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Publié à 16:51 par dessinsagogo55 Tags : merci centerblog sur
Lèvres

 



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Dolores Costello

Publié à 16:42 par dessinsagogo55 Tags : couple actrice center fille centerblog gif sur enfants mort maison sommaire
Dolores Costello

Dolores Costello, née le 17 septembre 1903 à Pittsburgh, Pennsylvanie, morte le 1er mars 1979 à Fallbrook, en Californie, est une actrice américaine. Celle qui fut surnommée « la déesse du cinéma muet » est surtout connue aujourd'hui comme la grand-mère de l'actrice et productrice Drew Barrymore.

Fille du couple d'acteurs Mae et Maurice Costello, elle apparaît dans de nombreux films tout au long des années 1910 et au début des années 1920, surtout aux côtés de son père et de sa sœur Helene. Elle monte sur les planches avec sa sœur en 1924 à New York, dans la pièce George White Scandals. Les deux actrices sont remarquées par la Warner Bros. qui les prend sous contrat. L'acteur maison John Barrymore la choisit comme partenaire dans The Sea Beast en 1926. Ils se marient en 1928 et ont deux enfants, DeDe en 1931 et John Drew, l'année suivante. Dolores se retire alors des écrans pour élever ses enfants. Sa sœur et son mari, l'acteur Lowell Sherman, finissent pourtant par la convaincre de divorcer de son mari, alcoolique, en 1935.

Après son divorce, l'actrice participe à plusieurs grosses productions et sa carrière semble redémarrer, mais, prématurément enlaidie par des années de maquillage, elle doit se retirer rapidement dans son ranch californien où elle vit en recluse jusqu'à sa mort.

Filmographie
1926 : The Third Degree de Michael Curtiz : Annie Daly
1927 : When a Man Loves de Alan Crosland : Manon Lescaut
1928 : L'Arche de Noé (Noah's Ark) de Michael Curtiz : Mary / Miriam
1929 : Hearts in Exile de Michael Curtiz
1936 : Le Petit Lord Fauntleroy (Little Lord Fauntleroy) de John Cromwell : 'Dearest' Erroll
1942 : La Splendeur des Amberson (The Magnificent Ambersons) d'Orson Welles : Isabel

Distinction
1926 : WAMPAS Baby Stars

 

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Aurore Dupin : L'amour ...

Publié à 13:20 par dessinsagogo55 Tags : center amour centerblog sur merci



L'amour est un trésor et une conquête pour les uns ,
une attente ou un regret pour les autres ...

" d'Aurore Dupin "
 

 



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Augustin Calmet

Publié à 12:26 par dessinsagogo55 Tags : revenu sur chez saint center centre maison histoire google divers livres

Augustin Calmet (né Antoine Calmet) est un exégète et érudit lorrain du XVIIIe siècle, connu sous le nom de Dom Calmet, bénédictin de la Congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe.

Augustin Calmet

Il naquit le 26 février 1672 à Ménil-la-Horgne, près de Commercy en Meuse, au sein d'une famille modeste. Son père était maréchal-ferrant. Comme il est porté vers les études, ses parents le font entrer au prieuré bénédictin de Breuil. Il entre à 15 ans à l'université de Pont-à-Mousson et suit les cours de rhétorique du père jésuite Ignace L'Aubrussel (qui deviendra le confesseur de la reine d'Espagne). À la fin de ces études, il entra chez les bénédictins de la Congrégation de Saint-Vanne et Saint-Hydulphe. Son noviciat se fit à l'Abbaye Saint-Mansuy de Toul où il prononça ses vœux le 23 octobre 1689. Il fut envoyé ensuite suivre les cours de philosophie à l'Abbaye Saint-Èvre de Toul et ceux de théologie à l'Abbaye de Munster.
Il est ordonné prêtre le 1er mars 1696 à Arlesheim, près de Bâle, et dit sa première messe à l'abbaye de Munster le 24 avril 1696.

