Monde : Chine
Voici comment la Chine a contenu le coronavirus (et la France va devoir s'y prendre autrement)
Si l'on a tous en tête l'images des quarantaines géantes à Wuhan, ce sont d'autres méthodes qui auraient permis à Pékin d'endiguer le nouveau virus. Mais elles ne sont pas faciles à appliquer ailleurs.
CHINE - En 2003, un nouveau coronavirus, le Sras, émergeait en Chine avant de contaminer le monde, puis d’être finalement endigué. Si seules 8000 personnes ont été touchées (avec environ 800 morts), la gestion chinoise avait été critiquée à l’époque par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). 17 ans après, les choses ont bien changé.
Face au nouveau coronavirus Sars-Cov2, apparu fin 2019, “la Chine a certainement déployé l’effort d’endiguement d’une maladie le plus ambitieux, agile et offensif de l’histoire”. Ce n’est pas la propagande chinoise qui le dit, mais un rapport de l’OMS, publié le 28 février, après qu’une équipe d’une dizaine de scientifiques s’est déplacée sur site pour vérifier que l’épidémie avait bien été contenue dans le pays.
Des louanges qui interviennent alors que le reste du monde, dont la France, doit à son tour tenter d’enrayer l’épidémie de covid-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus. Mais ici, le tableau de l’OMS est bien moins rose. “La majorité de la communauté internationale n’est pas prête, matériellement et dans l’état d’esprit, à mettre en place les mesures qui ont été déployées en Chine”, estiment les experts.
Après ce constat pas très rassurant, on pourrait se dire que ce n’est peut-être pas plus mal. L’État autoritaire chinois a imposé des quarantaines draconiennes, qui posent des questions en termes de respect des libertés et des droits de l’homme et qui n’ont peut-être pas leur place dans une démocratie. Mais, selon certains experts de l’OMS, ce n’est pas la seule raison pour laquelle le monde et la France ne sont pas prêts face au danger du nouveau coronavirus.
Les fermetures de villes, l’arbre qui cache la forêt
“La diminution du nombre de cas de Covid-19 en Chine est réelle”, affirme clairement l’OMS. Sur les 1300 nouveaux cas répertoriés par l’OMS le 4 mars, seuls 119 sont Chinois. Cette “réussite exceptionnelle” n’a été possible que grâce à “l’engagement profond du peuple chinois dans une action collective face à cette menace commune”, estiment les scientifiques de l’OMS.
Pour résumer les 20 pages du rapport, on peut dire que les mesures suivantes, notamment, auraient permis l’endiguement de la maladie:
Consignes de santé publique (prise de température, lavage de mains, port du masque)
Contrôle des déplacements et confinements
Information du public sur la manière de se prémunir du virus
Amélioration rapide du traitement (construction d’hôpitaux, envoi de médecins d’autres régions à Wuhan)
Le contrôle des prix et de l’approvisionnement en matières premières
Le traçage des contacts qu’ont eu les infectés, en partie via l’intelligence artificielle
Ainsi, l’énorme quarantaine imposée à des dizaines de millions de personnes à Wuhan et les villes proches a “effectivement empêché une exportation des cas infectés dans le reste du pays”. Mais c’est loin d’avoir été la mesure la plus efficace. “La principale réponse en Chine concerne la découverte de cas, le traçage des contacts et la suspension des rassemblements publics”, affirme Bruce Aylward, l’épidémiologiste qui a dirigé la mission en Chine, interrogé par Vox à son retour. Le verrouillage global s’est concentré sur les quelques villes où les cas de covid-19 explosaient, estime l’expert.
Preuve que ces mesures ont été efficaces: en Chine, la transmission du virus a avant tout eu lieu au sein des familles, qui représentent environ 80% des clusters. Conclusion: le virus a peu réussi à s’extraire du cocon familial.
Moyens gigantesques et surveillance de masse
Pour réussir ce tour de force, les moyens déployés ont été plus que conséquents. “À Wuhan, plus de 1800 équipes d’épidémiologistes, composées minimum de 5 personnes, ont tracé des dizaines de milliers de contacts par jour”, précise le rapport. Résultat: un maximum de personnes infectées (entre 1% et 5% des publics testés) a pu être identifié et isolé pour limiter la contagion.
L’OMS note que la Chine a réussi grâce à une surveillance proactive pour détecter les cas très vite, un traçage et des quarantaines rigoureuses et “le degré exceptionnel de compréhension et d’acceptation de ces mesures par la population”.
C’est notamment ce point que chaque pays touché, dont la France, va devoir appliquer pour endiguer l’épidémie. Mais le pourra-t-on? Car la Chine n’a pas juste mis énormément de moyens. Elle a aussi utilisé des “nouvelles technologies, comme l’utilisation des Big Data et de l’intelligence artificielle, pour renforcer le traçage des contacts et gérer les populations prioritaires”, précisent les experts.
Ainsi, certaines applications, comme WeChat et AliPay, ont permis aux autorités de suivre déplacements et achats. Un système de “feu vert” a même été mis en place pour encadrer le statut de chaque citoyen face au coronavirus, explique à Science Magazine Gabriel Leung, membre de la mission de l’OMS et professeur à l’université de Hong Kong.
“La quasi-totalité des Chinois utilise WeChat, on peut les suivre à la trace, voir leurs achats... En France, les techniques de traçage impliquent d’aller voir le patient à l’hôpital et de retracer leur histoire”, explique au HuffPost Frédéric Keck, anthropologue au CNRS et auteur des “Sentinelles des pandémies”.
Un peuple très “préparé”
Ce qu’on lit surtout, distillé tout au long du rapport de l’OMS, c’est une ode à cet “engagement profond du peuple chinois dans une action collective face à cette menace commune”. Pour Bruce Aylward, la clé du succès chinois tient dans la vitesse de réponse. “Et si vous voulez une réponse rapide, votre population doit connaître cette maladie”, affirme le directeur de la mission chinoise de l’OMS, pour qui, en Occident, les citoyens ne sont pas préparés. Voire ne sont pas au courant que les deux principaux symptômes sont la toux et la fièvre. Beaucoup penseraient, selon lui, que le nez bouché est un élément clé.
