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Monde : Angleterre

Henry Mill

Publié à 17:42 par dessinsagogo55 Tags : centerblog vie texte
Henry Mill

 

 

Henry Mill (circa 1683 - 1771) est un inventeur anglais auquel on attribue le premier brevet déposé pour une machine à écrire (en 1714).

 

Cet ingénieur hydraulique, qui a travaillé pour la New River Company, a déposé deux brevets au cours de sa vie. Le premier concernait un système de suspensions pour véhicules, le second un système d’impression des lettres. On ne sait si sa « machine à écrire » a, ou non, été construite et utilisée.

Brevet

 

Voici le texte du brevet de 1714 pour la « machine à transcrire les lettres » :

 

ANNE, by the Grace of God, &c. To all to whom these presents shall come, greeting: Whereas Our trusty and welbeloved subiect, Henry Mill, hath by his humble peticon represented vnto Vs, That he has by his great study, paines and expence lately invented and brought to perfection an artificial machine or method for the impressing or transcribing of letters, singly or progressively, one after another, as in writing, whereby all writing whatsoever may be engrossed in paper or parchment so neat and exact as not to be distinguished from print; that the said machine or method may be of great vse in settlements and publick recors, the impression being deeper and more lasting than any other writing, and not to be erased or counterfeited without manifest discovery

 

.https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Mill

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Mort de Sophie

Publié à 15:32 par dessinsagogo55 Tags : tube musique center google centerblog sur presse femme société mort message
Mort de Sophie
 
 
 
 
MORT DE LA MUSICIENNE ET PRODUCTRICE SOPHIE À L'ÂGE DE 34 ANS

 

SOPHIE sur scène à Coachella en avril 2019

L'artiste est morte ce matin à Athènes, à la suite d'un accident, indiquent ses représentants dans un communiqué.
 
 

La musicienne Sophie Xeon, connue sous le nom d'artiste SOPHIE, est morte à l'âge de 34 ans. Son décès a été annoncé par ses représentants dans un communiqué, relayé par le site britannique The Guardian.

 

"C’est avec une profonde tristesse que nous vous annonçons que la musicienne et productrice SOPHIE est morte ce matin aux alentours de 4 heures à Athènes, où l’artiste vivait, suite à un accident soudain", est-il indiqué.

"SOPHIE a été la pionnière d’un son nouveau, l’une des artistes les plus influentes de la dernière décennie", poursuit le message. "Non seulement grâce à ses productions et sa créativité ingénieuses, mais aussi pour le message et la visibilité qui ont été atteints. Une icône de la libération."

 
 

Dans un communiqué, son label Transgressive précise que "fidèle à sa spiritualité, elle est montée pour admirer la pleine lune, a glissé accidentellement et est tombée".

Née en 1986 à Glasgow en Écosse, SOPHIE était musicienne, chanteuse, productrice et DJ. Elle a notamment collaboré avec Madonna, Charli XCX, Kim Petras, MØ, Cashmere Cat ou encore Rihanna.

 

Découverte par le public et acclamée par la presse spécialisée grâce à ses singles Bipp et Lemonade, sortis en 2013 et 2014, elle avait sorti en 2018 son premier album, intitulé Oil of Every Pearl's Un-Insides. Un opus qui lui permis de décrocher une nomination aux Grammy Awards dans la catégorie "Meilleur album dance / électronique".

 

"Une visionnaire"

 

La chanteuse française Christine & The Queens a rendu hommage à SOPHIE dans un message partagé sur Twitter.

"Sophie était une excellente productrice, une visionnaire, une référence. Elle s’est rebellée contre la société étroite et normative en étant un triomphe absolu, à la fois en tant qu’artiste et en tant que femme. Je ne peux pas croire qu’elle soit partie. Nous devons honorer et respecter sa mémoire et son héritage. Chérissez les pionniers", a commenté la star.

Nawal Bonnefoy
 
 
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John Barry (compositeur)

John Barry (compositeur)

Jonathan Barry Prendergast, dit John Barry, né le 3 novembre 1933 à York (Angleterre, Royaume-Uni) et mort le 30 janvier 2011 à Oyster Bay (État de New York, États-Unis), est un compositeur britannico-américain de musique de film.

 

Il est notamment connu pour la musique des films de James Bond (composant de Bons baisers de Russie en 1963 jusqu'à Tuer n'est pas jouer en 1987) dont il refait le thème qui devient « un classique de la bande originale de film »,ainsi que pour la musique de Danse avec les loups (1990). Pour la télévision, il compose en particulier la musique du générique de la série Amicalement vôtre (1971-1972).

 

 

Biographie

 

Son père, Jack Xavier Prendergast (né en 1898), tient une chaîne de cinéma à York (dans le nord de l'Angleterre), lieu de naissance de Jonathan Barry Prendergast, le futur John Barry, tandis que sa mère, Doris Wilkinson (née en 1901), nantie de grands talents musicaux, renonce à une carrière de pianiste. Barry, qui se destine à devenir administrateur, sur les traces de son père, est d'abord projectionniste, mais il est attiré par la musique. Il fait son apprentissage du piano auprès de Francis Jackson, maître de musique à la Cathédrale d'York, puis étudie le jazz auprès de l'arrangeur Bill Russo, qui avait travaillé pour l'orchestre de Stan Kenton. Son père, d'ailleurs, raffole de ce genre musical. C'est dans une formation de jazz, que Barry débute, après son service militaire, fondant son groupe, le « John Barry Seven », avant d'écrire de la musique pour le cinéma.

 

Il compose d'abord la musique du film L'Aguicheuse (Beat Girl, 1960), puis remanie un thème musical écrit par Monty Norman, pour en faire l'indicatif musical des James Bond, qui devient, ainsi arrangé, l'un des thèmes musicaux les plus connus du monde. À ce titre, Barry doit être considéré comme le véritable créateur de la musique « bondienne ». Il compose ensuite les musiques de la majorité des James Bond, jusque dans les années 1980. En 1995, il sera écarté de la série, à cause d'un différend artistique avec les producteurs. Sa musique pour la série de télévision Amicalement vôtre (1971) contribue aussi à sa notoriété déjà bien établie.

 

Pour avoir aussi composé les musiques d'autres très grosses productions, telles que Out of Africa ou Danse avec les loups, John Barry est considéré comme l'un des plus grands compositeurs de musique de films, à l'instar, par exemple, de John Williams, Jerry Goldsmith, Lalo Schifrin, Maurice Jarre et Ennio Morricone. John Barry livre une musique de facture aisément identifiable, au style romantique plus ou moins teintée de jazz.

