Date de création : 09.04.2012
Dernière mise à jour :
19.11.2024
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nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
jeu le trouve très joli
Par Anonyme, le 23.09.2024
coucou.il pleut encore et encore.l automne arrive a grand pas .passe une douce soirée.musiqu e à retrouver che
Par Anonyme, le 08.09.2024
très bien fait http://titi.ce nterblog.net
Par han.t, le 03.09.2024
wsl
Par Anonyme, le 26.06.2024
Mouette est un nom vernaculaire ambigu en français. On nomme mouettes les oiseaux de plusieurs genres de la sous-famille des Larinae et de la tribu des Larini, qui comprend aussi les goélands : il est d'usage dans la langue française de nommer « mouettes » les petits représentants de la tribu des Larini, le terme « goéland » étant réservé aux espèces de plus grande taille du genre Larus.
Sauf exception, il s'agit plutôt d'oiseaux côtiers blanc et gris au cri aigu caractéristique.
Mouette rieuse en plumage d'hiver
Le terme « mouette » est issu du normand, mot d'origine norroise mavr ou vieil anglais maew qui a donné deux mots distincts en normand : la mauve (moderne mauve ; les laridés) et la mauwette, passé en français « mouette ». Au xiie siècle /w/ a muté en /v/, d'où nouvel emprunt du français au normand sous la forme « mauviette »
Réalisé par Eric Picard
Liste alphabétique des noms normalisés du CINFO (màj 2009) et Avibase, en regard du nom scientifique valide reconnu par la classification de référence (version 2.7, 2010) du Congrès ornithologique international.
Mouette des Andes – Chroicocephalus serranus
Mouette argentée – Chroicocephalus novaehollandiae
Mouette atricille – Leucophaeus atricilla
Mouette blanche – Pagophila eburnea
Mouette de Bonaparte – Chroicocephalus philadelphia
Mouette des brumes – Rissa brevirostris
Mouette de Buller – Chroicocephalus bulleri
Mouette de Franklin – Leucophaeus pipixcan
Mouette de Hartlaub – Chroicocephalus hartlaubii
Mouette mélanocéphale – Ichthyaetus melanocephalus
Mouette obscure – Leucophaeus fuliginosus
Mouette de Patagonie – Chroicocephalus maculipennis
Mouette pygmée – Hydrocoloeus minutus
Mouette à queue fourchue – Creagrus furcatus
Mouette relique – Ichthyaetus relictus
Mouette rieuse – Chroicocephalus ridibundus
Mouette rosée – Rhodostethia rosea
Mouette de Sabine – Xema sabini
Mouette de Saunders – Chroicocephalus saundersi
Mouette scopuline – Chroicocephalus scopulinus
Mouette à tête grise – Chroicocephalus cirrocephalus
Mouette du Tibet – Chroicocephalus brunnicephalus
Mouette tridactyle – Rissa tridactyla
Noms divers
Liste alphabétique des noms vernaculaires et autres noms dont l'usage est attesté.
Mouette australienne - voir Mouette argentée
Mouette ivoire - voir Mouette blanche
Mouette du Japon - voir Goéland à queue noire (Larus crassirostris)
Mouette rieuse d'Amérique - voir Mouette atricille
Mouette rieuse d'Europe - voir Mouette rieuse
Mouette de Ross - voir Mouette rosée
Mouette à pattes rouges - voir Mouette des brumes
Mouette des prairies - voir Mouette de Franklin
Mouette à tête brune - voir Mouette du Tibet
Mouette à tête noire - voir Mouette atricille
etc.
Chine : comment 7 500 cadavres de porcs sont arrivés à Shanghai par le fleuve
Mis à jour | 18:46 , publié | 17:13
"Quand on ouvre le robinet, on a de la soupe aux travers de porc." Si certains habitants de Shanghai parviennent à en rire, l'inquiétude est tout de même bien présente, dans la ville la plus peuplée de Chine. Depuis le 4 mars, le fleuve Huangpu, l'une des principales sources d'eau potable des 23 millions d'habitants de la mégapole, a charrié des milliers de cadavres de porcs, dont certains malades. On en comptait près de 6 000 mercredi. Ils sont 7 545 exactement, selon le Shanghai Daily (en anglais), vendredi 15 mars. Et l'angoisse gagne la population, en dépit des propos rassurants des autorités écartant tout risque sanitaire.
Comment ces cochons sont-ils arrivés à Shanghai ?
Alors que chaque jour, des centaines de nouveaux cadavres sont repêchés, Shanghai accuse la préfecture voisine de Jiaxing, en amont de la ville. Des éleveurs, victimes d'une épidémie porcine, se seraient débarrassés de leurs bêtes en les jetant dans le fleuve. Les autorités locales bottent en touche tandis que des fermiers, interrogés par l'AFP, jurent être étrangers à l'affaire. Pour eux, il est impossible que des cochons aient parcouru une centaine de kilomètres sur le fleuve. "Si nous avions jeté des porcs dans l'eau ici, ils ne ressembleraient plus à des porcs à Shanghai", affirme l'un deux, cité par le New York Times (en anglais).
