Date de création : 09.04.2012
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02.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Popcorn est une composition musicale, premier véritable succès de la musique électronique devenu un standard. Elle a été écrite en 1968 par Gershon Kingsley.
Un thème classique
Les deux mesures staccato de six croches suivies d'une noire chacune, extrêmement simples, sont reprises indéfiniment à différentes hauteurs, sans autre développement. L'auteur, rescapé de la Shoah, les a conçues comme un thème bachien exacerbé par le synthétiseur pour évoquer une société de consommation et une modernité heureuses
Tube
C'est en 1969 que paraît pour la première fois Popcorn dans l'album de Gershon Kingsley intitulé Music to Moog By. Une version single de Popcorn est également éditée, avec quelques effets supplémentaires par rapport à celle de l'album.
Le morceau est ensuite interprété en 1972 par le groupe First Moog Quartet, formé par Gershon Kingsley. La même année, le groupe Hot Butter enregistre une nouvelle version. Stan Free, qui était un membre du First Moog Quartety joue la mélodie de Popcorn. Cette version remporte très vite un grand succès et devient numéro un du Hit Parade dans plusieurs pays
Reprises
Depuis le succès de Popcorn par Hot Butter en 1972, plus de 500 reprises ont été faites dans le monde entier, et aujourd'hui encore Popcorn est régulièrement interprété. Il existe des versions Techno, Jazz, Ska, Disco, Rock, Punk...
Voici quelques-unes de ces versions:
Hot Butter, sur l'album Hot Butter, en 1972. C'est la version la plus connue.
Popcorn Makers en 1972. Version très similaire à celle de Hot Butter.
Anarchic System en 1972. Première version chantée de Popcorn.
Antoine en 1972. Version chantée.
Las Trillizas de Oro - Pochoclo, en 1972
Byron Lee & The Dragonaires en 1972. Reprise reggae sur l'album Reggay roun' The World.
Yvette Horner reprend Popcorn en Live dans une émission de Danièle Gilbert.
M&H Band en 1987. Ces versions sont souvent attribuées - à tort - à Kraftwerk ou à Jean Michel Jarre. Jean Michel Jarre a effectivement interprété Popcorn, mais en 1973 et sous le nom de The Popcorn Orchestra. En revanche, le groupe Kraftwerk n'a jamais sorti de version de Popcorn.
Denki Groove (groupe japonais) en 1993.
Boomtang Boys en 1999. Ce remix techno est parfois attribué à Aphex Twin, notamment sur les réseaux Peer-to-peer.
Gershon Kingsley en 2000, dans l'album At Home With the Groovebox.
Gigi d'Agostino en 2003, dans l'EP Silence E.P. Underconstruction 1.
Marsheaux en 2004,dans leur album E-Bay Queen.
Popcorn de Crazy Frog en 2005.
Le chanteur persan exilé aux États-Unis Shadmehr Aghili, dont l'album s'intitule Popcorn, avec la chanson Popcorn reprise en 2005.
Muse en face B du single Resistance et lors de plusieurs concerts comme Taratata du 21 octobre 2009 sur France 4, et au théâtre du Chatelet le 8 septembre 2009.
Le chef suédois (Le Muppet Show) en 2010.
L'album Popcorn sorti sur Ultra Eczema en 2010 inclut 39 versions expérimentales de Popcorn.
L'interprétation d'Omar Khorshid dans son album Belly Dance with Omar Khorshid and his magic guitar sorti en 1974.
Le groupe Russe Messer Chups reprend cette version façon surf musique sur l'album Surf Riders From The Swamp Lagoon.
POPCORN - Electric Violin Cover (dubstep violin) - LUVIENNE
Genre musical de la Martinique.
Le Danmyé-Kalennda-Bèlè est une pratique musico-chorégraphique de Martinique qui mêle chant, musique, danse, et conte.
Sur son apparition en Martinique, deux hypothèses sont émises:
Il est issu des affres de l'esclavage bien avant le marronage et aurait subi différentes mutations au cours des siècles.
Il serait l'héritage laissé par les Marrons en fuite, qui ont élu domicile dans les mornes loin des plantationsmartiniquaises.
Ces hypothèses concernant la source du DKB sont l'objet de travaux de recherche.
À noter que c'est une tradition codifiée empreinte de syncrétisme et avec un contexte rituel sociétal important.
Le Bèlè est un phénomène contemporain qui s’appuie essentiellement sur une référence à la culture des mornesmartiniquais créée de 1860 à 1960 par les Nouveaux Libres issus de l’abolition de l’esclavage des noirs en 1848. Les Nouveaux Libres trouvent dans le paysannat un espace social susceptible de garantir la liberté effective grâce à l'accès à la propriété foncière dans les mornes.
