Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
11.02.2025
18683 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Cinéma (959)
· A à Z : Sommaire (304)
· Mannequin de charme (914)
· Musique (371)
· Monde : France (3307)
· Calendrier : Événements (333)
· Département : Meuse (213)
· Cinéma : Films à classer (151)
· Calendrier : Naissances (246)
· Monde : Etats Unis (1156)
air amour annonce argent art article background base belle blogs cadre center
Articles les plus lus· Bienvenue sur
· Alessandra Sublet
· Lui : Célébrités nues
· 28 septembre : Naissances
· Loto (jeu de la Française des jeux)
· Feodor Vassiliev et Valentina Vassilyev : 69 enfants nés
· Renaud : Hexagone (Paroles et explications)
· Omar Sharif
· A (Sommaire)
· Mannequin de charme : Sommaire
· Culotte : Sous les jupes des filles
· Julia Channel
· Femme
· Brigitte Lahaie
· Maureen O'Hara
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
allan ehrhardt www.seucon2 vi sureu ibm.fr
Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
LA RETRAITE DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
La retraite du président de la République intéresse de plus en plus les Français. En effet, il semble évident pour bon nombre de citoyens que connaitre la pension touchée par un ancien Chef d’État fait partie de leurs droits en tant que contribuables. De plus, les rémunérations des hauts personnages de l’État ne sont plus, depuis longtemps, un secret pour le grand public.
Le statut du président de la République
Le président de la République française est élu par suffrage universel direct pour un mandat de 5 ans, selon l’alinéa premier de l’article 6 de la Constitution qui est entré en vigueur après la réforme constitutionnelle de 2000. En outre, son mandat ne peut être renouvelé qu’une fois.
La pension correspondant à la retraite du président de la République est fixée par l’article 19 de la loi n° 55-366 du 3 avril 1955, publiée au Journal officiel du 6 avril 1955. Selon ce texte, la pension annuelle d’un ancien président de la République française est égale au « traitement indiciaire brut d’un conseiller d’État en service ordinaire ».
La retraite de baseÀ l’heure actuelle, un conseiller d’État hors échelle E, de deuxième chevron, reçoit un traitement indiciaire brut annuel de 75 000 € en moyenne. Le montant de la retraite d’un ancien président de la République gravite par conséquent autour de 6 000 € bruts mensuels étant donné qu’il se situe dans la même échelle. À titre d’explication, la hiérarchie des hauts fonctionnaires est établie suivant des échelons allant de A jusqu’à G qui se divisent à leur tour en chevrons.
Enfin, la retraite du président de la République peut être cumulée avec d’autres émoluments ou salaires provenant d’autres emplois. En outre, il peut toucher des pensions issues d’une activité antérieure à sa fonction de premier magistrat de l’État.
La retraite complémentaireMalgré son statut particulier, l’ancien président de la République ne dispose pas d’un régime de retraite spécifique. Néanmoins, le fait d’être membre d’office et à vie du Conseil Constitutionnel lui permet de bénéficier d’une rente estimée à 11 500 € nette mensuelle qui peut être considérée comme une sorte de retraite complémentaire.
Il est également possible pour le président en exercice de souscrire une assurance vieillesse auprès d’une compagnie d’assurance ou d’une banque s’il souhaite améliorer sa pension au moment de sa retraite.
Il convient de souligner que le statut d’ancien président de la République offre des avantages en nature qui compensent l’absence de régime de retraite complémentaire. Ainsi, l’ex-Chef d’État bénéfice d’un appartement de fonction équipé et meublé où travaillent en permanence deux personnes de service. Il a également droit à une voiture de fonction avec deux chauffeurs et à sept collaborateurs en charge de son secrétariat. De surcroit, deux policiers garantissent sa protectionrapprochée tandis qu’une sécurité spéciale garde son domicile privé.
Parmi ses privilèges, il ne faut pas oublier la gratuité dans les transports publics, notamment dans tout le réseau SNCF où il peut prétendre à la première classe et sur Air France où il est accueilli en classe affaires. Enfin, s’il séjourne à l’étranger, il est hébergé dans une résidence consulaire par l’ambassade de France sur place. Toutes ces dépenses sont à la charge du contribuable français.
|
Alexandre Ferdinand Godefroy, né à Saint-Aubin en 1852 et mort à Nice le 11 mars 1933, est un coiffeur et un inventeur français, pionnier de la coiffure moderne, notamment pour son invention du sèche-cheveux.
Dans ses mémoires il se définit comme un « coiffeur inventeur ». C'est également un grand voyageur et inventeur dans de multiples domaines. Il est inhumé aux Etats Unis, à Saint-Louis, dans le Missouri.
Alexandre Ferdinand Godefroy, issu d’une famille de cultivateurs, en 1864, à l’âge de 12 ans fut placé en apprentissage chez un barbier. À 14 ans, au Havre, il se plaça lui-même comme ouvrier coiffeur, puis à 16 ans toujours comme coiffeur à Rouen. En 1869, à Jersey, il part travailler comme ouvrier accompli, et l’année suivante à Londres.
