Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.01.2025
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Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
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Par Anonyme, le 26.10.2024
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Gigliola Cinquetti, née le 20 décembre 1947 à Vérone (Italie), est une chanteuse italienne.
En 1964, Gigliola Cinquetti, alors âgée de seize ans, représente l'Italie au Concours Eurovision de la chanson avec la chanson Non ho l'età, où elle remporte le grand prix.
En 1974, elle est de nouveau le porte-drapeau de l'Italie, avec la chanson Si, et finit à la deuxième place.
Et en 1991, elle co-présente le Concours Eurovision de la chanson avec Toto Cutugno, celui-ci ayant remporté le grand prix l'année précédente, à Zagreb (Croatie).
Gigliola Cinquetti chante en italien, en français, en anglais, en japonais, en espagnol, en grec et en allemand.
Ses participations au Festival de San Remo
1964 Non ho l'età (per amarti), en duo avec Patricia Carli.
1965 Ho bisogno di vederti, en duo avec Connie Francis.
1966 Dio come ti amo, en duo avec Domenico Modugno.
1968 Sera, en duo avec Giuliana Valci.
1969 La pioggia, en duo avec France Gall.
1970 Romantico blues, en duo avec Bobby Solo.
1971 Rose nel buio, en duo avec Ray Conniff.
1972 Gira l'amore (caro bebè).
1973 Mistero.
1985 Chiamalo amore.
1989 Ciao.
1995 Giovane vecchio cuore, écrit par Giorgio Faletti.
Chansons
1964 Non ho l'età.
1964 Sei un bravo ragazzo.
1964 Quando vedo che tutti si amano.
1964 Penso alle cose perdute.
1964 L'italiano, en duo avec Maurice Chevalier.
1964 Il primo bacio che darò.
1964 Non è niente, lasciami stare.
1964 Ce n'e uno solo.
1964 Prima o poi... telefonerai.
1964 Tout un dimanche loin de toi.
1964 Charmant comme toi.
1964 Uno di voi.
1964 L'un d'entre vous.
1964 Reste là.
1965 Dans l'église de lumière.
1965 Les yeux baissés.
1965 J'oublie.
1965 Un jour pour ceux qui s'aiment.
1965 Ho bisogno di vederti.
1965 Grazie amore.
1965 Napoli fortuna mia.
1965 Anema e core.
1966 Dio come ti amo.
1966 Mille ani.
1966 Sfiorisci bel fiore.
1966 Vuoi.
1966 Mon Dieu comme je t'aime.
1966 Les filles et les roses.
1966 La feuille qui tombe.
1966 Vous.
1967 Dommage, dommage.
1967 Quand le rossignol a chanté.
1967 Le cœur trop tendre.
1967 La voix de mon amour.
1967 La rosa nera.
1967 Ho il cuore tenero.
1967 Tutti sono andati.
1967 Una storia d'amore.
1967 Quando io sarò partita.
1967 La rose.
1967 Tout le monde est parti.
1967 Une histoire d'amour.
1967 Le matin où je serai partie.
1968 Comment te dire.
1968 Le soir.
1968 Quelli erano i giorni.
1968 Volano le rondini.
1969 La pioggia.
1969 Zero in amore.
1969 L'orage.
1969 Vole, petite hirondelle.
1969 Le tandem.
1969 Il faut sortir.
1969 Mon petit doigt.
1969 Le chemin qui mène à l'amour.
1969 Liverpool.
1969 L'aeroplano.
1969 La lluvia (en espagnol).
1970 J'ai le cœur plus grand que l'amour.
1970 Vive la fête.
1970 Romantico blue.
1970 T'amo lo stesso.
1970 La domenica andando alla messa.
1971 Canto bambino.
1971 Fatalità.
1971 Le bateau-mouche.
1971 Quand la fête est finie.
1971 Mister chipp.
1972 Tous les hommes sont fidèles.
1972 Une chanson triste pour un jour de fête.
1972 Un coin de terre, un olivier (même air que Gira l'amore).
1972 Pourquoi.
1972 Je suis timide.
1972 Parti sans adresse.
1972 Tu balli sul mio cuore.
1972 Un altra donna, un altra canzone.
1974 Qui comando io.
1974 Alle porte del sole.
1974 Dernière histoire, premier amour.
1974 Mister ship.
1974 Sì.
1974 Il pappagallo verde.
1974 Lui.
1974 Le tandem.
1974 Si on voulait.
1974 Le grand manège aux souvenirs.
1975 Comment fait-elle, dis-moi ?.
1975 La Joconde.
1976 La primavera.
1976 Sans toi.
1977 Western.
1977 Rossignol.
1992 La poésie d'une femme.
1992 Di più di quest'amore.
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Carole Landis (née Frances Lillian Mary Ridste) est une actrice américaine née le 1er janvier 1919 à Fairchild dans le Wisconsin et morte le 5 juillet 1948 à Pacific Palisades en Californie.
