Date de création : 09.04.2012
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27.11.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
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Par han.t, le 03.09.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
Marguerite Boulc'h dite Fréhel, née dans le 17e arrondissement de Paris le 13 juillet 1891 et morte le 3 février 1951 dans le 9e arrondissement de Paris, est une chanteuse française qui a marqué la période de l'entre-deux-guerres.
Surnommée "la môme Pervenche" à ses débuts, elle devient Fréhel en hommage à ses racines bretonnes, avant de conquérir le Paris de la Belle Époque.
Après la Grande Guerre, et une longue absence, Paul Franck la relance à l'Olympia fin 19233. "L'inoubliable inoubliée" regagne le coeur du public et impose de nouveau son répertoire réaliste dés 1925. À la fin des années 20 et durant les années 30, elle enregistre l'essentiel de sa discographie (La Java Bleue, etc) ; elle apparait au générique de nombreux films, dont le célèbre Pépé le Moko qui lui offre une scène d'anthologie avec Jean Gabin. La seconde guerre et une santé chancelante à force d'excès l'éloignent progressivement du music-hall. Elle meurt seule dans un hôtel de Pigalle en 1951.
Biographie
Son acte de naissance indique que Marguerite Boulc'h est née le 13 juillet 1891 à Paris, au numéro 109 du boulevard Bessières. Elle est la fille d'un couple de Bretons originaire de Primel-Trégastel, hameau de la commune de Plougasnou (Finistère); son père Yves Marie Boulc'h est cheminot1, sa mère Marie-Jeanne, née Daniel, est cuisinière. La petite Marguerite passe les premières années de sa vie auprès de sa grand-mère, à Primel-Trégastel, et grandit à la ferme jusqu'à ses quatre ans.
À neuf ans, elle chante déjà dans les rues populaires de Paris, ou dans des estaminets de hasard. Quand vient l'heure de gagner son pain, elle vit encore chez ses parents au 14 rue Vallier (actuelle rue Louise-Michel) à Levallois-Perret. Elle trouve une place dans l'entreprise Cérébos pour laquelle elle livre du sel dans les restaurants de la capitale. Marguerite découvre le Paris des nantis, mais, libre et indisciplinée, elle est vite renvoyée. Elle se rapproche alors de l'éditeur de chanson Labbé, rue de l'Échiquier, où elle parfait son chant, sa voix et se construit un petit répertoire. En parallèle, elle devient vendeuse de rénovateurs faciaux dans une pharmacie de la rue d'Aboukir. Elle fait du porte à porte. C'est ainsi qu'elle rencontre la « Belle Otero », une courtisane flamboyante et une artiste adulée. Caroline Otéro admire la voix, l'audace et la liberté de la jeune femme ; elle la protège discrètement pour ses premiers pas dans le monde du music-hall. Une chanson, Mam'zelle Pervenche, créée par Dalbret, lui donne son nom d'artiste. Elle obtient son premier contrat de « diseuse » à l'Univers, un bel établissement, avenue de Wagram, sous le nom de Pervenche; nous sommes en 1905.
Son "contralto rapeux", comme l'appelle Colette dans La vagabonde (Colette s'inspire de Fréhel pour son personnage Jadin), commence à la faire connaître entre 1905 et 1910. En 1908, sous le nom de Pervenche - Fréhel, elle est la première femme en France à graver un disque 78 tours (C'est une gosse / Fanfan d'amour - Odeon).
Fréhel en 1908.
À l'automne 1911, Maurice Chevalier la quitte pour Mistinguett. Bien qu'auréolée de succès, Fréhel fuit une vie sentimentale désastreuse et finit par plonger dans l'alcool et la drogue.
