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Marcel Ihler

Publié à 17:06 par dessinsagogo55 Tags : france paris sommaire mort centerblog sur merci saint monde presse enfants centre
Marcel Ihler

Marcel Ihler (Besançon, 12 août 1880-Paris, 14 avril 1975) est un général de corps d'armée français.

Fils d'un banquier, il est issu d'une vieille famille alsacienne originaire de Thann. Ses parents, Adolphe et Mélanie, née Amberger, ont quitté la ville à l'issue de la guerre de 1870. La famille Ihler était très connue à Thann, dont une rue porte le nom des Généraux Ihler, car deux de ses membres avaient fait parler d'eux pendant la Révolution Française : les frères Jean-Alexandre (1745-1805), général de division à l'Armée du Nord et surtout Louis Théobald (1756-1793), aide de camp du Maréchal Luckner et général de brigade, mort en héros au combat. Marcel était le cinquième enfant de la famille, et sa carrière militaire faisait écho à celle de son frère Charles (1868-1907), capitaine de Dragons, lui aussi mort en héros au Maroc et enterré en grande pompe à Besançon lors d'obsèques relayées dans toute la presse française.

Marcel Ihler épousa le 22 mai 1912 à Chambéry, Geneviève Marcelle Bourdon, ils ont eu cinq enfants entre 1913 et 1923 : Geneviève, Henri, Madeleine, Xavier et Bernard.

Marcel Ihler suit les cours de l'école Saint-Cyr, où il entre en 1899. Il termine ses études deux années plus tard, en 1901. Il débute sa carrière militaire au 24e Bataillon de Chasseurs à Pied, puis suit les cours de l’École supérieure de guerre en 1909-1911.

Il passe ensuite capitaine au 4e Bataillon de Chasseurs à Pied en septembre 1913.

Première guerre mondiale

Au début de la Première guerre mondiale, il est engagé en Lorraine et se distingue lors des combats. Il est blessé à la bataille de Morhange (1914) le 20 août, puis en Belgique le 11 novembre 1914. Détaché à la direction de l’infanterie en février 1915, il est nommé chef de bataillon en juillet 1917, puis chef d’état-major de la 62e Division d’Infanterie le 11 septembre de la même année, et conserve cet emploi jusqu'à la fin de la guerre.

Entre-deux-guerres

Après la guerre, il fut d’abord envoyé en mission en Tchécoslovaquie à partir de février 1919, puis affecté à l’état-major particulier du maréchal Franchet d'Esperey le 23 septembre 1920. Il fut ensuite employé au 158eR.I. (septembre 1925) et fut promu lieutenant-colonel le 25 décembre de cette même année. Parmi ses fonctions, il occupa, entre autres, celle de membre de la commission d’organisation des régions fortifiées de Strasbourg (novembre 1927). Il retrouva l’état-major du maréchal Franchet d'Esperey le 15 juin 1929, auquel il est de nouveau attaché.

Il fut nommé colonel le 25 mars 1931, avant de devenir stagiaire au Centre des hautes études militaires de juillet 1931 à juillet 1932. Il devint général de brigade le 11 juin 1935. Après avoir commandé le 31e D.I. à Montpellier le 22 mars 1938, il fut promu général de division le 22 décembre 1938, tout en conservant son commandement.

Seconde guerre mondiale

Ihler fut mis à la tête du IXe Corps d’Armée lors de la Seconde guerre mondiale, le 21 mai 1940. La drôle de Guerre se termina le 10 mai 1940, date à laquelle l’Allemagne lança son offensive à l'ouest. Le généralissime Weygand constitua un front allant de la Somme à l’Aisne, afin de contenir l’avance allemande, notamment durant l’évacuation des troupes franco-britanniques à Dunkerque. Mais le front cède, les populations civiles étant contraintes à l'exode pendant que les Allemands arrivaient de partout. Le gouvernement se replia sur la Loire puis à Bordeaux.

Marcel Ihler quant à lui réussit à réunir à l’ouest de la Bresle la plus grande partie de son corps d’armée, et ce malgré la menace des engins blindés ennemis. Malheureusement, il est fait prisonnier le 12 juin 1940 par Rommel. Envoyé en Allemagne, il resta en captivité jusqu'au 11 mai 1945.

Bibliographie

Jacques MéchinSoixante jours qui ébranlèrent l'Occident 10 mai-10 juillet 1940, Paris, R. Laffont, coll. « Bouquins », 1981, 1029 p

 
Liens externes                                                  
   
   
   
   
   
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Condamnation de Nelson Mandela à la prison à vie

Publié à 14:42 par dessinsagogo55 Tags : voiture sommaire platine centerblog sur merci vie afrique france monde société mort
Condamnation de Nelson Mandela à la prison à vie

 

 

Le 5 août 1962, Nelson Mandela est arrêté après dix-sept mois de clandestinité et est emprisonné au fort de Johannesburg. Son arrestation a été rendue possible par des informations communiquées par la Central Intelligence Agency (CIA), sur la cachette et le déguisement de Mandela en chauffeur de voiture à ses homologues sud-africains en échange de la libération de l'un de ses agents infiltrés, alors détenu par la police sud-africaine. Mandela est en effet considéré par ces organisations comme terroriste et communiste dans le contexte de guerre froide, où « l’idéologie de l’apartheid s’affichait comme ligne de défense de l’Occident » très dépendant des minéraux et métaux (or, platine, chrome, manganèse, uranium, antimoine, diamant…) dont l'Afrique du Sud, « gardienne de la route maritime du Cap » est l'un des principaux producteurs mondiaux du monde libre.

Trois jours après son arrestation, Nelson Mandela est accusé officiellement d'avoir organisé une grève en 1961 et d'avoir quitté le pays illégalement. Le 25 octobre, il est condamné à cinq ans de prison. Alors qu'il purge sa peine, la police arrête plusieurs dirigeants de l'ANC à Rivonia, au nord de Johannesburg, où est situé le quartier général de la direction d’Umkhonto we Sizwe, le 11 juillet 1963. Parmi les onze personnes arrêtées figurent Walter Sisulu et Govan Mbeki. Nelson Mandela est lui aussi mis en cause et, avec ses compagnons, il est accusé par le ministère public de quatre sabotages, de trahison, de liens avec le Parti communiste sud-africain, mais aussi de comploter une invasion du pays par l'étranger, ce que Mandela dément

Le « procès de Rivonia » débute le 9 octobre 1963 devant la haute cour de Pretoria présidée par Quartus de Wet, un juge afrikane rnommé sous le gouvernement Smuts (Parti uni) et à ce titre considéré par Mandela et les siens comme indépendant du gouvernement Verwoerd. Durant le procès, à l'aide des documents saisis à Rivonia, le procureur détaille les commandes d'armes, les liens entre l'ANC et le Parti communiste et les plans destinés à renverser le gouvernement.

Dans sa déclaration pour sa défense le 20 avril 1964, devant la Cour suprême de l’Afrique du Sud à Pretoria, Nelson Mandela expose le raisonnement qui l'a fait recourir à la violence comme tactique. Il révèle comment l'ANC a utilisé des méthodes pacifiques pour résister à l'apartheid pendant des années, jusqu'au massacre de Sharpeville, la déclaration d'état d'urgence et l'interdiction de l'ANC par le gouvernement, qui leur a montré que leur seul choix était de résister à travers des actes de sabotage. Agir autrement aurait été pour eux pareil à une capitulation sans condition. Nelson Mandela explique comment ils ont écrit le manifeste du Umkhonto we Sizwe avec l'intention de démontrer l'échec des politiques du Parti national quand l'économie serait menacée par le manque de volonté des étrangers à risquer des investissements dans le pays. Il finit sa déclaration, reproduite intégralement dans le Rand Daily Mail, le grand quotidien progressiste anglophone de Johannesburg, par ces mots :

« Toute ma vie je me suis consacré à la lutte pour le peuple africain. J'ai combattu contre la domination blanche et j'ai combattu contre la domination noire. J'ai chéri l'idéal d'une société libre et démocratique dans laquelle toutes les personnes vivraient ensemble en harmonie et avec les mêmes opportunités. C'est un idéal pour lequel j'espère vivre et agir. Mais, si besoin est, c'est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir. »

Les accusés sont jugés coupables de sédition le 11 juin 1964 et condamnés à la détention à perpétuité le 12 juin, à l'exception de Lionel Bernstein qui est acquitté. Si Mandela et la majorité de ses compagnons sont reconnus coupables des quatre chefs d'accusation, ils échappent à la peine de mort dont ils étaient passibles, parce que le juge n'estime pas prouvée l'intervention étrangère invoquée par le ministère public. Selon des sources de l'ANC, d'historiens, de journalistes ou de juristes, la pression internationale a également influencé le verdict, ce que pense également Oliver Tambo à Londres, mais ce que ne relèvent pas d'autres historiens traitant du procès de Rivonia.

Pour Nelson Mandela, si le ministre de la Justice John Vorster souhaitait bien qu'il soit condamné à mort, le juge avait pour sa part peut-être été influencé par les protestations internationales comme celles du syndicat des dockers, qui avait menacé de ne plus charger les marchandises pour l'Afrique du Sud, ou par les protestations d'une cinquantaine de membres du congrès américain et du Parlement britannique. Le fait qu'aucune action de guérilla n'avait débuté et que l'ANC et MK avaient été considérées comme des entités séparées par le juge, auraient été aussi, selon l'analyse de Mandela, une raison de la « clémence » relative du verdict. Le Premier ministre Hendrik Verwoerd déclara devant le Parlement sud-africain qu'aucune protestation de quelque origine qu'elle fût n'avait influencé le jugement, et encore moins la lettre et les télégrammes que lui-même avait reçus de Léonid Brejnev et des pays socialistes, lesquels avaient, selon sa déclaration, fini à la poubelle. Juste avant le verdict, Alan Paton, chef du Parti libéral avait déposé auprès du juge de Wet une requête d'indulgence.

Le Conseil de sécurité des Nations unies condamne le procès de Rivonia et commence à s'engager vers la recommandation de sanctions internationales contre l'Afrique du Sud. La résolution 181 d'août 1963 du Conseil de sécurité de l'ONU condamnait l'apartheid et demandait à tous les États d'arrêter volontairement leurs ventes d'armes à l'Afrique du Sud mais cette demande n'est jamais contraignante avant la résolution 418 du 4 novembre 1977 imposant un embargo sur les ventes d'armes.

