Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
21.06.2024
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i love songs from this artist
Par Anonyme, le 31.05.2024
tu étais tellement bonne avec ta poitrine
Par Richard , le 27.05.2024
quelle belle femme!une vraie japonaise
elle est trop belle!beau visage
elle serai encore plus belle avec le
Par Anonyme, le 21.05.2024
ce qui a définitivemen t condamné le bismark c'est le fait que son gouvernail endommagé a l'a empêché de manoe
Par Anonyme, le 13.05.2024
moteur de recherche noormale
Par allan &rareu, le 02.05.2024
Blaupunk GmbH est un fabricant allemand d'équipements électroniques , connu pour sa maison et la voiture de matériel audio. C'est une filiale à 100 % de Robert Bosch GmbH jusqu'au 1er mars 2009 (Date de clôture) lorsque sa branche de rechange et accessoires y compris le nom de la marque ont été vendus à Aurelius AG pour un montant non divulgué
Fondée en 1923 à Berlin comme « Idéal », la société changea son nom en « Blaupunkt » en 1938.
Pendant la seconde guerre mondiale , l'entreprise a utilisé du travail les esclaves de Groß-Rosen , camp de concentration.
Après la Seconde Guerre mondiale, Blaupunkt déménage son siège et la production de la ville d'Hildesheim. Aujourd'hui la majorité des produits Blaupunkt est fabriquée à l'étranger, avec des centres de fabrication gros en Tunisie (locuteurs) et en Malaisie (conférenciers et électronique).
Durant les années 1960 et 1970, Blaupunkt est devenu le premier fabricant allemand pour autoradios et de l'équipement audio de voiture
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Une discomobile est un ensemble comprenant :
Un exemple de discomobile Du matériel de sonorisation/diffusion, le minimum étant un amplificateur et des enceintes reliés par des câbles speakon ou autres, une table de mixage reliée à l'amplificateur par une connectique RCA, jack ou XLR, deux lecteurs CD et un micro.
Des jeux de lumière (stroboscope, PAR, lasers, lyres, jeux de lumière a leds...), servant à éclairer la piste de danse ainsi que les danseurs avec des faisceaux lumineux de différentes couleurs et formes, qui peuvent être amplifiés par l'usage d'une machine à fumée ou à brouillard.
Cet ensemble est opéré par un ou plusieurs DJ-animateurs dont le rôle est de divertir les personnes présentes en les faisant danser, et/ou en organisant des jeux divers.
Une discomobile, appelée aussi sono, est utilisée pour de multiples occasions :
Mariage
Crémaillère
Anniversaire
Communion
Repas-dansant
Bal de fête foraine
Toutes sortes de manifestations organisées par des associations, comités d'entreprise,... par exemple les discos.
Pour un organisateur, l'avantage de prendre une discomobile est que le coût est moins élevé qu'un orchestre.
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Le hip-hop est un mouvement culturel et artistique apparu aux États-Unis à New York, dans le South Bronx au début des années 1970. Originaire des ghettos noirs et latinos de New York, il se répandra rapidement dans l'ensemble du pays puis au monde entier au point de devenir une culture urbaine importante. La culture hip hop connaît plusieurs disciplines : le rap (ou MCing), le DJing, le break dancing (ou b-boying), le graffiti, le beatboxing. Ces disciplines, apparues avant le hip hop, seront intégrées dès la naissance du mouvement. C'est néanmoins par son expression musicale qu'il est le plus connu et, de ce fait, souvent réduit à celle-ci.
Cette expression musicale est elle-même souvent appelée tout entière rap, ce qui est là aussi un raccourci dans la mesure où ce terme ne s'applique qu'à la parole, scandée et saccadée, propre au MCing. La musique hip hop peut en effet revêtir plusieurs formes : ou bien se limiter aux seuls beats du DJ (Disc Jockey), auquel cas le terme de rap ne convient pas. Le terme rap, et encore moins le terme hip hop, ne peut s'appliquer au slam. Le slam n'ayant aucun rapport de près ou de loin avec le hip hop.
