Date de création : 09.04.2012
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04.01.2025
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Par allan ehrhardt www, le 19.12.2024
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écrire votre commentaire... peka eme
Par Anonyme, le 17.12.2024
lors de mon dernier voyage j'ai eu la chance de rencontrer hugues aufray.
il est toujours aussi gentil , accu
Par cuisine2jacques, le 15.12.2024
nicole aniston
Par Anonyme, le 26.10.2024
Personnalités liées à la commune
Jean-Louis-François Fauconnet (1750-1819, général des armées de la République et de l'Empire (nom gravé sous l'Arc de Triomphe).
Pierre Gaxotte (1895-1982), historien et journaliste français. Né le 19 novembre 1895 à Revigny, élu à l'Académie française au fauteuil de René Grousset le 29 janvier 1953 et reçu par le Général Weygand le 29 octobre 1953. Décédé le 21 novembre 1982 et enterré au cimetière communal. Il a notamment écrit un livre de souvenirs sur Revigny qui a pour titre Mon village et moi
Ville où se situe la maison de maître du sénateur UMP de la Meuse Gérard Longuet.
Lieu d'origine des parents d'André Maginot 1877-1932 et lieu de son inhumation.
Les 2 Justes parmi les Nations de la commune :
Jeanne Bieber;
Auguste Bieber
Jacques de Révigny (en latin Jacobus de Ravanis), né vers 1230/35 probablement à Revigny-sur-Ornain, mort en 1296 à Ferentino, est un homme d'Église et juriste du XIIIe siècle
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Jacques de Révigny (en latin Jacobus de Ravanis), né vers 1230/35 probablement à Revigny-sur-Ornain, mort en 1296 à Ferentino, est un homme d'Église et juriste du XIIIe siècle, professeur de droit romain à Orléans, créateur de l'école dite des « postglossateurs », évêque de Verdun de 1290 à 1296.
Après des études d'arts libéraux peut-être à Paris, il arriva à Orléans pour faire son droit entre 1255 et 1260 et fut l'élève de Jean de Monchy (Johannes de Monciaco), de Simon de Paris, de Guido de Cumis, de Guichard de Langres. L'école de droit d'Orléans avait été constituée depuis les années 1230, notamment par des juristes en provenance de Bologne.
La réputation de Jacques de Révigny fut établie par un épisode intervenu vers 1260 : au cours d'une dispute avec François Accurse, venu donner une leçon à Orléans, il triompha et réduisit le maître bolonais au silence. Au cours de son professorat, qui dura de 1263 aux alentours de 1280, il fut le maître de tous les grands juristes de la génération suivante : Jacques de Boulogne, Pierre de la Chapelle, Raoul d'Harcourt (lui-même maître de Pierre de Belleperche), Gui de la Charité. Dans ses textes, il évoque une activité d'avocat qu'il avait à côté de son enseignement.
Il était archidiacre du diocèse de Toul quand il fut nommé évêque de Verdun (consacré le 13 mars 1290). Le chapitre des chanoines avait élu un autre candidat, ce qui occasionna un conflit qui dura pendant tout son épiscopat. Il mourut en Italie en allant soumettre la dispute au pape.
Comme juriste, Jacques de Révigny fut un critique du droit coutumier en vigueur dans les provinces du nord de la France et un tenant du droit romain, importé à l'époque de la prestigieuse Université de Bologne. Avec Pierre de Belleperche, il fut l'un des principaux commentateurs français du Corpus juris civilis. Son brillant enseignement apporta un renouveau méthodologique qui fut dans l'histoire du droit médiéval le passage de relais entre les glossateurs de Bologne et les postglossateurs d'Orléans. Il fut oublié aux époques suivantes, ses œuvres étant imprimées au XVIe siècle sous les noms de Pierre de Belleperche et de Bartole.
Son legs principal consiste dans ses près de 150 Répétitions portant sur l'ensemble du Corpus juris civilis. La repetitioest le genre nouveau d'enseignement dans lequel s'exprime son apport (esprit de synthèse, approfondissement) à l'enseignement du droit On lui attribue aussi le premier dictionnaire de la langue juridique (Dictionarium juris).