Fin 1913, elle part pour la Roumanie, chante à Bucarest au théâtre de l'Odéon, avant de rejoindre Petrograd (actuelle Saint-Petersbourg) sur la demande de la duchesse Anastasia de Mecklembourg-Schwerin, cousine du tsar Nicolas II. Elle se produit au théâtre de L'Aquarium devant les grands-ducs. Le premier conflit mondial la cueille donc en Russie en 1914. Sur le chemin du retour en France, elle s'arrête à Bucarest. Là, elle chante, devient célèbre, et finit même protégée par la famille royale. Elle tombe très amoureuse d'un officier roumain qu'elle suit sur le front Est ; elle s'installe à Piatra Neamț, au nord de Bucarest, dans une ferme où elle restera jusqu'à la fin de la guerre malgré la mort de l'officier en 1916. Elle sombre dans la dépression.
En 1918, la guerre terminée, elle reprend le bateau pour la France. Une escale la mène à Constantinople où elle restera finalement 5 années aux prises avec ses démons. Elle tombe dans la drogue et la prostitution occasionnellement. En 1923, le consulat français à Constantinople la fait rapatrier de force ; elle est dans un état physique désastreux.
Accueillie à Paris par son ex-mari Robert Hollard et Montéhus qu'elle admirait, l'« inoubliable inoubliée » se requinque doucement. Elle se relance officiellement sur les planches de l'Olympia le 28 décembre 1923. Le public ne se lasse pas de ses couplets réalistes et de cette personnalité hors du commun. De nouveau, elle triomphe au music-hall. En 1932, elle se produit au cabaret Le Bosphore, rue Thérèse.
Les portes du cinéma s'ouvrent également. Elle tourne dans une vingtaine de films, dont Cœur de lilas en 1931, Le Roman d'un tricheur en 1936, La Maison du Maltais en 1938. Elle interprète J'attends quelqu'un, dans Amok en 1934, Où est-il donc ? dans Pépé le Moko en 1936 et La Java bleue dans Une java en 1939.
Le 30 avril 1935, elle épouse à Paris Georges Boettgen. C'est un fiasco. Sa carrière décline peu à peu.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, par la force des choses, elle chante moins. Elle effectue cependant trois tournées en Allemagne pour soutenir les prisonniers français, on le lui reprochera mollement à la Libération. Elle avait pourtant enregistré en 1935 Il n’est pas distingué — une chanson écrite par Marc Hély sur une musique de Paul Maye — où elle se moquait nommément d'Hitler.
Après la Libération, elle connait la dèche. On la retrouve concierge d'un immeuble situé à l'angle de la rue Ballu et de la rue Blanche, dans le 9e arrondissement de Paris. Les années d'après guerre sont très difficiles pour Fréhel qui ne trouve plus beaucoup d'engagements.
En 1950, Robert Giraud et Pierre Mérindol invitent Fréhel à se produire devant le public parisien dans une ancienne salle de bal, les Escarpes, située près de la place de la Contrescarpe. Ce sont parmi les dernières apparitions publiques de la chanteuse.
Tous ses drames et ses excès auront raison de sa santé. C'est dans une chambre sordide d'un hôtel de passe, au 45 de la rue Pigalle, qu'elle meurt seule le 3 février 1951. Elle est inhumée au cimetière parisien de Pantin (division 23) ; une foule importante assiste à son enterrement.
Depuis, de nombreux artistes se sont réclamés de son héritage : Charles Trenet, Serge Gainsbourg, Jacques Higelin, Mano Solo, Renaud, Régine, les Garçons Bouchers.
Son activité cinématographique s'étale de 1931 à 1949.
On l'entend une dernière fois en 1950 sur Radio-Lausanne (un disque Pyral de cette ultime intervention a été conservé).
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Richard Steven Valenzuela Reyes, dit Ritchie Valens, né le 13 mai 1941 à Pacoima, Californie, et mort le 3 février 1959 à Clear Lake dans l'Iowa, est un musicien de rock américain, d'origine mexicaine, essentiellement connu pour avoir composé et interprété le succès La Bamba.
Biographie
Ritchie Valens est le premier chanteur Latino à placer un hit dans le top 50 des ventes de disques aux États-Unis, avec La Bamba.