Le mot « To hip » vient de « To hep » qui signifie être à l'aise, être cool, libre... Le mot « To hop » , lui, signifie avancer dans l'esprit de compétition. (Hypothèse)
Cependant, parmi les nombreuses suppositions possibles, la plus plausible serait, selon certains, le fait d'évoluer grâce à l'intelligence (hip signifiant en argot américain l'intelligence dans le sens de la débrouillardise et hop étant l'onomatopée du saut, par conséquent l'« intelligence qui bouge »).
Une anecdote à ce sujet est exprimée dans le documentaire Hip-Hop legends : les pionniers du rap américain : l'étymologie du mot hip hop pourrait provenir en fait de la façon de rapper de certains MC lors des Block party. Cela s'entend particulièrement sur un des maxis phares datant de 1979, Rapper's Delight de Sugarhill Gang. En effet, ceci est assez explicite en écoutant plus particulièrement les premières paroles de ce morceau qui ressemblent véritablement aux syllabes « hip hop ».
Une autre origine possible du terme « hip hop » pourrait provenir d'un membre du groupe Grandmaster Flash and the Furious Five, Cowboy, qui aurait utilisé pour la première fois le terme « hip hop » en taquinant un ami qui venait de rejoindre l'armée américaine. En effet, il aurait utilisé une onomatopée constituée des mots « hip / hop / hip / hop » d'une manière saccadée afin d'imiter la cadence rythmée des marches militaires réalisées par les soldats. Bref, tout ceci n'est qu'hypothèses...
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Salut les copains est un magazine pour les jeunes, lancé à l'été 1962 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi comme prolongement écrit de l'émission radiophonique éponyme, diffusée chaque jour sur Europe 1, depuis 1959. Il était centré sur les artistes de musique pop.
La revue a connu d'emblée un succès extraordinaire qui lui a permis à son apogée de dépasser le million d'exemplaires vendus et de donner son unité à la génération yé-yé en mettant régulièrement en avant des artistes fétiches comme Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Chantal Goya, Françoise Hardy, Sheila, Michèle Torr, Claude François, puis Jacques Dutronc et Michel Polnareff.
Le magazine aimait à publier des reportages détaillés sur les faits et gestes, parfois les concerts, des jeunes chanteurs français, plus rarement sur les chanteurs américains et anglais, à l'exception notable des Beatles et des Rolling Stones. Les principaux rédacteurs étaient Éric Vincent, Raymond Mouly, Guy Abitan, Régis Pagniez, Michel Taittinger... Les photographies étaient le plus souvent confiées à Jean-Marie Périer et à Tony Frank.
La plus ambitieuse tenta de regrouper sur une photo en double page, dite Photo du siècle, toutes les idoles de l'époque, véritable exploit en termes d'organisation.
Deux initiatives à relever : la publication chaque mois d'un poster de l'artiste en couverture et celle des paroles des chansons du moment (en français).
Salut les copains s'est inspiré au départ de Disco Revue, lancé en septembre 1961, sans cependant adopter son exigence "puriste" vis-à-vis du rock 'n' roll des pionniers. Il a préféré d'emblée afficher son intérêt pour les chanteurs les plus commerciaux, talentueux ou pas.
Son succès commercial a suscité le lancement de nouveaux concurrents : Age Tendre, Bonjour les amis, Best, Formidable (RTL), Extra et Nous les garçons et les filles... Le titre est revendu à la société Edi-Presse. Il existe alors sous le titre Salut, avec une formule différente.
Le titre arrête définitivement sa parution en avril 2006.
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Salut les copains était une émission de variétés (pop music), lancée le 19 octobre 1959 sur Europe 1 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi (inventée par Jean Frydman), qui était diffusée du lundi au vendredi entre 17 h et 19 h. Un sondage indique que 40% des 12-15 ans écoutaient cette émission.
L'émission gagna un vaste public, en partie par sa conception très structurée qui lui assura une audience plus fidèle que si elle n'avait été qu'une simple succession de chansons dans le désordre.
La pub était assurée par Vonny qui, par la suite, a été chargée de courts billets dans l'émission.
On a pris conscience de l'importance de ce public lors de la Nuit Salut les Copains, place de la Nation à Paris (22 juin 1963), premier spectacle gratuit avec la participation de tous les artistes de l'émission.
Lucien Morisse, le chanteur Carlos, Hubert Wayaffe dit HUBERT ont présenté cette émission.