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Liste des premiers évêques de Verdun gravée sur une stèle de la cathédrale (août 2022).
Certains de ces évêques, au Ve siècle et au VIe siècle auraient pu, selon certaines hypothèses, s'exiler devant l'avancée franque en Rhénanie, et se replier dans le bassin parisien, notamment dans le diocèse de Chartres, où l'on retrouve mention de Polychronius et Possessor.
v.346 : Saint Saintin (Sanctinus) |
356-383 : Saint Maur (Maurus) |
???-420 : Salvin (Salvinus) |
vers 440 : Arateur (Arator) |
454-470 : Pulchrone (Pulchronius ou Polychronius) |
470-486 : Possesseur (Possessor) |
486-502 : Firmin (Freminus) |
502-529 : Vanne (Vitonus) |
529-554 : Désiré (Desideratus) |
554-591 : Airy (Agericus) |
vers 595 : Caraimère (Charimir) |
vers 614 : Harimer (Harimeris) |
???-621 : Saint Ermenfroy (Ermenfred) |
623-626 : Godo |
641-648 : Paul (Paulus) |
648-665 : Gisloald |
665-689 : Gérébert (Gerebert) |
689-701 : Armonius |
701-710 : Agrébert (Agrebert) |
711-715 : Bertalame (Bertalamius) |
716 : Abbon (Abbo) |
716-722 : Pepon (Pepo) |
722-730 : Volchise (Volchisus) |
730-732 : Agrone (Agronius) |
735-744 : Amalbert |
753-774 : Madalvé ((Madalveus) |
774-798 : Pierre d’Italie |
798-802 : Austranne (Austram) |
802-824 : Hériland (Heriland) |
824-847 : Hilduin |
847-870 : Hatton |
870-879 : Bernard |
880-923 : Dadon, fille de Radald et de Rotrude (sœur du précédent) |
923-925 : Hugues Ier |
925-939 : Barnoin ou Bernoin, fils de Matfried Ier, comte de Metz et de Lantesinde (sœur de Dadon) |
939-959 : Bérenger |
959-983 : Wigfrid |
983-984 : Hugues II |
984-984 : Adalbéron Ier, qui devint ensuite évêque de Metz |
984-988 : Adalbéron II, cousin du précédent |
988-1024 : Haymon |
1024-1037 : Raimbert |
1040-1046 : Richard Ier |
1047-1089 : Thierry (ou Théodoric) qui s'oppose au pape Grégoire VII |
1089-1107 : Richer (Richhar) |
1107-1114 : Richard II de Grandpré |
1114-1117 : Mazon, administrateur |
1117-1129 : Henri Ier de Blois, déposé au concile de Chalon |
1129-1131 : Ursion |
1131-1156 : Albéron de Chiny |
1156-1162 : Albert de Mercy |
1163-1171 : Richard III de Crissey |
1172-1181 : Arnoul de Chiny |
1181-1186 : Henri II de Castres |
1186-1208 : Albert II de Hierges (Hirgis) |
1208-1216 : Robert Ier de Grandpré |
1217-1224 : Jean Ier d’Apremont |
1224-1245 : Raoul de Torote |
1245-1245 : Guy Ier de Traignel (Trainel) |
1245-1247 : Guy II de Mellote (Mello) |
1247-1252 : Jean II d'Aix |
1253-1255 : Jacques Pantaléon |
1255-1271 : Robert II de Médidan (Robert de Milan) |
1271-1273 : Ulrich de Sarvay (Sarnay) |
1275-1278 : Gérard de Gransee (Grandson) |
1278-1286 : Henri III de Grançon (Grandson) |
1289-1296 : Jacques II de Ruvigny (d’Apremont de Révigny) |
1297-1302 : Jean III de Richericourt |
1303-1305 : Thomas de Blankenberg (de Blâmont), auquel il est fait allusion dans le Tournoi de Chauvency |
1305-1312 : Nicolas Ier de Neuville |
1312-1349 : Henri IV de Aspremont (d’Âpremont) |
1349-1351 : Otton de Poitiers |
1352-1361 : Hugues III de Bar |
1362-1371 : Jean IV de Bourbon-Montperoux |
1371-1375 : Jean V de Dampierre Saint-Dizier |
1375-1379 : Guy III de Roye |
1380-1404 : Liébaurd ou Leobald de Cousance |
1404-1419 : Jean IV de Sarrebruck |
1419-1423 : Louis Ier de Bar († 1430), administrateur du diocèse |
1423-1423 : Raymond |
1423-1424 : Guillaume de Montjoie |
1424-1430 : Louis Ier de Bar († 1430), administrateur du diocèse |
1430-1437 : Louis de Haraucourt |
1437-1449 : Guillaume Fillâtre |
