Date de création : 09.04.2012
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
Peu de temps après la publication en 1859 par Charles Darwin de « l'Origine des espèces », le biologiste britannique et défenseur de la théorie de l'évolution, Thomas Henry Huxley a émis l'hypothèse que les oiseaux étaient les descendants des dinosaures. Il a comparé la structure du squelette de Compsognathus, un petit dinosaure théropode, et du « premier oiseau » Archaeopteryx lithographica (qui tous deux ont été retrouvés dans le calcaire du Jurassique supérieur bavarois de Solnhofen). Il a montré que, en dehors des mains et des plumes, Archaeopteryx était assez similaire à Compsognathus. En 1868, il a publié On the Animals which are most nearly intermediate between Birds and Reptiles, pour rendre compte de ses résultats. Le célèbre expert en dinosaures de l'époque, Richard Owen, qui était en désaccord avec lui, affirmait que l'Archéoptéryx, était le premier oiseau en dehors de la lignée des dinosaures. Au siècle suivant, l'hypothèse que les oiseaux sont les descendants des dinosaures est abandonnée, on considère les dinosaures comme des reptiles et cette conception restera en vigueur jusque dans les années 1970. Les hypothèses les plus populaires de l'époque donnent comme ancêtres aux oiseaux les crocodylomorphes et les thécodontes plutôt que les dinosaures ou autres archosauriens.
L'Archaeopteryx de Berlin
En 1964, John Ostrom décrit Deinonychus antirrhopus, un théropode dont le squelette ressemble de façon indubitable à celui des oiseaux. Ostrom est devenu l'un des principaux promoteurs de la théorie supposant que les oiseaux sont les descendants directs des dinosaures. D'autres comparaisons de squelettes d'oiseaux et de dinosaures, ainsi que l'analyse cladistique ont renforcé cette hypothèse. C'est notamment le cas d'un clade des théropodes appelé maniraptor où les similitudes squelettiques portent sur le cou, le pubis, le carpe (semi-lunaire), le « bras », la ceinture scapulaire (omoplate, clavicule) et le sternum. En tout, plus d'une centaine de caractéristiques anatomiques distinctes sont partagées par les oiseaux et les dinosaures théropodes.
D'autres chercheurs se sont inspirés de ces caractéristiques communes et d'autres aspects de la biologie des dinosaures et se sont mis à suggérer qu'au moins certains dinosaures théropodes avaient des plumes. Le premier dessin d'un dinosaure à plumes est du à Sarah Landry pour un Syntarsus (rebaptisé Megapnosaurus et considéré comme un synonyme de Coelophysis), dans le célèbre article de Robert T. Bakker de 1975 Dinosaur Renaissanc. À partir de la fin des années 1970, Gregory S. Paul a été probablement le premier artiste de la paléontologie à peindre les dinosaures maniraptoriens avec des plumes et des protoplumes, .
Dans les années 1990, la plupart des paléontologues considéraient les oiseaux comme des descendants des dinosaures. Avant la découverte des dinosaures à plumes, les preuves étaient limitées à l'anatomie comparée de Huxley et Ostrom. Certains ornithologues, comme le conservateur de la Smithsonian Institution, Storrs L. Olson, ont contesté cette vision, se basant en particulier sur l'absence de preuves fossiles de dinosaures à plumes.
Après un siècle d'hypothèses sans preuves concluantes, des dinosaures à plumes particulièrement bien conservés ont été découverts dans les années 1990 et continuent d'être trouvés. Les fossiles étaient conservés dans un lagerstätte - un dépôt sédimentaire présentant une remarquable richesse et variété de fossiles - dans le Liaoning, en Chine. Il y a 124 millions d'années, au Crétacé inférieur, la région avait à plusieurs reprises été recouverte par les cendres produites par les éruptions de volcans situés en Mongolie-Intérieure. Les organismes vivants ont été enterrés et conservés dans les moindres détails. La région grouillait de vie, avec des millions de feuilles, d'angiospermes (les plus anciens connus), d'insectes, de poissons, de grenouilles, de salamandres, de mammifères, de tortues, de lézards et de crocodiles découverts à ce jour.
Fossile de Sinosauropteryx, premier fossile de dinosaure non aviaire à plumes
Les découvertes les plus importantes faites au Liaoning ont été un grand nombre de fossiles de dinosaures à plumes, avec de nouvelles trouvailles qui continuent et qui viennent remplir des lacunes dans la connaissance de la relation dinosaure-oiseau et améliorer les théories évolutionnistes sur le développement des plumes et du vol. Norell et collaborateurs (2007) ont décrit des saillies de plumes sur un cubitus de Velociraptor mongoliensis et celles-ci sont très proches de celles laissées par les grandes rémiges des oiseaux actuels.
Spécimen de Citipati osmolskae nichant, AMNH.
