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21.06.2024
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Par Anonyme, le 26.06.2024
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Par Anonyme, le 31.05.2024
tu étais tellement bonne avec ta poitrine
Par Richard , le 27.05.2024
quelle belle femme!une vraie japonaise
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elle serai encore plus belle avec le
Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
La bataille de Carentan est un engagement de la Seconde guerre mondiale entre les forces aéroportées américaines et la Wehrmacht lors de la bataille de Normandie. Elle eut lieu du 6 au 13 juin 1944 dans les environs de Carentan en France. Théâtre de violents affrontements, la ville sera prise avant que les Allemands qui s'en étaient retirés à court de munitions ne tentent une dernière et infructueuse contre-attaque.
l'opération Overlord
L'objectif des Américains était de consolider les têtes de pont alliées de Utah et Omaha Beach et d'établir une ligne défensive sur le front normand afin de contenir d'éventuelles contre-attaques allemandes. Les Allemands retranchés dans la ville tentèrent de la défendre le plus longtemps possible afin de permettre à leurs renforts d'arriver sur le front et d'ainsi empêcher la 1re armée américaine d'attaquer l'axe Lessay-Périers, ce qui aurait eu pour conséquence de couper le Cotentin.
Carentan était défendue par le 6e régiment de parachutistes, deux bataillons des légions de l'Est et d'autres éléments des forces allemandes en débâcle après l'opération Overlord qui reçurent l'ordre de défendre la ville jusqu'au bout tandis que la 17e Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen, envoyée en renfort, essayait tant bien que mal d'arriver mais était retardée à cause du manque de carburant ainsi que par les attaques aériennes alliées. La 101e division aéroportée américaine, parachutée le Jour J (6 juin 1944) non loin de Carentan reçut l'ordre de prendre la ville aux Allemands.
Les assauts américains sur Carentan débutent le 10 juin. Deux jours plus tard, le 12 juin, les forces allemandes, à court de munitions, sont contraintes de se retirer de la ville. Le lendemain, la 17e Panzer grenadier division SS Götz von Berlichingen contre-attaque vers les positions de la 101e aéroportée. Cet assaut sera d'abord un succès, avant que les forces de la 2e division blindée américaine viennent mettre en déroute les unités allemandes.
La prise de Carentan permet aux Américains de consolider leurs positions et d'établir une ligne défensive en Normandie, leur donnant ainsi un front continu qui leur permettra de progresser en profondeur dans les terres normandes. Ce sera le début de la bataille des Haies.
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L'Homme du président (The President's Man) est un téléfilm américain réalisé par Michael Preece et diffusé en 2000.
Joshua McCord est un agent spécial travaillant directement sous les ordres du président des États-Unis, qui lui confie les missions les plus délicates. Joshua songe désormais à prendre sa retraite, mais il veut d'abord se trouver un digne successeur. Il pense le trouver en la personne de Deke Slater, un sous-officier injustement emprisonné pour avoir désobéi à des ordres qui auraient pu coûter la vie de deux de ses hommes. Joshua obtient que Deke sorte de prison et prend en charge sa formation, pour en faire un agent d'élite.
Fiche technique
Titre original : The President's Man
Titre français : L'Homme du président
Réalisateur : Michael Preece
Musique : James Horner
Scénario : Bob Gookin
Genre : action
Tout public
Distribution
Chuck Norris: Joshua McCord
Dylan Neal Deke Slater
Jennifer Tung : Que McCord
Stuart Whitman : George Williams
Josh Ridgway : Stuart
Marla Adamas : la première dame
Ralph Waite : le président
Soon-Tek Oh : Le général Van Tran
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Le maquis de Saint-Marcel est un maquis qui exista en Bretagne occupée, dans le centre du Morbihan non loin du village de Saint-Marcel pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il a été créé en février 1943 par Émile Guimard, de Lizio, et Antoine Rolland, de Sérent, pour recevoir des parachutages d'armes. Ce terrain discret, dénommé « baleine » derrière la ferme de la Nouette près de Saint-Marcel avait été trouvé à la demande de la mission Cockle composée de deux agents secrets de la France libre, le lieutenant Guy Lenfant et le sergent radio André Rapin, parachutés près de l'étang au Duc entre Ploërmel et Loyat dans la nuit du 21 au 22 décembre 1942 pour armer les premiers réseaux de Résistance du Morbihan. Ces deux agents, missions remplies avec de multiples parachutages autour de Ploërmel et de Pontivy durant le premier semestre 1943, retournèrent en Angleterre le 15 juillet de la même année, embarquant avec eux le plan des défenses allemandes du Morbihan, remis par le commandant départemental de gendarmerie et le résistant, Maurice Guillaudot. En mai, ces parachutages furent suspendus, après quelques ratés, pour ne pas attirer l'attention de l'occupant.
