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Comment François Bayrou est revenu sur le devant de la scène

Publié à 11:34 par dessinsagogo55 Tags : center enfants chez article centerblog livre sur bonne merci moi france monde amitié pouvoir
Comment François Bayrou est revenu sur le devant de la scène

De sa démission du gouvernement au haut-commissariat au Plan, comment François Bayrou est revenu sur le devant de la scène

L'ancien candidat à l'Elysée, fidèle soutien du président Macron, sera chargé de réfléchir aux grandes priorités pour le pays dans les décennies à venir. 

Clément Parrot France Télévisions

Mis à jour le 03/09/2020 | 06:53
publié le 03/09/2020 | 06:53

 

La nouvelle est désormais officielle. François Bayrou effectue son retour à l'avant-scène de la politique nationale, jeudi 3 septembre, en prenant la tête d'un haut-commissariat au Plan, un outil de prospective ressuscité par le gouvernement après avoir été en vigueur de 1946 à 2006. Le président du MoDem, qui avait été contraint de quitter le ministère de la Justice en 2017, effectue ainsi un retour inespéré au plus près du pouvoir.

Réélu en juin dernier, le maire de Pau, qui souhaite rester à la tête de sa ville et exercer sa nouvelle fonction à titre bénévole, va désormais s'attacher à définir les priorités et les grandes évolutions du pays pour les décennies à venir. Franceinfo revient sur le "come-back" de l'ancien candidat à la présidentielle, figure historique du mouvement centriste, qui s'est imposé comme un incontournable dans le premier cercle des fidèles d'Emmanuel Macron.

 

Il s'est fait discret en raison de ses ennuis judiciaires

 

Au début du quinquennat, François Bayrou, 69 ans, a été contraint de quitter le gouvernement après 34 jours comme garde des Sceaux, en raison de l'ouverture d'une enquête préliminaire sur les soupçons d'emplois fictifs concernant des assistants de députés européens du MoDem. Dans cette affaire, les magistrats cherchent à déterminer si des collaborateurs parlementaires ont été rémunérés par les fonds du Parlement européen alors qu'ils étaient en réalité affectés à d'autres missions pour le MoDem. En décembre 2019, François Bayrou a même été mis en examen, comme une douzaine de responsables du mouvement, pour "complicité de détournement de fonds publics". 

S'il reste présumé innocent, cette mise en examen semblait empêcher le retour au premier plan du leader centriste, longtemps présenté comme un premier-ministrable. Mais François Bayrou a su attendre. Il a conservé son influence auprès de l'exécutif et sa récente réélection à la mairie de Pau avec plus de 55% des suffrages montre qu'il n'a pas perdu la confiance de ses électeurs. "La vérité, c'est qu'il n'a jamais quitté le jeu politique, ni le premier cercle macroniste", explique au Parisien* un soutien du président. 

"Qui imagine le haut-commissaire au Plan mis en examen ?" se moque désormais dans Le Monde* Julien Bayou, secrétaire national d'EELV. "Il y a toujours un risque" de voir le dossier judiciaire perturber le maire de Pau, confie à franceinfo le député MoDem Erwan Balanant. "Mais il ne sera pas dans l'exécutif ou au gouvernement, rappelle le parlementaire. Et puis, ce serait bien que la justice avance un peu plus vite pour que l'on purge ce sujet."

 

Il est devenu un partenaire incontournable de la majorité

 

Pour François Bayrou, il était hors de question de rester à l'écart dans la dernière ligne droite du quinquennat. Le patron du MoDem sait que son parti est devenu un allié incontournable de La République en marche, qui a perdu récemment la majorité absolue à l'Assemblée.

 

Les 46 députés du MoDem sont désormais un peu plus qu'une force d'appoint de la majorité. "Peut-être qu'on pèse un peu plus, oui. Mais on a toujours eu une importance, un rôle pivot", estime Erwan Balanant, député du Finistère. Le parti centriste est parvenu à garder ses positions dans le nouveau gouvernement de Jean Castex, tout en conservant ses trois ministres : Jacqueline Gourault, Geneviève Darrieussecq et Marc Fesneau. Comme le rappelle Le Figaro*, François Bayrou avait menacé l'exécutif de ne pas participer au gouvernement si ses proches se voyaient écartés.

