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Hong Kong

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Hong Kong

Hong Kong (chinois : 香港 ; pinyin : Xiānggǎng ; Wade : Hsiang-kang ; cantonais Jyutping : Hoeng gong ; cantonais Yale : Hēunggóng ; littéralement : « port aux parfums » ou « port parfumé »), officiellement Région administrative spéciale de Hong Kong de la République populaire de Chine, est la plus grande et la plus peuplée des deux régions administratives spéciales (RAS) de la République populaire de Chine (RPC), l'autre étant Macao. Elle compte environ sept millions d'habitants que l'on appelle Hongkongais (en anglais : Hongkongers) dont l'espérance de vie, de 84,2 ans, est la plus longue au monde en 2017.

Hong Kong est située sur la rive orientale de la Rivière des Perles, sur la côte sud de la Chine et elle est baignée par la mer de Chine méridionale. Elle jouxte la province du Guangdong au nord. Hong Kong est la huitième entité commerciale et le 3e centre financier au monde. Son économie est considérée comme la plus libérale au monde depuis 1995 selon la fondation américaine « Heritage Foundation ». Hong Kong se place ainsi dans le rang des grands centres financiers du monde avec entre autres New York et Londres, cette trilogie est d'ailleurs appelée par certains médias anglophones « Nylonkong ».

Colonie britannique à partir du traité de Nankin (1842), rétrocédée à la Chine en 1997 soit 155 ans plus tard, Hong Kong demeure radicalement différente du reste de la République populaire de Chine. Une loi fondamentale particulière détermine son régime politique. Elle obéit au principe « un pays, deux systèmes », qui permet à Hong Kong de conserver son système légal (common law), sa monnaie (dollar de Hong Kong), son système politique (multipartisme), ses équipes sportives internationales, ses lois sur l'immigration, son domaine internet (.hk), son indicatif téléphonique (+852) et son code de la route (conduite à gauche). Selon les termes de la déclaration sino-britannique commune, la République populaire de Chine a promis que Hong Kong garderait une relative autonomie jusqu'à au moins 2047, soit 50 ans après le transfert de la souveraineté.

En tant que ville mondiale, Hong Kong compte environ 34 000 résidents de nationalité britannique (ils étaient 25 500 en 1996, juste avant la rétrocession), environ 22 000 résidents de nationalité japonaise, environ 60 000 résidents de nationalité américaine, environ 300 000 résidents de nationalité canadienne et entre 18 000 et 20 000 résidents de nationalité française. La majorité est composée d'expatriés employés par des multinationales ou des entrepreneurs installés avec leurs familles. Le chinois(cantonais) et l'anglais sont les deux langues officielles de la ville

La dynastie Qin a incorporé la région de Hong Kong en Chine pour la première fois en 214 avant notre ère, après avoir conquis le Baiyue indigène. La région a été consolidée sous le royaume de Nanyue (un État prédécesseur du Vietnam) à la suite de l'effondrement des Qin , mais repris par la Chine après la conquête des Han. Pendant la conquête mongole, le tribunal de Southern Song a été brièvement stationné dans la ville moderne de Kowloon (le site de Sung Wong Toi) avant sa défaite finale à la bataille de Yamen en 1279. À la fin de la dynastie des Yuan, sept grandes familles s'étaient installées dans la région et possédaient la plupart des terres. Les colons des provinces voisines ont migré vers Kowloon pendant toute la dynastie Ming. Le premier visiteur européen était l'explorateur portugais Jorge Álvares, arrivé en 1513. Les marchands portugais ont établi un comptoir appelé "Tamão" dans les eaux de Hong Kong et ont commencé à commercer régulièrement dans le sud de la Chine. Bien que ces commerçants aient été expulsés après des affrontements militaires dans les années 1520 , les relations commerciales luso-chinoises ont été rétablies en 1549.