Augustin Calmet
Dom Augustin Calmet


Il fut chargé d'expliquer les saintes Écritures dans l'abbaye de Moyenmoutier et à Munster (1704), fut nommé prieur à Lay-Saint-Christophe (1714-1715) puis devint abbé de Saint-Léopold de Nancy (1718). Il parcourut les divers monastères de son ordre, dévorant les bibliothèques et rédigeant de nombreuses compilations historiques. En 1728, Dom Calmet fut appelé comme abbé de Senones, la capitale de la principauté de Salm. C'est dans la grande abbaye vosgienne qu'il travailla et vécut la dernière partie de son existence, entretenant une correspondance avec de nombreux savants. Il y mourut le 25 octobre 1757.
En 1746, il écrit le Traité sur les apparitions des esprits et sur les vampires, qui fait dire à Voltaire dans son Dictionnaire philosophique:

« Quoi ! C'est dans notre XVIIIe siècle qu'il y a eu des vampires ! C'est après le règne des Locke, des Shaftesbury, des Trenchard, des Collins ; c'est sous le règne des d'Alembert, des Diderot, des Saint-Lambert, des Duclos qu'on a cru aux vampires, et que le RPD Augustin Calmet, prêtre, bénédictin de la congrégation de Saint-Vannes et de Saint-Hydulphe, abbé de Senones, abbaye de cent mille livres de rente, voisine de deux autres abbayes du même revenu, a imprimé et réimprimé l'Histoire des Vampires, avec l'approbation de la Sorbonne, signée Marcilli ! »

Toujours critique, Voltaire consulte néanmoins les ouvrages de Calmet, s'appuie de façon fréquente sur sa prodigieuse érudition pour l'élaboration de ses propres écrits, en particulier le Dictionnaire philosophique.


Une rue du centre-ville de Nancy porte aujourd'hui son nom depuis 1867. Une rue de Metz, située dans le quartier du Sablon, porte son nom depuis 1934.
À Commercy (Meuse) et à Senones (Vosges) des places portent son nom.
Son monument funéraire est érigé dans l'Abbaye Saint-Pierre de Senones et comporte la liste des ses œuvres majeures.


L'œuvre de Dom Augustin Calmet est éclectique et prolifique. Ses principaux ouvrages sont :
Abrégé de l'histoire de la Lorraine, Nancy, (1734) ;
La Bible en latin et en français, avec un Commentaire littéral et critique, Paris, 1707-1716, 23 vol. in-4 (le commentaire a été reproduit à part sous le titre de Trésor d'antiquités sacrées et profanes, 9 v., 1722 et ann. suiv.) ;
Bibliothèque lorraine, ou histoire des hommes illustres qui ont fleuri en Lorraine, Nancy, (1751) ;
Commentaires sur l'Ancien et le Nouveau Testament, en latin puis en français (26 volumes) (1707-1717) ;
Dictionnaire historique et critique de la Bible, Paris, 1722-1728, 2 vol. m-fol. Ces deux ouvrages capitaux ont été plusieurs fois réimprimés, et ont reçu des augmentations considérables ;
Dissertation sur les grands chemins de Lorraine, Nancy, (1727) ;
Histoire de l'Ancien et du Nouveau Testament ;
Histoire de l'abbaye de Munster, Colmar, (posthume, 1882) ;
Histoire de l'abbaye de Senones, Saint-Dié, (posthume, 1877-1881) ;
Histoire ecclésiastique et civile de la Lorraine, Nancy, (1728), 4 vol., in-fol. ;
Histoire généalogique de la maison du Châtelet, Nancy, (1741) ;
Histoire universelle sacrée et profane, Strasbourg, (1735-1747) ;
Notice de la Lorraine, Nancy, 1756 (Edition de 1840 sur Google Books) ;
Traité historique des eaux et bains de Plombières, de Luxeuil et de Bains, Nancy, (1748) ;
Traité sur les apparitions (1746), 2 t. 1751
Le Dictionnaire Bouillet indique au XIXe siècle qu'on ne peut refuser, à Calmet une "érudition immense ; mais son style est lourd, diffus, incorrect, et l'auteur manque souvent de critique et de méthode". Cet avis est discutable.