Vers la fin de 1879, monsieur Godefroy quitte la France pour les Etats Unis à New York. Puis en 1880 il s’installe à Chicago comme contremaître dans une usine de postiches en gros. En 1862, il s’établit à Saint-Louis (Missouri) comme coiffeur français, posticheur, parfumeur, teinturier capillaire, où il crée plusieurs succursales. En 1906, à 24 ans, il crée un établissement de coiffure parfumeur à Mexico. Après s’être retiré des affaires, il conservera une grande activité à ses inventions et à ses voyages et séjours incessants dans toutes les Amériques ainsi qu’en Europe et en Afrique, il consacre également beaucoup de temps à la rédaction de ses mémoires destinées à ses jeunes confrères.
En 1880, à Chicago, Alexandre Ferdinand Godefroy se marie avec la fille d’un colon français. Cette jeune femme décédera trois mois plus tard. En secondes noces, le 18 septembre 1882, il épouse Elizabeth Jan Date originaire d’Angleterre. De cette union naîtront cinq enfants. Adolphe Ferdinand, Charles, Webb, Edom Herbert, Clovis et Azeline.
Alfred Ferdinand Godefroy, à la fin de sa vie, consacra son temps à la rédaction de ses mémoires. Livre témoin d’une vie pleinement dévouée à son métier premier « la coiffure. » Dans son récit, il fait l’inventaire de toutes ses recherches (mécanique, électrique, chimie, aéronautique) et brosse un portrait précis sur le bilan familial. Dans de multiples domaines, A. F. Godefroy fut précurseur, voire visionnaire. Dans la rédaction de son œuvre abondamment illustrée, il n’a de cesse d’améliorer, perfectionner et de créer dans le seul but de rendre plus facile la vie de ses collaborateurs et concitoyens.
|
En 1885, l’électricité était peu connue dans les salons de coiffure.Alexandre-Ferdinand Godefroy eut l’idée de faire rougir un fil métallique et d’y déposer le fer à friser pour le chauffer. En 1887 partit du besoin de simplification de son procédé, il développe sa première idée en incorporant une résistance dans l’intérieur du tube du fer frisé. Ce jour-là, le fer à friser électrique était né. A.-F. Godefroy déposa un brevet en 1888.
|
Premier vol d'un hélicoptère électrique en août 2011, effectué en France par Solution F et Pascal Chrétien.
Pascal Chrétien, né le 7 avril 1968, est un ingénieur électronique et aéronautique australo-français, concepteur et pilote du premier hélicoptère entièrement électrique, le Solution F/Chretien Helicopter (en).
Pascal Chrétien obtient deux licences de pilote professionnel d'hélicoptère au Canada en 1993 et en Australie en 1994, avec une expérience du travail aérien et des tests en vols.
Il innove depuis 2002 dans la propulsion hybride et les transmissions électromagnétiques appliquées aux aéronefs . Il détient entre autres plusieurs brevets dans ce domaine.
Pilote professionnel d’hélicoptère et ingénieur électronique spécialisé en électromagnétisme, Pascal Chrétien conçoit, construit et fait voler le premier hélicoptère au monde à propulsion électrique piloté par un humain les 4 et 12 août 2011.
C'est pour la compagnie française Solution F qu'il a conçu et construit cet hélicoptère. Pour son hélicoptère et pour son vol record, il reçoit le « Guinness World Record » et le prix IDTechEx Electric Vehicles Land Sea & Air award (USA)
|
Le Cinéorama est un procédé de projection cinématographique sur un écran circulaire balayé par dix projecteurs synchronisés.
Le procédé fut mis au point par le Français Raoul Grimoin-Sanson, breveté en 1897 et présenté à l’occasion de l’exposition universelle de 1900 à Paris. Mais il attira une telle foule qu’il dut être interrompu au bout de trois jours d’exploitation pour des raisons de sécurité.
Contrairement à une légende solidement établie, il n'y a sans doute jamais eu de projection publique, mais des descriptions imaginaires dans la presse de l'époque et les brochures publicitaires. Le 18 août de la même année, la Société française du Cinéorama fut mise en liquidation judiciaire.
Le Cinéorama, qu'il ait fonctionné ou non, reste par sa conception le premier des procédés de cinéma projetant des images à 360°. L'historien Jean-Jacques Meusy a fait la lumière sur cette belle légende, que des générations successives d'historiens du cinéma ont pris pour argent comptant.
Il fut le premier des procédés de cinéma circulaires : polyvision, cinemiracle, thrillerama, wonderama, circarama, circlorama, quadravision.
|
Expansion de l'image à la projection
Le CinemaScope est un procédé de prise de vues et de projection qui consiste à anamorphoser (comprimer) l'image à la prise de vue, pour la désanamorphoser à la projection. Ce rapport de compression est de 2. Le CinemaScope ne désigne pas directement le format d'image, mais un procédé d'anamorphose de l'image, qui peut être utilisé en 35 mm comme en 16 mm, avec des ratios d'image différents.