Une autre preuve, comportementale, sous la forme d'un fossile d'oviraptosaure sur son nid, montre un autre point commun avec les oiseaux. L'animal est assis sur son nid, les avant-bras repliés, comme ceux d'un oiseau. Bien que les plumes n'aient pas été conservées, il est probable que celles-ci devaient être présentes pour protéger les œufs et les jeunes.
Il a été prétendu que les supposées plumes de fossiles chinois étaient un artefact de conservation. Même si on peut avoir des doutes, les plumes fossiles ont à peu près le même aspect que celles des oiseaux fossilisés du même gisement, il n'y a donc aucune raison sérieuse de penser qu'elles soient de nature différente. D'ailleurs, aucun fossile non-théropode provenant du même site ne montre un tel artefact, alors qu'ils possèdent parfois sans ambiguïté des poils (certains mammifères) ou des écailles (certaines espèces de reptiles).
Fossile de Sinornithosaurus millenii, la première preuve de la présence de plumes chez les dromaeosauridés.
En 2011 (au Canada), onze fragments de plumes de dinosaures, colorées (du brun au noir) ont été retrouvées dans de l'ambre daté de 78 à 79 millions d'années (fin crétacé). Des poils, barbes et barbules sont visibles, semblables à ceux d'oiseaux contemporain, avec des indices d'imperméabilité pouvant laisser penser qu'il s'agissait (dans ce cas) d'animaux semi-aquatiques. Divers indices laissent penser que les plumes de dinosaures étaient souvent colorées
En 1999, un prétendu « chaînon manquant » de fossiles de dinosaure à plumes nommé « Archaeoraptor liaoningensis » aurait été découvert dans la province de Liaoning et s'est révélé être un faux. En comparant la photo de l'échantillon avec une autre découverte, le paléontologue chinois Xu Xing est arrivé à la conclusion qu'il était composé de deux parties différentes de fossiles. Il demanda à la National Geographic Society de revoir le problème et elle arriva à la même conclusion. La partie inférieure de l'« Archaeoraptor » provenait d'un vrai dromaeosauridé à plumes connu maintenant sous le nom Microraptor et la partie supérieure d'un oiseau primitif déjà connu appelé Yanornis.
Fossile NGMC 91, attribué à l'espèce Sinornithosaurus millenii.
Liste des genres de dinosaures conservés avec la preuve de plumes
Avimimus* (1987)
Sinosauropteryx (1996)
Protarchaeopteryx (1997)
Caudipteryx (1998)
Rahonavis* (1998)
Shuvuuia (1999)
Sinornithosaurus (1999)
Beipiaosaurus (1999)
Microraptor (2000)
Nomingia* (2000)
Cryptovolans (2002)
Scansoriopteryx (2002)
Epidendrosaurus (2002)
Psittacosaurus? (2002)
Yixianosaurus (2003)
Dilong (2004)
Pedopenna (2005)
Jinfengopteryx (2005)
Juravenator? (2006)
Sinocalliopteryx (2007)
Velociraptor* (2007)
Similicaudipteryx (2008)
Epidexipteryx (2008)
Anchiornis (2009)
Tianyulong? (2009)
Concavenator* (2010)
Yutyrannus (2012)
Jinfengopteryx elegans fossile
La Chine produit des compléments alimentaires, dont ginseng traditionnel ou le konjac, tubercule reconnu pour son action sur le cholestérol et la régulation de poids, utilisé autrefois pour calmer la faim. Mal dosé, il peut provoquer une occlusion intestinale. L'administration des produits alimentaires et pharmaceutiques (SFDA) a annoncé en 2012 sa volonté de mieux surveiller les producteurs de compléments alimentaires.
Tubercule de konjac
Complément alimentaire |
Complément alimentaire : Chine |
Complément alimentaire : Sont-ils dangereux ? |
Inefficaces voire dangereux, les compléments alimentaires |
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Un complément alimentaire est une denrée alimentaire dont le but est de fournir un complément de nutriments ou de substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique (vitamines, minéraux, acides gras ou acides aminés) manquants ou en quantité insuffisante dans le régime alimentaire normal d'un individu. À la différence des additifs alimentaires, qui sont mélangés à certains aliments, le complément est une source concentrée qui est vendue de façon isolée.
Dans les pays souffrant de malnutrition, on parle plutôt de supplémentation.
Une cuisine saine est censée fournir une alimentation équilibrée répondant aux apports journaliers recommandés (AJR) et évitant ainsi le besoin de suppléments alimentaires. Toutefois, le mode d'alimentation moderne peut induire certaines carences alimentaires.