Le passage de l’esclave au statut de Nouveau Libre constitue une chance pour les noirs afin d’inverser les valeurs coloniales esclavagistes et d’opposer à la société d’habitation de nouvelles bases sociales : le travail mute de sa forme servile à sa nature volontaire et représente ainsi un élément culturel central. Cette mutation culturelle s’exprime à travers la création de sociétés paysannes qui se fondent sur l’entraide ou « coup de main ». Ce don contre don du travail se formalise et se ritualise en une diversité de Bèlè d’entraide qui alternent travaux et danses pour symboliser un mode social qui lie subsistance et réjouissance.
Cette référence au mode social rural des Nouveaux Libres s’exerce à travers le Bèlè renouveau dans une société martiniquaise présente où domine le secteur tertiaire dans une grande dépendance des transferts financiers publics provenant de la métropole. Dans une continuité historique, les martiniquais sous l’impulsion des renouveaulistes mobilisent depuis 1980 les apports économiques, sociaux et culturels des mornes face à la réalité contemporaine où perdurent les enjeux tels que, la marge d’autonomie de la société martiniquaise intégrée à l’Europe dans un contexte de mondialisation, l’accès à la propriété foncière des martiniquais, la résistance culturelle et la recherche de la maîtrise du devenir
Le bèlè est un terme générique qui désigne à la fois : le genre musico-chorégraphique; l'instrument, le tambour bèlè; le contexte, la soirée bèlè et de manière générale, une façon d'être ensemble et des valeurs: solidarité, partage et résistance culturelle. Le bèlè signifie "Bèl air" (bel endroit, bon moment).
Le Bèlè s’élabore artistiquement à partir d’une sorte de « matrice » socio- musico- chorégraphique. Cette « Matrice » Bèlè intègre des principes structurants, Chantè, Répondè, Bwatè, Tanbouyé, Dansè, Lawonn, Kadans qui supportent des mécanismes de construction dont le principal est le principe d’inversion. La «Matrice » Bèlè permet ainsi de créer des configurations du Bèlè en fonction du contexte social, historique et géographique.
Un chanteur mène la musique avec une voix qui porte, alors que se développe le dialogue entre les danseurs et le joueur de tambour. Le tambour est accompagné par un rythme ti-bwa donné par deux baguettes qui percutent la partie arrière du tambour.
Le bèlè est un ensemble de pas et de figures issues de l'Afrique, de l'Europe, du quadrille et de la haute taille2 venue d'Europe. Ils puisent leurs sources dans :
les religions,
les esclaves africains, la mannyè viv des indiens caraïbes,
le christianisme et les courants philosophiques introduits par les Européens, l'hindouisme amené par les Indiens,
le vécu quotidien du peuple martiniquais.
Au niveau de « la société Béliya » dans les hauteurs de Saint-Marie à Bezaudin. Les descendants des Marrons, les nouveaux libres créent une société nouvelles basée sur des valeurs telles que l'entraide, le don et contre-don.
Cette philosophie est traduite par l'expression artistique qu'est le bèlè, la forme en quadrille désignant le carré de terre qu'ils acquièrent pour une réelle liberté.
Les danses qui le caractérisent sont multiples, on peut distinguer :
le bèlè courant, danse la plus prisée lors des swaré bèlè et utilisée pour exprimer différents aspects de la vie avec différentes nuances (bèlè cho, bèlè dous ou bigin bèlè, bèlè pitché) déterminés par le chant.
le gran bèlè , danse de la fécondité de la terre, avec souvent des chants mélancoliques ou dramatiques.
le béliya, qui traduit l'annonce d'une nouvelle ou un rappel au rassemblement.
le bouwo ou marin bèlè, simple en geste et en chorégraphie mais plus rarement exécutée du fait du temps qu'elle demande.
les danses lalinklè, qui se pratiquaient principalement au clair de lune, traduisent les pratiques culturelles et religieuses des esclaves. On y retrouve la kalennda, le mabélo, le bénézwel, le ting-bang, le kanigwé, le woulé-mango. Danses traditionnelles de la Martinique, elles expriment la joie, la colère, la douleur.
Il existe également les musiques et chants pour accompagner divers travaux: le lasotè ou lafouytè (travaux des champs), le ralé senn (la pêche), téraj-kay ou térasman (=terrassement)...
Elle s'organise d'une certaine façon, d'abord l'entrée du chanteur (lavwa) et du chœur (lavwa dèyè). Puis le " Bwatè " (joueur de ti bwa) donne le rythme, suivi par le tambour bèlè. Enfin, les danseuses (danm bèlè) et danseurs (kavalyé bèlè) entrent en scène. Un dialogue se crée entre les danseurs et le « tanbouyè » (joueur de tambour). Lavwa dèyè donne la réplique au chanteur, l’auditoire peut aussi participer. Telle une famille, tous ensemble chanteurs, danseurs, musiciens et public se laissent entraîner par ses rythmes envoûtants. Les « swarés » débutent vers 20 h et se terminent à l'aube, les moman bèlè (autre forme d'organisation) se déroulent en général en fin d'après-midi pour se terminer avant minuit.
