusieurs régions (Rhône-Alpes, Champagne-Ardenne, Centre, etc.).
À Sotteville-lès-Rouen, ville ayant un important passé ferroviaire, un immeuble a été construit en forme de CC 72000. Il est d'ailleurs nommé résidence CC
La gare de La Souterraine apparaît dans le film de Patrice Chéreau Ceux qui m'aiment prendront le train. A la 25e minute de ce film, la première vue complète du train permet de constater qu'il est tracté par une CC 72000. Pourtant, à la 39e minute de ce film, l'unique vue complète du train qui repart de la gare de La Souterraine est tracté par une BB 67400 (gros plan sur la locomotive à la 40e sans que le numéro de série soit lisible)..
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La DS, et sa déclinaison simplifiée la Citroën ID, est commercialisée par Citroën entre 1955 et 1975, tout d'abord en berline puis en break et cabriolet. Le « D » vient probablement de l'usage du moteur le plus récent alors de Citroën, le « moteur série D », qui équipait la Traction 11 D jusqu'en juillet 1957. L'ID et la DS reprennent le même principe de la traction, qui a fait la renommée de Citroën.
Dessinée par le sculpteur et designer italien Flaminio Bertoni en collaboration avec André Lefebvre, ingénieur issu de l'aéronautique, et l'ingénieur hydraulicien Paul Magès, cette automobile est révolutionnaire par bien des aspects. À l'origine, son long capot est prévu pour accueillir un moteur 6-cylindres, mais tant le 6-cylindres en ligne de la 15, que celui à plat, ne purent être adoptés, pour cause de mise au point non aboutie et d'encombrement car ce moteur 'pénétrait' dans l'habitacle. Son nom de code est « VGD » (Véhicule de grande diffusion), la conception du projet étant lancée par le PDG de Citroën Pierre-Jules Boulanger puis son successeur Pierre Bercot. Elle est le point de mire du salon de l'automobile en 1955. Elle est dotée d'une ligne extrêmement audacieuse, qualifiée même de révolutionnaire, et d'un confort intérieur remarquable grâce à sa suspension hydropneumatique propre à la marque jusqu'en mai 2017. La DS comporte également de nombreuses innovations techniques qui la démarquent du monde de l'automobile de son époque en Europe : direction assistée, boîte de vitesses assistée à commande hydraulique, freinage assisté par des freins à disque à l'avant, pivot de direction dans l'axe des roues et, à partir de septembre 1967, phares pivotants, puis, de septembre 1969, introduction de l'électronique (moteur à injection). Innovation de sécurité importante : le volant de direction monobranche, copié sur la Humber Humberette de 1903 et conçu pour éviter de briser la cage thoracique du conducteur en cas de choc frontal violent. Sur le tachymètre des DS 21 présentées en septembre 1965 seront également rappelées les distances de freinage associées aux principales vitesses sur route.
La DS est vite adoptée par les cadres supérieurs et les notables puis par les vedettes et les élus de la République, jusqu'au général de Gaulle qui en fait la voiture officielle de la présidence(elle lui sauvera la vie au cours de l'attentat du Petit-Clamart).
En 1999, la DS est récompensée en arrivant en troisième position du concours international Voiture du siècle derrière la Ford Model T et la Mini. Cette même année, elle est nommée « plus belle voiture de tous les temps » par le magazine britannique Classic & Sports Car (en).
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La Société anonyme de véhicules industriels et d'équipements mécaniques ou SAVIEM est une entreprise créée le 23 décembre 1955 par la fusion de la société Latil, des poids lourds Renault et de Somua, sous la marque Saviem LRS puis Saviem.
Avant cette date, il existait en France officiellement, douze marques avec une production de dix-huit mille véhicules par an.
Le résultat de la fusion entraînait une gamme complexe avec des modèles de camions très différents. Une rationalisation allait être nécessaire pour simplifier l'ensemble de la gamme.
Pour les modèles 1957, le Renault « fainéant » dont la fabrication est transférée à l'usine Saviem de Blainville-sur-Orne (actuelle usine Renault Trucks de Blainville) est le premier camion à prendre la marque Saviem seule. Deux modèles existent : le Mondragon de 15,5 tonnes de poids total en charge (P.T.C.) avec une charge utile de 5 tonnes et le Tancarville de 15,8 tonnes de P.T.C. avec une charge utile de 7 tonnes.