Il fabrique lui-même sa première guitare. En 1958, alors qu'il fréquente encore l'école secondaire, il signe un contrat avec le label Del-Fi Records, à Los Angeles et part en tournée avec Eddie Cochran.
Avec des titres comme Come On Let's Go en octobre 1958 puis Donna (qu'il écrit pour sa petite amie), il est propulsé au sommet des charts américains. Donna est repris par des artistes aussi divers que Cliff Richard, MxPx, The Youngbloods, Clem Snide ou les Misfits.
En face B de Donna, se trouve La Bamba, un titre largement inspiré d'un huapango (chanson de mariage mexicaine) mais qui ne sera un succès qu'après sa mort.
Le 3 février 1959, Ritchie Valens trouve la mort à 17 ans en même temps que Buddy Holly et Big Bopper, dans un accident d'avion à Clear Lake dans l'Iowa lors d'une tournée à travers les États-Unis. Don McLean en a fait en 1971 une chanson, American Pie. Ce jour est aussi connu comme « The Day the Music Died » (« le jour où la musique est morte »).
Hommages posthumes
Un film biographique réalisé par Luis Valdez retrace son histoire : La Bamba, sorti en salles en 1987 où Lou Diamond Phillips joue le rôle de Ritchie Valens.
Three stars, chanson d'Eddie Cochran, écrite par Tommy Dee en 1959, « regarde le ciel », il y a trois nouvelles étoiles est un hommage à Buddy Holly, Ritchie Valens et Big Bopper.
Le chanteur français Jean-Luc Le Ténia lui a dédié une chanson en 2007, Ritchie Valens, dans son album Far Piazza Pulita ; dans ce même album, il reprend également Donna.
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Kim Jong Un (en chosŏn'gŭl : 김정은 et en hanja : 金正恩, prononcé /kim.d͡zɔŋ.ɯn/), aussi orthographié Kim Jong-eun ou Kim Jong-un selon la norme sud-coréenne, né le 8 janvier 1982 (officiellement) ou 1983 à Pyongyang, est un homme d'État nord-coréen, actuel dirigeant suprême de la Corée du Nord, où il occupe les postes de président, puis de secrétaire général du Parti du travail de Corée, de commandant suprême de l'Armée populaire de Corée et de président de la Commission des affaires de l'État. Il dirige un régime collectiviste nationaliste basé sur la doctrine du juche, de type stalinien. Le régime est fondé sur le modèle de l'« État communiste ». Celui-ci fonctionne selon une logique totalitaire qui a l'un des plus bas niveaux de droits de l'homme au monde.
Successeur de son père Kim Jong-il, qui lui-même avait succédé à son père Kim Il-sung, Kim Jong Un est le troisième représentant de la lignée du mont Paektu.
En 2010, il est nommé général quatre étoiles et vice-président du Comité de la défense nationale. À la fin de l’année suivante, à la suite de la mort de son père, il est proclamé « commandant suprême » de l'Armée populaire de Corée et prend ses fonctions de président du Parti du travail de Corée. En 2012, il est nommé président du Comité de la défense nationale.
Après avoir appelé à un apaisement avec la Corée du Sud, Kim Jong Un se lance dans une escalade verbale, menaçant de guerre nucléaire ce pays, ainsi que les États-Unis et le Japon. Ces déclarations sont suivies de multiples tests de missiles balistiques intercontinentaux et d'essais de bombe à hydrogène. Mais, début 2018, il amorce une détente vis-à-vis de ses ennemis historiques. Il rencontre le président sud-coréen Moon Jae-in pour un sommet historique au cours duquel les deux Corées manifestent leur volonté de réconciliation, puis, fait inédit, rencontre le président américain Donald Trump à Singapour.
En août 2019, une réforme de la constitution entre en vigueur et il devient le chef de l'État officiel de Corée du Nord. En janvier 2021, il est nommé secrétaire général du Parti du travail de Corée, remplaçant ainsi son père.