Biographie
Carole Landis, de son vrai nom Frances Lillian Mary Ridste, naît le 1er janvier 1919 à Fairchild, dans le Wisconsin. Son père, Alfred Ridste, Norvégien, travaille sur les chemins de fer, et sa mère, Clara Stendek Ridste, est Polonaise. Ils se séparent alors qu'elle est encore bébé. Elle a un grand frère et une grande sœur qui sont de faux jumeaux, Dorothy et Lawrence, nés en 1917.
Elle prend le prénom de Carole par admiration pour l’actrice Carole Lombard (1908-1942).
Elle commence sa carrière en 1937 comme chorus girl (équivalent d’une figurante) et son nom n’est donc jamais cité au générique. Elle sort de l'ombre en 1939, quand elle obtient un second rôle dans le western Three Texas Steers, dont John Wayne est la tête d’affiche. Elle joue le personnage de Nancy Evans. Elle n'y acquiert pas une grande notoriété.
C'est en 1940 que Hal Roach lui offre la chance de se distinguer dans le film britannique One Million B.C. où elle joue aux côtés de Victor Mature et Lon Chaney Jr.. Hal Roach la prend sous son aile et elle joue dans son film suivant, Turnabout, avec Adolphe Menjou. C’est un immense succès, au point qu’Edward Dmytryk l’engage pour son film à sensation Mystery Sea Raider où elle tient le rôle principal.
Son charme opère malgré son jeune âge (elle n'a alors que 21 ans) et elle devient rapidement une valeur sûre du box-office. En 1941, elle jouera dans des films comme Road Show d’Hal Roach avec Adolphe Menjou, Le Retour de Topper avec Roland Young et Joan Blondell dans le rôle du fantôme, Soirs de Miami avec Betty Grable et Robert Cummings ou encore Cadet Girl avec George Montgomery.
Mais le 16 janvier 1942, alors que A Gentleman At Heart, où elle joue, sort en avant-première, son idole Carole Lombard décède accidentellement dans un accident d'avion à l'âge de 33 ans.
Carole Landis est très affectée par cette disparition et sa vie privée devient chaotique. Elle poursuit néanmoins sa carrière et tourne notamment dans Mon amie Sally (1942) avec Rita Hayworth, Manila Calling avec Cornel Wilde, Les Saboteurs (1944) avec Pat O'Brien, Scandale à Paris de Douglas Sirk avec George Sanders. Son dernier film sera Bass Monkey en 1948.
Carole Landis se maria à cinq reprises mais n’eut aucun enfant, car elle était stérile. Elle fut mariée avec :
Irving Wheeler du 14 janvier 1934 jusqu’en février 1934 (annulation) puis du 2 août 1934 jusqu’en 1939 ;
Willis Hunt Jr. du 4 juillet au 13 novembre 1940 ;
le Capt. Thomas C. Wallace du 5 janvier 1943 au 19 juillet 1945 ;
W. Horace Schmidlapp du 8 décembre 1945 au 5 juillet 1948, jour de sa mort. Le couple était en instance de divorce depuis le mois de mars.
Carole Landis souffrait beaucoup de ne pouvoir être mère en raison de sa stérilité. Elle fut sujette à de nombreux problèmes de santé, qu'on peut en partie imputer à son instabilité psychologique : problèmes cardiaques, dysenterie, malaria, pneumonie et dépression.
En 1947, Carole Landis eut une liaison avec Rex Harrison. Son suicide le 5 juillet 1948 à Pacific Palisades, en Californie, serait la conséquence du refus de l'acteur de quitter sa femme Lilli Palmer.
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Le FCM F1 est un prototype de char de rupture français de la Seconde Guerre mondiale.
Origines
Dans les années 1920, la France fait usage d'une typologie des chars, classifiés selon leur masse. Les plus de 50 tonnes rejoignent les chars lourds, au-delà de 100 tonnes, les chars super-lourds. Le rôle ou type vient s'adjoindre à la classe : char de bataille, char d'arrêt, char d'assaut ou forteresse terrestre. Le premier char lourd de plus de 50 t fut le FCM 2C de 68 t avec sa version canonnière FCM 2C bis avec obusier de 155 mm.
Le programme de 1926 à 1928 de Char d'arrêt, où char de bataille à la mission de stopper l'avancée ennemie par attraction de son tir, amène le projet d'un char de cinquante tonnes, cependant le concept de FCM est celui d'un super lourd de cent tonnes. En février 1929, FCM travaille sur un nouveau plan d'un blindé, plus léger, de 65 t. Cependant, par défaut de budget celui-ci se termine le 17 mai 1929.
