Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
18319 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1154)
· A à Z : Sommaire (355)
· Mannequin de charme (945)
· Musique (399)
· Monde : France (2738)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (265)
· Cinéma : Films à classer (153)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (210)
histoire hiver bande littérature sur course center centre image monde enfants livre littérature
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Il n'existe aucun événement astronomique significatif lié à la date de départ du compte long. Cependant, la date supposée de sa fin a été associée à des phénomènes astronomiques par la littérature ésotérique, fringe et New Age en s'appuyant sur l'astrologie. Le plus proéminent de ces évènements est le concept d'« alignement galactique ».
Précession
Depuis la Terre, le Soleil semble traverser le ciel à travers les douze constellations du zodiaque.
Dans le système solaire, les planètes et le Soleil se situent approximativement au sein du même plan appelé plan de l'écliptique. Depuis notre perspective terrestre, l'écliptique est la course prise par le Soleil dans le ciel au cours d'une année. Les treize constellations situées sur ce chemin font partie du zodiaque et le Soleil les traverse annuellement l'une après l'autre. De plus, au cours du temps, le cycle annuel du Soleil semble changer très lentement d'un degré vers l'arrière tous les 72 ans ou d'une constellation tous les 2 160 ans. Ce mouvement rétrograde appelé précession des équinoxes est provoqué par l'oscillation de l'axe de la Terre qui peut être comparée à la façon dont l'axe d'une toupie oscille lorsqu'elle ralentit. Sur une période de 25 800 années, appelée Grande Année, le Point vernal (équinoxe de printemps) réalise un circuit complet de 360° vers l'arrière à travers le zodiaque. Dans les traditions astrologiques occidentales, la précession est mesurée à partir de l'équinoxe de printemps de l'hémisphère nord, le point où le Soleil est exactement entre son point le plus haut et le plus bas dans le ciel à midi. Actuellement, le Soleil, dans sa position à l'équinoxe du printemps, se trouve dans la constellation des Poissons et se déplace vers la constellation du Verseau. Cela marque la fin de l'une des ères astrologiques (l'ère des Poissons) et le début d'un autre (l'ère du Verseau). Ce passage d'une constellation à une autre revêt une signification particulière dans le New Age depuis le livre de 1981 de Marylin Ferguson, Les Enfants Du Verseau qui fut une des bibles de ce courant spiritualiste.
De manière similaire, la position du Soleil au solstice d'hiver, son point le plus bas, est actuellement dans la constellation du Sagittaire, l'une des deux constellations dans laquelle le zodiaque intersecte la Voie lactée. Chaque année, au solstice d'hiver, le Soleil et la Voie lactée semblent, depuis la Terre, être alignés et chaque année la précession entraine un léger changement de la position du Soleil dans la Voie lactée. Étant donné que la Voie lactée mesure entre 10° et 20° de large, il faut entre 700 et 1 400 ans au Soleil pour précessionner au travers. Ce dernier se trouve actuellement au milieu de la Voie lactée et coupe l'équateur galactique.
Un alignement annonciateur d'une transition spirituelle
La Voie lactée près de la constellation du Cygne montrant la zone du grand rift (à droite) que les Mayas appelaient Xibalba be ou « route noire ».
Les spéculations mystiques concernant la précession des équinoxes et la proximité du Soleil avec le centre de la Voie lactée apparurent dans Hamlet's Mill (1969) de Giorgio de Santillana et Hertha von Deschend. Elles furent reprises et élargies par Terence McKenna dans The Invisible Landscape (1975). La signification d'un futur « alignement galactique » fut notée en 1991 par l'astrologue Raymond Mardyks qui avança que le Soleil du solstice d'hiver s'alignerait avec le plan galactique en 1998/1999 et il écrivit qu'un événement n'ayant lieu que « tous les 26 000 ans aurait été d'une importance capitale pour les anciens astrologues ». L'astrologue Bruce Scofield note « l'intersection avec la Voie lactée lors du solstice d'hiver est quelque chose qui a été négligé par les astronomes occidentaux. ».
Les partisans de l'idée, suivant une théorie proposée pour la première fois par Munro Edmonson, avancent que les Mayas ont calé leur calendrier sur les observations du grand rift, une bande de poussières sombres dans la Voie lactée qui, selon certains spécialistes, était appelée Xibalba be ou « route noire » par les Mayas. John Jenkins avance que les Mayas savaient où l'écliptique intersectait la route noire et donnaient à cette position du ciel une signification particulière dans leur cosmologie. Selon Jenkins, la précession alignera précisément le Soleil avec l'équateur galactique lors du solstice d'hiver 2012. Jenkins avança que les Mayas avaient anticipé cette conjonction et la considérait comme un signe annonciateur d'une profonde transition spirituelle pour l'humanité. Les partisans New Age de l'alignement galactique affirment que, comme l'astrologie utilise les positions des planètes et des étoiles pour prophétiser des événements futurs, les Mayas créèrent leur calendrier avec l'objectif de se préparer à d'importants événements mondiaux. Jenkins attribue le savoir des anciens chamans mayas concernant le centre galactique à leur utilisation de champignons hallucinogènes, des bufotoxines et d'autres psychédéliques. Jenkins associe également la Xibalba be avec un « arbre monde » en se basant sur les études de la cosmologie maya actuelle (et non ancienne).
Critiques
Des astronomes, dont David Morrison, répondent que l'équateur galactique est une ligne complètement arbitraire car il est impossible de déterminer les limites exactes de la Voie lactée qui varient selon les conditions d'observation. Jenkins avance qu'il tire ses conclusions sur l'emplacement de l'équateur galactique de ses observations réalisées au-dessus de 3 400 m, une altitude qui donne une meilleure image de la Voie lactée que ce que pouvaient voir les Mayas. De plus, le Soleil ayant une largeur d'un demi-degré, il lui faut 36 ans pour réaliser cette précession à travers un simple point. Jenkins lui-même note que même avec sa position précise de l'équateur galactique, sa convergence la plus précise avec le centre du Soleil a déjà eu lieu en 1998 et que l'alignement galactique est concentré sur une période autour de 1998.
On ne sait pas précisément si les Mayas classiques connaissaient l'existence de la précession. Certains mayanistes, comme Barbara MacLeod, Michael Grofe, Eva Hunt, Gordon Brotherston et Anthony Aveni ont suggéré que certaines dates sacrées des Mayas étaient associées aux cycles de la précession mais les chercheurs sont divisés sur la question. Il existe également peu de preuves historiques ou archéologiques que les Mayas accordaient une quelconque importance aux solstices et aux équinoxes. Il est possible que seuls les premiers Mésoaméricains observaient les solstices mais cela est disputé parmi les mayanistes. De même, il n'existe aucune preuve d'une importance particulière donnée à la Voie lactée par les Mayas ; il n'y a pas de glyphes dans leur système d'écriture pour la représenter et aucune table astronomique ou chronologique ne lui est attachée.