 

Il a été le premier mari de Jane Birkin, dont il a eu une fille en 1967, la photographe Kate Barry décédée le 11 décembre 2013 à Paris.

John Barry meurt à 77 ans, le 30 janvier 2011 « après une crise cardiaque ». David Arnold, son successeur, déclare à la BBC : « James Bond aurait eu beaucoup moins de flegme si John Barry ne lui avait pas tenu la main. »

 

Filmographie

Cinéma

 

1960 : Quand gronde la colère (Never Let Go) de John Guillermin

1960 : L'Aguicheuse (Beat Girl), de Edmond T. Gréville

1962 : Mix Me a Person de Leslie Norman (non crédité)

1962 : James Bond 007 contre Dr No(Dr No) de Terence Young (musique composée par Monty Norman, thème arrangé par John Barry)

1962 : The Amorous Prawnd'Anthony Kimmins

1963 : Bons baisers de Russie (From Russia with love) de Terence Young

1963 : Zoulou (Zulu) de Cyril R. Endfield

1964 : L'affaire Winston (Man in the Middle) de Guy Hamilton

1964 : Goldfinger (Goldfinger) de Guy Hamilton

1964 : A Jolly Bad Fellow de Don Chaffey

1965 : Ipcress, danger immédiat (The Ipcress File) de Sidney J. Furie

1965 : The Party's Over

1965 : Le Knack... et comment l'avoir(The Knack..and how to get It) de Richard Lester

1965 : Four in the Morning de Anthony Simmons

1965 : Mister Moses de Ronald Neame

1965 : Un caïd (King Rat) de Bryan Forbes

1965 : Opération Tonnerre(Thunderball) de Terence Young

1966 : La Poursuite impitoyable (The Chase) d'Arthur Penn

1966 : Vivre libre (Born free) de James Hill

1966 : Un mort en pleine forme (The Wrong Box) de Bryan Forbes

1966 : Le secret du rapport Quiller(The Quiller Memorandum) de Michael Anderson

1967 : Dutchman d'Anthony Harvey

1967 : Les Chuchoteurs (The Whisperers) de Bryan Forbes

1967 : On ne vit que deux fois (You Only live Twice) de Lewis Gilbert

1968 : Boom (Boom!) de Joseph Losey

1968 : Petulia de Richard Lester

1968 : Le Chat croque les diamants(Deadfall) de Bryan Forbes

1968 : Le Lion en hiver (The Lion in Winter) d'Anthony Harvey

1969 : Le Rendez-vous (The Appointment) de Sidney Lumet

1969 : Macadam Cowboy (Midnight Cowboy) de John Schlesinger

1969 : Au service secret de Sa Majesté (On her Majesty's secret service) de Peter Hunt

1970 : Monte Walsh de William A. Fraker

1971 : La Vallée perdue de James Clavell

1971 : La Randonnée (Walkabout) de Nicolas Roeg

1971 : Le Rivage oublié (They Might Be Giants) d'Anthony Harvey

1971 : Les Diamants sont éternels(Diamonds are forever) de Guy Hamilton

1971 : Marie Stuart, Reine d'Écosse(Mary, Queen of Scots) de Charles Jarrott

1972 : Sentimentalement vôtre(Follow Me!) de Carol Reed

1972 : Alice au pays des merveilles(Alice's Adventures in Wonderland)de William Sterling

1973 : A Doll's House de Patrick Garland

1974 : The Dove de Charles Jarrott

1974 : Top secret (The Tamarin Seed) de Blake Edwards

1974 : L'Homme au pistolet d'or (The Man with golden gun) de Guy Hamilton

1975 : Le jour du fléau (Day of the Locust) de John Schlesinger

1976 : Rose et la Flèche">La Rose et la Flèche (Robin and Marian) de Richard Lester

1976 : King Kong de John Guillermin

1977 : Le Bison blanc (The White Buffalo) de Jack Lee Thompson

1977 : Les Grands Fonds (The Deep) de Peter Yates

1977 : First Love (en) de Joan Darling (non crédité)

1978 : St. Joan de Steven Rumbelow

1978 : Betsy (The Betsy) de Daniel Petrie

1978 : Le Jeu de la mort (Game of Death) de Robert Clouse

1978 : Starcrash : Le Choc des étoiles (Scontri stellari oltre la terza dimensione) de Luigi Cozzi

1979 : Guerre et Passion (Hanover street) de Peter Hyams

1979 : Moonraker (Moonraker) de Lewis Gilbert

1979 : Le Trou noir (The Black Hole) de Gary Nelson

1980 : Jeux érotiques de nuit (Night Games) de Roger Vadim

1980 : La Guerre des abîmes (Raise the Titanic) de Jerry Jameson

1980 : Quelque part dans le temps(Somewhere in Time) de Jeannot Szwarc

1980 : Touched by Love de Gus Trikonis

1980 : Rendez-vous chez Max's(Inside Moves) de Richard Donner

1981 : Le Justicier solitaire (The Legend of the Lone Ranger) de William A. Fraker

1981 : La Fièvre au corps (Body Heat) de Lawrence Kasdan

1982 : Hammett de Wim Wenders

1982 : Meurtre par téléphone (Murder by Phone) de Michael Anderson

1982 : Frances de Graeme Clifford

1983 : Les Aventuriers du bout du monde (High Road to China) de Brian G. Hutton

1983 : Octopussy de John Glen

1984 : Mort d'un 'dealer'... (Mike's Murder) de James Bridges

1984 : French Lover (Until September) de Richard Marquand

1984 : Cotton Club de Francis Ford Coppola

1985 : Dangereusement vôtre (A view to a kill) de John Glen

1985 : À double tranchant (Jagged Edge) de Richard Marquand

1985 : Out of Africa : Souvenirs d'Afrique (Out of Africa) de Sydney Pollack

1986 : A Killing Affair de David Saperstein

1986 : Golden Child : L'Enfant sacré du Tibet (The Golden Child) de Michael Ritchie (score rejeté)