C'est la Society of Motion Picture and Television Engineers (SMPTE) qui définit les normes de la fenêtre de projection de ce qu'on appelle le scope : CinemaScope 35 mm avec son optique. Le scope a aujourd'hui un ratio de 2,39:1.
C'est une image qui est comprimée lors du tournage puis étirée lors de la projection pour ne plus être déformée et retrouver son format panoramique.
Grâce à un objectif déformant (anamorphose), l'image est comprimée dans le sens horizontal lors de la prise de vue sur film classique ; à la projection, elle est étirée dans les mêmes proportions, ce qui permet de retrouver une image panoramique.
Le dispositif optique est basé sur celui de l'Hypergonar, inventé en 1926 par le Français Henri Chrétien. Il s'agit principalement d'une lentille cylindrique placée devant l'objectif primaire, sphérique.
Ce n'est qu'en 1953 que la 20th Century Fox conclut un accord avec l'inventeur du procédé, Henri Chrétien et présenta la même année le premier film en CinemaScope La Tunique (The Robe) d'Henry Koster. C'était en réalité le second film tourné selon ce procédé, le premier étant Comment épouser un millionnaire, longtemps après le film expérimental de Claude Autant-Lara de 1928 Construire un feu. Pour des raisons commerciales, il est sorti après La Tunique. La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953. Le premier dessin animé utilisant ce procédé est le court métrage de Disney Les Instruments de musique (Toot Whistle Plunk and Boom, 1953), suivi ensuite par le long métrage d'animation La Belle et le Clochard (1955). Au sujet du film L'Infernale Poursuite (1956), le réalisateur Francis D. Lyon explique qu'il a apprécié ce nouveau format « plus facile pour la mise en scène et plus économique en réduisant les installations principalement pour les tournages en extérieur. »
Le premier film français en CinemaScope est Nouveaux Horizons de Marcel Ichac (1953), diffusé en avant-programme de La Tunique et qui tire mieux parti, par sa recherche de l'effet de profondeur via le travelling, des avantages du CinemaScope. La revue La Recherche explique ; « L'impression de profondeur disparaît dès lors que la caméra est statique ». Marcel Ichac, qui avait assisté aux États-Unis à la projection de This is Cinerama, avait tenu compte de cette particularité lorsqu'il avait tourné Nouveaux horizons. Le compte rendu de la projection de son film devant la Commission supérieure technique de l'image et du son (CST) indiquait en effet ; « Les membres de la CST ont pu constater lors de la projection que M. Ichac avait parfaitement compris pour ce premier film l'utilisation qui peut être faite du procédé du Professeur Chrétien et qu'il a su donner aux spectateurs ce pseudo-relief obtenu par la répétition des travelling avant, travelling arrière et latéral ; les spectateurs ont en effet eu une forte impression de plans détachés, impression qui a disparu avec la projection de La Tunique (...) Beaucoup de critiques qui avaient assisté en décembre 1953 à la projection des deux films avaient remarqué en effet que La Tunique était beaucoup moins convaincant de ce point de vue. »
En 1955, lors du tours du Mans, l’Angleterre a utilisé le CinémaScope.
Le rapport du CinemaScope a varié depuis sa création :
À partir de 1953, le son utilisé étant magnétique, l'image utilisait toute la largeur disponible du négatif. Le rapport était de 2,55:1. Le CinemaScope avec piste optique avait lui, un rapport de 2,35:1.
En 1957, la Society of Motion Picture and Television Engineers (SMPTE) normalise les dimensions de la fenêtre de projection du CinemaScope à 21,31 × 18,16 mm, soit un rapport de 1,1734:1, donc de 2,35:1 après désanamorphose.
En 1970, l'interimage n'étant pas assez grande, la SMPTE revoit les normes et diminue légèrement la hauteur de l'image simplifiant ainsi la précision du cadrage à la projection, les dimensions sont ramenées à 21,29 × 17,78 mm, soit à un rapport de 2,39:1.
En 1993, les dimensions sont encore très légèrement diminuées (20,95 × 17,52 mm) mais le rapport reste à 2,39:1.
Depuis, différents procédés basés sur le même principe sont utilisés, dont les plus connus sont Panavision et Technovision.
Variantes
En 1954, la Paramount crée le procédé VistaVision.
En 1954, développement du procédé économique Superscope, principalement exploité par le studio RKO. Ce procédé est considéré comme l'ancêtre du Super 35.
Le Techniscope est une version économique du Superscope. À la prise de vue l'image est moins haute, le film avance de deux perforations au lieu de quatre.
Dans les années 1960, la Shaw Brothers à Hong Kong invente son propre CinemaScope, baptisé Shawscope.
