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Lavoir de Tronville en Barrois : Dessin

Publié à 12:33 par dessinsagogo55 Tags : background centerblog sur monde sommaire

Bergère de France

Publié à 04:22 par dessinsagogo55 Tags : center monde centerblog background sur france mode création loisirs sommaire
Bergère de France

 



Plus d'un demi-siècle d'existence... quel meilleur témoignage de notre savoir-faire ? Plus de soixante-cinq ans de créativité et de constante adaptation aux évolutions du marché ont fait de Bergère de France un acteur majeur dans le domaine du fil à tricoter.

Créée en 1946 par Robert Petit et dirigée aujourd'hui par ses fils et petit-fils Jean-Louis et Geoffroy Petit, Bergère de France est l'entreprise familiale par excellence qui a su développer son activité en se dotant notamment d'une des plus grandes et des plus belles filatures d'Europe, implantée en Lorraine.

Implantée à Bar-le-Duc (Meuse – 55), au cœur de la Lorraine, sur 40.000 m2 de locaux couverts, elle réunit les compétences de près de 400 collaborateurs au sein des 5 principaux secteurs que sont : 
la création et le marketing, la fabrication des catalogues et le routage, 
la filature et l'atelier de tricotage-montage, 
la préparation et l'expédition des colis, 
les services administratifs et commerciaux.

Avec comme incontournable son catalogue de fils, ses magazines en cours d'année – dont un magazine été proposant de nouveaux fils de saison – ou encore ses collections prêt-à-porter et sa gamme de produits de loisirs créatifs, Bergère de France sélectionne le meilleur de la mode en maille et des arts d'aiguilles pour faire de chaque création un modèle moderne et unique.

 

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Chaumont-sur-Aire

Publié à 13:17 par dessinsagogo55 Tags : center sur saint centerblog background monde sommaire

Chaumont-sur-Aire est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.
Chaumont-sur-Aire


Évolution démographique
(Source : Insee)
1962 : 186
1968 : 186
1975 : 173
1982 : 157
1990 : 151
1999 : 157
2009 : 167

Population
Densité 17 hab./km2


Chaumont-sur-Aire
L'église



Chaumont-sur-Aire
Le monument aux morts.




Personnalités liées à la commune

Nicolas Psaume, comte-évêque de Verdun, prince du Saint-Empire romain germanique.

 



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Beaumont-en-Artois

Publié à 03:44 par dessinsagogo55 Tags : sur center

Beaumont-en-Artois est une ancienne commune du Pas-de-Calais, qui fusionna en 1971 avec la ville voisine, Hénin-Liétard. Cette fusion donna naissance à la ville actuelle, Hénin-Beaumont.
Les habitants de ce village sont toujours appelés les Beaumontois.
Le village s'étend sur 724 ha.

Saint-Maurice-sous-les-Côtes

Publié à 21:17 par dessinsagogo55 Tags : center centerblog background sur monde saint sommaire

Saint-Maurice sous les Côtes est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.

Saint-Maurice-sous-les-Côtes


Évolution démographique
(Source : INSEE)
1962 : 406
1968 : 411
1975 : 370
1982 : 329
1990 : 315
1999 : 333
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes

 



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Cousances-les-Forges

Cousances-les-Forges est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.

Cousances-les-Forges
La briqueterie Benoit et les cité Champenois-Rambeaux et Cie vers 1910

En 1965, réunion de deux communes Cousances-aux-Forges et Cousancelles pour créer Cousances-les-Forges.