Bien qu'occupé depuis le néolithique au moins, le territoire de ce qui constitue aujourd'hui Hong Kong est resté hors de la plupart des événements majeurs de la Chine impériale pendant toute son histoire. À la suite de la guerre de l'opium, et des trois traités inégaux que sont le Traité de Nankin (29 août 1842), la Convention de Pékin (24 octobre 1860), et la Convention pour l'extension du territoire de Hong Kong (9 juin 1898), l'Empire chinois cède ce territoire à l'Empire britannique pour 99 ans, chaque traité repoussant la limite des 99 ans du bail. Il commença alors à devenir un point d'attraction mondiale, au cours des années 1840. Macao, situé sur la rive opposée du delta de la Rivière des Perles, devint pendant la même période un territoire de l'Empire portugais, ces deux enclaves constituant des avant postes des colonies européennes en Extrême-Orient. Possession anglaise à partir de 1842, Hong Kong est rétrocédé à la Chine en 1997. Les premières élections législatives par la population (en) ont lieu en 1991, élisant 60 membres, 5 ans après la Déclaration commune sino-britannique sur la question de Hong Kong, signée le 19 décembre 1984. Le gouverneur de Hong Kong, chef de l’exécutif restant choisi par la couronne britannique pendant les 150 ans de colonisation.

 

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Film français : 1989

Film français : 1989

 

A M
À deux minutes près Manika, une vie plus tard
Adrénaline (film, 1989) Les Mannequins d'osier
L'Air de rien (film, 1989) Les Maris, les Femmes, les Amants
L'Ami retrouvé (film) Marquis (film)
Angano... Angano... nouvelles de Madagascar Le Masque (film, 1989)
Après la guerre (film, 1989) Mes meilleurs copains
Après la pluie (film, 1989) Mes nuits sont plus belles que vos jours (film)
Astérix et le Coup du menhir Le Message des îles
Australia (film, 1989) Migrations (film)
L'Autrichienne Milou en mai
L'Aventure extraordinaire d'un papa peu ordinaire Modigliani (film, 1989)
B Moitié-moitié (film)
Les Baisers de secours Mon cher sujet
Baptême (film) Mona et moi
La Barbare Monsieur Hire
Baxter (film, 1989) N
Bille en tête (film) Natalia (film)
Blancs cassés Noce blanche
Les Bois noirs Nocturne indien (film)
Boris Godounov (film, 1989) O
Bunker Palace Hôtel L'Orchestre rouge (film)
C L'Otage de l'Europe
Ce qui me meut (film) P
Chambre à part (film, 1989) Papa est parti, maman aussi
Chantage de femmes La Passion de Bernadette
Cher frangin Peaux de vaches
Chimère (film, 1989) Pentimento (film, 1989)
Chine, ma douleur Périgord noir (film)
La Chute des aigles (film) Le Peuple singe
Les cigognes n'en font qu'à leur tête Pleure pas my love
Cinema Paradiso Le Porte-plume
Les Cinéphiles : Le Retour de Jean R
Les Cinéphiles 2 : Éric a disparu Radio Corbeau
Cinq jours en juin Le Retour des Mousquetaires
Clair (film) Le Rêve du singe fou
Climb Dance La Révolution française (film)
Comédie d'amour Romuald et Juliette
Comédie d'été Roselyne et les Lions
Coupe franche Rouge Venise
Le Crime d'Antoine Rouget le braconnier (film)
Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant S
D La Salle de bain (film)
De Nuremberg à Nuremberg Sans défense (film)
Dédé (film, 1990) Les Sièges de l'Alcazar
Le Désir en ballade Sortis de route
Deux (film, 1989) La Soule
Les Deux Fragonard Splendor
Divine Enfant Suivez cet avion
Doux amer T
E Thank You Satan
Les Eaux printanières Tolérance (film)
Elli Fat Mat Les Tribulations de Balthasar Kober (film)
L'Enfant de l'hiver Le Triomphe de Babar
Les Enfants du désordre Les Trois Dernières Sonates de Franz Schubert
Et la lumière fut (film) Trois strophes sur le nom de Sacher
L'Éternelle Trop belle pour toi
F U
La Femme de Rose Hill Un dieu rebelle
La Fille de 15 ans Un été d'orages
La Folle Journée ou le Mariage de Figaro (film) Un homme à ma taille
Force majeure (film, 1989) Un monde sans pitié
H Un père et passe
L'Héritage de la chouette Un tour de manège
Hiver 54, l'abbé Pierre Une histoire de vent
I L'Union sacrée
I Want to Go Home V
L'Invité surprise Valmont (film)
J Variétés (film, 1989)
J'aurais jamais dû croiser son regard Vent de galerne
Je suis le seigneur du château La Vie et rien d'autre
J'écris dans l'espace La Vouivre (film)
Jour après jour (film, 1989) W
Joyeux Noël, bonne année Wait Until Spring, Bandini
K Z
Kinski Paganini Zanzibar (film)

