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Publié à 11:49 par dessinsagogo55 Tags : rock hamster sur center internet

Hamster : Musique

Fluffy le Hamster est un morceau de l'album Le Délire du Savant Fou (24 mai 2005) de eXterio.
Hamster's Theatre, artistes de rock progressif des années 2000.
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Publié à 11:47 par dessinsagogo55 Tags : hamster société center

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Petit déjeuner

Publié à 11:28 par dessinsagogo55 Tags : center petit déjeuner centerblog sur merci
Petit déjeuner

 



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Valérie Lagrange : Faut plus me la faire

Publié à 11:07 par dessinsagogo55 Tags : valérie lagrange center sommaire musique centerblog sur vie monde coeur moi chez
Valérie Lagrange : Faut plus me la faire

 

« Protest Songs de Valérie Lagrange : J’ai composé Faut plus me la faire, en dix minutes dans ma loge. Ce fut le morceau déclencheur du succès de notre premier album chez Virgin. La musique que nous jouions alors s’était peu à peu électrifiée et durcie, on allait de plus en plus vers le rock et les textes engagés. Tous mes rêves de monde meilleur s’étaient évanouis, j’avais beaucoup de colère en moi : il fallait que ça sorte ! C’était souvent un peu primaire et manichéen, mais ça venait tout droit du cœur. Je ne jouais pas avec les mots, je ne me servais pas du second degré, ça n’était pas non plus poétique. Il y avait une urgence dans les textes, une façon à moi d’exprimer, d’accoucher de toutes les souffrances que ce monde révoltant me causait, un peu à la manière des Protest Songs américains. C’étaient des "chansons-thérapies", ça l’est d’ailleurs toujours… »

Oh vous qui m’écoutez ou qui ne m’écoutez pas
La vie est souffrance, qui l’a rendue comme ça…
Des moments où je voudrais bien ne plus exister
Mais ce qui est certain
Faut plus me la faire…

 

 

 

 

Faut plus me la faire


Je suis allée au nord, je suis allée au sud
Je suis allée à l'est, je suis allée à l'ouest
Je suis allée si bas, que j'pensais plus r'monter
Je suis allée si haut, que j'pensais plus r'tomber

J'ai vu des gens si riches qui n'savaient plus donner
J'ai vu des gens si pauvres qui n'savaient que donner
J'ai cru des gens si bons qui me voulaient du mal
Et d'autres si méchants qui me voulaient du bien

J'ai vécu des moments où je m'croyais la reine
Et d'autres où j'étais moins que moins que rien
Des moments où j'croyais avoir tout compris
Et le matin suivant ne plus comprendre rien

Des moments où j''voudrais bien ne plus exister
Mais ce qui est certain... Faut plus me la faire !

Oh vous qui m'écoutez ou qui n'm'écoutez pas
La vie est souffrance, qui l'a rendue comme ça ?
Entendez le cri déchirant du nouveau né
Refusant de quitter l'extase et l'innocence de l'éternité
De l'éternité, eh eh eh

J'ai vu des gens promettre des monts et merveilles
Avec un coeur si dur comme un vieux tas de pierres
Et d'autres qui jamais ne m'avaient rien promis
Qui m'ont offert la grâce qui purifie

J'ai vu des gens se prendre tellement au sérieux
Qui ne sont que des pitres aux yeux de l'infini
Et d'autres qui sont pris pour des simples d'esprit
Qui sont les vrais seigneurs dans ce monde pourri

Faut plus me la faire !

 

https://youtu.be/fxzEWtNDZyM

 

 
 

 

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Jean Gabin

Jean Gabin




Jean Gabin, nom d'artiste de Jean Alexis Gabin Moncorgé, est un acteur français, chanteur de revue et d'opérette, né le 17 mai 1904 à Paris, qui a grandi à Mériel (Val-d'Oise), mort le 15 novembre 1976 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).

Figure incontournable du cinéma français, la carrière de Jean Gabin est d'abord celle d'une « gueule d'amour » tournant avec les réalisateurs importants de l'entre-deux-guerres comme Julien Duvivier ou Jean Renoir. Changé physiquement après la guerre, où il s'est engagé comme marin, puis chef de char au sein du régiment blindé des fusiliers-marins des Forces françaises libres, ses rôles évoluent et il devient un « pacha » au physique imposant et au regard sombre incarnant la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture, dans des films bien souvent dialogués par Michel Audiard.


