Statistiques

Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour : 21.06.2024
18121 articles


Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1201)
· A à Z : Sommaire (349)
· Mannequin de charme (955)
· Musique (400)
· Calendrier : Événements (333)
· Monde : France (2683)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)

Rechercher
Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "dessinsagogo55" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Thèmes

air amis amitié amour annonce art article background base belle blogs center

Articles les plus lus

· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)

· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara

Voir plus 

Derniers commentaires

Olivier Gaillard, député du Gard, démissionne

Publié à 21:18 par dessinsagogo55 Tags : center abonnement article google france texte centerblog sur merci presse internet
Olivier Gaillard, député du Gard, démissionne

Olivier Gaillard, député du Gard, démissionne et quitte La République en marche

Le député LREM du Gard Olivier Gaillard va quitter l’Assemblée nationale et LREM au lendemain du premier tour des municipales. Sa suppléante siégera avec le parti majoritaire.

 

Regrettant de n’être qu'un élu de seconde zone, le député du Gard Olivier Gaillard a décidé d’abandonner son mandat à l’Assemblée nationale et de quitter La République en Marche.

 
 

La notion de citoyen de seconde zone existe. Nous sommes des élus de seconde zone. Ça ne date pas de Macron, je le vis depuis des années, a déclaré le député, confirmant une décision initialement annoncée samedi soir sur le site internet du journal Midi Libre.

 

Après le premier tour des municipales

Élu en 2017, Olivier Gaillard a précisé qu’il quitterait le palais Bourbon au lendemain du premier tour des élections municipales, lors desquelles il briguera la mairie de Sauve (Gard) face à l’élue sortante Alexandra Masot, comme candidat sans étiquette. Ma démission sera effective au lendemain des élections municipales, le 16 mars, quels qu’en soient les résultats. S’il n’y avait pas eu d’élections, j’aurais quand même démissionné, a-t-il assuré.

 

Olivier Gaillard a précisé qu’il serait remplacé à l’Assemblée nationale par sa suppléante, Catherine Roux-Daufès, qui elle siégera bien dans le groupe LREM, qui compte donc toujours 297 membres.

 

Un « fossé » entre « la réalité du terrain et la principauté de Paris »

Membre de la commission des Finances, rapporteur spécial pour les crédits relatifs au budget opérationnel de la Défense et rapporteur pour avis de la loi de programmation militaire 2019-2025, Olivier Gaillard explique avoir constaté un fossé entre la réalité du terrain et la principauté de Paris.

 

L’homme de territoire l’a emporté sur l’homme de parti. Il m’était inconcevable de maintenir un pied à l’intérieur de ce système politique qui ne me convient pas. Ça fait quelques semaines que j’y pense, a-t-il insisté.

À la tête d’une circonscription située en zone rurale, Olivier Gaillard a cependant constaté des efforts pour la prise en compte des problématiques rurales. Si j’ai un regret, c’est celui de n’avoir pas pu pousser assez les lignes sur la disparition des services publics et la désertification médicale, a-t-il dit.

 

Rappelant que ses votes n’ont jamais fait défaut à la majorité à l’Assemblée nationale, Olivier Gaillard précise dans un communiqué de presse ne pas vouloir jouer l’opposition ou la marginalisation.

Jean-Pierre Chevènement (ancien ministre de la Défense) disait ‘ Un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne’. Une citation que l’on aimerait voir appliquer aux députés LREM sujets à certains états d’âme, conclut le député dans ce texte.

 

 

 

Liens externes                                                  
 

 

Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
    MISE A JOUR : 2024
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
 

 

 

 

 

Emile Berliner

Publié à 11:24 par dessinsagogo55 Tags : center société centerblog prix sur merci place monde musique amis maison mort message blogs carte
Emile Berliner

 

Émile Berliner, né Emil Berliner à Hanovre (Basse-Saxe) le 20 mai 1851 et mort à Washington (district de Columbia) le 3 août 1929, est un ingénieur allemand naturalisé américain.

 

Travaillant d’abord comme imprimeur puis comme commis dans un atelier de tissage, il peut dès lors illustrer ses talents d’inventeur en développant une nouvelle machine à tisser. C’est sous l’influence d’un de ses amis que le jeune Émile décide de traverser l’océan Atlantique. Passionné par la science et les nouvelles découvertes, il fréquente assidûment les nombreuses bibliothèques et particulièrement celle du Cooper Institute où il s’adonne particulièrement aux recherches concernant l’électricité et l’acoustique.