 

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Film français : 1950

Film français : 1950

 

0–9 Minne, l'ingénue libertine
Le 84 prend des vacances Miquette et sa mère (film, 1950)
A Le Miracle de Sainte Anne
Adémaï au poteau-frontière Mon ami le cambrioleur
Agnès de rien Mon ami Sainfoin
Amédée (film) La montagne est verte
Amour et Compagnie Les Mousquetaires de la mer
Les Anciens de Saint-Loup (film) Mystère à Shanghai
L'Art d'être courtier N
L'Atomique monsieur Placido Né de père inconnu
Au p'tit zouave Nous avons tous fait la même chose
Au revoir monsieur Grock Nous irons à Paris (film, 1950)
Les Aventuriers de l'air La nuit s'achève
B O
Ballerina (film, 1950) On demande un bandit
Banco de prince On n'aime qu'une fois
La Beauté du diable (film, 1950) Orphée (film)
La Belle que voilà P
Bim le petit âne Pas de week-end pour notre amour
Black Jack (film, 1950) Paul Gauguin (film, 1950)
C La Petite Chocolatière (film, 1950)
Caprices de Paris Pigalle-Saint-Germain-des-Prés
Cartouche, roi de Paris Pluche et Ploche bureaucrates
Casimir (film) Plus de vacances pour le Bon Dieu
Ce siècle a cinquante ans Plus fort que la haine (film, 1950)
Les Charmes de l'existence Porte d'Orient (film)
Le Château de verre (film, 1950) La Porteuse de pain (film, 1950)
Chéri (film, 1950) Pour l'amour du ciel (film, 1950)
Coups de chapeau Prélude à la gloire
Le Crime des justes Premières Armes (film)
D Q
La Dame de chez Maxim (film, 1950) Quai de Grenelle
Les Derniers Jours de Pompéi (film, 1950) R
Désordre (film, 1949) Rendez-vous avec la chance
Dieu a besoin des hommes La Révolution de 1848
Dominique (film, 1950) Le Roi Pandore
E Rome-Express (film, 1950)
En passant par la Lorraine (film) La Ronde (film, 1950)
Les Enfants terribles (film) Le Rosier de madame Husson (film, 1950)
Envoi de fleurs La Rue sans loi
Et moi, j'te dis qu'elle t'a fait de l'œil (film, 1950) S
L'Extravagante Théodora Sans tambour ni trompette (film, 1950)
F Savage Africa
Fait divers à Paris Singoalla
Femmes sans nom La Soif des hommes
Les femmes sont folles La Souricière (film)
Le Furet (film, 1950) Les Souvenirs de Maurin des Maures
Fusillé à l'aube (film, 1950) Souvenirs perdus
G T
Le Gang des tractions-arrière Le Tampon du capiston (film, 1950)
Georges Braque (film) Tête blonde
Le Grand Cirque (film) Tire au flanc (film, 1950)
Le Grand Rendez-vous (film) Toselli
Guernica (film, 1950) Le Traqué
H Le Trésor de Cantenac
L'Homme de joie Le Trésor des Pieds-Nickelés
L'Homme de la Jamaïque Trois marins dans un couvent
L'Homme qui revient de loin (film, 1950) Trois Télégrammes
I Tu m'as sauvé la vie
Ils ont vingt ans U
L'Inconnue de Montréal (film) Un cirque passe (film, 1950)
J Un homme marche dans la ville
Jeannot l'intrépide Un trou dans le mur
Julie de Carneilhan (film) Une nuit de noces (film, 1950)
Justice est faite Uniformes et grandes manœuvres
L V
Lady Paname Vagabonds imaginaires
M La Valse de Paris
Ma pomme Vendetta en Camargue
La Maison du printemps Véronique (film, 1950)
Manèges La vie commence demain
Maria Chapdelaine (film, 1950) Vive Staline !
Le Mariage de mademoiselle Beulemans (film, 1950) Voyage à trois
La Marie du port (film) Le Voyage en Brésil
Méfiez-vous des blondes La Voyageuse inattendue
Menace de mort (film) Z
Métro (film, 1950) Zone frontière (film)
Meurtres ?  

