Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
21.06.2024
18121 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (1201)
· A à Z : Sommaire (349)
· Mannequin de charme (955)
· Musique (400)
· Calendrier : Événements (333)
· Monde : France (2683)
· Département : Meuse (285)
· Cinéma : Films à classer (154)
· Calendrier : Naissances (246)
· Mannequin (211)
air amour annonce art article background base belle blogs center centerblog centre
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
i love songs from this artist
Par Anonyme, le 31.05.2024
tu étais tellement bonne avec ta poitrine
Par Richard , le 27.05.2024
quelle belle femme!une vraie japonaise
elle est trop belle!beau visage
elle serai encore plus belle avec le
Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
Jackie Sardou (née Jacqueline Labbé, et dite Jackie Rollin) est une actrice française née le 7 avril 1919 à Paris et morte le 2 avril 1998 dans la même ville.
Épouse de l'acteur et chanteur Fernand Sardou, mère du chanteur Michel Sardou, grand-mère du romancier Romain Sardou et du comédien Davy Sardou, fille d'Andrée Labbé, dite Bagatelle, une danseuse du Concert Mayol et du quadrille du french-cancan au Moulin rouge (père inconnu).
Comédienne truculente, Jackie Sardou était un des piliers du théâtre de boulevard : en fin de carrière, elle triomphe au théâtre dans Le Clan des veuves (1990-1993) de Ginette Garcin, avec cette dernière et Mony Dalmès.
Jacqueline Labbé naît dans une mansarde du « Concert Mayol » où sa mère Andrée Labbé, dite Bagatelle, est danseuse. À 16 ans, elle remplace au pied levé une danseuse dans un spectacle auquel participent sa mère et Fernand Sardou qu’elle épouse (7 juillet 1945). Elle donne naissance à Michel Sardou (26 janvier 1947). Elle occupe la scène du « Liberty’s » pendant dix ans. Sous le nom de Jackie Rollin, elle enchaîne les cabarets, les opérettes et les tournages… la course aux cachets : elle tourne son premier film en 1948 avec Fernand Sardou intitulé Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman avec Fernandel en vedette.
Jusqu'en 1976, date de la mort de son mari Fernand Sardou, Jackie Sardou mène sa carrière théâtrale et cinématographique sous le nom de Jackie Rollin dans une succession de rôles de bonne femme gouailleuse avec une coupure dans les années 1960 pendant laquelle les époux Sardou dirigent un cabaret « Chez Fernand Sardou » (1960-1965).
En dépit de sa verve et de sa gouaille, Jackie Sardou n'obtiendra pas de grands rôles au cinéma. Néanmoins, citons : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! (1983) de Michel Gérard, Par où t'es rentré, on t'a pas vu sortir (1983) de Philippe Clair avec Jerry Lewis, La Vengeance du serpent à plumes (1984) de Gérard Oury avec Coluche ou Les Mamies (1992) d'Annick Lanoë avec Danielle Darrieux, Sophie Desmarets, Odette Laure et Paulette Dubost.
Jackie Sardou s'est réellement révélée au cours des vingt dernières années de sa vie, en décidant d'abandonner son nom de scène Jackie Rollin pour son nom marital Sardou, beaucoup plus vendeur, depuis la notoriété de son fils. On la voit souvent à la télévision (dans des jeux comme L'Académie des neuf avec Jean-Pierre Foucault) et à la radio (Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL et Allô Jackie sur RMC), ainsi que dans des pièces de théâtre populaires et comiques telles que Chéri de Colette avec Michèle Morgan en 1982, N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry avec Pierre Dux et Micheline Boudet en 1985 ou Le Clan des veuves en 1992.
Avec Michel Sardou elle enregistre, en 1982, un sketch (écrit par Jean-Loup Dabadie), intitulé Maman et plus tard, en 1993, un album de chansons populaires sous le titre Jackie Sardou chante…. Dans les années 1970 et 1980, elle tourne dans des publicités TV pour une marque de nettoyant de prothèses dentaires, qui contribuent à lui assurer une notoriété nationale. En 1987, elle publie chez Plon un livre de souvenirs, Hé, la petite grosse !.
Sa dépouille a été initialement inhumée dans le cimetière de Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, aux côtés de son mari. Les deux époux ont été ensuite transférés à Cannes au cimetière du Grand Jas en 2006.