Sa filmographie, dénombrant 95 films, compte un nombre important de classiques, parmi lesquels Gueule d'amour, La Bête humaine, Pépé le Moko, Le Quai des brumes, La Grande Illusion, Touchez pas au grisbi, Un singe en hiver, Le Pacha ou La Traversée de Paris. Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque dont certains, comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon, sont ses amis. Acteur populaire, il a attiré 84 millions de spectateurs dans les salles au cours de sa carrière.


Sa vie sentimentale est souvent liée à son métier : il a des liaisons connues avec les actrices Mireille Balin, Michèle Morgan et Marlène Dietrich, est l'époux de l'actrice Gaby Basset, de la meneuse de revue Jeanne Mauchain puis enfin d'un ancien mannequin, Dominique Fournier, sa compagne jusqu'à sa mort, avec qui il a trois enfants : Valérie Moncorgé, Florence Moncorgé et Mathias Moncorgé.

 

 
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Jean Gabin

Publié à 10:21 par dessinsagogo55 Tags : sommaire paris jean gabin center centerblog sur merci vie coup amis maison bleu
Jean Gabin

 

Jean Gabin nait à Paris le 17 mai 1904, au 23 boulevard Rochechouart à Paris, sous le nom de Jean Alexis Gabin Moncorgé. Fils de Ferdinand Joseph Moncorgé (1868-1933), tenancier de café et comédien d'opérette sous le nom de scène de Joseph Gabin, et d'Hélène Petit (1865-1918), chanteuse de café-concert, il a six frères et sœurs aînés dont Ferdinand Henri (1888-1939), Madeleine (1890-1970) épouse de Jean Poésy et Reine (1893-1952).



Il passe son enfance et son adolescence à la campagne pour laquelle il gardera toute sa vie un profond attachement. Loin de la vie parisienne de spectacle de ses parents, il est élevé dans le petit bourg campagnard de Mériel dans le Val-d'Oise par sa sœur aînée Madeleine, dans une maison située près d'une voie ferrée.



En 1914, à l'âge de 10 ans, un coup appuyé lors d'un combat de boxe lui écrase le nez. Le 18 septembre 1918, alors qu'il a 14 ans, sa mère meurt. Il est mauvais élève et délaisse le lycée Janson-de-Sailly à Paris où il est inscrit et enchaîne les petits métiers, garçon de bureau à la compagnie parisienne d'électricité, cimentier à la gare de la Chapelle, manœuvre dans une fonderie, magasinier aux magasins d'automobiles de Drancy, vendeur de journaux. À 17 ans il veut, comme son grand-père maternel, devenir conducteur de locomotive à vapeur dont il peut voir les évolutions depuis sa chambre. Bourru, il osait se plaindre de ce qui lui déplaisait mais son œil bleu « magique » participait avec ses amis à la joie de vivre.

 

 

 
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Jean Gabin

Publié à 10:20 par dessinsagogo55 Tags : monde france moi sur centerblog jean gabin actrice artiste center sommaire enfant merci amis
Jean Gabin

 

 

En 1922, à 18 ans, Gabin est forcé par son père d'entrer dans le monde du spectacle aux Folies-Bergère d'abord comme figurant, le directeur, Fréjol, étant un de ses amis à qui il aurait dit : « Tiens, voici mon fiston. Il aimerait faire du théâtre. Peux-tu l'aider ? Si tu arrives à en tirer quelque chose, tu auras bien du mérite. Moi, j'y renonce... » Il est placé sous la bienveillance du comique troupier Bach.
De 1924 à 1925 Jean Gabin effectue son service militaire dans la marine nationale à Cherbourg, et pendant une permission du début de l'année 1925 il épouse une admiratrice, la future actrice Camille Basset, dite Gaby, avec qui il n'aura pas d'enfant.