Une pétition internationale recueillit les signatures de 143 personnalités appelant la communauté internationale à dénoncer non seulement les arrestations mais les législations de l'apartheid.

En 1964, la résistance se retrouve décapitée. Les attaques armées de MK en territoire sud-africain cessent et ne reprendront véritablement qu'en 1976. Tandis que les pays du Commonwealth prennent leur distance, le gouvernement sud-africain, loin d'être sanctionné, profite des années de prospérité économique pour encourager l'immigration européenne et développer son industrie et son armement avec l'Allemagne et la France, avec le soutien des États-Unis au nom de la lutte contre le communisme. Verwoerd intensifie l'application de sa politique de séparation forcée en procédant à de nombreuses expulsions de populations noires vers les zones qui leur sont attribuées afin que de bonnes terres soient développées ou habitées par les Blancs. Un système de contrat oblige les salariés noirs de l'industrie à vivre dans des résidences dortoirs au sein des townships loin de leurs familles demeurées en zone rurale. Les conséquences pour ces populations sont souvent catastrophiques au niveau social tandis que la population carcérale atteint cent mille personnes, un des taux les plus élevés au monde. Entre 1960 et 1980, ce sont plus de trois millions et demi de paysans noirs qui sont dépossédés de leurs terres sans aucun dédommagement pour devenir un réservoir de main-d'œuvre bon marché et qui ne sont plus des concurrents pour les fermiers blancs

 

 

 

Liens externes

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nelson_Mandela

 

Notes et références
  Condamnation de Nelson Mandela à la prison à vie
  African National Congress
  12 juin : Événements

 

 
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Mussolini déclare la guerre à la France.

Publié à 12:48 par dessinsagogo55 Tags : gif bande sommaire hiver centerblog sur afrique france place monde coup nuit annonce cadre merci
Mussolini déclare la guerre à la France.

Le 6 mai 1939, Mussolini signe le pacte d'Acier avec l'Allemagne, qui scelle officiellement la naissance du pacte italo-allemand et qui, à la demande du Duce, ne se limite pas à une alliance défensive mais aussi offensive.

L'invasion de la Pologne se profile. Ciano se rend en Allemagne et tente d'expliquer que l'Italie ne dispose pas des moyens nécessaires pour s'engager aux côtés de l'Allemagne. Les Allemands le rassurent sur une non-intervention anglaise et russe, font miroiter la possibilité d'obtenir la Grèce et la Yougoslavie et indiquent que la participation de l'Italie n'est pas requise. L'Allemagne , en ne consultant pas Rome et par le pacte germano-soviétique (23 août), viole les termes de l'alliance. Le 1er septembre, l'Allemagne envahit la Pologne, mettant en marche la Seconde Guerre mondiale. Mussolini déclare la « non-belligérance » et non la neutralité de l'Italie, le terme de « neutre » étant contraire au principe du fascisme, ce qui permet à l'État italien de se maintenir momentanément en dehors du conflit.

Le 10 mars 1940, il accueille à Rome le ministre allemand des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop, qui le sollicite pour entrer en guerre. Le 18 mars, il rencontre Hitler au col du Brenner. Les 16, 22, 24 et 26 avril, il reçoit des messages de Churchill, de Paul Reynaud, de Pie XII et de Roosevelt, qui lui demandent de rester neutre. La France et la Grande-Bretagne sont prêtes à lui garantir une place à la table des négociations dans le cadre d'un règlement de paix et quelques concessions en Afrique même si l'Italie ne participe pas au conflit, ce que Mussolini refuse.

À la suite des succès extraordinaires et inattendus de l'Allemagne nazie entre avril et mai 1940 (chute de Calais, de la Belgique et début de l'évacuation de Dunkerque), Mussolini pense que l'issue de la guerre est désormais décidée et le 10 juin il déclare la guerre à la France et à la Grande-Bretagne, ce qui a été qualifié de « coup de poignard dans le dos » par l'« Écho de la Falaise » (13 juin 1940).

Face aux contrariétés et aux remontrances de certains collaborateurs importants et de militaires parmi lesquels Dino Grandi, Galeazzo Ciano et le général Enrico Caviglia, Mussolini répond à Badoglio : « J'ai besoin de quelques milliers de morts pour m'asseoir à la table des négociations. »

Dans la guerre contre la France, les troupes italiennes prennent au début une attitude défensive en raison d'un matériel inadapté, du temps nécessaire pour mobiliser les moyens qui ne sont pas suffisants et de la réticence à attaquer les « cousins » français. En août 1939, l'armée italienne dispose de 67 divisions composées de 43 divisions classiques très mal équipées en moyens de transport, 24 divisions spéciales dont 3 cuirassées, 2 motorisées, 3 d'intervention rapide et 5 divisions alpines. Après la mobilisation de 1940, les effectifs ne dépassent pas 1 600 000, moins qu'en 1915 par manque d'équipements. Les moyens italiens sont cependant d'une écrasante supériorité numérique sur les Français, car les exigences du front du Nord-Est et l'expédition de Norvège ont vidé les casernes françaises du Sud-Est. Les premiers à prendre l'initiative sont les Alliés : des avions britanniques décollent des aéroports français et bombardent Turin dans la nuit de 11 au 12 juin.

Par mesure de rétorsion, les avions italiens bombardent les bases militaires d'Hyères et de Toulon. Le 14, la zone industrielle de Gênes est bombardée par la Marine française et l'armée italienne reçoit l'ordre de lancer dans les Alpes une offensive programmée le 18 : Mussolini prend conscience de la nécessité d'occuper des territoires avant la fin du conflit, qui semble inévitable. Les Italiens attaquent aussi Bizerte, Bastia et Calvi.

Alors que la France demande un armistice à l'Allemagne le 17 juin, dans les Alpes, une résistance acharnée des Français met en déroute les soldats italiens. Le fort de la Redoute est évacué seulement le 3 juillet. En Briançonnais, en Ubaye, en Maurienne, les Italiens n'ont pas réussi à passer la frontière malgré des pertes importantes. Par endroits, ils perdent même du terrain : le redoutable fort italien du Chaberton (3 136 m) est réduit au silence le 21 juin en une après-midi par seulement quatre mortiers français. Malgré quelques infiltrations momentanées, les troupes italiennes ne dépassent pas Menton lors de leur offensive sur Nice. La bataille des Alpes met en lumière l'extrême inefficacité de l'armée italienne.

 
Mussolini et Hitler

Mussolini participe à un sommet à Munich avec Hitler pour discuter de l'inattendue et imprévue reddition française face à la Wehrmacht : les conditions de paix demandées par le Duce sont acceptées partiellement.

Le 24 juin, la France signe l'armistice avec l'Italie, lui reconnaissant, en plus de l'occupation d'une portion du territoire français frontalier, la démilitarisation d'une large bande le long des frontières franco-italienne et libyo-tunisienne.

À la nouvelle d'un débarquement allemand imminent au Royaume-Uni (Opération Seelöwe) auquel l'Allemagne ne veut pas associer l'Italie, Graziani et Italo Balbo, gouverneur de Libye, reçoivent l'ordre d'avancer vers l'Égypte, qui est un protectorat britannique (25 juin). Mais le 28, alors qu'il survole Tobrouk bombardée par les Britanniques, Balbo est abattu par les batteries anti-aériennes italiennes qui l'ont pris pour un avion ennemi. Les premières victoires se révèlent éphémères parce que la guerre se prolonge au-delà de ce qui est prévu, en raison de l'impréparation, la désorganisation et l'insuffisance de l'armée italienne.

Le 27 septembre 1940 l'Italie, l'Allemagne et le Japon s'unissent par le pacte tripartite, auquel adhèrent, dans l'ordre tout au long de la guerre, la Hongrie (20 novembre 1940), la Roumanie (23 novembre), la Slovaquie(24 novembre), la Bulgarie (1er mars 1941) et la Yougoslavie (27 mars).

Le 4 octobre 1940, Mussolini rencontre Hitler au Brenner pour établir d'un commun accord une stratégie militaire. Le 12 octobre, les Allemands prennent le contrôle de la Roumanie, située dans la zone d'influence italienne et riche de gisements pétrolifères nécessaires à l'Italie, une nouvelle fois sans prévenir les Italiens.

En conséquence, Mussolini décide de se lancer dans une « guerre parallèle » à côté de l'allié allemand, afin de ne pas trop dépendre de l'initiative militaire et politique d'Hitler. Il est toujours convaincu que la Grande-Bretagne sera amenée rapidement à pactiser avec le Führer et que le principal front de guerre sera ainsi terminé. Le 15 août 1940, le sous-marin italien « Delfino » torpille près de l'île de Tinos un vieux croiseur léger grec, l'« Helli », qui participe, à la demande du gouvernement grec, à des festivités. Tout ceci se produit sur ordre précis de Mussolini, transmis par lettre à l'amiral Cavagnari, sous-secrétaire à la marine militaire. Il y a de nombreuses frictions avec les états-majors et avec Pietro Badoglio alors chef d'état-major. En effet, la décision de Mussolini va à l’encontre des recommandations de l’état-major qui désire quelques mois d’attente de manière que la conquête en Afrique du Nord soit terminée. Plus de la moitié de l’armée de terre est mobilisée sur cet autre front de telle manière qu’une opération militaire serait difficilement exécutable. Cependant, le 13 octobre, Mussolini annonce à Badoglio qu’il fixe tout de même la date de la prise de la Grèce au 26 octobre malgré les doutes et les appréhensions de ses chefs militaires. En dépit de cette mésentente, Badoglio, chef d’état-major, ne montre pas d’opposition réelle à la volonté du Duce d’attaquer la Grèce. Il se contente d’émettre des réserves face au peu de temps que Mussolini semble prêt à donner pour les préparatifs. Après un entretien houleux avec Mussolini, Badoglio réussit à retarder l’échéance au 28 octobre. L’action est désormais imminente car le Duce s’enthousiasme à l’idée d’une victoire facile qui surprendrait son allié Hitler et dont Mussolini pourrait s'enorgueillir auprès de son peuple dans sa quête pour rendre l'honneur dû à l'Italie : «Jusque-là, en guise de dépouilles de guerre, il ne pouvait guère s'enorgueillir auprès du peuple italien que de l'insignifiante conquête de l'avant-poste stérile du Somaliland britannique en août ». Pour cause, l'Allemagne s'était infiltrée au début du mois de septembre en Roumanie sans en avertir l'Italie. Mussolini souhaite non seulement se venger de cet affront en procédant à une invasion sans en avertir Hitler, mais aussi équilibrer quelque peu la balance entre les deux puissances en termes de conquêtes. Le 19 octobre, Mussolini envoie un communiqué à Hitler pour l'avertir d'une conquête prochaine de la Grèce sans lui faire part de la date exacte de cette opération. Plus tard, le 28 octobre, trois jours après la réception de ladite lettre par Hitler, les deux dictateurs se retrouvent à Florence où Mussolini, ravi, lui annonce que ses troupes ont déjà franchi la frontière grecque depuis l'Albanie .