1449-1456 : Louis de Haraucourt |
1457-1500 : Guillaume de Haraucourt |
1500-1508 : Warry de Dommartin |
1508-1522 : Louis de Lorraine |
1523-1544 : Jean VII de Lorraine, frère du précédent |
1544-1547 : Nicolas de Lorraine (1524 † 1577), neveu du précédent, devient ensuite duc de Mercœur |
1548-1575 : Nicolas Psaume |
1576-1584 : Nicolas Bousmard |
1585-1587 : Charles de Lorraine-Vaudémont (1561 † 1587), évêque de Toul de 1580 à 1587, fils de Nicolas de Lorraine, duc de Mercœur |
1588-1593 : Nicolas Boucher |
1593-1601 : Christophe de la Vallée, administrateur |
1593-1610 : Henri dit Éric de Lorraine-Chaligny (1576 † 1623), fils de Nicolas de Lorraine, duc de Mercœur |
1610-1622 : Charles de Lorraine-Chaligny (1592 † 1631), neveu du précédent |
1623-1661 : François de Lorraine-Chaligny (1599 † 1672), frère du précédent |
1667-1679 : Armand de Monchy d'Hocquincourt |
1681-1720 : Hippolyte de Béthune |
1721-1754 : Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil |
1754-1769 : Aymar-François-Chrétien-Michel de Nicolaï |
1770-1793 : Henri-Louis-René des Nos |
1791-1801 : Jean-Baptiste Aubry (évêque constitutionnel de la Meuse) |
1823-1830 : Étienne-Bruno-Marie d'Arbou |
1826-1831 : François-Joseph de Villeneuve-Esclapon |
1832-1836 : Placide-Bruno Valayer |
1836-1844 : Augustin-Jean Le Tourneur |
1844-1866 : Louis Rossat |
1867-1884 : Augustin Hacquard |
1884-1887 : Jean-Natalis-François Gonindard |
1887-1901 : Jean-Pierre Pagis |
1901-1909 : Louis-Ernest Dubois |
1910-1913 : Jean-Arthur Chollet |
1914-1946 : Charles-Marie-André Ginisty |
1946-1963 : Marie-Paul-Georges Petit |
1963-1986 : Pierre Boillon |
1987-1999 : Marcel Herriot |
2000-2014: François Maupu |
depuis 2014 : Jean-Paul Gusching |
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L'outillage à main, jusqu'à la fin du XVIII ème siècle, était produit artisanalement, le plus souvent par les ouvriers eux-mêmes. Les fers et taillants par les forgerons taillandiers des villes et villages.
Le début du XIXème siècle voit la production d'acier de bonne qualité s'intensifier et la société de l'époque, très évolutive, au caractère rural dominant, génère d'énormes besoins dans les domaines du bâtiment et l'ameublement, ouvrant un marché fabuleux aux outils manuels.
Gustave Goldenberg, artisan, fabrique des armes blanches avec une petite équipe d'ouvriers. Il comprend alors que ce marché régresse et se persuade que celui des outils à main possède un grand potentiel.
Il construit en 1835 une première usine à Dorlisheim, puis à Zornhoff, près de Saverne, dans le Bas-Rhin. Rapidement, la demande grandissante lui confirme le bien-fondé de sa reconversion, et des usines annexes sont bâties sur le même site, dont trois rivières assurent la force hydraulique indispensable. L'industrialisation bat son plein et, vers 1850, G. Goldenberg fonde une première société qu'il dénommera «Goldenberg et Cie». Environ vingt ans plus tard, un autre site industriel est établi, cette fois en Meuse, à Tronville en Barrois, où la «Manufacture française d'outils , anciennement Goldenberg et Cie» est créée. Elle se développe sur le marché national et sur celui des colonies, déjà nombreuses à l'époque. Parallèlement, et pour l'export, la maison-mère du Zornhoff est transformée également en société anonyme sous le nom de «Manufacture Alsacienne d'outils-Zornhoff, anciennement Goldenberg et Cie.» Une fusion des deux sociétés intervient en 1924, et donne naissance aux «Anciens établissements Goldenberg et Cie».