Une partie du succès de l'émission, et de sa perception comme telle, venait du fait qu'on ne se contentait pas d'y passer simplement des disques à la suite comme sur les autres stations. Elle possédait une structure, un rituel qui finissait par devenir presque addictif chez les fans :
Diffusé en début et en fin d'émission, ainsi qu'à la reprise après la grande pause pub de milieu d'émission, il était assuré de 15 passages aux heures de plus grande écoute la semaine où il était choisi. Le passage en chouchou n'était toutefois pas une garantie de montée du disque au hit-parade. Ainsi, après l'énorme succès de Yeh yeh par Georgie Fame, sa chanson suivante Getaway fut programmée en chouchou, mais sans pour autant devenir un "tube" comparable.
Coup de projecteur sur un groupe ou un artiste dont on passait trois chansons successivement. Cette rubrique aida rapidement le public à se familiariser avec le "son" d'artistes moins connus, et ainsi à les apprécier.
Il arrivait dans certains cas (par exemple les Nashville Teens) que les artistes en question fussent présents sur le plateau et interviewés par Daniel.
Une même chanson exécutée dans trois versions, et parfois dans deux langues, différentes. Les reprises de "standards" du rock ainsi que les nombreuses traductions françaises de succès anglo-américains permettaient de fournir régulièrement cette rubrique. Exemple typique : trois versions de "Mercy" (la version blues originale, et deux contemporaines dont celle des Rolling Stones).
Le premier générique (le terme alors en vigueur étant "indicatif") de SLC a été "Rat Race", de Count Basie. Daniel Filipacchi était déjà le co-animateur d'une autre émission culte d'Europe no 1, "Pour ceux qui aiment le jazz". D'où le choix de ce morceau.
Le générique qui a marqué le plus les auditeurs de l'émission a été sans doute "Last night", instrumental des Mar-Keys. Les Mar-Keys étaient le premier groupe à développer le "Memphis Sound", le son des studios Stax de Memphis (Tennessee).
Une version plus "française" du riff des Mar-Keys est devenue l'indicatif de SLC en 1962 : "SLC twist" d'Eddie Vartan. Les breaks du début étaient conçus pour accueillir les voix de Petula Clark, Johnny Hallyday et Sylvie Vartan.
Les modes se succédant en France, l'indicatif suivait alors : après "SLC Twist", Les Gamblers (groupe de Claude François) a créé " SLC Surf"...
A suivi une période floue pendant laquelle l'indicatif a été joué par Bill Doggett ("Hold It"), Lonnie Mack ("Memphis"), avant 1966, date de l'arrivée à l'antenne des jingles packages historiques de SLC, composés par Michel Colombier. À partir de cette période, l'indicatif de SLC reprend le thème "SLC Salut Les Copains" développé en version longue.
Jingles
"Daniel, boîte postale 150, Paris 8e" (chanté)
"C'est chouchouuuu !" (parlé)
Discographie
Coffret Salut les copains, 50e anniversaire, Les cent tubes de Salut les copains, 4 CD, Europe 1/Universal Music/éd. Montparnasse,sortie prévue le 3 novembre 2009.
Box collector Salut les copains, 50e anniversaire, répliques en CD de vingt 45 tours mythiques, livret, poster de la photo emblématique réalisée par Jean-Marie Périer, Europe 1/Universal Music/éd. Montparnasse, sortie prévue le 30 novembre 2009.
Vidéographie
Coffret Salut les copains, 50e anniversaire, 3 DVDs, Europe 1/INA/éd. Montparnasse, sortie prévue le 3 novembre 2009.
Jingles de l'émission, 120 chansons des idoles des années 60, interviews et actualités d'époque.
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L'histoire de la radio accompagne l'histoire de la fin du XIXe siècle et celle du XXe siècle, grâce à une suite de découvertes et d'inventions qui en se complétant, ont abouti aux télécommunications modernes.
Samuel MorseL'invention de la radio est une œuvre collective, qui part de la découverte des ondes électromagnétiques, de l'invention du télégraphe, et aboutit aux premiers matériels utilisables pour communiquer sans fil :
1840 : Samuel Morse invente le télégraphe, son assistant Ernest Vail invente le code dit Morse.