 

Il a toujours gardé l'oreille du président de la République

 

Depuis le début du quinquennat, Emmanuel Macron consulte régulièrement François Bayrou à chaque étape importante, que ce soit lors des remaniements ou pour décider, par exemple, du maintien ou du report des élections municipales. Le président de la République n'a jamais oublié l'aide décisive apportée par François Bayrou lors de la présidentielle et il a toujours exprimé un soutien indéfectible à son ancien ministre, y compris après sa mise en examen. Le chef de l'Etat avait alors fait savoir par son entourage qu'il nourrissait "un sentiment d'amitié pour François Bayrou" et qu'il continuerait d'échanger "régulièrement" avec lui. Dans Le Parisien, un proche du chef de l'Etat évoque même un "rôle occulte de conseiller permanent à l'Elysée".

Emmanuel Macron s'est d'ailleurs réjoui vendredi dernier de l'arrivée de ce fidèle à la tête du haut-commissariat au Plan. "C'est tout sauf un lot de consolation, c'est une responsabilité importante" et "j'écrirai moi-même sa lettre de mission", a expliqué le président, en saluant "l'expérience" de l'ancien ministre, "grand responsable politique" et "européen convaincu"

Finalement, le haut-commissariat au Plan ne sera pas rattaché à l'Elysée, comme le voulait François Bayrou, mais aux services du Premier ministre. Un conseiller ministériel évoque dans Le Monde* "une guerre Castex-Bayrou", notamment parce que le président du MoDem réclamait que les différentes agences chargées de la prospective soient sous son autorité. Mais selon Erwan Balanant, il n'y a aucune "hostilité""François Bayrou aurait sans doute aimé être rattaché à l'Elysée afin de montrer les liens forts qui l'unissent à Emmanuel Macron, mais c'est finalement assez logique qu'il soit rattaché à Matignon, estime le député MoDem. Personne n'est dupe sur le fait que cela n'empêchera pas les conversations entre François Bayrou et Emmanuel Macron de se poursuivre."

 

Il s'est taillé un costume sur mesure

 

L'idée de remettre au goût du jour ce haut-commissariat au Plan est revenue au printemps, dans le contexte de la pandémie mondiale de Covid-19. Le manque de masques ou de médicaments, par exemple, a ravivé l'idée de souveraineté économique, rappelle Le Monde. En annonçant la nécessité pour l'Etat de disposer d'une "instance qui réfléchit à plus long terme et avec moins de contraintes", Emmanuel Macron a aussitôt désigné son candidat pour cette mission : "[François Bayrou] y a beaucoup réfléchi, il a d'ailleurs écrit lui-même sur ce sujet (…) c'est une conviction qu'il porte."

Il est "la bonne personne pour analyser les faiblesses du pays et le projeter dans l'avenir", confirme à l'AFP le chef de file du groupe MoDem à l'Assemblée, Patrick Mignola, selon qui "la planification" est l'un des combats du leader centriste.
"Cette nomination, c'est une façon d'utiliser ses compétences, sa vision en dehors du gouvernement" où il est "empêché", en raison de sa mise en examen.

C'est une façon de l'impliquer dans la marche du pays et, parce qu'il a une surface politique, ses observations seront plus entendues.Patrick Mignola, président du groupe MoDem à l'Assembléeà l'AFP

Dans son livre-programme publié avant l'élection présidentielle de 2012, François Bayrou plaidait effectivement déjà pour la nomination d'un haut-commissaire au Plan. "C'est un sujet sur lequel il travaille depuis longtemps, cette idée de se fixer un cap sur le long terme. Je me souviens que lors de la campagne présidentielle de 2012, il proposait un 'ministre des générations futures'", ajoute Erwan Balanant. Cela va permettre un portage politique de ces sujets. France Stratégie [l'ancienne instance de prospective qui va être dissoute dans le nouveau haut-commissariat] travaillait très bien, mais il y avait un manque d'incarnation."

