Date de création : 09.04.2012
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18.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
À la fin du XVIIIe siècle, des fèves en porcelaine apparurent, représentant l'enfant Jésus en porcelaine. Sous la Révolution, on remplaça l'enfant Jésus par un bonnet phrygien. Les graines de fève furent systématiquement remplacées en 1870 par des figurines en porcelaine ou – plus récemment – en plastique. De nos jours, si on trouve toujours de vraies fèves, il existe une multitude de fèves fantaisie qui font le bonheur de collectionneurs : la collection de ces petits objets se nomme la favophilie.
Fèves.
Le terme pâte vient du bas-latin pasta, de même sens. Les pâtes réputées les meilleures viennent d'Italie, bien que les R?men japonaises ou les pâtes chinoises soient aussi très réputées.
Une légende raconte que, de retour de son voyage en Chine en 1295, Marco Polo en ramena à Venise et leur donna une nouvelle notoriété, cependant, des tablettes cunéiformes, traduites en 1994, leur attribuent une paternité culinaire mésopotamienne vieille de plusieurs millénaires.
Ve siècle : un texte d'Apicius décrit un mets qui ressemble à s'y méprendre aux lasagnes.
800 : On trouve des traces de pâtes sèches confectionnées à partir de semoule de blé dur vers 800. Elles ont été introduites par les conquérants musulmans de la Sicile, et au XIIe siècle les Républiques maritimes de Gênes et de Pise commercialisent des pâtes sèches.
1154 : le géographe arabe Al Idrisi fait référence dans ses écrits aux pâtes de Trabia, un village auprès de Palerme. Les caravanes qui traversaient l'Empire arabe se nourrissaient déjà de pâtes séchées. C'est l'une des premières traces écrites relative aux pâtes.
1295 : la légende raconte que Marco Polo rentrant à Venise après son fabuleux voyage en Chine, a introduit les pâtes en Italie. Cependant, dans son livre il Milione celui-ci dit au sujet des lasagnes faites en Chine qu'elles sont « ...bonnes, autant que celles que j'ai mangé tant de fois en Italie ».
XIIIe siècle : la Papauté établit des standards de qualité pour les pâtes.
XIVe siècle : les pâtes commencent à être farcies.
XVIe siècle : les pâtes sont importées en France à la suite du mariage de Catherine de Médicis avec Henri II de France.
1933 : l'Italie met au point une loi réglementant le commerce et la production des pâtes.
1934 : en France, une loi impose de fabriquer les pâtes alimentaires à partir de semoule de blé dur.
Le pop-corn, maïs soufflé, maïs éclaté ou tactac est un aliment produit par un chauffage fort de grains de maïs (Zea mays var. everta).
Il existe une seule variété de maïs capable de produire du pop-corn : le maïs à éclater. Il se trouve néanmoins sous deux formes différentes : Mushroom et Butterfly. Ces derniers ont des graines plus petites que le maïs commun mais celles-ci ont une coque beaucoup plus résistante.
L'intérieur des grains de maïs est en grande partie composé d'amidon sous forme de granules, lesquels contiennent de l'eau entre 8 et 25 %. Lorsque l'on fait chauffer les grains, l'eau contenue dans le granule entre en ébullition et se transforme en vapeur. Elle se concentre alors au centre du granule, repoussant l'amidon en périphérie. Celui-ci, du fait de la température et de la pression, commence à cuire et devient visqueux, permettant l'agglutination des granules entre eux. Aux alentours de 180 °C, comme la vapeur occupe un plus grand volume que l'eau liquide, l'enveloppe est alors soumise à une forte pression (jusqu'à 9 atmosphères) et se rompt subitement. Visuellement, le grain « éclate ». L'eau restante s'évapore, l'amidon est « expansé », alors que l'enveloppe est « noyée » dans l'amidon. Le grain a alors gagné près de 30 fois son volume initial. Des études montrent que pour un éclatement optimal, le grain doit avoir une teneur en eau de l'ordre de 14 %.
Son nom provient de « pop », qui veut dire « éclater » en anglais et « corn », qui signifie « maïs » en anglais américain.
Le pop-corn se consomme nature, salé ou sucré, mais on peut aussi le consommer épicé, avec du chocolat et du caramel, entre autres.
Ses propriétés élastiques sont proches du polystyrène expansé et permettent son utilisation dans l'emballage des objets fragiles, avec l'avantage d'être, par essence, biodégradable.
Éclatement d'un grain de maïs
Il est très souvent vendu dans des salles de cinéma depuis l'heure de la Grande Dépression et est devenu un symbole de l'industrie cinématographique (en particulier américaine). C'est un commerce très lucratif, dégageant une marge de 2 500 %. Le magazine Sight & Sound a calculé que les salles de cinéma ont engrangé chaque année 1,4 milliard de dollars en moyenne grâce à la seule vente de pop-corn. Ce succès possède cependant un revers, en effet le cinéma « pop-corn » est un qualificatif souvent négatif, désignant un film sans grande valeur artistique ou culturelle. Le mangeur de pop-corn représente par ailleurs l'archétype du bruit parasite.
Le chocolat est un aliment sucré produit à partir de la fève de cacao. Celle-ci est fermentée, torréfiée, broyée jusqu'à former une pâte de cacao liquide dont on extrait la matière grasse appelée beurre de cacao. Le chocolat est constitué du mélange, dans des proportions variables, de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre ; on y ajoute éventuellement des épices, comme la vanille, ou des matières grasses végétales.
Consommé initialement sous forme de boisson épicée au Mexique et en Amérique centrale, le chocolat du nahuatl xocoatl, se démocratise avec la révolution industrielle.