Pour 1959, le Saviem-LRS JL 19 de 9 tonnes de P.T.C. lancé en 1955 devient le Saviem JL20 en recevant un nouvel avant avec quatre projecteurs tandis que la direction assistée pneumatiquement apparaît. Les JL21 de 11 tonnes, JL23 de 13 tonnes et JL25 de 15 tonnes de P.T.C. complètent la gamme. L'autocar Saviem ZR20 succède au car R4190.
En avril 1959, Saviem absorbe les cars Chausson (trois sites de fabrication). En mai, la marque Latil disparaît. En 1961, le constructeur d'autocars Floirat situé à Annonay est racheté.
En 1961, une usine de moteur diesel est inaugurée sur le site de l'ancienne manufacture d'armement de Limoges située au Palais-sur-Vienne appelé localement l'Arsenal. Ces moteurs sont nommés Fulgur en configuration 4 et 6 cylindres de 4,6 et 6,8 litres. Aussi, Saviem signe un accord commercial d'association avec Henschel pour distribuer les camions allemands en France mais cette entente prendra fin deux ans plus tard.
Pour 1961, le JL adopte le moteur Fulgur et une calandre avec deux barres chromées.
En 1963, Saviem achète la licence M.A.N. du procédé d'injection directe.
Au Salon de Paris, la marque lance la cabine 710 sur la nouvelle gamme moyenne S.
Le S5 (5,5 tonnes de charge utile) possède un moteur à essence de 4 cylindres. Il existe une version tracteur routier S5T pour remorque de 16,5 tonnes de charge utile avec un moteur diesel 4 cylindres Renault 5914 de 3 litres ou un 6 cylindres Perkins de 5,8 litres.
Le S7 (comme 7 tonnes de charge utile) est équipé du moteur diesel 6 cylindres Perkins G-354 à injection directe de 5,8 litres et de 126 chevaux à 2 800 tours par minute, d'une transmission manuelle à 5 rapports avec commande au volant et de freins à air comprimé.
À partir de mars 1964, des moteurs M.A.N. équipent la nouvelle gamme haute JM (M pour M.A.N.). Elle conserve la cabine du JL, de type 830 pour les courtes distances ou de type 840 avec une ou deux couchettes pour les longues distances.
Le porteur de 19 tonnes de P.T.C. JM200 (qui remplace le JL20) est équipé du moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 2146 HM3F de 9,66 litres et de 210 chevaux à 2 100 tours par minute, d'une boîte à 2x5 vitesses et de freins à air comprimé. Il y a deux choix de cabine. Il existe un tracteur JM200T pour semi-remorque de 35 tonnes de P.T.R.
En juillet, le S8 (8 tonnes de charge utile), avec le même moteur et la même boîte de vitesses que le S7, complète la gamme moyenne avec des choix d'empattements de 3 à 4,5 mètres. Il existe un tracteur S8T de 19 tonnes de poids total roulant (P.T.R.).
Au Salon de Paris, le porteur de 19 tonnes de P.T.C. JM170, possède un moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 836 HM8 de 7,03 litres et de 165 chevaux à 2 500 tours par minute, une boîte à 6 vitesses et des freins à air comprimé. Le système de blocage du différentiel est en option. Il y a deux choix de cabine et il existe un tracteur JM170T de 35 tonnes de P.T.R.
En 1965, Saviem introduit le porteur de 12,7 tonnes de P.T.C. JM240, avec la cabine type 840, un moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 2146 HM4F de 9,66 litres poussé à 235 chevaux à 2 200 tours par minute, une boîte à 2x5 vitesses et des freins à air comprimé. Il existe un tracteur JM240T de 35 tonnes de P.T.R.
À côté des JM, les JL continuent :
Le porteur de 14,8 tonnes de P.T.C. S9 (nouvelle appellation pour l'ex-JL25) conserve le moteur diesel 6 cylindres Fulgur (type F646) de 6,84 litres et de 150 chevaux à 2 500 tours par minute, avec une boîte à 6 vitesses et des freins à air comprimé. Le système de blocage du différentiel est en option. Le S9 existe avec des empattements de 3 à 4,6 mètres et en tracteur S9T de 25 tonnes de P.T.R.