Le 4 mai 1936, le Conseil Consultatif de l'Armement, sous l'autorité du général Julien Dufieux, décide de développer un nouveau char lourd. Il devra respecter les spécifications minimales suivantes imposées le 12 novembre 1936 : masse maximale de 45 tonnes métriques, immunité à tout tir de 75 mm AP tiré au-delà de 200 m, rayon d'action de 200 km, armement composé d'un canon de coque de 75 mm et d'une tourelle de 47 mm. Il devait être une version agrandie du char B1.
Un mois après le début de la Seconde Guerre mondiale, sur le rapport des Corps Francs projetés à partir de la ligne Maginot sur les défenses de la ligne Siegfried, la décision est prise de constituer un blindé capable d'affronter cette menace.
Le FCM F1
Le FCM F1 où FCM modèle Forteresse 1 est un char de rupture ou char super-lourd de type « Forteresse terrestre » destiné à briser les lignes blindées et fortifications ennemies, développé en France par les Forges et Chantiers de la Méditerranée. Douze exemplaires de ce modèle F1 ont été commandés en 1940 pour remplacer le char 2C. Il est prévu une production de deux exemplaires par mois début 1941
Sa conception a été basée sur sa mission principale, de l'assaut des points les plus fortifiés de la ligne Siegfried.
Seul un char de démonstration a été conçu et armé pour la présentation officielle. Toutefois, tous les rapports concernant ce char ont été capturés par l'envahisseur allemand. Lorsque les Allemands capturèrent Le Havre, un FCM F1 était en phase de fin de montage des tourelles, les plans furent capturés, le modèle et l'usine détruits sans autre forme de procès.
Le char était massif avec 139 tonnes, un équipage de 9 cuirassiers, 10 m de long sur 3 de large, un blindage feuilleté de 120 mm de front et arrière, 100 mm de flanc pouvant encaisser jusqu'aux tirs de pièces d'artilleries de 150 mm ou anti-chars de 128 mm de la ligne Siegfried et des plus hauts calibres allemands de l'époque.
Deux moteurs de 550 CV amenaient ses 139 tonnes à 24 km/h sur route, avec seulement une infime perte de vitesse en montée. Par contre sa mécanique empêchait toute accélération dans les descentes.
Ce principe devait permettre au FCM F1 d'évoluer sur toute surface, jusqu'à d'importantes inclinaisons même de face en descente sans perte de contrôle tout en maîtrisant la manœuvre.
Sa masse de 139 tonnes le rendait capable d'écraser la protection dite dent de dragon en toute aisance, dans la limite de sa manœuvrabilité.
Un blindage révolutionnaire
La sidérurgie lourde française était à ce moment-là la meilleure, grâce aux éléments majeurs, variés et rares que fournissaient les colonies de la France. Cette supériorité sidérurgique fut ensuite à l'avantage de l'Allemagne lors de l'occupation par l'usage des méthodes françaises. Ainsi, à épaisseur égale, certains blindages français avaient de meilleures performances que les blindages allemands. Cette efficacité sera encore améliorée par l'emploi d'angles innovants.
Le FCM F1 était doté d'un blindage feuilleté répartissant l'impact de la munition sur la totalité de sa surface, amenant non seulement la perte de pénétration, de cinétique, mais retournant une partie de la puissance d'impact contre la munition elle-même en la freinant, jusqu'au rebond dans le cas d'un impact en angle obtus ou même de face de manière permanente d'une munition jusqu'au 90 mm, protégeant par là même l'équipage de l'onde de choc.
Seul un doute persista à sa conception quant aux projectiles explosifs de haut calibres qui pourraient par frappe successives amener la brisure du blindage, ôtant sur la totalité de la face fendue sa capacité de répartition du choc.
Armement
Sa tourelle avant était de 47 mm explosif haute cadence de tir avec mitrailleuse coaxiale pour neutralisation de véhicules d'infanterie et de points de sauvegarde légers et moyens d'infanterie (tranchées, casemates moyennes…). Une seconde version de la tourelle avant fut prévue — toujours avec mitrailleuse 8 mm coaxiale — emportant un canon de 75 mm à barillet, avec munitions à têtes creuses et explosives, pour une version antichar et d'autoprotection. Une version antiaérienne a été envisagée en tourelle avant par deux mitrailleuses 37 mm Schneider modèle 1930 ou un canon Bofors de 40 mm avec mitrailleuse 8 mm coaxiale.
