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Monde : Chine

Hongyan

Publié à 13:17 par dessinsagogo55 Tags : center création centerblog sur merci société
Hongyan

 

 

Hongyan est la marque commerciale de la société constituée entre les groupes italien FIAT IVECO et chinois SAIC Motor Corporation pour la fabrication en Chine de la gamme lourde des camions Iveco.

 

Créée le 18 septembre 2006, cette coentreprise scelle la coopération entre les deux groupes et permet à Iveco de renforcer encore sa présence en Asie après le récent développement de sa filiale chinoise NAVECO, spécialisée dans la gamme légère et moyen tonnage.

 

La création de cette société a été rendue possible grâce à la possibilité offerte aux sociétés étrangères d'acquérir des sociétés chinoises en dépassant l'ancienne barre des 50 %. Ainsi, Iveco filiale du groupe Fiat S.p.A. et Saic Motor Corporation, un des plus grands groupes automobiles chinois ont pu créer la société SAIC-IVECO Commercial Vehicle Investment Company qui a racheté le constructeur de poids lourds chinois Chongqing Aongyan Automotive. La nouvelle marque se nommera Hongyan.

 

La nouvelle usine aux standards Iveco construite pour les nouvelles productions a vu sortir le nouveau camion lourd, le Genlyon le 20 mars 2009. Les activités industrielles de la marque sont l'assemblage de véhicules lourds Iveco et de la gamme Chongqing avec l'apport des technologies Iveco. La capacité de production dépasse 50 000 véhicules par an.

 

Un autre accord a été passé entre les deux groupes, celui-ci concerne la fabrication de moteurs de dernière génération pour poids lourds moyens et lourds le 24 juillet 2006, entre IVECO, Fiat Powertrain Technologies et SAIC Motor Corporation. L'accord prévoit un plan industriel pour la fabrication des trois familles de moteurs Iveco : F5, NEF (4 et 6 cylindres) et Cursor 9.

 

SAIC-IVECO est une composante de Fiat Chine.

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hongyan

 
     
     
     
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Traité de Tien-Tsin (1858)

Publié à 08:56 par dessinsagogo55 Tags : gain fond air png google vie prix centerblog sur merci france place argent article création
Traité de Tien-Tsin (1858)

 

 

Le traité de Tientsin, ou traité de Tianjin (chinois simplifié : 天津条约 ; chinois traditionnel : 天津條約 ; pinyin : tiānjīn tiáoyuē), est un traité de paix qui fut signé le 26 juin 1858, clôturant la première phase de la seconde guerre de l'opium (1856-1860). Le Second Empire français, le Royaume-Uni, l'Empire russe et les États-Unis furent les parties concernées. Ce traité permettait l'ouverture de onze nouveaux ports chinois (voir Traité de Nankin) aux étrangers, permettant des délégations étrangères à Pékin, ainsi que l'activité des missionnaires chrétiens et la légalisation de l'importation de l'opium. Il fut ratifié par l'empereur de Chine à la Convention de Pékin en 1860, à la fin de la guerre.

Cet accord fait partie des « Traités inégaux », série de traités imposés militairement par les puissances colonisatrices occidentales aux pays d'Extrême-Orient.

 

Points importants

 

Britanniques, Français et Américains auront le droit d'établir des délégations permanentes à Pékin (cité interdite à beaucoup d'étrangers jusqu'alors) ;

 

Onze ports chinois (voir l'article XI du traité) de plus seront ouverts au commerce étranger (on retrouve Yingkou, Danshui, Hankou et Nankin) ;

 

Les bateaux étrangers (même militaires) pourront naviguer sans contrôle sur le Yangzi Jiang ;

 

Les étrangers pourront voyager dans les régions intérieures de la Chine afin de commercer, envoyer des missionnaires ou tout autre but ;

 

La Chine devra payer une indemnité à l'Angleterre et à la France de 2 millions de Tael d'argent chacun, et une compensation aux marchands anglais de 2 autres millions ;

 

Les lettres et documents officiels entre la Chine et le Royaume-Uni devront exclure pour désigner les sujets de la Couronne britannique et ses officiels le caractère « 夷 » ou « yi » signifiant « barbares » ;

 

Légalisation de l'opium par la Chine, dont l'illégalité n'avait pas été remise en cause par le traité de Nankin.

 

Définitions

 

Le traité de Tientsin, appelé par certains historiens contemporains traité de Tianjin, use parfois de termes ambigus au sens trompeur. Par exemple, les expressions « colonie » et « concession ». La colonie se rapporte à une bande de terre pour laquelle une puissance étrangère possède un bail et qui est composée d'étrangers ainsi que de locaux. Elle est gouvernée localement par des étrangers désignés. La concession se rapporte à un bail à long terme sur un territoire entièrement contrôlé par une autre nation. Il est gouverné par un représentant consulaire.