Filmographie
1948 : Si ça peut vous faire plaisir de Jacques Daniel-Norman : la fleuriste
1949 : Hôtel des Artistes de Jean Perdrix - cm -
1951 : Cœur-sur-Mer de Jacques Daniel-Norman : l'amie de l'Anglais
1950 : Meurtres ? de Richard Pottier : une amie
1950 : La Rue sans loi de Marcel Gibaud : la nourrice
1951 : Nous irons à Monte-Carlo de Jean Boyer : Mme Bindinelli
1952 : Le Fruit défendu d'Henri Verneuil : la mère du garçon radiographié
1953 : L'Appel du destin de Georges Lacombe
1953 : Leur dernière nuit de Georges Lacombe : la concierge
1955 : Le Printemps, l'automne et l'amour de Gilles Grangier
1955 : Les deux font la paire d'André Berthomieu : la théâtreuse
1955 : M'sieur la Caille d'André Pergament : Mme Riri
1955 : Je suis un sentimental de John Berry : la concierge
1955 : Quatre jours à Paris d'André Berthomieu : Zénaïde
1956 : Le Septième Commandement de Raymond Bernard : Hélène, la domestique de Gilbert
1956 : Les carottes sont cuites de Robert Vernay
1957 : Fric-frac en dentelles de Guillaume Radot : Mme Espinasse
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay : une passagère du premier car
1957 : Le Chômeur de Clochemerle de Jean Boyer : Mme Donjazu
1958 : Le Désert de Pigalle de Léo Joannon : Mme Cazeneuve
1958 : Prisons de femmes de Maurice Cloche : Lulu
1958 : Suivez-moi jeune homme de Guy Lefranc
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay
1960 : La Vérité d'Henri-Georges Clouzot : Mme Gaubert, la concierge
1960 : Les Jeux de l'amour de Philippe de Broca : Myriam Hanesco
1963 : La Bande à Bobo de Tony Saytor
1966 : Sale temps pour les mouches de Guy Lefranc
1968 : Béru et ces dames de Guy Lefranc : Berthe Bérurier
1968 : Ho ! de Robert Enrico : Mado
1968 : La Prisonnière d'Henri-Georges Clouzot : la caissière
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus : Mme Charlus
1975 : On a retrouvé la septième compagnie de Robert Lamoureux : Mme Crouzy dite « la mère Crouzy »
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux : la femme d'Amédée
1975 : Les Grands Moyens d'Hubert Cornfield : Josette Conségude
1976 : Le Chasseur de chez Maxim's de Claude Vital : Marguerite
1977 : Freddy de Robert Thomas : la femme à barbe
1979 : New génération de Jean-Pierre Lowf Legoff: la matrone
1982 : T'es folle ou quoi ? de Michel Gérard : la gardienne
1982 : On s'en fout, nous on s'aime de Michel Gérard : la prof chahutée
1982 : On n'est pas sorti de l'auberge de Max Pécas : Mme Sulpice
1983 : Adam et Ève de Jean Luret : Esther Ben Hoït
1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : l'ouvreuse
1984 : Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir de Philippe Clair : Pauline, la mère de clovis
1984 : La Vengeance du serpent à plumes de Gérard Oury : la concierge
1985 : Gros dégueulasse de Bruno Zincone : la marchande de fraises
1986 : La Vie dissolue de Gérard Floque de Georges Lautner : la quémandeuse d'autographes
1988 : Les Gauloises blondes de Jean Jabely : la sorcière
1992 : Les Mamies d'Annick Lanoë : Zézette
1958 : Les Cinq Dernières Minutes, épisode Les Cheveux en quatre de Claude Loursais : Mme Riotord
1962 : L'inspecteur Leclerc enquête, épisode Ma femme est folle de Claude Barma : la concierge
1965 : Les Saintes chéries de Jacques Becker (série) : Mme Martin, l'amie casse-pieds
1974 : Les Faucheurs de marguerites de Marcel Camus (série) : Mme Perrier
1974 : Malaventure de Joseph Drimal (série) : Marguerite
1977 : Les Folies Offenbach de Michel Boisrond (série) : Mme Mirador
1979 : Histoires de voyous: Le concierge revient tout de suite (téléfilm) : la matronne
1980 : L’Inconnu d’Arras (téléfilm) : la mère Venot
1980 : Les Amours du mal-aimé (téléfilm) : la concierge
1981 : Histoire contemporaine (série) : Joséphine
1981 : Tovaritch (téléfilm) : Louise
1982 : Les Amours des années grises (série) : Mme Panaro
1983 : L'Intoxe (téléfilm) : la marchande de journaux
1984 : Emmenez-moi au théâtre: Chéri (Téléfilm) : Mme Aldonza
1985 : Maguy (série) : Mme Bignole
1995 : Le Clan des veuves (téléfilm) : Jacky
1973 : La Reine blanche de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, mise en scène Jacques Sereys, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1974 : Il y a longtemps que je t'aime de Jacques Deval, mise en scène Raymond Gérôme, réalisation Georges Folgoas, Théâtre Marigny
1979 : Mon crime de Louis Verneuil et Georges Berr, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène de l'auteur, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1979 : La Route des Indes de Jacques Deval, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