La tourelle arrière était un 90 mm, d'origine d'artillerie antiaérienne, haute cadence de tir à 12 coups par minute, faisant feu des obus de 10 kg à 845 m/s, munition perforante explosive, devant exploser 100 millisecondes après avoir percé, pour faire sauter les pans de béton armé, neutraliser les personnels, faire détoner les munitions de casemates comme de blindés. La munition standard de 90 mm, calibre 50 AA (antiaérien) à fragmentation pouvant atteindre 13 000 m d'altitude pouvait également être embarquée. Une seconde version fut envisagée, de 105 mm, cette fois en munitions de rupture, c'est-à-dire destinées à arracher une part du blindage percé l'amenant à haute température et lui fournissant une part de la force d'impact pour en faire usage de projectile secondaire augmentant ainsi de manière exponentielle spontanée la puissance initiale de la munition.
Quatre à six mitrailleuses Hotchkiss de 8 mm, dont une de chaque côté et à l'arrière, assuraient sa protection rapprochée contre l'infanterie
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Smiper
Les femmes soviétiques ont joué un rôle majeur pendant la Seconde Guerre mondiale. La plupart ont travaillé dans l'industrie, les transports, l'agriculture et d'autres rôles civils afin d'augmenter la production militaire, mais un nombre important de femmes a servi dans l'armée soviétique. La plupart travaillaient dans des unités médicales.
Dès 1925, les jeunes filles soviétiques suivent une formation, appelée « enregistrement militaire », établissant un livret militaire et consignant tous les renseignements nécessaires à une éventuelle réquisition en cas de conflit. Toutes les femmes entre 18 et 40 ans étaient concernées et constituaient une réserve militaire.
Au fur et à mesure que croissent les effroyables pertes militaires soviétiques, les femmes intègrent l'Armée rouge en grand nombre. Au total, 800 000 femmes servent dans les forces armées soviétiques pendant la guerre. Plus de 100 000 d’entre elles s’engagent dans l’armée régulière ou rejoignent les partisans. Près de 200 000 seront décorées et 85 recevront la plus haute distinction, celle de Héros de l'Union soviétique. Le modèle de la femme combattante a été abondamment utilisé par la propagande soviétique pendant la guerre.
Cette mobilisation des femmes dans l'URSS en guerre a donc été massive, dans l'effort de guerre comme dans le combat. Elles se sont particulièrement illustrées dans des unités combattantes — fantassins ou aviatrices.
Femmes pilotes de chasse
Timbre spécial russe à l'occasion du 100e anniversaire de la célèbre aviatrice soviétique Marina Raskova.
Devant les pertes catastrophiques de l’armée de l’air soviétique au cours de l’été 1941 à la suite de l’opération Barbarossa, les régiments féminins d'aviation de combat commencent à être formés vers octobre 1941, après que le Haut Commandement soviétique autorisa Marina Raskova, figure de l'aviation soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale participant activement au recrutement des équipages féminins, à organiser le Groupe d'Aviation n°122, une unité aérienne militaire soviétique entièrement féminine. En effet, tout au long de la Grande Guerre patriotique, bon nombre de jeunes femmes soviétiques souhaitaient aller au front pour combattre les ennemis de leur patrie. Il y avait déjà quelques aviatrices qui avaient été entraînées dans des aéro-clubs par les Osoaviakhim.
Avec l'approbation de la Stavka (Haut commandement suprême) et l'assistance du Komsomol, Marina Raskova forme donc trois régiments d’aviation: le 586e IAP (Régiment de chasse), le 587e BAP (Régiment de bombardier en piqué) et le 588e NBAP (Régiment de bombardier de nuit). Le premier régiment est initialement assigné à la défense de la ville de Saratov, alors que les deux autres pouvaient être envoyés au front. Chacun des trois régiments féminins comprend environ 400 personnes, et à l’exception du régiment de bombardement de jour, qui compte quelques éléments masculins, ils sont intégralement constitués de femmes (pilotes, mécaniciennes et radios pour la plupart).
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la radio de Moscou diffusa un appel dans l'ensemble du pays destiné aux volontaires féminines. Maria Raskova se chargea d’analyser ses demandes et s’entretient avec les candidates au profil le plus prometteur. Celles qu’elle sélectionne sont envoyées sur l’aérodrome d’Engels, pour y recevoir un entraînement opérationnel au sein de la 122e division aérienne composite. Les futures aviatrices sont donc envoyées dans la ville d'Engels pour une durée de 6 mois afin de terminer leur formation de pilote, alors que celle-ci prenait normalement 18 mois.
Johannes Steinhoff, un militaire allemand, as de la Seconde Guerre mondiale, déclare le 2 septembre 1942 : « Nous ne pouvions tout simplement pas croire que les pilotes soviétiques qui nous causèrent les plus gros problèmes étaient en fait des femmes. Elles n’avaient peur de rien. Elles venaient nous harceler nuit après nuit dans leur biplan rustique, et durant de longues périodes ne nous laissaient pas fermer l’œil de la nuit ».