 

C’est en 1876, lors de l’exposition anniversaire du centenaire de la Révolution américaine à Philadelphie, qu’il découvre une invention due à Alexandre Graham Bell qui l’intéresse au plus haut point, le téléphone.

 

 
Émile Berliner avec son premier phonographe.
 

Sa démonstration échoue de peu, car le message qu’il voulait transmettre n’arrive pas clairement à destination. Le problème venant du transmetteur. Émile Berliner décide alors de travailler sur l’invention et reprend ses recherches avec la même passion. Son petit appartement situé dans la capitale se transforme alors en laboratoire d’électricité. Après de nombreuses semaines de recherche (allant même jusqu’à placer un téléphone entre son appartement et celui de sa logeuse), Berliner découvre un nouveau principe. Il élabore un bon transmetteur fonctionnant quelle que soit la distance séparant l’émetteur du récepteur. Le brevet est déposé le 4 juin 1878. La Bell Telephone contacte immédiatement l’inventeur allemand et lui propose 50 000 dollars ainsi qu’un revenu mensuel en échange de l’utilisation de l’invention. Quelques années plus tard, Émile quitte la compagnie et revient s’installer à Washington. Il y achète une maison où il installe son laboratoire d’étude.

 

Il y invente alors un gramophone et une matrice pour imprimer les disques horizontaux. La gravure horizontale signifie qu'on grave à profondeur égale mais le sillon doit alors faire son onde en largeur, ce qui peut prendre plus de place sur le disque, contrairement aux disques Edison à gravure verticale (spirale parfaite à profondeur variable). C’est par ce brevet qu’il deviendra célèbre. Il présente pour la première fois en public ce projet de gramophone au mois de mai 1888 au Franklin Institute de Philadelphie. Il commence alors à fabriquer des disques en quantités importantes. Il enregistre aussi pour de nombreux artistes.

 

Le gramophone est commercialisé pour la première fois en 1894, par une compagnie fondée par Berliner et quelques amis, sous le nom de United States Gramophone Company.

 

Deux années se sont écoulées lorsqu’une nouvelle compagnie voit le jour à l’initiative d’importants hommes d’affaires. Ce sont les débuts de la Berliner Gramophone Company. Mais les ventes de gramophones sont peu élevées et la compagnie doit à tout prix moderniser le gramophone. Ce qui est fait la même année. Le système à manivelle est remplacé par un moteur à ressort. Mais peu à peu, l’invention de Berliner va circuler de mains en mains, chacun voulant s’approprier la part la plus importante. Ainsi trois sociétés gèrent l’invention : la Berliner Gramophone Company, qui fabrique le gramophone et le disque horizontal ; la United States Gramophone Company, qui gère les droits des brevets ; et enfin la Seaman’s National Gramophone, qui s'occupe de la vente et de la publicité.

 

 
Disque d'Enrico Caruso fabriqué par la société Émile Berliner Gramophone à Hanovre en 1908.
 

Le début du xxe siècle est marqué par de nombreux ennuis pour l’inventeur allemand. Seaman essaie de s’approprier les ventes et, par une série de manipulations, il arrive à faire retirer le gramophone des ventes aux États-Unis. Berliner quitte alors les États-Unis et sa ville de Philadelphie pour aller s’installer à Montréal, choix loin d’être anodin puisque les liaisons avec Philadelphie était fréquentes. La société connaît alors une sorte d’apogée, jusqu’à atteindre deux millions de disques vendus durant l’année 1901. À la suite de la Première Guerre mondiale, la société connaît une formidable expansion et l’usine de Berliner constitue l’une des plus modernes de Montréal. En 1924, la Victor Talking Machine Company achète la société. Berliner est lauréat de la médaille Franklin en 1929 en récompense de ses travaux dans le domaine de l'enregistrement du son.

 

La gravure horizontale de Berliner a ensuite dominé seule l'industrie de la musique jusqu'à ce que la gravure stéréo réconcilie l'horizontal et le vertical dans un même sillon, pendant plusieurs décennies. Ensuite le disque compact a éliminé à la fois l'utilisation de l'horizontal et du sillon, en le remplaçant par une gravure pointillée en spirale, sans variabilité horizontale, lue sans aiguille, et inspirée des ordinateurs (voir carte perforée, ruban perforé, modulation d'impulsion codée).