Entre-temps, la mise en route de cette guerre se fait d'une manière expéditive avec des raisonnements plus spéculatifs que raisonnés qui se fondent toutes sur une apparente infériorité de la puissance militaire grecque. À propos de la conquête de la Grèce à venir, Ciano, ministre des Affaires étrangères italien, parle même d'une promenade. A contrario, l'historien Ian Kershaw déclare : « Ce qui se passait pour l'esprit de décision du dictateur n'était en vérité qu'un vernis des plus minces fait d'hypothèses bancales, d'observations superficielles, de jugements d'amateur et d'appréciations dépourvues de tout sens critique ». La remarque de l'historien s'inscrit dans le tableau d'un amas de spéculations de la part de Mussolini et présage une réalité bien différente.

Et en effet, lorsque l'attaque débute, l'hiver, le territoire montagneux ainsi qu'un équipement totalement inadapté empêchent toutes les tentatives d'avancées. L'armée grecque, renforcée par l'arrivée de plus de 70 000 soldats britanniques, se révèle plus aguerrie et organisée que prévu. Les Grecs se montrent donc bien plus combatifs tandis que les Italiens sont d'une faiblesse déplorable par la faute d'un manque de préparatifs. L'appui des nombreuses escadrilles aériennes et navales britanniques est déterminant : les Italiens sont obligés de se replier en territoire albanais, transformant le conflit en une guerre de position. Les munitions et le manque de matériel nuisent au bon déroulement de cette opération qui paraissait déjà condamnée. L'attaque contre la Grèce se conclut par une défaite désastreuse. Le maréchal Badoglio qui critique ouvertement le Duce pour son amateurisme est limogé. Un autre désastre accable Mussolini : la moitié de la flotte italienne stationnée à Tarente est mise hors de combat le 11 novembre par l'aviation britannique.

En Afrique, en janvier 1941, les Britanniques procèdent à une vigoureuse contre-offensive qui conduit à la conquête de l'Afrique orientale italienne vers juin 1941. Les dernières troupes italiennes se rendent à Gondar le 21 novembre. La supériorité numérique et technologique des Britanniques et la progressive perte d'initiative de la marine italienne ne peuvent que conduire à la défaite.

Par la suite, les combats entre les deux marines ennemies se limitent du côté italien à la guerre sous-marine, à la protection des voies d'approvisionnements entre la Sicile et la Libye italienne, à de sporadiques tentatives d'interceptions de convois britanniques sur la voie Gibraltar-Alexandrie et à des opérations téméraires réalisées par des équipages d'assaut (les MAS (it), petites barques chargées de tritole qui causent la destruction de nombreux bateaux britanniques et des sous-marins miniatures).

 

Notes et références
  Seconde guerre mondiale (Sommaire)

 

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Film français : 1956

Film français : 1956

 

 

A Le Pays d'où je viens
À la manière de Sherlock Holmes Le Salaire du péché
Afrique 50 Le Sang à la tête (film, 1956)
Alerte au Deuxième Bureau Le Secret de sœur Angèle
B Le Théâtre national populaire
Baratin (film) Le Toit
Bébés à gogo Le Toubib, médecin du gang
Bob le flambeur Léon la lune
Bonjour sourire Les Anges aux mains noires
C Les Assassins du dimanche
C'est arrivé à Aden Les Aventures de Gil Blas de Santillane
Ce soir les jupons volent Les Aventures de Till l'Espiègle
Ce soir les souris dansent Les carottes sont cuites
Cela s'appelle l'aurore Les Copains du dimanche
Ces sacrées vacances Les Duraton
Cette sacrée gamine Les Indiscrètes
Cinq millions comptant Les Insoumises
Club de femmes (film, 1956) Les Lumières du soir
Coup dur chez les mous Les Mains liées
Courte Tête Les Mémoires d'un flic
Crime et Châtiment (film, 1956) Les Pépées au service secret
D Les Possédées
Des gens sans importance Les Promesses dangereuses
Dimanche à Pékin Les Truands (film, 1956)
Don Juan (film, 1956) Les Week-ends de Néron
E Lorsque l'enfant paraît (film, 1956)
Elena et les Hommes M
En effeuillant la marguerite Maigret dirige l'enquête
Et Dieu… créa la femme Mannequins de Paris
F Marche française
Fernand cow-boy Marie-Antoinette reine de France
G Michel Strogoff (film, 1956)
Gervaise (film) Mitsou (film)
Goubbiah, mon amour Molière (court-métrage)
Grand-rue (film) Mon curé champion du régiment
H Mon curé chez les pauvres (film, 1956)
Hommes et Loups Monsieur et Madame Curie
Honoré de Marseille N
I Notre-Dame de Paris (film, 1956)
J Nuit et Brouillard (film)
Je plaide non coupable O
Jehanne Opération Tonnerre (film, 1954)
L P
L'Homme aux clés d'or Papa, maman, ma femme et moi
L'Homme et l'Enfant Pardonnez nos offenses (film)
L'inspecteur connaît la musique Paris Canaille (film)
L'Odyssée du capitaine Steve Paris la nuit (film, 1956)
La Bande à papa Paris, Palace Hôtel
La Belle des belles Pitié pour les vamps
La Bête noire (film, 1955) Q
La Châtelaine du Liban (film, 1956) Quand vient l'amour
La Crise du logement (film, 1955) R
La Foire aux femmes Rencontre à Paris
La Joyeuse Prison Rentrée des classes (film)
La Loi des rues S
La Lumière d'en face Section des disparus
La mariée est trop belle Si Paris nous était conté
La Meilleure Part Si tous les gars du monde
La Mort en ce jardin Soupçons (film, 1956)
La Passe du diable Sous le ciel de Provence
La Plus Belle des vies Sur le pont d'Avignon (film)
La Sonate à Kreutzer (film, 1956) Symphonie inachevée
La Sorcière (film, 1956) T
La Terreur des dames Toute la mémoire du monde
La Traversée de Paris Toute la ville accuse
La vie est belle (film, 1956) Treize à table (film)
Le Ballon rouge Tu enfanteras sans douleur
Le Chanteur de Mexico (film) U
Le Circuit de minuit Un condamné à mort s'est échappé
Le Coup du berger Une fée… pas comme les autres
Le Couturier de ces dames V
Le Long des trottoirs Voici le temps des assassins
Le Monde du silence (film) Vous pigez ?
Le Moulin des amours W
Le Mystère Picasso Z
  Zaza (film, 1956)
   

 

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Mondial Féminin : La Une de Charlie Hebdo va faire causer…

Publié à 23:08 par dessinsagogo55 Tags : center
Mondial Féminin : La Une de Charlie Hebdo va faire causer…

 

Mondial Féminin :

La Une de Charlie Hebdo va faire causer…

 

 

Fernandel : Discographie

Fernandel : Discographie

 

Discographie

78 tours

Polydor

512278 : La Rue de la manutention

512572 : La Caissière du Grand Café

512573 : C'est Suzette - La Caissière du Grand Café

521863 : Les Deux Bègues - Chez le photographe (scènes comiques avec Riandres)

521864 : La Lecture à la caserne - La bicyclette (sketchs comiques avec Riandres)

521887 : Moi, je vais au cinéma

521940 : La Rue de la manutention

522012 : Folatrerie

522022 : Fibremol fait des fredaines

522101 : Cunégonde

522165 : Maintenant je sais c'que c'est - Quand ça me prend

522166 : Le Père la Puce

522246 : Aventure galante

522247 : Bridou au cinéma - A cause du bilboquet

522248 : Ne te plains pas

522316 : Les deux chasseurs - Antoine et Gustave (scènes marseillaises avec Andrex)

522461 : Ah! dis donc - Oh! Jules

522490 : La Leçon d'histoire

522703 : C'est la terreur de la pampa - C'est au rythme d'un tango

522731 : Le Coq du régiment - Quand on est de corvée

522732 : Agathe - Je suis l'homme qu'il vous faut

522788 : Représentation théâtrale - Terrible rencontre (sketchs avec Andrex)

522801 : Quand il y a d'l'amour - On m'a

524010 : La Leçon d'histoire (avec Andrex)

Odéon

166768 : Celle à qui je plais - Milliardaire

166803 : J'ai des tout petits besoins

166818 : C'est dans la ma-ma - Dans la flotte

166867 : Lui et moi

166869 : Tiens, voilà Lafleur -Valse de Rosalie

166876 : Quand on est obligeant - Faut tout prendre du bon côté

166961 : Mimile et Totor

166981 : Dites-lui mon amour

166983 : Ignace - La Java des petits galons

166984 : Redis-le-me (avec Marie Bizet)

Columbia

DF 1914 : Ignace - Lequel des deux ?