Une enquête préliminaire est en cours pour trouver l'origine des porcs repêchés, grâce aux étiquettes épinglées à l'oreille des animaux. Sur les 100 000 éleveurs que compte la préfecture de Jiaxing, un seul a reconnu, mercredi 13 mars, avoir rejeté des cadavres de porcs dans le Huangpu, selon le site chinois francophone French News. Il semble pourtant que cette pratique soit très courante chez les éleveurs de la région, ajoute le Shanghai Daily (en anglais), à cause de l'expansion excessive de l'industrie porcine et du manque de lieux d'enterrement.
Certains de ces animaux ont aussi pu mourir pendant leur transport vers Shanghai, selon un autre responsable de Jiaxing, que le New York Times a suivi dans la région. Entassées dans des camions, les bêtes peuvent mourir étouffées et être jetées à l'eau par les chauffeurs. Des centaines d'entre elles sont aussi ramassées chaque jour au bord des routes.
Des employés municipaux récupèrent des cadavres de porcs abandonnés au bord de la route, dans un village de la préfecture de Jiaxing (Chine), le 12 mars 2013.
(REUTERS)
De quoi sont-ils morts ?
Une maladie porcine connue a été détectée sur certains des animaux repêchés à Shanghai : le circovirus, qui atteint notamment les porcelets, mais serait inoffensif pour les humains. Il est envisageable que dans un cheptel touché par la maladie, des porcs sains aient été tués pour prévenir une contamination générale. De plus, les fermes chinoises "sont incapables d'enrayer une épidémie de maladie infectieuse", selon Wang Wei, vétérinaire pour un laboratoire produisant des médicaments destinés aux centres d'élevage. Mais des fermiers affirment à plusieurs médias que la mortalité n'a pas augmenté dans leurs cheptels.
Aux abords de Shanghai, certains des cochons repêchés étaient gelés et les autorités de Jiaxing ont prétendu que certains étaient morts de froid. Une hypothèse peu plausible, car depuis début 2013, les températures ne sont pas tombées en dessous de -3°C dans la région, et ont même été exceptionnellement élevées ces dernières semaines.
Un mal pour un bien ?
"Au moins, ils n'en ont pas fait du jambon ou des saucisses", ironisent des internautes chinois, sur le réseau social Weibo (en anglais). Car la Chine, comme l'Union européenne, connaît son lot de scandales alimentaires. Cette semaine, dans la province du Zhejiang, 46 personnes ont été condamnées à de la prison pour avoir découpé et vendu de la viande de porc provenant de plus d'un millier d'animaux malades. De la viande qui s'est retrouvée dans la chaîne alimentaire via un réseau illégal, raconte le Christian Science Monitor (en anglais).
Il s'agirait d'une pratique courante, "une manière pour les producteurs de compenser leurs pertes", explique au même journal Feng Yonghui, consultant en business agricole à Pékin. Afin que les porcs du Huangpu n'arrivent pas dans les restaurants et sur les étals des bouchers, la ville de Shanghai, selon ses médias officiels, a donc renforcé ses contrôles.
Comment la Chine gère-t-elle la crise ?
Preuve que le gouvernement est mal à l'aise avec le sujet, certains termes de recherche ont été bloqués sur l'internet chinois. C'est le cas de "pigfestation", terme inventé par la chaîne Bloomberg (en anglais) pour désigner cette invasion de cochons morts, comme le rapporte le China Digital Times (en anglais).
En dire le moins possible : c'est la méthode choisie. Après avoir analysé des échantillons d'eau du Huangpu, les autorités de Shanghai ont affirmé que les résultats étaient "normaux". C'est tout. Ce qui rend sceptiques les habitants de la mégapole. "Près de 6 000 porcs crevés et la qualité de l'eau ne change pas. On assiste à un miracle", ironise ainsi un internaute, cité par l'AFP.
Ecœuré par cette méthode, l'avocat et blogueur Gan Yuanchun lance un défi aux responsables politiques locaux : "Bien, puisqu'il n'y a aucun problème pour boire cette eau, faites passer ce message si vous voulez demander au secrétaire du parti à Shanghai de boire ce bouillon de viande en premier", écrit-il sur Weibo.
Camille Caldini
Le tigre de Malaisie (Panthera tigris jacksoni) est une sous-espèce de tigres qui vit au centre et dans le sud de la péninsule Malaise. L'Union internationale pour la conservation de la nature l'a classé parmi les espèces menacées en 2008, sa population ayant été estimée à 493 à 1 480 adultes en 2003. En 2008, il semblait très improbable de compter plus de 250 animaux en âge de se reproduire dans l'une des trois sous-populations, et la tendance était à la baisse.