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Emile_Berliner

 
     
     
     
     
Notes et références                                                    
     Monde : Etats Unis 1800 à 1899 
   
 
  Emile Berliner
   
    Musée des ondes Émile Berliner
   
   
   
    RCA Victor
   
   
   
   
    3 août : Décès
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

Musée des ondes Émile Berliner

Publié à 11:16 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog sur merci saint monde chez histoire blogs
Musée des ondes Émile Berliner

Le Musée des ondes Emile Berliner est une institution muséale qui s'intéresse à l'histoire du disque et du gramophone.

 

Le musée des ondes est situé dans le quartier Saint-Henri à Montréal dans l'ancienne usine RCA Victor où Berliner possédait son usine de fabrication de disques et de gramophones. Ouvert au public depuis le 24 janvier 1996, il rend hommage à l'inventeur Emile Berliner. Berliner a inventé le disque et la gravure latérale qui faisait concurrence aux rouleaux de Thomas Edison et à la technique de la gravure verticale (le stylet graveur s'enfonce dans la matière au lieu de la graver transversalement comme chez Berliner). Par conséquent, cette technique a permis une reproduction plus facile des disques et de là sa plus grande diffusion.

 

La collection du musée abrite plus de 30 000 objets historiques liés à l'enregistrement, la conservation et la reproduction du son. Le musée organise une exposition thématique chaque année, dont Disque sur l'histoire du disque en 2014.

 

En 1900, de nombreux problèmes juridiques concernant les droits de production de son invention aux États-Unis conduit Emile Berliner à déménager son entreprise à Montréal. En 1908, l’ingénieur fait construire une usine dans le quartier de Saint-Henri, sur la rue Lenoir. En 1924, l'usine devient la propriété de la Victor Talking Machine Company, entreprise américaine fondée en 1901, qui acquiert la Berliner Gramophone. Suite à la fusion avec la Radio Corporation of Canada en 1929, c'est le groupe RCA Victor qui en devient le propriétaire. La nouvelle entité la dote d’un studio d’enregistrement en 1943. En 1978, RCA Victor se départit de l'édifice et en 1996, c’est finalement le Musée des ondes Emile Berliner qui ouvre ses portes dans l'ancienne usine

 

 
Liens externes                                                  
     
     
     
     
     
Notes et références                                                    
     Monde : Etats Unis 1800 à 1899 
     Monde : Etats Unis 1900 à 1999
 
  Emile Berliner
   
    Musée des ondes Émile Berliner
   
   
   
    RCA Victor
   
   
   
   
    3 août : Décès
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

Film belge : 1988

Publié à 00:01 par dessinsagogo55 Tags : message création prix texte article france centerblog sur musique film maison
Film belge : 1988

 

 

I
Il y a maldonne
M
La Maison dans la dune (film, 1988)
Le Maître de musique
O
L'Œuvre au noir (film)

 

 

Retour à :  Liste des films belges par année (Sommaire)
Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Direct sur la rubrique :   Cinéma : Liste des films
Comment ça marche ??? Aide
Actu de dessinsagogo55

 

Film belge : 1986

Publié à 23:58 par dessinsagogo55 Tags : message texte création article france prix film centerblog sur
Film belge : 1986

 

 

 

G
Genesis (film, 1986)
Golden Eighties
P
Paniekzaaiers
La Princesse Yennega
R
Les Roses de Matmata
S
Springen
 

 

Retour à :  Liste des films belges par année (Sommaire)
Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Direct sur la rubrique :   Cinéma : Liste des films
Comment ça marche ??? Aide
Actu de dessinsagogo55

 

 

Film belge : 1987

Publié à 23:52 par dessinsagogo55 Tags : message texte création article france prix chien centerblog sur vie amour belle film
Film belge : 1987

 

A
L'amour est un chien de l'enfer (film)
C
Carnaval (film, 1987)
F
Falsch
La Famille Van Paemel
G
Gros Cœurs
H
Hector (film, 1987)
N
Noce en Galilée
O
Overdose (film)
P
Pas de C4 pour Daniel Daniel
Les P'tits Schtroumpfs (film)
S
Skin (film, 1987)
V
La vie est belle (film, 1987)

 

 

Retour à :  Liste des films belges par année (Sommaire)
Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire)
Retour à : SOMMAIRE
Direct sur la rubrique :   Cinéma : Liste des films
Comment ça marche ??? Aide
Actu de dessinsagogo55

 

 

 

 

 

Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO)

Publié à 21:35 par dessinsagogo55 Tags : france center sur carte centerblog merci
Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO)

 

 

La Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) est un parti politique socialiste français, qui a existé sous ce nom de 1905 à 1969.