Ces aviatrices soviétiques ont mis en place diverses tactiques de combat. Elles volent précisément et très près vers leurs objectifs en rase-motte puis au dernier moment, prennent de plus en plus l’altitude avant de couper leur moteur et de piquer sur leur cible.
C’est à l’été 1943, lors de la bataille blindée de Koursk, que le régiment 586e IAP est confronté à l’une de ses épreuves les plus marquantes. Le lieutenant Galia Boordina se souvient que « le ciel était tellement plein d’avions, et dans un espace si restreint, que cela en était terrifiant ». Deux de ses camarades, les lieutenants Tamara Pamiatnika et Raïssa Sournachevskaia, se comportent courageusement lors des combats qui font rage. Volant ensemble, elles rencontrent une formation de plus de quarante bombardiers Junkers Ju 88. Attaquant en piqué, elles abattent deux avions ennemis dès leur première passe.
En 1944, l’unité équipée de chasseurs Yakovlev Yak-9, prit part à l’offensive de Hongrie. La 586e IAP finit la guerre en Autriche sur un des aérodromes occupés. Durant la guerre les femmes pilotes de la 586e IAP firent 4 419 sorties, menèrent 125 combats aériens et remportèrent au total 38 victoires. Les pertes n’ont pas été totalisées.
Mais les exploits les plus importants et prestigieux sont à mettre à l’actif du 46e NBAP de la Garde (Taman), qui a accompli pas moins de 2 400 sorties nocturnes et a glané 23 des 30 étoiles d’or de Héros de l’Union soviétiques décernées à des équipages féminins lors de la Grande Guerre patriotique.
Femmes soldats dans les forces terrestres
Parmi tous les métiers que les femmes ont pu exercer durant la guerre, l'un des plus durs et des plus improbables, est celui de tireur d'élite. Alors qu'au commencement de la guerre, les femmes snipers (tireur embusqué) sont des cas isolés en Union soviétique, leur nombre augmenta sans cesse grâce à la création de l’École principale de préparation des femmes snipers et la volonté chez bon nombre d'entre elles d'aller au front.
Comme leurs homologues masculins, l'objectif qui leur est fixé est « d'atteindre les cibles à haute valeur telles que les officiers, les mitrailleurs, les snipers adverses et les transmetteurs ». En effet, les rapports allemands de l'époque évoquent que dès les premiers jours d'entrée en Union soviétique, entre le 22 et le 30 juin, une forte activité des snipers cherchaient délibérément à éliminer les officiers et sous-officiers. Ils précisent que plus de 6,2 % des pertes touchent le commandement, par rapport aux 4,85 % de la campagne de France. Ces femmes snipers russes sont confrontées au feu ennemi, à la menace de se faire arrêter par les Allemands et à l'immobilité pendant des heures et des jours. D'abord mal vues des hommes qui les sous-estiment grandement, elles vont gagner en crédibilité et trouver leur place dans l'histoire de la Grande Guerre patriotique.
Ainsi, plus de 2 000 femmes soviétiques ont participé aux combats en tant que sniper durant ce conflit au sein de l’Armée rouge. Parmi ses femmes snipers, six vont recevoir la plus haute distinction, celle de Héros de l'Union soviétique et l'Ordre de Lénine, et une seule d'entre elles, Nina Petrova, va devenir un chevalier complet de l'Ordre de la Gloire.
Timbre postal représentant Lioudmila Pavlitchenko, 1943.
Parmi les femmes snipers célèbres, on peut citer Nina Lobkovskaïa, qui commanda une compagnie de tireurs d'élite et qui participa à la bataille de Berlin et l'ukrainienne Lioudmila Pavlitchenko, créditée de 309 ennemis tués et qui reçut en 1943 la médaille d'or du Héros de l'Union soviétique et fut honorée par un timbre postal soviétique à son effigie.
Dans les blindés, les femmes n'étaient pas nombreuses mais on peut tout de même citer Mariya Oktyabrskaya, la première femme pilote de char à obtenir le titre d'Héros de l'Union soviétique, ou encore Aleksandra Samusenko, seule femme commandant d'un char T-34 dans la 1re armée de chars de la Garde, qui commandait un peloton de chars. Elle participa à la bataille de Berlin avec le grade de capitaine, exerçant son commandement sur des hommes. Manchouk Mametova, originaire du Kazakhstan, s'illustra comme servant de mitrailleuses. Elle aussi, mourut pendant la guerre.