 

Implication américaine

 

À la suite des puissances européennes, les États-Unis s'orientent vers la création d'un empire colonial avec la création d'une flotte militaire et la mise en place de mesures protectionnistes. Ce nouvel impérialisme amène le pays à tourner ses vues vers le Pacifique et en particulier la Chine. Les États-Unis étaient une des nations signataires du traité chinois et elle a forcé l'ouverture de 23 concessions par le gouvernement chinois. Alors qu'il est souvent noté que l'État américain ne disposait d'aucune colonie en Chine, il partageait néanmoins avec les Anglais certains des territoires obtenus et était invité à prendre une partie de Shanghai ce qu'il a refusé le jugeant trop désavantageux

 

Conséquences

 

Le traité de Tianjin fait partie des traités inégaux, violant la souveraineté territoriale de l'empire des Qing, légalisant le commerce de l'opium, vidant un peu plus les caisses de l'État et aggravant son déficit commercial au profit des Britanniques. Il permit aux missionnaires étrangers de circuler librement dans tout le pays. Ratifié par la convention de Pékin, il conduisit au sac du palais d'été

 

 

 
Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Tien-Tsin_(1858)

   
   
   
   
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The Last Tycoon (film, 2012)

Publié à 14:55 par dessinsagogo55 Tags : center png centerblog film sur merci vie place amour musique femme société histoire
The Last Tycoon (film, 2012)

 

 

The Last Tycoon (大上海Da Shang Hai, litt. « Shanghai la grande ») est un film dramatique historique sino-hongkongais co-écrit et réalisé par Wong Jing, sorti en 2012 en Chine et en 2013 à Hong Kong.

Le scénario s'inspire de la vie de Du Yuesheng, un important parrain du crime du Shanghai des années 1920 et 1930

 

L'histoire commence dans les années 1910 au début de la République de Chine. Cheng Daqi (Huang Xiaoming), un jeune vendeur de fruits de Chuansha, est arrêté et emprisonné sur des accusations de meurtre. Il est sauvé par Mao Zai (Francis Ng), un officier militaire travaillant pour la police secrète. Il se rend alors à Shanghai à la recherche d'une nouvelle vie avec son fidèle ami Fatso. Sur place, il rencontre Hong Shuting (Sammo Hung), un chef de mafia, et devient l'un de ses protégés. Il tombe également amoureux de Bao (Monica Mok (en)), une chanteuse qu'il épouse par la suite. Son véritable amour, cependant, est en réalité Ye Zhiqiu (Yuan Quan (en)), une chanteuse d'opéra originaire de sa ville natale et qui l'attire depuis ses débuts. Par la suite, Hong offense par erreur le fils d'un général et est capturé par les militaires. Cheng négocie avec le général et réussit à le persuader de libérer Hong et même à investir dans leur banque. Se sentant redevable, Hong se proclame frère de sang avec Cheng, lui offrant ainsi une position de grande puissance.

Vingt ans plus tard, Cheng (Chow Yun-fat) est devenu l'un des magnats les plus influents de Shanghai. Dans son entourage se trouvent Fatso et son rival Linguai, devenu son garde du corps. Il entretient des liens étroits avec Hong et sa femme, Ling Husheng. En même temps, il entretient également une relation instable avec Mao Zai, devenu général dans l'armée nationale révolutionnaire. Il rencontre son ancien désir, Ye Zhiqiu, lors de sa visite à Shanghai, mais elle est déjà mariée à Cheng Zhaimei, un rebelle anti-gouvernemental. Ils sont pris dans les événements de la seconde guerre sino-japonaise qui éclate en 1937. Après avoir survécu à un important raid aérien et à une tentative d'enlèvement des Japonais, Cheng demande à Mao de prendre des dispositions pour que lui, Ye et son mari puissent fuir à Hong Kong pour échapper à la bataille de Shanghai, mais est obligé de laisser Bao en otage. Après la chute de Shanghai, Mao fait défection vers les Japonais et est nommé gouverneur de la province. Le général japonais Nishino (Yasuaki Kurata) a l'intention de faire de Cheng le maire fantoche de Shanghai. Mao lui suggère donc de maintenir en vie les êtres chers de Cheng et de s'en servir pour l'attirer à Shanghai. À Hong Kong, Cheng et Ye entendent parler de la torture et de l'humiliation infligés par les Japonais, et Mao repère Hong, Ling et les autres.