Lors du congrès d'Issy-les-Moulineaux, elle devient le Parti socialiste, s'assoçiant avec l'Union des clubs pour le renouveau de la gauche.

 

 

L'unification du socialisme français a lieu en 1905, au congrès du Globe à Paris, qui fait suite du congrès socialiste international d'Amsterdam de 1904. Le Parti socialiste, section de l'Internationale ouvrière, plus connu sous le sigle SFIO, parti du mouvement ouvrier, est né. Les anarchistes ne s'associent pas à cette unification.

Albert Willm aurait joué un rôle notable en 1905 dans le choix du sigle du Parti SFIO :

« L’avocat Albert Willm, du Parti ouvrier socialiste révolutionnaire (POSR), aurait alors voulu marquer la préoccupation ouvriériste du courant allemaniste et obtenu l’adjonction d’ ouvrière. Là se trouve l’explication de la présence incongrue de l’expression Internationale ouvrière alors qu'à l’époque tous les textes officiels traduits en français se réfèrent aux décisions de l’Internationale socialiste »

 
Carte d'adhérent de Jean Jaurès.
 

Ce rassemblement est à la fois une victoire des révolutionnaires et une victoire des jauressiens. En effet, ils représentent le tiers de la direction, même si Jaurès lui-même n'y siège pas, car les élus ne peuvent en être membre. À l'inverse des autres partis socialistes européens, la SFIO est un parti peu centralisé, laissant une grande autonomie à ses élus et aux échelons locaux. Sa direction ne dispose que de maigres moyens humains et financiers d'autant que, contrairement à ses homologues britannique et allemand, elle ne peut s'appuyer sur les organisations syndicales, lesquelles défendent leur indépendance (la Charte d'Amiens est adoptée par la CGT en 1906). Dans ces conditions, le secrétaire général Louis Dubreuilh n'exerce qu'une fonction administrative et c'est le chef du groupe parlementaire et directeur du quotidien L'Humanité, Jean Jaurès, qui apparait comme le véritable chef du parti.

La SFIO (Section française de l'internationale ouvrière) prend position contre la politique coloniale et le nationalisme belliciste. Cependant, il y a encore des divergences sur les questions d'actualité. La rupture entre Vaillant et Guesde intervient dès 1906, quand la majorité accepte la résolution du congrès d'Amiens sur l'indépendance syndicale. Mais c'est sur la question de la guerre que la rupture intervient nettement. Jaurès, suivant la doctrine de l'Internationale, en appelle à la grève générale, voire à l'insurrection, afin de prévenir ou d'arrêter le conflit. Jules Guesde pense lui que la guerre peut détruire le capitalisme, et redoute que la grève ne devienne effective et affaiblisse les pays les plus industrialisés, ceux où l'organisation ouvrière serait plus forte. C'est une des raisons pour lesquelles les idées de Jules Guesde sont de moins en moins approuvées par les adhérents SFIO qui se rangent du côté de Jaurès.

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

Gouvernements Charles de Gaulle I et II

Publié à 21:11 par dessinsagogo55 Tags : homme air center afrique france travail
Gouvernements Charles de Gaulle I et II

Gouvernements Charles de Gaulle I et II 

 

(10 septembre 1944 - 20 janvier 1946)

 

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

 

 

 

Campagne de Lorraine

Publié à 03:02 par dessinsagogo55 Tags : center article marne centerblog saint sur bonne france monde air merci
Campagne de Lorraine

La campagne de Lorraine désigne l'ensemble des opérations militaires qui se sont déroulées en Lorraine, pendant l'hiver 1944-1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

 

 