L'évolution plus récente de la maison Goldenberg sera marquée par des accords signés avec «Peugeot outillage à main» dans les années soixante-dix, créant la S.I.F.C.O., qui sera absorbée par le groupe britannique Stanley en 1986, la marque commerciale Goldenberg ayant toujours été conservée.
Gustave Goldenberg débuta ses productions d'outils dans le domaine agricole et forestier, puis dans celui de l'outillage artisanal de base. Les outils montés - rabots, bouvets, etc. - voient leurs premières séries fabriquées vers 1893. Vers 1900, la gamme est quasi-complète.
Les fabrications furent peu automatisées jusqu'à la guerre de 1870. Comme il fut malheureusement vérifié par la suite, les besoins militaires accélérèrent l'évolution technologique et l'industrialisation prit un nouvel essor. Ainsi la production de limes et râpes forgées, taillées à la main, qui mobilisait trois cents ouvriers, fut réalisée à partir de 1872, avec les premières forges et tailleuses automatiques, remplacées ensuite par les laminoirs à chaud, réduisant déjà inexorablement les effectifs.
Les moulins à café occupent une place importante dans le catalogue, car la colonisation permettait à toute l'Europe de disposer de café en quantité, et la gamme Goldenberg n'avait rien à envier à celle du grand concurrent du Doubs - Peugeot frères - mais elle était surtout produite pour l'exportation.
Ce qui frappe l'amateur d'aujourd'hui, c'est une profusion de modèles et de variantes pour chaque type d'outils, Goldenberg voulant apporter un choix à la fois fonctionnel et esthétique souvent dicté par les habitudes et les particularités régionales. On imagine M. Goldenberg et ses proches collaborateurs parcourant les provinces à la recherche d'un modèle typique susceptible d'augmenter les ventes d'un outil. Ces assortiments permettaient de surcroît, de par leurs différences de fabrication ou de matériaux, d'échelonner les prix afin de satisfaire toutes les bourses sans jamais sacrifier la qualité. L'économie rustique de l'époque commandait un renouvellement parcimonieux des outils et des parties d'outils sollicitées, ainsi changeait-on seulement les fers que l'on manchait soi-même.
Les appellations étrangères du style «type Brésil», ou «façon hongroise» n'avaient sans doute qu'un lointain rapport avec les formes et caractéristiques de l'outil du pays cité, mais avaient l'avantage de dénommer de façon très distinctive les modèles.
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Retour à Rubrique : Monde : Meuse
C'était à Tronville-en-Barrois, près de Bar-le-Duc, que Sodetal, société de premier plan dans le domaine des fils et câbles d'acier dur, avait choisi de s'installer.
Fondée en 1969, Sodetal a acquis sa réputation mondiale grâce à la production et au développement de câblé métallique, principal renfort acier du pneumatique radial.
Filiale du groupe Rhone Poulenc. puis de Redaelli Tecna, spécialiste italien des fils et câbles d'acier dur, du groupe allemand Saarstahl AGdevenant en 2014 SODETAL ADVANCED WIRE TECHNOLOGIES Jusqu'en fin 2016 Sodetal développe également ses propres machines pour le fabrication du câblé métallique.
L'industrie automobile revendique aujourd'hui des performances toujours accrues : plus de sécurité, plus de longévité des véhicules et de leurs composants. Le pneumatique radial, inventé vers la fin des années 40, enregistre à ce titre un succès incontestable.
L'acier s'y révèle un matériau irremplaçable, qui a détrôné les nappes de tissus. L'industrie automobile l'a massivement adopté.
Sodetal destinait ses produits aux plus grandes firmes mondiales de pneumatiques.
