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Aire urbaine de Bar-le-Duc

Publié à 07:03 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog background monde saint sommaire sur france 2010

 

 

L'aire urbaine de Bar-le-Duc est une aire urbaine française centrée sur l'unité urbaine de Bar-le-Duc. Composée de 43 communes de la (Meuse, elle comptait 33 638 habitants en 2013

 

D'après la définition qu'en donne l'Insee en 2010, l'aire urbaine de Bar-le-Duc est composée de 43 communes, situées dans la Meuse En 2011, ses 33 697 habitants sont répartis sur 543,1 km2, pour une densité de 62 hab./km2

L'aire urbaine compte 4 communes dans le pôle urbain (Bar-le-Duc, Behonne, Fains-Véel et Savonnières-devant-Bar), et les 38 autres sont dans la couronne périurbaine.

En 2009, avec 33 861 habitants, elle était la 12e aire urbaine de Lorraine, et la 193e de France.

À la suite du zonage de 2010, la commune de Brabant-le-Roi ne fait plus partie de l'aire urbaine, tandis les six communes de Lignières-sur-Aire, Lisle-en-Rigault, Mognéville, Robert-Espagne, Saudrupt et Ville-sur-Saulx l'intègrent. En 2014, la commune de Loisey-Culey est divisée en deux communes, Loisey et Culey.

Le tableau suivant détaille la répartition de l'aire urbaine sur le département (les pourcentages s'entendent en proportion du département) :

 

épartement Communes Communes (%) Superficie (km²) Superficie (%) Population (2012) Population (%)
Meuse 43 8,4 543,1 8,74 33 481 17,37

 

 

Communes
Voici la liste des communes françaises de l'aire urbaine de Bar-le-Duc

 

Code INSEE Commune Type Département Superficie
(km²)
Population
(2012)
Densité
(hab./km²)
55029 Bar-le-Duc Pôle urbain Meuse 23,62 15759 667,2
55041 Behonne Pôle urbain Meuse 9,17 652 71,1
55044 Belrain Commune monopolarisée Meuse 8,31 40 4,8
55049 Beurey-sur-Saulx Commune monopolarisée Meuse 11,62 428 36,8
55079 Brillon-en-Barrois Commune monopolarisée Meuse 11,35 606 53,4
55101 Chardogne Commune monopolarisée Meuse 12,82 308 24
55120 Combles-en-Barrois Commune monopolarisée Meuse 10,26 856 83,4
55134 Couvonges Commune monopolarisée Meuse 4,56 158 34,6
55138 Culey Commune monopolarisée Meuse      
55175 Érize-la-Brûlée Commune monopolarisée Meuse 10,82 167 15,4
55178 Érize-Saint-Dizier Commune monopolarisée Meuse 12,49 197 15,8
55186 Fains-Véel Pôle urbain Meuse 18,3 2224 121,5
55207 Géry Commune monopolarisée Meuse 4,8 60 12,5
55221 Guerpont Commune monopolarisée Meuse 6,12 254 41,5
55123 Les Hauts-de-Chée Commune monopolarisée Meuse 50,17 745 14,8
55271 Laheycourt Commune monopolarisée Meuse 18 391 21,7
55272 Laimont Commune monopolarisée Meuse 10,77 447 41,5
55282 Lavallée Commune monopolarisée Meuse 12,58 97 7,7
55290 Lignières-sur-Aire Commune monopolarisée Meuse 9,3 51 5,5
55296 Lisle-en-Rigault Commune monopolarisée Meuse 10,54 520 49,3
55298 Loisey-Culey Commune monopolarisée Meuse   464  
55302 Longeville-en-Barrois Commune monopolarisée Meuse 15,44 1172 75,9
55304 Louppy-le-Château Commune monopolarisée Meuse 18,76 163 8,7
55340 Mognéville Commune monopolarisée Meuse 18,57 378 20,4
55352 Montplonne Commune monopolarisée Meuse 20,68 153 7,4
55366 Val-d'Ornain Commune monopolarisée Meuse 24,16 964 39,9
55369 Naives-Rosières Commune monopolarisée Meuse 15,93 806 50,6
55382 Neuville-sur-Ornain Commune monopolarisée Meuse 11,66 356 30,5
55426 Resson Commune monopolarisée Meuse 8,4 406 48,3
55435 Robert-Espagne Commune monopolarisée Meuse 7,33 828 112,9
55446 Rumont Commune monopolarisée Meuse 6,31 97 15,4
55466 Salmagne Commune monopolarisée Meuse 16,73 304 18,2
55470 Saudrupt Commune monopolarisée Meuse 7,78 200 25,7
55476 Savonnières-devant-Bar Pôle urbain Meuse 5,16 483 93,6
55479 Seigneulles Commune monopolarisée Meuse 11,7 189 16,2
55488 Silmont Commune monopolarisée Meuse 3,83 183 47,8
55504 Tannois Commune monopolarisée Meuse 13,34 386 28,9
55514 Trémont-sur-Saulx Commune monopolarisée Meuse 11,9 629 52,9
55531 Vassincourt Commune monopolarisée Meuse 7,94 285 35,9
55541 Vavincourt Commune monopolarisée Meuse 15,93 490 30,8
55560 Villers-aux-Vents Commune monopolarisée Meuse 6,14 132 21,5
55568 Ville-sur-Saulx Commune monopolarisée Meuse 4,07 296 72,3
55569 Villotte-devant-Louppy Commune monopolarisée Meuse 11,23 157 14
  Total     543,07 33481 61,7

 

 

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Barrois

Barrois

Le Barrois (lorrain de Bar-le-Duc) est une micro-région naturelle de France couvrant environ le quart sud-ouest du département de la Meuse.

Il ne faut pas la confondre avec le Comté, puis Duché de Bar, qui s'étendait jusqu'aux portes de Metz et du Comté de Luxembourg. En outre, il existe un autre « Barrois » plus au sud, le Barrois champenois, duquel le « Barrois de Bar-le-Duc » est séparé par le Perthois et le Vallage.

 

 

Géographie
Localisation
Le Barrois originel a pour limites : au nord l'Argonne et le Verdunois ; à l'est la Woëvre, la Voide et le pays des Vaux ; au sud le Bassigny ; à l'ouest le Blésois et le Perthois.

C'est depuis 1790 un territoire du sud-ouest du département de la Meuse. La ville principale qui peut en être vue comme la capitale historique est Bar-le-Duc. Le Barrois est donc le pays entourant Bar-le-Duc.

Dans cet article, et sauf mention contraire, la zone que désigne l'appellation Barrois reprend l'extension de l'actuel Pays Barrois, qui correspond assez justement au pays traditionnel.