Dans les années 2000, Arri met au point le procédé Mscope, permettant d'utiliser des objectifs anamorphiques sur une caméra numérique prévue à cet effet, la D21.
|
La cigarette électronique (ou e-cigarette), aussi appelée vapoteuse, vaporette ou parfois vaporisateur personnel, est un dispositif électronique générant un aérosol destiné à être inhalé. Elle produit une « vapeur » ressemblant visuellement à la fumée produite par la combustion du tabac. Cette vapeur peut être aromatisée — arôme de tabacs blonds, bruns, de fruits, de bonbons, etc. — et contenir ou non de la nicotine.
À la différence de la fumée produite par une cigarette traditionnelle, cette « vapeur » n'est pas du tabac brûlé. Elle contient néanmoins des particules et substances cancérogènes ou toxiques mais en quantité plus faibles que la cigarette (ou la pipe). Elle est souvent présentée comme une alternative moins nocive au tabac ou comme un substitut pour le sevrage tabagique mais l'OMS et des agences nationales comme l'Agence nationale de santé publique (France) ont conclu à partir des études disponibles que le potentiel du vapotage comme outil d'aide au sevrage tabagisme « n'[était] pas clair ».
Terminologie
Le dispositif est communément désigné par « cigarette électronique » ou « e-cigarette » ou « e-cig », car, dans ses formes les plus démocratisées, il rappelle la forme et l'usage de la véritable cigarette, et simule sa fumée. Le terme « électronique » (ou le préfixe « e-») est un élément de marketing inventé en 2005 pour des dispositifs qui ne comportaient à l'époque pas d'éléments électroniques, ni microprocesseur. Fin 2013, la plupart des dispositifs sont électroniques, d'une complexité allant de simples mécanismes de protection à des modèles sophistiqués, avec variateur de tension ou de puissance, contrôle de la température de la résistance, décompte des bouffées, écran, communication avec ordinateur, etc.
Une cigarette électronique dont l'e-liquide contient de la nicotine peut aussi être appelé « système électronique d'administration de nicotine » ou SEAN
Quand elles ont la forme d'un cigare ou d'une pipe, elles peuvent alors aussi être nommées « cigare électronique » ou « pipe électronique ». Toutefois elles peuvent prendre des formes plus originales.
Les utilisateurs de cigarettes électroniques préfèrent souvent le terme « vapoter » (dérivé du mot « vapeur ») au lieu de « fumer » et se désignent non plus comme des fumeurs mais comme des « vapoteurs ». De même, afin d'éviter l'assimilation aux produits du tabac, les vapoteurs nomment l'appareil « vapoteuse ».
Les termes « cigarette électronique », « vapoter » et « vapoteur/vapoteuse » ont été inclus dans l'édition 2015 du Petit Larousse et du Petit Robert.
Historique
Le concept d'une cigarette électronique est élaboré par Herbert A. Gilbert en 1963, avec un brevet déposé en 1965 présentant le schéma d'une cigarette électronique « remplaçant le tabac et le papier par de l'air chauffé et aromatisé ». Gilbert fut approché par des sociétés souhaitant fabriquer cette cigarette, mais son invention ne fut jamais commercialisée.
Le premier dispositif rendu public destiné à simuler l'utilisation d'une vraie cigarette a été réalisé en 2003 par Hon Lik, un ancien pharmacien et ingénieur chinois qui a déposé en 2005 un brevet pour une « cigarette sans fumée à pulvérisation électronique ». Toutefois, ce premier dispositif exploite alors la technologie de nébulisation par ultrason. Hon Lik s'est ensuite associé à la société Golden Dragon Holdings pour commercialiser sa cigarette électronique en Chine en 2004. En novembre 2007, la Golden Dragon Holdings a changé le nom de l'entreprise en Ruyan (如烟), qui signifie « comme une cigarette » en chinois. Le nom change de nouveau en août 2010 en Dragonite International Limited.
La technologie de vaporisation par résistance chauffante, seule technologie commercialisée pour les cigarettes électroniques actuellement, a été inventée et brevetée vers 2009 par le chinois David Yunqiang Xiu (修运强) avec son « Electronic Nicotine Delivery System (ENDS) »
Les cigarettes électroniques sont pour la plupart fabriquées en Chine, dans diverses usines des villes de Shenzhen et Hong Kong. Les revendeurs du monde entier sélectionnent leurs produits via des intermédiaires sur place et se font livrer les kits tout prêts, ou achètent les divers éléments et font eux-mêmes le conditionnement des kits. Certains gros revendeurs louent des ateliers au sein des usines de production ou possèdent des ateliers de montage sur place. Il existe également des modèles développés et fabriqués en petites séries en Europe et en Amérique.