L'acier à haute teneur en carbone, matière première de câblé métallique, arrive des aciéries sous forme de fil machine de diamètre 5,5 mm. Ce fil doit devenir plus fin et surtout plus résistant pour remplir pleinement son rôle de renfort du pneumatique.
Diverses opérations vont lui conférer ces propriétés.
Le tréfilage à sec :
Après un décalaminage préalable, le fil passe dans des filières qui permettent de réduire progressivement son diamètre. Ce procédé de sidérurgie traditionnelle ne permet pas, à lui seul, de parvenir au diamètre souhaité car il altère, par allongement, la structure de l'acier et le fragilise.
C'est le phénomène d'écrouissage.
Le traitement thermique :
Appelé aussi patentage permet de restituer la structure initiale du métal. Le fil est prêt à subir une nouvelle phase de tréfilage pour l'amener au diamètre et à la résistance souhaités. Auparavant, une autre qualité va lui être conférée par une opération intermédiaire.
Le laitonnage :
Une fine couche de laiton est déposée par électrolyse sur le fil d'acier. Le laiton permettra d'obtenir une meilleure adhérence de l'acier avec la gomme du pneumatique.
Le tréfilage humide :
Le tréfilage humide peut alors intervenir, cette fois dans un bain de lubrifiant. Le fil, selon sa destination finale, est amené au diamètre de 0,38 à 0,15 mm. Le laiton, par effet de glissement, facilité son passage dans les filières. Lors de cette opération, l'allongement est tel qu'on obtient jusqu'à 50 mètres à partir d'1 mètre de fil. Fin et hautement résistant, le fil laitonné est prêt à être assemblé selon le cahier des charges du client.
L'assemblage :
L'assemblage est au coeur du savoir-faire Sodetal : il permet d'optimiser les performances d'adhérence, de fatigue et de résistance que l'on attend du câblé métallique. Les fils laitonnés peuvent être assemblés sous forme de torons (plusieurs fils) ou de câbles (plusieurs torons), en fonction de leur rôle dans le pneumatique.
Le guipage :
Le guipage est l'ultime opération d'assemblage. Un fil laitonné de très petit diamètre est enroulé autour du câble pour en fixer la structure. Ainsi élaboré, le câblé métallique peut renforcer la carcasse ou la ceinture des pneumatiques.
Un autre produit de Sodetal, le fil tringle, est utilisé comme renfort dans le talon des pneumatiques.
Enroulés sur bobines et conditionnés avec précaution après un dernier contrôle, les produits finis sont prêts à être expédiés chez les clients de Sodetal dans le monde entier.
Les produits Sodetal ont vocation de sécurité.
C'est une raison supplémentaire - s'il en était besoin - pour apporter dans toute la chaîne de fabrication une exigence extrême en matière de qualité.
Le laboratoire effectue un contrôle vigilant de toutes les matières à leur arrivée : leur qualité est essentielle.
L'ensemble du process s'effectue sous contrôle statistique (SPC).
Enfin, des contrôles physiques et chimiques du produit fini interviennent avant expédition et s'appuient sur différents tests d'adhérence, de résistance ou de durée de vie pour garantir au client la parfaite conformité des produits à sa demande.
Sodetal suit les recommandations de la norme ISO en cours et bénéficie régulièrement d'Audits Qualité de la part de ses clients.
Le laboratoire et le service Recherche et Développement disposent d'un matériel ultra-moderne et constamment perfectionné pour tester les productions et mettre au point les caractéristiques techniques des produits du futur.
Evoluant sur le marché mondial, Sodetal, depuis sa création, n'a cessé de développer son activité à l'étranger. Elle exporte aujourd'hui dans une vingtaine de pays plus des 3/4 de sa production.
Sa politique de Qualité Totale et son assistance technique à la clientèle ont permis à Sodetal d'accéder à une position reconnue mondialement. Son aptitude à suivre les développement du câblé métallique est un gage de pérennité.
L'industrie automobile a depuis toujours suscité une intense créativité industrielle dont les applications ont fait progresser bien d'autres secteurs. Les performances des véhicules s'améliorent sans cesse, mettent de plus en plus la sécurité des hommes au coeur des objectifs : Sodetal contribue largement à cette compétition de progrès.