 

Géographie physique
Le Barrois est essentiellement formé du plateau du même nom.
Le point culminant, celui du département de la Meuse, est traditionnellement situé au « Buisson d'Amanty », à une altitude de 425 m environ (bien que des valeurs fausses soient aussi données). Cependant, en consultant le site du Géoportail, on trouve sur la commune de Vaudeville-le-Haut, un point à 451 m d’altitude.

Le point le plus bas, quant à lui, se situe à Remennecourt, avec une altitude d'environ 124 m.

 

Hydrographie

Vue générale de la Vallée de l'Ornain vers l'aval, depuis le belvédère de la Vierge Noire à Nançois-sur-Ornain
Le Plateau barrois fait partie du bassin versant de la Seine. Deux rivières principales drainent le Barrois : la Saulx et l'Ornain. Bien que ce dernier semble plus important, il est affluent de la Saulx. On trouve aussi la Chée dans la partie nord, elle aussi affluent de la Saulx ; cette dernière se jetant dans la Marne.

 

 

Climat
Démographie
densité : 41 h/km²

 

Toponymie
Attesté sous la forme in pago Barrinse en 717 doit son appellation à l'ancien nom Barrum de Bar-sur-Aube, accompagné du suffixe d'appartenance -inse. Le nom Barrum est lui-même issu du gaulois barro, (« montagne »).

 

Histoire
Période celtique et gallo-romaine
Originellement, l'actuel Barrois recouvre ce que fut la partie occidentale du territoire qu'occupait le peuple gaulois des Leuques.
On trouve ainsi plusieurs établissements majeurs tels que l'oppidum de Boviolles ou celui de Fains-Véel, tous deux situés aux abords de l'Ornain.
En contrebas de la place forte de Boviolles, s'est établie à partir du ier siècle avant notre ère la ville de Nasium.

De la même époque, on retrouve des traces à Bar-le-Duc d'une installation humaine, alors nommée Caturige.

 

Moyen Âge
Philippe le Bel fit expier chèrement à Henri III de Bar son alliance avec les Anglais. Fait prisonnier à Bruges, Henri III fut obligé de signer, en 1301, le fameux traité par lequel il se reconnaissait homme lige du roi de France pour la partie de ses États de Barrois située au couchant de la Meuse, vers le royaume de France ; telle est l'origine du Barrois mouvant et du Barrois non mouvant. Depuis cette époque, tout ce que les comtes et ducs de Bar ont possédé sur la rive gauche de la Meuse a été regardé comme relevant de la couronne de France.

Au XVe siècle le duché de Bar retourne à la maison de Lorraine.

Le Barrois ne retourna à la France que le 23 février 1766 avec la Lorraine à la suite de la mort de Stanislas Leszczyński, duc de Lorraine et de Bar en titre et ex-roi de Pologne

 

 

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Régions naturelles de la Lorraine

Publié à 03:05 par dessinsagogo55 Tags : 2010 center

Régions naturelles de la Lorraine

Argonne Pays de Sierck Vermois
Barrois Pays thionvillois Vôge et collines sous-vosgiennes ouest
Champagne humide et Perthois Plaine sous-vosgienne Vosges cristallines
Côtes de Moselle Plateau lorrain Vosges du Nord
Ornois Saintois Basses Vosges gréseuses
Pays de Bitche Saulnois Hautes Vosges gréseuses
Pays Haut Steinart Warndt
Pays messin Toulois Woëvre
Pays des étangs Vasgovie  
Pays de Nied Verdunois  

 

 

Cette variété fait sa richesse : forêts de plaine ou forêts de montagne, pelouses sèches, lacs et zones humides sont des écosystèmes qui additionnent leurs richesses.

D'autre part, entre 1995 et 2010, plusieurs pays administratifs se sont créés au sein de la région, qui étaient au nombre de 15 en janvier 2014

 

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Verdun : Le palais épiscopal à Verdun

Verdun : Le palais épiscopal à Verdun

Le centre mondial de la Paix, des Libertés et des Droits de l'Homme est un lieu d'exposition, de rencontre et de réflexion pour la promotion de la paix, des libertés et des droits de l'homme. Créé en 1990, il est situé depuis 1994 dans l'ancien palais épiscopal de Verdun, dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Le palais épiscopal est construit au XVIIIe siècle pour servir de prestigieuse résidence aux évêques de Verdun. Acquis par la commune en 1906 après la séparation des Églises et de l'État, l'édifice est fortement endommagé lors de la bataille de Verdun de 1916. Après une grande campagne de restauration, l'évêque peut réintégrer les lieux en 1935. Il quitte définitivement le palais en 1993 pour permettre au centre mondial de la Paix de s'y installer l'année suivante.

Le centre accueille des expositions temporaires à plus ou moins longue durée, des conférences, des colloques et des concerts. Une aile du palais épiscopal abrite également la bibliothèque municipale.

 

Historique

En 1724, Mgr Charles-François d'Hallencourt, évêque de Verdun(1721-1754), surnommé le « maçon mitré », décide de se doter d'une nouvelle résidence digne de l'évêché. Il fait appel à Robert de Cotte, Premier architecte du Roi Louis XV, puis à sa mort en 1735, à son fils Jules-Robert de Cotte. Le nouveau palais épiscopal est construit à côté de la cathédrale Notre-Dame et de son cloître, à l'emplacement de l'ancien palais de Mgr Nicolas Psaume du XVIe siècle, jugé irréparable. Les travaux débutés en 1725 sous l'impulsion de Mgr d'Hallencourt sont poursuivis jusqu'à la fin du siècle par ses successeurs, Mgr Aymar de Nicolaï(1754-1769) et Mgr Henri-Louis-René des Nos (1770-1793). Alors que les travaux ne sont pas encore terminés, Louis XV séjourne dans la demeure en 1741

La Révolution de 1789 met fin au chantier et l'évêque quitte le palais pour une demeure plus modeste. En 1801, le concordat réduit le nombre d'évêchés en France : l'évêché de Verdun est supprimé et rattaché à celui de Nancy-Touljus qu'en 1823. Le bâtiment abrite alors des services militaires et administratifs comme la sous-préfecture et le tribunal. En 1823, Mgr d'Arbou reprend possession des lieux

En 1906, avec la loi de séparation des Églises et de l'État, l'édifice est définitivement confisqué et remis à la ville de Verdun. Il reste inoccupé jusqu'à l'installation du musée municipal en mai 1914. Pendant la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement lors de la bataille de Verdun de 1916, le palais sert d'hôpital temporaire aux troupes françaises. Pris pour cible, il subit d'importants dégâts de la part de l'artillerie allemande.