Augmentation de salaire

Publié à 12:24 par dessinsagogo55

Audrey Landers

Publié à 12:15 par dessinsagogo55 Tags : center blog actrice love tendresse musique centerblog sur mer merci vie moi france rose 2010 nuit
Audrey Landers

Audrey Landers (née : Audrey Hambourg, le 18 Juillet 1956 à Philadelphie , Pennsylvanie , Etats-Unis ) est une actrice, chanteuse , compositrice et parolière américaine


Elle fut connu à travers la série "Dallas", mais en réalité la vie d'Audrey Landers a commencé une carrière de chanteuse. Son plus grand succès a été le 1983 "Manuel Goodbye", qui a même atteint le top 10 en Allemagne et n ° 3 en France. "Lune de miel à Trinité", "Little River" et "Playa Blanca" salué le succès continu du parallèle États-américaine de leur temps d'activité à Dallas.

 

http://youtu.be/xcFOAz33Wbo

Manuel Goodbye

 

 


Discographie

1983: Little River
1984: Où le vent souffle au sud
1985: la génération Paradise
1986: The Big Country
1988: Secrets
1990: Mes rêves pour vous
1991: Rendez-Vous
1992: The Christmas Album Audrey Landers
2005: Traces d'un été
2006: Dolce Vita
2010: des traces de ta tendresse



Singles

1983: Manuel Goodbye (D n ° 10, FRA n ° 3, n ° 4 CH, NL # 4)
1983: Little River (D # 28, # 6, # 15 CH, NL # 38)
1984: Playa Blanca (D n ° 38, NL # 3)
1984: Lune de miel à Trinité-
1984: Mi Amor (avec Camilo Sesto) (D # 52, NL # 26)
1985: Nuit d'été à Rome
1985: la génération Paradise
1985: Jim, Jeff & Johnny
1986: Yellow Rose of Texas
1986: Nuits Tennessee
1987: Ces ailes argentées
1987: Bella Italia
1987: Apprends-moi à la roche (avec Judy Landers comme "Rock Candy")
: 1987 Hurricane une (avec Judy Landers comme "Rock Candy") (produit par Drafi allemand )
1988: Silver Bird (écrit par Renate Vaplus alias allemand Drafi )
1988: Ne jamais envie de danser
1989: Autant en emporte le vent
1989: Soleil de la Jamaïque
1990: Shine a light
1990: Shadows of Love
1991: Au revoir Santa Maria
1991: Monte Carlo
1997: Aujourd'hui, j'ai pensé à toi (avec Bernard Butler) (D # 100)
2004: Parce que nous voyons tous le même soleil (avec le fils de Daniel)
2005: Nuit d'été sur le lac Majeur
2006: In Your Eyes était Dolce Vita
2007: Summer Dream
2009: l'été, la mer et le soleil

 

 

 
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Arletty

Arletty, nom de scène de Léonie Bathiat, née le 15 mai 1898 à Courbevoie (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) et morte le 23 juillet 1992 à Paris, est une actrice française.
Elle est inhumée au cimetière de Courbevoie.

Arletty

Elle est la fille de Michel Bathiat, chef du dépôt des tramways de Courbevoie, et de Marie Dautreix, blanchisseuse. Elle a un frère cadet, Pierre. Elle fait de bonnes études dans une institution privée dénommée Sainte-Thérèse, à Clermont-Ferrand, puis entreprend d'étudier la sténographie chez Pigier. La guerre de 1914 fauche sur le champ de bataille son premier amour, qu'elle surnommait « Ciel » à cause de la couleur de ses yeux. En 1916, son père meurt, écrasé par un tramway. Arletty, son frère et sa mère sont expulsés du dépôt.

Arletty

Elle se laisse alors séduire par un banquier, Jacques-Georges Lévy. Ils ont le même âge. Il l'amène dans sa villa 18, avenue Alphonse-de-Neuville, à Garches. Ils ont pour voisins Coco Chanel et André Brulé. Jacques-Georges lui fait connaître le théâtre, les grands couturiers, les bons restaurants et la haute société parisienne. Lorsqu'elle le quitte, elle rencontre Paul Guillaume, le marchand de tableaux qui révéla Picasso, Modigliani et Soutine, qui épousera Marie-Thérèse Walter. Arletty est recommandée à Armand Berthez, directeur du petit théâtre des Capucines. Elle était mannequin chez Poiret sous le pseudonyme d'Arlette, elle devient donc Arletty pour jouer dans des revues de Rip, où la fantaisie et le luxe sont de mise.