“Votre population, c’est votre système de surveillance. Tout le monde a un smartphone, tout le monde peut avoir un thermomètre”, estime-t-il. Autre point essentiel: la réactivité de la Chine dans le traitement des malades, parfaitement illustré par les deux hôpitaux géants construits en une semaine à Wuhan.
Il faut dire que c’est l’un des principaux objectifs de la Chine depuis des décennies. Depuis le Sras de 2003 notamment, mais en réalité depuis bien plus longtemps. “L’idée qu’un nouveau virus allait émerger et qu’il sera nécessaire de prendre des mesures sévères, les dirigeants chinois l’avaient tous en tête”, affirme Frédéric Keck, se rappelant d’un colloque de virologie en Chine, en 2012. “Les Chinois ont intégré le fait que la préparation implique des sacrifices, celui d’un groupe pour le bien commun”, précise le chercheur.
“C’est quelque chose de très fort en Chine historiquement, mais le maoïsme a encore plus mis en avant cette idée que la société est une grande famille et qu’une partie peut se sacrifier pour la continuité du reste de la famille”, analyse-t-il.
D’autres exemples à suivre ?
Cette idée, très forte dans la construction de l’État chinois moderne, est notamment due au fait que la Chine “a été perçue par l’Occident comme l’homme malade de l’Asie depuis 200 ans”, explique Frédéric Keck. “Maintenant que l’épidémie est contrôlée, le pays lance un défi au reste du monde: êtes-vous capables de faire pareil?”
Mais ce n’est pas parce qu’un traitement fonctionne qu’il n’y en a pas d’autres. “La Chine est un cas unique dans le sens où son système politique peut obtenir le respect public lors de mesures extrêmes. Mais son recours au contrôle social et à la surveillance intrusive n’est pas un bon modèle pour les autres pays”, estime ainsi Lawrence Gostin, expert en droit de la santé interrogé par Science Magazine.
La France pourrait peut-être plutôt prendre exemple sur Hong Kong. La région administrative, limitrophe de la Chine, a réussi à endiguer les nouveaux cas depuis le début de l’épidémie de coronavirus, grâce à des mesures de traçage et une bonne compréhension du public, rapporte la radio américaine NPR. Sans pour autant utiliser de méthodes de surveillance de masse. Et Frédéric Keck de rappeler qu’en 2003, face à l’épidémie de Sras, Hong Kong avait réussi également à endiguer la maladie, prouvant que “l’on peut avoir un contrôle fort sur une épidémie dans une démocratie libérale”.
Si le défi à relever est grand, la France et les autres pays occidentaux ont quelques cartes en main (maîtrise du territoire, services hospitaliers performants, expertise scientifique) pour répondre à l’épidémie de coronavirus. Des atouts qu’ils devront pleinement exploiter pour se prémunir et aussi “protéger les pays à faibles revenus qui ont un système de santé plus faible”, rappelle l’OMS dans son rapport.
Yeoh Choo-Kheng dite Michelle Yeoh (chinois simplifié : 杨紫琼 ; chinois traditionnel : 楊紫瓊 ; pinyin : Yáng Zǐqióng ; Wade : Yang² Tzu³ch'iung² ; cantonais Jyutping : Joeng⁴ Zi²-king⁴ ; cantonais Yale : Yeung⁴ Ji²-king⁴), également appelée Michelle Khan et surnommée « la Jackie Chan au féminin », est une actrice et productrice malaisienne de cinéma d'arts martiaux née le 6 août 1962 à Ipoh en Malaisie. Elle est considérée comme « la reine du cinéma d'action asiatique ». Elle fut James Bond Girl dans Demain ne meurt jamais.
Enfance et formation
Enfance sportive
Michelle Yeoh est née de parents issus de la communauté chinoise anglophone. Son père avocat l'envoie en pension dans un couvent malaisien où elle reçoit un enseignement en anglais
Dès l'âge de 4 ans, elle consacre assidûment tous ses loisirs à la danse classique, au squash, à la natation et à la plongée. Elle pratique dès le lycée la compétition internationale dans ces disciplines.
En 1977, âgée de 15 ans, son père l'envoie en pensionnat à Londres en Angleterre où elle suit une formation de ballerine à la prestigieuse Royal Ballet School ainsi que des cours de comédie. Malheureusement, une blessure au dos l'oblige à abandonner sa passion et à trouver une autre voie.
Miss Malaisie
En 1983, âgée de 21 ans, elle retourne en Malaisie où elle remporte le titre de Miss Malaisie et le titre de Miss Moomba en Australie. Elle est remarquée alors par le jeune homme d'affaires milliardaire Dickson Poon (en), propriétaire de nombreux grands magasins en Asie, qui lui fait tourner une publicité pour ses montres à Hong Kong avec la star Jackie Chan.
Carrière d'actrice
En 1984, Dickson Poon l'engage alors par contrat dans sa nouvelle compagnie de production de cinéma " D&B Films " et lui fait tourner son premier petit rôle dans The Owl and Bumbo, une comédie d'action de Sammo Hung. Elle découvre alors le monde professionnel du cinéma d'arts martiaux de Hong Kong qui la fascine. Elle débute alors un entraînement intensif dans les meilleures écoles de kung-fu.
En 1985, elle décroche son premier rôle dans My Lucky Stars 2 un film d'action de Sammo Hung où elle joue un professeur de judo. Elle enchaîne avec Yes, Madam de Corey Yuen où elle forme un duo de policières de choc avec l'actrice américaine Cynthia Rothrock, championne du monde de kung-fu wushu. Elle révèle alors tous ses talents d'acrobate et ses talents d'arts martiaux en jouant elle-même ses acrobaties et ses cascades sans doublure.
Au début de sa carrière d'actrice, elle se voit attribuer par la production le pseudonyme de Michelle Khan, jugé plus prononçable et vendeur. Appréciant peu ce nom, elle reprend au début des années 1990 son véritable nom de famille, pour se rebaptiser Michelle Yeoh.
En 1986, Yeoh joue dans Royal Warriors et Magnificent Warriors produit par Dickson Poon (en), qu'elle épouse en 1987 et qui lui offre le rôle suivant dans Le Casse du siècle de Stephen Shin. Elle met alors une parenthèse à sa carrière à l'âge de 25 ans pour se consacrer à son nouveau foyer.