Pour désigner l'ensemble de ces opérations militaires dans le nord-est de la France, l'armée américaine distingue officiellement deux campagnes, la campagne "Northen France" (France du Nord) et la campagne "Rhineland" (Rhénanie). La première phase de la « Campagne de Lorraine » commence le 1er septembre 1944 et se termine le 18 décembre 1944. Cette première phase de la campagne, menée par la IIIe armée américaine, s'est terminée par la victoire des Alliés dans les secteurs de Nancy, Lunéville, Épinal, Saint-Dié, Thionville, Sarrebourg et Metz. La seconde phase de la « Campagne de Lorraine » concerne la libération des territoires mosellans encore occupés après le 18 décembre 1944. L'ensemble du territoire ne sera libéré qu'en mars 1945 par la VIIe armée américaine

 

 

 

Chronologie de la campagne

 

Sur le plan opérationnel, la « campagne de Lorraine » concerne la bataille de Metz, celle de Nancy, les combats dans les Vosges, la progression en Moselle jusqu'à la frontière franco-allemande de 1939 et les combats de janvier à mars 1945.

Elle peut se décomposer en trois étapes.

 

Progression vers la Moselle

 

Devant Metz, la IIIe armée US menaçait gravement les défenses du Reich, et en particulier la ligne Siegfried, à moins de 60 kilomètres. Espérant gagner du temps pour renforcer cette ligne fortifiée, l'OKW décida de freiner la progression de Patton en renforçant les points stratégiques de ce front. La Moselstellung, une ligne fortifiée de forts construits pendant l’annexion de 1871 dans la vallée de la Moselle entre Metz et Thionville, constituait un excellent point d'appui pour les troupes allemandes. Le secteur relevait alors de la Ire armée allemande. Le 27 août 1944, la défense de Metz fut confiée au général Walter Krause et la ville fut déclarée forteresse du Reich six jours plus tard. Pour l'OKW, arrêter Patton était une priorité. Le haut-commandement n’hésita pas à affecter de nouvelles troupes sur le secteur, comme la 17e SS-Panzergrenadier-Division

 

Blocage devant Metz

 

La IIIe armée, manquant d'essence, fut incapable de prendre rapidement à la fois Nancy et Metz, à la différence des actions qui avaient caractérisé l'avance rapide de Patton à travers la France. Après l'engagement d'Arracourt, la libération de Nancy et le combat de Mairy, la IIIe armée américaine fut stoppée par les défenses de Metz. Jusqu'au 12 octobre 1944 et le début de l'assaut sur Metz, une météo exceptionnellement pluvieuse gêna en outre les opérations militaires. Ces problèmes logistiques, combinés à la combativité des troupes allemandes et à une bonne utilisation des défenses de Metz, retarda la chute de la ville jusqu'à la fin de novembre 1944.

 

Progression vers la ligne Siegfried

 

Après la chute de Metz, la IIIe armée lança une offensive pour atteindre la ligne Siegfried. L'attaque sur la Sarre était en cours quand les Allemands lancèrent l'offensive des Ardennes. Les opérations sur la Sarre furent stoppées, la IIIe armée déplaçant ses troupes vers le nord pour contre-attaquer sur le flanc sud de l'offensive en Belgique et au Luxembourg. Ce changement d'objectif marqua la fin de la première phase de la campagne de Lorraine. Les combats reprirent avec la VIIe armée américaine du général Patch. Après l'offensive allemande de janvier 1945, très meurtrière, les combats se poursuivirent dans les secteurs de Forbach et Bitche jusqu'en mars 1945.

 

 

Forces en présence

Première phase (août 1944 - décembre 1944)

 

Forces américaines de la IIIe armée américaine

XXe corps d'armée du Major General Walton H. Walker (région de Verdun)

XIIe corps d'armée du Major General Manton S. Eddy (région de Toul-Pont-à-Mousson)

XVe corps d'armée du Major General Haislip (région de Chaumont)

Unités américaines du XXe corps d'armée :

3e groupement de cavalerie (Drury, puis Polk), XXe corps d'armée

7e Armored Division (division blindée): (Lindsey H Sylvester), XXe corps d'armée

10e Armored Division, XXe corps d'armée

5e Infantry Division, XXe corps d'armée

90e Infantry Division, XXe corps d'armée

95e Infantry Division, XXe corps d'armée

Artillery Corps, XXe corps d'armée

Unités américaines du XIIe corps d'armée :

Unités américaines du XVe corps d'armée :

Forces allemandes de la Ire armée allemande

LXXXII. Armeekorps (82e corps d'armée) du General der Artillerie Johann Sinnhuber (entre Longwy et Arnaville, face au XXe corps US)