Cheng et Ye retournent à Shanghai et coopèrent à contrecœur avec les Japonais, ce qui leur vaut la haine de la population chinoise. Ils prévoient en fait de sauver leurs proches et d'assassiner Nishino. Un soir, tandis que le général japonais et Mao Zai assistent à un spectacle d'opéra de Ye et de sa troupe, Cheng, rejoint par Lin Huai, Fatso et ses complices, effectue une descente dans une prison, ainsi que dans la caserne et l'aérodrome voisins où Hong, Ling et d'autres personnes sont détenus. Les prisonniers sont libérés mais il est trop tard pour sauver Ling et Hong. Lin Huai se sacrifie pour retarder les poursuivants, et Cheng, Ye et leurs camarades attaquent ensuite l'opéra, tuant Nishino et plusieurs officiers et collaborateurs japonais. Mao s'enfuit dans les coulisses, où il capture Ye et menace de la tuer si Cheng ne se rend pas. À ce moment, Bao se présente et sauve Ye de Mao, mais se fait tuer. Cheng, furieux et triste, tue alors Mao en le criblant de balles. Il sort du bâtiment, Bao dans ses bras, et se fait encerclé par des soldats japonais. Se réfugiant avec Bao et Fatso dans une voiture, ils sont tous tués lorsque les Japonais ouvrent le feu.

Fiche technique

 

Titre original : 大上海

Titre international : The Last Tycoon

Réalisation : Wong Jing

Scénario : Wong Jing, Phillip Lui et Manfred Wong

Photographie : Andrew Lau et Jason Kwan

Montage : Azrael Chung

Musique : Chan Kwong-wing

Production : Andrew Lau et Connie Wong

Société de production : Mega Vision Pictures, Beijing Enlight Pictures (en) et Polybona Films

Société de distribution : Distribution Workshop

Pays d'origine : Drapeau de Hong Kong Hong Kong et Drapeau de la République populaire de Chine Chine

Langue originale : mandarin

Format : couleur

Genre : drame historique

Durée : 107 minutes

Dates de sortie :

Drapeau de la République populaire de Chine Chine : 21 décembre 2012

Drapeau de Hong Kong Hong KongDrapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande et Drapeau de Singapour Singapour : 3 janvier 2013

Drapeau de Taïwan Taïwan : 25 janvier 2013

Drapeau du Japon Japon : 28 septembre 2013

 

Distribution

 

Chow Yun-fat (VF : Michaël Cermeno) : Cheng Daqi
Huang Xiaoming (VF : Olivier Valiente) : Cheng Daqi (jeune)
Sammo Hung (VF : Éric Bonicatto) : Hong Shuting
Francis Ng (VF : Jean-Didier Aïssy) : Mao Zai
Yuan Quan (en) (VF : Sophie O) : Ye Zhiqiu
Monica Mok (en) (VF : Magali Mestre) : Bao
Yasuaki Kurata : le général Nishino

 

Récompenses

 

32e cérémonie des Hong Kong Film Awards : Meilleurs décors et Meilleure musique de film



Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/The_Last_Tycoon_(film,_2012)  
     
     
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Une réplique grandeur nature du Titanic en Chine

Publié à 13:06 par dessinsagogo55 Tags : google abonnement article centerblog sur mer merci monde fond histoire nature noel
Une réplique grandeur nature du Titanic en Chine
Le chantier de construction d'une réplique du Titanic, le 26 avril 2021 dans le district de Daying (Chine) AFP / NOEL CELIS 
 
Une réplique grandeur nature du Titanic sort de terre en fin fond de la campagne en Chine

 

 
 
Il ne coulera point et ne verra jamais la mer: au fin fond de la campagne chinoise, une réplique grandeur nature du Titanic a commencé à sortir de terre au milieu des champs, avant d'accueillir des touristes dans un parc à thème consacré au mythique paquebot.

 

A Suining (sud-ouest), quatre grues surplombent une immense cale sèche au bord d'une rivière. Casques de protection jaunes sur la tête, des ouvriers s'activent autour de la coque d'un navire géant.

 

Des ouvriers sur le chantier de construction d'une réplique grandeur <a class=
 
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Des ouvriers sur le chantier de construction d'une réplique grandeur nature du Titanic, le 27 avril 2021 dans le district de Daying (Chine, province du Sichuan) AFP / NOEL CELIS

 

Le chantier produit une gigantesque réplique du Titanic, le tristement célèbre navire qui a sombré voilà plus d'un siècle dans l'Atlantique, tuant plus de 1.500 passagers et membres d'équipage.

