Tabac : bientôt des messages de prévention sur chaque cigarette ?
Une étude menée par un chercheur australien conclut que des messages dissuasifs inscrits sur chaque cigarette pourraient inciter plus de fumeurs à renoncer au tabac.
Près de quatre ans après l'adoption du paquet neutre en France, la prévention contre le tabac pourrait bientôt passer à la vitesse supérieure. Déjà dans les tuyaux depuis quelques temps, les messages d'avertissements inscrits sur chaque cigarette sont de nouveau au coeur de l'actualité, après la publication d'une étude relayée par de nombreux médias anglo-saxons, dont le très sérieux Guardian.
Réalisée par le docteur Aaron Drovandi, de l'université James-Cook (située dans le Queensland, en Australie), cette étude menée auprès de plus de 2 000 fumeurs et non-fumeurs portait sur l'efficacité des approches actuelles pour encourager les personnes à cesser de fumer (ou à ne pas commencer).
Le paquet neutre en panne sèche Premier constat : selon le chercheur, la plupart des fumeurs sont devenus au fil du temps insensibles aux avertissements inscrits sur les emballages, ainsi qu'aux paquets neutres. Si ces mesures permettent d'éloigner les enfants de la tentation du tabagisme, la plupart des fumeurs "installés" trouvent ces méthodes peu dissuasives.
"C’est simplement dû à une exposition répétitive", a expliqué Aaron Drovandi à la version australienne du Guardian. "Si vous regardez une image dégoûtante, elle aura un effet, mais si vous la voyez plusieurs fois, elle n’aura plus le même effet."
"Les avertissements sur les paquets de cigarettes sont restés en grande partie inchangés, comme l’avertissement concernant l’emphysème ou la gangrène. C’est certes choquant, mais lorsque vous êtes exposé à cette image choquante encore et encore, elle perd de son impact."
Un "compteur de minutes de vie perdues" sur chaque cigarette ? Mais par quoi les remplacer ? Là encore, le chercheur a sa petite idée. D'après ses recherches, des messages inscrits sur chaque cigarette auraient un fort impact. Mieux : ces derniers pourraient se matérialiser sous forme d'un "compteur de minutes de vie perdues" qui disparaîtrait au fur et à mesure que la cigarette brûle.
"La nouveauté des avertissements individuels sur les cigarettes les rendait environ deux fois plus efficaces que ceux sur les emballages, et nous avons vu cela se répéter chez un large éventail de participants de différents groupes d'âge et de différentes ethnies", a expliqué Aaron Drovandi.
Pour l'heure, cette possibilité n'est pas encore à l'étude en France.
TAXE D’HABITATION : LA MAUVAISE SURPRISE QUI ATTEND 800.000 FOYERS
JEAN-VICTOR SEMERARO PUBLIÉ LE 02/10/2019 À 17H09 MIS À JOUR LE 03/10/2019 À 9H44
Taxe d’habitation : la mauvaise surprise qui attend 800.000 foyers
Depuis cette semaine, les ménages ont la possibilité de consulter sur Internet leur avis de taxe d’habitation. Pour 800.000 d’entre eux, ce sera la soupe à la grimace… Bénéficiaires de la ristourne l’an passé, il devront payer plein pot cette année. Explications.
Réforme de la taxe d’habitation. Acte 2. Depuis ce mardi 1er octobre, les avis de taxe d’habitation sont envoyés par courrier aux contribuables et disponibles dans leur espace personnel sur le site impots.gouv.fr. Entamée en 2018 par Bercy, la réforme - qui s’applique uniquement à la résidence principale - poursuit son chemin. En pratique, les 80% des foyers fiscaux concernés doivent bénéficier cet automne d’un dégrèvement de 65% du montant de leur impôt. Cela représente un gain moyen par ménage de 390 euros. À condition, toutefois, que la commune de résidence du contribuable n’ait pas relevé son taux d’imposition en 2019… Comme ce fut le cas parfois à l’automne dernier et qui n’a pas manqué de faire baisser le gain réel des contribuables.
Mais surtout, cet automne des centaines de milliers de ménages vont avoir une bien mauvaise surprise… On le sait, les revenus d’un foyer peuvent fortement varier d’une année sur l’autre. Ainsi, selon la Direction générale des finances publiques (DGFiP) 800.000 ménages qui ont bénéficié de la réforme l’année dernière (30% de dégrèvement sur le montant de leur taxe) vont devoir, cet automne, payer plein pot leur taxe d’habitation ! Car, rappelons-le, pour bénéficier de la réforme, il ne faut pas dépasser un certain seuil de revenus, appelé dans le jargon technique, le revenu fiscal de référence (RFR). Or d’après le barème permettant d’être éligible au second dégrèvement, une personne seule ne doit pas avoir un RFR 2018 supérieur à 27.432 euros et à 43.688 euros pour un couple. Bercy a prévu que les foyers franchissant très faiblement ces seuils (jusqu’à 28.448 euros pour un célibataire et 45.720 euros pour un couple) profitent d’un dégrèvement dit dégressif, c’est-à-dire inférieur à 65%. Pour savoir quel est votre revenu fiscal de référence, reportez-vous à votre dernier avis d’imposition reçu au mois d’août.