À l'origine conçu par les esclaves d’origine africaine en fuite réfugiés dans les mornes de l’île, il est un membranophone de forme conique constitué d'un fût sur lequel est tendue une peau. La percussion, fabriquée en fonction du tanbouyé (joueur de tambour bèlè), est peu répandue et sa technique de jeu est peu commune : l’utilisation du talon de pied, en frottant la peau du tambour le rend mélodique. Par l’oralité, la tradition de la facture et du jeu du tambour bèlè ont été transmis sur des générations. D’abord interdit, le tambour fût ensuite joué dans les quartiers d’esclaves des Habitations de l’île avec des variantes du jeu d’origine.
Les bois utilisés pour le tambour bèlè en Martinique sont le chêne ou le chataignier. À l’origine, conçu avec des bouts de troncs d’arbres vétustes en nature « bwa fouillé », la fabrication des tambours sera finalement dévolue aux tonneliers. L’instrument est aujourd’hui fabriqué avec des lattes provenant de tonneaux de rhum, passées au feu puis raclées, pour leur donner la forme et l’épaisseur voulue. La sonorité recherchée est proche de la terre, un peu sourde.
Le tambour bèlè est recouvert en général d’une peau de cabri ou de mouton. Pour serrer le tambour, on utilise un cercle de fer sur lequel on adaptait différents matériaux végétaux (paille de banane, cordes...) qu’on serrait très fort, mais sans intégrer le système de serrage au tambour lui-même. Aujourd'hui, un système de clefs est utilisé pour tendre la peau et régler la hauteur des sons.
Les facteurs de tambours bèlè les plus reconnus sont Dartagnan Laport et Sully Cally.
La technique du percussionniste implique les mains, les doigts et le mouvement de talon du pied pour modifier la sonorité. Pour ce dernier, c’est une frappe frottée, frappée et non verticale. Le jeu principal est fait par la main droite pour les droitiers. Les première et deuxième phalanges des doigts sont également utilisées pour frapper sur le bord du tambour.
Le tambour bèlè est joué principalement dans la musique traditionnelle martiniquaise. Le « bwatè » (joueur de tibwa, un idiophone) frappe alors les baguettes directement sur le corps du tambour joué par le tambouyé qu’il accompagne. Depuis une décennie, une nouvelle génération d'artistes martiniquais utilise le tambour bèlè dans le registre du jazz et des musiques du monde
La danseuse est munie :
d'une jupe évasée
d'un haut
d'un jupon
d'un panty ou un short
et d'un carré de tissu à la taille.
Tandis que les hommes portent un pantalon, et un t-shirt.
Ils disposent d'une très grande liberté dans le choix de la gestuelle et dans le jeu qui se développera entre partenaires. Mais ils doivent obéir à une exigence absolue : être au rythme du ti-bwa (dans le temps). En effet dans le bèlè il existe deux types de rythmes:
le deux temps : "tak-pi-tak-pi-tak" comme le bèlè courant, bèlè dous...
et le trois temps: "tak-pi-tak-pi-tak-tak-tak" par exemple le béliya.
Le bon danseur est celui qui saura marier le geste et le jeu tout en étant au son du tambour.
Malgré le dénigrement, le bèlè a su résister à l'épreuve du temps et s'affirme de plus en plus comme un élément incontournable de l'identité martiniquaise. Recelant de grandes richesses et de grandes potentialités pour l'épanouissement communautaire et individuel, pratiquer le bèlè enseigne la patience, la rigueur, l'expression, la solidarité, la connaissance et la transmission du patrimoine culturel martiniquais
Ti Emile (emmanuel Casérus), Ti Raoul (Raoul Grivalliers), Victor Treffe, Galfétè, Félix Casérus, Dulténor Casérus, Vava Grivalliers, Berthé Grivalliers, Clothaire Grivalliers, Féfé Marolany, Paul Rastocle, Benoit Rastocle, Carmélite Rastocle, Apollon Vallade, Félix Cébarec, Génius Cébarec dit Galfètè, Stéphane Cébarec, Boniface Cébarec, Saint-Ange Victoire, Robert Dessart, Siméline Rangon, Espélisane Sainte-Rose, Sully Villageois, Dartagnan Laport (célèbre famille de fabricants de tambours), Julien Saban (Bèlè Baspwent).
La nouvelle génération : Eugène Mona (1943-1991), L’AM4 (Georges et Pierre Dru), Kannigwé, La Sosso et le groupe Wapa, Edmond Mondésir et son groupe Bèlènou, XTremjam, Bèlè Boumbap de Kali, Lassao, Sully Cally, Jean-Philippe Grivalliers, Boris Reine-Adelaide, Vwa bèl danm, Lébéloka, Bélya, Vaïty, Bèlè Légliz, Lèspri Danmyé, Manuéla M'La Bapté, Stella Gonis, Icess Madjoumba, Artana.
Discographie
Bel alians, le bélia des alliés (Siml'n) 1992.