Elle débute au cinéma en 1930, dans La Douceur d'aimer, auprès de Victor Boucher. Dès 1931, elle se distingue dans un premier rôle dans le ravissant film de Jean Choux, Un chien qui rapporte. Elle inspire les peintres Marie Laurencin, Kees van Dongen, Moïse Kisling, Fujita et Jean-Gabriel Domergue, qui la prennent comme modèle. Elle a pour ami Pierre de Régnier, fils de Marie et Henri de Régnier, mais enfant naturel de Pierre Louÿs. En 1928, elle rencontre Jean-Pierre Dubost, qui restera son fidèle compagnon.

Sa carrière sur scène prend un tournant décisif dans l'opérette de Raoul Moretti, Un soir de réveillon, en 1932 aux Bouffes-Parisiens, avec Henry Garat, Dranem et Koval. Elle joue ensuite dans Ô mon bel inconnu, une opérette de Reynaldo Hahn, sur un livret de Sacha Guitry. Puis c'est Au Bonheur des dames avec Michel Simon, joué près de 500 fois sans interruption, malgré leurs désaccords successifs. Elle fait la connaissance de Louis-Ferdinand Céline. Elle tourne La Guerre des valses de Ludwig Berger avec Fernand Gravey, Dranem et Madeleine Ozeray. C'est dans Pension Mimosas de Jacques Feyder, avec Françoise Rosay, qu'elle fait la connaissance de Marcel Carné.

Arletty

Jacques Prévert et Marcel Carné lui offriront au cinéma ses plus beaux rôles, dont un film de Carné-Jeanson, Hôtel du Nord, qui la rend célèbre et la fait entrer de son vivant dans la légende du Paris populaire. « Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? », lance-t-elle à Louis Jouvet, sur une passerelle qui enjambe le canal Saint-Martin.
Dans un même registre, elle incarne Marie qu'a-d'ça dans Circonstances atténuantes de Jean Boyer, auprès de Michel Simon. Elle lance, gouailleuse : « Pas folle, la guêpe ! » Elle enregistre la chanson de ce film Comme de bien entendu et de nombreuses ritournelles de ses revues ainsi que La Java et Mon Homme, pour rendre hommage à sa grande amie Mistinguett.
Sous l'Occupation, elle a l'occasion d'interpréter ses plus beaux rôles : Madame sans gêne, de Roger Richebé, et surtout Dominique dans le film Les Visiteurs du soir, avec Alain Cuny, Jules Berry, Marie Déa, et Garance des Enfants du paradis de Marcel Carné, avec Jean-Louis Barrault, Pierre Brasseur et Maria Casarès. Le scénario est signé Jacques Prévert.
Au théâtre des Bouffes-Parisiens, elle est Isabelle dans Voulez-vous jouer avec moa, une comédie de Marcel Achard, avec Pierre Brasseur.
Après la Libération, Arletty est arrêtée, non pour faits de collaboration, mais en raison d'une liaison avec Hans Jürgen Soehring (1908-1960), un officier allemand. Ils s'étaient connus à Paris, le 25 mars 1941. Soehring lui avait été présenté ce jour-là par Josée de Chambrun, épouse de René de Chambrun et fille de Pierre Laval. Soehring était à l'époque assesseur au conseil de guerre de la Luftwaffe à Paris. Elle aurait dit à Michèle Alfa et Mireille Balin, qui avaient aussi comme amants des officiers allemands : « On devrait former un syndicat. » Elle est internée quelques jours à Drancy, puis à Fresnes. Libérée, on lui conseille de quitter la capitale. Elle trouve refuge pour 18 mois au château de La Houssaye-en-Brie, chez des amis résistants. Prise à partie par l'un des FFI à son arrestation, elle a cette réponse : « Si mon cœur est français, mon cul, lui, est international ! », phrase qui lui avait été suggérée par Henri Jeanson. Elle répond à une détenue qui lui demandait des nouvelles de sa santé : « Pas très résistante. » Après la guerre, Hans Soehring se mariera et deviendra consul de la République fédérale d'Allemagne à Léopoldville (aujourd'hui Kinshasa) en République démocratique du Congo où il mourra, tué par un crocodile.