En 1926, âgé de 22 ans, il devient un véritable artiste de music-hall et chanteur d'opérette. Il fait monter sur scène La Goulue auprès de Mistinguett, et il imite Maurice Chevalier. Il entame un tour de chant avec succès pendant deux ans dans toute la France et en Amérique du Sud. En chantant Julie c'est Julie et La Java de Doudoune de Jose Padilla en 1928, il devient partenaire de Mistinguett, qui vient de rompre avec Maurice Chevalier, au Moulin-Rouge et aux Bouffes-Parisiens dont le directeur est le célèbre auteur de l'époque Albert Willemetz.
À partir de 1929, il joue les jeunes premiers dans des opérettes comme Flossie ou Les Aventures du Roi Pausole, toutes deux sur des paroles d'Albert Willemetz. Il vit une amourette avec Jacqueline Francell, sa partenaire de Flossie, et il divorce de Gaby.

 

 
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Jean Gabin

Publié à 10:18 par dessinsagogo55 Tags : jean gabin paris écran jeune center sommaire centerblog sur merci moi amour belle film
Jean Gabin

 

 

En 1928, il fait ses débuts au cinéma dans deux courts-métrages avec le comique Raymond Dandy, Ohé! les valises et On demande un dompteur.



Ce n'est que deux ans après l'arrivée du cinéma parlant en Europe que Jean Gabin, après avoir refusé de tourner dans Les Chemins du paradis, fait ses véritables débuts cinématographiques en tournant en 1930 Chacun sa chance, premier film parlant du cinéma français, dans lequel il joue au côté de son ex-épouse Gaby Basset et le chanteur Jean Sablon.



Par la suite, il enchaîne les tournages : étant tour à tour policier dans Méphisto, cambrioleur dans Paris Béguin, vendeur de TSF dans Tout ça ne vaut pas l'amour, mécanicien dans Gloria, soldat récalcitrant dans Les Gaietés de l'escadron, capitaine de péniche dans La Belle Marinière, que Gabin considère comme son premier grand rôle à l'écran et ingénieur dans Le Tunnel et Adieu les beaux jours.



Le 20 novembre 1933, Gabin épouse à Paris 16e Jeanne Mauchain, meneuse de revue et danseuse nue du Casino de Paris, connue sous le nom de Doriane Mauchain. Son père meurt trois jours avant son mariage.
En 1934, il tourne pour la première fois sous la direction de Julien Duvivier dans Maria Chapdelaine et Golgotha, dans lequel il prête ses traits à Ponce Pilate.



À partir de 1935, il devient une star du cinéma grâce à son « charisme exceptionnel » et à Julien Duvivier qui lui offre les personnages principaux de La Bandera avec Annabella, qui est son premier succès, La Belle Équipe avec Charles Vanel, dans lequel il chante la chanson Quand on s'promène au bord de l'eau, et Pépé le Moko. Il incarne des héros tragiques et romantiques d'origine populaire. Puis il enchaîne film sur film au sommet du box-office français tout au long de sa longue carrière, quatre-vingt-quinze au total.



Jean Renoir l'impose dans Les Bas-Fonds avec Louis Jouvet puis, en 1937, dans le film de guerre La Grande Illusion avec Pierre Fresnay, Marcel Dalio et Erich von Stroheim, qui obtient un énorme succès public et critique, devenant au fil des années un classique du cinéma français.



La même année, il tourne Gueule d'amour, de Jean Gremillon, où il retrouve Mireille Balin, sa partenaire de Pépé le Moko et le méconnu Le Messager, de Raymond Rouleau.



En 1938, il prend le rôle d'un conducteur de locomotive dans La Bête humaine, un film de Jean Renoir, puis joue un déserteur dans Le Quai des brumes de Marcel Carné avec Michel Simon et la jeune Michèle Morgan, à qui il murmure le célèbre « T'as d'beaux yeux tu sais », laquelle répond : « Embrassez-moi ».
En 1939, il tourne à nouveau sous la direction de Marcel Carné dans Le Jour se lève, drame dans lequel il partage la vedette avec Jules Berry, Arletty et Bernard Blier.



Le 3 septembre 1939, il est mobilisé dans la marine nationale à Cherbourg. C'est encore la drôle de guerre et il obtient une permission exceptionnelle pour terminer le film Remorques, avec Michèle Morgan. Ils ont une brève idylle.