Les Maîtres Du Bèlè de Sainte-Marie ; Les Maîtres Du Bèlè ; Buda Musique 2007.
Ti Raoul Grivallier (Mizik Label) 2004
Duo bèlè, VAITY ; (Mizik Label) 2004
VAITY NOONY, VAITY; (Artitude) 2014
Emosion Bèlè - Les chants du père, la musique du fils ; Edmond Mondésir ; Awimusic 2006.
Emosion Bèlè 2 - Hommage à Ti-Emile ; Edmond Mondésir ; Awimusic 2008.
Les tubes de Bèlè
Voici quelques tubes qui ont marqué l'histoire de la musique Bèlè en Martinique :
Ti Milo, Eugène Mona (chanson adaptée en Dance Hall par Admiral T)
Missié Kriminel, Eugène Mona
Mi Lago, Eugène Mona (Ce morceau fait sur l'ancien député Joseph Lagrosillière)
Ti Kanno, Ti Emile
Ancinelle, Ti Emile
Marie-Jeanne, Ti Emile
Sonia kontan siwo, Ti Emile
Maframé, Ti Emile
Milo dé, Ti Emile
Edwa pa bat Bogino
Bélya manmay la
Mabèlo
Dé kout kouto filé manuel
Asou Pont Abel
Mémé malgré sa
Sé l'Alsace sé la Lorraine
Voyé krié doktè ba mwen
Katel mi lanmô
Man Fwansiné, Ti Raoul
Mi bel jounen, Victor Treffe
Péyi mwen, Victor Treffe (morceau Bèlè avec des sonorités modernes)
Mizik sé travay nou, Bèlè Boumbap de Kali
Mangé péyi a, Edmond Mondésir
Gadé yol la, Edmond Mondésir
Nou sé matinitjé, Edmond Mondésir
Tjè nou blendé, Tambou bô kannal (chanson vedette de la Grève générale aux Antilles françaises en 2009 en Martinique particulièrement)
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L'aboès ou hautbois du Couserans (voire hautbois ariégeois) est un instrument à vent traditionnel du Couserans, région naturelle des Pyrénées françaisescentrales organisée autour de la ville de Saint-Girons, dans le département de l'Ariège. Le mot aboèssignifie hautbois en occitangascon.
Le Couserans a su affirmer son identité culturelle notamment à partir des traditions développées dans la vallée de Bethmale, célèbre pour ses sabots en bois à pointe relevée. L'aboès a ainsi pris sa place dans les groupes folkloriques et traditionnels locaux.
Par son histoire, sa géographie et ses caractéristiques techniques et esthétiques, il est proche des autres hautbois traditionnels occitans (graïle de la Montagne Noire, clarin en Béarn)
Des chercheurs ont mis en évidence que l'intérêt de l'ethnomusicologie pour la tradition de hautbois pyrénéen, alors perçue comme emblématique, a produit une certaine négligence des autres traditions, comme celle du violon en Couserans, pourtant active jusque dans les années 1980 et portée bien souvent par les mêmes musiciens.
A partir de 2010, l'impulsion d'un groupe de chercheurs coordonné par le facteur d'instruments et musicien Pierre Rouch aboutit à la réalisation d'une exposition — « Anthologie du hautbois du Couserans : eth noste aboès » —, d'ouvrages et de disques proposant une synthèse de l'histoire, de l'organologie et des potentialités esthétiques de l'instrument
Facture
L'aboès est un instrument à anche double. Constitué de trois parties, en buis, il mesure entre 47 et 53 cm de long, pour un poids moyen de 280 g. Son pavillon est court et évasé. Six trous permettent le jeu.
Quelques structures et facteurs d'instruments perpétuent et renouvellent la fabrication du hautbois du Couserans, comme l'atelier de facture instrumentale du Centre occitan des musiques et danses traditionnelles de Toulouse encadré par Pascal Petitprez ou le musicien Pierre Rouch.
Jeu
Jusqu'au milieu du XXe siècle, l'aboès se joue principalement seul, dans les carnavals et fêtes de village. Au cours du XXe siècle, l'aboès intègre les groupes folkloriques puis les groupes traditionnels liés au mouvement revivaliste. Le joueur d'aboès est appelé abouessaire
Sirtaki ou syrtaki ( grec : συρτάκι ) est une danse populaire d' origine grecque , chorégraphiée par Giorgos Provias pour le film de 1964 Zorba le Grec . Il s’agit d’une danse folklorique grecque récente et d’un mélange des rythmes lents et rapides des danses hasapiko et hasaposerviko, respectivement. La danse et la musique d'accompagnement de Míkis Theodorakis s'appellent également la danse de Zorbá , Zorbas , ou "la danse de Zorba".
Le nom sirtáki vient du grec syrtos - de σύρω (τον χορό), qui signifie "traîner (ou mener la danse)" -, nom commun pour un groupe de danses grecques traditionnelles de style "traînant", comme opposé à pidikhtos (πηδηχτός), un style sautillant ou sautant. Malgré cela, le sirtaki intègre à la fois des éléments syrtos (dans sa partie la plus lente) et pidikhtós (dans sa partie la plus rapide).