1986 : Howard... une nouvelle race de héros (Howard the duck) de Willard Huyck

1986 : Peggy Sue s'est mariée(Peggy Sue Got Married) de Francis Ford Coppola

1987 : Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights) de John Glen

1987 : Hearts of Fire de Richard Marquand

1988 : Mascarade (Masquerade) de Bob Swaim

1990 : Danse avec les loups (Dances with wolves) de Kevin Costner

1992 : Le Rubis du Caire de Graeme Clifford

1992 : Chaplin de Richard Attenborough

1993 : Proposition indécente(Indecent Proposal) d'Adrian Lyne

1993 : My Life de Bruce Joel Rubin

1994 : L'Expert (The Specialist) de Luis Llosa

1995 : Pleure, ô pays bien-aimé (Cry the beloved country) de Darrell Roodt

1995 : Les Amants du nouveau monde (The Scarlet Letter) de Roland Joffé

1995 : Across the Sea of Time de Stephen Low

1997 : Au cœur de la tourmente(Swept from the sea) de Beeban Kidron

1998 : Code Mercury (Mercury Rising) de Harold Becker

1998 : La carte du cœur (Playing by Heart) de Willard Carroll

2001 : Enigma de Michael Apted

 

Télévision

 

1971 : Amicalement vôtre (série télévisée - Thème du générique)

1972 : L'Aventurier (série télévisée - Thème du générique)

1973 : La Ménagerie de verre (The Glass Menagerie) (téléfilm) de Anthony Harvey

1974 : Vivre libre (Born Free) (téléfilm)

1975 : Il neige au printemps (Love Among the Ruins) (téléfilm) de George Cukor

1979 : Le Blé est vert (The Corn Is Green) (téléfilm) de George Cukor

 

Courts métrages

 

1997 : David Arnold & David McAlmont: Diamonds Are Forever de Rocky Schenck

1997 : What Makes Me Tick! d'Arthur L. Bernstein

 

Récompenses

Cinq Oscars

 

1967 : Best Original Song pour "Born Free" from Born Free"

1967 : Best Original Music Scorepour Born Free

1969 : Best Original Music Score for a Motion Picture (not a Musical) pour Le Lion en hiver

1986 : Best Original Score pour Out of Africa

1991 : Best Original Score pour Danse avec les loups

Nominations aux Oscars

1972 : Best Original Dramatic Scorepour Marie Stuart, Reine d'Écosse

1993 : Best Original Score pour Chaplin

Grammy Award

1992 : Best Score Soundtrack Album for a Motion Picture, Television or Other Visual Media pour Danse avec les loups

BAFTA Award

1969 : Anthony Asquith Award for Film Music pour Le Lion en hiver

 

 

BAFTA Fellowship Award

2005 : attribution du titre

Nominations aux BAFTA

1987 : Best Score pour Out of Africa

1992 : Best Original Score pour Danse avec les loups

Nominations aux Emmy Award

1964 : Outstanding Achievement in Composing Original Music for Television pour Elizabeth Taylor in London (a 1963 television special)

1977 : Outstanding Achievement in Music Composition for a Special (Dramatic Underscore) pour Eleanor and Franklin: The White House Years (en)

Max Steiner Lifetime Achievement Award

2009 : présenté par la ville de Vienne

Songwriters Hall of Fame

1998 : Barry y fut admis

 

 

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Barry_(compositeur)
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Parlement cavalier

Publié à 16:40 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog
Parlement cavalier

Le roi Charles II d'Angleterre, v. 1661–1662, avec sa robe parlementaire,

comme il l'aurait vêtu à l'ouverture des sessions du Parlement Cavalier.

 

Le Parlement cavalier (Cavalier Parliament) d'Angleterre a duré du 8 mai 1661 jusqu'au 24 janvier 1679. Il est le plus long des parlements anglais, qui a duré près de 18 ans du règne d'un quart de siècle de Charles II d'Angleterre. Comme son prédécesseur, le Parlement de la Convention, il était en majorité royaliste et est également connu sous le nom de Parlement des retraités pour les nombreuses pensions accordées aux adhérents du roi

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Parlement_cavalier

 

 

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Jean Simmons

Publié à 17:55 par dessinsagogo55 Tags : blog center film centerblog prix sur roman merci vie femme 2010 nuit
Jean Simmons

 

Jean Simmons est une actrice anglaise, née le 31 janvier 1929 à Londres (Royaume-Uni), quartier de Crouch End, district de Haringey, et morte le 22 janvier 2010 à Santa Monica (Californie).

 

Très grande vedette des années 40/50, en Angleterre puis aux États-Unis, elle est apparue notamment dans Les Grandes Espérances (1946), Le Narcisse noir (1947), Hamlet (1948), Un si doux visage (1952), La Tunique (1953), Blanches colombes et vilains messieurs (1955), Elmer Gantry le charlatan (1960) ou encore Spartacus (1960). Elle a été mariée à l'acteur Stewart Granger (1950-1960) et au réalisateur Richard Brooks (1960-1977).

 

Star adolescente, Jean Simmons se fait remarquer dès La Route des étoiles d'Anthony Asquith, Les Grandes Espérances de David Lean, d'après Charles Dickens, et dans Le Narcisse noir de Michael Powell. Sous contrat avec le studio Rank, elle continue d'habiter une modeste banlieue londonienne avec ses parents. Choisie par Laurence Olivier pour jouer son Ophélie, elle remporte avec Hamlet le prix d'interprétation au Festival de Venise.

 

Jean Simmons devient l'actrice préférée des Britanniques, incarnant une forme de réserve. En 1949, la jeune star retrouve Stewart Granger (ils s'étaient déjà croisés sur le tournage de César et Cléopâtre en 1945) et ils forment le plus beau couple de l'époque dans Adam et Evelyne d'Harold French. Mais Granger est marié et ils doivent se montrer discrets un temps. La jeune première a par ailleurs pour partenaires Dirk Bogarde dans Si Paris l'avait su, film à suspense de Terence Fisher, puis Trevor Howard dans Trio adaptation de et par Somerset Maugham.

 

 
Jean Simmons dans La Reine vierge (1953)
 

Elle part pour Hollywood, où l'attend un contrat avec la 20th Century Fox, tandis que Granger, qui a quitté sa femme, est pris sous contrat par la MGM. Jean s'impose simultanément dans de luxueuses productions historiques (Androclès et le lion d'après George Bernard Shaw, La Tunique, premier film en Cinemascope, avec son compatriote Richard Burton, L'Égyptien de Curtiz d'après le roman de Mika Waltari, La Reine vierge avec Granger, Deborah Kerr et Charles Laughton, Désirée avec Brando en Napoléon, Spartacus de Kubrick, où elle est la seule star féminine parmi Kirk Douglas, Laurence Olivier, Laughton, Tony Curtis et Peter Ustinov) et dans des drames modernes signés par Otto Preminger, George Cukor et son deuxième mari Richard Brooks.