1980 : La Maîtresse de bridge de Louis Verneuil, mise en scène Robert Manuel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
Théâtre
1947 : Baratin de Marc Cab et Jean Valmy avec Roger Nicolas, Théâtre de l'Européen
1948 : Hier contre aujourd'hui de Robert Beauvais et Michel Vaucaire, mise en scène Lucien Rimels, Théâtre des Célestins
1960 : Impasse de la fidélité d'Alexandre Breffort, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre des Ambassadeurs
1968 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Dux, Théâtre du Gymnase, Théâtre du Palais-Royal
1976 : Knock de Jules Romains, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1977 : Féfé de Broadway de Jean Poiret, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés avec : Jacqueline Maillan, Michel Roux, Roger Carel, Annick Alane Théâtre des Variétés
1979 : Tovaritch de Jacques Deval, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de la Madeleine
1980 : L'Intoxe de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Jeanne Moreau, Jacques Dufilhoet Anne Parillaud Théâtre du Palais-Royal
1981 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Odette Laure, Théâtre des Variétés
1983 : Chéri de Colette, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Célestins
1984 : Brocéliande de Henry de Montherlant, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : Les Femmes savantes de Molière, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
1985 : N'écoutez pas Mesdames de Sacha Guitry, mise en scène Pierre Mondy, Théâtre des Variétés, Théâtre du Palais-Royal en 1986
1990 : Le Clan des veuves de Ginette Garcin, mise en scène François Guérin, avec Ginette Garcin et Mony Dalmès, Théâtre Fontaine
1995 : Laisse faire Nini de Laurence Jyl, mise en scène François Guérin, avec Philippe Castelli, Christian Marinet Marie-Christine Demarest, Théâtre Eldorado
Chanson
1993 : Jackie Sardou chante J'en ai marre Ah c'qu'on s'aimait En douce Le grand frisé Comme un moineau Pas de raison Où est-il donc ? Le dénicheur Il n'y en a qu'un à Marseille Comme une fleur Maintenant je sais |
Bibliographie
Yvan Foucart: Dictionnaire des comédiens français disparus, Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p.
Retour à : Cinéma (Sommaire) |
Acteur - Actrice |
Retour à : SOMMAIRE |
Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire) |
Direct sur la rubrique : Cinéma : J |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Le Chômeur de Clochemerle est un film français réalisé par Jean Boyer en 1957.
Baptistin Lachaud, dit Tistin, est un marginal qui vit de braconnage et aime lever le coude avec ses copains. Il est naturellement surveillé par le garde-champêtre, mais celui-ci se laisse parfois aller jusqu'à manger avec lui le produit de ses braconnages. L'idée vient à Tistin d'aller à la mairie officialiser sa situation de chômeur et, grâce à l'appui intéressé du maire, obtient de devenir chômeur indemnisé ! Le voilà officiellement payé à ne rien faire en tant qu'unique chômeur de Clochemerle. Sauf que cela n'est pas pour plaire aux habitants du village qui se scandalisent de devoir payer ce paresseux à ne rien faire. Pour échapper à ces reproches, il va rendre de multiples services aux unes et aux autres. Et l'amour viendra couronner ce dévouement.
Fiche technique
Réalisation : Jean Boyer, assisté de Alain Roux et Francis Caillaud
Scénario : Gabriel Chevallier d'après son roman Clochemerle Babylone
Adaptation : Jean Manse, Jean Boyer
Dialogues : Gabriel Chevallier
Photographie : Charles Suin
Opérateur : Marcel Franchi, assisté de Jean Castanier et J. de Saint-Girons
Montage : Jacqueline Brachet, assistée de Madeleine Lecompère
Décors : Robert Giordani, assisté de Jean Mandaroux et Jacques d'Ovidio
Musique : René Sylviano
Orchestration : Jacques Météhen (éditions Enoch et Cie, éditions Fortin)
Son : Antoine Archimbaud, assisté de Georges Girard et Henri Richard
Enregistrement sonore R.C.A Studios Decca
Tirage : Laboratoires Eclair à Epinay-sur-Seine
Maquillage : Boris Karabanoff et Mario Jacopozzi
Coiffures : Éliane Rouvier
Photographe de plateau : Gaston Thonnart
Script-girl : Cécilia Malbois
Régie générale : Louis Manella, assisté de René Brun
Régie extérieure : Charles Auvergne
Accessoiriste : Louis Charpeau
Production : Fidès
Chef de production : Ernest Rupp
Directeur de production : Walter Rupp
Secrétaire de production : Simone Chotel
Administrateur : Gérard Ducaux-Rupp
Distribution : Discifilm
Tournage du 17 juin au 5 août 1957 dans les Bouches-du-Rhône, en grande partie dans le village de Velaux et ses environs, mais aussi à Lançon-Provence devant l'église place Eugène Pelletan, à Coudoux devant l'église, et à Marseille place Félix Barret.