Les entreprises historiques du tabac se sont progressivement intéressées au marché de niche de la cigarette électronique et chaque acteur majeur du tabac propose maintenant sa cigarette électronique.
|
Inventions françaises de 2000 à ce jour
2001 : baladeur multimédia, Archos |
2001 : Cigarette électronique, Stéphane Marc Vlachos |
2001 : chirurgie à distance, Jacques Marescaux, Michael Gagner (États-Unis) |
2002 : implantation de valve aortique par voie percutané (TAVI), Alain Cribier |
2004 : Hypertélescope, Antoine Labeyrie, Hervé Le Coroller et Julien Dejonghe |
2004 : ranélate de strontium (Protelos), médicament pour les os, Servier |
2005 : première transplantation d'un visage, Bernard Devauchelle, Jean-Michel Dubernard |
2005 : Telvibudine, médicament contre l'hépatite B, Gilles Gosselin, Jean-Louis Imbach et Martin L. Bryant, prix de l'inventeur européen 2012 |
2005 : Ivabradine (Procoralan), médicament pour le cœur, Servier, Prix Galien 2008 |
2011 : pneu increvable colmatant instantanément toute perforation, Michelin (commercialisation prévue en 2014) |
2011 : hématies artificielles fonctionnelles |
2011 : hélicoptère entièrement électrique, Pascal Chrétien |
2011 : Vitrimère, matériau composite, Ludwik Leibler, prix de l'inventeur européen 2015 |
2012 : Larynx artificiel, Christian Debry |
2012 : Tériflunomide, médicament pour la sclérose en plaques, Sanofi |
2013 : cœur artificiel autonome, Alain Carpentier (CARMAT) |
2013 : Pneumatique avec bande de roulement auto-régénérante, RegenionTM, Agnès Poulbot, Jacques Barraud, Michelin, prix de l'inventeur européen 2018 |
2014 : distributeur automatique de baguettes chaudes, (gagnant du concours Lépine), Jean-Louis et Jean-Claude Hecht |
2016 : route solaire, Société Colas et CEA-Tech |
2016 : Dengvaxia, vaccin contre la dengue, Sanofi-Pasteur |
2016 : Domino, le bouton connecté, La Poste |
2016 : Oombrella, le parapluie intelligent, Weezzo |
2016 : Thermo, thermomètre connecté ultra-précis qui permet de prendre sa température, par simple contact sur la peau, en deux secondes et de manière fiable, Withings |
2016 : Disco, drone aile volante avec caméra, Parrot |
2016 : SmartPebble, galet interrupteur sans fil connecté, AwoX |
2016 : ampoule musicale, AwoX |
2016 : thermostat en temps-réel (chauffage sur-mesure sans gaspillage), Ween |
2016 : Balios, objet connecté pour l'équitation dont les capteurs renvoient sur le smartphone du cavalier des données précises sur ses progrès, tout en évaluant le degré de bien-être de l'animal, Equisense |
2016 : Mixfader, objet connecté en Bluetooth avec une tablette ou un smartphone qui permet de mixer des sons |
|
Inventions françaises de 1950 à 1999
1950 : stylo à bille Bic Cristal, Marcel Bich (Société Bic) |
1951 : hélicoptère à turbine, SO 1120 Ariel III, SNCASE (premier vol) |
1952 : pompage optique, permettant la conception de laser, Alfred Kastler |
1952 : neuroleptique, Paul Charpentier, Henri Laborit et Pierre Deniker |
1952 : hibernation artificielle, Henri Laborit |
1952 : astrolabe à mercure (observations astronomiques), André Danjon |
1953 : portrait-robot, Roger Dambron, médaille de bronze au Concours Lépine |
1954 : soudage par bombardement électronique, M. Sthor (Commissariat à l'énergie atomique) |
1954 : aéronef à décollage et atterrissage verticaux, Michel Wibault (dépôt du brevet) |
1954 : poêle Tefal poêle de cuisine anti-adhésive, recouverte de téflon, Marc Grégoire |
1955 : Caravelle, avion à réaction à moteurs arrière, Pierre Satre (Sud-Aviation) |
1956 : procédé SECAM de télévision couleur breveté, Henri de France |
1956 : pot d'échappement catalytique (automobile), Eugène Houdry |
1958 : enceinte acoustique à amplificateur incorporé, Société Cabasse |
1958 : Panrama, premier procédé cinématographique permettant la projection de films sur un écran de cinéma hémisphérique géant |
1959 : Soucoupe plongeante, Jacques-Yves Cousteau et Jean Mollard |
1959 : Metformine (glucophage), médicament pour le diabète, Jean Sterne, Elie Azerad |
1959 : fer à coiffer électrique, René Lelièvre, Roger Lemoine |
1959 : écran magique (jouet), André Cassagnes |
