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11.02.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
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La Renault 16 est une automobile produite à plus de 1,8 million d'unités, essentiellement dans les usines de Sandouville (construite pour l'occasion et ouverte en 1965) et Flins (jusqu'en 1973). Elle a également été assemblée au Maroc, au Canada (Usine SOMA Société de Montage Automobile de Saint-Bruno de Montarville au Québec) et en Australie.
La R16 a été présentée au public pour la première fois au Salon de Genève en mars 1965.
Dessinée par Gaston Juchet et Philippe Charbonneaux, elle possède des gouttières de toit intégrées et est la première voiture française de sa catégorie à carrosserie berline-break à hayon Une version à malle classique et un coupé à la ligne tricorps ont bien été réalisés mais ne seront jamais commercialisés.
La Renault 16 a remporté le trophée européen de la voiture de l'année en 1966.
La suspension à quatre roues indépendantes de la R16 est équipée de barres de torsion longitudinales à l'avant et transversales à l'arrière. Cette technologie impose une distance entre le passage de roues arrière et la porte arrière différente entre les côtés droit et gauche. Malgré l'empattement asymétrique et un freinage perfectible, la voiture est confortable et dotée d'une bonne tenue de route. Son moteur Cléon-Alu, monté longitudinalement, avec la boîte de vitesses en porte-à-faux avant, bénéficie d'un circuit de refroidissement scellé et d'un ventilateur électrique à déclenchement automatique.
Le levier de vitesse est au volant, la planche de bord à compteur de vitesse horizontal changera à trois reprises.
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On a marché sur la Lune est le dix-septième album de bande dessinée des Aventures de Tintin. Sa prépublication dans les pages du journal Tintin se confond avec celle de l’album précédent, Objectif Lune, mais l'aventure est présentée uniquement sous le titre On a marché sur la Lune. 24 planches sont prépubliées du 30 mars 1950 au 7 septembre 1950 puis 93 autres du 9 avril 1952 au 30 décembre 1953. L’album paraît en 1954.
Le récit se poursuit au point où l’avait laissé Objectif Lune. Après quelques minutes de peur au lancement, les passagers de la fusée reprennent connaissance et tout semble bien se passer : la fusée se dirige vers la Lune. Cependant, il y a une surprise de taille : les Dupondt, qui ont pris place à bord pour des raisons de sécurité, se sont trompés d’heure. Cette situation force Tournesol à réduire la durée du voyage afin de ne pas manquer d’oxygène…
Le voyage se déroule sans incident ou presque et la fusée se pose sans encombre sur la Lune. Les appareils sont installés et Tournesol s’adonne à ses recherches. Durant l’une des expéditions, Tintin reste à bord. À ce moment, Jorgen (alias le colonel Boris) embarqué clandestinement, sort de sa cachette et se prépare à décoller avec la fusée. Tintin réussit à l’arrêter à la dernière minute. Frank Wolff, l'assistant de Tournesol qui était son complice est également démasqué et avoue qu'il est le traître qui avait transmis les indications de radioguidage de la fusée d'essai et avait permis à Jorgen de s'embarquer clandestinement dans la fusée. Avec, à nouveau, un passager supplémentaire, la fusée décolle vers la Terre, les réserves d'oxygène étant loin d’être suffisantes. Jorgen est tué dans une altercation et Wolff, pris de remords pour sa complicité avec Jorgen, se sacrifie dans l’espoir de sauver le reste de l’équipage en sortant de la fusée pour se perdre dans l'espace. Finalement, la fusée arrive à bon port, alors que les premiers hommes sur la lune n'ont presque plus de dioxygène et sont retrouvés inanimés par une équipe de secours, qui parvient à les ranimer.