Arletty

Au théâtre, elle joue Un tramway nommé désir de Tennessee Williams, avec Daniel Ivernel et un débutant nommé Louis de Funès, puis La Descente d'Orphée avec Jean Babilée. Elle paraît aussi dans Un otage de Brendan Behan avec Georges Wilson. Au cinéma, elle joue dans des films tels que Portrait d'un assassin avec Erich von Stroheim, Gibier de potence avec Georges Marchal, L'Amour Madame, aux côtés de François Périer, Le Grand Jeu avec Jean-Claude Pascal et Gina Lollobrigida, Maxime d'Henri Verneuil avec Michèle Morgan et Charles Boyer. En tournant Et ta sœur, elle fait la connaissance de Jean-Claude Brialy qui débute. Plus tard, elle retrouve Marie Déa et Hélène Perdrière, des amies qui lui resteront fidèles.
En 1966, elle perd son frère et Jean-Pierre, son ami intime et unique compagnon de route, malgré des « hauts et des bas ». Elle perd aussi partiellement la vue et doit interrompre Les Monstres sacrés de Jean Cocteau, au théâtre des Ambassadeurs. Elle disparaît de la scène et de l'écran, mais prête sa voix pour différents reportages.
À partir de 1984, elle soutient activement l'Association des Artistes Aveugles et sa Présidente fondatrice Marguerite Turlure (qu'elle surnomme « ma Marguerite du Faubourg St-Martin » en ajoutant toujours « moi aussi je suis une fleur des faubourgs » - témoignage de Didier Guelfucci, habitué des après-midi de la rue de Rémusat et bras droit de Mme Turlure), amie de longue date rencontrée par l'entremise de la chanteuse Renée Lebas... Jusqu'à sa mort, Arletty restera fidèle à l'Association des Artistes Aveugles dont elle est pour toujours la Présidente d'Honneur...

Annie Girardot : Une grande actrice

Publié à 11:43 par dessinsagogo55 Tags : sommaire center blog photo paris actrice centerblog femme sur

Annie Girardot (Annie Suzanne Girardot) est une actrice française, 
née le 25 octobre 1931 à Paris (10e) et morte dans cette ville le 28 février 2011
Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère . Mais , rapidement , elle se consacre à sa passion , la comédie . Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949 , Annie Girardot fait , parallèlement , des apparitions , le soir , dans des cabarets . . . 
Elle obtient son premier grand rôle en 1955 dans" treize à table " Taille 1m63 

 

 

 

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Mise à jour :2/07/2020

 

Annie Girardot : Ses premières apparitions



Ses premières apparitions au cinéma sont moins éclatantes, dans des films mineurs, mais elle tient remarquablement tête à Jean Gabin dans deux bonnes séries noires : Le rouge est mis et Maigret tend un piège.

Elle démissionne finalement en 1960 du Français à contrecœur pour se consacrer essentiellement au cinéma et tourner pour le film de Luchino Visconti, Rocco et ses frères, qui fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que Alain Delon (qui restera à jamais un ami fidèle de la comédienne), Renato Salvatori ou Claudia Cardinale. Mais, sur les planches, elle sera encore dirigée par le réalisateur italien pour Deux sur la balançoire aux côtés de Jean Marais. Elle connaît un triomphe, en 1974, avec Madame Marguerite, qui devient son rôle-fétiche, qu'elle reprendra plusieurs fois jusqu'en 2002.



Dans les années 1960, Annie Girardot n'est pas sollicitée par les réalisateurs de la Nouvelle Vague, mais tourne avec des réalisateurs confirmés comme Alexandre Astruc (La Proie pour l'ombre), Roger Vadim (Le Vice et la Vertu, avec la débutante Catherine Deneuve), Gérard Oury (Le crime ne paie pas) ou encore Marcel Carné (Trois chambres à Manhattan). C'est d'ailleurs sur le tournage de ce dernier film qu'a débuté Robert de Niro, qui dira d'Annie Girardot : « Elle est la plus belle femelle mec que je connaisse »

Partageant sa vie entre la France et l'Italie, Annie Girardot tourne également avec de nombreux réalisateurs italiens comme Marco Ferreri, qui lui fera tenir le rôle surprenant d'une femme singe, phénomène de foire, dans Le Mari de la femme à barbe, film audacieux qui provoquera un scandale lors de sa présentation au Festival de Cannes 1964. Elle tourne aussi avec Mario Monicelli (Les Camarades, avec Marcello Mastroianni) et les frères Taviani (Les Hors-la-loi du mariage).