ZORBA THE GREECE - ΖΟΡΜΠΑΣ - Λ. ΚΑΡΝΕΖΗΣ - Κ. ΠΑΠΑΔΟΠΟΥΛΟΣ
https://www.youtube.com/watch?v=cKZKLMuhm3E
Zorba The Greek - Sirtaki (HQ Music)
https://www.youtube.com/watch?v=dzlcxN0lxSo
Un inanga est un instrument de musique primitif apparenté à une grande citharesur cuvette en forme de bouclier issue de la tradition rwandaise et rencontré au Burundi et au Congo.
Le Ländler est une danse traditionnelle qui fut popularisée en Allemagne, en Autriche et en Suisse à la fin du XVIIIe siècle. Originaire de haute Autriche, elle est traditionnellement dansée en rond.
On la retrouve fréquemment dans les rythmes des musiques et chansons folkloriques alémaniques, ainsi que les chansons associées aux yodels, aux côtés de la valse ou la polka.
Elle est arrivée en France sous le nom d'allemande, proche du menuet, et est probablement à l'origine de lavalse
Elle est à trois temps, de tempo plus lent que celui de la valse et adaptée à une mélodie.
L’éoliphone ou héliophone, plus couramment appelé machine à vent, est un outilutilisé dans la musique et les opéras dès le xviie siècle pour reproduire le son du vent.
L'éoliphone se présente sous la forme d'un large cercle de métal ou de bois sur lequel est tendu un drap que l'on frotte plus ou moins vivement d'un geste circulaire.
On en trouve un emploi fréquent dans les tragédies lyriques de Lully ou dans la musique de Maurice Ravel (L'Enfant et les Sortilèges, Daphnis et Chloé).
L'éoliphone peut facilement être remplacé en frottant une brosse de chiendent sur une grosse caisse.
Œuvres de musique classique employant l'éoliphone
Benjamin Britten : Noye's Fludde
Franco Cesarini : Poema alpestre
Jerry Goldsmith : The Blue Max
Ferde Grofé : Grand Canyon Suite
György Ligeti : Le Grand Macabre
Marin Marais : Alcyone (Tempête)
Olivier Messiaen : Des canyons aux étoiles..., Saint François d'Assise et Éclairs sur l'Au-Delà...
Wolfgang Amadeus Mozart : Don Giovanni
Giacomo Puccini : La Fanciulla del West
Jean-Philippe Rameau : Les Boréades
Maurice Ravel : Daphnis et Chloé, L'Enfant et les Sortilèges
Gioachino Rossini : Le Barbier de Séville
Richard Strauss : Don Quichotte, Eine Alpensinfonie, Hélène d'Égypte, Die Frau ohne Schatten
Michael Tippett : Symphonie n°4
Richard Wagner : Der fliegende Holländer
Ralph Vaughan Williams : Sinfonia antartica
Campanile du carillon de Cambrai. Un carillon est un instrument de musique composé de cloches, accordées et jouées au moyen d'un clavier, accordées et émettant chacune leur son propre. Les battants des cloches sont actionnés par le carillonneur à l'aide d'un clavier manuel.
Carillon : Le mot vient du latin quaternio, groupe de quatre. Un carillon comporte donc un ensemble d'au moins quatre cloches consonantes entre elles. Les plus grands carillons à clavier sont ceux de Chambéry en France (Château des Ducs de Savoie) qui comporte 70 cloches et Bloomfield Hills aux Etats-Unis, Kirk-in-the-Hills Presbyterian avec 77 cloches. Le pays qui possède le plus grand nombre de carillons à clavier de plus de 20 cloches est les Pays-Bas, avec 182 instruments. La France en possède 63.
La Fédération Mondiale du Carillon ne prend en compte que les carillons d'au moins 23 cloches et mûs par claviers manuels à bâtons.
Représentation ancienne d'un Carillon. Un carillon peut être intégré à un monument : clocher d'église ou de cathédrale, campanile, beffroi d'hôtel de ville, etc… et s'accompagner d'automates. On en trouve plus fréquemment dans le nord de la France, aux Pays-Bas, en Belgique, la Suisse ou le Sud de l'Allemagne.
En France, les plus grands carillons sont en général placés dans les clochers des églises et les beffrois communaux. Sur tout le territoire de l'Occitanie, les carillons sont très nombreux mais de taille plus réduite : généralement une à deux octaves.
En France, il y a des carillons remarquables à Albi, Bergues, Blois, Buglose, Cappelle-la-Grande, Carcassonne, Castelnaudary, Castres, Chambéry, Douai, Dunkerque, Forcalquier, Hondschoote, Lisieux, Narbonne, Pamiers, Paris (Sainte-Odile), Rouen, Saint-Amand-les-Eaux, Saint-Gaudens, Seclin, Toulouse (Saint-Sernin, Saint-Etienne, Saint-Exupère, Saint-Joseph), Tourcoing, ...