Fiche technique
Scénario : Hergé
Dessins : Hergé
Éditeur : Casterman
Lieux : Syldavie, Lune
Époque : 1954
Comme souvent dans les albums d’Hergé, de nombreux changements ont été opérés sur les planches entre la parution de l’histoire dans le journal de Tintin (étalée entre 1950 et 1953) et leurs parutions en albums en 1953 et 1954. Ces modifications, qui ont été réalisées avec l’aide du tout nouveau Studio Hergé, ont consisté en l’ajout de nouvelles planches inédites, l’agrandissement des cases (donnant un souffle nouveau à l’album), la modification des couleurs (par exemple celles du char lunaire qui était orange et devient bleu) et la suppression de certaines planches, en particulier l'épisode où le Capitaine jette par inadvertance Milou au vide-ordure avec les cheveux des Dupondt et celui où Tintin et le Capitaine vont — armés — au secours des Dupondt perdus sur la Lune.
Incohérences, erreurs et particularités
Les carreaux rouges et blancs de la fusée changent régulièrement de place à travers les cases (comme dans l’album précédent).
Lorsque Tintin, Wolff, Haddock et Milou sont dans le char lunaire, on peut voir une pioche attachée sur le côté du véhicule. La pioche disparaît par la suite, puis réapparaît.
Dans les vieilles éditions, Tintin parle du complot contre le roi de Syldavie Muskar IV. Or le complot a eu lieu contre Muskar XII, l’erreur sera corrigée par la suite.
À la suite de pressions des milieux catholiques et de l’éditeur, Hergé se voit contraint de modifier la lettre d’adieu de Wolff en une version plus édulcorée de son suicide, dans laquelle celui-ci émet le souhait qu'un miracle puisse le sauver. Par la suite, l'auteur regrettera d'avoir cédé et rajouté ce détail irréaliste, le scientifique n'ayant aucune chance de s'en sortir vivant.
Wolff est, avec Mitsuhirato dans Le Lotus bleu, l'un des deux personnages de la série qui meurent en se suicidant.
Le capitaine Haddock est attiré par l'astéroïde Adonis. En réalité, Adonis évolue à 5 millions de kilomètres de la Terre, et ne peut donc se trouver entre cette planète et la Lune (380 000 km). Par ailleurs, sa gravité est trop peu élevée pour qu'un phénomène d'attraction se produise. Avec un vitesse de libération maximale de 60 centimètres par seconde, un simple saut d'homme à sa surface suffirait pour y décoller.
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La première évocation d'une fusée ailée capable de quitter la basse atmosphère est le fait de l'ingénieur austro-allemand Eugen Sänger en 1933. Celui-ci développe son concept à la fin de la Seconde Guerre mondiale et décrit une fusée ailée, le Silbervogel (l'oiseau d'argent, en allemand), capable d'aller bombarder les États-Unis à l'issue d'un vol suborbital après avoir rebondi plusieurs fois sur les couches les plus denses de l'atmosphère, grâce à un rapport portance/traînée élevé. Après-guerre, l'Armée de l'Air américaine fait travailler North American Aviation sur un projet de missile ailé, le Navaho. Celui-ci effectue quelques vols mais est abandonné en 1957 au profit des missiles balistiques (sans aile) Atlas, Titan et Thor, qui relèvent d'une solution technique beaucoup plus efficace.
À l'époque, le centre de recherches aéronautiques américain, le NACA — qui deviendra plus tard la NASA —, s'implique fortement dans les recherches sur les avions propulsés par fusée. Le Bell X-1 franchit le mur du son en 1947. En étudiant la conception d'engins beaucoup plus rapides et volant à haute altitude, les ingénieurs identifient rapidement les deux principales difficultés auxquelles un tel avion va être confronté : l'instabilité en vol atmosphérique et la dissipation de la chaleur au cours de la rentrée atmosphérique. Ce dernier point les conduit à imaginer différents types de boucliers thermiques. La construction de l'avion-fusée X-15 est lancée en 1954 pour permettre de tester ces solutions. L'engin expérimental permet d'atteindre au cours des années 1960 un nouveau record de vitesse (Mach 6,8) et d'altitude (108 km). Le X-15 permet d'explorer les domaines physiques d'une grande partie des phases de vol effectuées par la navette spatiale, en particulier la rentrée atmosphérique, avec la transition entre l'utilisation des moteurs-fusées et celle des gouvernes aérodynamiques
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La navette spatiale américaine (en anglais Space shuttle ou Space Transportation System, STS) est un véhicule spatial conçu et utilisé par l'agence spatiale américaine (NASA), dont le vol inaugural remonte au 12 avril 1981 et qui a été retiré du service en juillet 2011, après avoir effectué un total de 135 vols.