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Goombay Dance Band est un groupe allemand des années 1980 créé par Oliver Bendt, principalement connu pour leur titre Sun of Jamaica. Leur musique mêle la disco aux rythmes antillais comme le calypso ou la soca et se rapproche des sonorités d'autres groupes comme Boney M. ou encore Ottawan.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Goombay_Dance_Band | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
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BIOGRAPHIE | Goombay Dance Band | ||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : CU~CU~Ru~CU~CU ! | |||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : Eldorado | |||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : Isle of Atlantis | |||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : Over The Oceans | |||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : Seven Tears | |||||||||||||||||||||||||||
Goombay Dance Band : Sun Of Jamaica | |||||||||||||||||||||||||||
CREATION (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DESSIN (S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
ADRESSE(S)EXTERNE(S) | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | X | ||
DATE | |||||||||||||||||||||||||||
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Le ZSU-37 était un canon antiaérien automoteur léger (SPAAG) de fabrication soviétique , développé à la fin de 1943 et produit à l'usine n° 40 de Mytishchi . Il s'agissait du premier SPAAG à chenilles produit en série par l'Union soviétique. ZSU signifie Zenitnaya Samokhodnaya Ustanovka ( russe : Зенитная Самоходная Установка ), signifiant « monture automotrice anti-aérienne ».
Histoire
Les ingénieurs soviétiques ont mené quelques premières expériences avec des SPAAG à chenilles avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, y compris une modification du char léger T-70 , aboutissant au T-90 SPAAG expérimental qui était armé de deux mitrailleuses lourdes DShKT de 12,7 mm (le prototype a été construit en novembre 1942 par GAZ ). Le char léger T-70 sera finalement développé pour devenir le châssis de canon automoteur léger SU-76, qui à son tour deviendra la base du ZSU-37 SPAAG utilisant le canon anti-aérien M1939 . Il a été décidé d'utiliser le châssis du SU-76M afin d'accélérer et de réduire la production des SPAAG chenillés et blindés indispensables.
Le ZSU-37 a été produit de mars 1944 à 1948, et 375 véhicules ont été construits au total (seuls quelques véhicules ont été produits avant la fin de la guerre, en raison d'une technologie de fabrication temporaire). En raison de sa production tardive et de la quasi-inapparition des quelques avions restants de la Luftwaffe au printemps 1944, le ZSU-37 ne fut pas utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale. Un bataillon expérimental d'artillerie antiaérienne automotrice équipé de 30 ZSU-37 SPAAG fut formé à la fin de 1945.
Après la Seconde Guerre mondiale, il est devenu évident que la faible cadence de tir et la faible puissance de feu d'un seul canon AA de 37 mm n'étaient pas efficaces contre des cibles rapides et à basse altitude. Les équipages d'artillerie anti-aérienne ont eu du mal à suivre manuellement les cibles se déplaçant rapidement. Les SPAAG basés sur un châssis de char léger avaient également une maniabilité assez faible sur terrain difficile et une vitesse et une portée hors route faibles par rapport aux chars moyens et aux canons automoteurs (SPG), que le ZSU-37 était censé protéger. Les deux moteurs tandem utilisés sur le châssis du SU-76M nécessitaient de l'essence, ce qui posait parfois un problème dans les unités-citernes équipées de réservoirs à moteur diesel. Le ZSU-37 a été retiré du service pour les raisons susmentionnées peu de temps après l'arrêt de la production en série.
Des efforts ont été faits pour augmenter considérablement la puissance de feu en montant le même canon de 37 mm dans un support quadruple sur un châssis de char moyen T-34 , mais le véhicule n'a jamais quitté le stade de la conception, comme l'a recommandé le Conseil technique du ministère de la Défense. Transport pour utiliser un châssis de char plus récent et le canon automatique anti-aérien jumelé S-68 de 57 mm, plus puissant, qui était en cours de développement à l'époque. La prochaine étape de la technologie SPAAG à chenilles soviétique viendrait avec le ZSU-57-2 , basé sur le châssis du char moyen T-54 et produit en série entre 1957 et 1960.