Il y a quelques jours, François Bayrou s'est, en tout cas, dit "prêt" pour le poste de haut-commissaire, dans une interview accordée à La République des Pyrénées où il esquisse sa feuille de route. "Ce qui est vital doit être protégé. Encore faut-il déterminer ce qui est vital et imposer aux décideurs et à l'opinion publique de se saisir des problèmes qui méritent une réponse à 10, 20 ou 30 ans et non pour 10, 20 ou 30 jours."

 

 

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Panzerkampfwagen VI Königstiger

Publié à 23:28 par dessinsagogo55 Tags : center histoire centerblog sur chevaux bonne merci place jeux
Panzerkampfwagen VI Königstiger

Le Panzerkampfwagen VI Königstiger ou Sd.Kfz. 182 Panzer VI Ausf. B Tiger II, surnommé Königstiger (« tigre royal »), est un char d'assaut allemand de la Seconde Guerre mondiale.

 

Produit à 50 exemplaires pour le modèle à tourelle « Porsche » et à 439 exemplaires pour le modèle à tourelle « Henschel », ce char était pourvu d'un important blindage ainsi que d'un puissant canon, lui donnant la possibilité de mettre hors de combat tous les chars alliés en service lors des deux dernières années du conflit.

 

Cependant, il accusait en ordre de combat une masse de 70 tonnes tout en étant équipé du même moteur que le char Panther qui lui ne pesait que 45 tonnes, son rapport poids-puissance était donc moindre : il était lent et peu mobile, ne pouvait passer tous les ponts, était extrêmement gourmand en carburant (500 l / 100 km en route et 700 l / 100 km en tout terrain) et devait changer de chenilles avant et après tout transport par rail.

 

Par la volonté d'Hitler, il fut surtout construit pour contrer le terrible IS-2 de l'Armée rouge (URSS).

 

 

Histoire

 

L'étude de ce blindé commença dès le mois de mai 1941, un an avant l'entrée en production du Tigre I. Dès fin 1942, le projet dériva vers une étude plus précise : un char lourd qui puisse succéder au Tigre.

En janvier 1943, Hitler, après lecture du cahier des charges, imposa pour le nouveau char un canon de 88 mm à haute vélocité, un blindage frontal de 150 mm et un blindage latéral de 80 mm. À la lumière de l'expérience du tout nouveau char moyen-lourd Panther, il fut décidé que le blindage serait incliné et conçu de manière à ne présenter qu'une coquille de métal d'un seul tenant par élément (châssis et tourelle).

 

Comme pour le Tigre I, Henschel et Porsche se lancèrent sur le projet. Porsche étudia deux modèles, l'un avec une tourelle centrale et l'autre, avec une tourelle très en arrière sur le châssis (comme le char israélien Merkava à la fin des années 1970) respectivement appelé VK 45.02 A et B.

 

Mais, comme pour le Tigre, le concept de transmission et de châssis était trop avancé pour les techniques de l'époque, aussi ce fut le modèle d'Henschel, plus conventionnel, mais beaucoup plus moderne que le Tigre, qui emporta le marché, notamment parce qu'il permettait de réduire les coûts en présentant un certain nombre d'éléments utilisés aussi sur le char Panther. 1 500 furent commandés, seulement 489 furent construits, notamment à cause de la destruction par les bombes américaines de l'usine Henschel de Cassel.

 

Au départ, les cinquante premiers exemplaires furent munis de la tourelle Krupp mise au point pour le modèle Porsche, mais l'industriel redessina une tourelle spécifique, acceptant plus de munitions, et surtout corrigeant un défaut de la précédente. En effet, à l'origine, le mantelet du canon, semblable à celui des premières tourelles de Panther, c'est-à-dire en demi-cylindre horizontal, risquait de provoquer la destruction du char au cas où un obus touchait de plein fouet la partie inférieure de ce mantelet, obus qui, par ricochet, pénètrerait ainsi les œuvres vives du char, par le toit du poste de pilotage faiblement blindé. La nouvelle tourelle comportait un mantelet « en groin de cochon », évitant ce problème. Mais ceci eut pour inconvénient d'alourdir le char déjà énorme, qui passait au changement de tourelle de 68,5 à 69,8 tonnes, c'est-à-dire plus lourd qu'un char moderne de type Leclerc.