 

 

 
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Jean Gabin

Publié à 10:17 par dessinsagogo55 Tags : jean gabin center sommaire france centerblog sur merci vie amour monde chez enfants nuit film
Jean Gabin

Le 2 février 1941, refusant de tourner pour les Allemands pendant l'occupation, il s'expatrie à Hollywood aux États-Unis où il va retrouver les Français Jean Renoir, Julien Duvivier, Charles Boyer, Jean-Pierre Aumont...
Là-bas, il tourne deux films, La Péniche de l'amour avec Ida Lupino, et L'Imposteur, de Julien Duvivier, long-métrage de propagande gaulliste.



Durant cette période, il fréquente Ginger Rogers brièvement, puis Marlène Dietrich pendant l'été 1941 jusqu'en février 1947. Le 18 janvier 1943, il divorce de sa deuxième épouse Jeanne Mauchain.



Déjà très célèbre, il pourrait tenter une carrière d'acteur aux États-Unis; mais ce serait compter sans son ardent patriotisme. Il s'engage en avril 1943 dans les Forces navales françaises libres du général de Gaulle pour libérer son pays. Embarqué comme canonnier chef de pièce sur le pétrolier militaire Elorn, il traverse l'Atlantique en convoi à destination de Casablanca, attaqué au large par les sous-marins et par les avions allemands aux approches de la Méditerranée. Puis sous les ordres de l'enseigne de vaisseau et futur vice-amiral André Gélinet, le second maître Jean Moncorgé sert comme chef du char Souffleur II du 2e escadron du régiment blindé de fusiliers-marins qui appartient à la célèbre 2e division blindée du général Leclerc.
Au printemps 1945, il participe à la libération de la poche de Royan puis à la campagne d'Allemagne qui le conduira au Nid d'aigle d'Hitler à Berchtesgaden. À la fin de la guerre, il est décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre. En juillet 1945, âgé de 41 ans, le « plus vieux chef de char de la France Libre » est démobilisé et revient au monde du spectacle avec des cheveux blancs. Toute sa vie, il restera très attaché à la marine nationale et proche de celui qui fut son chef, le vice-amiral Gélinet et sa famille.



De retour en France, il reprend sa carrière d'acteur en 1946 en incarnant le rôle-titre de Martin Roumagnac, au côté de Marlene Dietrich, après avoir refusé de jouer Les Portes de la nuit, de Marcel Carné. Le film, éreinté par la critique, obtient pourtant à l'époque un succès commercial avec deux millions d'entrées.
Cependant, ce succès n'est pas réitéré l'année suivante avec le film policier Miroir, dans lequel il est un financier et gangster à ses heures. De plus, il a du mal à trouver un rôle à sa mesure.




En 1949, il se marie avec Christiane Fournier, dite Dominique, mannequin chez le couturier Lanvin, qui a déjà un fils Jacki et avec qui il a trois enfants : Florence Moncorgé-Gabin (1949), Valérie (1952) et Mathias (1956).
La même année, il tient le rôle principal du long-métrage Au-delà des grilles, qui obtient un succès honorable en salles et est nommé à l'Oscar du meilleur film étranger et triomphe au théâtre avec la pièce La Soif, d'Henri Bernstein, aux côtés de Madeleine Robinson et Claude Dauphin.

 

 
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Jean Gabin

Jean Gabin

 

 

En 1950, il retrouve Marcel Carné pour le long-métrage La Marie du port, adaptation du roman de Georges Simenon, qui avec 2,6 millions d'entrées, permet de confirmer le succès de Gabin après son triomphe théâtral avec La Soif.



En 1951, il est le narrateur de De sac et de corde, une pièce musicale de Léo Ferré et Madeleine Rabereau écrite pour la radio, qu'il interprète tandis que Léo Ferré dirige l'orchestre et les chœurs de la radio nationale et sa prestation dans La nuit est mon royaume, pour lequel il incarne un mécanicien de locomotive aveugle, lui permet de rencontrer l'éloge de la critique et un triomphe public avec 2,5 millions d'entrées, mais aussi de remporter la Coupe Volpi pour la meilleure interprétation masculine au Festival de Venise.



Son film suivant, La Vérité sur Bébé Donge, dans lequel il est un industriel coureur de jupons, passe inaperçu lors de sa sortie en salles, mais va être considéré au fil des ans comme une œuvre marquante.