À partir de 1957, les travaux de conception et de développement ont commencé sur de nouveaux SPAAG guidés par radar, à savoir le ZSU-23-4 Shilka et le ZSU-37-2 Yenisei – une nouvelle conception (sans rapport avec le ZSU-37) et basée sur le châssis de le canon automoteur SU-100P . Les deux étaient principalement destinés à remplacer le ZSU-57-2. Le développement du Yenisei a été annulé en 1962 et le ZSU-23-4 Shilka est entré en production, armé de canons automatiques anti-aériens quadruples AZP-23 Amur de 23 mm.
Description
Le ZSU-37 SPAAG était basé sur le châssis du SU-76M , sur lequel était montée une tourelle à toit ouvert armée d'un mod 61-K de 37 mm. Canon automatique anti-aérien de 1939 . Le véhicule était équipé d'un viseur automatique de type distance avec deux collimateurs, d'un télémètre stéréo avec une base de 1 mètre, d'une radio 12RT-3, d'un système d'interphonie TPU-3F et de mécanismes de visée mécaniques à deux vitesses de mouvement angulaire. pour une vitesse et une fluidité de visée adéquates (le mécanisme de translation avait une pédale de commande des taux).
L'équipage était composé de six hommes : un conducteur, un viseur pour l'azimut, un viseur pour l'élévation, un ajusteur de visée pour la vitesse et la portée de la cible, un ajusteur de visée pour la trajectoire de la cible et l'angle de piqué, et un chargeur.
Le ZSU-37 était basé sur le SU-76M car il partageait également ses inconvénients et avantages techniques, dont le plus discuté était la tourelle à toit ouvert. Pour protéger l'équipage de la pluie et de la neige, le compartiment du canon pouvait être recouvert d'une bâche, mais le canon ne pouvait pas être complètement élevé une fois cela fait. La tourelle ouverte présentait des avantages tels qu'un angle d'élévation élevé, une excellente visibilité pour les tireurs et l'absence de ventilation. Léger et maniable, le ZSU-37 était considéré comme un SPAAG assez efficace au milieu des années 1940. [4] Cependant, ses capacités hors route étaient insuffisantes pour accompagner les chars moyens et lourds sur des terrains difficiles.
Les munitions se composaient de 320 obus perforants , incendiaires à fragmentation et à fragmentation (tous avec des traceurs ). 130 cartouches étaient dans des clips à 5 cartouches et 190 cartouches étaient en vrac sans clips. Des obus composites perforants pourraient être utilisés contre les chars lourds ennemis . La vitesse initiale était comprise entre 890 et 920 m/s selon le type de projectile, l'obus perforant pesait 0,785 kg, les obus à fragmentation pesaient 0,732 kg. Le canon automatique pouvait être abaissé et élevé manuellement entre -5° et +85°. La cadence de tir cyclique était de 120 à 130 coups par minute tandis que la cadence de tir pratique était d'environ 50 à 60 coups par minute. Le tir vertical de combat maximum était de 2 500 m tandis que la portée verticale maximale était de 6 500 m.
Le véhicule pouvait franchir des obstacles verticaux de 0,67 m de haut, des tranchées de 2 m de large, franchir des obstacles en eau de 0,9 m de profondeur et gravir des pentes de 25°. La transmission et le train d'atterrissage étaient identiques à ceux du SU-76M SPG. Le moteur était également le même, mais forcé de 140 ch sur le SU-76M à 160 ch - un GAZ-203 composé de deux moteurs à essence tandem GAZ-202 à 6 cylindres en ligne refroidis par liquide, chacun produisant 80 ch (63 kWt) à 3600 tr/min.