DF 1915 : Quelle famille

DF 1916 : Pour être ordonnance

DF 2034 : Célestine - C'est la fête à Tante Aurore

DF 2088 : C'est toujours comme ça - Les Dégourdis

DF 2119 : Je vais au zoo avec Zizi

DF 2220 : Je te veux (avec Germaine Duclos)

DF 2343 : Scène de l'épicerie

DF 2347 : Barnabé - Ne me dis plus « tu »

DF 2367 : L'Amour incompris

DF 2515 : Si je jouais du trombone - Un dur, un vrai, un tatoué

DF 2525 : Ma créole - Ernestito

DF 2526 : C'est comme ça à Calcutta - Je suis une petite nature

DF 2601 : Pourquoi tu me vexes, Victor ? - La Chanson du forçat

DF 2602 : T'aimer une demi journée - Politesse

DF 2616 : Félicie aussi

DF 2759 : Hector - Moi, je mâche du chewing-gum

DF 2830 : Je connais des baisers - J'aim' toutes les femmes

DF 2874 : Les Jours sans

DF 2905 : On m'appelle Simplet

DF 3129 : Un... deux... trois - Faut pas bouder Bouddha

DF 3138 : Je n'peux pas m'expliquer - Faut pas bouder Bouddha

DF 3139 : Faut pas bouder Bouddha ! - Un...deux...trois

DF 3162 : J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cococo cocococotte

DF 3163 : Je suis irrésistible - O mio amore

DF 3276 : "Ignace (face A)1

Decca

MB 8200 : Alors ils l'ont fait - C'est un dur

MB 8201 : Nono et Nana - Sur le bout de la banquette

8202 : La caissière du grand café - Elle a de la barbe

8203 : Mon cœur saigne pour toi - Irma la voyante

MB 20960 : Le Schpountz

MB 20755 : Extraordinaire - De bas en haut

MF 168 : Je suis marqué par le destin

MF 170 : Dans la brousse

36025 : Veillée mortuaire - Échangerais 5 pièces

36030 : Timidité

Fumière

Ah c'que t'es bath avec ton petit chapeau - Va pleurer dans ta cour

Rythme

C2 144 R : Si j'étais papillon - Oui mais quand on n'a pas le sou

C2 145 R : Adrien - Voulez-vous m'aimer...

45 tours (EP)

Odéon

MOE 2183 : Ignace : La Java des p'tits galons - Redis-le-me - Pour être ordonnance - Lequel des deux (avec M. Bizet) - La Mexicana (avec Andrex)

Decca

1955:

455.543 : Lettres de mon moulin : La Chèvre de monsieur Seguin

455.544 : Lettres de mon moulin : Le Curé de Cucugnan

455.572 : Monsieur Badin - La Lettre chargée

455.583 : Lettres de mon moulin : Les Vieux ;

455.585 : Jeux de mots, jeux de poètes

1956:

455.611 : Lettres de mon moulin : Les Trois Messes basses

455.617 : L'Innocent - Ma femme fait du judo

455.618 : Honoré de Marseille : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir, quel travail - Oh ! Honoré

1957:

455.622 : Fables de La Fontaine

455.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre

455.624 : Ce bon curé d'Aulan

455638 : Lettres de mon moulin : Le Secret de maître Cornille

1958:

455.617 : L' Innocent - Ma femme fait du judo

455.702 : Fernandel dit Robert Lamoureux : Éloge de la fatigue - Passé simple - Merci maman - Enfantillage

460.543 : La Chèvre de monsieur Seguin

460.544 : Le Curé de Cucugnan

460.572 : La Lettre chargée - Monsieur Badin

460.583 : Les Vieux

460.585 : Jeux de mots, jeux de poètes

460.611 : Les Trois messes basses

460.618 : C'est Noël - Tout ça c'est Marseille - Quel plaisir ! quel travail ! - Oh ! Honoré

460.622 : Fables de La Fontaine : Le Loup et l'Agneau - La Cigale et la Fourmi - Le Lièvre et la Tortue - Le Savetier et le Financier - Le Corbeau et le Renard - Le Loup et le Chien - Le Lion et le Moucheron

460.623 : D'après nature : La Route - La Rivière - Les Champignons - La Limace - Les Vers de terre - La Vache - La Chèvre

460.638 : Le Secret de maître Cornille

460.677 : L' Innocent - Ma femme fait du judo

1959:

460.699 : Lettres de mon moulin : Les Vieux (Les Étoiles ?)

460.706 : En vrac

460.721 : Noël en Provence : Noël - Crèche - Ma Provence et les santons - Ma Provence

1960:

460.725 : Gribiche

460.733 : L'Arlésienne

1961:

460.738 : Un bouquet de chansons : J'aurais voulu - Ma Gretchen de München - Ah ! le tango corse

460.748 : Fernandel chante pour les enfants : Les Petits Chatons - Le Petit Âne gris - Grenouillette - Frisepoulet

1962:

460.750 : Ne frotte pas, François - La Chanson du cabanon - Oh ! Ma quique - Entre donc, fada

1963:

460.753 : L' Accent provençal - Elle n' est pas jolie - La Saison des petits pois - Le Tango d'amour

460.755 : Tangos : Le Tango corse - C'est du gâteau - Le Tango d'amour - Je suis marqué par le destin

460.772 : Fais-moi des bleus - Les gens riaient - Partir pour revenir - Tango du bistouri

460.804 : Le Cul du berger - La Bouillabaisse - L'Accent - Aujourd'hui peut-être

1964:

460.858 : La Communion du village - Le Linot aveugle

460.886 : Je fais ma valise - Les Moustaches de Thomas - Moi z'et mon chien - C'est un dur

460.887 : Ce que j' ai - C'est du gâteau - Les gens riaient - Le Tango corse

1966:

460.982 : Il en est - Bagnoles, pépées, pépettes - Le Torero fatigué - Si je puis m' exprimer ainsi

460.983 : Quand il pleut à St-Tropez - Les Vieux Villages de Provence - Ma jolie cigale - Le Mistral

460.998 : Histoires provencales : Le Papé - La Liste

461.000 : Contes de Provence : Dans notre midi - Les Petits Métiers de Provence

1968:

461.154 : Palmarès de Fernandel : Les Moustaches de Thomas - Les gens riaient - Il en est - Si je puis m'exprimer ainsi

461.178 : L'Âne qui avait l'accent - La Fille de Monsieur Seguin - Pervenche

1969:

461.193 : Le Menteur - Le Retour - L'Anis

461.196 : Le Tango corse - La Bouillabaise - La Chanson du cabanon - Le Cul du berger

79.562 : Si tu touches à mon oiseau - Ah! si tu étais une femme!

33 tours

25 cm

Polydor

530.019 : Fernandel et Andrex : Au marché central - Les Deux Déménageurs - La Leçon d'histoire - La Lecture à la caserne - Olive et le Parisien - Les Deux Bègues - Chez le photographe

Decca

133.022 : Lettres de mon moulin (1) : Le Curé de Cucugnan - La Chèvre de monsieur Seguin

133.023 : Lettres de mon moulin (2) : Les Vieux - Les Trois Messes basses (2 pochettes)

133.045 : Le Petit Monde de don Camillo

163.144 : Le Retour de don Camillo

133.145 : Lettres de mon moulin (3) : Le Secret de maître Cornille - Les Étoiles

133.146 : Lettres de mon moulin (4) : L'Arlésienne - La Mule du pape

133.147 : Contes du lundi : La Dernière Classe - La Défense de Tarascon

133.506 : Honoré de Marseille : Honoré part à la pêche - On en fait une - Honoré maître tailleur - Le Tram de la mer - Les Petits Métiers - À la foire aux santons

133.516 : Contes et nouvelles de Provence (1) : Les Haricots de Pitalugue - Communion au village - Le Linot aveugle

133.517 : Contes et nouvelles de Provence (2): L'Âne de Nazaire - Pessègue et Tigassou - Mon ami Naz - La Clef de l'oncle

133.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire

133.522 : Un client sérieux - La Lettre chargée

133.523 : La Paix chez soi - Monsieur Badin

133.628 : Au soleil du midi (L'Accent)

133.713 : Lettres de mon moulin (5) : La Diligence de Beaucaire - Le Sous-préfet aux champs - L'Élixir du révérend père Gaucher

163.144 : Le Retour de don Camillo

163.749 : Le Médecin malgré lui

163.587 : Le Curé de Cucugnan - Ce bon curé d'Aulan

163.790 : Tartarin de Tarascon

133.834 : Les Chansons du comique-troupier : On r'vient - Ça que j'ai - Au fond du square - Ça fait plaisir - Suzon la blanchisseuse - Moi-z'et mon chien - Son parapluie - Avec l'ami Bidasse

133.835 : Les Monologues de Louis Bousquet : J'suis l'ordonnance - Ah! Mince alors - Eh, ben mon vieux - L'as-tu dit ou l'as-tu pas dit - Faut bien rire un peu - Il a des galons - Balaye la chambre - Y'a rien d'plus sérieux - Il a de l'argent - S'i'y avait pas les soldats

133.843 : Ce bon frère Boniface - Saint Antoine

133.844 : Ce bon curé d'Aulan

133.845 : Le Retour des cloches - Noël - L'Innocent - L'Hôpital - Les Danseurs de Jonquières - L'Accent

133.846 : Le Joueur

133.873 : Pierre et le Loup

35.500 : Réédition (?)