DGFIP
La majorité des contribuables a jusqu’au 15 novembre pour payer la taxe d’habitation. Dans certains cas, il peut arriver que l’administration envoie les avis plus tardivement. Pas de panique ! La date limite de paiement sera alors fixée au 16 décembre. Ce sera explicitement marqué sur le document. Concrètement, pour tout paiement supérieur à 300 euros, il est possible de régler en ligne (impots.gouv.fr) ou d’adhérer au prélèvement par échéance (soit par Internet, soit en renvoyant un coupon en bas de la première page de l’avis). Le paiement en ligne permet de profiter de 5 jours supplémentaires de délai - date limite fixée au 20 novembre et prélèvement sur compte bancaire le 25 novembre. Pour le prélèvement par échéance, il est effectué automatiquement par le Trésor public, une dizaine de jours après la date limite de paiement. Enfin, en-dessous de 300 euros, Bercy laisse la possibilité de régler par chèque ou espèces.
Municipales 2020: vers une candidature d'Alexandre Benalla à Saint-Denis?
02/10/2019 à 15h23
Selon une publication locale, les visites de l'ancien collaborateur de l'Elysée se seraient multipliées ces dernières semaines en banlieue parisienne. Plus d'un an après sa mise en lumière dans l'affaire qui porte son nom, Alexandre Benalla est-il en passe de rebondir? A quelques mois des élections municipales qui se tiendront en mars 2020, le Journal de Saint-Denis croit savoir que l'ancien responsable de la sécurité d'Emmanuel Macron à l'Elysée aurait en tête de se présenter à Saint-Denis, dans le département de Seine-Saint-Denis.
Ainsi, la publication locale aurait remarqué les allers et venues de l'homme de 28 ans depuis quelques semaines au sein de la ville dyonisienne et des rencontres avec des commerçants locaux. Une "liste citoyenne" aurait été évoquée avec certains d'entre eux.
Benalla sème le doute
De son côté, L'Obs a contacté Alexandre Benalla, qui a botté en touche. "Je me balade à Saint-Denis, comme à la Courneuve ou à Bagnolet. Je viens moi aussi d’un quartier et mon parcours est susceptible d’intéresser les jeunes issus de milieux populaires", a-t-il expliqué.
"Mais je ne m’interdis rien, l’appétit vient en mangeant", a-t-il également lancé.
A l'heure actuelle, deux informations judiciaires et quatre enquêtes sont encore ouvertes à l'encontre d'Alexandre Benalla. Le 12 août dernier, le paparazzi Sébastien Valiela a été entendu par la brigade criminelle de Paris sur la mystérieuse disparition du coffre-fort de l'ancien collaborateur de l'Elysée.
André Gaillard, l’un des humoristes du duo des «Frères ennemis», est mort
Le comédien André Gaillard est décédé lundi à l’âge de 91 ans. Son compère Teddy Vrignault avait mystérieusement disparu en 1984.
Le comédien et humoriste est décédé le 30 septembre à l'âge de 91 ans à la Maison de retraite des artistes de Nogent-sur-Marne, en région parisienne, a annoncé sa fille Silvia Gaillard. André Gaillard avait formé le duo comique Les Frères ennemis avec Teddy Vrignault.
Dès 1954, André Gaillard et Teddy Vrignault se sont produits dans des cabarets parisiens, rencontrant un vif succès jusqu'en 1984 sur scène, à la radio et à la télévision. Cette année-là, Teddy Vrignault, décrit comme déprimé par ses proches, disparaît brusquement, ne donnant plus aucune nouvelle ni à sa famille, ni à son partenaire artistique. Son corps n'a jamais été retrouvé.
Source: https://pressfrom.info/fr/actualite/culture/-256111-lhumoriste-andre-gaillard-membre-des-freres-ennemis-est-mort.html
Plus de 700 sketches
Les duettistes s'étaient rencontrés en faisant leur service militaire en Allemagne. Spécialisés dans un humour absurde, Les Frères ennemis, l'un têtu, l'autre râleur, ont fait leurs débuts sur la petite scène du cabaret parisien L'Ecluse, place-forte de l'humour, avant d'être engagés par Le Caveau de la République, Le Don Camilo et Les Deux Ânes. A leur actif, plus de 700 sketches dont La Cousine germaine, Les Téléphones, Les Grandes Familles, La Tombola...