 

Pendant sa carrière hollywoodienne, l'actrice tourne également le western Les Grands Espaces de Wyler, le film musical Blanches colombes et vilains messieurs de Joseph L. Mankiewicz avec Brando et Frank Sinatra, la comédie Ailleurs l'herbe est plus verte de Stanley Donen avec Cary Grant et le thriller victorien, Des pas dans le brouillard avec Stewart Granger...

 

Grande séductrice de l'écran, Jean Simmons a eu également pour partenaires Victor Mature (quatre fois), Spencer Tracy, Charlton Heston, Anthony Perkins, Laurence Harvey, Alec Guinness, George Peppard, Jason Robards, Anthony Hopkins, Mitchum, Lancaster, Newman, Gregory Peck, Dean Martin et Rock Hudson. Elle fut également trois fois la partenaire de sa compatriote Deborah Kerr.

 

 
Jean Simmons en 1954
 

Des rumeurs persistantes lui attribuent des aventures avec Richard Burton et Marlon Brando (le premier s'en est vanté cruellement aux dépens de Granger, et le second réserve à sa partenaire son meilleur souvenir dans ses mémoires : il y loue la simplicité et l'humour de l'actrice). Jean Simmons pour sa part, avoua tardivement avoir eu une liaison récurrente avec son fréquent partenaire Robert Mitchum.

 

Alors que Granger résistait aux avances de Grace Kelly ou d'Ava Gardner, sa jeune épouse, elle, faisait face au plus courant des chantages, exercé par Darryl Zanuck, patron de la Fox. Finalement, le poing de l'acteur britannique s'écrasa sur le visage du producteur. Elle eut également des démélés avec le producteur Howard Hughes, ce qui lui coûta le premier rôle de Vacances romaines, pour lequel Audrey Hepburn reçut l'Oscar. Jean Simmons admit plus tard avoir un sérieux problème d'alcool contracté alors (et sa prestation en 1969 dans The Happy Ending prend plus de sens encore).

 

Nommée à l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour Hamlet, Simmons est ensuite ignorée par l'Académie qui ne la renomme qu'une seconde fois, tardivement, pour The Happy Ending. Elle n'obtient finalement qu'un Golden Globe pour sa « carrière très variée » (cf. Le blog d'Écran noir) mais est nommée pas moins de sept fois au total. Elle décroche aussi des prix honorifiques aux festivals de Telluride (USA) en 2008 et de Cabourg ainsi qu'une "Palme du 40° Festival de Cannes" en 1986. Elle fut nommée deux fois aux BAFTA (les prix du cinéma britannique). Et la télévision lui permet de décrocher en 1983 un Emmy Award pour "Les Oiseaux se cachent pour mourir".

 

Après les triomphes de Elmer Gantry le charlatan et de Spartacus, sa carrière cinématographique marque le pas. Ses derniers films, Divorce American Style en 1967 et Mr. Sycamore en 1975 (les deux avec Jason Robards), passent inaperçus. Le film d'horreur Dominique, réalisé par Michael Anderson en 1978, avec Cliff Robertson, est qualifié de « sinistre » par la critique. Après cet échec, la vedette d'Un si doux visage ne revient plus au cinéma qu'à de rares occasions : Le Patchwork de la vie, auquel participent Winona Ryder et Anne Bancroft, en 1995, et Shadows in the Sun en 2009, son dernier film.

 

Jean Simmons a aussi fait du théâtre et beaucoup tourné pour la télévision. Heidi de Delbert Mann, avec Maximilian Schell et Michael Redgrave, remporte un triomphe. Elle y interprète la gouvernante. Dans The Dain Curse d'après Dashiell Hammett, elle séduit James Coburn. Au fil des téléfilms, Jean a pour partenaires Glenn Ford, Edward Asner, Jason Robards... Elle apparaît dans les séries Hawaï police d'ÉtatPerry MasonArabesque, avec les vétérans Raymond Burr et Angela Lansbury, Star Trek : La Nouvelle GénérationDans la chaleur de la nuit...

 

Dans Hôtel, elle retrouve une vedette de la Fox, Anne Baxter, en patronne de palace. Avec Gene Kelly, Mitchum, James Stewart et Liz Taylor, Simmons devient un des personnages de la saga Nord et Sud, où elle incarne la mère de Patrick Swayze, et elle interprète celle de Rachel Ward dans Les oiseaux se cachent pour mourir (1983). L'année suivante, elle collabore avec Stephen Frears sur le téléfilm December Flower. Elle participe également à la série télé d'horreur Dark Shadows, avec Roy Thinnes. Elle interprète encore Miss Havisham dans une nouvelle version de Les Grandes Espérances où figure Anthony Hopkins.

 

Jean Simmons a prêté sa voix à plusieurs longs métrages d'animation : Final Fantasy : Les Créatures de l'esprit en 2001, Le Château ambulant de Miyazaki et Le Ruban de Moebius. Après plus de soixante ans de carrière, elle meurt à l'aube de ses 81 ans d'un cancer au poumon, veillée par ses deux filles Tracy et Kate, ainsi prénommées par affection pour le couple Spencer Tracy-Katharine Hepburn. Membre d'honneur du British Film Institute, Jean Simmons, l'une des grandes stars de l'après-guerre, avait été élevée au rang d'officier de l'ordre de l'Empire britannique en 2003.

 

Elle meurt à Santa Monica (Californie) le 22 janvier 2010 à 80 ans et est enterrée au cimetière de Highgate à Londres

 

 

 

Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Simmons
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
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Attaque du train postal Glasgow-Londres

Attaque du train postal Glasgow-Londres

 

L’attaque du train postal Glasgow-Londres (également connu comme Cheddington Mail Van Raid en anglais) est une attaque de train commise le 8 août 1963 à Ledburn (en) en Angleterre contre le train postal Glasgow-Londres et considérée à l'époque comme le « casse du siècle ». À la suite de l'enquête policière, notamment à la ferme où les braqueurs préparent leur coup et où ils se réfugient après l'événement, la plupart de la quinzaine de criminels impliqués sont condamnés à des sentences de vingt à trente ans de prison mais plusieurs s'évadent et sont recapturés. L'argent, en grande partie, n'a jamais été retrouvé

 

Préparation du vol

 

La planification de l'opération s'appuie sur des informations internes fournies par un homme désigné comme l’Ulsterman et identifié comme Patrick McKenna en 2014. Celui-ci, employé du General Post Office à Salford près de Manchester, détient des informations précises sur les transferts d'argent effectués par train par l'opérateur postal Royal Mail. Brian Field, commis du Solliciteur de Londres, présente Patrick McKenna à Gordon Goody et Buster Edwards.