En 1990, après 5 ans de mariage, Yeoh divorce et revient au cinéma d'action avec Police Story 3: Supercop aux côtés de Jackie Chan. Le film pulvérise tous les records d'entrées à Hong Kong et fait d'elle l'actrice la plus populaire et la mieux payée du cinéma asiatique. Son nouvel agent Terence Chang (agent de John Woo et de son acteur fétiche Chow Yun-fat) se fixe comme objectif principal d'en faire une star hollywoodienne.
En 1993, elle tourne dans Tai-Chi Master du cinéaste et chorégraphe Yuen Woo-ping au côté de Jet Li puis dans Wing Chun en 1994.
En 1995, Yeoh décide d'étendre son registre au drame avec Les Sœurs Soong et Stunt-Woman pour lesquels elle est nommée aux Hong Kong Film Awards dans la catégorie Meilleur second rôle féminin.
En 1997, les producteurs de James Bond lui offrent le rôle à succès mondial d'une James Bond girl, belle, dangereuse, sexy, sportive et agressive agent secret chinoise dans Demain ne meurt jamais au côté de Pierce Brosnan. Elle acquiert d'emblée le statut de star hollywoodienne.
Michelle Yeoh lors de la présentation de Tigre et Dragon d'Ang Lee au festival de Cannes 2000. En 2000, elle joue dans le film d'action d'Ang Lee Tigre et Dragon, succès mondial au box-office (1 million d'entrées et de multiples prix aux Hong Kong Film Awards et Oscar du cinéma etc). Dans un entretien, elle indique qu'elle a dû apprendre à prononcer le mandarin pour jouer le rôle de Yu Shu Lien.
En 2002, Michelle Yeoh produit son premier film Le Talisman de Peter Pau dans lequel elle joue le rôle féminin principal. La même année, elle est membre du jury des longs-métrages au festival de Cannes 2002.
En 2004, elle joue un des rôles dramatiques principaux de geisha japonaise des années 1930 du film à grand succès international Mémoires d'une geisha de Rob Marshall au côté des trois stars asiatiques Zhang Ziyi, Gong Li et Ken Watanabe.
En 2008, elle joue un rôle important dans le troisième volet de la série de films La Momie, intitulé La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon, réalisé par Rob Cohen au côté de Brendan Fraser et Maria Bello.
En 2011, elle interprète Aung San Suu Kyi, l'opposante birmane prix Nobel de la paix, dans The Lady de Luc Besson dont son mari, Jean Todt, est le producteur. Elle s'y révèle pleine de sensibilité, ce qui contraste avec ses rôles habituels d'action et de combat.
En 2018, elle joue le rôle de la riche belle mère en incarnant Eleanor Young dans le film Crazy Rich Asians de Jon Chu, une comédie romantique, aux côtés de Constance Wu, mettant en scène une majorité d'acteurs américains d'origines asiatiques.
Vie privée
Michelle Yeoh en 2011 au Festival international du film de Toronto.
En 2007, elle se fiance avec Jean Todt (président de la FIA) qu'elle fréquente depuis 2004.
Elle devient en 2008 la marraine de l'Institut du cerveau et de la moelle épinière, partageant cet engagement avec Jean Todt, vice-président de l'Institut.
En octobre 2011, elle est choisie par la maison Guerlain pour incarner le nouveau visage de la marque.
Filmographie
Cinéma
1984 : The Owl and Bumbo (Mao tou ying yu xiao fei xiang), de Sammo Hung
1985 : Le Flic de Hong Kong 2 (Xia ri fu xing) de Sammo Hung
1985 : Yes, Madam (Huang gu shi jie), de Corey Yuen
1986 : Royal Warriors (Wong ga jin si), de David Chung
1987 : Magnificent Warriors (Zhong hua zhan shi), de David Chung
1987 : Le Casse du siècle (Tong tian da dao), de Stephen Shin
1992 : Police Story 3: Supercop (Jing cha gu shi III: Chao ji jing cha), de Stanley Tong
1993 : Butterfly and Sword (Xin liu xing hu die jian), de Chu Yin-Ping et Michael Mak
1993 : The Heroic Trio (Dung fong saam hap), de Johnnie To
1993 : Executioners (Xian dai hao xia zhuan), de Johnnie To et Ching Siu-tung
1993 : Holy Weapon (Wu xia qi gong zhu), de Wong Jing
1993 : Supercop 2 (Chao ji ji hua), de Stanley Tong
1993 : Tai-Chi Master (Tai ji zhang san feng), de Yuen Woo-ping
1994 : Wing Chun (Yong Chun), de Yuen Woo-ping
1994 : Shaolin Popey 2 (Xiao lin xiao zi 2: Xin wu long yuan), de Chu Yin-ping
1994 : Wonder Seven (7 jin gong), de Ching Siu-tung
1996 : The Stunt Woman (Ah Kam), de Ann Hui
1997 : Les Sœurs Soong (Song jia huang chao), de Mabel Cheung
1997 : Demain ne meurt jamais (Tomorrow Never Dies), de Roger Spottiswoode : Wai-Lin
1999 : Moonlight Express (Sing yuet tung wa), de Daniel Lee
2000 : Tigre et Dragon (Wo hu cang long), de Ang Lee
2002 : Le Talisman (The Touch), de Peter Pau
2004 : Silver Hawk (Fei ying), de Jingle Ma
2005 : Mémoires d'une geisha (Memoirs of a Geisha), de Rob Marshall : Mameha, la geisha protectrice
2007 : Sunshine
2007 : Far North
2008 : Babylon A.D., de Mathieu Kassovitz
2008 : La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon (The Mummy: Tomb of the Dragon Emperor), de Rob Cohen
2008 : Les Orphelins de Huang Shui (The Children of Huang Shi), de Roger Spottiswoode
2010 : Le Règne des assassins de Chao-Bin Su et John Woo
2010 : True Legend : sœur Yu
2011 : The Lady, de Luc Besson
2011 : Kung Fu Panda 2, de Jennifer Yuh Nelson
2013 : Final Recipe (en), de Gina Kim
2016 : Mechanic: Resurrection (Mechanic: Resurrection) de Dennis Gansel
2016 : Tigre et Dragon 2 (Crouching Tiger, Hidden Dragon: Sword of Destiny) de Yuen Woo-ping
2016 : Morgane (Morgan) de Luke Scott : Dr Lui Cheng
2017 : Les Gardiens de la Galaxie Vol. 2 (Guardians of the Galaxy Vol. 2) de James Gunn : Aleta Ogord
2018 : Crazy Rich Asians de Jon Chu : Mrs Eleanor Young
2018 : Master Z: Ip Man Legacy de Yuen Woo-Ping
2019 : Boss Level de Joe Carnahan
2019 : Last Christmas de Paul Feig
2021 : Avatar 2 de James Cameron : Dr Karina Mogue
Télévision
2014 : Marco Polo
2015 : Strike Back (saison 5) : Li-Na
2017 : Star Trek: Discovery : capitaine Philippa Georgiou de l'USS Shenzhou / impératrice Philippa Georgiou de l'Empire terrien (Miroir)
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Coronavirus : dix photos de l'incroyable construction express du nouvel hôpital de Wuhan par France Inter avec AFP publié le 2 février 2020 à 18h31
Les moyens logistiques sont considérables et les images saisissantes. En dix jours, la Chine a réussi à construire un nouvel hôpital à Wuhan, pouvant proposer plus de 1000 lits dans cette ville épicentre de l'épidémie de coronavirus.