Le 25 mars 1920, le palais épiscopal est classé aux monuments historiques. De 1926 à 1935, il connait un vaste chantier de restauration. En 1935, Mgr Charles Ginisty est le premier évêque à réintégrer les lieux depuis 30 ans grâce à un bail de location

En 1993, l'évêque de Verdun, Mgr Marcel Herriot, accepte de quitter le palais épiscopal pour l'Hôtel d'Anglemont, situé en face de la cathédrale. Il permet ainsi au centre mondial de la Paix de s'y installer en 1994

 

Architecture

Le palais épiscopal est situé à côté de la cathédrale Notre-Dame. Il consiste en un bâtiment en pierre entourant une cour intérieure en forme de fer à cheval. La façade postérieure du palais, rectiligne, domine un jardin à la française avec vue sur la ville de Verdun . A l'intérieur, on remarque notamment l'ancienne chapelle épiscopale, avec son décor néo-classique de pilastres, de corniches et de peintures , l'escalier avec sa rampe en fer forgé.

Sous le palais, des souterrains communiquent avec les niveaux supérieurs. Ils ont été aménagés dans la seconde moitié du XXe siècle afin d'être accessible plus facilement pour des visites .

À l'entrée de l'édifice, la liste complète des évêques de Verdun est inscrite. Apposée en 1927, elle comptait alors 106 noms 

Dans ses Mémoires, Saint Simon qualifie l'édifice de « plus splendide palais épiscopal qu'il y ait en France »

 

Centre mondial de la Paix, des libertés et des droits de l'Homme
Historique
Le 2 février 1990, l'association du Centre mondial de la Paix est créée par quatre partenaires institutionnels : l'État, le conseil régional de Lorraine, le conseil général de la Meuse et la ville de Verdun. Le projet est soutenu par Javier Pérez de Cuéllar, secrétaire général des Nations unies, lors de son passage dans la ville en 1988.

En 1993, l'évêque de Verdun, Mgr Marcel Herriot, accepte de quitter le palais épiscopal pour l'Hôtel d'Anglemont, situé en face de la cathédrale. Il permet ainsi au centre mondial de la Paix de s'y installer en 1994 après de nouveaux travaux de réhabilitation d'un montant de 93 millions d'euros. Le centre est inauguré le 30 juin 1994 par Édouard Balladur, Premier ministre de l'époque, et est ouvert au public le lendemain.

Pensé comme lieu complémentaire des sites mémoriels du Champ de Bataille de Verdun, le Centre Mondial de la Paix, des libertés et des droits de l'Homme propose une programmation qui revient sur l'histoire entre France et Allemagne, histoire qui a conduit les deux pays à s'opposer durant 3 conflits majeurs, histoire qui leur a permis de se réconcilier et d'être moteur du modèle européen.

Ses expositions temporaires et ses événements de programmation sont centrés sur les relations franco-allemandes, sur le Centenaire de la 1re Guerre Mondiale et sur différents aspects des droits de l'Homme et des conflits contemporains qui permettent des lectures comparées.

Fonction
Le centre mondial de la Paix, des Libertés et des Droits de l'Homme est un lieu de rencontre et de réflexion pour la promotion de la paix, des libertés et des droits de l'homme. Y sont organisés des expositions, conférences, colloques, concerts ou projections. Plusieurs salles de 20 à 300 places peuvent être louées pour des évènements privés ou publics

 

 

Fréquentation du centre mondial de la paix

Année 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2011 2012 2013
Visiteurs 61 080 79 539 68 451 88 892 79 028 17 904 11 702 6 030 6 434 30 743
                     

Événements

En lien avec des partenaires internationaux, le Centre Mondial de la Paix, des libertés et des droits de l'Homme accueille et participe à de nombreux événements :

Date Événement Lieux Photos Description
Du 1erau 5 février 2017 16e Sommet International des Prix Nobel de la Paix Bogota   Pour la 1re fois de son histoire, le Centre Mondial de la Paix a été invité à participer au Sommet des Prix Nobel de la Paix.Cette participation s'est faite comme observateur aux côtés des 18 000 participants, et comme acteur avec un stand aux côtés de ceux de l'Union Européenne et de l'ONU, mais aussi avec une exposition délocalisée : le Geste de Verdun : Mitterrand -Kohl présentée aux Lauréats du Prix Nobel de la Paix avant son itinérance en Colombie sous l'égide des Ambassades de France et d'Allemagne.

Une participation pour soutenir le processus de réconciliation naissant et encourager les symboles pour l'entretenir à l'instar de l'amitié franco-allemande.

22 au 27 janvier 2017 Commémorations officielles en l'hommage des victimes du National Socialisme Berlin   Pour la 3e année consécutive, le Centre Mondial de la Paix, des libertés et des droits de l'Homme a sélectionné à la demande du Bundestag, une jeune française, pour participer aux commémorations officielles en l'hommage des victimes du National-Socialisme.
         

 

 

Historique
Au XVIIIe siècle, tous les ouvrages sont stockés à l'abbaye Saint-Paul dans des conditions de conservation peu favorables. En 1803, le sous-préfet décide de les transférer dans l'ancien collège des Jésuites. Le bibliothécaire Dom Ybert va alors les trier et les cataloguer : 5 000 volumes sont vendus, car inutiles ou en double, 3 000 sont jetés, et 29 721 sont conservés. En 1875, le catalogue des manuscrits et incunables est publié.

À partir du 15 mai 1820, la bibliothèque est ouverte au public deux fois par semaine. Les bibliothécaires continuent leur travail de récolement des livres. Le 28 septembre 1890, la bibliothèque est transférée dans l'ancien théâtre.

Dès le début de la Première Guerre mondiale, le bibliothécaire, M. Leboyer, met à l'abri les livres les plus précieux dans les sous-sols du palais épiscopal. Rapidement, il décide de les envoyer dans sa ville natale, Riom, dans le Puy-de-Dôme. Un premier convoi quitte Verdun le 27 septembre 1915, deux jours avant le bombardement du palais, et un second le 29 novembre. En septembre 1916, les livres restants sont évacués à Bar-le-Duc par la Voie Sacrée et mis en dépôt dans la bibliothèque municipale et les archives départementales. Une trentaine de camions est mobilisée pendant une semaine pour le déménagement. En mars 1918, le dépôt est à son tour envoyé à Riom.

En 1920, à la fin de la guerre, les ouvrages sont rapatriés à Verdun et stockés dans les sous-sols du palais. Finalement, il est décidé de réinstaller la bibliothèque dans le palais et des travaux sont effectués. Le 21 septembre 1927, la bibliothèque est inaugurée par le maire de Verdun Victor Schleiter et le président du Conseil Raymond Poincaré. Elle est ouverte au public le 1er octobre 1928.