 

Gordon Goody et Buster Edwards, avec Bruce Reynolds, Charlie Wilson et Roy James planifient le raid sur une période de plusieurs mois. Reynolds prend la tête dans la conception de l'affaire. Le groupe, bien qu'ayant du succès dans le crime organisé, n'a pratiquement aucune expérience dans l'attaque de trains. Ils font donc appel à un autre gang de Londres, les South Coast Raiders. Cette bande comprend Tommy Wisbey, Bob Welch et Jim Hussey, qui ont de l'expérience dans ce genre d'opération, de même que Roger Cordrey, qui connaît bien le terrain et imagine comment arrêter le convoi. Parmi les autres instigateurs figurent Ronnie Biggs, que Bruce Reynolds a connu en prison. L'équipe comprend finalement seize membres, John Daly, Jimmy White, de même que trois hommes connus simplement par les numéros 1, 2 et 3, et enfin un conducteur de train retraité surnommé « Stan Agate ». L'équipe comprend finalement seize larrons.

 

Le site choisi pour l'opération

 

 
Géographie des lieux
 

L'endroit choisi pour transférer l'argent du convoi est le Bridego Bridge, pont ferroviaire sur la West Coast Main Line situé à Ledburn (en), dans la municipalité de Mentmore (en) dans le Buckinghamshire, au nord-ouest de Londres. Le chemin de fer y croise une route locale proche qui permet d'y garer les véhicules qui évacueront les sacs postaux. Les membres du gang se réunissent la nuit précédant l'attaque dans une ferme isolée de Leatherslade achetée pour l'occasion, afin de préparer leur coup.

 

 

Le convoi

 

Le 7 août 1963 à 18 h 50, l'ambulant postal quitte la Gare centrale de Glasgow à destination de la Gare d'Euston à Londres, l'arrivée étant prévue à 3 h 59 le lendemain matin. Le train, propulsé par une locomotive English Electric Type 4 (en) tirant douze wagons où 72 employés des postes trient le courrier pendant tout le trajet. Les sacs de courrier sortant des différents bureaux de poste locaux sont accrochés sur des crochets le long de la voie ferrée, le personnel à bord prenant le courrier sortant et remettant sur le crochet le courrier trié à destination du bureau de poste local sans retarder le train. Le second wagon derrière la locomotive sert au transport de valeurs.

Habituellement, les valeurs sont de l'ordre de 300 000 £ mais en raison du Bank holiday, le contenu vaut exceptionnellement ce jour-là plus de 2,6 millions de livres sterling (M£), soit 49,1 M£ en valeur d'aujourd'hui, en petites coupures destinées à la destruction. Les convois de valeurs disposent d'alarmes, de grillages aux fenêtres et de verrouillage des portes depuis 1961, suivant la recommandation de la Post Office Investigation Branch. Les trois convois ainsi équipés ne sont pas disponibles et les wagons (M30204M) en réserve n'ont pas ces dispositifs de sûreté, non plus que de systèmes radio jugés comme trop coûteux. Les agents de surveillance de ce train sans voiture de voyageurs sont peu nombreux, pour ne pas éveiller les soupçons

 

L'attaque

 

Vers trois heures du matin, la bande arrête le train postal à la hauteur du Bridego Bridge. Après avoir coupé les lignes téléphoniques et piraté la signalisation de la voie ferrée au Sears Crossing pour faire stopper le train, les membres de la bande s'emparent du mécanicien, décrochent la locomotive et les deux premiers véhicules remorqués du train - le second est toujours celui renfermant l'argent. Un des voleurs, le retraité des chemins de fer, conduit alors ce convoi réduit jusqu'à Bridego Bridge, lieu choisi car une route proche permet d'y garer les véhicules qui évacueront les sacs postaux et où le gros de la bande attaque le fourgon postal et neutralise les postiers à coups de matraque. Ils s'emparent ainsi, sans tirer de coups de feu, de 128 sacs remplis de billets provenant de banques écossaises à destination des caisses de la Banque d'Angleterre, d'une valeur totale de 2,631 millions de livres sterling.

 

Arrestations et condamnations

 

En quittant le pont, un des hommes du gang ordonne aux gardes de « rester tranquilles trente minutes », ce qui permet à la police de concentrer ses recherches dans un périmètre. Le lundi 12 août 1963, cinq jours après le vol, les enquêteurs localisent la ferme isolée où les voleurs se sont réunis avant le casse. La ferme avait été nettoyée par les voleurs mais des empreintes digitales avaient été oubliées sur un jeu de monopoly que les braqueurs avaient utilisé après le casse (les voleurs n'avaient pas eu le temps de brûler la ferme). La plupart des membres du gang sont rapidement arrêtés grâce aux empreintes retrouvées dans la ferme et aux indicateurs de Scotland Yard.

Treize des membres sont condamnés en 1964 de vingt à trente ans de prison. Cependant, du fait de la publication des photos des suspects recherchés, Jimmy White, reste caché en Angleterre. Il est arrêté en 1966 et condamné à trente ans de prison. Ronald Buster Edwards, un des organisateurs, part au Mexique. Il est capturé en 1966 et condamné à quinze ans de prison.

Bruce Reynolds (né en 1931), le leader du gang, reste en fuite, avec sa femme et son fils, Nick, pendant cinq ans, notamment au Mexique et au Canada. Il tente de retourner vivre incognito en Angleterre, mais est arrêté en novembre 1968 et écope de 25 ans de prison. Libéré après dix ans de détention, il écrit ses mémoires et est consultant pour un film policier anglais, Gangster No. 1. Il meurt, dans son sommeil, le 28 février 2013 (à 81 ans).

 

Évasions  

Ronnie Biggs s'échappe de prison le 8 juillet 1965. Il effectue une opération de chirurgie esthétique et s'installe au Brésil. Malade, il rentre en Grande-Bretagne en 2001 à l'âge de 71 ans et est incarcéré. Il meurt le 18 décembre 2013.