Pays : France
Format : Pellicule Gevaert 35 mm, Noir et blanc
Durée : 92 min
Genre : Comédie
Dates de sortie :
France : 18 novembre 1957 à Marseille et le 20 décembre 1957 à Paris
Visa d'exploitation : 19548
Distribution
Fernandel : Baptistin Lachaud, dit « Tistin », chômeur
Maria Mauban : Jeannette Masurat, une jeune veuve
Henri Vilbert : M. Piechut, le maire
Henri Crémieux : M. Larondel, un conseiller d'opposition
Marcel Perès : Beausoleil, le garde-champêtre
Mag Avril : Mme Chavaigne
Georges Chamarat : Patard, le curé
Sabine André
Mado France : Une commère
Henri Arius : Un habitué du café
Bréols : M. Donjazu
Béatrice Bretty : Babette, la gouvernante de Tistin
Lucien Callamand : M. Tafardel, le secrétaire du maire
Jackie Sardou : Mme Donjazu
Raymone : Mlle Pauline Coton, une paroissienne
Ginette Leclerc : Zozotte, la « respectueuse » du pays
Henri Rellys : Coiffenave, le bedeau
Les suivants ne sont pas crédités au générique :
Marthe Marty : Mme Pignaton, une laveuse
Jim Gérald : M. Poupart, le sonneur de Montfraquin
Jean-Louis Le Goff
Henri Bon : le curé de Saint-Firmin
Viviane Méry
Michel Sardou : Un gamin sur un manège
|
SOMMAIRE Monde : Inde
1966 | |
12/04/19 17:51 | Reita Faria : Miss Monde 1966 |
30/03/13 18:03 | Reita Faria : Miss Monde 1966 |
1994 | |
10/03/13 10:58 | Aishwarya Rai : Miss Monde 1994 |
2000 | |
10/03/13 11:18 | Priyanka Chopra : Miss Monde 2000 |
12/04/19 21:52 | Priyanka Chopra : Miss Monde 2000 |
2013 | |
21/04/13 16:08 | Inde: manifestations après le viol barbare d'une fillette |
2019 | |
29/10/19 19:40 | Airbus vend 300 avions à une compagnie indienne |
Agra | |
14/06/19 05:43 | Taj Mahal , en Inde |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
Josef Hoflehner : Taj Mahal de l'Inde | |
District de Rajsamand | |
14/06/19 06:19 | Couloir du temple Ramnathswamy, à Rameshwaram, en Inde |
New Delhi | |
14/06/19 06:25 | Arcs de Mughal du Fort Rouge à Delhi, Inde |
14/06/19 06:21 | Les murs de la forteresse de Chittorgarh, Rajasthan |
10/06/19 01:54 | New Delhi: une montagne de déchets |
Somnathpur | |
14/06/19 06:23 | Temple Keshava, Somnathpur Inde. |
Retour à : Monde (Sommaire) |
Retour à : SOMMAIRE |
Retour à : |
Direct sur la rubrique : A à Z : Sommaire |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Roland Moreno, né le 11 juin 1945 au Caire et mort le 29 avril 2012 à Paris, est un journaliste et inventeur français. Il est célèbre notamment pour avoir inventé la carte à mémoire, dénommée communément carte à puce, en 1974.
Inventions
Bague comportant une mémoire, brevet français no 74 10191 du 25 mars 1974.
Carte à puce mémoire, dont le brevet a été déposé en France , 1er semestre 1975
Le Radoteur (1975)
Les Célimènes
Moreno réalise en janvier 2001 le premier prototype de Célimène, ce qu'il appellera plus tard de la « musique augmentée » en référence au « livre augmenté » d'iGutenberg. Cette invention superpose la mélodie d'une musique avec le texte d'une pièce de théâtre, d'un poème, d'une chanson. L'arrangeur Sylvain Robert parvient à fusionner de très grandes pages musicales (Bach, Ravel, Beethoven, Albeniz) avec des textes de Molière, Brassens et Vian. La première réalisation (le prélude de la VIe Suite pour violoncelle seul, de Jean-Sébastien Bach, est suivie par le prélude no 3 du 1er livre du Clavecin bien tempéréet le premier mouvement du 5e des Concertos Brandebourgeois. La grande tirade de Célimène dans Le Misanthrope de Molière vient se superposer à la mélodie de chacun de ces morceaux. Cette superposition est possible grâce notamment à l'écriture en alexandrins de la pièce et à la composition des musiques avec des phrases de quatre mesures à trois temps. Dans les réalisations qui suivent, on peut citer le Boléro de Ravel et l'Hymne à la joie de la Symphonie n° 9 de Beethoven, sur des textes respectivement de Georges Brassenset Jacques Brel.
|
Christine Fabréga, née Christiane Louise Jeanne Boutevilain, est une actrice et animatrice de radio et de télévision française, née le 8 avril 1931 dans le 14e arrondissement de Paris et morte le 11 juin 1988 dans le 18e arrondissement de Paris
Fille d'un négociant en cuirs, Christiane Boutevilain suit les cours de théâtre de Julien Bertheau et de René Simon.
Dès 1952, elle apparaît au cinéma, comme simple figurante, sous le pseudonyme — qu'elle ne quittera plus — de Christine Fabréga.
Elle interprétera une dizaine de films, dont Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville (1966) — probablement son plus beau rôle ; Les Risques du métier d'André Cayatte(1967) ; Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat(1972) ; Deux hommes dans la ville de José Giovanni (1973).