Le JL29A, avec deux choix de cabines type 830 ou 840, est un porteur de 17,5 tonnes de P.T.C. avec le même moteur diesel et la même boîte de vitesses que le S9.
Toujours en 1965, la marque rachète le constructeur d'engins de travaux publics Richard frères - Continental. En septembre, l'autobus standard SC10 est lancé.
En 1967, les constructeurs M.A.N. et Avia coopèrent avec Saviem.
Saviem signe un accord commercial avec M.A.N. pour disposer des moteurs allemands et de la cabine arrière du futur Saviem H32. En retour, M.A.N. vend sous sa marque la petite gamme SG, la gamme moyenne SM et la gamme haute Europe fabriquées par Saviem. La mise en application se fera pour 1969.
L'accord avec Avia prévoit la fabrication sous licence de la petite gamme SG à Prague en Tchécoslovaquie et une commercialisation à travers tous les pays de l'ex-union soviétique sous la marque Avia.
En septembre, la cabine 710 de la gamme moyenne devient basculante et s'appelle 812. Elle se distingue grâce aux projecteurs rectangulaires.
Les SM5 (8,7 tonnes de P.T.C.), SM6 (9 tonnes de P.T.C.), SM7 (10,95 tonnes de P.T.C.) et SM8 (12,3 tonnes de P.T.C. et 19 à 21,5 tonnes de P.T.R. en tracteur avec remorque) de la gamme moyenne possèdent un moteur diesel six cylindres 597 (sauf SM5) de 5,27 litres et de 135 chevaux à 2 900 tours par minute, une transmission manuelle à 5 rapports et des freins à air comprimé (SM7 et SM8). Les empattements sont de 3 ; 3,5 ; 4 ; 4,5 et 5,3 mètres.
En mars 1968, la marque lance la cabine Europe (type 860) sur la nouvelle gamme haute.
La gamme Europe se compose des SM10, SM12, SM170, SM200, SM240 et SM280 V8. Le modèle SM240 est le plus vendu.
Le porteur de 15,99 tonnes de P.T.C. SM10 est équipé d'un moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 0846 HM-N84 de 7,258 litres et de 170 chevaux à 2 500 tours par minute, d'une transmission type 330 à 6 rapports avec le levier de vitesses monté sur la colonne de direction, de freins à air comprimé et d'un système de blocage du différentiel en option (version chantier).
Le porteur de 19 tonnes de P.T.C. SM170 possède le même moteur que le SM10 poussé à 180 chevaux à 2 500 tours par minute avec une transmission à 6 rapports et des freins à air comprimé.
Le tracteur de 35 tonnes de P.T.R. SM240 dispose d'un moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 2156 HM-N6, de 10,35 litres et de 235 chevaux à 2 200 tours par minute, d'une boîte à 2x6 vitesses et de freins à air comprimé. Il existe un porteur SM240 de 19 tonnes de P.T.C.
En octobre, le tracteur SM280 de 35 à 38 tonnes de P.T.R., avec la cabine en version de jour ou en option avec deux couchettes, bénéficie d'un moteur diesel V8 M.A.N. 2658 M4 de 14,96 litres et de 250 à 304 chevaux. La boîte de vitesses type 342 est à 2x5 rapports. Les freins sont à air comprimé. Il existe un porteur SM280 de 19 tonnes de P.T.C. En 1973, un turbocompresseur est adapté sur le SM280 TU de 285 ch qui évoluera en PS30 de même puissance.
En mai 1969, l'autocar E7 à moteur arrière est lancé.
En 1970, le tracteur de 38 tonnes de P.T.R. SM300 (gamme Europe) possède un moteur diesel V8 M.A.N. 2658 M42 de 14,96 litres et de 300 chevaux à 2 200 tours par minute, une transmission manuelle type 350 à 2x5 rapports, des freins à air comprimé et une configuration 6x4 avec un système de blocage du différentiel. Il existe un porteur SM300 de 26 tonnes de P.T.C.
En 1971, Le tracteur de 38 tonnes de P.T.R. SM260 (gamme Europe) est équipé d'un moteur diesel 6 cylindres M.A.N. 2356 HM5D de 10,689 litres et de 256 chevaux à 2 200 tours par minute, d'une transmission type 343 à 2x5 rapports et de freins à air comprimé. Il existe un porteur SM260 de 19 tonnes de P.T.C.