XLVII. Panzerkorps (47e corps d'armée) du General der Panzertruppen Hans Freiherr von Funck puis Heinrich Freiherr von Lüttwitz (entre Arnaville et Lunéville, face au XIIe corps US))

Unités de blindés allemandes :

Éléments de la 21e Panzerdivision du LXVIe corps d'armée (secteur de Charmes - Epinal)

Éléments de la 11e Panzerdivision (secteur Château-Salins - Sarreguemines)

106e Panzer-Brigade Feldherrnhalle (secteur de Briey - St-Privat puis Pont-à-Mousson - Château-Salins)

111e Panzer Brigade (secteur Epinal - Lunéville - Château-Salins)

112e Panzer Brigade (secteur Epinal - Lunéville)

113e Panzer Brigade de Seckendorff (secteur Lunéville - Château-Salins)

3e Panzergrenadier Division du XLVII. Panzerkorps: 8e Panzer Grenadier Regiment et la 103e Panzer-Abteilung du 47e corps d'armée (secteur d'Arnaville - Pont-à-Mousson)

15e Panzergrenadier Division du XLVII. Panzerkorps: 115e Panzer Grenadier Regiment du 47e corps d'armée (secteur d'Arnaville - Pont-à-Mousson)

17e Panzergrenadier Division: 37e Panzer Grenadier Regiment du LXXXII. Armeekorps (secteur de Metz)

Divisions d'infanterie allemande :

19e Infanterie Division (secteur de Pont-à-Mousson)

48e Infanterie Division du LXXXII. Armeekorps (secteur de Longwy - Thionville)

416e Infanterie Division du LXXXII. Armeekorps (secteur Metz - Sarreguemines)

462e Infanterie Division du LXXXII. Armeekorps, sous les ordres de Krause (secteur de Metz)

559e Volksgrenadier Division du LXXXII. Armeekorps (secteur de Thionville - Metz)

553e Volksgrenadier Division du XLVII. Panzerkorps (secteur de Pont-à-Mousson - Nancy)

36e Volksgrenadier Division du LXXXII. Armeekorps (secteur de Saint-Avold)

Les pertes estimées à ce moment de la campagne furent de 35 000 hommes pour les Américains et entre 50 et 75 000 hommes pour les Allemands. Du 1er septembre 1944 au 18 décembre 1944, la Troisième armée de Patton a perdu 105 blindés légers, 298 blindés moyens, 1080 véhicules légers et 34 pièces d'artillerie (> 75 mm). Les dégâts infligés aux moyens de transport et à l'artillerie allemande par la Troisième armée et le XIXe Tactical Air Command ont été très largement supérieurs à ceux infligés à la Troisième armée

 

Deuxième phase (décembre 1944 - mars 1945)

 

En décembre 1944, la situation change avec le départ de la IIIe armée américaine et la reprise des combats par la VIIe armée américaine. Côté allemand, la Ire armée allemande assure toujours la défense du Reich dans ce secteur du front. La ligne de front se confond maintenant avec la Ligne Siegfried. C'est dans ces conditions qu'eut lieu l'opération Nordwind, du 1er au 25 janvier 1945, dans le nord de la Lorraine et de l'Alsace. L'objectif de l'offensive était double. L'OKW voulait d'une part soulager les troupes allemandes engagées dans la bataille des Ardennes, en mobilisant des forces alliées dans le nord-est de la France. D'autre part, il voulait détruire la 7e armée américaine qui menaçait toujours la ligne Siegfried. Le Groupe d'armées G du général Johannes Blaskowitz attaque avec 4 corps d'armée, le LXXXII. Armeekorps, le XIII. SS-Armeekorps, le LXXXX. Armeekorps et le LXXXIX. Armeekorps. Le Heeresgruppe sera renforcé par le Volks-Artillerie-Korps 410, les 7e et 20e Volks-Werfer-Brigaden, la Schwere Panzerjäger Abteilung 653, la Mörser-Batterie 428 et les Panzer-Flamm-Kompanien 352 et 353. À la fin du mois de janvier, l'offensive, stoppée par les troupes alliées, fut abandonnée. Malgré l'échec de l'offensive, les Américains n'exploitent pas la situation. Ils campent sur leurs positions en Lorraine jusqu'au déclenchement de l'opération Undertone le 15 mars 1945. La 100e Infantry Division prend Bitche le 16 mars 1945, mettant ainsi un terme à la Campagne de Lorraine