Par exemple, un homme adulte à l'activité moyenne aura besoin de 0,8 gramme de protéines par jour et par kg ; la consommation de viande lui permettra d'atteindre ce montant assez facilement ; en revanche, la consommation exclusive de salade ne le permettra pas. Toutefois, l'homme a également quotidiennement besoin d'un certain apport de fibres pour sa digestion et son transit intestinal, fibres qui lui seront apportées par la salade et non pas par la viande.
Quelqu'un optant pour un régime végétarien ou végétalien devra être plus vigilant. La consommation d'un supplément protéinique, d'œufs ou de produits laitiers comblera les lacunes en matière de protéines. Cependant, les gens optant pour un régime végétalien devront quant à eux s'assurer d'un apport suffisant en protéines et acides aminés à travers une consommation équilibrée de fruits, de légumineuses, de céréales ou même de soja en associant plusieurs de ces aliments à chaque repas.
Les bébés et enfants ont besoin d'apports en vitamine D, laquelle devrait idéalement être apportée par l'alimentation, mais sera souvent prise sous forme de compléments alimentaires en raison de sa faible disponibilité dans la ration quotidienne. En Europe, la vitamine D était jusqu'à récemment souvent apportée par l'huile de foie de morue.
De même, les femmes ont des besoins 77 % plus élevés que les hommes en fer, et ce dès la puberté (en raison des pertes dues aux règles ou aux accouchements), ainsi qu'en calcium lors de la ménopause (pour éviter l'ostéoporose, conséquence des modifications hormonales).
Or les aliments vont contenir des quantités variables de vitamine D, de fer ou de calcium. Il en résulte que seule une alimentation équilibrée, associant des aliments de types nutritionnels différents (ou au pis aller un apport en complément alimentaire) peut assurer les apports des éléments indispensables.
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Inefficaces voire dangereux, les compléments alimentaires |
Les compléments alimentaires sont-ils dangereux ?
Le 15/04/2013 à 17:46:04
Alors qu'un documentaire de France 5 dévoile les multiples fraudes de l'industrie des compléments alimentaires, une étude de NutriNet Santé montre qu'un Français sur quatre en consomme au moins trois fois par semaine. Ces pilules sont-elles réellement sans danger ?
Une gélule pour maigrir. Une autre pour lutter contre la fatigue. Et une dernière pour mieux bronzer. Selon Sylvie Chabas, elles sont parfois de trop. Dans le documentaire diffusé sur France 5 le dimanche 14 avril « Compléments alimentaires, une pilule qui passe mal », elle dénonce des fraudes chez les fabricants.
Compléments alimentaires, quels dangers ?
Les scientifiques toulousains interrogés lui affirment que l'étiquette 100 % naturel n'est parfois pas méritée et qu'ils contiendraient au contraire des composés organiques aux effets secondaires dangereux. Cela concernerait surtout les produits amaigrissants et aphrodisiaques.
Mais le plus grand danger de ces compléments vient de l'automédication. Sans les conseils d'un médecin, on peut combiner des compléments alimentaires avec des médicaments qui ne doivent pas être associés, notamment ceux pour le système nerveux ou cardiovasculaire. Certains compléments sont même contre-indiqués pour plusieurs cancers, comme celui de la prostate ou du sein.
Les Français accros aux compléments alimentaires ?
Selon une étude publiée par NutriNet Santé, l'automédication concerne 45 % des consommateurs. Seuls 55 % d'entre eux se les sont fait prescrire ou conseiller par un médecin.
En France, 15 % des hommes et 28 % des femmes en consomment au moins trois jours par semaine, soit environ un Français sur quatre. Censés compléter notre régime alimentaire, les compléments alimentaires pourraient donc bien être surveillés de plus près dans les prochains mois.
Par Charlotte Loisy
Un cercle de culture (souvent appelé par le nom anglais, crop circle et parfois par le néologisme « agroglyphe »), est un motif réalisé dans un champ de céréales (généralement de blé) par flexion des épis, dans le but de représenter diverses formes géométriques dont l'ensemble est visible depuis le ciel. Ces formes peuvent aller d'un simple cercle de quelques mètres de diamètre à des compositions de plusieurs centaines de mètres impliquant de nombreuses sections.
Cercle de culture ou agroglyphe (ici de type « fractal »).
Les premiers agroglyphes connus datent de la fin des années 1960 en Australie, au Canada et en Angleterre et ont, par la suite, inspiré deux Anglais, Doug Bower et Dave Chorley, qui ont déclaré, en 1991, en avoir réalisé des centaines d'autres à partir de 1978 par plaisanterie.
Bien qu'une majorité de scientifiques et les sceptiques affirment que l'origine des agroglyphes apparus dans la campagne anglaise est maintenant connue, divers amateurs de phénomènes paranormaux continuent d'avancer de très nombreuses explications alternatives pour l'apparition des agroglyphes : phénomènes naturels inconnus, manifestations ufologiques ou manifestations d'énergie.