En 1965, elle présente l'émission télévisée Le Mot le plus long. Elle devient vite connue et appréciée des téléspectateurs. Durant onze ans, jusqu'en 1987, c'est aussi l'une des figures récurrentes de l'émission Les Jeux de 20 heures.
Au début des années 1980, elle compte parmi les invités réguliers de l'émission radiophonique de Philippe Bouvard Les Grosses Têtes, diffusée sur RTL.
Elle s'éteint le 11 juin 1988, à l'hôpital Bichat, des suites d'un cancer. Elle est âgée de 57 ans. Elle repose au cimetière du Père-Lachaise (division 36).
Filmographie
Au cinéma
1952 : Le Gang des pianos à bretelles de Gilles de Turenne : un mannequin (apparition furtive) ;
1966 : Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville, avec Lino Ventura: Simone Melletier, dite Minouche ;
1967 : Les Risques du métier d'André Cayatte, avec Jacques Brel : Madame Roussel ;
1969 : La Peau de Torpedo de Jean Delannoy, avec Michel Constantin : Sylvianne Collet ;
1972 : Nous ne vieillirons pas ensemble de Maurice Pialat, avec Jean Yanne ; la mère de Catherine ;
1973 : Deux hommes dans la ville de José Giovanni, avec Jean Gabin : Geneviève Cazeneuve ;
1974 : Acte de probité d'Henry Polage (TV) : Evita de Kerfaouet ;
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault, avec Louis Velle : Gilda, la cuisinière ;
1974 : Tamara ou Comment j'ai enterré ma vie de jeune fille de Michel Berkowitch : elle-même ;
1975 : C'est jeune et ça sait tout de Claude Mulot ;
1976 : L'Exercice du pouvoir de Philippe Galland, avec Michel Aumont ;
1977 : Pourquoi ? d'Anouk Bernard : La psychologue.
À la télévision
1985 : Châteauvallon de Serge Friedman, Paul Planchon et Emmanuel Fonlladosa : Zoé Kovalic.
Théâtre
1971 : Dumas le magnifique d'Alain Decaux, mise en scène Julien Bertheau, Théâtre du Palais Royal.
Bibliographie
Yvan Foucart, Dictionnaire des comédiens disparus, Yvan Foucart éditeur, 2000 ; réédition 2007
Retour à : Cinéma (Sommaire) |
Acteur - Actrice |
Retour à :SOMMAIRE |
Retour à : Cinéma : Postes (Sommaire) |
Direct sur la rubrique : Cinéma : C |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Le Deuxième Souffle est un film français de Jean-Pierre Melville, sorti en 1966, adapté d'un roman de José Giovanni. Il a fait à l'époque l'objet d'une réception critique très abondante et plutôt élogieuse. Alain Corneau en a réalisé une nouvelle adaptation sortie en 2007.
Gustave Minda, dit « Gu » (Lino Ventura), s'est échappé de prison. Connu du milieu pour sa fiabilité et son courage, il retrouve à Paris deux de ses proches, Manouche sa compagne et Alban. Ceux-ci ont maille à partir avec deux hommes de main envoyés par Jo Ricci, malfrat amoral.
Manouche et Alban cachent Gu à Montrouge puis à Marseille, en prévision de son départ pour l'Italie. Mais soucieux d'indépendance, Gu souhaite financer seul sa fuite. Une vieille relation, Orloff, sans montrer que cela vient de lui, le met alors sur un coup aux côtés de Paul Ricci, frère de Jo et ami de Gu : le hold-up d'un fourgon bourré de lingots de platine. Le braquage nécessite d'assassiner les deux motards de l'escorte. Gu accepte le marché et abat un motard lors du hold-up qui réussit.