1866 : Mahlon Loomis revendique la première transmission sans fil en Virginie
1883 : Thomas Edison invente le tube à vide à deux électrodes ou diode, sans cependant en percevoir les bénéfices ou les usages notamment le redressement du courant alternatif. Edison était d'ailleurs beaucoup plus intéressé aux utilisations du courant continu dans l'éclairage.
1886-1888 : Heinrich Rudolf Hertz met en évidence les ondes radio par le biais de l'expérience de Hertz. Elles seront appelées « ondes hertziennes » en son honneur.
1889 : Tesla réalise un générateur hautes fréquences (15 kHz) ; en 1893, il expérimente la première communication radio.
1890 : Branly découvre le principe de la radioconduction et met au point le premier détecteur d'ondes sensible, le radioconducteur, qui prendra le nom de cohéreur contre l'avis de son inventeur. L'origine du mot cohéreur est purement anglophone où le verbe 'to cohere' signifie se rattacher ... exactement comme les grains de limaille de fer se rattachaient les uns aux autres dans le radioconducteur.
1891 et 1893 : Tesla brevette le système sans fil Tesla (radio télégraphe) et met au point des lampes électroniques froides.
1893 : Le professeur Alexandre Popov de Saint-Pétersbourg, découvre le principe de l'antenne qui va permettre des liaisons à grande distance. Plus tard il découvre sans y prêter attention la jonction et l'effet d'amplification par semi-conducteurs (environ 40 ans avant la découverte du transistor)
1895 : Guglielmo Marconi expérimente les premières liaisons hertziennes à la Villa Griffone en Italie et franchit une étape significative de la télégraphie sans fil à Salvan (Valais) dans les Alpes suisses, durant l'été 1895. Salvan a été reconnu par l'association mondiale des ingénieurs (IEEE) et honoré par l'UIT (Union internationale des télécommunications) comme l'un des berceaux des télécommunications en 2008.
1898 : Le 3 août, en présence du Ministre de la Marine, le lieutenant de vaisseau Camille Tissot établit la première liaison radio opérationnelle française en mer: 1 800 mètres entre le Borda et le sémaphore du Parc aux Ducs à Brest. Convaincu, le Ministre prescrit le 6 août au port de Brest, de financer à Camille Tissot l'achat de matériel pour lui permettre de poursuivre ses essais.
1898 : en octobre Eugène Ducretet établit la première liaison télégraphique hertzienne entre la tour Eiffel et le Panthéon de Paris, distant de quatre kilomètres.
1900 : En France, le capitaine Gustave Ferrié met au point le détecteur électrolytique. Plus sensible que le cohéreur de Branly, il permet l'écoute au casque des messages télégraphiques.
1901 : Marconi effectue la première liaison transatlantique entre Terre-neuve et la Cornouailles
1906 : Première transmission de la voix par radio réussie, aux États-Unis par Réginald Fessenden la nuit de Noël.
Le 30 août 1906 : Greenleaf Whittier Pickard posa un brevet qui fut approuvé le 20 novembre 1906 pour un détecteur de cristal plus simple que le détecteur de Gustave Ferrié. Puis avec Dunwoody, Pickard inventent le poste à galène, il permet de créer les premiers postes récepteurs de radiodiffusion.
1907 : L'Américain Lee De Forest invente la première lampe amplificatrice à cathode chaude (triode) qui sera le départ de toute l'industrie radio-électronique.
Les premières applications
Expérience de radio en 1918 à l'Université de New YorkLa première application spectaculaire fut la sécurité maritime. Les paquebots s'équipent de la radiotélégraphie, et des stations côtières sont opérationnelles dès 1904.
La première liaison commerciale transatlantique fonctionne en 1907 entre l'Irlande et Terre-Neuve.
En 1899, lieutenant de vaisseau Camille Tissot équipe la Marine nationale de la TSF. Puis la station Ouessant TSF effectue des transmissions sans fil avec la Marine nationale de Brest.
Dès 1904 : la station Ouessant TSF avec l'Indicatif (radio) FFU (station Française Fixe de Ushant), effectue des liaisons radiotélégraphiques
sur la longueur d'onde des 600 mètres avec une flotte de 80 paquebots.