1961 : Animographe, machine pour produire des dessins animés, Jean Dejoux |
1963 : Premier préparateur culinaire, le Robot-Coupe, Pierre Verdun |
1963 : Doypack, sachet souple tenant debout, Louis Doyen |
1964 : fromage sans matières grasses, Gervais (entreprise) |
1965 : K-way, Léon-Claude Duhamel |
1965 : pneu asymétrique, Michelin XAS |
1966 : usine marémotrice de la Rance, EDF |
1966 : Aérotrain, Jean Bertin |
1967 : fenestron, carénage du rotor de queue d'hélicoptère, Société Sud-Aviation |
1967 : Dépakote, (médicament contre l'épilepsie et la dépression), Pierre Eymard |
1969 : chambre à fils, pour la détection de particules, Georges Charpak |
1968 : bioprothèse valvulaire, (valve biologique), Alain Carpentier |
1969 : boite de vitesses automatique à commande électronique, Renault |
1970 : Digicode, Bob Carrière |
1971 : fabrication assistée par ordinateur, (FAO), Pierre Bézier, Renault |
1971 : Véhicule Automatique Léger (VAL, métro automatique), Robert Gabillard |
1972 : Le micro ordinateur, François Gernelle |
1972 : Prolog (langage de programmation), Alain Colmerauer et Philippe Roussel |
1972 : chirurgie par cœlioscopie, Philippe Mouret |
1973 : synthèse des cryptates, Jean-Marie Lehn |
1973 : absorbeur d'humidité, Jean Vasseur |
1974 : carte à puce, Roland Moreno |
1974 : interféromètre à 2 télescopes, Antoine Labeyrie |
1976 : vaccin contre l'hépatite B, Philippe Maupas |
1976 : stimulateur respiratoire, Roy-Camille |
1978 : plip, verrouillage à distance des portes de voiture, Paul Lipschutz |
1978 : allumage électronique intégral, Thomson |
1978 : insecticide Decis, Société Roussel-Uclaf |
1978 : Navelbine, médicament anticancéreux, Pierre Potier, Laboratoires Pierre Fabre48 |
1979 : Culture in vivo de lymphocytes T, équipe de l'hôpital Saint-Louis (Paris) |
1980 : forage horizontal industriel, Société Elf et Institut français du pétrole |
1980 : Minitel, début de l'utilisation, PTT |
1981 : élastomère PEBA (en), Gérard Deleens, Société Elf |
1981 : pompe à insuline sous-cutanée Jacques Mirouze |
1981 : Analyse isotopique par résonance magnétique nucléaire, Gérard Martin, Maryvonne Martin |
1981 : TGV, conception de 1974 à 1981 par Société Alstom |
1982 : Almitrine (Vectarion), médicament pour l'insuffisance respiratoire, Servier |
1983 : enrobé drainant (revêtement routier), société Beugnet |
1983 : langage de progmmation Ada, Jean Ichbiah et Société CII-Honeywell Bull |
1984 : laser dentaire Erbium et YAP, (SAT) |
1984 : sécateur électrique, Daniel Delmas |
1985 : vaccin contre la leishmaniose, L. Monjour |
1985 : test de dépistage du SIDA, Institut Pasteur |
1985 : Hydreliox, mélange gazeux pour la plongée sous-marine, Henri Germain Delauze (Société Comex : |
1985 : vaccin humain obtenu par génie génétique, Institut Pasteur |
1986 : langage de programmation Caml, Inria |
1986 : casque antibruits actif (à émission de contre-bruit), Christian Carme et Alain Roure |
1986 : pavé autobloquant, René Temey |
1986 : stent endocoronaire, Jacques Puel |
1986 : radeau des cimes, pour l'exploration de la canopée, Gilles Ebersolt |
1986 : Adrafinil, médicament psychostimulant, Laboratoire Louis Lafon |
1987 : stimulation cérébrale profonde (traitement de la maladie de Parkinson), Alim-Louis Benabid et Pierre Pollak |
1987 : moule de pâtisserie en silicone, Jean Daudignac |
1988 : miroirs à retournement temporel (retournement d'ondes sonores), Mathias Fink |
1988 : pilule abortive RU486, Étienne-Émile Baulieu |
1988 : embrayage électronique, Valeo |
1989 : test hépatite C, Ortho Diagnostic |
1989 : Suspension hydractive, Citroën XM |
1989 : Docétaxel (taxotère), médicament anticancéreux, Pierre Potier (Rhône-Poulenc) |
1990 : LC Concept, son numérique salles cinémas, Pascal Chédeville et Elisabeth Löchen |
1990 : Agomélatine (Valdoxan), médicament antidépresseur, Servier |
1991 : Modafinil, médicament psychostimulant, Laboratoire Louis Lafon, Michel Jouvet |
1991 : Turbo code, code informatique pour les télécommunications, Claude Berrou |
1994 : pneu vert, à faible résistance à l'avancement, Michelin |
1996 : PAX System, pneu indéjantable à accrochage vertical (permettant de rouler en cas de crevaison), et commercialisation des pneu de couleur, Michelin |