 
 

"C'est un projet très compliqué", affirme à l'AFP Su Shaojun, à l'origine de cette idée. "On construit un navire grand comme un porte-avions" sur des terres, explique dans son bureau M. Su, devant une maquette du paquebot.

A Suining, la mer la plus proche est à plus de 1.000 kilomètres. Mais l'entrepreneur en est persuadé: les curieux feront quand même le déplacement pour visiter "Titanicland", son parc à thème consacré au navire.

Coût du projet: 10 milliards de yuans (1,2 milliard d'euros). L'inauguration est prévue en fin d'année.

 

 

Un ouvrier effectue une soudure, sur le chantier d'une réplique du Titanic, le 27 avril 2021, dans le district de Daying (Chine)
 
Un ouvrier effectue une soudure, sur le chantier d'une réplique du Titanic, le 27 avril 2021, dans le district de Daying (Chine) AFP / NOEL CELIS

Le Titanic était à son époque le plus grand paquebot de croisière jamais construit.

Censé être insubmersible, il reste synonyme du plus grand désastre de l?histoire maritime.

Comme l'original, la réplique de M. Su mesure 260 mètres de long. Il a fallu six ans pour la construire -- le double du vrai Titanic -- avec une centaine d'ouvriers et 23.000 tonnes d'acier.

 
 

Tout, de la salle à manger aux cabines de luxe et même les poignées de porte, est inspiré de l'original.

Et dans un souci de réalisme, une véritable machine à vapeur donnera l'impression aux visiteurs d'être réellement en mer.

 

 

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Ever Given

Publié à 19:37 par dessinsagogo55 Tags : center png centerblog sur monde histoire
Ever Given

 

Ever Given (chinois : 長賜輪) est un porte-conteneurs de classe Golden, un des plus grands du monde. Le navire est opéré par la compagnie taïwanaise Evergreen Marine et bat pavillon panaméen

 

Histoire

Collision à Hambourg

 

Le 9 février 2019, le navire a heurté et gravement endommagé un transbordeur de la compagnie HADAG de vingt-cinq mètres de long à Blankenese, près du port de Hambourg. Deux minutes après la collision, une interdiction de circulation sur l'Elbe a été émise en raison des vents violents

 

 

Échouement dans le canal de Suez

 

Le 23 mars 2021 à h 40, durant son trajet vers Rotterdam, le navire passe par le canal de Suez, mais s'y coince en diagonale, bloquant le canal. Evergreen Marine a déclaré que le navire s'est échoué accidentellement à cause de rafales de vent. L'incident, bloquant les deux sens de circulation du canal a mené à un embouteillage de centaines de navires et à une hausse des cours du pétrole

 

Type Porte-conteneurs
Classe Golden
Histoire
Constructeur Imabari Shipbuilding
Lancement 2018
Statut en service
Caractéristiques techniques
Longueur 400 m
Maître-bau 59 m
Tonnage 219079 GT
Caractéristiques commerciales
Capacité 20 388 EVP
Carrière
Propriétaire Shoei Kisen
Armateur Shoei Kisen

Evergreen Marine Corporation

Pavillon  Panama

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ever_Given

 

 

 

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Jiang Qing

Jiang Qing

 

Jiang Qing (19 mars 1914-14 mai 1991), ancienne actrice, est une femme politique chinoise. Surnommée « l’Impératrice Rouge », elle fut la quatrième et dernière épouse de Mao Zedong, fondateur de la République populaire de Chine et joua un rôle politique majeur durant la Révolution culturelle.

 

Elle fut arrêtée en 1976, quelques jours après la mort de Mao, et condamnée à finir ses jours en prison (où elle se suicida). En tant que membre de la bande des Quatre, elle est considérée comme une des personnalités responsables du déclenchement, des violences et des destructions de la Révolution culturelle.

 

Jiang Jing (ou Jiāng Qīng selon la transcription pinyin), de son vrai nom Luan Shumeng (alias Li Yunhe, alias Li Jin, alias Lan Ping), est née entre 1912 et 1914 à Zhucheng dans la province du Shandong, d'une famille de modeste origine. Son père, Li Dewen, était charron et aubergiste. Son enfance dans ce bourg de 30 000 habitants ne fut guère épanouissante. Son père, alcoolique et brutal, battait sa mère (qui n'était pas épouse, mais seulement concubine), laquelle battait Jiang Qing à son tour.

 

 
« Lan Ping », actrice, ca. 1930.
 