Tigre de Malaisie (Panthera tigris jacksoni)
Lorsque Panthera tigris corbetti a été dénommée en 1968, les tigres de Malaisie et de Singapour faisaient partie de cette sous-espèce. En 2004, Panthera tigris jacksoni a été reconnue comme une sous-espèce distincte lorsqu'une analyse génétique montra que son génome mitochondrial différait de celui de Panthera tigris corbetti.
En Malaisie, on lui donne le nom de harimau belang.
Il n'existe pas de différence flagrante entre le tigre de Malaisie et celui d'Indochine lorsque l'on compare leurs crânes et leurs pelages.
Le tigre de Malaisie est plus petit que celui du Bengale. D'après les mensurations effectuées sur 11 mâles et 8 femelles, la moyenne est de 2,59 mètres de long pour environ 120 kilogrammes chez les mâles et de 2,39 mètres pour environ 100 kilogrammes chez les femelles.
La division géographique entre les tigres de Malaisie et d'Indochine est peu claire puisque les populations du nord de la Malaisie sont en contact avec celles du sud de la Thaïlande.
Entre 1991 et 2003, des traces témoignant du passage de tigres ont été observées dans des champs, des zones agricoles et des habitats riverains hors des forêts de Kelantan, de Terengganu, de Pahang et de Johor, ainsi que dans des habitats riverains hors de celles de Perak. La plupart des grandes rivières se jetant dans la mer de Chine méridionale contenaient des preuves du passage de tigres, tandis que celles qui se jettent dans le détroit de Malacca, à l'ouest, n'en n'avaient pas. On n'a pas signalé de traces de tigres au Perlis, dans l'île de Penang, à Malacca et dans les territoires fédéraux de Kuala Lumpur et de Putrajaya, sur la côte ouest. Le territoire potentiel du tigre s'étendait sur 66 211 km2, dont 37 674 km2 de territoire où la présence de l'animal était avérée. Toutes les zones protégées de plus de 402 km2 contenaient des tigres
Les tigres de Malaisie se nourrissent de sambars, de muntjacs, de sangliers, de sangliers à moustaches et de saros. Les tigres du parc national de Taman Negara se nourrissent également d'ours malais et d'éléphanteaux. On ignore cependant si les gaurs et les tapirs adultes font partie de leurs proies. Ils s'attaquent occasionnellement au bétail ; leur présence réduit cependant le nombre de sangliersm qui peuvent devenir un sérieux fléau pour les plantations et autres terres agricoles. Des études indiquent que, dans les régions où les grands prédateurs (tigres et léopards) sont éteints, les sangliers sont dix fois plus nombreux qu'ailleurs.
La fragmentation écopaysagère, due aux projets de développement et à l'agriculture, est une menace sérieuse. Le braconnage touche différemment les tigres selon les États. En 2007, il existait depuis quelques années en Malaisie un marché intérieur considérable pour la viande de tigre et leurs os, utilisés dans la médecine traditionnelle.
À cause du manque de proies, il n'y a que 1,1 à 1,98 tigre pour 100 km2 dans les forêts tropicales. Afin de maintenir une population viable d'au moins 6 tigresses en âge de procréer, les réserves doivent donc mesurer au moins 1 000 km2. Les renseignements concernant le régime alimentaire de ces tigres, leurs mensurations, leurs paramètres démographiques, leur structure sociale, leurs moyens de communication, la taille de leur domaine vital et leur pouvoir de dispersion manquent.
Les tigres sont inscrits sur l'Annexe 1 de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction), qui en interdit le commerce internationale. Tous les États et pays abritant des tigres ont également interdit le commerce intérieur.
En captivité, les tigres de Malaisie réclament les mêmes soins que les autres sous-espèces.
Lorsque le tigre de Malaisie a été reconnu comme sous-espèce de la famille des tigres, la nouvelle a été très bien reçue en Malaisie. Le nom scientifique donné au tigre de Malaisie, Panthera tigris jacksoni, en l'honneur du spécialiste des tigres Peter Jackson a cependant rapidement été sujet à controverse : la MAZPA (Association malaisienne des zoos, des parcs et des aquariums) a protesté en alléguant que le nom devait refléter davantage l'aire géographique de l'animal et proposé le nom de Panthera tigris malayensis.
Tigre de Malaisie au zoo national de Malaisie
Le tigre de Malaisie est l'animal national de la Malaisie.
Un tigre symbolisant le gouvernement est représenté sur les armoiries de la Malaisie et apparait sur plusieurs blasons d'institutions malaises telles que la police royale malaisienne, Maybank, Proton et la fédération de Malaisie de football. Il symbolise le courage et la force pour les Malais. C'est également le surnom de l'équipe de Malaisie de football. Les Malais ont donné plusieurs surnoms à l'animal, notamment Pak Belang, qui signifie littéralement « l'Oncle rayé ». Dans le folklore, il est l'un des adversaires de Sang Kancil (en), le chevrotain.
Le tigre de Malaisie était également représenté sur l'insigne du Grup Gerak Khas.