 

Forces américaines de la VIIe armée

XXIe corps d'armée de Milburn (région de Sarreguemines)

XVe corps d'armée de Haislip (région de Forbach - Wingen-sur-Moder)

VIe corps d'armée de Brooks (région de Saverne - Haguenau)

Forces allemandes de la Ire armée

LXXXII. Armeekorps sous les ordres du General der Infanterie Walter Hörnlein (région de Sarrelouis-Forbach)

416. Infanterie-Division

719. Infanterie-Division

347. Infanterie-Division

XIIIe SS-Armeekorps10 sous les ordres du SS-Gruppenführer Max Simon (région de Sarreguemines - Rohrbach-lès-Bitche)9

19. Infanterie-Division

36. Infanterie-Division

17. SS-Panzer-Grenadier-Division

21. SS-Panzer-Division (en réserve)

25. Panzer-Grenadier-Division (en réserve)

LXXXX. Armeekorps sous les ordres du General der Flieger Erich Petersen (région de Bitche)

257. Infanterie-Division

559. Infanterie-Division

LXXXIX. Armeekorps sous les ordres du General der Infanterie Gustav Höhne (région de Éguelshardt-Philippsbourg-Wissembourg)

361. Infanterie-Division

245. Infanterie-Division

256. Infanterie-Division

6. Gebirgs-Division (en réserve)

 

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire)  
                                                       
  0-9 A B C D E F G H I J K M N O P Q R S T U V W X Y Z
                                                       
SOMMAIRE  
Comment ça marche ??? Aide  
 Actu de dessinsagogo55  
Cliquez sur j'aime. Merci !                                    
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire.                                
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide.                         Faites votre pub
                     

 

 

Les lesbiennes sous le Troisième Reich

Publié à 02:27 par dessinsagogo55 Tags : pouvoir sur vie amour enfants place amis femme société création rose nature femmes amitié center
Les lesbiennes sous le Troisième Reich

Alors que les actes homosexuels entre hommes avaient toujours été passibles de poursuites pénales dans la plupart des régions allemandes, l'homosexualité féminine n'était pas réprimée. Cela s'explique en grande partie par la place subalterne qu'occupaient les femmes dans l'Etat et la société allemande. A la différence des homosexuels masculins, les lesbiennes n'étaient généralement pas considérées comme une menace sociale ou politique. Même après 1933 et l'arrivée au pouvoir des nazis, la plupart des lesbiennes allemandes purent mener une vie relativement tranquille, généralement sans être inquiétées par la police.

 

Dans les limites du rôle subalterne qui était assigné aux femmes dans l'Allemagne impériale, les lesbiennes participèrent au mouvement d'émancipation homosexuelle qui vit le jour en Allemagne à partir des années 1890. L'adhésion des femmes à des organisations politiques fut interdite jusqu'en 1908 et découragée après la levée partielle de ces restrictions, c'est pourquoi les lesbiennes préféraient se retrouver de façon plus informelle dans des bars ou des clubs. Cette tendance coïncida avec un assouplissement de la morale sexuelle après la Première Guerre mondiale en Allemagne. La République de Weimar apporta de nouvelles libertés tant sur le plan social que sur le plan politique et pour la plupart des homosexuels des deux sexes, cette époque se caractérisa par une relative ouverture.

 

Berlin ainsi que d'autres grandes villes du pays devinrent des centres de la vie homosexuelle allemande. A Berlin, des clubs comme le "Dorian Gray" et le "Tanzpalaste Zauberflöte" contribuèrent à la création d'un réseau social lesbien, permettant aux lesbiennes urbaines de vivre plus librement que celles des zones rurales. L'assouplissement de la censure permit l'apparition de nombreuses publications lesbiennes, parmi lesquelles les revues Frauenliebe (Amour féminin) et Die Freundin (L'amie).