 

Pour déplacer une telle masse de métal, le plus puissant moteur de char de l'époque lui-même se montrait un peu faible : le Maybach HL 230 P30 12 cylindres de 700 chevaux, parfait pour le Panther de 43 tonnes, supportait mal les 27 tonnes supplémentaires. Pour contrecarrer ce problème, les ingénieurs lui accouplèrent une boîte de vitesses très complexe, avec 8 vitesses avant et 4 vitesses arrière, afin de démultiplier les efforts et de permettre au titan de se déplacer convenablement.

 

Ils mirent aussi au point un différentiel de chenille permettant au char de tourner sur place, caractéristique encore rare à l'époque, mais très utile pour compenser la relative lenteur de la tourelle et l'exposition du blindage avant en cas de danger repéré à temps. Les ingénieurs mirent au point un système de train de roulement permettant d'éviter, à l'inverse du Tigre I, que les chenilles ne s'enrayent avec la boue, la glace et les rochers. Ce système s'avéra cependant à l'usage plus délicat à entretenir.

 

Pour en terminer avec le train de roulement, comme pour le Tigre I, deux jeux de chenilles étaient prévus : une paire de 660 mm pour le transport sur rail, et une paire de 800 mm pour le combat. Ces chenilles larges permettaient au char d'avoir une bonne tenue en terrain instable, comme la boue, malgré son poids énorme, générant une pression au sol assez faible. Ceci ne changeait en revanche pas grand-chose au fait que le char était trop lourd pour la majorité des ponts de l'époque, ce qui réduisait de beaucoup sa mobilité tactique.

 

Mais, avec un ratio de seulement 10 chevaux à la tonne, le char souffrait d'un cruel manque de mobilité, et d'une consommation énorme. Sa vitesse plafonnait à 38 km/h sur route, et moins de 20 km/h en tout terrain, et sa consommation de 500 litres aux 100 kilomètres ne lui permettait qu'une faible autonomie de 170 km sur route d'autant plus handicapante que le Reich manquait de carburant. De plus, les efforts sur la transmission dus au poids du mastodonte, ainsi que la fragilité de la trop complexe boîte de vitesses, contraignirent ces chars à connaître de nombreuses pannes. Ils nécessitaient une maintenance constante pour fonctionner convenablement.

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panzerkampfwagen_VI_K%C3%B6nigstiger

 
     
     
     
     
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Mikhaïl Gorbatchev

Publié à 23:57 par dessinsagogo55 Tags : center gain travail centerblog sur merci homme femme mort
Mikhaïl Gorbatchev

 

 

Mikhaïl Sergueïevitch Gorbatchev ou Gorbatchov, né le 2 mars 1931 à Privolnoïe (ru) dans l'actuel kraï de Stavropol, est un homme d'État soviétique et russe qui dirigea l'URSS entre 1985 et 1991.

 

Résolument réformateur, il s'engagea à l'extérieur vers la fin de la guerre froide, et lança à l'intérieur la libéralisation économique, culturelle et politique connue sous les noms de perestroïka et de glasnost. Impuissant à maîtriser les évolutions qu'il avait lui-même enclenchées, sa démission marqua le point final de la dislocation de l'URSS, précédée de deux ans par l'effondrement des régimes communistes en Europe de l'Est.