En 1972, les constructeurs DAF, Magirus-Deutz, Saviem et Volvo s'entendent pour produire en commun une cabine basculante commune afin de réduire les coûts de développement de leur gamme moyenne (Daf F700, F900, F1100, Magirus-Deutz à moteur KHD, Saviem J et Volvo F4/F6). La cabine 8704 du « club des quatre » apparaît en janvier 1975 chez Saviem. Ensuite, la cabine sera aussi montée sur les camions Berliet de la gamme B.
En 1974, Saviem s'engage aux côtés de Fiat et Alfa Romeo pour créer la société Sofim, "SOcietà Franco-Italiana di Motori S.p.A." qui verra le jour le 13 septembre 1974. Sofim assurera la conception et la production de nouveaux moteurs diesel rapides de 2,5 litres de cylindrée7, qui équiperont nombre d'automobiles dont la Renault Safrane et véhicules industriels comme l'Iveco Daily et Renault Master. Saviem, intégré dans R.V.I., revendra rapidement sa participation minoritaire et sera un simple client, privilégié, de Sofim qui sera intégré dans Fiat Powertrain Technologies après le rachat d'Alfa Romeo par Fiat en 1986.
En 1975, Saviem intègre le constructeur Sinpar.
En 1977, la marque introduit la série H moyenne haute. Les modèles HB possèdent un moteur 6 cylindres diesel Berliet MID 06.20.30 de 8,82 litres et 185 chevaux à 2 400 tours par minute, des transmissions à 6 et 10 rapports, des freins à air comprimé, des empattements de 3,91 à 6,39 mètres et un système de blocage du différentiel en option. La cabine large 8754 dérive du type 870. Il existe un HB15 (15 tonnes de charge utile), un HB17 (17 tonnes de charge utile), un HB19 (19 tonnes de charge utile), un HB26 porteur-remorqueur de 15 tonnes de poids total autorisé en charge (P.T.A.C.) ou de 26 tonnes de poids total roulant autorisé (P.T.R.A.) et un HL38 porteur-remorqueur de 19 tonnes de P.T.A.C. ou de 38 tonnes de P.T.R.A.
Le camion tactique Saviem SM8 4x4 est lancé. Jusqu'à 1985, 16 160 exemplaires sont commandés par l'armée française.
En 1978, Renault réorganise le nouveau groupe constitué des marques Berliet et Saviem pour créer l'unique constructeur français de poids-lourds, Renault Véhicules Industriels, la branche « poids lourds » du groupe Renault.
Le 21 avril 1980, tout comme Berliet, Saviem voit son nom disparaître des modèles au profit de la marque commune R.V.I. - Renault Véhicules Industriels
Histoire de la division autobus
En 1955, lors de la fusion de la division poids lourds de Renault avec les petits constructeurs de camions Floirat, Latil et Somua, la division autobus prend également le nom de SAVIEM LRS, (LRS pour Latil-Renault-Somua), filiale de la Régie Renault.
En 1949, Renault lançait le R4190, un véhicule à moteur couché 6 cylindres horizontaux, placé derrière l'essieu des roues avant. Très reconnaissable avec ses deux phares ronds superposés, son pare-brise en deux parties avec un énorme montant central, il est construit sur un châssis à structure autoportante.
Après la formation de SAVIEM LRS, le R4190 aura de nombreux descendants directs. présenté en 1958, le ZR20 est un véhicule d'origine Latil, avec un pare-brise galbé en deux parties. Le SC1 qui lui succède en 1960 est motorisé par un bloc Fulgur et équipé d’une suspension Aérostable, en fait un modèle ZR20 de luxe. La version urbaine à 3 portes latérales sera baptisée SC2.
En 1959, SAVIEM LRS intègre son grand concurrent Chausson et le nom est simplifié en simplement Saviem.
En 1960, arrive la seconde génération du SC1. En 1964, Saviem lance un modèle à la ligne de la face avant un peu plus moderne et anguleuse, le S45 qui sera renommé Renault S45 en 1978 et qui restera en production jusqu'en 1993. Le véhicule repose toujours sur l'ancien SC1, ultime évolution du vieil autocar Renault R4190, décliné également en version 53 places S53 et autobus urbain S105. Il est disponible avec deux moteurs, un français essence développant 150 ch et un diesel acheté à l’allemand MAN développant 165 ch. Aucun moteur diesel compatible n'étant disponible chez Renault.