133.885 : Le Schpountz

133.912 : Fernandel dans son tour de chant : C'est du gâteau - Ma femme fait du judo - Le Papa de Pepa - L'Innocent - Je suis marqué par le destin - Félicie aussi - Le Beau Raccommodeur - Nono et Nana

133.927 : Histoires marseillaises

133.952 : Lettres de mon moulin : Nostalgie de caserne - En Camargue : Le Départ - La Cabane - Le Rouge et le Noir - Le Vaccares

133.954 : La Création du monde

133.958 : Cocagne

133.959 : Les Succès du comique-troupier (2) : J'suis content, content - Maintenant que j'suis soldat - Ma bouffarde - Elle boîte - Agathe - Si je pouvais en faire autant

133.978 : Quand un livreur : Le Bar du marché - Naïs

134.076 : Contes de Provence : Le Foin du père Antoine - Un trésor est caché dedans - Les Petites Vieilles - La fortune vient en dormant

Columbia

FP 1155 : Les Belles Années du music-hall : Un dur, un vrai, un tatoué - On m'appelle Simplet - La Fille du teinturier - Ne me dis plus « tu » - Barnabé - Elle a tout ça - Félicie aussi - Ignace

30 cm

Decca

133.144 : Le Retour de don Camillo

163.521 : Le gendarme est sans pitié - Lidoire

FMT 133522 : Un client sérieux - la Lettre chargée

163.522 : Un client sérieux - la Lettre chargée

163.749 : Le Médecin malgré lui

163.790 : Tartarin de Tarascon

163.885 : Le Schpountz

105.034 : Réédition

163.999 : Tartarin sur les Alpes

164.041 : Histoires méchantes de Pierre Doris

100.074 : Le Petit Monde de don Camillo

164.050 : Le Petit Monde de don Camillo

30514 : Réédition

40.195 : Ses chansons les plus célèbres

100.049/50 : Ignace (l'intégrale)

100.058 : Le Palmarès de Fernandel

100.076 : Le 2e Palmarès de Fernandel

100.086 : Les Succès du comique-troupier

164.112 : Réédition

100.090 : Le 3e Palmarès de Fernandel

110.007 : Ma Provence à moi

110.015 : 13 Sketchs hilarants

115.017-22 : Lettres de mon moulin (volumes 1 à 6)

100023/6 : Lettres de mon moulin

115.024 : Ignace

154 188 : L'Agnelet de la crèche

164 082 : Lettres de mon moulin

SSL 40211/16 : Lettres de mon moulin (coffret 6 disques)

40236/7 : Mam'zelle Nitouche

99050/52 : Les Disques d'or (coffret 3 disques)

40.218 : Interdit aux moins de 18 ans

Impact

6886 144 : La Caissière du Grand Café

Emi

178 15408/9 : Félicie aussi

Columbia

C 054 15284 : Du caf'conc' au music-hall

Véga / France Loisirs

340.004 : Fables de La Fontaine

Fontana

826 524 : La Berdouillette

115.051/52 : Fernandel, c'est moi

CMF

18/19 : La Fille du puisatier

Carrère

67.757 : Ignace (album 2 disques)

Livres-disques

Decca

EPI 80 : Ali Baba

EPI 82 : Aladin et la Lampe merveilleuse

Musique de films

Vogue EPL 7590 : Le Grand Chef

Bel Air 211 132 : La Cuisine au beurre (EP)

Bel Air 211 199 : Relaxe-toi, chérie (EP)

Columbia 1752 : La Bourse et la Vie (SP)

Compilations

Compact disc

Polygram 836 945 - 2 : Expression (1989) : La Caissière du Grand Café - La Java du soldat - La Fossette de Lisette - Comment qu'ça s'fait ? - Agathe - Idylle bretonne - Le Coq du régiment - Folâtrerie - Pour quelle raison - C'est beau la nature - Je suis l'homme qu'il vous faut - Tous les trois - La Berdouillette - J'étais bien servi - Elle disait non - Biniou et Cornemuse - Il a du piston - Si Marie voulait.

EMI 795738-2 : L'Accent du soleil (1990) : Ignace - Quelle famille - Redis-le-me - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Ne me dis plus « tu » - Le Schpountz - Barnabé - Un dur, un vrai, un tatoué - L'Amour incompris - C'est comme ça à Calcutta - Je me mens - Félicie aussi - Francine - On n'est jamais seul - Idylle à Bois-Le-Roi - Hector - Je connais des baisers - On m'appelle Simplet - Attente - Le Papa de Pépa - La Fille du teinturier - Elle a tout ça - J'ai mon cœur qui fait tic tac - Cocorico, cocoricotte - Je suis irrésistible - O mio amore - Je n'peux pas m'expliquer - Un...deux...trois - J'ai un beau chapeau - La Chèvre de monsieur Seguin - Le Curé de Cucugnan.

Orphée 302.615 WM 321 : Ciné-stars (1993) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Le Papa de Pépa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - Ignace.

Orphée 302.323 : L'Âge d'or de la chanson française (1994) : Félicie aussi - Un dur, un vrai, un tatoué - Ne me dis plus « tu » - Ernestito - Redis-le me - Octavie - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Je me mens - C'est la fête à tante Aurore - Je te veux - Maintenant je sais c'que c'est - C'est une voleuse d'âme - Amédée - Je suis une petite nature - Dites-lui mon amour - Le Papa de Pepa - Célestine - C'est dans la ma-ma - Ma créole - L'Amour incompris - Javanons - Quelle famille - J'aime toutes les femmes - C'est toujours comme ça - Pour être ordonnance - Quand on m'aime, ça m'émeut - C'est comme ça à Calcutta - Barnabé - T'aimer une demi-journée - Ignace.

Atlas CD REF : Inoubliable Fernandel (1995) : Félicie aussi - Ignace - Quelle famille - L'Amour incompris - Barnabé - Je suis une petite nature - Ernestito - Pourquoi tu me vexes, Victor ? - Un dur, un vrai, un tatoué - C'est toujours comme ça - Lequel des deux - Redis-le me - Si j'osais - C'est la fête à Tante Aurore - C'est une voleuse d'âme - Ne me dis plus « tu » - Maintenant, je sais ce que c'est - Quand ça me prend - C'est comme ça à Calcutta - Idylle à Bois-Le-Roi.

Disky FSI 646762 : Les Légendes d'or (2001) : Félicie aussi - Ignace - Hector - Un homme - Les Dégourdis - Je vais au zoo avec Zizi - À l'infirmerie - La Fille du teinturier - Quelle famille - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Idylle à Bois-Le-Roi - Francine - On n'est jamais seul - Je connais des baisers - L'Amour incompris.

 

Autres

Belgique (discographie

45 tours (E.P.)

26174 : Le Schpountz (avec Henri Vilbert)

27001 : La Chèvre de monsieur Seguin

27002 : Le Curé de Cucugnan

27003 : Les Vieux

27004 : Les Trois Messes basses

27005 : Le Secret de maître Cornille

27006 : Le Sous-préfet aux champs

27007 : Les Étoiles

27012 : Les Fables de La Fontaine

210028: Le Tango corse

210061: Les Moustaches de Thomas

113016: Ignace

Ressorties CD

RTR 222 : Collection rétro (1999) : Ignace - Redis-le me - Barnabé - Ne me dis plus tu - Je vais au zoo avec Zizi - Un homme - La Caissière du Grand Café - Hector - Un dur, un vrai, un tatoué - Félicie aussi - L'Amour incompris - Comment qu'ça s'fait ? - Les Dégourdis - C'est comme ça à Calcutta - Pour que vous m'eussiez dit « oui » - On m'appelle Simplet - Le Papa de Pepa - La Fille du teinturier - Anastasie, t'es pas chic avec moi - Elle a tout ça.

Cassettes audio

Radio France K 1633: Radioscopie (enregistrée le 19 mars 1969)

 

Biographie

  Fernandel
  Fernandel : Don Camillo
  Fernandel

 

  Filmographie de Fernandel

 

  Discographie de Fernandel

Dessin

  Fernandel : Dessin

 

  Fernandel : Gif dessinsagogo55

 

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Fernandel : Filmographie

Fernandel : Filmographie

 

Longs-métrages

1931 : Le Blanc et le Noir de Robert Florey : Le groom vierge

1931 : Bric à Brac et Compagnie : Fernand

1931 : On purge bébé de Jean Renoir : Le cousin Horace Truchet

1931 : Paris Béguin d'Augusto Genina : Ficelle, un petit truand

1931 : Cœur de lilas d'Anatole Litvak : Le garçon d'honneur

1931 : Le Rosier de Madame Husson de Bernard Deschamp : Isidore, le rosier

1932 : Pas de femmes de Mario Bonnard : Casimir

1932 : Un homme sans nom de Gustav Ucicky : Julot

1932 : Les Gaîtés de l'escadron de Maurice Tourneur : Le soldat Vanderague, le brimé

1932 : le Jugement de minuit (ou Le Vengeur) d'Alexandre Esway : Sam Hackitt

1933 : Le Coq du régiment de Maurice Cammage : Le soldat Médard

1933 : L'Ordonnance de Victor Tourjansky : Étienne

1933 : D'amour et d'eau fraîche de Félix Gandéra : Eloi, le chauffeur

1933 : La Garnison amoureuse de Max de Vaucorbeil : Le deuxième classe Frédéric

1933 : Adémaï aviateur de Jean Tarride : Méchelet, le camarade d'Adémaï

1933 : La Porteuse de pain de René Sti : Billenbuis, un boulanger

1934 : Une nuit de folies de Maurice Cammage : Fernand, le barman

1934 : Le Chéri de sa concierge de Giuseppe Guarino : Eugène Crochard

1934 : L'Hôtel du libre échange de Marc Allégret : Boulot, le garçon d'étage

1934 : Le Train de 8 heures 47 d'Henry Wulschleger : Le cavalier Croquebol

1934 : Angèle de Marcel Pagnol : Saturnin, le valet de ferme

1934 : Les Bleus de la marine de Maurice Cammage : Lafraise, un marin du "Victorieux"

1934 : Le Cavalier Lafleur de Pierre-Jean Ducis : Fernand Gaëtan Lafleur, le réserviste

1935 : Ferdinand le noceur de René Sti : Fernand Piat, préparateur en pharmacie

1935 : Jim la Houlette d'André Berthomieu : Jacques Moluchet, écrivain "nègre"

1935 : Les Gaietés de la finance (ou Bengali VII) de Jack Forrester : Le banquier Marivol - Le tailleur Lambinet

1936 : Un de la légion de Christian-Jaque : Fernand Esculape Siméon Espitalion

1937 : Josette de Christian-Jaque : Albert Durandal

1937 : François 1er (ou Les Amours de la Ferronnière) de Christian-Jaque : Honorin, régisseur de théâtre - Honorin des Meldeuses

1937 : Les Dégourdis de la 11e de Christian-Jaque : L'ordonnace Patard, le premier dégourdi

1937 : Ignace de Pierre Colombier : Ignace Boitaclou, jeune paysan incorporé

1937 : Un carnet de bal de Julien Duvivier : Fabien Coutissol, le coiffeur

1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier : Fernand, garçon de café

1937 : Regain (ou Arsule) de Marcel Pagnol : Urbain Gédémus, le rémouleur

1938 : Hercule (ou L'Incorruptible) d'Alexandre Esway : Hercule Maffre, pêcheur provençal, héritant d'un grand journal