Collections
Une partie de l'ancien palais épiscopal accueille la bibliothèque/discothèque municipale qui compte plus de 15 000 documents (livres, BD, revues, films) et 16 000 CD. La bibliothèque possède un fonds ancien, constitué des documents des bibliothèques ecclésiastiques confisqués après la Révolution Elle possède également fonds 14-18 de près de 3 000 livres et documents divers sur la Première Guerre mondiale en Meuse et la bataille de Verdun

 

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Bar-le-Duc : Le Pont-Notre-Dame

Publié à 02:33 par dessinsagogo55 Tags : center marne centerblog background sur monde saint place cadre centre sommaire
Bar-le-Duc : Le Pont-Notre-Dame

 

Pont Notre-Dame

 

Le pont Notre-Dame est un pont en maçonnerie à cinq voûtes franchissant l'Ornain à Bar-le-Duc, dans le département de la Meuse et la région Lorraine.

Le pont en bois primitif est remplacé par un pont en maçonnerie en 1311, et des maisons viennent se construire dessus en encorbellement. Les Allemands le détruisent le 30 août 1944 lors de la Seconde Guerre mondiale, mais il est reconstruit à l'identique. Une chapelle-oratoiredédiée à Notre-Dame de la Paix est située sur l'une des piles centrales du pont.

Dès les premiers siècles de notre ère, un pont en bois est construit pour franchir l'Ornain et relier les quartiers de Bar-la-Ville et du Bourg. Alors appelé Grand Pont, il reste pendant longtemps le seul pont de la ville.

En 1311, le pont en bois est remplacé par un pont en maçonnerie, comme l'atteste la date inscrite plus tard sur une des piles du pont. Des habitations sont construites en encorbellement pour gagner de la place. Elles seront détruites par souci d'hygiène à partir du XVIIIe siècle, et les dernières disparaitront au XXe siècle.

Avant la construction du canal de la Marne au Rhin au XIXe siècle, l'Ornain est utilisé pour transporter des matériaux comme des grumes de bois en provenance du massif vosgien. Mais la navigation n'étant possible qu'en aval de la cité ducale, on utilise la méthode du flottage du bois. Pour protéger la structure des grumes, les piles du pont sont renforcées par des becs.

En 1883, le tablier en dos d'âne est aplani pour faciliter la circulation par temps de verglas et de neige, puis il est élargi.

Le 6 novembre 1926, il est classé au titre de la loi du 2 mai 1930 ayant pour objet la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque, aujourd'hui abrogée.

Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands occupent Bar-le-Duc. Lorsqu'ils quittent la ville le 30 août 1944, ils dynamitent le pont à 17 h, à l'exception de la pile centrale soutenant la chapelle. Le pont est ensuite entièrement reconstruit à l'identique.

De juillet à août 2012, des travaux de réfection et d'encorbellement sont effectués dans le cadre de la requalification du centre-ville

Chapelle Notre-Dame de la Paix

La première chapelle construite sur l'une des piles centrales du pont daterait du XVe siècle. Elle est d'abord dédiée à sainte Anne, puis à la Vierge à partir de 1645. Une statue de la Vierge, réalisée par François Humbert au milieu du XVIIe siècle, y est installée en 1749. La sculpture provient de la porte de la Couronne des anciens remparts de la ville, alors en démolition.

Après le dynamitage du pont par les Allemands le 30 août 1944, la statue de la Vierge est l'un des seuls éléments encore debout avec la pile la supportant. La chapelle est alors reconstruite en même temps que le reste du pont. Elle est depuis dédiée à Notre-Dame de la Paix

Architecture

Petit édifice en pierre avec une porte vitrée, surmonté d'une croix.
 
Chapelle-oratoire Notre-Dame de la Paix.

Le pont Notre-Dame est un pont en maçonnerie à 5 voûtes en plein cintre. Les 4 piles du pont sont renforcés par des becs triangulaires. La longueur du pont est d'environ 49 m et la largeur du tablier est de 10 m.

Le pont possède une chapelle-oratoire sur un de ses deux piles centrales. Le petit édifice religieux est de forme hexagonal, situé sur le côté amont du pont. Il abrite une statue de la Vierge du XVIIe siècle. Les vitraux des années 1950 réalisés par le maître verrier nancéien Benoît, représentent sainte Anne et la Vierge à gauche, et saint Joachim à droite

 

 

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La Fureur du dragon

La Fureur du dragon

 


La Fureur du dragon (The Way of the Dragon, Return of the Dragon aux États-Unis, 猛龍過江 en chinois traditionnel) est un film de kung-fu hongkongais interprété et réalisé par Bruce Lee en 1972. Tourné en Italie, c'est le troisième film majeur de Bruce Lee, qui en est à la fois l'acteur principal, le scénariste, le réalisateur et le producteur.

 

 

Tang Lung (Bruce Lee), est un Hongkongais qui débarque à Rome pour aider la famille d'un ami, qui est victime de racket. Les aptitudes martiales de Tang repoussent les malfrats qui font alors appel à un redoutable champion d'arts martiaux...

 


Fiche Technique


Titre : La Fureur du dragon
Titre original : Meng long guo jiang
Titre anglais : The Way of the Dragon
Réalisation : Bruce Lee
Scénario : Bruce Lee
Chorégraphie des combats : Bruce Lee et Unicorn Chan
Production : Raymond Chow et Bruce Lee
Sociétés de production : Concord Production Inc., Golden Harvest
Pays d'origine : Drapeau de Hong Kong Hong Kong
Langues originales : mandarin, cantonais, anglais et italien
Genre : Kung-fu, action, comédie
Durée : 95 minutes
Dates de sortie en salles :
Drapeau de Hong Kong Hong Kong : 1er juin 1972
Drapeau des États-Unis États-Unis : 14 août 1972
Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni : 14 juin 1974
Drapeau de la France France : 18 décembre 1974
Tout public


Distribution


Légende : Doublage de 1974 (Copies René Chateau Vidéo) / Redoublage de 2002 (DVD Metropolitan Films).