 

 

Mikhaïl Gorbatchev est originaire du Caucase du Nord dans le kraï de Stavropol. De parents kolkhoziens ralliés au communisme, il est né avec un angiome sur le haut du front. Il est le fils de Sergueï Andreïevitch Gorbatchev (1909-1976), ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale et conducteur d'engins agricoles au village de Privolnoïe, et de Maria Panteleïevna née Gopkalo (1911-1993). Son grand-père maternel, président du kolkhoze Krasnyï Oktiabr, est arrêté en été 1937, lors des Grandes Purges, car il aurait créé une organisation secrète. Il est ensuite torturé pendant 14 mois, avant d'être condamné à mort, mais après réexamen de son dossier, le procureur n'ayant relevé aucune « activité criminelle », il échappe à la peine capitale. Il est libéré fin 1938, et redevient président du kolkhoze en 1939. Mikhaïl est profondément marqué par cet épisode : « Ce fut dans mon enfance que je connus mon premier véritable choc : mon grand-père fut arrêté. On l'emmena en pleine nuit… ». Son grand-père paternel, qui refusait la collectivisation, avait également été condamné en janvier 1934, au moment de la grande famine, pour « sabotage » et envoyé aux travaux forcés dans la région d'Irkoutsk. Il acheva sa peine de prison par anticipation ; il travailla ensuite au kolkhoze de Privolnoïe

 

.

Après ses études de lycée, il travaille au côté de son père comme conducteur de moissonneuse-batteuse. En récompense, il est décoré de l'ordre du Drapeau rouge du Travail et envoyé à Moscou pour y faire des études supérieures. Il y étudie le droit à l’université Lomonossov, où il rencontre Raïssa Titarenko, sa future femme. Il adhère d'abord aux jeunesses communistes, le Komsomol, puis au parti communiste en 1950. Gravissant les échelons comme apparatchik, il en devient le dirigeant pour la ville de Stavropol en 1962. Entre 1964 et 1967, il étudie à l’Institut d'agronomie de Stavropol et se spécialise dans les problèmes agricoles. Il est remarqué par Iouri Andropov, chef du KGB, qui passe ses vacances dans la région réputée pour ses stations thermales ; dès lors, sa carrière s'accélère grâce à Andropov et son mentor, l'idéologue Mikhaïl Souslov. Il est élu au Comité central en 1971 à 40 ans, secrétaire du Comité central, le 23 novembre 1978 et au Politburo en 1980, à l'âge de 49 ans.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mikha%C3%AFl_Gorbatchev

 
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Barack Obama

Publié à 23:47 par dessinsagogo55 Tags : homme chez monde place france merci sur prix centerblog 2010 coup paris center blogs mort
Barack Obama

 

 

Barack Hussein Obama II  né le 4 août 1961 à Honolulu (Hawaï), est un homme d'État américain. Il est le 44e président des États-Unis, en fonction du 20 janvier 2009 au 20 janvier 2017.

 

 

Fils d'un Kényan noir et d'une Américaine blanche du Kansas d’ascendance anglaise et irlandaise, il est élevé durant plusieurs années en Indonésie. Diplômé de l'université Columbia de New York et de la faculté de droit de Harvard, il est, en 1990, le premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review. Après avoir été travailleur social dans les quartiers sud de Chicago durant les années 1980, puis avocat en droit civil à sa sortie de Harvard, il enseigne le droit constitutionnel à l'université de Chicago de 1992 à 2004.

 

 

Marié à Michelle Robinson en 1992, Barack Obama entre en politique quatre ans plus tard : il est élu au Sénat de l'Illinois, où il effectue trois mandats, de 1997 à 2004. Il s'oppose à la guerre d'Irak lancée par George W. Bush et se fait connaître au niveau national par le discours qu'il prononce en juillet 2004 lors de la Convention nationale démocrate qui désigne John Kerry comme candidat à la présidence. Après avoir échoué à obtenir l'investiture du Parti démocrate pour la Chambre des représentants en 2000, il est élu au Sénat fédéral en novembre 2004. Il se présente ensuite aux primaires présidentielles démocrates face à Hillary Clinton ; devancé en nombre de voix, il l'emporte avec une légère avance en termes de grands électeurs et devient ainsi le candidat du parti.

 

 

Il obtient 52,9 % des voix et 365 grands électeurs à l'élection présidentielle de 2008 contre le républicain John McCain. Il est le premier homme noir à accéder à la présidence des États-Unis. Son parcours a suscité chez les électeurs comme dans les médias du monde entier un grand intérêt. Sa présidence intervient dans un contexte de guerre en Irak, de guerre d'Afghanistan, de crise au Moyen-Orient, d'importante récession de l'économie américaine et de crise financière et économique mondiale. En octobre 2009, il reçoit le prix Nobel de la paix.