Elle est composée de trois sous-ensembles : l'orbiteur — qui est le seul composant à se placer en orbite et transporte le fret et les astronautes —, le réservoir externe et deux propulseurs d'appoint. Le terme « navette spatiale » s'applique uniquement à l'orbiteur, qui revient se poser comme un planeur sur une piste d'atterrissage et peut être réutilisé pour un nouveau vol. Les propulseurs d'appoint sont également conçus pour être réutilisables. L'orbiteur, qui constitue l'élément le plus complexe, a été construit à cinq exemplaires, dont deux, Challenger et Columbia, ont été détruits aux cours d'accidents entraînant la perte de leurs équipages.
La navette spatiale, qui pèse plus de 2 000 tonnes, décolle verticalement comme une fusée. Au cours de son ascension, elle se sépare successivement de ses propulseurs d'appoint, puis de son réservoir externe. À l'issue de la mission, l'orbiteur revient seul sur Terre. Il effectue une rentrée atmosphérique au cours de laquelle il ralentit fortement en dissipant une grande quantité de chaleur, puis entame une phase de vol non propulsé à la manière d'un planeur, avant d'atterrir sur une piste de grande longueur. L'orbiteur ainsi que les propulseurs d'appoint sont remis en état puis réutilisés. La navette spatiale peut placer en orbite basse 24,5 tonnes de charge utile et huit astronautes (ce qui constitue le record actuel, réalisé à deux reprises) et peut en prendre en charge jusqu'à onze pour une mission d'urgence. L'orbiteur est un engin spatial d'une polyvalence inégalée : il dispose d'une grande soute, d'un bras permettant le maniement de lourdes charges dans l'espace et d'un sas utilisé pour les sortie extravéhiculaires ou l'amarrage à une station spatiale. Son autonomie en mission est d'environ deux semaines.
En concevant au début des années 1970 un engin spatial réutilisable, la NASA espère pouvoir abaisser fortement les coûts du lancement spatial, qui a jusque-là recours à des fusées perdues après usage. Mais les compromis techniques retenus à la conception pour des raisons financières, et surtout la complexité inhérente au concept, induisent des coûts de développement et d'exploitation (500 millions de dollars par lancement) très élevés. Lorsque sa carrière opérationnelle débute en 1982, tous les lancements de satellites américains sont pris en charge par la flotte des quatre navettes spatiales. Grâce à un dumping important sur les prix la navette occupe même une place dominante sur le marché des lancements commerciaux. Mais il apparaît rapidement que la navette ne sera jamais un moyen de lancement concurrentiel par rapport aux fusées, car la cadence des lancements espérée ne peut être tenue. Après la destruction de la navette spatiale Challenger début 1986, qui entraîne la perte de son équipage, l'utilisation de la navette est limitée au lancement des satellites non commerciaux et aux expériences scientifiques en orbite. À compter de la fin des années 1990, sa mission principale est la desserte de la station spatiale Mir, puis de la Station spatiale internationale. Un deuxième accident en 2003, accompagné une fois de plus de la perte de l'équipage, accélère la décision de mettre à la retraite la flotte des navettes, dont le dernier vol a eu lieu en juillet 2011. La navette spatiale a effectué 135 vols au cours d'une carrière de près de trente ans.
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1966
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