 

Les conservateurs politiques et les traditionnalistes critiquèrent durement cette ouverture. La résurgence du conservatisme politique dans les dernières années de la République de Weimar déboucha sur une nouvelle série de mesures répressives contre les homosexuels. En 1928, la police décida ainsi d'interdire Die Freundin et d'autres journaux lesbiens en application de la loi de protection de la jeunesse contre les publications obscènes. De nombreux conservateurs demandèrent la pénalisation des actes homosexuels. Des polémistes tels que Erhard Eberhard écrivirent des pamphlets contre les homosexuels, les féministes, les républicains et les Juifs, autant de groupes qui étaient souvent associés par les conservateurs à une conspiration visant à détruire l'Allemagne. Ces pamphlets dénonçaient notamment le mouvement pour les droits de la femme, l'accusant d'être en fait une organisation visant à convertir les femmes allemandes à l'homosexualité.

 

Avec l'accession au pouvoir des nazis en 1933, cette réaction conservatrice laissa la place à la répression d'Etat. Les nazis considéraient que les femmes étaient non seulement inférieures aux hommes, mais également par nature dépendantes d'eux. Par conséquent, les lesbiennes représentaient à leurs yeux une menace moindre que les homosexuels hommes. Les nazis considéraient les femmes comme des êtres passifs, en particulier dans le domaine sexuel, des êtres ayant besoin des hommes pour exister pleinement et avoir une vie sexuelle. De nombreux nazis craignaient également que l'affection sociale plus explicite entre femmes n'estompe la ligne de démarcation entre l'amitié et l'homosexualité, rendant plus difficile l'identification des "vraies" lesbiennes. Enfin, les nazis ne voyaient pas dans l'amour lesbien un problème pour l'Etat ou la société car ils considéraient que les lesbiennes pouvaient quand même remplir la fonction première de la femme allemande, à savoir être mère du plus grand nombre possible d'enfants "aryens". Chaque femme, indépendamment de sa sexualité, pouvait servir l'Etat nazi comme épouse et comme mère.

 

Les nazis n'en persécutèrent pas moins les lesbiennes, mais moins sévèrement que les hommes homosexuels. Peu après la nomination d'Hitler comme chancelier, la police fit systématiquement des descentes dans les bars et clubs homosexuels pour les fermer. Les lesbiennes furent ainsi obligées de se rencontrer clandestinement. Les nazis instaurèrent un climat de crainte en encourageant les descentes de police et les dénonciations contre les lesbiennes. Nombreuses furent celles qui durent cesser de fréquenter leur cercle d'amies, et dans certains cas furent forcées d'aller vivre dans d'autres villes pour retrouver l'anonymat. D'autres recherchèrent même la protection du mariage, contractant des mariages blancs avec des amis homosexuels.

 

Même si la police considérait les lesbiennes comme des "éléments asociaux" — autrement dit comme des personnes qui ne se conformaient pas aux normes nazies et étaient donc susceptibles d'être arrêtées et envoyées dans les camps de concentration —, peu d'entre elles furent emprisonnées au seul motif de leur sexualité. Les nazis ne rangeaient pas les lesbiennes dans la catégorie des détenus homosexuels, seuls les homosexuels hommes devaient porter le triangle rose. Bien que les arrestations de lesbiennes par la police aient été relativement rares, la menace de persécutions n'en faisait pas moins qu'il leur était dangereux de vivre leur identité au grand jour.

 

Les lesbiennes subirent également la politique de discrimination nazie envers les femmes en général. Considérant que la fonction première des femmes était de servir comme épouses et comme mères, les nazis leur fermèrent les carrières professionnelles les plus prestigieuses. Paradoxalement toutefois, le besoin de main-d'œuvre lié à l'effort de réarmement et à la guerre eut pour effet d'augmenter le nombre de femmes qui travaillaient, même si elles étaient reléguées en général dans des emplois mal payés. Les bas salaires accordés aux femmes affectèrent de façon particulière les lesbiennes, car elles étaient en général célibataires et ne pouvaient donc pas compter sur le salaire de leur mari. Les difficultés économiques, venant s'ajouter aux pressions sociales croissantes et à la peur d'être arrêtées, eurent pour effet de leur rendre la vie difficile sous le régime nazi, même si les actes sexuels entre femmes n'y étaient pas officiellement illégaux.

 

Même si de nombreuses lesbiennes souffrirent sous le Troisième Reich, elles ne firent pas l'objet de persécutions systématiques de la part des nazis. Celles qui acceptèrent de mener une vie discrète et de passer inaperçues, se mariant avec des amis ou essayant en quelque manière de se conformer en apparence aux attentes de la société, ne furent pas inquiétées et survécurent.