Bruce Lee(VF : Bernard Murat / Pierre Tessier) : Tang Lung
Nora Miao (VF : Sylviane Margollé / Marie-Eugénie Maréchal) : Chen Ching-Hua
Chuck Norris (VF : Daniel Gall / Bernard Tiphaine) : Colt
Wei Ping-ao (VF : Amidou / Patrice Dozier) : Ho, (le gangster chinois allié des voyous)
Chung-Hsin Huang (VF : Jacques Provins) : l'oncle Wang
Di Chin : Han Kun
Robert Wall : Fred
Tony Liu (VF : Sady Rebbot / Alexis Tomassian) : Tony
Chan Unicorn (VF : Michel Bedetti / Luc Boulad) : Jimmy
Fu Ching Chen (VF : Georges Poujouly) : Tommy
Robert Chen : Robert
Wu Ngan : Chuan
Riccardo Billi : le banquier
Wang In Sik : le karatéka japonais
Jon T. Benn (VF : Jacques Aveline) : le boss
Malisa Longo : la prostituée

 

Scène mythique


La scène du combat dans le Colisée entre Bruce Lee et Chuck Norris fut tournée en quatre jours dans les studios de la Golden Harvest. D'après de nombreux professionnels, cet affrontement est un des meilleurs combats filmés de tous les temps

 

De nombreux pastiches

 

La Fureur du Dragon et Opération Dragon engendrèrent toute une flopée de pastiches aux noms dérivés des titres américains (chronologiquement : Enter the Dragon et Return of the Dragon) : entre autres, Exit the Dragon, Enter the Tiger (1976), Return of the Kung Fu Dragon (1976), Enter the fat Dragon (1978), Re-enter the Dragon (1979), Enter Another Dragon (1981) ou encore, plus récemment, Enter the Black Dragon (1997).


Tournage difficile à Rome

 

Dès le début, il était clair que le tournage dans la capitale Italienne allait être difficile. Bruce Lee et son équipe s'y sont rendus alors que rien n'avait été tourné, donc ils devaient toujours s'assurer que le travail à Rome puisse être coordonné avec le travail qui se faisait à Hong Kong. La plupart des gens de l'équipe n'avaient pas de permis de travail international, ni de visas, il a donc fallu obtenir des autorisations spéciales, mais ils ne pouvaient rester que trois semaines maximum. Avec un temps aussi limité, le programme du tournage était très chargé : 7 jours sur 7, de 6 h jusqu'à 18 h voire 20 h, dans les rues, à l'aéroport, à Rome pendant les heures de pointe, avec les piétons et les touristes, et également par mauvais temps. En deux semaines, Bruce Lee avait tout ce dont il avait besoin et pouvait rentrer à Hong Kong continuer le tournage.

Avec un budget de 350 000 dollars de Hong Kong (HKD), il était impossible de payer toutes les autorisations pour pouvoir tourner à l'intérieur. Alors tout le monde a dû se munir de sacs de voyage rempli de matériel puis payer son entrée comme un touriste. Et après avoir parlementé, les gardiens ne disaient rien, mais l'équipe devait rester discrète. Pour le Colisée, n'ayant pas reçu l'autorisation le jour du tournage, Bruce Lee décida de tourner encore en cachette, très tôt le matin, avant l'arrivée des touristes. L'équipe a pu finalement tourner pendant cinq heures avec l'accord d'un agent de sécurité.


Le plus gros succès

 

Bruce Lee avait prédit que La Fureur du Dragon dépasserait les 5 millions de HKD de recette. Personne ne l'a cru et la presse se moquait de sa vantardise. Le film sorti, les semaines défilaient comme les chiffres : plus d'un million, puis deux, et trois, on passe à quatre, pour arriver à plus de cinq, battant au passage le record de La Fureur de Vaincre. Bruce Lee était devenu le roi indiscutable du cinéma asiatique. Ce film remporta le prix du meilleur montage au Golden Horse Award (l'équivalent asiatique des Oscars) en 1973 et il est le film de Bruce Lee qui a eu le plus gros succès en Orient.

En France, le film est distribué par René Château qui le programme dans son cinéma parisien Le Hollywood Boulevard. Avec presque quatre millions de spectateurs, c'est le meilleur film de Chuck Norris et le second meilleur film de Bruce Lee (derrière Opération Dragon).

 

Scènes manquantes


Lors de la première sortie en version française distribuée par René Chateau, La Fureur du dragon a été amputé de quelques scènes :

Lorsque Tang Lung (Bruce Lee) va au domicile de Chen Ching-Hua (Nora Miao) où il demande un verre d'eau puis demande : « Où sont les toilettes ? » Après la maison, il passe à la banque où il déclare ne pas faire confiance au banquier craignant de se faire voler par ce dernier sans pour autant donner des arguments justifiant son attitude.
Après que Tang Lung soit invité au domicile de l'italienne ; quand cette dernière se déshabille, il se sauve et retourne chez Chen Ching-Hua où il rencontre l'un des restaurateurs.


Tang Lung poursuit Ho, le voyou chinois à la solde du "patron" mafieux au Colisée et les amis de Tang Lung, Jimmy et Tony sont tués par l'oncle Wang, lequel coopérait depuis le début avec ces malfaiteurs pour devenir riche et retourner à Hong Kong retrouver sa famille. (Robert survit, étant assommé par Bob Wall au début du combat).
Après le combat contre Colt (Chuck Norris), Tang Lung crie : « Sale traître ! » et court après Ho, le voyou chinois à la solde du "patron" mafieux . Il découvre ses amis assassinés et l'oncle Wang qui s'est blessé lui-même pour leurrer Tang Lung. Il parvient à se débarrasser d'eux en les feintant. Ils se font tuer par le chef des bandits qui arrive mais la police l'arrête et découvre les corps, ce qui explique pourquoi Tang Lung et Chen Ching-Hua vont au cimetière (on peut supposer qu'il y a eu une fin alternative dans la première version. Une fin où on voit seulement Colt se faire tuer et Tang Lung avec ses amis devant une tombe qui pourrait être celle du karatéka Américain, mais dans ce cas on ne sait pas ce que deviennent exactement les restaurateurs, pas plus que l'oncle Wang, le malfaiteur et le chef des bandits, on peut aussi remarquer que dans cette fin Tang Lung veut partir seul à cause de la mort accidentelle de Colt alors que dans l'autre c'est non seulement pour celle-ci mais aussi pour d'autres).

 

Anecdotes


La Fureur du dragon est le premier film entièrement réalisé par Bruce Lee. Par ailleurs, pour l'arrivée de son personnage à Rome, l'acteur s'est inspiré de son arrivée à Seattle au début des années 1960. À ce moment-là, Bruce Lee ne parlait pas anglais et était sans un sou en poche. Il a par la suite été embauché comme serveur dans un restaurant pour pouvoir payer ses études de philosophie. Détail particulièrement authentique : À l'aéroport, Bruce Lee avait réellement abordé un enfant et lui avait fait peur en lui faisant une grimace, tentant en fait de lui demander où il pouvait aller manger.


Contrairement à The Big Boss et La Fureur de vaincre, La Fureur du dragon s'oriente davantage vers la comédie que le drame. Ici le héros principal utilise les arts martiaux uniquement pour se défendre et non pour agresser par désir de vengeance. À la fin de l'histoire, le Boss ne meurt pas mais se fait simplement arrêter. Certes des personnages connaissent une fin plus dramatique, notamment Colt et les restaurateurs, mais sans effusion de sang. Quant à Tang Lung, il repart en solitaire un peu à la façon de Clint Eastwood. En outre, Bruce Lee ne tue ici qu'une seule personne, par légitime défense et non sans compassion (détail visible à son regard au moment d'achever Colt).