Les dix plus grands carillons de France sont:
Chambéry 70 cloches (Château des ducs de Savoie)
Lyon 65 cloches (Hôtel de Ville)
Dijon 63 cloches (Cathédrale St-Bénigne)
Tourcoing 62 cloches (Eglise St-Christophe)
Douai 62 cloches (Hôtel de Ville)
Hondschoote 61 cloches (Eglise St-Vaast)
Buglose 60 cloches (Basilique de ND de Buglose)
Chalons en Champagne 56 cloches (Eglise ND en Vaux)
Carcassonne 54 cloches (Eglise St-Vincent)
Châtellerault 52 cloches (Eglise St-Jacques).
Un carillonneur, cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Perpignan.Dans beaucoup de régions de France et en Suisse, on rencontre des carillons de taille plus modeste (3 à 22 cloches) dont le carillonneur ne joue pas sur un clavier. Ce dernier actionne alors les battants des cloches directement en tirant sur leurs cordes. Pour certains carillons, le joueur saisit alors simplement les cordes à la main. Dans d'autres cas, il les accroche à ses coudes, ses genoux et ses pieds et en manipule deux autres à la main, puis, assis sur un banc, il carillonne par de grands gestes coordonnés (usage répandu également dans les églises orthodoxes où les cloches ne sont jamais sonnées, mais teintées ou carillonnées).. Ces traditions de sonner manuellement sur petits carillons tendent à disparaître, du fait de l'électrification des cloches et du remplacement des sonneurs par des programmateurs électroniques.
Une table de mixage, ou console de mixage, est un appareil électronique permettant de combiner (ou mixer) des signaux sonores par exemple . Une table de mixage peut être analogique, numérique ou virtuelle (sur ordinateur).
Les tables de mixage sont par exemple utilisées dans les studios d'enregistrement, les radios, par les disc jockeys, ou en sonorisation dans les salles de concert de musique amplifiée.
Principaux réglages disponibles sur une voie de table de mixage
Chaque signal à mélanger correspond à une entrée (ou voie, ou encore tranche), mono ou stéréo, de la table. Les connexions se font généralement grâce à des prises XLR, RCA ou jack 6.35.
À chaque voie, correspond un potentiomètre rotatif de gain d'entrée, des potentiomètres rotatifs contrôlant le panoramique (voies mono) ou la balance (voies stéréo) et l'égalisation. Un potentiomètre, généralement linéaire (fader) contrôlant le volume de sortie de la tranche et un ou plusieurs potentiomètres généraux permettent de contrôler le volume du signal sortant de la table. Une prise casque permet à l'opérateur d'écouter un signal de son choix indépendamment du signal de sortie. Il lui est ainsi plus facile d'effectuer des réglages.
Selon les usages auxquels elles sont destinées, certaines tables de mixage permettent, entre autres :
-d'utiliser un processeur d'effets externe sur chaque voie
-d'alimenter des microphones statiques grâce à une alimentation fantôme (notée PHANTOM ALIM. 48V) ;
-d'être connecté à un ordinateur pour être utilisées avec un logiciel de traitement audionumérique ;
-de mémoriser puis de rejouer le déplacement des potentiomètres grâce à des moteurs. Ces consoles (souvent numériques) sont alors dites "motorisées" ;
-de mélanger les signaux issus de platines pour disques vinyles nécessitant des entrées stéréo spécifiques de type RIAA (tables de mixage pour disc jockey).
Les tables de mixages classiques sont aussi équipées de un ou plusieurs bus, en général sélectionnés par un ou plusieurs boutons à côté du fader de tranche. Le bus permet de regrouper plusieurs tranches, permettant de régler en même temps le niveaux de plusieurs sources sonores au moyen d'un seul fader. Les tranches regroupées sortent donc par le départ respectif du bus.
Un départ vers un canal auxiliaire se fait au moyen d'un potentiomètre situé en dessous de l'égaliseur. Il permet de récupérer le son de la tranche avant ou après le fader (réglage "Pré/Post") et de le faire sortir de la table de mixage ("send") pour attaquer les amplis de retours ou des effets auxiliaires (d'où le nom). On a également un potentiomètre master pour chaque canal auxiliaire.
On a aussi les "returns" qui correspondent au retour du signal.
La plupart des tables de mixage proposent un ou plusieurs effets internes, souvent appliqués via un départ auxiliaire routé spécialement vers le processeur d'effet.
Néanmoins, pour une console analogique, il est recommandé de ne pas accumuler les effets internes car leurs circuits peuvent produire des bruits parasites par induction magnétique.
Les effets sont effectués par un processeur qui travaille en numérique. Le signal doit être donc échantillonné, traité, puis restitué. Très peu nombreux sur une table analogique, les effets sont très développés pour les consoles numériques (la technologie employée les rendant plus faciles à intégrer). On peut alors en mettre plusieurs par tranche (égaliseur graphique/paramétrique, compresseur, noise gate, réverbération, écho...)