En 1971 sort Mourir d'aimer, film d'André Cayatte, qui va révolutionner la carrière de la comédienne. Inspiré de l'affaire Gabrielle Russier, ce film raconte l'histoire d'amour entre une enseignante et un des élèves lycéen ; une histoire dérangeante qui fera l'objet d'un procès retentissant et conduira l'enseignante au suicide. Ce film est un énorme succès avec près de six millions d'entrées en France, mais ne plaît pas à tout le monde. Ainsi, François Truffaut écrit une lettre ouverte, dénonçant la façon très démagogique, selon lui, avec laquelle André Cayatte a traité cette affaire. Ce rôle reste cependant comme l'un des plus marquants de la comédienne, lui assurant même une reconnaissance internationale.

Annie Girardot

À partir de là, elle devient l'actrice française la plus populaire, alternant comédies et mélodrames, n'hésitant pas, à l'occasion, à aider de jeunes cinéastes à tourner leur premier film. Grâce à elle, et à Philippe Noiret, surgit l'une des comédies les plus insolites de cette époque, La Vieille Fille, en 1971, signée Jean-Pierre Blanc. Le spécialiste des comédies Serge Korber l'engage pour son prémier drame, Les feux de la Chandeleur en 1972, où elle incarne une mère de deux enfants adultes (Claude Jade, Bernard Le Coq) qui tente de reconquérir son ex-mari (Jean Rochefort). De Vivre pour vivre en 1967 à On a volé la cuisse de Jupiter en 1980, Annie Girardot a contribué grâce à son interprétation de « femme normale et populaire » à imposer vingt films millionnaires au box-office. D'ailleurs, à cette époque, à chaque sortie d'un nouveau film, on allait voir « la Girardot » au cinéma : à la fin des années 1970, elle est l'actrice la mieux payée et la star préférée des Français.

Sa rencontre avec Michel Audiard sera déterminante dans sa carrière. Le dialoguiste fera d'elle une des principales interprètes de ses films lorsqu'il passe à la réalisation. Ainsi devient-elle une femme de ménage trop bavarde dans Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais... elle cause ! puis une femme régnant sur un bidonville et spécialisée dans le trafic de saintes reliques dans Elle cause plus, elle flingue. Il lui ouvre alors les portes de la comédie, elle qui jusqu'alors été cantonnée aux rôles plus dramatiques.



En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de nœud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.

En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.

En 1974, elle remporte un énorme succès au box-office dans La Gifle de Claude Pinoteau. Dans ce film, elle incarne l'ex-femme de Lino Ventura et la mère d'une débutante nommée Isabelle Adjani. Sa maîtrise approximative de l'anglais donnera lieu à quelques scènes et répliques cultes dans le film.

Elle reçoit, en 1977, le César de la meilleure actrice pour Docteur Françoise Gailland de Jean-Louis Bertucelli, autre film marquant dans la carrière de la comédienne. Elle y incarne une femme médecin luttant contre un cancer des poumons.

En 1978, elle partage l'affiche de La Zizanie de Claude Zidi avec un acteur pour lequel elle a une immense admiration : Louis de Funès. Les deux acteurs rêvaient de tourner ensemble depuis quelques années. Ce sera malheureusement leur unique collaboration.

Durant les années 1970, elle forme avec Philippe Noiret, rencontré sur Le Rendez-vous en 1961, un véritable couple de cinéma. Ensemble, ils tourneront, La Vieille Fille en 1971, La Mandarine en 1972, Tendre poulet en 1977 et On a volé la cuisse de Jupiter en 1980 (ils seront également tous les deux à l'affiche de Souvenirs, souvenirs en 1984 mais ils n'ont aucune scène commune). Ils devaient se retrouver en 2001 dans un film de Bertrand Blier intitulé Tête de nœud, mais le film ne verra jamais le jour.