"Leur humour était très décalé, cultivant l'absurde. Pierre Dac et Alphonse Allais étaient leurs références. André Gaillard et Teddy Vrignault étaient de vrais artistes de cabaret, mais aussi d'excellents comédiens, devenus de grosses vedettes", se souvient le chansonnier Jacques Mailhot, directeur du Théâtre des Deux Ânes. "Les gens bien intentionnés les qualifient d'amuseurs. Les gens moins bien intentionnés les classent parmi les rigolos. Ils valent beaucoup mieux que ça. Le délire verbal, le coq-à-l'âne, la gymnastique des mots, est probablement le genre exigeant le plus de maîtrise, le plus de rigueur, en un mot: le plus de style", a dit d'eux le cinéaste et dialoguiste Michel Audiard.
Source: https://pressfrom.info/fr/actualite/culture/-256111-lhumoriste-andre-gaillard-membre-des-freres-ennemis-est-mort.html
Quelques années après la disparition de Teddy Vrignault, André Gaillard, célèbre aussi pour sa moustache et ses volumineuses rouflaquettes, a reformé un duo avec Colette Duval appelé Les Nouveaux ennemis, avant de rejoindre lesLes frères ennemis (J'habite au 9ième)
Incendie à Rouen : "Les analyses, nous ne les avons pas trafiquées", assure Sibeth Ndiaye
08h29, le 02 octobre 2019 , modifié à 09h17, le 02 octobre 2019
Invitée mercredi d'Europe 1, la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, est revenue sur les accusations de manque de transparence des autorités au sujet de l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen. INTERVIEW
Le gouvernement cache-t-il des informations sur l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen ? "À chaque moment et à chaque instant nous disons la vérité telle que nous la connaissons", assure la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, invitée mercredi d'Europe 1. "Les analyses, nous ne les avons pas trafiquées, nous donnons la vérité entière et transparente", assure-t-elle.
La liste des produits chimiques de l'usine, publiée mardi soir par la préfecture de Seine-Maritime, est pourtant accusée d'être opaque, avec des noms de produits incompréhensibles pour le grand public. "Les listes des sites industriels dangereux sont codifiées pour [...] éviter que des personnes mal intentionnées s'en emparent" et "qu'elles se baladent dans la nature"", explique Sibeth Ndiaye, promettant toutefois de "clarifier" toutes les informations dans les jours à venir.
"Dans une situation de crise, le préfet a eu la réaction adéquate, il a fait preuve de transparence", martèle-t-elle, assurant que "les résultats des analyses seront donnés progressivement". "Il y a des analyses qui prennent du temps et donc on ne peut pas dire du jour au lendemain, après moins d'une semaine, que tout risque est parfaitement écarté. Mais lorsqu'un risque pouvait être écarté, sur la qualité de l'eau, sur la qualité de l'air, nous l'avons écarté", enchaîne-t-elle.
"Je regrette que Lubrizol ait une communication qui ne soit pas très compatissante"
"Je comprends parfaitement l’angoisse, il y a des odeurs nauséabondes, il y a des gens qui ont toussé, qui ont eut des nausées et des vomissements", assure encore la porte-parole. "Je regrette que Lubrizol ait une communication qui ne soit pas très compatissante à l'égard des habitants", poursuit-elle. Avant d'ajouter : "Ce que je dis aussi, c'est que l'analyse que nous avons de la pollution de l'air ne donne pas des résultats qui sont différents de ce que l'on a dans l'atmosphère habituelle d'une grande ville".
"La question scientifique, c'est 'pourquoi vous vomissez' ou 'pourquoi vous toussez'. Je fais appelle à la rationalité", insiste Sibeth Ndiaye. "Je sais que ce sont des moments compliqués mais le gouvernement est dans la rationalité. Et la rationalité c'est que vous pouvez avoir des odeurs nauséabondes, il y a plein de choses qui sentent mauvais, sans que cela soit forcément toxique. On peut tousser lorsque l'on respire de la fumée très forte, sans qu'il y ait des particules toxiques", martèle-t-elle encore.
Pernod Ricard annonce la suppression de 190 postes en France
"Le modèle français du groupe qui repose sur deux sociétés et deux réseaux de distribution est devenu trop complexe", justifie le groupe.
franceinfo avec AFPFrance Télévisions
Mis à jour le 01/10/2019 | 22:46
publié le 01/10/2019 | 22:46
"Je ne veux pas qu'on me rassure, je veux qu'on me dise la vérité" : cinq jours après l'incendie de l'usine Lubrizol, les Rouennais entre colère et angoisse
Le numéro deux mondial des spiritueux Pernod Ricard a annoncé, mardi 1er octobre, la fusion des deux filiales qui desservent le marché français, Pernod et Ricard, ce qui entraînera un plan de départs volontaires de 190 postes nets.