Lors des apparitions du personnage interprété par Chuck Norris, les premières notes de Come una sentenza, composé par Ennio Morricone pour le film Il était une fois dans l'Ouest, sont jouées.


Bob Wall fait ici ses débuts d'acteur. Il fut à l'origine non seulement un élève de Bruce Lee mais aussi son garde du corps. Il est cependant le seul dont la nationalité diffère de celle du personnage qui est européen, Wall étant en réalité américain.


Versions françaises


Le film a connu deux versions françaises :

La première, qui a été amputé d'une dizaine de minutes, dans laquelle Bruce Lee, qui a gardé son vrai nom, serait le cousin de ceux qu'il aide. Il semble comprendre la langue étrangère. Dans cette version, Chuck Norris et Bob Wall ont eux aussi gardé leurs vrais noms. Dans cette première version, Bruce Lee est doublé par Bernard Murat. Cette version est sortie en cassette VHS et en DVD chez René Chateau Vidéo.
La deuxième, qui date de 2002, est intégrale et respecte l'œuvre ; c'est-à-dire que Bruce Lee porte le nom d'origine du personnage (Tang Lung), il n'est pas cousin des restaurateurs et ne comprend pas la langue étrangère qui est l'italien dans la VF. Chuck Norris et Bob Wall portent eux aussi les noms de leurs personnages (Colt et Fred). Pourtant dans cette deuxième version française, Colt (Chuck Norris) présente bien Fred (Bob Wall) en disant « Bob est mon élève ». Dans la première version de 1974 il le présentait ainsi : « Bob Wall est mon élève ». Dans cette deuxième version Bruce Lee est doublé par Pierre Tessier tandis que l'unique réplique de Chuck Norris est assurée par le comédien qui est devenu depuis sa voix française régulière, Bernard Tiphaine

 

 



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Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Jet Li

Publié à 14:20 par dessinsagogo55 Tags : jeune sport center enfants maison centerblog sur prix france jeux 2010 film art sommaire
Jet Li

Jet Li, de son vrai nom Li Lian Jie , né le 26 avril 1963 à Pékin en Chine, est un pratiquant d'arts martiaux, acteur, producteur et champion de wushu sino-singapourien.

Il commence sa carrière à l'étranger en 1998 avec L'Arme fatale 4, Roméo doit mourir en 2000 ou encore Le Baiser mortel du dragon (2001). Il continue également à tourner dans des films chinois. En 2010, il est à l'affiche de Expendables : Unité spéciale (The Expendables).

Il pratique les arts martiaux chinois dès son plus jeune âge.

En 1971, il entre à l'école d'athlétisme Shichahai, où il intègre l'équipe sportive d'arts martiaux.

En 1975, lors des troisièmes Jeux nationaux de Chine, dans la catégorie des arts martiaux, désignant alors la lance et la boxe, il finit deuxième, puis gagne cinq fois d'affilée le titre de champion national chinois de Wushu, dans les disciplines du Chang quan, du sabre, de la lance, boxe de son choix, combat, etc.

Il accompagne alors certaines visites officielles chinoises à l'étranger. Après avoir participé à une démonstration sur la pelouse de la Maison-Blanche, devant le président Richard Nixon, aux États-Unis, ce dernier lui demande s'il veut devenir son garde du corps plus tard. Li Liangjie dit qu'il ne veut devenir le garde du corps de personne en particulier, qu'il préfère défendre son milliard de compatriotes

À 16 ans, en 1979 il fait ses débuts au cinéma dans la série des Temple Shaolin qui est immédiatement un succès national en Chine. Artiste martial surdoué, doté d'une maîtrise technique impressionnante, perfectionniste et travailleur, il est souvent comparé, à tort ou à raison, à Bruce Lee. En effet, Jet Li apparaît comme n'étant « que » pratiquant tandis que Bruce Lee a créé son propre style, le jeet kune do, par de constantes recherches théoriques et pratiques.

Il va devenir célèbre à l'étranger en travaillant avec Tsui Hark sur la série des Il était une fois en Chine en 1991, où il fait la démonstration de son art du combat. Il tournera d'ailleurs une nouvelle version du film de Bruce Lee : La Fureur de vaincre.

Repéré par Hollywood, il va se faire connaître aux États-Unis et en Europe dans un rôle de méchant dans L'Arme fatale 4, en 1998. Il va ensuite tourner d'autres films occidentaux, notamment avec Luc Besson comme producteur et cinéaste, mais continue parallèlement à tourner en Chine, avec le réalisateur Zhang Yimou, et dans la province de Hong Kong.

Dans les années 2000, il joue dans Romeo doit mourir, Danny the Dog, The One, Rogue : L'Ultime Affrontement, En sursis et Le Maître d'armes.

En 2010, il tient le rôle de Yin Yang dans Expendables : Unité spéciale (The Expendables) aux côtés de Sylvester Stallone et Jason Statham. Il est de nouveau au casting d'Expendables 2 : Unité spéciale (The Expendables 2) et Expendables 3.

 

Depuis 1999, il est marié à Nina Li Chi qu'il a rencontrée sur le tournage de The Defector avec laquelle il a deux filles : Jane (née en 2000) et Jada (née en 2003).

En 2004, lors du tsunami en Indonésie, en vacances, surpris par la vague, il est sauvé in-extremis par des pêcheurs. En 2013, il est révélé que l'acteur souffre d'une hyperthyroïdie. Il explique fin 2013 à la télévision chinoise qu'il se bat depuis 2010 contre cette maladie