En mars 1944, plusieurs arrestations désorganisèrent la résistance locale. Le commandant Guillaudot, à Vannes, et son adjoint, le lieutenant de gendarmerie Théophile Guillo, à Ploërmel, son fils, Joseph Guillo, 20 ans (qui mourra en déportation), furent arrêtés, torturés et déportés. Plusieurs cadres FFI, de Ploërmel notamment (Henri Calindre, Louis Chérel, Lionel Dorléans, Paul Hervy) furent fusillés le 30 juin 1944 à Saint-Jacques-de-la-Lande près de Rennes.
Le 5 juin 1944, l'ordre est donné par le colonel Morice (Paul Chenailler), chef départemental F.F.I. (après l'arrestation du commandant Maurice Guillaudot), à tous les résistants du Morbihan de se rassembler à la Nouette, la ferme de la famille Pondard près de Saint-Marcel (soit environ 3 000 hommes)
Une description précise du maquis de Saint-Marcel est fournie par un témoignage allemand (les résistants y sont qualifiés de « terroristes ») :
« À deux kilomètres environ à l'ouest de Saint-Marcel, près de Malestroit, le camp de terroristes s'étendait sur un carré de plus de deux kilomètres de côté et était entouré de points d'appui en fortification de campagne. En particulier, toutes les voies d'accès au camp étaient protégées par des obstacles en rondins avec des mines télécommandées et des abris renforcés par des sacs de terre. À l'intérieur du camp se trouvaient quelques bâtiments de ferme que les terroristes ont utilisés comme central radio ou comme poste de secours, le château étant occupé par le « quartier général ». Les hommes du camp cantonnaient en partie dans les broussailles d'environ deux mètres de haut, d'une superficie de quatre cents sur huit cents mètres où avaient été aménagés des layons le long desquels se trouvaient des cabanes de branchage et des tentes avec de la paille abritant dix à vingt hommes. À l'intérieur du camp, une prairie d'environ cinquante sur deux cents mètres servait de zone et de centre de rassemblement »
FFI et Armée française de la Libération 2 500 hommes
ORA ;
AS ;
FTP ;
États-Unis
3 squadrons de chasseurs-bombardiers P-47 Thunderbolt de l'US Air Force.
Reich allemand
2e régiment parachutiste de maintenance et d'instruction (300 hommes) ;
un commando de chasse du 17e état-major du génie de forteresse ;
éléments de la 275e division d'infanterie de Redon ;
une compagnie du 798e bataillon de Géorgiens ;
2 bataillons du 3e régiment d'artillerie ;
patrouille de la brigade de Feldgendarmerie no 790.
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Le 18 juin, le maquis est attaqué. Malgré un soutien aérien allié (4 avions de chasse P-47 Thunderbolt américains mitraillant les convois allemands en direction du maquis), les 3 000 résistants et 200 parachutistes SAS français (comprenant des cooneys parties et des rescapés de Duault venus compléter les parachutés sur le camp), se replieront à la faveur de la nuit, après toute une journée de combat.