Le nouvel hôpital de Wuhan, construit en 10 jours, face à l'épidémie de coronavirus. La Chine avait déjà construit à Pékin un hôpital du même type, en une semaine, lors de l'épidémie de Sras. © AFP / STR Des milliers d'ouvriers, des centaines de pelleteuses : en l'espace d'une dizaine de jours, à la périphérie de Wuhan (Chine), un nouvel hôpital de mille lits est sorti de terre. Il s'agit, pour les autorités de la ville épicentre de l'épidémie de coronavirus, d'isoler, diagnostiquer et soigner au plus vite les malades. Sur le chantier, tous les ouvriers sont soumis à un examen de leur température.
La construction, débutée le 24 janvier, devrait s'achever lundi d'après les médias chinois. L'établissement, baptisé "Hôpital du dieu du feu", une divinité propice contre les maladies, occupe au total une surface de 25 000 mètres carrés. En plus de cet hôpital, les autorités chinoises ont annoncé la construction d'un second bâtiment de 1 300 lits à l'autre bout de la ville, lui aussi exclusivement dédié aux malades du coronavirus.
Au total, selon le gouvernement, les deux bâtiments devraient coûter 300 millions de yuans (39 millions d'euros). Mais "aller vite ne veut pas dire oublier la qualité", a expliqué fin janvier le Premier ministre chinois.
Jour et nuit, hommes et machines se sont donc activés pendant dix jours, au rythme de neuf à 12 heures de travail quotidiennes. Les pelleteuses, camions de terre et bulldozers ont laissé place aux préfabriqués puis aux électriciens et aux plombiers. L'usine chinoise d'une entreprise française, Afpro Filters, qui produit des filtres à air, a notamment été mise à contribution.
La Chine avait déjà construit à Pékin un hôpital dans un temps record - une semaine - lors de l'épidémie meurtrière de Sras, le syndrome respiratoire aigu sévère, en 2003. Selon l'agence Chine nouvelle, le nouvel hôpital édifié à Wuhan est conçu sur le même modèle.
Au total, en Chine, plus de 14 000 personnes ont été contaminées en Chine continentale et 304 malades sont morts, selon le dernier bilan officiel diffusé le 2 février, principalement dans la région du Hubei, le berceau de la contagion dont Wuhan est la capitale.

24 janvier. Cette photographie aérienne montre la préparation du terrain pour accueillir l'hôpital construit en urgence à Wuhan. © AFP / STR
25 janvier. De jour comme de nuit, le chantier ne s'arrête pas et les engins ne cessent de tourner. © AFP / Xinhua News Agency/Xiao Yijiu
26 janvier. Des dizaines de tractopelles sont mobilisés pour construire en dix jours le Leishenshan Hospital. © AFP / Xinhua News Agency/Xiao Yijiu
28 janvier. Les ouvriers s’attellent à couler une dalle pour le futur hôpital, dont la construction a débuté quelques jours plus tôt. © AFP / Xinhua News Agency/Xiao Yijiu
30 janvier. Sur la dalle coulée au plus vite, les ouvriers disposent des préfabriqués pour la structure du bâtiment. © AFP / Xinhua News Agency/Xiao Yijiu
Nécessaire pause repas pour les ouvriers qui ont parfois réalisé des journées de 12 heures sur le chantier. © AFP / Xinhua News Agency/Xiao Yijiu
31 janvier. Vue aérienne du chantier de l'hôpital où plus de 4000 ouvriers et un milliers d'engins sont mobilisés. © AFP / Xinhua News Agency/Cai Yang
2 février. En dix jours, la Chine a réussi à créer un véritable hôpital pour accueillir les patients du coronavirus à Wuhan et à créer de véritables chambres. © AFP / Xinhua/Chen Yehua
2 février. En dix jours, la Chine a donc réussi à construire un hôpital, dont on voit ici une vue aérienne. © AFP / Xinhua/Li He
Des dizaines de tractopelles préparent depuis ce vendredi le terrain où sera construit le futur hôpital. STR/AFP
A Wuhan, 10 jours pour construire un hôpital : les images de l’incroyable chantier
La Chine a engagé vendredi la construction d’un hôpital destiné à accueillir d’ici 10 jours un millier de patients victimes du nouveau coronavirus.
Par T.d.L, avec AFP Le 24 janvier 2020 à 13h47
Les images sont sidérantes. Plus d'une cinquantaine de tractopelles ont convergé ce vendredi vers un terrain vague à Wuhan, épicentre de l'épidémie de coronavirus qui sévit en Chine, où les autorités veulent bâtir un hôpital en une semaine.
Selon des photos d'agence et des images diffusés à la télévision, des dizaines d'engins de chantier étaient dès ce vendredi matin occupés à préparer le terrain.