 

 

Il promulgue un plan de relance économique, met en place le renouvellement d'autorisation des assurances-chômages et les créations d'emplois, celle sur la protection des patients et des soins abordables ainsi qu'une réforme de la régulation financière en 2010. Dans le domaine de la politique étrangère, il retire progressivement les troupes américaines d'Irak, augmente celles présentes en Afghanistan et signe un traité de contrôle des armements avec la Russie. Il commande également l'opération qui aboutit à la mort d'Oussama ben Laden. En 2011, lors de la guerre civile libyenne, il contribue au renversement de Mouammar Kadhafi. Candidat à sa réélection lors de l'élection présidentielle de 2012, il est opposé au républicain Mitt Romney, qu'il bat avec 332 voix du collège électoral et 51 % des suffrages au niveau national.

 

 

Durant son second mandat, Barack Obama tente de promouvoir un contrôle accru des armes à feu et la reconnaissance constitutionnelle réussie du mariage entre personnes du même sexe. En politique extérieure, il ordonne une intervention militaire en Irak et en Syrie contre l'État islamique. Il poursuit le processus de retrait des forces américaines d'Afghanistan. En 2013, il décommande à la dernière minute une opération de représailles contre le régime de Bachar el-Assad, alors que ce dernier utilise des armes chimiques contre la population civile des zones rebelles de Syrie. Il ratifie l'accord de Paris sur le climat, parvient à un accord sur le nucléaire iranien et normalise les relations américaines avec Cuba.

 

 

Si ses derniers mois de présidence sont marqués par une popularité en hausse, avec une majorité d'opinions favorables au niveau national, le républicain Donald Trump lui succède après avoir emporté l'élection présidentielle de 2016 face à la candidate du Parti démocrate, Hillary Clinton, qui avait reçu le soutien de Barack Obama.

 

 

Paul Préboist : dessinsagogo55

Publié à 19:29 par dessinsagogo55
Paul Préboist : dessinsagogo55

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Raimu

Publié à 17:14 par dessinsagogo55 Tags : merci sur centerblog
Raimu

 



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Michel Simon

Publié à 17:06 par dessinsagogo55 Tags : saint sur place femme mort divers maison marne center
Michel Simon

 

 

 

François Simon, dit Michel Simon, est un acteur suisse né le 9 avril 1895 à Genève (canton de Genève) et mort le 30 mai 1975 à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne).

 

Michel Simon naît à Genève en 1895 au domicile de ses parents au 27 Grand-Rue (une plaque commémorative signale la maison), la même année que le cinématographe (ce qui lui faisait dire qu'« un malheur n'arrive jamais seul »), d'un père charcutier de confession catholique et d'une mère femme au foyer de confession protestante

Il se détourne rapidement de ses études : celles au Collège de Genève s'avèrent médiocres, voire catastrophiques, se cantonnant à l'avant-dernière place de sa classe. Il quitte alors à 16 ans sa famille pour s'installer à Paris, où il réside à l'hôtel Renaissance, rue Saint-Martin, puis à Montmartre. Il exerce divers petits métiers, donnant des leçons de boxe ou vendant des briquets de contrebande à la sauvette. Il est aussi réputé pour dévorer tous les livres qui lui tombent sous la main avec une prédilection pour les écrits de Georges Courteline.

 

 

 

Tour Eiffel

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L'Arc de Triomphe

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L'Arc de Triomphe
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Avec des couleurs en plus
 

 

 

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L'Arc de Triomphe

Publié à 13:55 par dessinsagogo55 Tags : paris homme histoire sur center france place saint centre divers art centerblog merci
L'Arc de Triomphe

 

 

L’arc de triomphe de l’Étoile, souvent appelé simplement l’Arc de triomphe, dont la construction, décidée par l'empereur Napoléon Ier, débuta en 1806 et s'acheva en 1836 sous Louis-Philippe, est situé à Paris, dans les 8e16e, et 17e arrondissements.