Charles Wilson (né en 1932), trésorier et organisateur du gang, est incarcéré à la HM Prison Birmingham. Il s'évade le 12 août 1964 pour prendre la fuite en France et au Mexique. Il se cache à Rigaud (Québec) au Canada où il est retrouvé en 1968. Condamné à trente ans de prison, il est libéré en 1978, puis tué en 1990 dans un règlement de comptes en Espagne.

 

Le cerveau et l'informateur

 

La police pense qu'un casse aussi bien préparé n'a pu être réalisé que grâce à un informateur qui n'a jamais été formellement identifié par la police, the Ulsterman, « l’homme de l’Ulster ».

Gordon Goody, considéré comme le cerveau du gang, tenait un salon de coiffure pour dames comme couverture, ce qui lui permit de fournir l'équipe en masques et matériel de grimage. Il est condamné à trente ans de prison en 1964. Après sa libération, il s'installe en Espagne où il s'est acheté grâce à la part de son butin un bar de plage à Mojácar. En septembre 2014, il annonce l'identité de « l’homme de l’Ulster » à l'occasion d'un documentaire sur le cinquantième anniversaire du vol (documentaire sorti dans les salles en octobre 2014). Il s'agit selon lui de Patrick McKenna qui est mort quelques années auparavant. Gordon Goody meurt le 29 janvier 2016, à l'âge de 85 ans.

 

Culture

 

L'odonyme du viaduc où eut lieu le braquage, à l'époque « le pont Bridego » (Bridego Bridge), a été changé pour celui de Train Robbers' bridge (« pont des voleurs du train ») puis, depuis fin 2013, pour celui de « pont de Mentmore » (Mentmore Bridge). Le train ayant fait l'objet du braquage est conservé au dépôt central de l'ancienne compagnie ferroviaire Great central railway de l'ambulant postal britannique et est entretenu par des passionnés des chemins de fer. L'un des wagons du train stoppé à Ledburn est exposé au Chemin de fer touristique de la Vallée de la rivière Nene.

 

Adaptations au cinéma et à la télévision

 

En 1966, la trilogie policière Die Gentlemen bitten zur Kasse (de) met en scène ce vol, le rôle de Bruce Reynolds étant interprété par Horst Tappert.

En 1967, le film Trois milliards d'un coup de Peter Yates avec Stanley Baker est une libre adaptation de ce braquage.

En 1968, les films Le pacha de Georges Lautner et Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages de Michel Audiard l'évoquent.

En 1969, le film comique Le Cerveau  de Gérard Oury relate un casse fictif d'un train spécial transportant des fonds secrets de l'OTAN de Paris à Bruxelles, réalisé par « Le Cerveau », criminel expérimenté à l'origine de l'attaque du train postal Glasgow-Londres (il utilise d'ailleurs le même mode opératoire).

En 1988 Le film Buster de David Green, avec Phil Collins, raconte la cavale des membres du gang de Bruce Reynolds à la suite de l'attaque du train postal Glasgow-Londres.

En 2013 à la télévision britannique : "The great train robbery" : 2 épisodes de 90 minutes chacun, réalisés par Julian Jarrold et James Strong. Disponible en DVD ( Acan Média UK), cette réalisation obtient un BAFTA en 2014.

 

L'attaque du Glasgow-Londres dans la bande dessinée, la publicité et la littérature

 

En 1967, la bande dessinée Le Train fantôme d'Eddy Paape et Jean-Michel Charlier, dont le héros est Marc Dacier, s'inspire, avec précision mais librement, de ce braquage.

En 1970 Paul-Jacques Bonzon publie Les 6 compagnons et les pirates du rail dans la bibliothèque verte, cet épisode des aventures des « Six Compagnons de la Croix-Rousse », s'inspire visiblement des évènements d'août 1963.

Dans son roman " The horrible man in heron's wood " : " Le bois du Héron " Paris, Librairie des Champs-Elysées, Le Masque 1177, 1971, Belton Cobb fait dire à un de ses personnages : " Vous lisez trop de romans policiers Mrs Armitage, nous n'avons pas de mélodrame de ce genre dans notre pays "

 

Cette dernière réplique : " Vous auriez pu dire la même chose, avant l'attaque du train postal ! "

Une publicité pour des Lego de 1983 met en scène l'organisation de l'attaque avec les petites briques

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Attaque_du_train_postal_Glasgow-Londres

 

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Alfred Hitchcock

Publié à 00:17 par dessinsagogo55 Tags : film center air centerblog sur merci vie monde mort art
Alfred Hitchcock

 

 

Sir Alfred Hitchcock [ˈælfɹɪd ˈhɪt͡ʃkɒk] est un réalisateur, scénariste et producteur de cinéma britannique, naturalisé américain en 1955, né le 13 août 1899 à Leytonstone (Londres) et mort le 29 avril 1980 à Bel Air (Los Angeles).

 

Plus grand cinéaste selon un classement dressé en 2007 par la critique au Royaume-Uni, The Daily Telegraph écrit : « Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en provoquant comme nul autre les émotions du public »

 

Au cours de ses quelque soixante années de carrière, il réalise cinquante-trois longs métrages, dont certains comptent, tant par leur succès public que par leur réception et leur postérité critiques, parmi les plus importants du septième art. Ce sont, entre autres, Les 39 MarchesSoupçonsLes EnchaînésFenêtre sur courSueurs froidesLa Mort aux troussesPsychose, ou encore Les Oiseaux.

 

Après des succès dans le cinéma muet et le cinéma sonore naissant, Hitchcock quitte son pays natal et s'installe à Hollywood, juste avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Le 20 avril 1955, il acquiert la citoyenneté américaine mais conserve la citoyenneté britannique, qui lui permettra, au soir de sa vie, d'être anobli et nommé Chevalier Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique (KBE). Doué d'un sens aigu de l'autopromotion, notamment au travers de ses caméos, Hitchcock, interprète de son propre personnage, demeure l'une des personnalités du XXe siècle les plus reconnaissables et les plus connues à travers le monde.

 

Surnommé « le maître du suspense », il est considéré comme l'un des réalisateurs les plus influents sur le plan stylistique. Pionnier de nombreuses techniques dans le genre cinématographique du thriller, Hitchcock a installé les notions de suspense et de MacGuffin dans l'univers du cinéma. Ses thrillers, caractérisés par une habile combinaison entre tension et humour, déclinent les variations de la figure de l'innocent persécuté à travers des thèmes récurrents : la peur, la culpabilité et la perte d'identité.