Les femmes étaient donc principalement présentes dans la conduite de chars, dans la médecine, et furent très présentes dans le personnel de communication et responsables politiques. Les femmes étaient en majorité chargées des batteries antiaériennes employées lors de la bataille de Stalingrad. Certaines batteries, y compris le 1077e régiment antiaérien, également engagées dans le combat au sol.
Partisans
Femmes soldats soviétiques en train de soigner des blessés sur un champ de bataille en avril 1945.
Les femmes soviétiques ont constitué une part importante de partisans soviétiques. Une des plus célèbres est Zoïa Kosmodemianskaïa, résistante soviétique pendue par les nazis le 29 novembre 1941 à l'âge de 18 ans. Elle est devenue l'un des martyrs les plus révérés de la Grande Guerre patriotique.
Zinaida Portnova, une jeune soviétique abattue à l'âge de 17 ans par les Allemands, fut la plus jeune femme à obtenir le titre de Héros de l'Union soviétique.
Relations avec les hommes
La présence des femmes éveillait parfois des sourires narquois de la part de leurs homologues masculins. Le maréchal Vassili Tchouïkov les considéraient comme de simples filles. Beaucoup de soldats âgés ne savaient pas s'il fallait les traiter en camarades ou en femmes. Ilya Ehrenbourg, écrivain et journaliste russe qui joua un rôle important pour la propagande soviétique durant la Seconde Guerre mondiale, écrit:
« Ces filles évoquaient le souvenir du bal de fin d'année, des premières amours… Presque toutes celles que j'ai rencontrées au front arrivaient directement de l'école. Elles grimaçaient nerveusement : il y avait trop d'hommes autour d'elles qui les dévoraient des yeux »
Plusieurs furent contraintes de devenir « l'épouse de campagne » d'un officier, souvent supérieur. Elles pouvaient aussi être victimes d'une coercition assez brutale. Un soldat a raconté comment un officier avait ordonné à une jeune femme de leur section de transmissions d'accompagner une patrouille de combat, tout simplement parce qu'elle avait refusé de coucher avec lui. Les femmes qui tombaient enceintes étaient souvent renvoyées à l'arrière. Vassili Grossman fut consterné par le fait que certains abusaient ouvertement de leur position hiérarchique pour obtenir des faveurs sexuelles. Il considérait ce phénomène comme le « grand péché de l'Armée rouge ».
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Harry Fowles, un membre du gang arborant le pardessus emblématique et la casquette plate à visière
Les Peaky Blinders étaient un gang de rue basé à Birmingham , en Angleterre, qui a opéré des années 1880 aux années 1910. Le groupe était composé en grande partie de jeunes criminels issus de milieux modestes ou moyens. Ils se sont livrés à des vols, à des violences, à du racket , à la création de paris illégaux et au contrôle des jeux de hasard. Les membres portaient des tenues emblématiques qui comprenaient généralement des vestes sur mesure, des pardessus à revers , des gilets boutonnés , des foulards en soie , des pantalons à pattes d'éléphant , des bottes en cuir et des casquettes plates à visière . Cependant, contrairement à la série télévisée du même nom, il est peu probable qu'ils aient des lames de rasoir cousues dans ces casquettes, tirant plutôt leur nom de la manière dont ils les portaient avec la casquette inclinée de manière à ce que la visière couvre un œil.
La domination des Blinders est née du fait qu'ils ont battu leurs rivaux, y compris les "Sloggers" ("un terme pugilistique pour quelqu'un qui pouvait porter un coup dur sur le ring" ), avec qui ils se sont battus pour le territoire de Birmingham et de ses districts environnants. Ils ont détenu le « contrôle » pendant près de 20 ans jusqu'en 1910, lorsqu'un gang plus important, les Birmingham Boys , dirigé par Billy Kimber, les a rattrapés. Bien qu'ils aient disparu dans les années 1920, le nom « Peaky Blinders » est devenu synonyme d'argot pour tout gang de rue de Birmingham.
En 2013, le nom a été réutilisé pour une série télévisée de la BBC intitulée Peaky Blinders . La série, qui met en vedette Cillian Murphy , Paul Anderson et Joe Cole , est une histoire policière sur une famille criminelle fictive opérant à Birmingham juste après la Première Guerre mondiale.
Étymologie
L' étymologie populaire de Peaky Blinder est que les membres du gang cousaient des lames de rasoir jetables dans les pointes de leurs casquettes plates, qui pouvaient ensuite être utilisées comme armes. Cependant, comme la société Gillette a introduit le premier système de rasoir de sécurité remplaçable en 1903, aux États-Unis, et que la première usine de fabrication en Grande-Bretagne a ouvert ses portes en 1908, cette idée de l'origine du nom est considérée comme apocryphe. L'auteur britannique John Douglas, de Birmingham, a déclaré que les chapeaux étaient utilisés comme armes dans son roman A Walk Down Summer Lane – les membres avec des lames de rasoir cousues dans leurs casquettes donnaient un coup de tête aux ennemis pour potentiellement les aveugler, ou le les casquettes étaient utilisées pour trancher le front, faisant couler du sang dans les yeux de leurs ennemis, les aveuglant temporairement.