/AFP Ici doit s'élever le nouvel hôpital de Wuhan (centre), la ville de 11 millions d'habitants au coeur de l'épidémie.
/AFP Les travaux doivent être achevés en un temps record et l'hôpital, de 25.000 m2, ouvrira ses portes le 3 février, selon l'agence Chine nouvelle.
/AFP Il accueillera exclusivement des malades de la pneumonie virale d'origine inconnue qui a contaminé depuis décembre 830 personnes, dont 26 mortellement.
/AFP Le site « atténuera la pénurie de ressources médicales », a précisé l'agence de presse officielle. La ville de Wuhan, où sont concentrés la grande majorité des cas de contamination, a été placée jeudi de facto sous quarantaine, les habitants n'étant plus autorisés à sortir.
/AFP
Le plan colossal de la Chine pour se débarrasser des technologies américaines
09/12/2019 à 19h28
Une directive gouvernementale veut interdire les matériels et logiciels informatiques d’origine étrangère dans toutes les administrations. Un
travail de remplacement colossal qui est étalé sur trois ans et qui affecte avant tout l'industrie américaine.
Le protectionnisme et l’autarcie technologique vont considérablement augmenter dans l’Empire du milieu ces prochaines années. Selon une directive révélée par The Financial Times, le gouvernement chinois ne veut plus voir de matériels ou de logiciels d’origine étrangère dans ses organisations et ses institutions d’ici à trois ans. Cette politique de purge high-tech est également connue sous le sobriquet « 3-5-2 », en raison du taux de progression exigé par le gouvernement : 30 % en 2020, 50 % en 2021 et les 20 % restants en 2022.
C’est un travail colossal, qui nécessitera de remplacer des dizaines de millions d’équipements matériels et de mettre en place une filière de production et d’approvisionnement complète, du petit composant électronique au logiciel applicatif en passant par les disques durs, les processeurs, les firmwares et les systèmes d’exploitation.
Les fournisseurs américains tels que HP, Dell, Microsoft ou Intel sont évidemment les premiers concernés par cette volonté d’isolement chinoise. Pour eux, c'est une très mauvaise nouvelle, car ils vont être exclus d’un marché gigantesque. Les raisons profondes de cette politique sont multiples. Comme beaucoup d’autres pays, la Chine veut que ses infrastructures critiques s’appuient sur des technologies « sécurisées et contrôlables », comme cela est précisé dans la loi de cybersécurité de 2017. La politique agressive des Etats-Unis vis-à-vis de la Chine, et notamment le bannissement de Huawei, a certainement accéléré ce processus.
Source: Financial Times

Le 4 mai 1919, lors du Mouvement du 4 mai, une foule d'étudiants manifeste contre l'exclusion de la République de Chine du traité de Versailles.
Le 30 mai 1925, le Mouvement du 30 mai (五卅运动, wǔsà yùndòng), un mouvement nationaliste des ouvriers et anti-impérialistes contre les seigneurs de la guerre au pouvoir et les envahisseurs anglo-américains et japonais, peu de temps après la mort de Sun Yatsen en mars 1925. Il s'agit du premier mouvement de masse initié à Shanghai, sous l'impulsion du Guomindang (parti nationaliste chinois).
Le 4 mai 1949, célébration du triomphe de l'insurrection communiste.
le 1er octobre 1949, Mao Zedong proclame la République populaire de Chine du haut des murailles de la Cité impériale.
Le 4 avril 1976, la place est envahie de Pékinois venus pleurer lors de l'enterrement du très populaire ancien premier ministre Zhou Enlai.
Le 4 mai 1989, pour le 70e anniversaire du Mouvement du 4 mai, lors du printemps de Pékin, événement connu en Occident sous le nom des manifestations de la place Tian'anmen, une grande manifestation, réclamant moins de corruption et plus de démocratie, est réprimée violemment : les soldats tirèrent sur la foule, il y eut plus de 3 000 morts).
Le 4 juin 1989, un homme fut filmé et photographié alors qu'il s'efforçait de bloquer la progression d'une colonne d'au moins 17 chars de l'Armée populaire de libération lors des manifestations de la place Tian'anmen, en 1989, en République populaire de Chine. Cette photo de l'homme de Tian'anmen devint rapidement célèbre comme symbole de manifestation contre la répression armée.
Lors des fêtes du Nouvel An chinois, en 2001, sept personnes ont apparemment tenté de s'immoler par le feu sur la place Tiananmen, dont une qui succombe sur le champ et une fillette qui décède quelques semaines plus tard.
Le 28 octobre 2013, des « terroristes » ouïgours commettent un attentat sur la place Tian'anmen qui fait 5 morts dont 2 touristes et 40 blessés. À cette occasion le maire de Pékin, Guo Jinlong demande de renforcer les moyens de sécurité
Jackie Chan, né Chan Kong-sang le 7 avril 1954 à Hong Kong, est un acteur, chanteur, cascadeur, scénariste, réalisateur et producteur chinois.
Spécialiste en arts martiaux, il est mondialement reconnu dans les domaines du kung fu et des films d'action. Dans ses films, il est connu pour son style de combat acrobatique, son sens de l'humour et ses cascades sensationnelles. Depuis les années 1970, il est apparu dans plus d'une centaine de films. Il a reçu une étoile sur le Walk of Fame d'Hollywood et l'Avenue des stars à Hong Kong. En tant qu'icône culturelle, il a été mentionné dans diverses chansons pop, dessins animés et jeux vidéo. En plus d'être acteur, il s'est essayé à la chanson dans les genres cantopop et mandopop, notamment sur le thème de ses films. Il a chanté lors de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques d'été de 2008.
Jackie Chan est un homme d'affaires qui utilise son image dans différents domaines (ligne de vêtements, chaîne de cinémas, etc.) et il possède sa société de production (JCE Movies Limited), qui produit notamment ses films depuis 2005. Il est un important philanthrope, en dédiant une partie des bénéfices qu'il tire de ses activités du show business à des œuvres caritatives. Son autobiographie, I Am Jackie Chan, est sortie en 1998.