 

 
Liens externes                                                  
  https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Hitchcock  
     
     
     
     
Notes et références                                                    
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 
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Dave Prowse, qui a incarné Dark Vador, est mort

Publié à 17:03 par dessinsagogo55 Tags : article centerblog sur france moi vie monde place photo jeux presse mort heureux enfant
Dave Prowse, qui a incarné Dark Vador, est mort
    L’acteur britannique Dave Prowse, qui a incarné Dark Vador, est mort à l’âge de 85 ans

 

 

Haltérophile devenu acteur, il avait décroché le rôle grâce à sa carrure. Mais en raison de son fort accent, la voix du personnage avait été jouée par James Earl Jones.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 10h03, mis à jour à 12h25

 

 

 

L’acteur britannique, Dave Prowse, qui a incarné le personnage de Dark Vador, signe des autographes, le 28 mai 2007.
L’acteur britannique, Dave Prowse, qui a incarné le personnage de Dark Vador, signe des autographes, le 28 mai 2007. JENNY ELWICK / The Official Star Wars on Flickr, CC BY 2.0


L’acteur britannique Dave Prowse, qui a incarné le personnage de Dark Vador dans la première trilogie de La Guerre des étoiles, est mort samedi 28 novembre, a annoncé dimanche son agent, Thomas Bowington. « C’est avec grande tristesse que nous devons nous annoncer que notre client Dave Prowse est mort hier matin à l’âge de 85 ans », a écrit l’agent sur Facebook.

« Que la force soit avec lui, toujours ! », a déclaré l’agent à la BBC, déplorant une « perte véritablement et profondément déchirante pour nous et pour des millions de fans à travers le monde ».

« Le plus grand méchant du grand écran »

Né le 1er juillet 1935 à Bristol dans une famille modeste, David Prowse a été élevé par sa mère et n’a jamais connu son père. Passionné par l’haltérophilie, il a participé au concours de M. Univers. Il avait représenté l’Angleterre en haltérophilie pour les Jeux du Commonwealth au début des années 1960. Pendant les années où il a pratiqué cette discipline en compétition, il est devenu ami avec Arnold Schwarzenegger et Lou Ferrigno, avant d’embrasser une carrière de comédien.

Celui qui a incarné le monstre de Frankenstein dans Casino Royale (1967) est également apparu en 1971 dans Orange mécanique, de Stanley Kubrick, où il jouait le garde du corps. C’est là que le créateur de Star Wars, George Lucas, l’aurait repéré, avant de l’inviter aux auditions pour les rôles de Dark Vador et de Chewbacca. Prowse avait choisi sans hésitation Dark Vador, car « on se souvient toujours du méchant ».

Dave Prowse avait décroché le rôle grâce à sa carrure – il mesurait près deux mètres (1,98 m) – mais comme le fort accent du comédien originaire de Bristol (ouest de l’Angleterre) avait été jugé peu approprié, la voix du personnage avait été jouée par James Earl Jones. Armure noire, respiration mécanique et pouvoirs entièrement voués au mal, le personnage de Dark Vador est entré dans le panthéon des personnages maléfiques grâce à la célèbre réplique : « Je suis ton père. »

« Vador est le plus grand méchant du grand écran de tous les temps », a d’ailleurs revendiqué Dave Prowse auprès de l’Agence France-Presse, en 2013, lors d’un festival Star Wars à Cusset (Allier). Pendant de nombreuses années, le représentant du côté obscur de la force a parcouru la planète à la rencontre des inconditionnels de la trilogie-phare du début des années 80.

 

« Sois avec la Force ! »

 

L’acteur Daniel Logan, qui a joué Boba Fett dans « Star Wars, Episode II : l’Attaque des clones », a publié sur Twitter une photo où il apparaît en compagnie du comédien, écrivant :

« Triste d’apprendre la mort d’un membre de la famille #StarWars. RIP Dave Prowse (…) Heureux d’avoir pu t’avoir comme ami. Repose-toi à présent et sois avec la Force ! »

Le réalisateur britannique Edgar Wright a lui aussi rendu hommage à Dave Prowse. « Quand j’étais enfant, il ne pouvait pas y avoir plus connu que Dave Prowse pour moi (…) Repose en paix. »

La série de films Star Wars compte aujourd’hui neuf épisodes, dont Dark Vador est un personnage essentiel. Les opus I, II et III (sortis entre 1999 et 2005) racontent l’enfance, l’adolescence et le passage à l’âge adulte d’Anakin Skywalker, un chevalier Jedi (des combattants du bien – la « Force » – aux pouvoirs paranormaux) qui à la fin de l’épisode III finit par basculer du côté obscur. Affreusement mutilé, il est sauvé par le camp du « côté obscur de la Force », qui place ce qui reste de son corps dans cette sinistre armure noire le maintenant en vie.

Les opus IV, V et VI – les premiers jamais réalisés, sortis entre 1977 et 1983 – racontent l’affrontement de Dark Vador et Luke Skywalker, son fils, devenu lui aussi un chevalier Jedi, qui finira par le vaincre et apprendre ses origines – d’où le célèbre « Je suis ton père ». Enfin, les épisodes VII, VIII et IX (2015-2019) voient réapparaître des méchants à l’esthétique fortement inspirée de l’incontournable et défunt Dark Vador, comme un spectre qui hanterait les trois films.

 

 

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Daimler Bus 1899 : dessinsagogo55

Publié à 14:12 par dessinsagogo55 Tags : centerblog
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Jaguar XJS

Publié à 15:52 par dessinsagogo55 Tags : you image centerblog sur saint place sport
Jaguar XJS

 

Jaguar XJS V12 Coupé

 

 

La Jaguar XJ-S (puis Jaguar XJS) - (XJ27) est une voiture de grand-tourisme luxueuse produite par le fabricant anglais Jaguar de 1975 à 1996.

 

La XJ-S a remplacé la Type E en septembre 1975 et a été basée sur la berline XJ. Bien qu'elle n'ait pas tout à fait la même image sportive, la XJ-S est une grand-tourisme issue de la plateforme XJ.