1938 : Le Schpountz (ou La Fausse vocation) de Marcel Pagnol : Irénée Fabre, commis-épicier

1938 : Barnabé d'Alexander Esway : Barnabé, flûtiste occasionnel

1938 : Ernest le rebelle de Christian-Jaque : Ernest Pic, steward accordéoniste à bord d'un navire

1938 : Tricoche et Cacolet de Pierre Colombier : Tricoche, détective privé

1939 : Les Cinq Sous de Lavarède de Maurice Cammage : Armand Lavarède, le cousin de Mr Richard

1939 : Raphaël le tatoué (ou C'était moi) de Christian-Jaque : Modeste Manosque, veilleur de nuit alias "Raphaël"

1939 : Berlingot et Compagnie de Fernand Rivers : François, marchand de berlingots

1939 : Fric-Frac de Maurice Lehmann : Marcel, l'employé de la bijouterie

1939 : L'Héritier des Mondésir (ou C'est un mystère) d'Albert Valentin : Bien-Aimé, le facteur - Le baron de Mondésir et ses aïeux

 

1940 : Monsieur Hector (ou Le Nègre du Negresco) de Maurice Cammage : Hector, le valet de chambre

1940 : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol : Félipe Rambert, l'assistant de Pascal

1940 : La Nuit merveilleuse de Jean-Paul Paulin : Le berger

1941 : Un chapeau de paille d’Italie de Maurice Cammage : Fadinard, le jeune marié

1941 : L'Acrobate de Jean Boyer : Ernest Sauce, maître d'hôtel

1941 : Le Club des soupirants de Maurice Gleize : Antoine Valoisir, chasseur de papillons

1942 : Les Petits Riens de Raymond Leboursier : Mr Astier

1942 : Simplet de Fernandel: Simplet, le "fada" de Miéjour

1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer : Auguste, dit "Guste", pêcheur provençal

1942 : Ne le criez pas sur les toits de Jacques Daniel-Norman : Vincent Fleuret, préparateur du professeur Léonard

1943 : Une vie de chien (ou Médor) de Maurice Cammage : Gustave Bourdillon, professeur dans un institut

1943 : La Cavalcade des heures d'Yvan Noé : Antonin

1943 : Adrien de Fernandel: Adrien Moulinet, encaisseur à la banque Nortier

1945 : Le Mystère Saint-Val de René Le Hénaff : Désiré Henri Le Sec, détective

1945 : Naïs de Marcel Pagnol et Raymond Leboursier : Toine, l'ouvrier agricole bossu

1946 : Les Gueux au paradis de René Le Hénaff : Pons, un joyeux drille

1946 : L'Aventure de Cabassou de Gilles Grangier : Marius Cabassou, architecte

1946 : Pétrus de Marc Allégret : Pétrus, photographe

1946 : Cœur de coq (ou Affaires de cœur) de Maurice Cloche : Tulipe Barbaroux, ouvrier imprimeur

1948 : Parade du rire de Roger Verdier

1948 : Émile l'Africain de Robert Vernay : Émile Boulard, accessoiriste

1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : Martial Gonfaron, aboyeur à la salle des ventes de Cassis

1948 : L'Armoire volante de Carlo Rim : Alfred Puc, percepteur

1949 : L'Héroïque Monsieur Boniface de Maurice Labro : Mr Boniface, étalagiste

1949 : On demande un assassin de Ernst Neubach : Bob Laurent, le fils de famille

 

1950 : Casimir de Richard Pottier : Casimir, représentant en aspirateurs

1950 : Meurtres de Richard Pottier : Noël Annequin, paysan et mari d'Isabelle

1950 : Tu m'as sauvé la vie de Sacha Guitry : Fortuné Richard, clochard

1950 : Uniformes et grandes manœuvres de René Le Hénaff : Luc, portier du "Miramar"

1951 : Topaze de Marcel Pagnol : Albert Topaze, professeur à l'institution Muche

1951 : Boniface somnambule de Maurice Labro : Victor Boniface, détective dans un grand magasin

1951 : Je suis de la revue (Botta e riposta) de Mario Soldati : Fernand

1951 : Adhémar ou le jouet de la fatalité de Fernandel : Adhémar Pomme, ordonnateur de pompes funèbres, garde malade, souffleur...

1951 : L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara : Le moine

1951 : La Table-aux-crevés d'Henri Verneuil : Urbain Coindet, paysan et conseiller municipal

1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé

1952 : Coiffeur pour dames de Jean Boyer : Marius, dit "Mario", coiffeur pour dames

1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : Le docteur Charles Pellegrin

1953 : Le Boulanger de Valorgue d'Henri Verneuil : Félicien Hébrard, boulanger

1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : Don Camillo, le curé

1953 : Carnaval (ou Dardamelle) d'Henri Verneuil : Dardamelle, l'architecte

1953 : L'Ennemi public numéro un d'Henri Verneuil : Joé Calvet, l'américain myope

1954 : Mam'zelle Nitouche (Santarellina) d'Yves Allégret : Célestin Floridor, professeur de musique

1954 : Le Mouton à cinq pattes d'Henri Verneuil : Édouard Saint-Forget, le père - Alain, le fils esthéticien - Désiré, le fils laveur de vitres - Étienne, le fils loup de mer - Bernard, le fils journaliste - Charles, le fils curé

1954 : Ali Baba et les quarante voleurs de Jacques Becker : Ali Baba, le serviteur de Cassim

1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier : Fernand "Noël" Sarrazin, patron nougatier

1955 : La Grande Bagarre de don Camillo de Carmine Gallone : Don Camillo, le curé

1956 : Le Couturier de ces dames de Jean Boyer : Fernand Vignard, couturier pour dames

1956 : Don Juan (El amor de Don Juan) de John Berry : Sganarelle, le valet de Don Juan

1956 : Honoré de Marseille de Maurice Regamey : Protis, le guerrier grec, Honorius, le romain et Honoré

1957 : Sous le ciel de Provence de Mario Soldati : Paul Verdier, représentant en chocolat

1957 : L'Homme à l'imperméable de Julien Duvivier : Albert Constantin, clarinettiste

1957 : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (Around the World in Eighty Days) de Michael Anderson : Le cocher de fiacre à Paris

1957 : Sénéchal le magnifique de Jean Boyer : Sénéchal, comédien d'une troupe théâtrale

1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Baptistin Lachoux, dit "Tistin", chômeur

1958 : À Paris tous les deux (Paris Holiday) de Gerd Oswald : Fernydel, l'artiste français

1958 : La loi, c'est la loi de Christian-Jaque : Ferdinand Pastorelli, douanier français

1958 : La Vie à deux de Clément Duhour : Marcel Caboufigue, mari de Marguerite

1958 : Les Vignes du seigneur de Jean Boyer : Henri Levrier, l'ami de la famille

1959 : Le Confident de ces dames de Jean Boyer : Guiliano Goberti, vétérinaire

1959 : Le Grand Chef d'Henri Verneuil : Antoine Venturen, employé d'une station-service

1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : Charles Bailly, prisonnier de guerre

Années 1960 et 70

1960 : Crésus de Jean Giono : Jules, le berger de Provence

1960 : Le Caïd de Bernard Borderie : Justin Migonet, professeur de philosophie

1961 : Cocagne de Maurice Cloche : Marc- Antoine, chauffeur de benne de nettoiement

1961 : Dynamite Jack de Jean Bastia : Antoine Espérendieu, collecteur d'impôts - Dynamite Jack, le bandit

1961 : Don Camillo Monseigneur de Carmine Gallone : Don Camillo, prêtre

1961 : Le Jugement dernier (Il giudizio universale) de Vittorio De Sica : Le veuf

1962 : L'assassin est dans l'annuaire de Léo Joannon : Albert Rimoldi, timide employé de banque

1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier : L'homme qui se prend pour Dieu

1963 : En avant la musique de Georges Bianchi : Attilio Capellaro, aubergiste

1963 : Le Voyage à Biarritz de Gilles Grangier : Guillaume Dodut, chef de gare de Puget-sur-Var

1963 : Blague dans le coin de Maurice Labro : Jeff Burlington, le comique

1963 : Le Bon roi Dagobert de Pierre Chevalier : M. Pelletan et le roi Dagobert

1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier : Fernand Jouvin, prisonnier de guerre

1964 : Relaxe-toi chérie de Jean Boyer : François Faustin

1964 : L'Âge ingrat de Gilles Grangier : Adolphe Lartigue, le père d'Antoine

1965 : Don Camillo en Russie de Luigi Comencini : Don Camillo, prêtre

1966 : La Bourse et la Vie de Jean-Pierre Mocky : Charles Migue, un collègue de Pelepan

1966 : Le Voyage du père de Denys de La Patellière : Monsieur Quantin, fermier Jurassien

1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier : Armand Favrot, alias "Monsieur Jo", contrebandier

1970 : Heureux qui comme Ulysse d'Henri Colpi : Antonin, modeste garçon de ferme

1970 : Don Camillo et ses contestataires de Christian-Jaque : Don Camillo, prêtre - (Film inachevé)

À noter

Huit de ses films ont été colorisés (soit pour la télévision, soit pour des sorties VHS) : Les Rois du sport (1937), L'Auberge rouge (1951), Le Boulanger de Valorgue (1952), Le Couturier de ces dames (1956), Sénéchal le magnifique (1957), Le Grand Chef (1959), La Vache et le Prisonnier (1959) qui fût le premier film français traité par procédé électronique et La Cuisine au beurre (1963).

À noter également que Mam'zelle Nitouche (1954), Ali Baba et les Quarante voleurs (1954), Don Juan (1956), Sous le ciel de Provence (1957), Honoré de Marseille (1956), Le tour du monde en 80 jours (1957), A Paris tous les deux (1958), Dynamite Jack (1961), La Bourse et la vie (1966), Le Voyage du père (1966), L'Homme à la Buick (1968) et Heureux qui comme Ulysse (1970) ont été tournés directement en couleur (Eastmancolor où Technicolor).