Gong Li (chinois traditionnel : 巩俐, Gǒng Lì), née le 31 décembre 1965 à Shenyang, dans la province du Liaoning, en Chine, est une actrice chinoise qui a pris la nationalité singapourienne en 2008.
Au cours de sa carrière, elle a remporté deux coqs d'or de la meilleure actrice et trois prix des Cent Fleurs : deux en tant que meilleure actrice et le troisième en tant que meilleure actrice dans un second rôle. Il s'agit des deux plus prestigieuses distinctions chinoises du cinéma.
Cadette d'une famille de cinq enfants, Gong Li grandit à Jinan, la capitale de la province du Shandong.
En 1985, elle est admise à l'Académie centrale d'art dramatique de Pékin.
Depuis le 16 octobre 2000, Gong Li est ambassadeur de bonne volonté de la FAO
Dans Coming Home, un film sorti en 2014 et tourné sous la direction de Zhang Yimou, le sujet traité est la révolution culturelle, Gong Li considère qu'« il faut faire en sorte de donner le maximum de chances pour que ça ne se renouvelle pas, et pour cela, il ne faut pas oublier. Autrement, le risque est toujours là de voir se reproduire des actes similaires »
Ancienne compagne du réalisateur Zhang Yimou et égérie du cinéma contestataire chinois, elle apparaît dans plusieurs de ses films jusqu'en 1995, année de leur séparation. Le Sorgho rouge est son premier rôle en 1988, film qui vaut un ours d'or à Zhang Yimou. Premier film d'une longue collaboration, ils participent ensemble à Ju Dou (1990), Épouses et concubines (1991), Qiu Ju, une femme chinoise (1992) grâce auquel elle remporte la coupe Volpi de la meilleure actrice à la 49e Mostra de Venise, Vivre ! (1994) et Shanghai Triad en 1995.
Gong Li participe aussi à de nombreux films de Chen Kaige, comme Adieu ma concubine (1993), palme d'or à Cannes et L'Empereur et l'Assassin (1999). Elle participe aussi à de nombreux films américains, comme Mémoires d'une geisha (2005), Miami Vice : Deux flics à Miami (2006) et Hannibal Lecter (2007).
Elle réapparaît dans un film de Zhang Yimou, La Cité interdite, en 2007, dans lequel son décolleté pigeonnant crée beaucoup de polémiques en Chine Unanimement saluée par la critique, elle y interprète une femme blessée et opprimée, emprisonnée dans ce carcan étroit des règles de la cité, à la fois victime et bourreau.
En 1996, elle se marie à Ooi Hoe Seong, un homme d'affaires de Singapour. Le 8 novembre 2008, Gong Li devient citoyenne de Singapour, et abandonne la nationalité chinoise, la loi chinoise ne permettant pas de double nationalité. En mai 2012, Ooi Hoe Seong révèle à la presse qu'ils sont divorcés depuis trois ans.
Le 25 mars 2019, lors d'un dîner au palais de l'Élysée à l'occasion de la venue à Paris du président chinois Xi Jinping, elle apparaît aux côtés du compositeur français Jean-Michel Jarre officialisant ainsi leur relation
Festivals
Gong Li a participé aux plus grands festivals de cinéma du monde en tant que membre du jury ou présidente du jury.
1997 : 50e Festival de Cannes, en tant que membre du jury, avec Tim Burton, Mike Leigh ou encore Nanni Moretti comme autres membres du jury sous la présidence d'Isabelle Adjani.
2000 : 50e Festival de Berlin, en tant que présidente du jury, qui comprend notamment Maria Schrader, Andrzej Wajda et Walter Salles.
2002 : 59e Festival de Venise, en tant que présidente du jury, qui comprend notamment Jacques Audiard, László Kovács et Francesca Neri.
2003 : 16e Festival de Tokyo, en tant que présidente du jury, qui comprend notamment Vincent Lecœur et Irvin Kershner.
2014 : 17e Festival de Shanghai, en tant que présidente du jury, qui comprend notamment Sally Potter et Peyman Maadi.
Publicité
Depuis 1996, Gong Li apparaît en Asie dans les publicités de L'Oréal Paris pour la gamme de produits Revitalift. Elle est également depuis juin 2013 ambassadrice de la marque suisse Piaget (horloger et joaillier de luxe).
Filmographie
Gong Li au festival de Cannes 2007.
1987 : Le Sorgho rouge (红高粱) de Zhang Yimou
1989 : Mr. Sunshine (開心巨無霸)
1989 : Terracotta Warrior (古今大战秦俑情) de Ching Siu-tung
1989 : Opération jaguar (代号美洲虎 Dai hao mei zhou bao)
1990 : Ju Dou (菊豆) de Zhang Yimou
1990 : Épouses et Concubines (en anglais : Raise the Red Lantern) (大红灯笼高高挂) de Zhang Yimou
1991 : Party of a Wealthy Family
1991 : Les Dieux du jeu 3 : Retour à Shanghai
1992 : Qiu Ju, une femme chinoise (en anglais : The Story of Qiu Ju) (秋菊打官司) de Zhang Yimou
1992 : Mary from Beijing (夢醒時分)
1993 : Adieu ma concubine (霸王别姬) de Chen Kaige
1993 : Flirting Scholar (唐伯虎點秋香), de Lee Lik-chi
1993: Soul of a Painter (画魂)
1994 : Vivre ! (活着) de Zhang Yimou
1994 : Semi-Gods and Semi-Devils
1994 : The Great Conqueror's Concubine
1995 : Shanghai Triad (摇啊摇,摇到外婆桥) de Zhang Yimou
1995 : La peintre / Pan Yuliang, artiste peintre
1996 : Temptress Moon (風月) de Chen Kaige
1997 : Chinese Box de Wayne Wang
1999 : L'Empereur et l'Assassin (荆柯刺秦王) de Chen Kaige
1999 : Plus fort que le silence (漂亮妈妈)
2002 : Zhou Yu's Train (周渔的火车) de Sun Zhou
2004 : 2046 de Wong Kar-wai
2004 : Eros — segment La Main (The Hand) de Wong Kar-wai
2005 : Mémoires d'une geisha (Memoirs of a Geisha) de Rob Marshall : Hatsumomo, la rivale
2006 : Miami Vice : Deux flics à Miami (Miami Vice) de Michael Mann
2007 : La Cité interdite (titre anglophone : Curse of the Golden Flower) (满城尽带黄金甲) de Zhang Yimou
2007 : Hannibal Lecter : Les Origines du mal (Hannibal Rising) de Peter Webber