Entre-temps, le commissaire parisien Blot (Paul Meurisse) descend à Marseille pour traquer Gu. Il juge le commissaire marseillais Fardiano trop médiocre pour s'occuper de l'affaire. Enregistré à son insu sur un magnétophone lors d'une mise en scène montée par Blot, Gu avoue involontairement la complicité de son ami Paul Ricci dans le hold-up, lors de son arrestation. Souhaitant venger son frère incarcéré mais aussi — et surtout — s'approprier sa part du butin, Jo Ricci file à Marseille. Il manipule les deux autres complices du hold-up, qui craignent que Gu ne les dénonce à la police. Fidèle à sa morale de truand, Gu n'est pas une « balance », il s'évade pour rétablir la vérité et sauver sa réputation. Caché dans la voiture du commissaire Fardiano, il l'oblige à écrire, dans un calepin, une déclaration signée où il avoue les méthodes illégales employées pour l’arrêter et lui extorquer des informations, puis il l'abat. Ensuite, Gu règle ses comptes avec Jo Ricci et sa bande, dans un massacre général dont aucun ne réchappe. Blot arrive auprès de Gu agonisant qui prononce, dans un dernier souffle, le nom de Manouche, et lui donne le carnet des aveux de Fardiano qui rétablira son honneur dans le milieu. Malgré lui, Blot admire le code d'honneur auquel Gu a obéi jusqu'à la mort. En outre, il est conscient que ce succès de la police dans sa lutte contre le crime n'a été obtenu que par des moyens douteux. Face à la presse qui le questionne, il laisse tomber, comme par inadvertance, le calepin compromettant dans un caniveau, sur lequel il attire aussitôt l'attention d'un journaliste qui le ramasse…
Fiche technique
Titre : Le Deuxième Souffle
Réalisation : Jean-Pierre Melville assisté de Georges Pellegrin, et Jean-François Adam
Format : 35mm - Noir et blanc - Ratio : 1,66:1 - Son : Monophonique
Scénario : José Giovanni d'après son roman Le Deuxième Souffle
Dialogues : Jean-Pierre Melville et José Giovanni
Montage : Monique Bonnot, Michèle Boëhm assistées de Catherine Muloin et Ziva Postec
Photographie : Marcel Combe, Jean-Claude Boussard (assistant opérateur)
Costumes : Michel Tellin
Musique : Bernard Gérard
Décors : Jacques Dardeau (accessoiriste), Daniel Villeroy (accessoiriste meuble), Guy Maugin (ensemblier)
Son : Alex Pront et Jacques Gallois à l'enregistrement
Scripte : Suzanne Durrenberger
Production : André Labay et Charles Lumbroso
Distribution : S.N. Prodis
Pays d'origine : France
Durée : 150 minutes
Version : interdit aux moins de 18 ans, puis tout public
Date de sortie : France, 4 novembre 1966, aux cinémas Colisée et Madeleine à Paris
Visa de contrôle cinématographique N° 31.941
Distribution
Lino Ventura : Gustave Minda, dit « Gu »
Paul Meurisse: commissaire Blot
Raymond Pellegrin : Paul Ricci
Christine Fabréga : Simone Melletier, dite « Manouche »
Marcel Bozzuffi : Jo Ricci
Paul Frankeur : commissaire Fardiano
Denis Manuel : Antoine Ripat
Jean Négroni : un inspecteur / L'homme
Michel Constantin : Alban
Pierre Zimmer : Orloff
Pierre Grasset : Pascal Leonetti
Jack Léonard
Raymond Loyer : Jacques, dit « le notaire »
Régis Outin
Albert Michel : Marcel, dit « le Stéphanois »
Jean-Claude Bercq : l'inspecteur adjoint du commissaire Blot
Louis Bugette : Théo, le passeur
Albert Dagnant : Jeannot Franchi
Sylvain : un homme de main de Jo Ricci
Roger Fradet
Roger Perrinoz
Jean De Beaumont
Marcel Bernier
J. Dubos
Pierre Gualdi : un adjoint de Blot
R. Pequignot
Betty Anglade
A. Layle
Nina Michelsen
Les personnages
José Giovanni s'était inspiré pour son roman d'origine de personnes réelles qu'il avait fréquentées dans le « milieu » pendant l'Occupation ou en prison après-guerre. Gu Minda c'est en fait Auguste Méla, dit « Gu le terrible »2, qui en septembre 1938 avait réalisé l'attaque du « train d'or ». Condamné, il s'était échappé de la prison de Castres en mars 1944 avec Bernard Madeleine, comme dans le début du film. C'est avec Madeleine, le futur « caïd des caïds », que Giovanni avait participé aux exactions d'un faux maquis en Bretagne en juin 1944. La vraie Manouche s'appelait Germaine Germain, dite « Manouche ». C'était la maîtresse de Paul Carbone, « l'empereur de Marseille » qui travaillait avec « la Carlingue ». Orloff c'est Nicolaï Alexandre Raineroff dit « Orloff », agent de la Gestapo, qui sera fusillé pour intelligence avec l'ennemi le 8 mai 1945, et avec lequel Giovanni avait rançonné deux Juifs cachés à Lyon en août 1944. Enfin, le commissaire Blot s'inspire du commissaire Georges Clot, responsable à la Libération de la cellule anti-Gestapo de la police judiciaire
Bande originale du film (BOF)
La bande originale est signée par Bernard Gérard, assistant et arrangeur de Michel Magne pour certains films de Georges Lautner. L'intégralité de cette musique, très empreinte de jazz, reste pour l'instant inédite. Une bande originale, restée sous forme de partition inédite, fut composée par John Lewis mais suscita le rejet catégorique de Jean-Pierre Melville. On peut supposer qu'elle était destinée à sonoriser la version américaine du film, intitulée Second Breath.
1966 : Second Breath (version anglaise et américaine)
Le film devait être d'abord tourné en 1964, avec la distribution suivante : Serge Reggiani (Gu), Simone Signoret(Manouche), Lino Ventura (Blot), Roger Hanin (Jo Ricci), Georges Marchal (Orloff) et Raymond Pellegrin (Paul Ricci). Les contrats étaient signés mais le tournage fut abandonné, en raison de problèmes financiers et du projet d'une autre version de Denys de la Patellière, avec Jean Gabin.