Courts-métrages

1930 : La Meilleure Bobonne (ou Les 4 Jambes) de Marc Allégret et Claude Heymann : Lucien Pivoine

1930 : J'ai quelque chose à vous dire de Marc Allégret : Pierre Deneige, l'amant

1931 : Attaque nocturne de Marc Allégret et Jean de Marguenat : Le commissaire

1931 : La Fine Combine d'André Chotin : Joseph, le valet de chambre

1931 : Bric-a-brac et compagnie d'André Chotin : Fernand

1931 : Vive la classe (ou Les gaietés de l'escouade) de Maurice Cammage : Moussin

1931 : Pas un mot à ma femme d'André Chotin : Jules

1931 : Une brune piquante (ou La femme à barbe) de Serge de Poligny

1932 : Quand tu nous tiens, amour de Maurice Cammage

1932 : La Terreur de la Pampa de Maurice Cammage : Bill Forster, plongeur à Hollywood

1932 : Ordonnance malgré lui de Maurice Cammage : Alfred Leneveux, chauffeur du colonel

1932 : Un beau jour de noces de Maurice Cammage : Gustave Dupied, le marié

1932 : Comme une carpe (ou Le muet de Marseille) de Claude Heymann : Chatelard, le mari volage

1932 : Par habitude de Maurice Cammage : Valentin Bourgeasse, l'homme qui fait vœu d'ivresse

1932 : Restez dîner (ou Maruche) de Robert Péguy : Maruche, un ami de Blondel

1932 : La Claque de Robert Péguy

1932 : Cunégonde - Chanson filmée

1932 : Elle disait non - Chanson filmée

1933 : Ça colle de Christian-Jaque

1933 : Lidoire de Maurice Tourneur : Le cavalier Lidoire

1933: La Veine d'Anatole (ou Le Gros Lot) de Maurice Cammage

1943 : Guignol, marionnette de France de Maurice Cammage - Commentaire et présentation uniquement

1946 : Comédiens ambulants de Jean Canolle

1947 : 20 minutes de Fou Rire (ou Vedettes et ritournelles) de Antoine Toé - Chansons filmées : "Irma la Voyante", "La Caissière du grand café", "Elle a de la barbe" et "Attente"

1947 : Irma la voyante de Antoine Toé : La voyante et un client

1947 : Escale au soleil d'Henri Verneuil : Le guide qui présente et commente le film

1950 : La Nuit des étoiles de Louis Fehr-Lutz - Participation au bal des petits lits blancs de Monte-Carlo

1950 : La Chèvre de Monsieur Seguin de Francis Gir - Commentaire du film

1956 : L'Art d'être papa (ou Le téléphone) de Maurice Regamey

1962 : Visages de Paris de Dominique Nohain

1969 : Tel est Franck de Jean-Paul Sassy (26 min) - Contient une chanson en duo avec son fils, sur l'amour

Publicités

Fernandel tourna également quelques publicités cinématographiques :

En 1938 pour le tabac de Virginie Week-end (2 minutes)

En 1945 pour vanter le cinéma dans le cadre d'une tombola (1 minute)

En 1965 avec Le discours au gâteau d'anniversaire pour l'apéritif Dubonnet (30 secondes)

Il participa aussi à un documentaire sur la publicité de 600 mètres "Nul bien sans peine" réalisé par Robert Lefèvre à la gloire de Paul Ricard, où il raconte la saga du père des alcools sur un commentaire de Jean Desailly, avec Mireille Darc.

Télévision

1966 : Paris ist eine Reise wert, téléfilm de Paul Martin : Un détective

1967 : L'Amateur ou S.O.S. Fernand série télévisée en 7 épisodes de 26 min : Fernand

Le Somnambule de Jean-Pierre Decourt

La Valise de Jean-Pierre Decourt

Le Sculpteur de Maurice Delbez

La Cleptomane de Louis Grospierre

Le Coup de fil de Jacques Pinoteau

La Princesse russe de Maurice Delbez

La Vicomtesse de Quentin Lawrence

1968 : Una Tranquilla Villeggiatura série TV de 7 épisodes réalisée par Camillo Mastrocinque pour la RAI

L'habit (Il frac)

L'hypnotiseur (A me gli occhi)

Le masseur (La bomba)

Simple coicidence

Terreur au château (Terrore al castello)

Nuit de noce (La notte di noze)

Une tranquille villégiature (Una tranquilla villegiatura)

1969 : Freddy, pièce de Robert Thomas réalisée pour la télévision par Igor Barrère et Alexandre Tarta : Freddy, le clown

Hommages

De 1975 à 1999, l'imitateur André Aubert devint le petit curé de campagne provençal Don Patillo dans les publicités télévisées pour les pâtes Panzani, et écrira même un livre à leur sujet en 1997 (Le Cherche midi).

À partir de 2007, des extraits en noir et blanc d'Honoré de Marseille servent à promouvoir l'huile d'olive Pugetdans des publicités à la télévision.

 

Liens externes                                                  
   
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Fernandel

Fernandel

 

 

Décès

Fernandel est atteint d'un cancer généralisé, mais les médecins et sa famille lui cachent la gravité de son état, on lui fait croire qu'il est atteint d'une pleurésie qu'il aurait attrapée lors du tournage de Don Camillo et ses Contestataires. Le 26 février 1971, épuisé par la maladie, il meurt dans son somptueux appartement tout en marbre au 44 de l'avenue Foch à Paris. Il est inhumé au cimetière de Passy (1re division)

Il était aussi propriétaire d'une villa à Carry-le-Rouet et d'une vaste demeure à Marseille, « Les Mille Roses » sur l'avenue des Trois-Lucs, avec un parc de cinq hectares

Vie privée

Fernandel avait deux frères, Auguste-Marcel, son aîné de 6 ans (avec lequel il se produira un temps sous les noms de Marcel et Fernand Sined), et Francis dit Fransined plus jeune que lui de 11 ans, ainsi qu'une sœur.

Le 4 avril 1925, à 22 ans, il épouse Henriette-Félicie Manse (1902-1984), la sœur de son ami, le parolier Jean Manse. Ils auront trois enfants : Josette en 1926, Janine en 1930 et Franck en 1935.

C'est à la mère d'Henriette qu'est attribuée l'origine de son pseudonyme « Fernandel », voyant le jeune Fernand si empressé auprès de sa fille, le voyant arriver dans la rue depuis sa fenêtre, elle dit fort, tient voilà : « le Fernand d'elle... », la phrase fait mouche, elle est adoptée par le comédien pour en faire son nom de scène2. Il est aussi probable que Fernandel vienne du provençal, qui signifie « petit Fernand ».

Il effectue son service militaire un mois après son mariage. Affecté au 93e régiment d'artillerie de montagne de Grenoble, il est libéré le 29 avril 1926.

Les journaux à sensation, friands de scandales autour des célébrités, n'en ont jamais débusqué dans la vie privée de Fernandel. À tel point que l'un d'entre eux titre un jour, dans un geste d'autodérision, « La femme cachée de Fernandel », ladite femme étant la sienne que jamais il ne mettait en avant. Dans une de ses dernières interviews, Jean Gabin témoigne de la moralité et de la fidélité de Fernandel dans tous les domaines, tant en amitié qu'en affaires

 

Gabin et Fernandel

Devant gérer les revenus de plus en plus importants liés à leur succès, Gabin et Fernandel cherchent à mettre leurs économies à l'abri de l'inflation. Fernandel choisit l'immobilier. Gabin achètera des terrains en lui disant : « Les immeubles, ça s'écroule. La terre, ça reste. »

Liés par l'amitié et une grande estime, dont ils témoigneront tout au cours de leurs vie, ils avaient entretemps, créé leur société de production cinématographique commune, la Gafer, au nom formé par les premières syllabes de leurs noms de scène. « Nous avons bien fait de ne pas prendre celles de nos patronymes », expliquera Fernandel : Gabin se nomme en effet Moncorgé et Fernandel Contandin. (cela aurait fait Moncon)

 

 

Filmographie de Fernandel

 

Avec Louis de Funès, Bourvil et Jean Gabin, Fernandel fait partie des acteurs français ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs dans les salles : environ 202 millions entre 1945 et 1970.

Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :

1952 : Le Petit Monde de don Camillo de Julien Duvivier : 12,79 millions d'entrées

1959 : La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil : 8,84 millions d'entrées

1953 : Le Retour de don Camillo de Julien Duvivier : 7,42 millions d'entrées

1963 : La Cuisine au beurre de Gilles Grangier avec Bourvil : 6,39 millions d'entrées

 

Discographie de Fernandel

 

Distinctions

1914 : Second au concours Comœdia de la chanson organisé au théâtre du Châtelet de Marseille (devenu Capitole) derrière un certain Larquet, mais lui permettant néanmoins de débuter au cabaret du Palais de cristal

1949 : Grand prix du rire pour On demande un assassin

1952 : Ruban d'argent du meilleur acteur étranger dans un film italien décerné par le syndicat des critiques cinématographiques italiens

1952 : Victoire du meilleur acteur pour Le Petit Monde de don Camillo

1953 : chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur (introduit par Marcel Pagnol)

1953 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin

1954 : médaille de l'acteur le plus populaire en Belgique (puis 9 Oscars de la popularité en Belgique wallonne)

1954 : Léopard d'or au Festival de Locarno 1954 grâce à ses six rôles dans Le Mouton à cinq pattes

1957 : citoyen d'honneur de la ville de Cassino (Italie)

1960 : chevalier dans l'ordre des Arts et des Lettres

1960 : Oscar européen de la popularité

1964 : prix Georges-Courteline de l'humour remis par son colauréat Bourvil

1964 : prix Orange de l'acteur le plus coopératif de l'année par la presse

1964 : Orphée d'or du disque lyrique pour Mam'zelle Nitouche

1967 (7 décembre) : Invité du général de Gaulle au palais de l'Élysée pour une réception officielle en compagnie d'autres artistes français.