2010 : Shanghai de Mikael Håfström
2011 : What Women Want de Chen Daming
2014 : Coming Home de Zhang Yimou
2016 : The Monkey King 2 de Soi Cheang
2019 : Saturday Fiction de Lou Ye
2020 : Mulan de Niki Caro
Distinctions
Coq d'or
1993 : coq d'or de la meilleure actrice pour Qiu Ju, une femme chinoise (Qiu Ju da guan si)
2000 : coq d'or de la meilleure actrice pour Plus fort que le silence (Piāoliàng māma)
Prix des Cent Fleurs
1989 : prix des Cent Fleurs de la meilleure actrice dans un second rôle pour Opération jaguar (Dai hao mei zhou bao)
1991 : prix des Cent Fleurs de la meilleure actrice pour Épouses et Concubines (Da hong deng long gao gao gua)
2000 : prix des Cent Fleurs de la meilleure actrice pour Plus fort que le silence (Piāoliàng māma)
Autres prix
Hong Kong Film Awards :
1990 : nomination au Hong Kong Film Award de la meilleure actrice pour : Terracotta Warrior (Qin yong)
1996 : nomination au Hong Kong Film Award de la meilleure actrice pour : Temptress Moon (Feng yue)
2006 : meilleure actrice pour La Cité interdite (Man cheng jin dai huang jin jia)
Golden Phoenix Award :
1992 : meilleure actrice pour Qiu Ju, une femme chinoise (Qiu Ju da guan si)
2000 : meilleure actrice pour Plus fort que le silence (Piāoliàng māma)
1993 : meilleure actrice dans un second rôle au New York Film Critics Circle pour Adieu ma concubine (Ba wang bie ji)
2000 : meilleure actrice au Festival des films du monde de Montréal pour Plus fort que le silence ( Piāoliàng māma)
2000 : meilleure actrice au Shanghai Film Critics Awards pour Plus fort que le silence ( Piāoliàng māma)
2006 : meilleure actrice au Hong Kong Film Critics Award pour La Cité interdite (Man cheng jin dai huang jin jia)
2006 : nomination à l'Asian Film Awards de la meilleure actrice pour La Cité interdite (Man cheng jin dai huang jin jia)
L'aéroport de Pékin a été inauguré le 25 septembre.
© BIAD, ADP Ingénierie, Zaha Hadid architects
Pékin : les secrets de construction du plus grand terminal aéroportuaire au monde
Ce terminal en étoile et à la construction verticale, mis en service le 25 septembre, va permettre au nouvel aéroport de Pékin de battre des records. Par Marie Bordet Modifié le 26/09/2019 à 16:29 - Publié le 26/09/2019 à 11:01 | Le Point.fr
Tout un symbole. À quelques jours du 1er octobre, fête nationale chinoise qui a une résonance particulière cette année puisque sera célébré le 70e anniversaire de la République populaire de Chine, le président Xi Jinping a inauguré un nouvel aéroport à Pékin. Mercredi 25 septembre, un avion A380 de la compagnie China Southern Airlines a décollé pour la première fois de l'aéroport de Daixin, installé au sud de la capitale.
Il faut dire que la construction d'un second aéroport à Pékin était une affaire urgente. La Chine a un besoin très pressant de se doter de grandes infrastructures aéroportuaires. L'aéroport de Pékin, qui accueille 100 millions de passagers par an (c'est le deuxième aéroport dans le monde en volume de passagers derrière Atlanta, aux États-Unis, et devant Dubaï), est déjà largement saturé. En outre, on estime qu'en Chine, dans les 15 prochaines années, il faudra construire ou rénover environ 150 aéroports pour répondre au développement fulgurant du marché de l'aérien.
Avec ce nouveau terminal, la Chine de Xi Jinping veut montrer sa puissance.
© BIAD
Le coût ? 15 milliards de dollars
L'appel d'offres pour ce second aéroport pékinois a été passé en 2014 par les autorités chinoises. C'est ADP Ingénierie, filiale d'ADP spécialiste du design d'infrastructures, qui a remporté le marché, conçu le projet puis l'a finalisé avec l'architecte anglo-irakienne Zaha Hadid (décédée en 2016) et le Beijing Institute of Architectural Design.
« La construction de l'aéroport a été extrêmement rapide. Quatre ans seulement pour un projet de cette envergure… La particularité de ce projet, c'est qu'il est greenfield. On partait de zéro, le terrain était vierge, on est partis d'une page blanche pour imaginer cet aéroport », explique Gratien Maire, directeur général d'ADP Ingénierie, qui bénéficie d'une longue expérience en Chine (opéra de Pékin, conception du terminal 1 de l'aéroport de Pudong à Shanghaï ou du terminal 2 de Nanjing, etc.).
Le bâtiment s’étend sur une superficie de 700 000 mètres carrés, dispose d’un toit d’un seul tenant qui correspond à la superficie de 25 terrains de football.
© BIAD
Le bâtiment s'étend sur une superficie de 700 000 mètres carrés, dispose d'un toit d'un seul tenant qui correspond à la superficie de 25 terrains de football, avec un puits de lumière disposé en son milieu. La façade du terminal est, quant à elle, longue de 5 kilomètres. Le coût de ce projet est de 15 milliards de dollars. Pour rendre le site facilement accessible depuis le centre-ville, une gare de métro et de train a été construite sous le terminal aéroportuaire – une ligne express doit permettre de rejoindre le centre-ville en une vingtaine de minutes. Un réseau autoroutier a également été créé pour faciliter les accès. Ce terminal 1 de l'aéroport de Daixin (doté de 4 pistes d'atterrissage et de 268 places de stationnement d'avions) aura une capacité annuelle de 45 millions de passagers dès l'ouverture, et qui pourra être portée d'ici à 2025 à 72 millions de passagers par an, voire à 100 millions de passagers par an à l'horizon 2040 !