Deux naufrages célèbres ont montré l'efficacité de la radio :
en 1909, 920 passagers sont sauvés lors de la collision République-Florida grâce à l'appel en TSF.
Le Titanic utilise pour la première fois le code SOS en 1912, 700 passagers sont sauvés par le Carpathia.
Les premières bandes radios partagées entre services font leurs apparitions.
La TSF
La TSF familiale Les premiers programmes quotidiens de radiodiffusion débutent en 1920 en Angleterre (Marconi company), aux États-Unis à Washington DC (KDKA) et Pittsburgh, ainsi qu'en URSS. En décembre 1921 Radio Tour Eiffel diffuse un premier concert avec un émetteur de 900 W à la longueur d'onde de 2 650 m.
En octobre 1922, la Société Française Radio-Électrique obtient l'autorisation d'effectuer, à titre expérimental, des émissions radiophoniques quotidiennes. À partir du 6 novembre 1922 sont organisés les concerts Radiola qui vont révéler la radiodiffusion au grand public. Les émissions Radiola sont effectuées par le poste radio-électrique de l'usine S.F.R. de Levallois avec une puissance antenne de 2 kilowatts.
La radio est utilisée pour la première fois pour une campagne électorale en 1925 par Herbert Hoover, et en 1938 Orson Welles diffuse une émission de science-fiction sur une attaque martienne, si réaliste que les auditeurs affolés descendent dans la rue.
La Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les laboratoires des belligérants perfectionnent des applications nouvelles :
Le radar développé par Allemands, Anglais et Américains, qui avertit des raids aériens. Il détecta l'attaque sur Pearl Harbor.
Article détaillé : Histoire du radar.La radionavigation, avec la gonio automatique à cadre croisé, le LORAN, le CONSOL puis le Decca
Le brouillage radio, appliqué systématiquement sur Radio Londres
Le cryptage avec le célèbre crypteur Enigma des sous-mariniers allemands.
Des milliers d'émetteurs-récepteurs mobiles équipent chars, avions et commandement. Le problème de l'alimentation en 12 V ou 24 V est résolu par le convertisseur tournant « dynamotor » ou par des convertisseurs à vibreurs et transformateurs.
Les radios servent de support à la propagande, comme la radio du Reich, la Großdeutscher Rundfunk, tandis que la BBC est écoutée pendant le couvre-feu, et transmet sur Radio Londres des informations codées vers la Résistance :
« Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand... »
« Ici Londres, les Français parlent aux Français... » et surtout le fameux « appel du 18 Juin 1940 », font définitivement entrer la radiodiffusion dans l'histoire.
Les années 1950
Radio 1950 Tandis que des milliers d'émetteurs et de récepteurs militaires déclassés permettent aux radioamateurs de s'équiper dans les « surplus », avec les « Fug » allemands et les « command set » américains, la radio se développe et le récepteur grand public se standardise :
Le récepteur « toutes ondes » couvrant GO PO et OC est dans toutes les familles. C'est un superhétérodyne à 5 ou 6 tubes avec cadre orientable interne, une entrée « pick-up » pour écouter les premiers microsillons, un « œil magique » pour le réglage, un cadran à aiguille et ficelle commandant un condensateur variable d'accord, une façade en tissus et bois vernis. Le cadran indique les noms des stations comme Radio Tour Eiffel, Paris Inter, BBC, Radio-Luxembourg...
Les récepteurs « tous courants », sans transformateurs, sont plus légers et surtout, grâce à un jeu de tubes spéciaux à filament en série, peuvent être alimentés en 110 V continu. Certains quartiers de Paris ont encore en 1950 un secteur en courant continu.
Les tubes miniatures remplacent les tubes octal, les auto-radio à tubes apparaissent, avec des mémoires mécaniques de stations.
Le transistor
Un des premiers « transistors » en 1959 Les premiers postes à dans les années 1960, vite appelés « transistors », permettent d'écouter la radio partout, en vacances, dans la rue, sur la plage, en « surboum », la radio n'est plus familiale mais individuelle.
Dans le monde professionnel, le transistor remplace d'abord progressivement les tubes, puis ouvre de nouveaux horizons : circuits intégrés, mobile, etc. L'histoire de la radio devient la radio moderne.
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