Au XXIe siècle, il est consommé sous forme solide (chocolat noir ou au lait) ou liquide (chocolat chaud). Le chocolat se retrouve dans de nombreux desserts tels que les confiseries, biscuits, gâteaux, glaces, tartes.
Offrir du chocolat, moulé de différentes manières, est devenu traditionnel lors de certaines festivités : œufs, lapins et cloches à Pâques, pièces de monnaie pour Hanoucca et Noël et cœurs pour la Saint-Valentin, en Suisse dans le canton de Genève les traditionnelles marmites de la fête de l'Escalade.
Les effets du chocolat sur la santé sont ambigus. Il est très apprécié des gourmets et une publication démontrant un effet bénéfique en favoriserait les ventes ; pourtant les nombreuses études réalisées à ce sujet restent en majorité non probantes.
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Le livre de la Genèse Maya, le Popol Vuh, attribue la découverte du chocolat aux dieux. Dans la légende, la tête du héros Hun Hunaphu, décapité par les seigneurs de Xibalba, est pendue à un arbre mort qui donna miraculeusement des fruits en forme de calebasse appelés cabosses de cacao. La tête crache dans la main d'une jeune fille de Xibalba, l'inframonde maya, assurant ainsi sa fécondation magique. C'est pourquoi le peuple maya se sert du chocolat comme préliminaires au mariage. Le cacao permet aussi de purifier les jeunes enfantsmayas lors d'une cérémonie. De même, le défunt est accompagné de cacao pour son voyage vers l'au-delà
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Le mot chocolat proviendrait du nahuatl xocolatl, qui est une combinaison des mots xocolli (signifiant « acide ») et atl (qui veut dire « eau »).
Les Aztèques associaient le chocolat avec Xochiquetzal, la déesse de la fertilité. Les mayas l'associaient également à leur dieu de la fertilité (voir la section Effets non prouvés).
Le philologue mexicain Ignacio Davila Garibi suggère que les Espagnols ont inventé ce mot en associant le terme chocol et en remplaçant le mot maya haa (signifiant eau) par le terme nahuatl atl. Cependant, il semble plus probable que les Aztèques eux-mêmes inventèrent le mot, ayant adopté depuis longtemps en nahuatl le mot maya pour la fève de cacao. En effet, les Espagnols eurent peu de contact avec les Mayas avant que Cortés rapporte au roi d'Espagne une boisson chocolatée connue sous le nom de xocolatl8. Wiliam Bright relève que le mot xocoatl n'apparaît pas au début de la langue espagnole ou dans les sources coloniales Nahuatl.
Le verbe maya chokola'j , qui signifie « boire du chocolat ensemble », a aussi été proposé comme origine possible.
Dans une étude controversée, les linguistes Karen Dakin et Søren Wichmann remarquent que dans de nombreux dialectes nahuatl, le nom est plutôt chicolatl que chocolatl. De plus, de nombreuses langues parlées au Mexique (telles que le popoluca, le mixtèque, le zapotèque) et même aux Philippines, ont emprunté cette version du mot. Le mot chicol-li fait référence à des ustensiles de cuisine (toujours utilisés dans certaines régions). Depuis que le chocolat a été servi, à l'origine dans des cérémonies, avec des fouets individuels, Dakin et Wichmann considèrent qu'il semble assez probable que la forme d'origine du mot était chicolatl, ce qui pourrait signifier « boisson battue ». Dans plusieurs régions du Mexique, en effet chicolear signifie « battre, remuer ».
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Originaire des plaines tropicales d'Amérique du Sud et centrale, le cacaoyer, produisant les fèves de cacao, est cultivé depuis au moins trois millénaires dans cette région et dans l'actuel Mexique.
En novembre 2007, des archéologues affirment avoir trouvé la plus ancienne preuve de l'utilisation des fèves, la situant entre 1100 et 1400 av. J.-C. : l'analyse chimique de résidus de récipients trouvés sur le site de fouilles de Puerto Escondido (Honduras) indique qu'à cette époque, le mucilage entourant les fèves servait à la fabrication d'une boisson fermentée. L'invention de la boisson chocolatée non alcoolisée fabriquée par la majorité des peuples mésoaméricains (y compris mayas et aztèques) fut postérieure ; cette boisson était vraisemblablement d'abord utilisée à des fins thérapeutiques ou lors de certains rituels.
Le chocolat est un produit de luxe dans toute la Mésoamérique durant la civilisation précolombienne et les fèves de cacao sont souvent utilisées comme monnaie d'échange pour faire du troc, payer des impôts et acheter des esclaves et ce, dès 1 000 ans av. J.-C.. Par exemple, un Zontli est égal à 400 fèves, tandis que 8 000 fèves sont égales à un Xiquipilli. Dans les hiéroglyphes mexicains, un panier contenant 8 000 fèves symbolise le chiffre 8 000. Plus tard, en 1576, il faut 1 200 fèves pour obtenir un peso mexicain15. Les Aztèques utilisent un système dans lequel une dinde coûte cent fèves de cacao et un avocat frais trois fèves.
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Les Mayas cultivaient des cacaoyers et utilisaient les fèves de cacao pour fabriquer une boisson mousseuse et amère, souvent aromatisée avec de la vanille, du piment et du roucou nommée xocoatl. Une tombe maya du début de la période classique (460-480 av. J.-C.), retrouvée sur le site de Rio Azul (au Guatemala), contenait des récipients sur lesquels est représenté le caractère maya symbolisant le cacao et comportant des restes de boisson chocolatée. Une poterie contenant des traces de cacao fut découverte au Belize, ce qui confirme l'existence d'une consommation de chocolat au vie siècle. Des documents rédigés en caractères Maya attestent que le chocolat est utilisé aussi bien pour des cérémonies que pour la vie quotidienne.
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