Dans un reportage télévisé de l'ORTF sur le tournage, on aperçoit l'acteur Mel Ferrer qui devait probablement jouer le rôle d'Orloff.
Autocitation : lorsque Manouche monte l'escalier pour dîner avec Gu à Montrouge, on entend s'échapper d'un appartement un dialogue des Enfants terribles de Jean-Pierre Melville.
A 49 min. 30 sec., gros plan sur Lino Ventura qui se teint les cheveux en gris avant de sortir de sa planque. A 49 min. 50 sec., il retrouve Michel Constantin et ils partent en voiture. Mais il a toujours les cheveux noirs.
Une autre adaptation du roman de José Giovanni a été réalisée par Alain Corneau en 2007 : Le Deuxième Souffle.
Le film a été montré dans le cadre de la Rétrospective Jean-Pierre Melville : l’intégrale, projetée au festival Premiers Plans qui s'est tenu à Angers en 2010.
|
Lucky Jo est un film français réalisé par Michel Deville et sorti en 1964.
Christopher Joett, sympathique mauvais garçon au grand cœur, porte la poisse à son entourage, ce qui lui a valu le surnom de « Lucky Jo ». À sa sortie de prison, personne ne veut plus « monter de coups » avec lui. Seul, son ami Simon accepte de le recevoir. Ce dernier, reconverti en garagiste à Bougival, prête une Peugeot 404 à Jo pour qu'il aille revoir Mimi, son ancienne petite amie chanteuse dans un beuglant de Pigalle. Pendant que Jo fête ses retrouvailles avec sa belle, la malchance frappe de nouveau : des gangsters volent la 404 pour commettre un braquage et la police a aussitôt fait de retrouver le propriétaire du véhicule, le garagiste Simon…
Fiche technique
Titre original : Lucky Jo
Réalisation : Michel Deville
Scénario : Nina Companeez et Michel Deville, d'après le roman Main pleine de Pierre-Vial Lesou (collection Série noire des Éditions Gallimard)
Dialogues : Nina Companeez
Décors : Gilbert Margerie
Coiffures : Jacques Dessange pour Françoise Arnoul et Christiane Minazzoli
Photographie : Claude Lecomte
Son : Raymond Gauguier
Montage : Nina Companeez
Musique : Georges Delerue
Chanson : J'aime mon Totor, paroles de Nina Companeez et musique de Georges Delerue, interprétée par Françoise Arnoul
Bagarres : Claude Carliez
Production : Jacques Roitfeld
Sociétés de production : Belmont Films (France), Éléfilm (France), Les Productions Jacques Roitfeld (France)
Sociétés de distribution : CFDC (France), Les Productions Jacques Roitfeld (France)
Pays d'origine : France
Langue de tournage : français
Tournage extérieur : Paris, Bougival
Format : 35 mm — noir et blanc — 1.66:1 — monophonique
Genre : comédie policière
Durée : 87 minutes
Date de sortie : 11 novembre 1964
(fr) Classifications CNC : tous publics, Art et Essai (visa d'exploitation no 29444 délivré le 10 novembre 1964)
Distribution
Eddie Constantine : « Lucky Jo » Christopher Joett
Pierre Brasseur : le commissaire Loudéac
Françoise Arnoul : Mimi Perrin
Georges Wilson : Simon
Christiane Minazzoli : Adeline
Claude Brasseur : Loudéac fils dit "junior"
Jean-Pierre Darras : Napo
André Cellier : Gabriel
Christian Barbier : le commissaire Odile
Anouk Ferjac : la femme importunée dans le bar
Marcelle Ranson-Hervé : la réceptionniste de l’hôtel Wagram
Jean-Paul Cisife : Paul Garnier
Jean-Pierre Rambal : le commissaire Guillaumet
Roger Lumont : un chauffeur de la police (non crédité)
Pierre Asso : Raton
Pierre Le Rumeur : le clôture
Jacques Échantillon : Thierry
Willy Braque
Jean-Pierre Moutier : le barman de Napo
Bernard Mongourdin
Guy Delorme : un gardien de police de la bagarre dans le fourgon (non crédité)
Lionel Vitrant : Toto, l'aveugle (non crédité)
Pascal Aubier (non crédité)
Yvan Chiffre (non crédité)
Gérard Moisan (non crédité)
Claude Confortès (non crédité)
La chienne cocker Sécotine
Vidéographie
2008 : Coffret volume 1 Michel Deville (films de 1960 à 1964, Ce soir ou jamais, Adorable Menteuse, À cause, à cause d'une femme, L'Appartement des filles, Lucky Jo), 5 DVD remastérisés, Éléfilm Distribution, France.
|
SOMMAIRE Juliette Fretté
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Mannequin de charme : Sommaire
Articles dessinsagogo55 par ordre alphabétique (Sommaire) | ||||||||||||||||||||||||||
0-9 | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z |
SOMMAIRE | ||||||||||||||||||||||||||
Comment ça marche ??? Aide | ||||||||||||||||||||||||||
Actu de dessinsagogo55 | ||||||||||||||||||||||||||
Cliquez sur j'aime. Merci ! | ||||||||||||||||||||||||||
Ne vous refusez pas de laisser un commentaire. | ||||||||||||||||||||||||||
Vous souhaitez savoir ? Une réponse rapide. | Faites votre pub |
Juliette Rose Fretté est artiste peintre, écrivain et modèle de charme de nationalité américaine. Bien que se réclamant du féminisme, elle a posé en tant que playmate pour le magazine Playboy en juin 2008.