Le coût de ce projet est de 15 milliards de dollars.
© BIAD
« Bâtiment révolutionnaire »
Le nouvel aéroport de Pékin est innovant à plus d'un titre. « Le bâtiment est révolutionnaire, car il va pouvoir accueillir dès son ouverture 45 millions de passagers sans avoir à recourir à des trains reliant différents terminaux, coûteux à construire et à exploiter », continue Gratien Maire. Si cela s'avère possible, c'est tout d'abord grâce à l'adoption de cette forme en étoile : les cinq branches de la structure étant dédiées aux postes avion. Mais c'est aussi et surtout grâce au développement vertical. Il est tout en hauteur, sur sept niveaux différents. ADP Ingénierie a, en effet, proposé de superposer des niveaux internationaux et domestiques alors que ce qui se fait usuellement est plutôt une expansion à l'horizontale. Ainsi, la distance séparant le cœur du terminal de la porte d'embarquement la plus éloignée est au maximum de 600 mètres, bien plus faible que dans les terminaux asiatiques et européens de capacité équivalente, comme Singapour. « Cette organisation est bénéfique à de nombreux titres. Pour le confort des passagers, pour leur laisser le temps de faire du shopping dans les duty free et de se restaurer tranquillement. Mais aussi pour les compagnies aériennes. La compacité du terminal permet également de limiter les temps de chargement et de livraison des bagages et les temps d'immobilisation de l'avion au sol », continue Gratien Maire.
Ce terminal 1 aura une capacité annuelle de 45 millions de passagers dès l'ouverture, et qui pourra être portée d’ici à 2025 à 72 millions de passagers par an, voire à 100 millions de passagers par an à l’horizon 2040.
© BIAD Ce nouveau type d'architecture devrait faire des émules. Dans quelques années, ce seul terminal sera donc en capacité d'accueillir plus de passagers que dans les trois terminaux de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle (qui gèrent 70 millions de passagers par an). Combien de temps Daixin gardera-t-il sa couronne de terminal le plus visité au monde ? Difficile à dire tant les projets de construction d'aéroport en Chine sont nombreux et toujours plus ambitieux. Le temps presse. En 2037, la Chine devrait assurer 1,6 milliard de voyages en avion par an.
Chinese Zodiac (Shi Er Sheng Xiao CZ12) est un film sino-hongkongais de Jackie Chan sorti en 2012 en Asie. Ce film fait suite à Mister Dynamite (1986) et Opération Condor (1991).
12 têtes en bronze représentant les signes du zodiaque Chinoisauraient été volées en 1860 durant le sac du Palais d'été par les armées britannique et française en représailles... De nos jours, un comte Anglais fait don de la tête du « chien » à un musée chinois, pendant que Lawrence Morgan, un homme d'affaires n'agissant pas toujours de façon légale, met aux enchères les têtes du « bœuf », du « singe », du « tigre », du « cochon » et du « cheval », des hommes d'affaires Chinois et patriotiques dépensent plusieurs millions pour les acquérir. Plus le temps avance et plus ces fameuses têtes en bronze prennent de la valeur, Lawrence sent qu'il y a moyen de se faire encore plus d'argent, il décide alors d'engager JC « Le Faucon » pour retrouver les têtes du « rat », du « lapin », du « coq », de la « chèvre », du « serpent » et du « dragon »...
Fiche technique
Titre international : Chinese Zodiac
Titre original : Shi Er Sheng Xiao CZ12 (十二生肖 CZ12)
Réalisation : Jackie Chan
Scénario : Jackie Chan, Stanley Tong, Edward Tang et Frankie Chan
Musique : Nathan Wang et Gary Chase
Photographie : Horace Wong, Ng Man-Ching, Ben Nott et Jackie Chan
Montage : Yau Chi Wai
Direction artistique : Jackie Chan et Oliver Wong
Costumes : Kitty Chau et Kwok Big Yan
Production : Jackie Chan, Wang Zhongei, Barbie Tung, Zhang Dajun, Albert Lee et Esmond Ren
Producteur délégué : Brett Ratner
Sociétés de production : Jackie & JJ Productions Limited, Huayi Brothers Media Corporation, Emperor Film Production Company Limited
Distribution :
Mondial : Emperor Motion Pictures
Belgique : Splendid Film
France : Universal Pictures Video
Genre : action
Durée : 120 minutes
Budget : 26 000 000 $
Pays d'origine : Hong Kong et Chine
Langues originales : anglais, mandarin et français
Format : Couleur 2.35:1 - Son Dolby Digital
Dates de sortie:
Hong Kong : 12 décembre 2012
Hong Kong, Chine : 20 décembre 2012
France : 10 juin 2014
Distribution
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Jackie Chan: JC « Le Faucon »
Oliver Platt : Lawrence Morgan
Zhang Lanxin : Bonnie
Kwon Sang Woo : Simon
Liao Fan : David
Yao Xingtong : Coco
Pierre-Benoist Varoclier : Léon
Qinxiang Wang : Professeur Guan
Laura Weissbecker : Catherine de Sichel
Vincent Sze : Michael Morgan
Jonathan Lee : Jonathan
Alaa Safi : Vulture
Caitlin Dechelle : Katie
Rosario Amadeo : Pierre
Ken Lo : Un pirate
Shu Qi : La femme de David
Daniel Wu : Le docteur
Ian Turiak : Marceau Castle Guard
Production
Genèse du projet
Dès 2007, Jackie Chan annonce son envie de clore sa saga fétiche avec un 3e film
Tournage
La course-poursuite en buggy rollin, visible dans la première bande-annonce, a nécessité pas moins de 1 mois et demi de tournage et l'équivalent de 10 millions de dollars
Lieux de tournage
Vanuatu
Jelgava, Lettonie
Australie
Pékin, République populaire de Chine
Paris, France
Château de Courances, France
Château de Chantilly, France
Taïwan
Trilogie
1986 : Mister Dynamite (Longxiong hudi) (龍兄虎弟) de Jackie Chan et Eric Tsang
1991 : Opération Condor (Fei ying gai wak) de Jackie Chan
2012 : Chinese Zodiac (Shi Er Sheng Xiao) de Jackie Chan