 

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Trois-Évêchés

Publié à 21:22 par dessinsagogo55 Tags : histoire center sur france saint travail mort place carte voyage centerblog
Trois-Évêchés

Les Trois-Évêchés dans leurs limites du milieu du XVIIIe siècle et les communes et départements actuels.

 

 

En France, sous l'Ancien Régime, les Trois-Évêchés étaient une province du royaume créée, à la suite de la paix de Westphalie, à partir de territoires qui relevaient de jure, jusqu'au traité de Münster (1648), du Saint-Empire romain germanique : les trois villes libres de Metz, Toul et Verdun, occupées en vertu du traité de Chambord (1552), et les temporels des évêques de Metz, Toul et Verdun, occupés en 1631-1632. Ils s'agrandirent ensuite du Luxembourg français, partie du duché de Luxembourg cédée à la France par le traité des Pyrénées(1659), puis d'un corridor, cédé à la France par le traité de Vincennes (1661). Ces territoires et les duchés de Bar et de Lorraine formaient jusqu'alors une mosaïque territoriale complexe, objet de conflits récurrents.

 

En 1551, les princes protestants allemands, en lutte contre Charles Quint, recherchent le soutien du roi de France. À Lochau, près de Torgau, est signé un accord qui prévoit la participation financière et militaire de la France à leur action. À Chambord, le 15 janvier 1552, est signé un traité qui prévoit que le roi Henri II occupera, pour des raisons stratégiques, en qualité de vicaire du Saint-Empire romain germanique, les villes de Metz, Toul et Verdun, « et autres villes de l’Empire ne parlant pas allemand ».

 

Le « Voyage d’Allemagne » est conduit par le roi Henri II, « défenseur des libertés germaniques », soutenu par François de Guise et le cardinal Charles de Lorraine. Le jour des Rameaux 1552, les troupes françaises, sous les ordres du connétable Anne de Montmorency, arrivent sous les murs de Metz, et occupent par surprise les portes de la ville. Le 13 avril 1552, le roi se rend en armes à Toul, où il est reçu par l'évêque Toussaint de Hocédy, le maître échevin ayant, en signe de protestation, quitté sa ville pour Pont-Saint-Vincent. Le roi passe ensuite à Nancy, où il destitue arbitrairement la duchesse-régente et emmène le petit duc Charles III, encore mineur, pour le faire élever à la cour de France. Henri II fait ensuite « sa joyeuse entrée » à Metz, le 18 avril 1552. La ville est en fait soumise de force, sous le ferme contrôle des hommes de Montmorency. Le 22 avril, Henri II reprend sa route vers le Rhin, laissant à Metz 3 400 hommes. Vers le 20 mai, ne pouvant s'emparer de Strasbourg, il rebrousse chemin, occupe Verdun, où il fait son entrée le 12 juin 1552, avant de rentrer en France.

Pour laver l’affront des princes luthériens et du roi de France, Charles Quint marche sur les trois cités épiscopales, le 1er septembre 1552. Il commence par faire le siège de la cité messine, proche de ses possessions luxembourgeoises. Fortifiée et défendue par le duc de Guise, Metz reste aux mains des troupes françaises après un siège mémorable. La mort dans l'âme, Charles Quint lève le siège le 2 janvier 1553 renonçant à reprendre les autres évêchés. L’occupation française commence de facto dans les Trois-Évêchés.

Dès 1552, les villes reçoivent une garnison française permanente, mais l’empereur garde officiellement sa souveraineté sur les cités. Dans les trois villes de Metz, Toul et Verdun réunies ainsi par un artifice diplomatique, s'installe alors un régime original, celui de la protection, où les anciens pouvoirs des villes issues du Saint-Empire sont peu à peu absorbés par les organismes mis en place par l’administration royale. Malgré les prières répétées des Messins à la Diète d'Empire, la question des Trois-Évêchés ne figura plus à l'ordre du jour des assemblées impériales après 1582. Sous l'impulsion de Richelieu, le parlement de Metz, créé en janvier 1633, est l’artisan le plus actif des progrès de l’autorité royale, dépossédant de leurs pouvoirs les maîtres échevins des cités épiscopales et neutralisant les paraiges de Metz.

L’édit de décembre 1633 supprime le sceau de la cité, l’aigle impérial aux ailes déployées, que Metz, Toul et Verdun, en qualité de villes impériales, avaient le droit de porter sur leurs armes. En même temps, la gabelle, impôt sur le sel, est introduite au grand dam de la population. Devant le grogne des messins, le Parlement est transféré à Toul entre 1637 et 1658. Il est remplacé à Metz par un intendant royal, aux pouvoirs étendus.