À l'âge de cinq ans, sa mère s'enfuit et l'emmène chez son grand-père à Jinan. Là, Yun He (« Grue dans les nuages », son nouveau nom) fréquentera l'école primaire. Mais en 1928, sa mère, probablement remariée, quitte la ville et disparaît, laissant seule l'adolescente. Elle se joint alors à une troupe de Jinan où elle commence l'apprentissage du métier d'acteur. La jeune fille, déjà très belle, s'épanouit dans ce monde artistique. Elle réussit à intégrer l'académie des arts dramatiques de Jinan au printemps 1929, avant que des difficultés ne surgissent à nouveau dès 1930 quand l'établissement ferme brutalement ses portes. Yun He épouse alors Feïn, le fils d'un commerçant de Jinan, qui s'est épris d'elle. Ce mariage de raison pour cette femme ambitieuse ne tarde pas à aboutir, quelques mois plus tard, à un divorce.

 

La jeune fille part alors pour Qingdao, le grand port du Shandong, où l'ancien directeur de l'Académie des beaux-arts de Jinan est devenu doyen de l'université. L'épouse de ce dernier, Yu Shan, avec qui elle a sympathisé, lui obtient un emploi à la bibliothèque universitaire et surtout lui présente son frère Yu Qiwei, qui occupe un poste important au sein du Parti communiste chinois, il est responsable de la propagande du parti clandestin pour Qingdao.

 

En 1933, elle part pour Shanghai commencer une carrière d'actrice sous le nom de Lan Ping (蓝苹) « Pomme Bleue » ; elle y épouse un critique de cinéma appelé Tang Na (pseudonyme de Ma Jiliang) dont elle divorce en 1937.

 

Pendant quelques années, l'actrice décroche sous le nom de Lan Ping des rôles modestes dans des films de série B. Quoique médiocre, cette carrière l'amène à côtoyer les milieux de gauche, sans y être vraiment acceptée — ce dont elle tirera une certaine rancœur qu'elle assouvira pendant la Révolution culturelle. Femme réputée légère, elle a des relations avec des membres du Parti communiste chinois, dont Kang Sheng, qui fut son amant. Celui-ci la présentera ultérieurement à Mao, après avoir rallié ce dernier. Elle devient également la maîtresse de (alias) Huang Jing, un cadre communiste clandestin. Arrêtée par la police pour ces fréquentations, elle est aussitôt relâchée, sans doute après avoir dénoncé des camarades dont elle connaît l'identité, comme certains le lui ont reproché par la suite. Ultérieurement, elle s'efforcera de détruire les traces de son passé en éliminant les témoins, certains mourront sous la torture, ses anciens geôliers susceptibles de révéler sa trahison disparaîtront.

 

L'attente

 

En 1937, elle se sépare de son mari Tang Na et, en compagnie de son ancien amant Yu Qiwei, rejoint Yan'an, la base des forces communistes établie à l'issue de la Longue Marche. C'est à ce moment qu'elle prend le nom plus connu de Jiang Qing. Très ambitieuse, elle va s'employer à séduire Mao, qui divorce alors de sa troisième femme, He Zizhen. Le Bureau politique est pourtant défavorable à cette union, car il se méfie de cette starlette à la réputation sulfureuse. Il craint en outre que cette liaison nuise à l'autorité de Mao, dont l'ex-femme, militante exemplaire, avait participé à toutes les luttes du Parti, et notamment enduré les épreuves de la Longue Marche aux côtés de Mao. Une condition est donc posée, qui est acceptée par Mao : que Jiang Qing s'abstienne de participer à toute activité politique publique. Malgré la déception très vive de Jiang Qing, celle-ci s'incline et le mariage a lieu en novembre 1938. Elle devient ainsi la quatrième et dernière épouse de Mao, après Yang Kaihui (épousée en 1920) et He Zizhen (épousée en 1928).

 

 
Mao et Jiang Qing à Yan'an
 

De fait, Jiang Qing attendra son heure et se tiendra à l'écart de la vie publique pendant plus d'une décennie. Elle donne à Mao une fille en 1940, Li Na. En 1950, le parti lui abandonne avec réticence le poste de membre du Comité directeur de l'industrie cinématographique dépendant du ministère de la Culture, mais il la traite avec désinvolture, ne lui cachant pas qu'elle est accueillie à ce poste par faveur privée du Président Mao (ce dont les têtes de ce comité comme Xia Yan, Tian Han, etc. auront à se repentir : ils seront tous éliminés pendant la Révolution culturelle, ainsi que toutes les personnalités influentes du théâtre et du cinéma). Ce retrait est d'autant plus accentué qu'elle entretient dans les années 1950 des relations pour le moins tumultueuses avec Mao, qui ne lui témoignait pas une fidélité exemplaire (Philip Short et ses autres biographes en font même un dépravé friand de jeunes pubères), et ne pouvait supporter son hypocondrie. En 1955, elle est accueillie à Moscou pour soigner un cancer du col de l'utérus, elle y séjourne souvent. Elle confie à un médecin soviétique qu'elle n'a plus de relations sexuelles avec Mao Zedong. Ce dernier a de jeunes et jolies infirmières complaisantes et ne dédaigne pas des danseuses d'un soir ou des jeunes paysannes.