L'historien de Birmingham, Carl Chinn, pense que le nom fait en réalité référence à l'élégance vestimentaire du gang. Il dit que l'usage populaire de « Peaky » à l'époque faisait référence à toute casquette plate avec une visière. "Blinder" était un terme d'argot familier de Birmingham (encore utilisé aujourd'hui) pour décrire quelque chose ou quelqu'un d'apparence pimpante. Une autre explication pourrait provenir du propre comportement criminel du gang ; ils étaient connus pour se faufiler par derrière, puis baisser la visière du chapeau sur le visage des victimes afin de ne pas pouvoir décrire qui les avait volés.
Violence chez les jeunes
Thomas Gilbert, un membre puissant du gang
Les difficultés économiques à Birmingham ont conduit à une sous-culture violente chez les jeunes. Les jeunes pauvres se livraient fréquemment au vol et au vol à la tire des hommes marchant dans les rues des bidonvilles . Ces efforts ont été exécutés par des voies de fait , des coups et blessures , des coups de couteau et des étranglements . Les origines de cette sous-culture remontent aux années 1850, une époque où les rues de Birmingham étaient remplies de tripots et de sports extrêmes. Lorsque la police a commencé à réprimer ces activités sous la pression des classes supérieures , les jeunes ont riposté, se regroupant dans ce qui est devenu connu sous le nom de gangs de slogging . Ces gangs combattaient fréquemment la police et agressaient des membres du public marchant dans les rues. Au cours des années 1890, les gangs de rue de jeunes étaient composés de garçons et d'hommes âgés de 12 à 30 ans . La fin des années 1890 a vu l'organisation de ces hommes dans une hiérarchie de soft power .
Les plus violents de ces gangs de rue de jeunes se sont organisés en un groupe singulier connu sous le nom de Peaky Blinders. Ils ont probablement été fondés à Small Heath, peut-être par un homme nommé Thomas Mucklow, comme le suggère un article de journal intitulé « Un outrage meurtrier à Small Heath, le crâne d'un homme fracturé » (imprimé dans l'édition du 24 mars 1890 du Birmingham Mail ). . Cet article est peut-être la première preuve imprimée des Peaky Blinders :
Une grave agression a été commise contre un jeune homme nommé George Eastwood. Vivant au 3 court, 2 maison, Arthur Street, Small Heath, samedi soir. Il semble qu'Eastwood, qui s'est abstenu pendant un certain temps, a appelé entre dix et onze heures au Rainbow Public House, dans Adderly Street, et s'est vu offrir une bouteille de bière au gingembre. Peu de temps après, plusieurs hommes connus sous le nom de gang des « Peaky Blinders », qu'Eastwood connaissait de vue car ils vivaient dans le même quartier que lui, sont arrivés.
Après que des gangsters aient attaqué un homme en 1890, ils envoyèrent une lettre à divers journaux nationaux se déclarant membres de ce groupe spécifique. Leurs premières activités tournaient principalement autour de l'occupation de terres favorables, notamment les communautés de Small Heath et Cheapside, Birmingham. Leur expansion a été remarquée par leur premier gang rival, les Cheapside Sloggers, qui se sont battus contre eux dans le but de contrôler les terres.
Après que Peaky Blinders ait établi un territoire contrôlé à la fin du 19e siècle, leur entreprise criminelle a commencé à se développer. Ils se sont diversifiés dans le racket de protection , la fraude , l'accaparement des terres , la contrebande , le détournement de camions , le vol et la vente de livres . L'historienne Heather Shor de l' Université de Leeds affirme que les Blinders étaient davantage concentrés sur les combats de rue , les vols et les rackets de protection, par opposition au crime organisé .
Le groupe était connu pour sa violence, non seulement envers les gangs rivaux, mais aussi contre des civils et des agents de police innocents. Des guerres de gangs entre gangs rivaux éclataient fréquemment à Birmingham, entraînant des bagarres et des fusillades. Les Peaky Blinders ont également délibérément attaqué des policiers, dans ce qui est devenu connu sous le nom de « appâtage des agents ». Le gendarme George Snipe a été tué par le gang en 1897, tout comme Charles Philip Gunter en 1901. Des centaines d'autres ont été blessés et certains ont quitté la force à cause de la violence.
