Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
23.12.2024
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
La femme fatale a été représentée comme un vampire sexuel ; ses charmes consommant la virilité et l'esprit d'indépendance de leurs amants, ne laissant que leurs enveloppes charnelles vides. Rudyard Kipling fut inspiré par la peinture d'une vampire de Philip Burne-Jones, une image typique de l'époque (1897), pour écrire son poème The Vampire. À l'instar des autres œuvres de Kipling, le poème fut très populaire et son refrain : « A fool there was... », décrivant un homme séduit, devint le titre original du film Embrasse-moi, idiot (A Fool There Was) de 1915 qui fit de Theda Bara une grande star. Le poème servit pour la promotion du film. À partir de là, dans l'argot américain, la femme fatale est appelée « vamp », abréviation de « vampiress ».
Pour le public américain, la femme fatale venait souvent de l'étranger, avec des ancêtres d'un pays indéterminé de l'Europe de l'Est ou de l'Asie. Elle incarnait l'antithèse sexuelle des actrices comme Lillian Gish ou Mary Pickford. Hormis Theda Bara, les plus célèbres vamps du cinéma muet étaient Helen Gardner, Louise Glaum, Musidora, Nita Naldi, Pola Negri, et dans ses premiers rôles, Myrna Loy.
Des études sur le genre sexuel concernant le cas de Maria Popescu ont révélé la relation entre une société masculinocentrée et des erreurs judiciaires à l'époque oú les relations entre femmes et hommes n'était pas encore un objet d'étude scientifique
L'actrice Theda Bara définit le mot « Vamp » dans le film Embrasse-moi, idiot de 1915.
Au Moyen Âge, l'idée de la dangerosité de la sexualité féminine, originellement incarnée par Ève, était courante dans les récits médiévaux sous les traits de l'enchanteresse séduisante et maléfique, comme la Fée Morgane.
Une autre icône du glamour, de la séduction et de l'immoralité est Mata Hari, 1876 - 1917, une danseuse orientale qui fut accusée d'espionnage pour l'Allemagne et fusillée par la France. Sa légende naquit aussitôt, faisant d'elle l'héroïne de récits apocryphes. Elle fut maintes fois mise en scène au cinéma et dans des romans.
Cette image de la femme est largement représentée à travers le cinéma et la publicité. Notamment parce qu'elle fait vendre, en effet de nombreuses femmes aimeraient lui ressembler, les adolescentes désireraient devenir comme elle, et les hommes sont majoritairement séduits par cette représentation.
On retrouve aussi cette image de la femme séductrice dans la musique : par exemple le septième album studio de la chanteuse américaine Britney Spears, est intitulé Femme fatale.
souvent une typologie des rêves est utilisée pour les distinguer suivent leur forme et contenu :
le rêve d'actualité semble se calquer sur la réalité (par exemple le futur marié qui rêve de son mariage),
le rêve concomitant coïncide à l'environnement au moment du rêve (un bruit rêvé qui coïncide à un bruit extérieur),
les rêves récurrents sont des rêves plus ou moins similaires qui apparaissent plus ou moins fréquemment.
Le cauchemar est un rêve à forte charge anxieuse qui survient pendant le sommeil paradoxal et qui se différencie des terreurs nocturnes qui surviennent pendant le sommeil lent profond.
Il s'agit d'un rêve duquel le sujet tire une nouveauté : idée d'une œuvre artistique, invention d'un nouveau concept ou réponse à un questionnement. L'induction des rêves créatifs rappelle le procédé d'incubation de l'antiquité, mais dans le but d'une création artistique ou de la résolution d'un problème plutôt que dans celui de la guérison. De nombreux créateurs ont trouvé l'inspiration en rêve par hasard. Mais il est possible de la provoquer volontairement. L'induction des rêves créatifs se fait selon un processus similaire au processus créatif en général, tel que décrit par Don Fabun. Ce processus s'élabore grâce à une motivation suffisante, une préparation adéquate et une manipulation intensive. Une forte implication affective est nécessaire. Les étapes d'incubation, de pressentiment de la solution et d'illumination peuvent alors survenir dans le rêve, ou juste après l'éveil. L'étape de vérification permet d'évaluer si la solution est correcte. De nombreux écrivains ou scientifiques se sont inspirés de rêves créatifs : Howard Phillips Lovecraft s'inspira très souvent de ses rêves afin de rédiger ses nouvelles (l'exemple le plus frappant est la nouvelle intitulée La Tombe, qui est une retranscription quasi-exacte d'un rêve), l'œuvre Kubla Khan de Samuel Taylor Coleridge a été entièrement élaborée en rêve, William Blake a mis en œuvre un procédé de gravure sur cuivre que lui indiqua en rêve son frère cadet décédé, la Sonate des trilles du Diable composée par Giuseppe Tartini fut, d'après lui, une reproduction moins réussie que celle entendue en rêve, et enfin Friedrich Kekulé von Stradonitz rêva la structure cyclique du benzène et révolutionna la chimie moderne.
Dans le rêve lucide, il y a comme une irruption de la conscience éveillée dans le déroulement du processus onirique habituel. Le rêveur sait que le monde qui l'entoure n'est qu'une construction de son esprit et peut ainsi analyser et réagir de façon plus ou moins rationnelle selon son degré de « lucidité ». Cette prise de conscience, involontaire ou obtenue par certaines techniques, permet au rêveur de contrôler le contenu et le déroulement du rêve.