En 1648, les traités de Westphalie entérinent la cession des Trois-Évêchés par l'Empire. Mais, dès son avènement, Louis XIV confirme les privilèges des bourgeois des trois cités, les regroupant sous le nom de « ses bons et fidèles sujets ».

L’évêché de Saint-Dié, créé en 1777, est parfois appelé le Quatrième Évêché lorrain, mais n’est pas concerné par la notion historique des « Trois-Évêchés ». Aujourd'hui, seul l'évêché de Metz, dont l'évêque est nommé par le président de la République française, est concerné par le régime concordataire d'Alsace-Moselle.

Les Trois-Évêchés étaient enclavés presque de toutes parts dans la Lorraine et ne touchaient que par quelques points à la Champagne et au Luxembourg français.

Les Trois-Évêchés n’étaient pas séparés de la Lorraine par une ligne de démarcation continue et facile à suivre. Quant on observe sur une carte détaillée la figure de ces deux provinces, il est presque impossible de décrire leurs limites respectives autrement que par un travail graphique. Les évêchés de Metz, de Toul et de Verdun étaient séparés chacun des deux autres, par les terres des duchés de Lorraine et de Bar. Ils affectaient la forme la plus tourmentée.

Il y avait dans chacun des évêchés, des enclaves appartenant à la Lorraine et au Barrois ; dans le même temps, il y avait dans le Barrois et la Lorraine, des enclaves dépendant des évêchés. De plus, dans la Lorraine et le Barrois, il y avait des enclaves allemandes, de sorte que, très souvent, les routes les plus directes passaient plusieurs fois d'une des deux provinces dans l‘autre, sur un parcours de quelques lieues, et comme le régime fiscal des douanes et des péages était très sévère, les marchandises pouvaient être soumises à diverses reprises le même jour, a des visites et à des taxes

Les Trois-Évêchés comprenaient les trois villes de Metz, Toul et Verdun et leurs dépendances respectives, ainsi que le temporel des évêques de ces trois villes et le temporel des chapitres cathédraux.

L'évêché de Metz

 
Atlas de Trudaine (réalisé entre 1745 et 1780) pour la généralité de Metz, Archives nationales.

Le bailliage de Metz comprenait la ville de Metz et ses dépendances :

le val de Metz : le nombre des communautés, villages et hameaux du val de Metz au xviie siècle, donné dans l’Histoire bénédictine de Metz(t. IV, 343), s’élève à trente-neuf.

l’Isle : représente une partie des anciens cantons de Metz (3e), de Gorze et de Verny. Comprenait 35 communautés, tant villages que hameaux ;

le Saulnoy : comprenant la plus grande partie des cantons de Verny, de Pange et une partie de celui de Vigy, Il comptait 77 communautés, tant villages que hameaux ;

les Francs-Alleux, subdivisés en :

ban de Saint-Pierre (réuni au Franc-Alleu en 1718) ;

ban de La Rotte (à partir du 21 janvier 1718) ;

ban de Bazaille ;

la terre de Gorze (cédée en 1661) ;

le bailliage seigneurial de Vic, composé des huit châtellenies d’Albestroff, Baccarat, Rambervillers, Fribourg, Haboudange, Lagarde, Moyen et Vic, dépendantes du temporel de l’évêque de Metz

L'évêché de Toul

les trois châtellenies de Blénod, Brixey et Maizières, dépendantes du temporel de l'évêque de Toul ;

les trois prévôtés de Vicherey, Villey-Saint-Étienne et Void, dépendantes du temporel du chapitre de la cathédrale de Toul.

La principauté épiscopale de Verdun

les sept prévôtés de Charny, Dieppe, Dieulouard, Fresnes, Mangiennes, Tilly et Verdun, dépendantes du temporel de l'évêque de Verdun ;

les cinq prévôtés de Foameix, Harville, Lemmes, Merles et Sivry, dépendantes du temporel du chapitre de la cathédrale de Verdun.

Coutumes

Les Évêchés ressortissaient au parlement de Metz et étaient régis par les cinq coutumes suivantes :

Les coutumes générales de la ville et cité de Metz et pays Messin.

Les coutumes du bailliage (ou temporel) de l'évêché de Metz, avec les municipales ou locales de Remberviller, Baccarat et Moyen.