La gouaille d'Annie Girardot est souvent mise au service de films mettant en avant les femmes et le féminisme, et elle incarne alors cette cause en interprétant une série de rôles qui jouent sur le décalage de personnages assumant des métiers d'ordinaire réservés aux hommes : médecin, chauffeur de taxi, reporter-photographe, commissaire de police, etc. À travers ses rôles, elle défend des causes comme la lutte contre le cancer, le droit à l'avortement, le droit à la parité.



En 1979, elle est de nouveau nommée aux Césars, dans la catégorie meilleure actrice, pour le film La Clé sur la porte d'Yves Boisset. Fatiguée d'endosser toujours les mêmes rôles, Annie Girardot désire faire une pause dans sa carrière cinématographique. Elle commence par tenir une rubrique à la radio en 1981 dans une émission de Stéphane Collaro sur Europe 1. Tous les jours, dans Paroles de femmes, elle fait le récit d'aventures quotidiennes exceptionnelles, drôles, inquiétantes ou émouvantes, réellement arrivées à des femmes.

Puis, l'actrice décide de se lancer dans l'enregistrement d'un disque. C'est Bob Decout qui est chargé d'en écrire les chansons. Il devient finalement le compagnon de l'actrice en 1981. Cette relation l'entraîne vers un univers différent : la musique. Elle chante lors d'une émission de Jacques Chancel, puis monte avec Bob Decout un spectacle musical intitulé Revue et corrigée sur des musiques de Catherine Lara et avec des costumes de Jean-Paul Gaultier au Casino de Paris (alors en passe d'être transformé en parking). Considérée comme bancale, la production ne trouve pas de financement et Annie Girardot doit hypothéquer son appartement de la place des Vosges. Le spectacle est un fiasco et ne reste qu'un mois à l'affiche. Girardot enchaîne avec une pièce de théâtre et un film qui ne fonctionnent pas plus. Ces échecs la plongent dans un grand désarroi moral et financier, accentués par le décès de sa mère et les problèmes de drogue de sa fille.

Annie Girardot se tourne alors davantage vers le théâtre, jouant ainsi L'Avare de Molière aux côtés de son ami Michel Serrault, Première Jeunesse avec Odette Joyeux, ou encore Le roi se meurt de Ionesco avec Daniel Ivernel. En 1987, la télévision lui permet de retrouver le chemin des plateaux. Elle devient la vedette de la toute première saga de l'été diffusée sur TF1 : Le Vent des moissons. Le succès est immense et l'année suivante, c'est elle joue dans une nouvelle saga, Orages d'été, aux côtés de Patachou. Dès lors, elle tournera de nombreux téléfilms, assurant à chaque fois aux chaînes de télévision de beaux succès d'audience.

Au début des années 1990, les propositions se font rares, seule sa participation au film de Bertrand Blier, Merci la vie, se faisant remarquer. Elle tourne également pour Gérard Mordillat (Toujours seuls) et incarne la mère farfelue de Catherine Jacob dans la comédie Les Braqueuses de Jean-Paul Salomé, en 1994.

 

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Mise à jour :2/07/2020

 

Annie Girardot : Naissance

Publié à 11:40 par dessinsagogo55 Tags : center paris sommaire femme centerblog sur prix homme rose art
Annie Girardot : Naissance



Annie Girardot est née à Paris de père inconnu (un homme marié qui ne la reconnaîtra pas et qui mourra alors qu'elle est âgée de 2 ans) et d'une mère sage-femme (Raymonde Noële Félicie Girardot). Elle suit des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère. Mais, rapidement, elle se consacre à sa passion, la comédie. 



Élève au conservatoire de la rue Blanche dès 1949, Annie Girardot fait, parallèlement, des apparitions, le soir, dans des cabarets (La Rose rouge, à Montmartre, sous le pseudonyme d'Annie Girard, ou au Lapin agile), et participe à des revues telles Dugudu avec la troupe de Robert Dhéry, dans laquelle elle côtoie d'autres futurs « grands » : Michel Serrault, Jean Poiret, Jacqueline Maillan...



En juillet 1954, elle sort du Conservatoire national supérieur d'art dramatique avec deux prix, et elle est engagée peu après à la Comédie-Française. Son interprétation de La Machine à écrire, en 1956, aux côtés de Robert Hirsch, est particulièrement remarquée par Jean Cocteau, qui voit en elle « le plus beau tempérament dramatique de l'après-guerre »

 

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