Filmographie

1982 : Le Temple de Shaolin de Yen Chang-hsin et Zhang Xinyan

1984 : Les Héritiers de Shaolin de Zhang Xinyan

1986 : Born to defense de Jet Li

1986 : Les Arts martiaux de Shaolin de Liu Chia-liang

1989 : Dragon Fight de Billy Tang

1989 : The Master de Tsui Hark

1991 : Il était une fois en Chine de Tsui Hark

1992 : Il était une fois en Chine 2 : la secte du lotus blanc de Tsui Hark

1992 : Swordsman 2 de Ching Siu-tung et Stanley Tong

1993 : Il était une fois en Chine 3 : le tournoi du Lion de Tsui Hark

1993 : Evil Cult de Wong Jing

1993 : Claws of Steel de Wong Jing et Yuen Woo-ping

1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk de Corey Yuen

1993 : La Légende de Fong Sai-Yuk 2 de Corey Yuen

1993 : Tai-Chi Master de Yuen Woo-ping

1994 : The Defender de Kazuya Konaka et Corey Yuen

1994 : Fist of Legend de Gordon Chan

1994 : La Légende du dragon rouge de Wong Jing et Corey Yuen

1995 : Meltdown, terreur à Hong Kong de Wong Jing et Corey Yuen

1995 : Agent spécial de Corey Yuen

1996 : Dr. Wai de Ching Siu-tung

1996 : Black Mask de Daniel Lee

1997 : Il était une fois en Chine 6 : Dr Wong en Amérique de Sammo Hung

1998 : Hitman de Stephen Tung Wei

1998 : L'Arme fatale 4 de Richard Donner

2000 : Roméo doit mourir de Andrzej Bartkowiak

2001 : Le Baiser mortel du dragon de Chris Nahon

2001 : The One de James Wong

2002 : Hero de Zhang Yimou

2003 : En sursis de Andrzej Bartkowiak

2005 : Danny the Dog de Louis Leterrier

2006 : Le Maître d'armes de Ronny Yu

2007 : Rogue : L'Ultime Affrontement de Phillip G. Atwell

2007 : Les Seigneurs de la guerre de Peter Chan

2008 : Le Royaume interdit de Rob Minkoff

2008 : La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon de Rob Cohen

2009 : The Founding of a Republic de Han Sanping et Huang Jianxin (cameo)

2010 : Expendables : Unité spéciale de Sylvester Stallone

2010 : Ocean Heaven de Xiao Lu Xue

2011 : Le Sorcier et le Serpent blanc de Ching Siu-tung

2011 : Dragon Gate, la légende des Sabres volants de Tsui Hark

2012 : Expendables 2 : Unité spéciale de Simon West

2013 : Badge of Fury de Tsz Ming Wong

2014 : Expendables 3 de Patrick Hughes

2016 : League of Gods de Koan Hui

2017 : Guardians of Martial Arts de Wen Zhang

2020 : Mulan de Niki Caro

 

Jeux vidéo

Rise to Honour (2003) : Kit Yun 

 

Nominations

Nommé au prix du meilleur méchant lors des MTV Movie Award 1999 pour L'arme fatale 4 (1998)

Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2001 pour Roméo doit mourir (2000)

Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2002 pour The One (2001)

Nommé au prix du meilleur combat lors des MTV Movie Award 2003 pour En sursis (2003)

Nommé au prix du meilleur acteur de film d'action lors des People's Choice Awards 2007

Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)

Nommé au prix du meilleur film lors des Hong Kong Film Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)

Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)

Nommé au prix du meilleur acteur lors des Hundred Flowers Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)

Nommé au prix du meilleur acteur lors des Asian Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)

Nommé au prix du meilleur acteur lors des Golden Horse Film Festival 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)

Récompenses

1995 : Golden Horse Film Festival

Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Shanghai Film Critics Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre (2007)

Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Awards 2008 pour Les seigneurs de la guerre(2007)

Lauréat du prix du meilleur acteur lors des Hong Kong Film Critics Society Awards 2007 pour Le maître d'armes (2006)

Voix françaises

En France, Pierre-François Pistorio est la voix françaiserégulière de Jet Li. Il y a eu également Frank Capillery qui l'a doublé à quatre reprises.

 

Philanthropie

Li est un ambassadeur philanthrope de la Croix-Rouge chinoise depuis janvier 2006. Il a versé 500 000 yuan (62 500 USD) provenant des revenus gagnés avec son film Le Maître d'armes à la section psychologique de la Croix Rouge.

Touché par son expérience aux Maldives durant le tsunami en 2004 où il faillit perdre une de ses filles, il crée The One Foundation, sa propre fondation à but non lucratif en avril 2007 .

The One Foundation, en collaboration avec la Croix rouge, soutient l'aide internationale aux victimes de grandes catastrophes, ainsi que des actions d'information ou de prévention au sujet de la santé mentale ou du suicide. Fin 2008, Li et sa fondation étaient intervenus dans sept catastrophes, incluant le tremblement de terre du Sichuan

 

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Fist of Legend

Publié à 13:36 par dessinsagogo55 Tags : center png centerblog film prix sur merci france place monde musique mort histoire rose nuit art
Fist of Legend

 

Fist of Legend ( pinyin : Jīng Wǔ Yīngxióng ; Hero of Jing Wu) est un film hongkongais réalisé par Gordon Chan, avec Jet Li en acteur principal, sorti le 22 décembre 1994. Il est dirigé par Gordon Chan et chorégraphié par Yuen Woo-ping. Ce film est une adaptation du film de Bruce Lee sorti en 1972, La Fureur de vaincre (Jing wu men, Fist of Fury) de Lo Wei. Le film prend place à Shanghaï en 1914 au début de la Première guerre mondiale, dans la concession britannique de la ville.

 

Le film suit les aventures de Chen Zhen  (Jet Li), dans sa quête pour retrouver les tueurs de son maître, Huo Yuanjia.

 

Malgré les chiffres décevants au box-office, Fist of Legend est souvent considéré comme l'un des meilleurs film de Jet Li, ainsi que comme l'un des meilleurs films d'arts martiaux de tous les temps

 

Chen Zhen (Jet Li) assiste à un cours à l'université de Kyoto, lorsque plusieurs étudiants japonais du clan Kokuryu font irruption dans la salle et le forcent à sortir à cause de ses origines chinoises. Mitsuko Yamada (Shinobu Nakayama), sa camarade de classe secrètement amoureuse de lui, ainsi que son professeur prennent sa défense. Les étudiants finissent par en venir aux mains, mais Chen Zhen les domine facilement avec différentes techniques de Chin Na. Le maître du clan Kokuryu et oncle de Mitsuko, Funakoshi Fumio (Yasuaki Kurata) arrive pour calmer la situation et s'excuse pour le comportement de ses élèves. Fumio est impressionné par les talents de Chen, et en apprenant les origines de son art, l'informe que son maître, Huo Yuanjia, est mort des suites d'un combat contre un maître karatéka japonais. Chen, dévasté par la nouvelle, décide de repartir immédiatement pour Shanghai.