1998 : composition musicale automatique, René-Louis Baron |
1999 : Plavix, médicament anticoagulant, Sanofi-Aventis |
1999 : format de compression vidéo DivX, Jérôme Rota |
|
Inventions françaises de 1900 à 1949
1900 : turbine à vapeur à étage de pression, Auguste Rateau |
1900 : thermomètre à ether de pétrole, Arsène d'Arsonval : |
1900 : accéléromètre, Eugène Huguenard |
1900 : Narval, sous-marin moderne à double coque et propulsion mixte, Maxime Laubeuf |
1900 : Cinéorama, procédé de projection cinématographique sur 360 degrés, Raoul Grimoin-Sanson |
1900 : premières liaisons radios opérationnelles en mer sur la longueur d'onde des 600 mètres, Camille Papin Tissot |
1901 : fabrication mécanique du verre par étirage, Émile Gobbe |
1901 : Lipiodol (en), médicament à base d'iode et produit de constraste en radiologie, Marcel Guerbet, Laurent Lafay |
1902 : procédé industriel de liquéfaction de l'air, Georges Claude |
1902 : moteur multisoupape, Panhard & Levassor |
1902 : scooter, Société Auto-Fauteuil |
1902 : moteur V8, Clément Ader |
1903 : train routier à traction continue, Charles Renard |
1903 : Stovaïne, anesthésique local de synthèse, Ernest Fourneau |
1903 : verre feuilleté Triplex, Édouard Bénédictus |
1903 : bec Meker, appareil de chauffage utilisé en laboratoire, Georges Méker |
1903 : turbine à gaz à explosion, Armengaud |
1903 : moto à suspension avant, Truffault (société) |
1903 : soudage oxyacétylénique, Fouch, Picard |
1904 : moto à fourche télescopique, Terrot (société) |
1904 : pastille Valda, Henri-Edmond Canonne |
1905 : aileron d'avion, Robert Esnault-Pelterie |
1905 : Pathéchrome, machine à colorier les films, Pathé, Gaumont |
1905 : pneu à clous, Michelin |
1905 : test d'intelligence, Alfred Binet et Théodore Simon |
1906 : manche à balai d'avion, Robert Esnault-Pelterie |
1906 : lyophilisation, Arsène d'Arsonval et F. Bordas |
1907 : teinture de synthèse pour les cheveux, Eugène Schueller |
1907 : autochrome (photographie en couleur), Auguste et Louis Lumière |
1907 : pétanque, Jules Hugues |
1907 : avion monoplan, Robert Esnault-Pelterie |
1907 : stéréo-cinéma, appareil optique, Émile Reynaud |
1907 : hélicoptère, Paul Cornu |
1907 : test Mantoux pour la détection de la tuberculose, Charles Mantoux |
1907 : boîte de vitesses automatique, Fernand Forest |
1908 : bélinographe, (transmission d'images à distance) Édouard Belin |
1909 : transmission instantanée d'images, préfigurant la télévision, Georges Rignoux et A. Fournier |
1909 : Cent-Vues, appareil photographique utilisant le 35 millimètres, médaille d'or au concours Lépine, Étienne Mollier |
1910 : Croque-monsieur |
1910 : tube au néon, Georges Claude |
1910 : hydravion, premier vol autonome, Henri Fabre |
1910 : variateur de vitesse pour moto, Société Terrot |
1910 : avion volant à plus de 100 km/h, Louis Blériot |
1910 : autochenille, Adolphe Kégresse |
1911 : radiophare, André Blondel |
1911 : badin, instrument de mesure de la vitesse d'un avion, Raoul Badin |
1912 : avion entièrement métallique « Tubavion », Charles Ponche et Maurice Primard |
1912 : fréquencemètre, René Barthélémy |
1912 : un des systèmes de TSF, Lucien Rouzet |
1913 : poste de triage automatique |
1913 : roue en acier démontable (roue de secours), Michelin |
1913 : statoréacteur |
1914 : palmes modernes, Louis de Corlieu |
1915 : sonar, Paul Langevin |
1915 : tulle gras, type de pansement, Auguste Lumière |
1915 : tube de rouge à lèvres coulissant, Maurice Levy |
1916 : fusées Le Prieur, roquettes incendiaires pour avion, Yves Le Prieur |
1917 : char de combat à tourelle pivotante, Renault FT, Renault |
1917 : béton compacté mécaniquement, Eugène Freyssinet |
1917 : catadioptre, Henri Chrétien |
1917 : avion télécommandé, Max Boucher |
1917 : récepteur radio à changement de fréquence, Lucien Lévy |
1917 : phagothérapie, guérison par des bactériophages, Félix d'Hérelle |
1917 : stroboscope électrique, Étienne Œhmichen |
1921 : le BCG, vaccin antituberculeux, Albert Calmette et Camille Guérin |
1921 : Acétarsol, médicament anti-infectieux, Ernest Fourneau |
1921 : avion de plus de 300 km/h, Nieuport-Delage |