Constructeurs
On compte parmi les plus célèbres constructeurs de tables de mixage :
Allen & Heath
Alesis
Audient
Amek
Behringer
Bst
Crest audio
Denon DJ
Mackie
Midas
Numark
Neve
AMS Neve
Bang & Olufsen
citronic
Ecler
etp!
Harris Corporation
hq power
img stage line
Innovason (mixage numérique)
Klotz Digital
MCI
Merging Technologies
Pioneer
PR&E
Solid state logic
Stanton DJ
Ramsa
Rane
Rodec
Roland
skytronic
Sonosax
Sony
Soundcraft
Solid state Logic (SSL)
Studer
Tascam
Vestax
Yamaha
KOOL sound
Mc CRYPT
gemini
cortex
X SOUND sistems
ERS
JB System
Citronic
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Populaire ou de société, la valse est une danse généralement écrite sur une mesure à 3/4, prise parfois à la noire (valse lente à trois temps binaires) ou le plus souvent à la blanche pointée (à la mesure, à un temps ternaire) cadençant son fameux rythme ternaire et dans laquelle le couple enlacé se déplace sur la piste en tournant sur lui-même.
La valse a gagné ses lettres de noblesse dans les années 1780 à Vienne et s'est ensuite répandue dans d'autres pays.
Certains supposent que la valse a pour origine des danses populaires en Allemagne ou en Autriche. Certaines remontent jusqu'au XIVe siècle.
Elles se sont développées en opposition des danses de cour dansées en Autriche ou dans les principautés allemandes. Ces danses de cour, telles que le menuet, étaient très formelles sous l'influence de la cour française de Versailles.
Il y avait donc une grosse différence entre ces danses de cour rigides et dansées en ligne et ces danses populaires à trois temps, en couple fermé en rotation. La valse aurait aussi été influencée par la volte, danse de bal à trois temps pratiquée au XVIe siècle, apparentée elle à la gaillarde.
D'autres pensent le contraire.
Elle prend le plus souvent la forme bipartite à da capo du menuet disparaissant, avec ses reprises (AA BB - CC DD - AB) pouvant être précédée d'une courte introduction voire d'un prélude non-dansé, et suivi d'une coda qui peut se substituer au "da capo" en prenant des dimensions plus larges, reprenant successivement tout ou partie des thèmes principaux. Si mélodiquement, il est est probable qu'elle soit une transformation de l’allemande du XVIIIe siècle, elle-même dérivée du Ländler, rythmiquement, ce qui caractérise le plus la valse, c'est son accompagnement basé sur un premier temps fort et appuyé sur la basse et de deux temps plus faibles, légers, au ténor et à l'alto formant des contretemps ternaires, la voix de soprano ne laissant que rarement la mélodie au ténor. De carrure toujours simple, c'est une succession de phrases formées de 8 mesures pour les danses les plus rudimentaires, de 16 ou 32 mesures voire 64 pour les plus élaborées, chacune d'elles étant redivisible en demi-phrases égales (antécédent/conséquent).
C'est le roman de Goethe, Les Souffrances du jeune Werther (1774) qui présente une scène de bal avec valse et qui a assuré sa promotion définitive.
Mais c'est la Révolution française qui a assuré le déclin de ces danses de cour et la pratique courante de la valse. Avec de plus les premières utilisations du parquet et des chaussures de cuir, qui permettaient de passer de pas sautés à des pas glissés.
Par la suite, la Restauration n'a pas réussi à rétablir les danses de cour de l'Ancien Régime. Et au congrès de Vienne en 1815 qui retraçait les frontières de l'Europe occupée quelques années plus tôt par Napoléon, la valse s'est imposée : "le Congrès valse, mais n'avance pas" disait Talleyrand.
A compter de 1840, les danses de salon se sont nettement séparées des danses de ballet. Les professeurs de danse ont notamment commencé à les enseigner séparément et la profession de maitre de danse de salon est apparu.
Dans la 2ème moitié du XIXe siècle des compositeurs ont écrit des morceaux de valse relevant de la musique classique, en parallèle des milliers de titres de valse qui avaient été écrits pour être dansés.
Le plus célèbre est Le Beau Danube bleu. Les titres principaux sont listés plus bas.
La valse a été longtemps considérée comme inconvenante. Le chevalier de Ségur disait en parlant d'une jeune fille :"Elle à son pucelage, moins la valse".
Valse à droite et valse à gauche
On peut danser la valse à droite (le couple danse dans le sens des aiguille d'une montre) ou la valse à gauche. La valse à droite (resp. valse à gauche) est également appelée tour à droite (resp. tour à gauche).
Le tour à droite est plus facile à pratiquer que le tour à gauche pour la raison suivante :
Le danseur guide le couple avec son bassin, mais aussi avec son bras. La majorité des personnes étant droitières, il a été convenu que le danseur enlace la danseuse avec son bras droit dans le dos de la danseuse pour la guider.