Les coutumes générales de la terre, abbaye et seigneurie de Gorze.

Les usages locaux de la ville et du bailliage de l'évêché de Toul et du pays Toulois.

Les coutumes générales de la ville, cité et bailliage de l'évêché et compté de Verdun et du pays verdunois.

Personnalités

Nicolas Psaume, comte-évêque de Verdun, prince du Saint-Empire romain germanique.

Henri Grégoire, dit l'Abbé Grégoire, député aux états généraux puis à la Convention, évêque constitutionnel de Blois, y est né en 1750.

 

 

Citadelle souterraine de Verdun

Citadelle souterraine de Verdun

La citadelle souterraine de Verdun est un ensemble de galeries creusées à la fin XIXe siècle sous la citadelle de Verdun, dans le département de la Meuse en région Grand Est.

La citadelle haute est construite au XVIIe siècle selon les plans de Jean Errard après la prise de la ville par le roi Henri II en 1552. Une fois la ville définitivement rattachée au royaume de France en 1648, Vauban est chargé d'améliorer ses fortifications. Après la guerre franco-allemande de 1870, la ville rentre dans le système Séré de Rivières et se retrouve au centre de la place fortifiée de Verdun constituée de nombreux forts.

La citadelle souterraine, ou citadelle basse, est creusée à la fin du XIXe siècle et cumule 7 km de galeries à la fin de la Première guerre mondiale. Elle sert à la fois de refuge, de poste de commandement et de base de ravitaillement. Le 10 novembre 1920, elle accueille la cérémonie de désignation du Soldat inconnu qui repose sous l'Arc de triomphe de l'Étoile à Paris.

La citadelle est inscrite aux monuments historiques depuis le 24 octobre 1929.

 

En 1552, le roi de France Henri II prend la ville de Verdun au Saint-Empire romain germanique dans le cadre du « Voyage d'Allemagne ». Il décide de consolider les fortifications médiévales et une citadelle est construite de 1567 à 1634. Mais le chantier n'avance pas à cause des guerres de religion. Il faut attendre 1624, en pleine guerre de Trente Ans, pour que les travaux commencent réellement après que Louis XIII ait demandé au maréchal de Marillac, lieutenant-général des Trois-Évêchés et gouverneur de Verdun, d'achever rapidement les fortifications. Le tracé de la citadelle de 1601 est modifié en 1626. La citadelle s'étend sur une superficie de 20 hectares sur le mont Saint-Vanne. Les ingénieurs du roi et mathématiciens Pierre de Conty d'Argencour, Jacques Aleaume et Claude Chastillon dirigent la construction selon les plans et principes de l'ingénieur militaire barisien Jean Errard.

En 1648, le traité de Münster, faisant partie des traités de Westphalie, confirme le rattachement de la cité et de l'évêché de Verdun au royaume de France. Louis XIV confie à l'ingénieur et architecte militaire Vauban le soin d'améliorer la défense de la ville. Les travaux débutent en 1674 et s'arrêtent en 1692 avant de reprendre en 1698. La citadelle compte alors plusieurs bastions, des casernes, un arsenal, un magasin d'artillerie, un magasin à blé, des magasins à poudre...

Après la guerre franco-allemande de 1870, la France met en place le système Séré de Rivières, conçu par le général Raymond Adolphe Séré de Rivières. 19 forts sont construits autour de la ville, tels que les forts de Vaux, de Souville ou de Douaumont, qui forment la place fortifiée de Verdun

 

À la fin du XIXe siècle, les ingénieurs militaires, Guinot et Rouillon de Gironville, veulent faire de la citadelle une base logistique. De 1886 à 1893, des galeries sont creusées sous 16 m de roches et forment la citadelle souterraine de Verdun (ou citadelle basse en opposition à la citadelle haute). En 1914, les galeries cumulent une longueur de près de 4 km, et à la fin de la guerre, elles s'étendent sur 7 km.

La citadelle souterraine pouvait accueillir 2 000 hommes et servait à la fois de refuge, de poste de commandement et de base de ravitaillement. Elle se composait de six magasins à poudre, sept magasins de munitions, une boulangerie, un moulin, un central téléphonique et télégraphique, des machines élévatrices d'eau pour la ville et les forts, des cuisines et de vastes magasins. Lors de la bataille de Verdun de 1916, la citadelle souterraine accueille jusqu'à 10 000 soldats et les fours à pains produisent 28 000 rations de pain par jour.