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Diane Leyre, née le 10 juillet 1997 à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), est une reine de beauté et animatrice de radio française. En 2021, après être devenue Miss Île-de-France, elle est élue Miss France 2022. Elle est la 92e Miss France, étant la seizième originaire d'Île-de-France et a représenté la France à l’élection de Miss Univers 2023.
Biographie
Née le 10 juillet 1997, Diane Leyre est originaire de Camargue par son père, homme d'affaires dans l'immobilier, et d'une mère hôtesse de l'air ; elle a un frère aîné. Elle est par ailleurs la grande-cousine d'Illana Barry, Miss Languedoc-Roussillon 2020 et prix de l'élégance à Miss France 2021.
Elle est titulaire d'un baccalauréat économique et social à l'Institut de l'Alma. Elle étudie ensuite durant quatre années, avec une bourse au mérite, à l’IE University de Madrid, où elle obtient une licence en administration des affaires. Elle est trilingue, parlant espagnol, anglais et français . Au moment de son élection comme Miss France, elle est promotrice immobilière. En 2020, Diane Leyre lance la marque Ohana Paris, qui propose différentes sangles de sac
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Abraham Lincoln, né le 12 février 1809 dans le comté de Hardin (Kentucky) et mort assassiné le 15 avril 1865 à Washington, D.C., est un homme d'État américain. Il est le seizième président des États-Unis. Il est élu à deux reprises président des États-Unis, en novembre 1860 et en novembre 1864. Il est le premier président républicain de l’histoire du pays. Il a dirigé les États-Unis lors de la pire crise constitutionnelle, militaire et morale de leur histoire, la guerre de Sécession, et réussit à préserver l’Union. C’est au cours de celle-ci qu’il fait ratifier le XIIIe amendement de la Constitution des États-Unis, qui abolit l’esclavage. Il sort victorieux de la guerre. Assassiné cinq jours plus tard, à la suite d'un complot organisé par des confédérés, il ne termine pas son second mandat.
Lincoln naît dans une famille modeste. Après une enfance et adolescence sans relief, il apprend le droit seul grâce à ses talents d’autodidacte et devient avocat itinérant. Entraîné peu à peu sur le terrain de la politique, il dirige un temps le Parti whig et est élu à la Chambre des représentants de l'Illinois dans les années 1830, puis à celle des États-Unis pour un mandat dans les années 1840. Alors que le pays traverse depuis plusieurs années une période de fortes tensions au sujet de l’esclavage, Lincoln, s’opposant à son extension dans les nouveaux États fédérés, acquiert une notoriété nationale en 1858 à la suite d’une série de débats contre Stephen A. Douglas, partisan du droit des États à introduire ou non l'esclavage sur leur territoire. Porté par cette popularité, Lincoln est choisi par le Parti républicain nouvellement formé, pour porter ses couleurs aux élections présidentielles de 1860. Lâché par les États du Sud, il remporte la plupart des États du Nord et est élu président en 1860. Cette élection entraîne immédiatement la sécession de sept États esclavagistes du Sud et la formation des États confédérés d'Amérique, bientôt rejoints par d’autres États malgré des tentatives de compromis et de réconciliation de la part de l'Union.
L'attaque de fort Sumter le 12 avril 1861 par les troupes confédérées pousse la majeure partie du Nord à se regrouper derrière l'étendard national, et Lincoln à concentrer sa politique et son action sur l'effort de guerre. Son but est alors de réunir la nation. Tandis que le Sud entre en état d'insurrection, Lincoln exerce son droit de suspendre l'habeas corpus, ce qui permet l'arrestation et la détention sans procès de milliers de suspects de sympathies sécessionnistes. Pendant la guerre, son combat pour l'abolition de l’esclavage apparaît notamment à travers la Proclamation d'émancipation, en vigueur le 1er janvier 1863, dans laquelle il encourage les États intermédiaires à abolir progressivement l’esclavage. Cette proclamation est également la première étape d'un processus qui, à terme, conduit à la ratification du XIIIe amendement de la Constitution par le Congrès, donnant la liberté à tous les esclaves du pays en décembre 1865. Lincoln suit de près l'évolution de la guerre et supervise notamment la nomination des généraux, dont celle d'Ulysses S. Grant. Dans son cabinet, il réunit les différents dirigeants de son parti et les oblige à coopérer, avec le soutien des Démocrates de guerre.