 

À l'issue du Grand Bond en avant qui, entre 1957 et 1962 cause la mort d'environ 45 millions de personnes, Mao, écarté du pouvoir par le Parti, se rapproche alors de Jiang Qing. Elle s'efforce de développer une certaine influence dans le domaine de l'art. Elle met en avant des formes extrêmement radicales du réalisme socialiste, transformant toute forme d'art en pure propagande politique, et s'intéresse particulièrement à la réforme de l'opéra de Pékin. Son désir de mettre un terme à l'effacement qu'elle subit est en outre exacerbé par les succès publics de Wang Guangmei, femme de Liu Shaoqi, le numéro un du régime. Cette dernière subira aussi par la suite la vindicte de Jiang Qing : publiquement vilipendée et torturée, on lui reprochera entre autres « crimes » l'élégance de ses toilettes portées lors d'un voyage officiel en Indonésie aux côtés de Liu Shaoqi.

 

En attendant, comme mesure de compensation, Jiang Qing est élue à l'Assemblée populaire nationale. Elle se fait alors attribuer plusieurs « villas luxueuses », et utilise une des rares voitures particulières de Chine. Pour les besoins de la propagande, elle se fait photographier avec, dans les mains, le manche d’une pioche ou d’un balai.

 

Sa première occasion de manifester un activisme politique se présente durant l'été 1964, lorsqu'elle propose sa réforme de l'opéra. Cette tentative fit néanmoins long feu face au mur d'indifférence, si ce n'est de mépris, présenté par les autorités du Parti.

 

La Révolution culturelle

 

 
Mao et Jiang Qing en 1946.
 

Dès le début de la Révolution culturelle (1966-1976), Jiang Qing ne vit plus avec Mao Zedong. Dans son ouvrage La Vie privée du président Mao, Li Zhisui, médecin personnel de Mao, précise que ce dernier n'a plus de relations sexuelles avec sa femme. Mais il conserve à ses côtés « plusieurs protégées ». Une de celles-ci est Zhang Yufeng, une contrôleuse de train, qu'il a connue en 1962 alors qu'elle a dix-huit ans et lui soixante-huit. Elle reste sa maîtresse jusqu'à la mort de Mao en 1976 avec un « pouvoir considérable » car elle était la seule à savoir lire sur les lèvres de son amant. Jiang Qing obtient l'amitié de la maîtresse de son mari en la couvrant de cadeaux, elle garde ainsi la possibilité de voir celui-ci. De son côté Jiang Qing a une liaison avec un champion de ping-pong qui est remercié avec un poste éphémère de ministre des sports.

 

La Révolution culturelle, tentative orchestrée par Mao à partir de 1965 pour reprendre le pouvoir en relançant la révolution sur une voie radicale, permet à Jiang Qing de se hisser au centre de la scène. Elle se jette dans la mêlée politique, puis profitant du chaos sanglant qui s'ensuit, elle se place — avec l'assentiment de Mao — au premier rang des dignitaires du régime en prenant avec Chen Boda la tête du groupe de la révolution culturelle.

 

Le dazibao de Nie Yuanzi aurait été placardé le 25 mai 1966, à l'Université de Pékin, sur ordre de Jiang Qing. Elle entreprend une campagne de « purification » des arts à partir de 1967, excluant tout ce qui ne relevait pas d'un véritable art populaire « antiféodal » et « antibourgeois ». Elle limite strictement le nombre d'opéras autorisés à huit opéras révolutionnaires. Lin Biao l'aide également à cette époque à répandre son idéologie au sein de l'Armée populaire de libération par le biais de compagnies de danse et de théâtre. De façon générale, elle joue un rôle essentiel au cours des différents rebondissements de cette folle équipée qui mena la Chine au bord du gouffre. Elle est membre du 9e Politburo du Parti communiste chinois du 28 avril 1969. Elle est réélue le 30 juin 1973, lors du 10e Politburo du PCC, mais son rôle politique n'est plus aussi essentiel.

 

En 1975, son ancien amant Kang Sheng, agonisant, fait venir à l’hôpital les traductrices anglaises et protégées de Mao, Nancy Tung et Wang Hairong, pour accuser Jiang Qing d'avoir été un agent double au service de Tchang Kaï-chek.