Bientôt, le terme « Peaky Blinder » est devenu un terme générique pour désigner les jeunes criminels de rue de Birmingham. En 1899, un chef de la police irlandaise nommé Charles Haughton Rafter a été engagé pour faire respecter la loi locale à Birmingham. Cependant, la corruption de la police et les pots-de-vin ont diminué l'efficacité de son application pendant un certain temps.
Le membre le plus puissant des Peaky Blinders était un homme connu sous le nom de Kevin Mooney. Son vrai nom était Thomas Gilbert, mais il changeait régulièrement de nom de famille.
Les autres membres éminents du gang étaient David Taylor, Earnest Haynes, Harry Fowles et Stephen McNickle. Harry Fowles, connu sous le nom de « Harry au visage de bébé », a été arrêté à 19 ans pour avoir volé une bicyclette en octobre 1904. McNickle et Haynes ont également été arrêtés en même temps, pour avoir volé une bicyclette et violation de domicile , respectivement. Chacun a été détenu pendant un mois pour ses crimes. Les archives de la police des West Midlands décrivent les trois personnes arrêtées comme « des jeunes hommes grossiers qui parcourent les rues en groupes ivres, insultant et agressant les passants ». Taylor a été arrêté à l'âge de 13 ans pour avoir porté une arme à feu chargée.
De nombreux membres de gangs ont ensuite combattu pendant la Première Guerre mondiale . Henry Lightfoot, la première personne à être nommée Peaky Blinder, a rejoint l'armée britannique trois fois dans sa vie et a participé à la bataille de la Somme en 1916.
Le gangster Billy Kimber était également un ancien Peaky Blinder.
En plus des armes à feu, les Peaky Blinders utilisaient un assortiment d'armes de mêlée, telles que des boucles de ceinture, des bottes à pointe métallique, des fers à feu , des cannes et des couteaux. [23] Dans le cas de George Eastwood, il a été frappé par des boucles de ceinture. Percy Langridge a utilisé un couteau pour poignarder l'agent de police Barker en juin 1900. [24] Des armes à feu telles que des revolvers Webley ont été utilisées, comme lors de la fusillade et du meurtre d'un membre du gang Summer Hill par Peaky Blinder William Lacey en septembre 1905.
Les membres des gangs portaient fréquemment des vêtements sur mesure, ce qui était rare pour les gangs de l'époque. Presque tous les membres portaient une casquette plate et un pardessus. Les Peaky Blinders portaient des costumes sur mesure, généralement avec des pantalons pattes d'éléphant et des vestes boutonnées. Les membres les plus riches portaient des foulards en soie et des colliers amidonnés avec des boutons de cravate en métal. Leur tenue vestimentaire distinctive était facilement reconnaissable par les habitants de la ville, la police et les membres de gangs rivaux. Les épouses, petites amies et maîtresses des membres du gang étaient connues pour porter des vêtements somptueux. Les perles, les soieries et les foulards colorés étaient monnaie courante.
Refuser
Après près d'une décennie de contrôle politique, leur influence croissante a attiré l'attention d'un gang plus important, les Birmingham Boys . L'expansion des Peaky Blinders dans les hippodromes a provoqué de violentes réactions négatives de la part du gang des Birmingham Boys. Les familles Peaky Blinder se sont physiquement éloignées du centre de Birmingham pour se diriger vers la campagne. Avec le retrait des Blinders du monde criminel, le gang Sabini s'est tourné vers le gang des Birmingham Boys et a solidifié son contrôle politique sur le centre de l'Angleterre dans les années 1930.
D'autres éléments tels que l'éducation, la discipline et des mesures policières et des peines plus sévères ont également contribué à la diminution de l'influence des Blinders et, dans les années 1920, ils avaient disparu. À mesure que le gang spécifique connu sous le nom de Peaky Blinders diminuait, leur nom est devenu un terme générique pour décrire les jeunes de la rue violents. Les activités du gang ont duré des années 1880 jusqu'aux années 1910.
Dans la culture populaire
La série dramatique télévisée de la BBC Peaky Blinders , avec Cillian Murphy , Paul Anderson , Sam Neill et Helen McCrory , a été créée en septembre 2013. Elle présente une histoire fictive dans laquelle les Peaky Blinders affrontent dans le monde souterrain les Birmingham Boys et le gang Sabini , et il suit le gang basé dans le quartier de Small Heath à Birmingham après la Première Guerre mondiale . Le gang possédait des maisons situées dans et autour de Birmingham, allant de Longbridge à Sutton Coldfield . De nombreux extérieurs du spectacle ont été filmés sur place au Black Country Living Museum .
La chanson « Cheapside Sloggers » (2019) du groupe de hard-rock danois Volbeat a été écrite sur la rivalité entre les deux gangs.
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