Sous son commandement, l'Union met en place un blocus naval pour paralyser les échanges commerciaux du Sud, prend le contrôle des États frontaliers au début de la guerre, gagne celui des réseaux de communication fluviaux du Sud et essaie sans relâche de s'emparer de la capitale confédérée, Richmond en Virginie, jusqu’aux succès de Grant en 1865. Une succession de batailles victorieuses, ainsi que des tentatives d’entente avec les démocrates lui assurent sa réélection en 1864. Après la défaite des États confédérés, Lincoln se veut conciliant avec le Sud lors de son discours d’investiture de second mandat, et appelle à l’apaisement. Mais son programme de reconstruction ne voit pas le jour, en raison de son assassinat le 14 avril 1865 par John Wilkes Booth, partisan sudiste. Le meurtre de Lincoln est le premier assassinat d'un président des États-Unis et plonge le pays dans le deuil. Lincoln est considéré, tant par les historiens que par le public, comme un des plus grands présidents des États-Unis.
Son père, Thomas Lincoln, descend d'une longue lignée de Lincoln, dont le premier avait émigré d'Angleterre dans le Massachusetts en 1637. De là, les générations ont voyagé en Pennsylvanie, en Virginie puis dans le Kentucky. Le père de Thomas, nommé aussi Abraham, a été tué par des Indiens en 1786. Simple charpentier illettré au départ, Thomas est devenu un des fermiers les plus riches du comté.
Sa mère, Nancy Hanks, est née en Virginie de Lucy Hanks et de père inconnu. Illettrée, elle est élevée par des parents et des tuteurs jusqu'à son mariage. Elle inculque la religion chrétienne à ses enfants en leur citant des passages de la Bible.
Le couple se marie en 1806. De cette union naîtront trois enfants. Le premier est Sarah, née en 1807, et le second, Abraham ; le troisième, Thomas, décédé en bas âge, est enterré dans une petite tombe en vue de la cabane familiale. Leur propriété de trois cent quarante huit acres (cent quarante hectares) se trouve sur les rives de la Nolin Creek dans la partie sud-est du comté de Hardin (Kentucky), près de Hodgenville
Abraham Lincoln naît dans le comté de Hardin, sur « Frontière » le 12 février 1809 dans la cabane en rondins de ses parents, un couple de fermiers sans fortune. Il est prénommé Abraham, sans deuxième prénom, en souvenir de son grand-père paternel. Le mythe a quelque peu exagéré la pauvreté de ses parents à sa naissance. Abraham fréquente l'école de Cumberland Road avec sa sœur.
À l'automne 1816, Thomas Lincoln décide d’emmener sa famille dans le sud-ouest de l’Indiana, notamment à cause de démêlés judiciaires concernant une erreur dans les titres de propriété des terres du Kentucky qu'il a toutes perdues. Il occupe des terres publiques situées dans l'agglomération de Little Pigeon Creek, au fond des bois. La famille vit provisoirement dans une ferme à demi construite à laquelle manque une façade. Après avoir construit un habitat plus acceptable, il achète le terrain et le cultive. Abraham participe au travail des champs et à l’élevage mais répugne à la chasse et à la pêche. Issu d'une famille esclavagiste, Thomas Lincoln partage originairement les préjugés raciaux de sa famille, avant de rejoindre cette même année de 1816 une Église séparatiste qui combat l'alcoolisme et l'esclavagisme
En 1818, alors qu’Abraham n'a que neuf ans, sa mère meurt de la « maladie du lait », provoquée par l'ingestion de lait d'animaux ayant mangé de l'eupatoire rugueuse. Quand elle décède, Nancy Lincoln a 34 ans. Dans l’année qui suit, Thomas Lincoln épouse Sarah « Sally » Bush Johnston, une veuve qu'il connaît depuis plusieurs années, de dix ans sa cadette et ayant deux filles et un fils. Elle s’occupe du logis et traite Abraham à égalité avec ses propres enfants. Abraham et Sarah deviennent si proches que plus tard, il se souvient d’elle comme son « angel mother ».