 

Lors du Mouvement du 5 avril 1976, des milliers de Chinois se rassemblent sur la place Tian'anmen et dans plusieurs villes chinoises pour honorer Zhou Enlai, décédé en janvier de la même année, et protester contre la politique menée par les dirigeants chinois. Des textes s'attaquent à l'impératrice rouge Jiang Qing et à ses proches. Les manifestants sont évacués de la place dans « le sang », plusieurs centaines de morts sont évoqués. Deng Xiaoping est mis en accusation par la Bande des Quatre, pour avoir organisé les manifestations du 5 avril. Après sa mise en résidence surveillée, Deng est démis de ses fonctions le 7 avril 1976 par le Politburo. Deng se réfugie alors dans le sud du pays sous la protection de militaires amis.

 

Signe de « l'état de décadence dans lequel a sombré le pouvoir maoïste » (Simon Leys), ce rôle d'Impératrice rouge ne doit rien à son action passée, à sa personnalité ou à ses compétences, mais tout à sa relation privée avec Mao. Malgré le déploiement de propagande qu'elle avait mis en place pour exalter sa personne, elle resta d'ailleurs détestée et méprisée par le peuple chinois

 

La chute

 

 
Jiang Qing en 1976.
 

Dès 1971, Simon Leys prédit que « Mao une fois disparu, le pouvoir de Jiang Qing sera le tout premier à se trouver en péril. » L'analyse était juste, car c'est de son mariage avec Mao qu'elle tire l'essentiel de son pouvoir.

 

Un mois après la mort du Grand Timonier, ses adversaires, décidés à en finir avec les excès de la faction radicale, et rassemblés autour de Hua Guofeng, la font arrêter avec ses complices de « la Bande des Quatre » (Zhang Chunqiao, Yao Wenyuan et Wang Hongwen), dans la nuit du 6 au 7 octobre 1976. Elle est emprisonnée à la prison de Qincheng. Elle est accusée de complot (une accusation sans doute pas tout à fait imaginaire), et, en juillet de l'année suivante, exclue du Parti communiste chinois.

 

Ne pouvant l'éliminer de façon expéditive en raison de sa notoriété, les nouvelles autorités chinoises mettent en place une cour spéciale entre novembre 1980 et janvier 1981 afin de la juger pour les crimes innombrables commis pendant la Révolution culturelle. Elle comparaît, défendue notamment par Zhang Sizhi, devant trente-six magistrats (et un public de six cents personnes) pour un procès-spectacle dont la sentence a déjà été décidée par Deng Xiaoping (qui est parvenu entretemps à écarter Hua Guofeng du pouvoir). Elle est finalement condamnée à mort le 25 janvier1981 à l'issue d'une parodie de procès, avec un sursis de deux ans lui permettant de se « repentir ». Jugée responsable — directement ou indirectement — de centaines de milliers de morts, elle n'exprima pas le moindre regret durant son procès, mais au contraire défiant et injuriant ses accusateurs, elle se prévalut d'être le « chien de Mao » (« Quand il me disait de mordre, je mordais. »). En 1983, sa peine est commuée en détention à vie.

 

Après le procès, elle est placée dans la prison de Qincheng, prison spéciale accueillant notamment, dans des conditions privilégiées, les « princes rouges » (nomenklatura chinoise) déchus. Elle est finalement libérée pour raison médicale (probablement un cancer de la gorge) et placée en résidence surveillée à Pékin. L'impératrice rouge se serait suicidée le 14 mai 1991, selon les informations données par les autorités chinoises qui n'ont annoncé sa mort qu'en 1993.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jiang_Qing

 

 

 

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Un monde fou : La cuisine au lait de femme

Publié à 10:27 par dessinsagogo55 Tags : centerblog
Un monde fou : La cuisine au lait de femme

 

L'Est Républcain du 28 janvier 2003

 

 

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Soulèvement de Wuchang

Publié à 11:16 par dessinsagogo55 Tags : cadre sur center amis société création divers femmes maison pouvoir
Soulèvement de Wuchang

Drapeau adopté par les insurgés, devenu ensuite jusqu'en 1928 celui de l'armée chinoise.

 

 

Le soulèvement de Wuchang , d'octobre 1911, à Wuhan, Chine, événement déclencheur de la révolution chinoise de 1911, conduit à la chute du pouvoir impérial de la dynastie Qing.