 

L'Arc de triomphe s'élève au centre de la place Charles-de-Gaulle (anciennement place de l’Étoile) dans les 8e, 16e, et 17e arrondissements de Paris. Il est situé dans l'axe et à l’extrémité ouest de l’avenue des Champs-Élysées, à 2,2 kilomètres de la place de la Concorde. Haut de 49,54 m, large de 44,82 m et profond de 22,21 m, il est géré par le Centre des monuments nationaux. La hauteur de la grande voûte est de 29,19 m et sa largeur de 14,62 m. La petite voûte mesure 18,68 m de haut et 8,44 m de large. Le monument pèse 50 000 t — en fait 100 000 t, en prenant en compte les fondations qui s'enfoncent à 8,37 m de profondeur. Le coût total de la construction a été de 9 651 116 F

 

La place de l'Étoile forme un énorme rond-point de douze avenues percées au xixe siècle sous l’impulsion du baron Haussmann, alors préfet du département de la Seine. Ces avenues « rayonnent » en étoile autour de la place, notamment l’avenue Kléber, l'avenue de la Grande-Armée, l’avenue de Wagram et, la plus connue, l’avenue des Champs-Élysées. Des pavés de couleurs différentes dessinent sur le sol de la place deux étoiles dont les pointes arrivent pour l'une au milieu des avenues, pour l'autre entre les avenues.

 

Ce site est desservi par la station de métro Charles de Gaulle - Étoile.

 

 

Napoléon Ier, au lendemain de la bataille d'Austerlitz, déclare aux soldats français : « Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de triomphe. » L'Empereur s'est référé aux arcs de triomphe érigés sous l’Empire romain afin de commémorer un général vainqueur défilant à la tête de ses troupes.

 

Par un décret impérial daté du 18 février 1806, il ordonne la construction de cet arc de triomphe consacré à perpétuer le souvenir des victoires des armées françaises. Son projet initial est d'ériger le monument « à l’entrée des boulevards, près du lieu où était la Bastille, de manière qu’en entrant dans le faubourg Saint-Antoine on passe sous cet arc de triomphe ». Il veut ainsi en faire le point de départ d'une avenue triomphale traversant notamment le Louvre et la place de la Bastille. Le ministre de l'Intérieur Champagny avise l'Empereur que le choix de la Bastille serait dispendieux et le convainc d'ériger l'Arc à l'ouest de Paris sur la place de l'Étoile qui permettait le dégagement de belles perspectives.

 

Le comte Jean Bérenger, conseiller d'État, se charge du financement comme directeur général de la Caisse d'amortissement. Le décret impérial du 26 février 1806, qui ordonne l'érection d'un arc de triomphe, prévoit en effet que « sera pris un million pour cet objet sur les contributions provenant de la Grande Armée. La Caisse d'amortissement tiendra chaque mois, à dater du 1er mars, une somme de cinquante mille francs à la disposition du futur architecte et celle de quinze mille francs pour les travaux d'art et de sculpture ».

 
 

Pour la conception du monument, l'architecte Jean-François Chalgrin est en concurrence avec son confrère Jean-Arnaud Raymond, chargé de collaborer avec lui. Le premier souhaite orner l'arc de colonnes isolées tandis que le second les veut engagées, l'incompatibilité de ces deux conceptions rendant impossible toute collaboration entre les deux architectes. Un arbitrage rendu par Champagny, ministre de l'Intérieur, force Raymond à se retirer honorablement. Chalgrin supprime alors les colonnes de son projet et s'inspire de l'arc tétrapyle de Janus et de l'arc de Titus à Rome, alors en pleine restauration.