1922 : rustine, Louis Rustin |
1922 : vaccin contre le tétanos, Institut Mérieux |
1923 : machine à affranchir le courrier, Philippe Tiranty |
1924 : suspension oléopneumatique, Georges Messier |
1925 : Procédé Ugine-Perrin, méthode permettant d'obtenir de l'acier inoxydable, René Perrin |
1925 : vaccin avec adjuvant, Gaston Ramon |
1926 : polo (vêtement), René Lacoste et André Gillier |
1926 : joint Tracta, joint de cardan joint homocinétique pour traction avant, Jean-Albert Grégoire et Pierre Fenaille |
1926 : CinemaScope, (Hypergonar), Henri Chrétien |
1926 : turbocompresseur pour avion, Auguste Rateau |
1927 : carottage électrique, (détection du pétrole) Frères Schlumberger |
1927 : ABS (anti blocage des roues), Gabriel Voisin |
1927 : radiosonde, (étude de l'atmosphère), Robert Bureau et Pierre Idrac |
1928 : précontrainte du béton, Eugène Freyssinet |
1928 : craquage catalytique (chimie), Eugène Houdry |
1928 : ondes Martenot, instrument de musique électronique, Maurice Martenot |
1929 : Micheline (transport), Michelin |
1930 : coronographe permettant l'étude du soleil, Bernard Lyot |
1930 : Élytroplan, empennage d'avion en "T", Charles de Rougé |
1930 : orgue électronique, Edouard Coupleux et Joseph Givelet |
1930 : exploitation de l'énergie thermique des mers, Georges Claude |
1930 : rhodoquine, médicament contre le paludisme, Ernest Fourneau à l'Institut Pasteur |
1930 : antivol Neiman, Abram Neiman |
1931 : suspension automobile à quatre roues indépendantes, André Dubonnet et Antoine-Marie Chedru |
1932 : vaccin contre la fièvre jaune, Jean Laigret et Andrew Sellards |
1933 : Pipéroxane, premier médicament antihistaminique (contre les allergies), Ernest Fourneau et Daniel Bovet |
1933 : Horloge parlante, Ernest Esclangon |
1934 : radioactivité artificielle, Irène et Frédéric Joliot-Curie |
1934 : radar décimétrique : Émile Girardeau dépose un brevet et effectue des tests sur ce type particulier de radars. À la même époque, le Britannique Robert Watson-Watt, l'Américain Robert Morris Page, l'Allemand Hans-Karl von Willisen et d'autres travaillent de façon indépendante et déposent leurs propres brevets. Cependant, le premier à réaliser un ancêtre de l'appareil est l'Allemand Christian Hülsmeyer en 1904 |
1934 : projecteurs hertziens, Clavier |
1934 : pneu à lamelles, Michelin |
Premier panier à salade souple, 1935 |
1934 : lampe à lumière froide, René Coustal |
1935 : propriétés thérapeutiques des sulfamides, J. et Th. Tréfouël, F. Nitti et D. Bovet (Institut Pasteur, laboratoire d'E. Fourneau) |
1935 : panier à salade souple pliant, dit Le Champion, tissage mécanique, fabriqué de 1935 à 1967, Henri Gautreau |
1936 : malle secrétaire, (malle avec un bureau pliant), Louis Vuitton |
1937 : Metalic, pneumatique à carcasse d'acier, Michelin |
1937 : fusil pour pêche sous-marine, Jacques-Yves Cousteau |
1937 : fusée à étages, Louis Damblanc |
1938 : Dacorène, premier médicament pour régulariser le rythme cardiaque, Ernest Fourneau(Société Rhone-Poulenc) |
1939 : Gramicidine (antibiotique), René Dubos |
1939 : diaphragme à ouverture automatique, Martin |
1940 : accumulateur zinc-argent, Henri André |
1941 : microscope protonique, Claude Magnan et Paul Chanson |
1941 : Rhofil (fibre textile), J. Corbière |
1943 : scaphandre autonome moderne à détendeur automatique, Jacques-Yves Cousteau et Émile Gagnan |
1943 : stigmomètre, dispositif pour appareil photographique, Lucien Dodin |
1944 : photocomposition (lumitype), René Higonnet et Louis Moyroud |
1946 : pneu à carcasse radiale, Michelin |
1946 : bikini (maillot de bain), Louis Réard (déjà utilisé durant l'antiquité) |
1946 : VéloSoleX, Société Solex |
1946 : codes (automobiles), Pierre Cibié |
1947 : pansement soluble, Robert Monod |
1947 : Clavioline, synthétiseur de musique, Constant Martin |
1948 : skis à fixation de sécurité, Jean Beyl (1926 - 2008) |
1948 : briquet à gaz, Henry Pingeot |
1948 : Dilvasène, médicament psychotrope, Ernest Fourneau, Daniel Bovet (Institut Pasteur et Rhône-Poulenc) |
1949 : Mobylette, Éric Jaulmes et Charles Benoit (Motobécane) |
1949 : Vaporisateur hypodermique, Scherer |
|