 

En revenant à l'école Jingwu, il apprend que Huo Ting'en (son ami d'enfance et fils de Huo Yuanjia) est devenu le nouveau maître de Jingwu. Après avoir présenté ses hommages à feu son maître, Chen décide d'aller au dôjô pour défier Ryoichi Akutagawa, le maître qui a vaincu Yuanjia. Les élèves présent tentent de le faire partir, mais Chen les domine aisément jusqu'à l'arrivée d'Akutagawa, qui accepte honorablement le défi de Chen, avant de perdre facilement face à lui. Il en conclut que Akutagawa n'avait pas le niveau pour vaincre son maître et pose des soupçons de triche lors du combat. Le soir même, Chen fait exhumer le corps de son maître pour une autopsie, allant à l'encontre de la volonté de Ting'en et des autres membres de Jingwu; le médecin présent avec eux révèle que Huo Yuanjia a été empoisonné avant son dernier combat. Plusieurs jours après, la nouvelle de la défaite d'Akutagawa se répand et Chen Zhen devient rapidement célèbre. Les élèves de Jingwu veulent tout apprendre de lui, ce que Ting'en voit d'un mauvais œil. Il ne dit rien cependant, et trouve du réconfort dans un bordel auprès de la prostituée Rose (Ada Choi)

 

Entre-temps, Akutagawa confronte Fujita (Billy Chow), le général de l'armée impériale japonaise, sur les circonstances de sa victoire contre Huo Yuanjia, et Fujita confirme son implication dans l'empoisonnement du maître chinois. Akutagawa, se sentant déshonoré, se met en colère, mais le général le tue brutalement sous les yeux de l'ambassadeur japonais, et fait accuser Chen Zhen du meurtre. Le lendemain, ce sont des élèves furieux qui crient vengeant et attaquent l'école de Jingwu, sabre à la main. Jingwu devient alors le théâtre d'un violent affrontement que la police locale viendra arrêter. Chen est placé en détention puis jugé au tribunal le lendemain pour le meurtre d'Akutagawa. Plusieurs personnes fourniront de faux témoignages à charge, mais la Cour rejette les témoignages de la défense, craignant que des témoins chinois ne couvrent l'accusé. C'est contre toute attente Mitsuko qui se présente, et qui innocente Chen Zhen en déclarant qu'ils ont passé la nuit ensemble le soir du meurtre. La Cour déclare le non-lieu, mais sa relation avec Mitsuko fait scandale à Jingwu, les chinois percevant cela comme une trahison. Ting'en ainsi que les seniors de l'école exigent que Chen choisisse entre faire partir Mitsuko, ou bien quitter l'école avec elle, et Ting'en saisit l'occasion pour régler ses comptes avec Chen pour le rang de maître dans un combat singulier. Mis en difficulté alors qu'il retient ses coups, Chen finit par le vaincre sans enthousiasme, mais décide de partir avec Mitsuko. Ting'en, humilié, abandonne son poste de maître avant de partir rejoindre sa bien-aimée. Les membres de Jingwu finissent par le retrouver, quelques jours plus tard grâce à Rose, et après l'avoir fait entendre raison, réussissent à le faire revenir.

 

Chen Zhen et Mitsuko font face à l'hostilité locale à cause de leur relation, et sont amenés à s'installer dans une vieille cabane près de la tombe de Huo Yuanjia. Quelques jours après, Funikoshi arrive au Japon sur demande du général Fujita, afin d'éliminer Chen. Les deux s'engagent dans un duel équitable les yeux bandés, que Fumio remporte, déclarant le match nul. Ce dernier reconnaît la force de Chen, lui dit qu'il le sera encore plus s'il apprend à s'adapter à son adversaire, et l'avertit également des folles intentions et de la force meurtrière de Fujita. Quelques jours après, Ting'en, qui a reçu une lettre de défi de Fujita, rend visite à son ami Chen, s'excuse de son comportement envers Mitsuko, puis en profite pour lui apprendre plusieurs techniques de la boxe Huo. Mitsuko en profite pour quitter secrètement les lieux, laissant à Chen Zhen une lettre lui disant qu'elle l'attendra au Japon une fois l'armée japonaise partie de Chine.

 

Le lendemain, Chen et Ting'en se rendent au dôjô pour affronter le général, qui leur révèle que le traître qui a empoisonné leur maître fait partie de l'école de Jingwu. Ce dernier est abattu froidement par le général pour clore définitivement l'histoire de l'empoisonnement.

 

Ting'en affronte en premier le général, qui s'avère être extrêmement puissant et résistant aux coups, et finit sérieusement blessé. Chen prend le relais et s'engage dans un combat long et épuisant qui se solde par sa victoire. Alors que Chen et Ting'en s'apprêtent à partir, Fujita se relève et se prépare à les tuer avec un katana, mais Ting'en s'interpose, se blessant au bras, et Chen se voit contraint de tuer le général. Les soldats japonais les encerclent et se préparent à faire feu, mais le pacifique ambassadeur japonais ordonne aux soldats de se retirer. Malgré son accord sur les actions de Chen, il les prévient que le gouvernement japonais utilisera la mort du général Fujita pour déclarer la guerre à la Chine, à moins que le meurtrier soit tué en compensation. Chen accepte de porter le chapeau, forçant encore l'admiration de l'ambassadeur.

 

Les dernières scènes montrent que l'ambassadeur, au lieu d'ordonner l'exécution de Chen Zhen, a mis en scène une fausse exécution et utilisé le corps du traître de Jingwu en guise de preuve. Chen Zhen en profite pour quitter secrètement Shanghai.

 

Fiche technique

Titre : Fist of Legend

Titre original : Jing wu ying xiong 

Réalisation : Gordon Chan

Scénario : Gordon Chan

Production : Jet Li et Lam Chui-yin

Musique : Joseph Koo (Stephen Edwards dans la version US)

Photographie : Derek Wan

Montage : Chan Ki-hop

Chorégraphie : Yuen Woo-ping

Distribution : Drapeau de la France Metropolitan Filmexport

Pays d'origine : Hong Kong

Langues de tournage : anglais, japonais et cantonais

Format : couleurs - 1,85:1 - mono - 35 mm

Genre : Action

Durée : 103 minutes

Dates de sortie : 22 décembre 1994 (Hong Kong), 13 juin 2001 (France)

 

Distribution

 

Jet Li : Chen Zhen

Chin Siu-Hou : Huo Ting-An

Shinobu Nakayama : Mitsuko Yamada

Yasuaki Kurata  : Funakochi Fumio

Billy Chow : Général Fujita

Paul Chiang : Oncle Nang

Yuen Cheung-yan : Capitaine Jie

Toshimichi Takahashi : Ambassadeur du Japon

Tam Suk Mui : Wei

Jackson Liu: Akutagawa Ryuichi

Ada Choi: Rose

Wong San: Le cuisinier de l'école de Jingwu Mun

Yuen Shun-yee : Ngai

 

Récompenses

 

Nomination au prix des meilleures chorégraphies (Yuen Woo-ping), lors des Hong Kong Film Awards1995.

 

Voir également

 

1996 : Fist of Legend 2: Iron Bodyguards, de Robert Tai

1972 : La Fureur de vaincre (Jing wu men), de Lo Wei avec Bruce Lee.

2012 : Legend of the Fist: The Return of Chen Zhen, de Andrew Lau

 

 

 



Liens externes                                                  
     
     
     
Notes et références                                                    
   
    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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