Ce jour-là, Pierre Marienne (1908-1944) galvanisa les combattants, il mitraillait les Allemands d'une jeep en intervenant dans les secteurs menacés. Blessé à la tête et couvert d'un bandeau de parachute blanc teinté de sang, il y gagna son surnom : le « lion de Saint-Marcel »
Selon l'essayiste Pierre Montagnon, le bilan pour les Français est de 42 tués, dont 6 parachutistes, 60 blessés et 15 prisonniers. Mais pour Patrick Mahéo, « dans le nombre de quarante-deux, habituellement indiqué, figurent des non-combattants assassinés par les Allemands et des F.F.I. ou des parachutistes tués dans le voisinage au cours des jours suivants. » D'après Gérard Le Marec, les Français ont une trentaine de tués. Pour Philippe Buton, les Français déplorent 27 tués, dont 6 parachutistes et 21 FFI.
Du côté des Allemands, entre 300 et 600 hommes auraient été tués selon les résistants. Le monument du maquis inauguré en 1951, en présence des colonels Morice et Bourgoin, fait état de 560 morts allemands. Un officier britannique présent à Saint-Marcel, le capitaine Fay, estima les pertes allemandes à 300 hommes.
Cependant selon Pierre Montagnon, Gérard Le Marec et Patrick Maheo, cette estimation de 560 morts allemands est sans doute exagérée.
Selon les sources allemandes, les pertes sont plus légères. D'après le rapport d’activité no 14 en date du 1er août 1944, du 2e Bureau du XXVe corps d’armée, les affrontements contre les « bandes terroristes » livrés entre le 1er avril et le 1er août 1944 ont fait, côté allemand, environ 50 morts, 50 blessés et 20 disparus. Pour Gérard Le Marec, « C'est dans ce total approché qu'il faut compter les pertes du combat de Saint-Marcel ».
Les soldats allemands tués à Saint-Marcel sont inhumés au cimetière de Calmon, à Vannes. Selon les recherches effectuées par Patrick Andersen-Bö aux archives municipales de cette ville, 27 corps provenant de Saint-Marcel sont recensés. Ces corps sont par la suite transférés ensuite au cimetière militaire allemand du Mont-d'Huisnes, à côté d'Avranches.
Côté civils, le village de Saint-Marcel est pillé et brûlé après le combat, 40 personnes seront tuées et d'autres déportées.
Lors des combats pour la libération de la Bretagne, du 6 juin à août 1944, 77 parachutistes furent tués et 195 furent blessés, soit plus de la moitié de l'effectif du 4e bataillon SAS français (450 hommes parachutés). Des volontaires FFI bretons recomposèrent l'effectif du bataillon lorsque celui-ci fut engagé sur la Loire (secteur Orléans – Nevers), opération Spencer, en septembre 1944.
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En 1939, la France a déclaré la guerre à l'Allemagne et se prépare à repousser l'invasion de celle-ci. Dans le cadre du plan défensif français, la Meuse joue un rôle important puisque c'est sur une bonne partie de son cours supérieur (en France, du confluent avec la Chiers jusqu'à Namur, en Belgique) que le Commandement Français compte arrêter les Allemands dans le cadre du plan Dyle.
Plus en aval, les Belges la défendent notamment par le fort d'Ében-Émael pour protéger Liège.
Ce fort tombera le 11 mai 1940, lendemain de l'offensive allemande ; les Belges évacueront la position fortifiée de Liège puis celle de Namur, y laissant uniquement des troupes de forteresse.
En amont, prenant de vitesse les Français, le 12 mai 1940, c'est un peu au Nord de Dinant, à Houx que les premiers fantassins allemands traversent la Meuse. Le lendemain, les troupes allemandes de Guderianfranchissent également la Meuse à Sedan provoquant la Percée de Sedan, ainsi qu'à Monthermé. Leur infanterie traverse également à Givet et Profondeville, mais échoue à Nouzonville et Charleville-Mézièresavant que les Français n'évacuent leurs dernières positions sur la Meuse le 15 mai 1940, une brèche large de Namur jusqu'à l'extrémité Ouest de la ligne Maginot a été ouverte dans le front allié, que les Français ne peuvent combler faute de réserves suffisantes. Les unités blindées allemandes s'y engouffrent et atteignent la Manche près d'Abbeville le 20 mai 1940, prenant à revers les armées alliées dans le nord de la France et la Belgique. La bataille de France est déjà virtuellement perdue.