De onze à quinze ans, Abraham fréquente l'école de façon irrégulière, entre les récoltes d'hiver et les labours de printemps. Il s'intéresse néanmoins à la poésie, écrit des vers et des lettres pour ses parents, et développe rapidement un appétit certain pour la lecture, passion encouragée par sa belle-mère Sarah mais incomprise par son père. Malgré cela, Lincoln n'aurait pu lire effectivement que quelques livres, dont il a toutefois su garder souvenir. Au fil de ses lectures, il découvre la Bible, l’histoire de l’Angleterre et des États-Unis. Parmi les livres qu’il aurait lus, on trouve Robinson Crusoé de Daniel Defoe ou encore les Fables d’Ésope. Son voisinage rapporte plus tard qu’il était prêt à parcourir des miles pour aller emprunter un livre.
À dix-sept ans, Abraham quitte quelque temps la maison familiale pour travailler sur un ferry à la jonction d'Anderson et de l'Ohio.
À dix-neuf ans, il perd sa sœur Sarah, morte en donnant naissance à son premier enfant. En avril 1828, il signe un contrat avec James Gentry, un colon voisin, aux termes duquel il doit acheminer un bateau de produits agricoles jusqu'à La Nouvelle-Orléans. Le périple dure trois mois, au cours duquel il descend avec un des fils Gentry l'Ohio puis le Mississippi, où ils doivent affronter des courants violents et une attaque de leur cargaison. De retour en Indiana, Abraham donne à son père les 25 dollars que ce contrat lui a rapportés.
En mars 1830, alors qu’Abraham a 21 ans, Thomas Lincoln décide de rejoindre les terres fertiles de l’Illinois, sur le bord de la rivière Sangamon. Son fils l'aide à défricher ses nouvelles terres. L'hiver suivant est rude et la famille reste bloquée plusieurs mois par la neige et la glace.
En mars 1831, Abraham projette de gagner de l'argent en proposant à un spéculateur nommé Denton Offutt de convoyer un chaland de marchandises jusqu'à La Nouvelle-Orléans. Il s'avère que ledit Offutt ne possède pas de péniche. Abraham, son cousin John Hanks et John Johnston (le fils de Sarah Lincoln) en construisent une eux-mêmes au bord de la Sangamon. Lincoln devient ainsi matelot et fait un voyage sur le Mississippi jusqu’à La Nouvelle-Orléans. Sur le retour, il s’installe dans le village de New Salem (en), sur la rivière Sangamon. Il y devient magasinier, postier, surveillant. En 1832, il s’enrôle dans la milice locale pour combattre les Indiens de Black Hawk et est élu capitaine de sa compagnie. Il déclarera plus tard n’avoir jamais vu de guerriers indiens, mais avoir participé à des disputes virulentes entre miliciens.
Aspirant à une vie publique, il se présente aux élections pour siéger à l’assemblée de l’État comme représentant du Parti whig, mais est défait la première fois avant d’être élu puis plusieurs fois réélu. Hésitant, il préfère finalement devenir avocat plutôt que forgeron pour gagner sa vie. Après avoir déjà étudié les mathématiques et la grammaire, il commence donc à étudier le droit. En 1836, il réussit l’examen du barreau.
Liens externes | |||||||||||||||||||||||||||
https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Lincoln | |||||||||||||||||||||||||||
Notes et références | |||||||||||||||||||||||||||
12 février : Naissances | |||||||||||||||||||||||||||
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