1968 : Intronisation au Grand Conseil des vins de Bordeaux

1968 : Grand prix de l'Académie du disque pour Lettres de mon moulin

1970 : prix remis lors de la Nuit du cinéma par Claude Dauphin

 

Citations

Fernandel : « Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »

Fernandel à propos de son personnage de don Camillo : « Si je l'ai aimé ? Pensez donc ! J'avais Dieu comme partenaire. »

Marcel Pagnol à propos de Fernandel : « Il possède le don de faire rire des êtres qui ont tant de raisons de pleurer. »

Sacha Guitry : « Moi on m'admire, vous on vous aime. »

 

 

Biographie

  Fernandel
  Fernandel : Don Camillo
  Fernandel

 

  Filmographie de Fernandel

 

  Discographie de Fernandel

Dessin

  Fernandel : Dessin

 

  Fernandel : Gif dessinsagogo55

 

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Fernandel : Don Camillo

Publié à 13:09 par dessinsagogo55 Tags : sommaire film gif centerblog sur bonne merci vie place monde société fille enfant
Fernandel : Don Camillo

 

Dans les années 1950, il retrouve le succès avec des films comme L'Auberge rouge (1951) de Claude Autant-Lara, Ali Baba et les Quarante voleurs (1954) de Jacques Becker ainsi que La Vache et le Prisonnier d'Henri Verneuil tourné en 1959. Il réalise également Adhémar ou le Jouet de la fatalité, en 1951, sur un scénario de Sacha Guitry.

Mais c'est surtout la série des Don Camillo, tirés de l'œuvre de Giovannino Guareschi, dans laquelle le curé et le maire communiste d'un petit village italien se livrent à une lutte d'influence feutrée ; son interprétation bon enfant, en ces temps de guerre froide, assoit sa notoriété. Il tournera six films en tout : Le Petit Monde de don Camillo (1951) et Le Retour de don Camillo (1953) de Julien Duvivier, puis, avec d'autres réalisateurs, La Grande Bagarre de don Camillo (1955), Don Camillo Monseigneur (1961), Don Camillo en Russie (1965) et enfin Don Camillo et les Contestataires, qu'il commence en 1970 mais ne pourra achever en raison du cancer qui va l'emporter l'année suivante.

Le 18 janvier 1953 alors qu'il est à Rome avec sa fille Janine, Pie XII le pria de venir au Vatican afin, dit-il, de faire la connaissance « du plus connu des prêtres de la chrétienté après le pape ». Un Fernandel de cire en Don Camillo dans son confessionnal est également installé en bonne place au musée Grévin.

Lors d'une entrevue où un journaliste lui demandait de parler du succès du Ier Don Camillo, il répond : D'abord, la surprise. La surprise du personnage qu'on ne connaissait pas. La surprise de parler à Jésus. Ca fait un drôle de partenaire vous savez. J'en ai eu dans ma vie mais, je dois dire que celui là, je lève ma barrette. .

Fernandel remporte parallèlement un grand succès public et critique avec les enregistrements discographiques des Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet (La Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses, Le Secret de maître Cornille, etc.).

En 1963, il fonde avec Jean Gabin la société de production Gafer d'après la première syllabe de leurs pseudonymes qui sont Gabin et Fernandel. Car s'ils avaient utilisé la première syllabe de leur vrai nom, cela aurait donné « Moncon » (contraction de Moncorgé et Contandin). Leur première production sera L'Âge ingrat de Gilles Grangier.

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Fernandel

Fernandel

 

Fernand Contandin, dit Fernandel, né le 8 mai 1903 à Marseille et mort le 26 février 1971 à Paris, est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français.

Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français, véritable champion du box-office qui attira plus de 200 millions de spectateurs dans les salles. Comique emblématique du cinéma d'avant et d'après la Seconde Guerre mondiale, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également tenu avec succès des rôles plus dramatiques, notamment dans Naïs, La Vache et le Prisonnier ou Heureux qui comme Ulysse.

Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à ce qu'il appelait lui-même sa « gueule de cheval », il acquit une popularité internationale telle que le général de Gaulle déclara lors d'une réception à l'Élysée le 3 mai 1968 qu'il était « le seul Français qui soit plus célèbre que [lui] dans le monde ». Son succès ne s'est jamais démenti et Marcel Pagnol dira de lui après son décès : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin. »

Fernand Joseph Désiré Contandin naît au 72 boulevard Chave à Marseille. La famille était piémontaise, originaire de la vallée occitane du Cluson (val Chisone), en province de Turin et plus précisement de Méan/Meano de La Pérouse/Perosa Argentina, où il existe encore la maison des ancêtres. La forme Contandin (au lieu de Coutandin) dérive d'une erreur de transcription des actes italiens.

Son père, Denis Contandin, comptable mais aussi comédien-chanteur amateur sous le pseudonyme de Sined (anacyclique de Denis), et sa mère Désirée Bédouin, également comédienne amatrice, remarquent rapidement le talent du jeune Fernand. Il suit souvent son père lors des concerts que celui-ci organise dans la banlieue marseillaise en montant sur les planches. C'est à l'occasion d'un concours pour petits chanteurs amateurs qu'il remporte le premier prix des enfants prodiges au théâtre du Châtelet de Marseille.

Andrex, comédien et ami d'enfance de l'acteur, raconte à son propos : « Fernandel, qui n'était alors que Fernand, fit ses débuts sur scène à cinq ans en chantant le répertoire militaire avec son frère aîné, Marcel. Il connut son premier grand succès à sept ans, un jour où, paralysé par le trac, il fut propulsé sur la scène par son père, d'un grand coup de pied au derrière ; il s'empêtra dans son sabre et s'étala de tout son long sous une tempête de rires. Par la suite, il n'eut plus jamais peur d'affronter le public. »

À sa sortie de l'école, le père de Fernand le place à la Société marseillaise de crédit dont il ne tarde pas à se faire congédier. Il enchaîne ensuite les petits boulots alimentaires, portant des sacs de sucre dans le port de Marseille (il tient une semaine), travaillant dans une maison de tissus et dans de nombreuses banques, mais sa passion du tour de chant et son caractère volage ne lui permettent pas de s'assurer une situation stable. En parallèle, il court le cachet comme comique troupier dans des noces et banquets, et sur les scènes des cafés-concerts de Marseille (Les Variétés, Le Palais de cristal, Le Grand Casino, L'Eldorado, l'Alcazar), où son profil chevalin marque les esprits.

Il accepte finalement une place à la savonnerie du Fer-à-cheval qu'il conserve jusqu'à son incorporation sous les drapeaux au printemps 1925. D'abord à Grenoble, puis à Marseille, son service militaire se déroule plutôt bien puisqu'il rentre tous les soirs chez lui. Trois semaines avant qu'il ne soit libéré de ses obligations militaires et retrouve une place à la savonnerie, Andre Valette, le directeur de l'Odéon de Marseille, l'engage pour remplacer la vedette parisienne, conspuée par le public, en première partie de programme. Le numéro de tourlourou de Fernandel, constitué des succès de Gaston Ouvrard (C'est beau la nature), de Polin (Elle a de la barbe) et quelques créations, dont deux chansons écrites par Jean Manse, est un triomphe. Jean Faraud, le directeur français de la Paramountdont fait partie l'établissement et qui assiste par hasard à la prestation, lui propose immédiatement un contrat pour se produire dans l'ensemble du circuit. Fernandel débute le 19 mars 1927 à Bordeaux où il retrouve Andrex, puis enchaîne avec Toulouse, Nice et Lille.

Le 7 décembre 1928, Fernandel fait ses débuts parisiens à Bobino. Grâce au succès de cette prestation, il signe dès le lendemain un contrat de dix-neuf semaines pour le circuit des cinémas Pathé de Paris. Malgré la mort de son père le 10 mars 1930, il poursuit sa carrière de comique à Paris. Installé dans un modeste hôtel de Ménilmontant, rue Pelleport, il débute à l'Élysée-Palace de Vichy. C'est là que Henri Varna, directeur du Casino de Paris et du théâtre Mogador, le voit et l'engage pour la revue d'hiver du concert Mayol, revue déshabillée à succès de l'époque réunissant le tout-Paris. Fernandel et Parisys y interprètent trois sketches intercalés entre les numéros de danse. Il débute également au théâtre de l'Empire engagé par Emile Audiffred. Le réalisateur Marc Allégret qui y assiste est frappé par le physique et la personnalité de Fernandel ; il décide de lui offrir le rôle d'un groom dans le film qu'il prépare avec Sacha Guitry Le Blanc et le Noir. 1930 marque ainsi le début de la carrière cinématographique de Fernandel.

L'année suivante en 1931 Jean Renoir lui offre un rôle plus important aux côtés de Michel Simon dans On purge bébé, d'après la pièce de Georges Feydeau. Cette même année, il « croise » Jean Gabin dans le film Cœur de lilas. L'année suivante, il est pour la première fois la vedette d'un film Le Rosier de madame Husson de Dominique Bernard-Deschamps d'après une nouvelle de Guy de Maupassant.

Par la suite, ses triomphes se multiplient, notamment dans les films de Christian-Jaque, Un de la légion et François Ier (1936), Josette (1937, film dans lequel joue aussi sa fille aînée), mais surtout dans ceux de Marcel Pagnol : Angèle (1934), Regain (1937), Le Schpountz (1938), La Fille du puisatier (1940), et plus tard Topaze (1951).

Les succès cinématographiques n'empêchent pas Fernandel de continuer une carrière de chanteur. Il joue dans de nombreuses comédies musicales, le plus souvent transformées en film par la suite. Certaines des chansons qu'il y interprète deviennent des « tubes », comme Ignace, Simplet ou Félicie aussi.

En 1937, il publie ses premiers mémoires en feuilletons qui s'arrachent dans le quotidien communiste Ce soir.

En 1939, à la suite de la déclaration de guerre à l'Allemagne, il est mobilisé pendant la « drôle de guerre », à Marseille, dans le 15e escadron du train des équipages, caserne d'Aurelles. Il est cantonné dans la cour de son unité après avoir provoqué une émeute lors de son premier tour de garde, puis démobilisé à la suite de la signature de l'armistice. Il a, entretemps, enregistré Francine (1939), chanson très engagée contre la propagande allemande.

Ses films des années 1940, dont deux qu'il réalise lui-même : Simplet (1942) et Adrien (1943), sont essentiellement tournés pour la Continental-Films, société de production financée par des capitaux allemands. Comme nombre d'artistes sous l'Occupation, il continue en effet de chanter dans des cabarets, se fait applaudir au Grand Casino et au Casino des Fleurs de Vichy et fredonne sur Radio Paris

 

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