Conscient que les modèles commercialisés sur le marché hexagonal ne peuvent pas être exportés à cause d'un style dépassé par rapport à la concurrence étrangère, Saviem demande à des carrossiers spécialistes étrangers de créer des caisses et habitacles plus modernes. C'est ainsi qu'en France on a pu voir des modèles Saviem S45 avec des carrosseries signées Jonckheere, Orlandi, ou Gandlof.
Au cours des années, le S45 va lentement évoluer. En juillet 1987, il bénéficie d'une dernière retouche esthétique et sera retiré du catalogue en 1993, enfin remplacé par le Renault Tracer, après 44 ans. Très utilisé pour le transport scolaire, il n’est pas rare d'en voir, encore aujourd’hui, quelques rares exemplaires encore en service, souvent dans la version S53 RX. Son architecture datant de 1949, malgré quelques rares évolutions, en a fait la réputation d'un véhicule robuste, mais très rudimentaire.
En 1965, l'intégration de la carrosserie Chausson, donnera naissance au Saviem SC10, où SC signifie « Saviem-Chausson ». Le modèle restera en production jusqu’en 1989, avec le SC10.R. L’objectif de ce modèle était de proposer un modèle standardisé en grande série pour abaisser les coûts de fabrication. Techniquement, le SC10 voit enfin son plancher s’abaisser pour faciliter l'accès à bord en évitant de multiplier les marches, mais restera encore à 60cm du sol. Le premier prototype est livré à la RATP en 1961 mais sa présentation officielle n'intervient qu'en juin 1963 et le premier exemplaire sort des chaînes en mai 1965. Il est propulsé par un moteur diesel MAN, 6 cylindres en ligne développant seulement 150 ch. Le SC10 sera produit à près de 1.500 en 5 ans. À l'automne 1981, Renault présente le SC10.R, qui n'est qu'un simple restyling avec une face avant plus ronde qui lui permet de "tenir" jusqu’en 1989. Cette "nouvelle" face avant ne réussit pas à masquer l’âge très avancé du véhicule, que ce soit techniquement ou esthétiquement. En 24 ans, le SC10 aura été produit à 11.004 exemplaires.
La gamme des autobus Saviem restera quasiment inchangée jusqu'au transfert de Saviem à Renault Véhicules Industriels en 1978 qui poursuivra la production de ces modèles sous son nom le 24 avril 19808.
Production
Modèle | Production | Remarques |
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UI 20 | 1958-1959 | Isobloc 655 DHU produit par Saviem suite au rachat de la firme. |
SC3/SC4 | 1959-1964 | Appellation commerciale du Chausson AP suite à la fusion des deux compagnies avec SC3 modèle autocar (ex. AP522) et SC4 modèle autobus (ex. APV). |
SC10 | 1965-1989 | Lancé et commercialisé sous la marque Saviem et renommé Renault en 1980. |
SG.220 | 1978-1983 | Lancé et commercialisé sous la marque Saviem c'est un MAN SG 220. |
Modèle | Production | Remarques |
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R.4192 | 1955-1957 | Renault R4190 sous la marque Saviem à partir de 1955. |
ZR.20 | 1958-1960 | Simple évolution du R.4192. |
SC1/SC3 | 1960-1964 | Le modèle SC1 est l'évolution du ZR.20 avec l'apport de Chausson. Le SC3 n'est autre que l'ancien Chausson AP. |
S.45 et S.53 | 1964-1993 | Lancés sous la marque Saviem, renommés Renault en 1980. |
E.7 | 1969-1983 | Lancé sous la marque Saviem, devient Renault E.7 en 1980. |
Fainéant, Mondragon, Tancarville et TP10 Tancarville
JL puis JM à moteur M.A.N.
SG1, SG2, SG3 et SB2
SG4 et SG5
S5, S6, S7, S8 puis SM5, SM6, SM7, SM8 et SM8T à moteur M.A.N.
Série J
Série H
SM gamme Europe puis PS
PX
TP3 (4x4)
TP6, TP7 et TP8 Sinpar
SM8 4x4
SD5 et SD8 FAR
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