« Puissant réduit recouvert de lourdes masses de terre, la citadelle de Verdun est plus qu'une caserne, c'est une redoute, c'est le point de contact entre l'Avant et l'Arrière. C'est là qu'aboutissent toutes les relèves, c'est de là qu'elles partent toutes - c'est la gare de triage entre la Guerre et la Paix. »

— Gaston Gras, Douaumont

Le 8 novembre 1920, l'Assemblée nationale approuve à l'unanimité un projet de loi visant à déposer sous l'Arc de triomphe de l'Étoile les restes d'un soldat inconnu mort pour la France au cours de la Première Guerre mondiale. Les champs de bataille sont découpés en neuf secteurs : Flandres, Artois, Somme, Marne, Chemin des Dames, Champagne, Verdun, Lorraine et Alsace.

Le 9 novembre 1920, huit cercueils sont acheminés à la citadelle de Verdun. Le neuvième n'est pas retenu car il subsiste un doute sur la nationalité du corps exhumé.

Le 10 novembre 1920, a lieu la cérémonie de désignation du soldat inconnu. Dans une galerie de la citadelle souterraine transformée en chapelle ardente, les cercueils, recouverts d'un drapeau tricolore, sont alignés deux par deux. En présence de nombreux officiels, le ministre des Pensions André Maginot tend un bouquet de fleur au caporal Auguste Thin. Ce dernier doit désigner le Soldat inconnu en déposant le bouquet sur l'un des cercueils : il choisit le 6e cercueil.

« Il me vint une pensée simple : j'appartiens au 6e corps. En additionnant les chiffres de mon régiment, le 132e, c’est également le chiffre 6 que je retiens. La décision est prise : ce sera le 6e cercueil que je rencontrerai. »

— Auguste Thin.

Le Soldat inconnu est emmené à Paris tandis que les sept autres cercueils sont transférés à la nécropole nationale du Faubourg-Pavé et forment « le carré des 7 Inconnus »

Le 24 octobre 1929, la citadelle est inscrite aux monuments historiques.

En 2009, le circuit touristique est modernisé, en remplaçant les installations vieillissantes par du matériel technologique neuf.

En 2016, des travaux de rénovation prévus pour le début de l'année sont retardés pour des raisons environnementales et techniques. Il s'agit de mettre en place une nouvelle scénographie utilisant la réalité virtuelle

La citadelle souterraine est creusée sous 16 m de roches et compte 4 km de galeries en 1914 et 7 km à la fin de la guerre. Cinq galeries principales de 4 à 6 m de large sont orientées ouest-est. Elles sont coupées perpendiculairement par quatre galeries de 2,50 m de large dites « d'écoute ».

Elle se compose de six magasins à poudre, sept magasins de munitions, une boulangerie, un moulin, un central téléphonique et télégraphique, des machines élévatrices d'eau pour la ville et les forts, des cuisines et de vastes magasins

Visite

La visite de la citadelle souterraine se fait à bord d'une nacelle audioguidée qui parcourt les galeries et retrace le rôle de la France et de Verdun dans la Première guerre mondiale

Fréquentation

Année 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Visiteurs 115972 119000 106797 111730 103274 103950 79340 80042 92289 91765 93830

 

 

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Lieux et monuments

Lieux de mémoire de la Grande Guerre

Nécropole nationale du Trottoir : D'une superficie de 8 355 m2, elle rassemble 2 960 corps de soldats dont 2 108 en tombes individuelles et 852 en ossuaires.

Monument au 106e Régiment d'infanterie : situé en haut d'un escalier, ce monument est l’œuvre de Maxime Réal del Sarte. De forme pyramidale, le monument est dominé par une tête humaine portée par des mains décharnées.

 

Mémorial du Génie : dédié à la mémoire des sapeurs victimes de la guerre des mines. Il est formé de sept palplanches de béton ceint d'un mur plein peint en blanc avec cette inscription : « A la gloire du génie ».

Monument du Point X : situé à l'extrémité de la crête dominant la plaine de la Woëvre, il est composé du mur surmonté d'un fronton triangulaire et d'un autel. Un bas-relief œuvre du sculpteur Fischer, représente un officier tête nue entraînant ses hommes au combat (situé sur le territoire de la commune de Combres-sous-les-Côtes).