Dès lors, il est plus facile au danseur de faire pivoter le couple vers la droite dans un mouvement de déroulé. Alors qu'un pivot vers la gauche nécessite un mouvement d'enroulé où les corps des deux danseurs sont un obstacle.
La valse viennoise
Elle désigne une danse à pas rapides, sur un tempo compris entre 110 et 180 battements par minute. Il existe également des versions lentes (tempo de 60 à 80), parfois appelées valse anglaise ou boston.
Dans les concours, la valse viennoise obéit actuellement à deux standards :
le style international : valse toujours dansée en position rapprochée, ce qui limite le nombre de figures. Ce style de danse est beaucoup plus élégant et complexe que le style suivant
le style américain : valse beaucoup plus libre, dans laquelle les partenaires peuvent rompre le contact pour effectuer des figures variées.
En valse viennoise, il est important de pivoter d'un tour complet sur 6 temps. C'est indispensable pour avancer en ligne droite et tenir la ligne de danse.
La valse viennoise se danse le plus souvent à droite, avec des périodes plus courtes de valse à gauche pour éviter que la tête des danseurs ne tourne à force de danser dans un seul sens.
Forme de valse apparue dans le même temps que la valse viennoise au début du XIXe siècle. Cette valse ne se dansait encore que sur deux temps et n'était qu'une simple évolution de la valse viennoise classique sur trois temps, remplaçant le deuxième temps par une pause. Cette façon de danser la valse s'étendit après la Seconde Guerre mondiale grâce à une nouvelle génération qui cherchait une façon stylisée et naturelle de danser la valse.
La valse anglaise sur 3 temps se danse alternativement à droite et à gauche.
Bien que plus lente, elle est réputée plus difficile que la valse viennoise.
La valse musette
Danse de bal apparue en France à la fin du XIXe siècle, suivie de peu par la java, qui lui est proche. Ces deux danses sont plus rapides que la valse «classique ».
La forme la plus aboutie et la plus originale de valse musette est la toupie.
Danse argentine qui se danse en trois temps, sur de la musique qui s'appelle également valse tango ou vals (qui s'écrit sans e final en espagnol).
Autres formes de valses
La musique et la danse traditionnelles proposent également des valses plus complexes que la valse à 3 temps, appelées « valses asymétriques », en général à 5, 8 ou 11 temps.
Les temps supplémentaires au pas de valse se dansent en marquant un appui alterné sur chacune des jambes, exerçant ainsi une légère poussée qui accentue le mouvement tournant.
Valse à trois temps : (1 2 3) pas-de-valse. Le premier temps est plus déplacé que les deux autres, qui sont piétinés, mais tous ont la même durée.
Pour les hommes : (1 2 3) Gauche-droite-gauche | (1 2 3) Droite-gauche-droite
Pour les femmes : (1 2 3) Droite-gauche-droite | (1 2 3) Gauche-droite-gauche
Valse à cinq temps : (1 2 3) pas-de-valse (4 5) 2 pas
Pour les hommes : (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4) Droite (5) Gauche | (1 2 3) Droite-gauche-droite (4) Gauche (5) Droite
Pour les femmes : (1 2 3) Droite-gauche-droite (4) Gauche (5) Droite | (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4) Droite (5) Gauche
Valse à huit temps : (1 2 3) pas-de-valse (4 5 6) pas-de-valse (7 8) 2 pas
Pour les hommes : (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4 5 6) Droite-gauche-droite (7) Gauche (8) Droite | (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4 5 6) Droite-gauche-droite (7) Gauche (8) Droite
Pour les femmes : (1 2 3) Droite-gauche-droite (4 5 6) Gauche-droite-gauche (7) Droite (8) Gauche | (1 2 3) Droite-gauche-droite (4 5 6) Gauche-droite-gauche (7) Droite (8) Gauche
Valse à onze temps : (1 2 3) pas-de-valse (4 5 6) pas-de-valse (7 8) 2 pas (9 10 11) pas-de-valse. On trouve parfois la forme (1 2 3) pas-de-valse (4 5 6) pas-de-valse (7 8 9) pas-de-valse (10 11) 2 pas
Pour les hommes : (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4 5 6) Droite-gauche-droite (7) Gauche (8) Droite (9 10 11) Gauche-droite-gauche | (1 2 3) Droite-gauche-droite (4 5 6) Gauche-droite-gauche (7) Droite (8) Gauche (9 10 11) Droite-gauche-droite
Pour les femmes : (1 2 3) Droite-gauche-droite (4 5 6) Gauche-droite-gauche (7) Droite (8) Gauche (9 10 11) Droite-gauche-droite | (1 2 3) Gauche-droite-gauche (4 5 6) Droite-gauche-droite (7) Gauche (8) Droite (9 10 11) Gauche-droite-gauche
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