Il réalise en 1952 un de ses rêves d'enfant en investissant, jusqu'à ses derniers jours, toute sa fortune dans le domaine de La Pichonnière, situé sur la commune de Bonnefoi, rattachée au canton de Moulins-la-Marche, dans l'Orne, en Normandie, sur lequel il fait construire La Moncorgerie. Il se lance dans l'élevage de près de trois cents bovins et d'une écurie d'une quinzaine de chevaux de course pour assouvir sa passion pour l'élevage de chevaux.



La même année, il retrouve Michèle Morgan dans La Minute de vérité, de Jean Delannoy, qui triomphe en salles avec plus de 3 millions d'entrées.



Il renoue véritablement avec le succès public grâce à Touchez pas au grisbi, de Jacques Becker, en 1954, qui enregistre 4 millions d'entrées en France. Avec ce film, il retrouve un rôle à sa mesure en changeant son image : l'homme d'expérience, autoritaire et qui impose le respect. C'est durant ce tournage qu'il rencontre celui qui va devenir un de ses amis, Lino Ventura.



Son succès se confirme avec L'Air de Paris, de Marcel Carné et French Cancan, de Jean Renoir en 1955. C'est la rencontre avec Michel Audiard, qui deviendra son ami et sera, avec ses dialogues, pour beaucoup dans le succès de ses films à venir, à commencer par Gas-oil de Gilles Grangier. À cette époque, il entretient une liaison adultère avec la comédienne Dora Doll.



Par la suite, il enchaîne films sur films : il est le maréchal Lannes dans la prestigieuse distribution du Napoléon de Sacha Guitry, flic infiltré dans Razzia sur la chnouf, juge pour enfants dans Chiens perdus sans collier, routier dans Des gens sans importance, restaurateur dans Voici le temps des assassins, artiste peintre transportant avec Bourvil de la viande pour le marché noir dans le classique La Traversée de Paris, dont il partage une scène devenue culte avec Louis de Funès, alors méconnu du grand public et médecin dans Le Cas du docteur Laurent.



En 1958, il prête ses traits au commissaire Jules Maigret dans Maigret tend un piège, rôle qu'il reprendra à deux reprises et connaît le plus grand succès public de sa carrière avec Les Misérables, devenant le Jean Valjean du film aux côtés de Bourvil et de Bernard Blier.
Sa carrière est sur sa lancée, confirmée avec notamment En cas de malheur, avec Brigitte Bardot, Les Grandes Familles, avec Pierre Brasseur, Archimède le clochard (dont il a eu l'idée du film).



En 1960, il reçoit les insignes d'officier de la Légion d'honneur sur le plateau où il tourne Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier.
Tout en tournant avec les vedettes du moment, il continue dans les années 1960 sa série d'innombrables succès tels que le drame politique Le Président, la comédie policière Le Cave se rebiffe, la comédie dramatique Un singe en hiver, dans lequel il partage la vedette avec Jean-Paul Belmondo.

Dans la nuit du 27 au 28 juillet 1962, sept cents agriculteurs encerclent son domaine familial normand de La Pichonnière pour protester contre la centralisation des terres, en exigeant la location de certaines fermes à de jeunes éleveurs en difficulté. Ils se servent d'un conflit ouvert avec le célèbre acteur pour médiatiser les problèmes du monde agricole. Cette situation bouleversa profondément et blessa à vie l'intéressé, qui se sentit rejeté par la communauté paysanne normande dont il avait tant souhaité faire partie.
Durant cette même période, il connaît son premier revers avec Le Gentleman d'Epsom (1962), dans lequel il joue au côté de Louis de Funès, qui ne rencontre qu'un score inférieur, échec vite effacé par le triomphe de Mélodie en sous-sol l'année suivante, avec Alain Delon.



Il crée en 1963 avec Fernandel la société de production Gafer pour son film L'Âge ingrat qu'il interprète avec ce dernier.
La fin des années 1960 est marquée par Le Tonnerre de Dieu, Le Pacha, Le Tatoué, avec Louis de Funès et Le Clan des Siciliens, avec Alain Delon et Lino Ventura, qui confirme le statut de l'acteur, qui a atteint les soixante ans.

 

 
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Gabin

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
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    Cinéma : Postes (Sommaire)
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