 

Dans le cadre de l'agitation politique de 1911, et notamment du mouvement de protection des voies ferrées, les membres des sociétés secrètes républicaines préparaient des soulèvements, aidés par des membres de l'armée. Plus de 5 000 militaires soutenaient les révolutionnaires dans le pays. Initialement prévue pour le 6 octobre, la révolte est finalement repoussée au 16, du fait d'une préparation insuffisante.

 

Aux environs de midi, le 9 octobre, une bombe à moitié achevée explose dans une maison appartenant à un officier de l'armée chinoise dans la concession russe de Hankou, la principale ville commerciale de la Chine centrale, à deux jours de Changsha en descendant le fleuve.

 

Sun Wu (zh), le bricoleur de la bombe, est militant révolutionnaire et le jeune chef de la Société pour le progrès commun, groupe issu de la Tongmenghui, dirigée par Sun Yat-sen. Blessé, Sun Wu réussit avec l'aide de ses amis à s'enfuir dans un hôpital japonais, mis en sécurité. Mais la police, venue enquêter, saisit du matériel de propagande révolutionnaire (drapeaux, publications, listes d'activistes) et arrête 32 suspects. Le lendemain, à l'aube, 3 chefs sont exécutés.

 

Le vice-roi mandchou Ruizheng proclame un couvre-feu.

 

En réaction, Jiang Yiwu (zh), chef d'un groupe révolutionnaire, décide de déclencher immédiatement l'insurrection : les ordres qu'il diffuse aux troupes sont néanmoins interceptés et divers complices sommairement exécutés.

 

Le matin du 10 octobre, les troupes régionales acquises à la cause des révolutionnaires décident alors de passer à l'action et prennent les armes dans le district de Wuchang, Wuhan. Les troupes rebelles attaquent les bureaux de Ruizheng, qui s'enfuit à bord d'une canonnière chinoise, laissant Wuchang aux mains des insurgés.

 

Les drapeaux blanc bordés de rouge des rebelles portent l'inscription : « Vive les Han ! Exterminons les mandchous ! ». Le 30e régiment mandchou est pratiquement exterminé dans un massacre « racial ». Un pogrom civil s'ensuit

 

Le 11, tout le district est passé sous le contrôle des insurgés qui annoncent la création d'un gouvernement militaire républicain du Hubei. Le général Li Yuanhong est nommé chef du gouvernement et appelle à l'insurrection générale : des télégrammes sont envoyés aux troupes des autres provinces, les incitant à rejoindre le mouvement. Alors que le gouvernement du régent Zaifeng tarde à réagir, les provinces se rebellent les unes après les autres contre le pouvoir impérial. En six semaines, quinze d'entre elles sont ralliées à la cause républicaine.

 

En décembre 1911, 18 provinces et district chinois supportèrent la révolution, déclarant les unes après les autres leur indépendance.

 

Les valeurs des obligations chinoises fléchissent légèrement. Les marchés financiers considèrent que le mouvement serait sans doute profitable pour le commerce de l'étranger avec la Chine.

 

Dans les journaux anglais, même à Shanghaï, les premiers comptes rendus sont sur le même plan que ceux du bombardement italien de Tripoli, de l'assassinat du prince Troubetskoï (ru), la maladie du prince Luitpold ou du mariage du comte Percy.

 

La gravité de la situation n'est reconnue d'emblée qu'à Pékin. Les femmes mandchoues abandonnent les parures raffinées de leur chevelure et les chaussures à haute semelle et se mettent à porter la robe chinoise.

 

La date du 10 octobre est la fête nationale en République de Chine (Taïwan), où le régime politique de la république de Chine continue d'exister. Elle est appelée « Double-Dix » (10/10) en référence à cette date

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Soul%C3%A8vement_de_Wuchang

 

 

Pont des Immortels, Huang Shang Chine

Publié à 22:10 par dessinsagogo55 Tags : sur center monde
Pont des Immortels, Huang Shang Chine

 

 

Le Tai Shan (mont Tai), se situe au nord de la ville de Tai'an, dans la province du Shandong en République populaire de Chine. Son point culminant, le pic de l'Empereur de jade, a une altitude de 1 545 m. [...] Le pont perché entre les deux flancs de cette montagne, appelé "Le pont des immortels", serait le pont le plus haut du monde. Il est connu aussi sous le nom de Huangshan.

 

 

Pont de la rivière Sidu, Chine

Publié à 21:56 par dessinsagogo55 Tags : monde sur center
Pont de la rivière Sidu, Chine

Cette construction basculante en acier porte le titre de pont le plus haut du monde et relie Shanghai à Chongqing.

Construit pour seulement 100 millions de dollars US en 2009, ce pont offre non seulement une vue imprenable sur la vallée, mais il est aussi l’un des ponts les plus solides jamais construits à ce jour.