 

La XJ-S bénéficia d'une puissance digne de la marque : un moteur à essence V12, avec un choix d'une transmission manuelle (à 4 rapports) ou automatique (à 3 rapports), mais la boîte manuelle a vite été délaissée. À l'époque, à la fin des années 1970, c'était inhabituel de voir une grand-tourisme avec un moteur V12. Il n'y avait que les voitures de sport italiennes de luxe, comme Lamborghini, ou encore Ferrari qui avaient des prestations moteur aussi importantes. Le cahier des charges de la XJ-S était comparable avec celles-ci : elle était capable d'accélérer à 97 km/h en 7,8 secondes, et d'une vitesse de pointe de 229 km/h. Ces chiffres étant amenés à évoluer après 1981 et l'optimisation du moteur par un ancien ingénieur Porsche. La vitesse de pointe passant alors à 240 km/h.

 

Apparue en pleine crise pétrolière, et critiquée sur son design, la XJ-S a eu du mal à se faire une place sur le marché. D'autant plus, que celui-ci était très peu propice aux grand-tourisme sportives

 

  Les débuts en 1976

 

La première XJ-S apparut en 1975 (mais en tant que modèle 1976), équipé d’un moteur V121 en offrant le choix entre transmission manuelle et automatique. Les moteurs V12 étaient rares à l’époque, à la notable exception des constructeurs italiens de prestige tels que Lamborghini et Ferrari. La Jaguar offrait les performances suivantes : accélération de 0 à 60 mph (97 km/h) en 7.8 secondes et une vitesse de pointe de 229 km/h. Les premières XJS disposait d’une transmission Borg-Warner, remplacée en 1979 par une GM Turbo-Hydromatic 400 toujours à trois rapports. La période de lancement n’était pas favorable : la voiture apparaissait en pleine crise pétrolière et le marché était très réduit pour un coupé grand tourisme équipé d’un V12 de 5,3 L . Le style fut également l’objet de critiques. Néanmoins, Jaguar profita de la promotion offerte par des séries télévisées telles Chapeau melon et bottes de cuir (The New Avengers) et Le Retour du Saint (Return of the Saint). The New Avengers mettait en vedette Mike Gambit (Gareth Hunt) qui conduisait une XJ-S. Return of the Saint montrait Simon Templar (joué par Ian Ogilvy) conduisant une des premières XJ-S portant l’immatriculation "ST 1". Quinze ans auparavant, Jaguar avait décliné l’offre des producteurs de la série "le Saint", qui souhaitaient utiliser une type-E. Aussi, Roger Moore s’était vu confier une Volvo P1800.

 

Les années 1980

 

Vers la fin de l'année 1980, quelques exemplaires ont été construits dans le style de la H.E. 1981 mais encore avec un extérieur des années 1975-80 avec pare-chocs hydraulique, tableau de bord plastique, sellerie cuir, boîte automatique GM400 (non fiable), logo du Jaguar sur le capot moteur, jantes Starfish et une capacité de réservoir de 91 l. Il ne faut pas oublier que le moteur était encore celui de l'XKE (E-Type V12 de 1975) de 265 ch. Pour ces années-là c'était déjà beaucoup pour un modèle GT.


À partir de juillet 1981, la XJ-S accueille sous son capot le nouveau V12 HE (High-Efficiency) qui permet une réduction de consommation de carburant, tout en voyant la puissance augmenter pour atteindre 295 ch (263 sur le marché américain). À la même période, la XJ-S bénéficie d’améliorations esthétiques intérieures et extérieures (nouvelles jantes en alliage, inserts de chrome sur les pare-chocs, décorations en bois sur le tableau de bord et les portières). En 1983 est présenté un cabriolet animé par un nouveau 6 cylindres en ligne de 3,6 litres, la XJ-SC. Ce modèle n’était pas une véritable décapotable, mais possédait une carrosserie du type Targa, ne comportant que deux places. Une boîte manuelle à cinq rapports signée Getrag est alors disponible. La XJ-SC sera proposée avec le V12 à partir de 1985. En même temps, la carrosserie Targa était remplacée par une vraie décapotable. En 1988 et 1989, une version spéciale XJR-S est produite pour célébrer la victoire de Jaguar aux 24 Heures du Mans, vendue uniquement sur le marché européen. Ces versions disposent de jantes et de réglages de suspension spécifiques. Au total, 350 véhicules seront vendus. À partir de septembre 1989 est proposé un V12 porté à 6 litres et doté d'une gestion électronique Zytec, développant 314, puis 329 ch. Ce moteur différait du 6 litres proposé sur les dernières XJ-S. 1 130 voitures équipées ainsi furent vendues. Jaguar envisagea de produire une version plus luxueuse badgée Daimler, mais seul un prototype fut réalisé en 1986. En marge de la série, la firme artisanale britannique Lynx proposera des conversions en cabriolet mais également en break de chasse (Shooting-brake) vendues sous le nom d’Eventer. Cette version fut construite à 67 exemplaires.

 

1991–1996

 

 

La voiture est profondément modifiée pour 1991 (facelift) par Ford et devient la XJS (sans trait d’union). La lunette arrière est agrandie. Le 6 cylindres passe à 4 litres de cylindrée (version la plus recherchée), et se décline en cabriolet à partir de 1992. Le V12 passe à 6 litres (304 ch) en mai 1993. Avec le gros V12, la transmission automatique est modernisée avec l’ajout d’un quatrième rapport surmultiplié, le 6 cylindres conservant la boite ZF4HP24E. Les pare-chocs se font plus aérodynamiques. En avril 1994, le 4 litres est amélioré. Le V12 disparait en 1995 (ne restant disponible que sur commande spéciale). La XJS quitte les chaînes le 4 avril 1996, après 21 ans de production et 113 413 exemplaires vendus.

 

Caractéristiques techniques (4.0) :

 

Moteur : 6 en ligne 4.0, 91 x 102 mm, 24 soupapes DOHC. Rapport volumétrique de 9.5:1. Injection électronique multipoint Lucas.

Puissance : 225 ch à 4 750 tr/min (1992)

Couple : 377 Nm à 3 650 tr/min

Transmission : propulsion, boîte manuelle 5 vitesses (rapport de pont 3.54) ou automatique ZF 4 vitesses.

Pneus : 235/60 VR15

Système de freinage : disques ventilés à l'avant, disques à l'arrière et antiblocage.

Performances : 0-100 km/h en 7,9 s, 227 km/h en vitesse de pointe (boîte manuelle).

On notera qu'une Jaguar XJS de 1993 fait son apparition dans le clip de You Know How We Do It interprété par Ice Cube

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jaguar_XJS

 

 

 

 

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