Monument au 302e régiment d'infanterie : une simple stèle entourée de pavés ; il est situé non loin du monument du Point X.

Monument à la mémoire des morts de la 12e DI, au point C, crête des Éparges.

La statue-buste de Maurice Génevoix.

 

Monuments religieux

Église Saint-Martin, construite en 1852, détruite au cours de la Première Guerre mondiale, reconstruite en 1929.

Croix de chemin, autel de procession, au nord du village.

Calvaire au sud du village.

Décoration et distinction

La commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le 15 mars 1921.

La mention « LES EPARGES 1915 » est inscrite sur le drapeau des régiments cités lors de la Bataille des Éparges.

Chaque lundi de Pâques, une cérémonie commémore les séries d'attaques lancées vers la crête des Éparges, organisée par le comité cantonal de Fresnes-en-Woëvre et la municipalité des Éparges. Cette cérémonie rappelle une page d'histoire : en quelques jours, les régiments français perdirent plus de 5 000 hommes, tués, blessés, ou disparus, appartenant pour un grand nombre d'entre eux aux régiments de la 12e division d'infanterie de Reims (132e de Reims, 106e de Chalons et 25e bataillon de chasseurs à pied d’Épernay et Saint-Mihiel). Hommage est ainsi rendu à tous les combattants morts sur ce haut lieu de mémoire, pendant les quatre années de la Grande Guerre. Lors de ces assauts, ils furent tués, engloutis dans la boue des Éparges, déchiquetés par les mines dont les immenses cratères ponctuent la montée vers le sommet de la crête.

Personnalités liées à la commune

Frédéric Chevillon, cinquième député français mort pour la patrie.

Maurice Genevoix était sous-lieutenant à la 7e compagnie du 106e régiment d’infanterie qui a combattu sur la crête des Éparges. Il a écrit ses souvenirs dans quatre livres : Sous Verdun, Nuit de guerre, La Boue, Les Éparges. Ils ont été condensés en un seul livre : Ceux de 14.

Eugène Criqui y fut blessé en mars 1915.

Maxime Real del Sarte y fut blessé en janvier 1916.

On y porta disparu au cours des combats du 22 septembre 1914, le romancier Alain-Fournier, lieutenant de réserve parti en campagne dès la mobilisation avec le 288e régiment d'infanterie. Cette disparition fit travailler l'imaginaire de beaucoup jusqu'à ce que son corps fût retrouvé et identifié dans une fosse commune allemande en 1991 à quelques centaines de mètres de la Tranchée de Calonne.

Ernst Jünger, soldat allemand, membre du 73e régiment de fusiliers hanovriens, combattit aux Éparges et y fut blessé. Il raconte ce qui fut son premier combat dans Orages d'acier.

Andries Van Wezel - riche diamantaire qui permit la reconstruction du village des Eparges en faisant un don de 500 000 francs or.

Mina Fischer, comtesse Antoine de Cugnac, avait été fiancée avec René Tronquoy, lieutenant au 67e RI, disparu aux Eparges. Elle a aidé à financer l'aménagement des lieux et le monument du point X en mémoire de « Ceux qui n'ont pas de tombe ». Elle sculpta un bas relief qui représenterait le fiancé

Bibliographie

Maurice Genevoix, Ceux de 14 (Sous Verdun, Nuits de Guerre, La Boue, Les Éparges), Paris, Éditions Flammarion, 1949

Robert Porchon, Carnet de route, Paris, Éditions de La Table Ronde, 2008, 206 p. 

Suivi de lettres de Maurice Genevoix et autres documents, édition établie et annotée par Thierry Joie

Eugène-Emmanuel Lemercier, Lettres d'un soldat, Bernard Giovanangeli

Ernst Jünger, Orages d'acier

 

 

 

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Les Éparges : Démocraphie

Publié à 18:27 par dessinsagogo55 Tags : center sommaire centerblog background sur france monde cadre
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Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008.

En 2016, la commune comptait 69 habitants, en diminution de 5,48 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).

 

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
273 312 334 344 380 372 380 380 373
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
366 345 298 314 287 250 243 228 208
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
193 180 161 57 66 65 63 63 72
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
69 72 43 54 57 58 73 75 76
2013 2016 - - - - - - -
73 69 - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999 puis Insee à partir de 2006

 

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