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La bataille d'Arras s'est déroulée le 21 mai 1940 durant la bataille de France entre les armées franco-britanniques et la Wehrmacht. Les Alliés rencontrèrent un succès mitigé.
La contre-attaque d'Arras était une tentative alliée de contrecarrer l'avancée allemande qui se dirigeait vers le nord de la France.
En mai 1940, pendant la première partie du Westfeldzug, l'armée allemande (Wehrmacht) avait envahi une partie du nord-est de la France. Le 18 mai, Cambrai tombe aux mains des Allemands ainsi que Saint-Quentin tandis que Péronne l'est bientôt, les restes de la 9e armée française et le général Giraudsont faits prisonniers par l'ennemi.
Le plan britannique dont l'idée d'origine germe lors de la conférence d'Ypres était donc d'effectuer une contre-attaque à partir d'Arras afin de retarder le Blitzkrieg des forces allemandes.
Ordre de bataille
Royaume-Uni :
5e division d'infanterie (5th Infantry Division) ;
50th Northumbrian Infantry Division ;
1re brigade de chars (1st Army Tank Brigade).
France :
60 chars de combat de la 3e division légère mécanique.
Reich allemand :
Régiment Grossdeutschland
SS-Totenkopf-Division (motorisée)
Déroulement de la bataille
Le 21 mai 1940, deux colonnes (nom de code Frankforce), composées de 58 Matilda Mark I, de 16 Matilda Mark II et de 14 chars légers Vickers MK VI, soutenus par 2 000 soldats avancèrent vers le sud d'Arras. Ils progressèrent rapidement rencontrant peu de résistance et en prenant un certain nombre de prisonniers de guerre allemands. Toutefois, ils se heurtèrent très vite à de l'artillerie lourde (8,8 cm Flaket obusiers 10,5 cm leFH18) et à de l'infanterie. L'avancée britannique fut donc stoppée au prix de lourdes pertes chez les Allemands.
Les Allemands en profitèrent pour lancer une offensive sur Arras mais furent stoppés par des blindés français de la 3e division légère mécanisée. Les forces françaises firent prisonniers de guerre environ 400 soldats allemands et détruisirent un certain nombre de chars allemands. La riposte française fut si féroce que le commandant en chef de la 7e Panzerdivision, Rommel, estima qu'il avait été attaqué par 5 divisions françaises.
Ce n'est qu'avec le soutien aérien de la Luftwaffe que Rommel arriva à repousser les blindés français dans la soirée du 21 mai.
Conséquences
Le succès de la contre-attaque française permit à l'armée française d'établir des lignes de défense à l'ouest de Dunkerque. Ainsi, les troupes allemandes arrêtèrent leur progression le 24 mai 1940 sur le fleuve Aa avant de progresser vers Dunkerque, ce qui permit de retarder leur Blitzkrieg de quelques jours.
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C'est la guerre mécanique qui a commencé le 10 mai. En l'air et sur la terre, l'engin mécanique - avion ou char - est l'élément principal de la force.
L'ennemi a remporté sur nous un avantage initial. Pourquoi ? Uniquement parce qu'il a plus tôt et plus complètement que nous mis à profit cette vérité.
Ses succès lui viennent de ses divisions blindées et de son aviation de bombardement, pas d'autre chose ! Eh bien ? nos succès de demain et notre victoire - oui ! notre victoire - nous viendront un jour de nos divisions cuirassées et de notre aviation d'attaque. Il y a des signes précurseurs de cette victoire mécanique de la France.
Le chef qui vous parle a l'honneur de commander une division cuirassée française. Cette division vient de durement combattre ; eh bien ! on peut dire très simplement, très gravement - sans nulle vantardise - que cette division a dominé le champ de bataille de la première à la dernière heure du combat.
Tous ceux qui y servent, général aussi bien que le plus simple de ses troupiers, ont retiré de cette expérience une confiance absolue dans la puissance d'un tel instrument.
C'est cela qu'il nous faut pour vaincre. Grâce à cela, nous avons déjà vaincu sur un point de la ligne. Grâce à cela, un jour, nous vaincrons sur toute la ligne.
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