Les deux sociétés Ricard et Pernod ont présenté mardi à leurs instances représentatives du personnel ce projet baptisé "reconquête" qui consiste en la création d'une société unique Pernod Ricard France à compter du 1er juillet 2020, indique le groupe dans un communiqué.
Création de 90 nouveaux postes Le projet de fusion des deux sociétés qui étaient restées administrativement indépendantes depuis la fusion au niveau mondial en 1975 "amènerait à ouvrir environ 280 postes de départs volontaires" sur 1 300 postes, et concernerait "les fonctions commerciales et marketing". Ce projet comporte la "création de 90 nouveaux postes pour accompagner cette nouvelle stratégie de reconquête".
"Le modèle français du groupe qui repose sur deux sociétés et deux réseaux de distribution est devenu trop complexe, il manque d'agilité", commente Pernod Ricard qui veut maintenant un "réseau commercial unique structuré par canal de distribution".
Utilisation en démographie historique
Les dénombrements de population sont, pour la majeure partie de l’Ancien Régime, faits en feux, et non en habitants réels. La monarchie française ne cesse de s’intéresser aux dénombrements par feux qu’en 1726
Pour estimer le nombre d'habitants d'après celui donné en feux, certains appliquent le coefficient multiplicateur 5. Ainsi pour une population de 34 feux on obtient 170 habitants. Cependant, le facteur de conversion du feu à l’habitant fait encore l'objet de discussions entre historiens. L'État des feux de 1328 pour Paris comptabilise 61 098 feux. Les calculs conduisent à des chiffres de population variant entre 80 000 et 240 000 habitants. Le coefficient de 5 n'est pas une règle mais un indicateur moyen.
Selon les régions et les époques, le coefficient multiplicateur varie : Serge Dontenwill, pour l’actuel département de la Loire sous Louis XIV, utilise un coefficient de 4,5 (suivant ainsi Jacques Dupâquier dans son Population française aux XVIIe et XVIIIe siècles, PUF, 1993).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2016, la commune comptait 751 habitants, en diminution de 6,94 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
166 | 180 | 143 | 215 | 179 | 180 | 167 | 169 | 171 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
172 | 151 | 154 | 131 | 145 | 188 | 191 | 211 | 195 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
207 | 381 | 500 | 544 | 847 | 1001 | 1075 | 1027 | 1117 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
1312 | 1124 | 1015 | 825 | 705 | 705 | 806 | 821 | 790 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
751 | - | - | - | - | - | - | - | |
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006.)
en 1905 : 381 habitants.
vers 1804 : 174 habitants.
en 1750 : à Dommary, 14 Feux, à Baroncourt, 8 feux, à Bouvigny, 7 feux.
en 1701 : 21 citoyens actifs.
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Dommary-Baroncourt est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Toponymie
Les premières mentions pour Dommary donnent Domna-Maria au Xe siècle et celles de Baroncourt, Baronis-curtis au Xe siècle et Baronis-castrum au XIIe siècle.
Un seul regroupement a été trouvé Inter Baronis-curtem et Domnam-Mariam vers 1125.
Histoire
Ces deux hameaux faisaient partie de la châtellenie de Bouvigny, commune aujourd'hui disparue en tant que telle mais connue sous la dénomination des fermes de Bouvigny.
La rumeur ou l'imagination enfantine signalerait l'existence d'un tunnel secret entre les emplacements du château de Bouvigny et de l'ancienne église de Dommary ou de l'ancien moulin de Baroncourt. Ce dernier semblerait plus logique, le moulin et le château étant sur la même rive de l'Othain.
Avant 1790, Dommary et Bouvigny faisaient partie de la doyenné d'Amel (decanatus christianitatis de Amella) sans aucune mention de Baroncourt. En 1898, la commune de Dommary-Baroncourt est créée avec la fusion des lieudits de Bouvigny, de Dommary et de Baroncourt.
À la fin du XIXe siècle, une gare est construite avec un triage relativement important qui servit à la desserte de la mine locale (puits III) d'extraction du fer (minette) et de la ligne de chemin de fer menant aux puits du bassin de Landres.
Bouligny, mine d'Amermont-Dommary et mine de Joudreville Joudreville, mine du nord-est Piennes, mine de la Mourière Landres, mine de Landres Mont-Bonvillers, mine de Murville
La gare de Baroncourt est toujours en activité ; elle est la seule gare meusienne de la ligne SNCF reliant Nancy à Longwy.
Economie
La fin du cimetière de locomotives au triage de Sotteville
Lieux et monuments
Nouvelle église Sainte-Thérèse à Baroncourt, construite en 1931.
Ancienne église Saint-Mansuy à Dommary, construite vers 1122, détruite en 1974.
Ancienne église à Bouvigny, détruite.
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