Pendant ses études, Juliette est une élève brillante, particulièrement en Anglais et en art. Elle entre à l’Université après avoir reçu son diplôme d’études secondaires en 2002. C'est en tant qu'étudiante en début de cycles à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) qu'elle pose nue pour la première fois pour le magazine, en compagnie d'autres filles : ses photos apparaissent dans le numéro d'octobre 2005 dans un article intitulé "Girls of the PAC 10" (Les filles de la Pacific-10 Conference - association d'universités devenue depuis lors la Pacific-12 Conference) - dans ce même article apparaît pour la première fois Sara Jean Underwood, future Playmate de l'Année 2007.
D'autres photos et vidéos sont diffusées ensuite dans le Cyberclub (site Internet) de Playboy, d'abord en tant que Coed of the Week (Étudiante de la semaine) le 5 janvier 2006, puis comme Coed of the Month (Étudiante du mois) en mars, sous le nom de Juliette Rose.
Juliette se revendique comme féministe et travaille alors à une thèse consacrée aux études sur ce sujet, intitulée "Posing for Playboy From a Feminist Perspective: How Media Images Impact Women's Empowerment." (Poser pour Playboy dans une perspective féministe : comment l'image médiatique influence l'accomplissement des femmes), et s'appuie sur ses travaux pour justifier sa participation à un magazine pour homme généralement fort peu apprécié par les mouvements féministes, en présentant cette immersion dans le monde de Playboy comme le moyen privilégié d'en aborder la problématique d’un point de vue féministe. Son attitude est d'ailleurs critiquée par des membres de sa famille et de son entourage.
En 2008 elle se décide à sauter le pas et à devenir Miss Juin 2008 (elle est photographiée par Arny Freytag et Stephen Wayda). Elle s'explique : « I was already doing something controversial, so I figured that I might as well do it all the way. » (Ce que je faisais portait déjà à controverse, donc je me suis dit que je pouvais aller jusqu'au bout).
C'est elle-même (fait très rare) qui rédige l'article qui lui est consacré, expliquant en quoi le fait de poser nue n'est pas incompatible avec son engagement féministe : si elle reconnaît que poser pour Playboy participe à objectifier le corps de la femme, ceci est admissible et même positif tant que cette dernière est respectée en tant qu'être humain, et que les photos servent uniquement à exalter la beauté et mettre en valeur les formes féminines, sans présenter d'aspects dégradants, méprisants ou offensants.
Selon elle : Une vraie féministe croit à l'égalité sociale, politique et économique des hommes et des femmes" : mais cela n’implique aucunement la haine de la gent masculine ; elle-même apprécie les hommes et affirme : « À présent plus que jamais, je peux expliquer pourquoi une féministe peut apparaître dans Playboy : parce que c’est amusant. C’est créatif. Et je m’y sens bien. Cela me fait très plaisir et me comble en tant qu’être humain. »
Juliette a une activité d’artiste peintre et rédige également des chroniques en freelance pour différentes revues ou sites Internet, par exemple pour Examiner.com et Huffington Post. Elle a aussi, par exemple, réalisé une interview d'Olivia De Berardinis, la célèbre dessinatrice de pin-ups
Apparitions dans les numéros spéciaux de Playboy
College Girls January-February 2006 (en tant que Juliette Rose) (pages 43, 48-51)
College Girls July-August 2006 (Juliette Rose) (pages 2, 10-13)
Lingerie June-July 2006 (Juliette Rose) (pages 8-11)
Natural Beauties 2006 (Juliette Rose) (pages 58-61)
Nudes November 2006 (Juliette Rose) (pages 54-55)
Sexy 100 2007 (page 77)
Wild College Girls (2007) (Juliette Rose) (pages 1, 22-23, 36)
Playmate Review 2009 (pages 42-49)
Nude Playmates 2010 (pages 2, 56-61)
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Retour à : Mannequin de charme : Sommaire |
Retour à : Playboy 2008 |
Retour à : Playboy : Playmates (Sommaire) |
Retour à : SOMMAIRE |
Direct sur la rubrique : Mannequin de charme |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Mise à jour : |
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté | Juliette Fretté |
Retour à : Mannequin de charme : Sommaire |
Retour à : Playboy 2008 |
Retour à : Playboy : Playmates (Sommaire) |
Retour à : SOMMAIRE |
Direct sur la rubrique : Mannequin de charme |
Comment ça marche ??? Aide |
Actu de dessinsagogo55 |
Mise à jour : |