 

La première pierre en forme de bouclier portant une inscription est posée le 15 août 1806 (pour l'anniversaire de l'empereur) et recouverte d'une plaque en bronze pour la protéger. Cette pose a lieu sans cérémonie officielle, dans l'indifférence générale. Les fondations (un massif de 54,56 mètres de longueur sur 27,28 mètres de largeur et 7,55 mètres de profondeur) exigent deux années de chantier. En 1810, les quatre piles s'élèvent à environ un mètre au-dessus du sol. À l'occasion de son mariage avec l'archiduchesse Marie-Louise et de l'entrée de celle-ci dans Paris, l'Empereur délègue des crédits qui permettent à Chalgrin de construire une maquette en vraie grandeur en charpente, stuc et toiles peintes qui restent assez longtemps en place et sous laquelle la princesse passe. L'architecte meurt assez subitement en 1811, suivi, huit jours après lui, par son confrère Raymond.

 

Lors des premières défaites napoléoniennes (campagne de Russie en 1812), et des événements de 1814, l'Arc de Triomphe est élevé jusqu'aux voûtes (l'imposte de la grande arcade est posée avec la 45e assise), mais la construction est interrompue puis abandonnée sous la Restauration. En 1823, Louis XVIII reprend la construction avec les architectes Louis-Robert Goust puis Huyot et sous la direction de Héricart de Thury. L'Arc doit désormais commémorer l'expédition victorieuse d'Espagne. En 1830, Louis-Philippe reprend la pensée initiale de Napoléon mais, dans un esprit de réconciliation, associe les armées qui ont combattu entre 1792-1815. C’est Louis-Philippe et Adolphe Thiers qui décident du choix des thèmes et des sculpteurs : Le départ des Volontaires, communément appelé La Marseillaise, de François Rude et Le Triomphe de Napoléon de Jean-Pierre Cortot. Plus spectaculaire est la frise située au sommet de l’Arc et qui se divise en deux parties : Le Départ des Armées et Le Retour des Armées avec une longue scène centrale à la gloire de la Nation. La construction est menée à bien entre 1832 et 1836 par l'architecte Guillaume-Abel Blouet.

 

L'arc de triomphe de l'Étoile est inauguré le 29 juillet 1836 pour le sixième anniversaire des Trois Glorieuses. Au départ, une grande revue militaire en présence de Louis-Philippe est prévue. Mais, alors qu'il vient d'être visé par un nouvel attentat le 25 juin, le roi décide de s'en abstenir. La revue militaire est décommandée et remplacée par un grand banquet offert par le roi à trois cents invités, tandis que le monument est découvert en catimini à sept heures du matin, en la seule présence d'Adolphe Thiers et de son ministre des Finances, Antoine d'Argout.

 

En 1842, Honoré de Balzac en fait un symbole de la fidélité des soldats à l'Empereur : « mais tous les cœurs, même les plus hostiles à l'empereur, adressaient au ciel des vœux ardents pour la gloire de la patrie. Les hommes les plus fatigués de la lutte commencée entre l'Europe et la France avaient tous déposé leurs haines en passant sous l'arc de triomphe».

 

Dans l'esprit des concepteurs, le sommet de l'Arc devait être couronné par un groupe sculpté monumental. Plusieurs projets, dont certains très fantaisistes, sont présentés : la France victorieuse, un aigle colossal, Napoléon sur une sphère, un réservoir d'eau, un éléphant, etc. En 1882, un quadrige conçu par le sculpteur Alexandre Falguière est installé sur le socle laissé vide : cette maquette en charpente et en plâtre, grandeur naturelle, représente une allégorie de La France ou de La République, tirée par un char à l'antique s’apprêtant à « écraser l’Anarchie et le Despotisme ». La sculpture monumentale, baptisée le Triomphe de la Révolution, est enlevée dès 1886 car elle commence à se dégrader, son remplacement définitif par un bronze ne s'étant jamais fait par la suite. On peut observer le monument pourvu du groupe de Falguière sur diverses photographies, tout particulièrement celles prises lors des funérailles grandioses de Victor Hugo, en 1885 (voir section Faits divers). Une réplique en marbre de petite dimension (environ 1,2 m.) du Triomphe de la Révolution est exposée en salle 17 du musée de Grenoble

 

L'arc de triomphe de l'Étoile est classé au titre des monuments historiques depuis le 6 février 1896

 

 

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Arc_de_triomphe_de_l%27%C3%89toile
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