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Dans son schéma de développement le département de la Meuse a intégré une approche globale concernant les énergies nouvelles et la maîtrise des énergies.
Le projet Meuse Énergies Nouvelles s'articule autour trois axes :
la production d'énergies nouvelles :
l'énergie éolienne - 144 permis de construire ont été accordés pour des éoliennes en Meuse. Un parc de 200 éoliennes en Meuse pourrait générer 40 emplois pour son entretien.[réf. nécessaire] En 2008 12 parcs et 116 éoliennes construits pour une puissance total de 234,7 MW. Éole-Meuse
le biocarburant - L'entreprise commune (ou coentreprise) INEOS Champlor, qui comprend INEOS Enterprises France SAS, le groupe coopératif agricole SICLAÉ et le groupe C. Thywissen, et EMC2 mènent actuellement un projet de plus de 100 millions d'euros d'investissement pour développer sur le site de Verdun - Baleycourt une unité de production de biodiesel qui sera alimentée par le colza lorrain. Cette production génèrera à terme plus de 6 % du marché français et suscitera la création de plus de 80 emplois directs et 250 indirects. Progilor Bouvart, filiale du Groupe Caillaud, mène également un projet pour la production de biodiesel à partir de graisse animale. L'unité de production implantée à Charny représente un investissement de 23 millions d'euros et permettrait la création de 25 emplois.
le bois énergie - La filière bois est une des toutes premières de l'activité agricole.
la maîtrise de la demande énergétique en lien avec EDF (« Ensemble économisons l'énergie »)
l'enseignement, la formation professionnelle, le transfert des technologies (projet de création d'un Pôle d'excellence Rurale dans le domaine de la maîtrise d'énergie et des énergies renouvelables, projet d'un Centre de Promotion, de ressources et de formation dans le domaine des énergies renouvelables et de la maîtrise des économies d'énergie)
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Le tourisme de la région s'appuie sur deux éléments ; le tourisme vert d'une part (forêts d'Argonne, étangs de la Woëvre) et le patrimoine historique de la Première Guerre mondiale d'autre part (Verdun, Douaumont).
D'autres éléments touristiques sont à signaler :
à Vaucouleurs reste un vibrant souvenir du passage de Jeanne d'Arc, avec son château-fort.
la basilique d'Avioth,
le château de Commercy, demeure édifiée par Germain Boffrand pour Charles Henri de Lorraine-Vaudémont à l'architecture du XVIIIe siècle,
le quartier Renaissance de la ville-haute de Bar-le-Duc
le lac de Madine pour les loisirs nautiques
la citadelle de Montmédy
des églises fortifiées comme celle de Sepvigny.
La cité de Marville avec un aspect de la Renaissance espagnole.
L'usine Petitcollin d'Etain dernière et plus ancienne fabrique de baigneurs et de poupées encore en activité créée en 1860.
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La Meuse est l'un des 83 départements créés à la Révolution française, à partir de la partie la plus occidentale de la province de Lorraine. Ce département n'a presque pas varié dans ses limites depuis sa création. On peut cependant citer le cas de la petite commune de Han-devant-Pierrepont, qui en a été détachée en 1997 pour être rattachée au département de Meurthe-et-Moselle.
Durant la guerre de 1870, l'ouest du département fut le théâtre des opérations qui aboutirent à la défaite de Sedan
La Meuse fut l'un des principaux théâtres de combat de la Première Guerre mondiale, particulièrement à Verdun en 1916. Après l'armistice, les dégâts étaient tels que 20 000 ha de terres furent considérés Zone rouge (séquelles de guerre) dans ce seul département lors des premières évaluations. La loi du 24 avril 1923 définit finalement 15 000 ha de surfaces qui furent l'objet d'expropriation et classement en forêt de guerre, où les séquelles des combats (cratères) sont encore très visibles.
Blasonnement :
D'azur semé de croisettes d'or et aux deux bars d'or.
Commentaires : Le département a repris les armoiries des comtes puis des ducs de Bar. Le blason est un exemple caractéristique d'armes parlantes.
À la fin du XXe siècle, le laboratoire de Bure est construit dans ce département, pour la recherche sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde.
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