Cousances-les-Forges
La gare vers 1920

Le 1er août 1914 la mobilisation générale est décrétée en France.
Dès le début de septembre 1914, les Allemands occupent Revigny-sur-Ornain (voir aussi : Bataille de Lorraine) distant d'une trentaine de kilomètres et menacent Bar-le-Duc. Le canon gronde et fait trembler les vitres de l'église de Cousances. Cousances recueillit deux vagues de réfugiés venus des territoires envahis en 1914 puis 1916 (bataille de Verdun). « D'après une lettre du préfet (novembre 1914, n°255) chaque réfugié devait toucher, chaque jour, une livre de pain, et pour 10 jours : 1 kg de graisse, 1 kg de légumes et 0,50 Fr. d'épicerie. » Le front n'atteindra jamais le village qui servira de centre d'instruction pour les soldats qui monteront au front. Des stages de 3 semaines leur permettent de s'entraîner au maniement du fusil, de la mitrailleuse, grenade et torpille à ailettes (soldats des 11e, 15e, 128e (1916), et surtout 115e Régiment d'Infanterie (= 315e RI, voir 115e régiment d'infanterie de ligne).). Y cantonnèrent également, ce qui à partir de 1916 sera de moins en moins bien vécu par la population, une cinquantaine d'artilleurs, un train d'équipage chargé du ravitaillement (début de la guerre), un groupe d'assaut ou corps-franc qui effectuaient régulièrement des opérations éclairs sur quelque endroit du front, une cinquantaine d'artilleurs ; en 1915, durant 3 semaines, un régiment de dragons et un de cuirassiers qui partirent ensuite pour Tahure. Des voitures-ambulances stationnaient également. « ...A Cousances fut organisée l'œuvre de la Croix-Rouge. Un ouvroir était ouvert chez les Sœurs (école Sainte-Geneviève) pour réparer ou utiliser tout le vieux linge recueilli, car il fallait des draps pour le hôpitaux militaires, de la charpie et des bandes pour le soin des blessés. Des matelas. Appel était fait aux bonnes volontés. (in Gaillemin p.184)». Un parc de réparation des camions qui servaient à rallier Verdun était installé à l'usine Champenois, des femmes y travaillaient. Les avions ennemis ne bombardèrent quasiment pas les usines de Cousances, lesquelles pourtant travaillaient pour l'armement, mais se dirigeaient plutôt sur Marnaval et Saint-Dizier (10 km vers l'ouest). A l'usine Champenois étaient fondus des obus et des grenades. Au haut-fourneau : des grenades et des chaudières pour les cuisines militaires. Cela permet à quelques mouleurs et ajusteurs de métier du village d'être affectés spéciaux dans leur usine tout en étant mobilisés. Comme une multitude de municipalités françaises, Cousances et Cousancelles perdirent de nombreux enfants lors de ce premier conflit mondial (« ...Soixante-deux des vôtres sont tombés pour la cause sainte... » extrait du discours d'André Maginot, ministre des pensions, pour l'inauguration du monument aux morts (commandé à M. Camus, statuaire à Toulouse), le 2 octobre 1921.).

les industries et les artisans : Le Haut Fourneau (usine André) Cette usine continua sa production. Le syndicat Saint-Joseph fut dissous le 16 février 1930. Il n'était plus qu'un économat (voir II 1. page 123). L'usine Champenois : Au moment de la guerre 1914, les établissements Champenois, avec leurs filiales (Noncourt, Châteauroux, Saint-Quentin, Cousances) fournissaient 80 % du matériel agricole français. Cette usine devint propriétaire de la « fonderie du château » qui avait été mise en liquidation. En 1916 les différentes usines s'étaient groupées en une société : « les établissements Champenois-Rambaux et Cie ». Une usine moderne fut construite à Saint-Dizier pour la fabrication en grande série de râteaux faneurs hippomobiles et machines de récolte. En 1939, cette usine devait être réquisitionnée. Après la guerre, la Cima s'installera sur ce terrain. Le syndicat des métallurgistes de Cousances et environs, fondé en 1903, cessa d'exister vers 1923 (voir II 1 p. 129). Le petit Creusot : Depuis 1913, c'était la société « Ch. Aubry, Borel et Cie ». Auguste Borel (mort en mai 1931), originaire d'Auvergne, était ingénieur des Arts et Métiers de l'Ecole nationale de Cluny. Il avait été contremaître de l'usine André (Haut Fourneau). Dans les productions de cette usine, relevons : des roues Bajac pour Liaucourt, fabricant de charrues, des roues Goujis pour Huard, fabricant de charrues à Châteaubriand, auquel étaient expédiés en moyenne 2 à 3 wagons par mois, ce qui représentait 50 à 60 tonnes. L'usine travaillait aussi pour l'exportation. Vers 1925-1930, des roues rosaces de 2,70 m de diamètre furent expédiées à des Pères Blancs à la Martinique. Autres exportations : au Chili, en Indochine, au Maroc, en Algérie, en Tunisie, à Madagascar, à Alexandrie... roues de charrettes « Impérissable » à double bandage, roues de 1,70 – 1,80 m de diamètre. En plus des roues, l'usine fabriquait des boîtes aux lettres en fonte, des carcasses de génératrices électriques, des poulies métalliques en 1 ou 2 pièces, à moyeu fonte, raies acier olive dont un important client était M. Dissoubray, spécialisé dans les organes de transmissions. Tuilerie Benoit : tuilerie ayant appartenu à un ancien maire de Cousances (Léon Benoit décédé en 1932), elle ferma aux environs de 1934. Tuilerie de Cousancelles : détruite par le feu le 30 janvier 1933. _ _ _ _ _
Durant ces années, d'autres établissements ou industries sont nés. Nous parlerons de leur début pour les retrouver après 1940. La Société des Forges : Usine fondée en 1935 par Henri Perrin. Indépendante du Haut Fourneau bien que l'atelier d'emboutissage soit dans les locaux et l'émaillerie commune. Alors que le Haut Fourneau utilise la fonte, cette usine prenait pour matière première de la tôle épaisse en feuilles. Ces feuilles étaient coupées et travaillées sur différentes presses variant de 25 à 250 tonnes, pour en faire des casseroles, des fait-tout, etc. La Maréchalerie Panard-Linard (ancienne famille de Cousances dont la présence est attestée dans les premiers actes paroissiaux datant de 1680) : Elle évoluera avec le charronage et la réparation des machines agricoles : lieuses, faucheuses, etc. Après 1940, nous trouverons les établissements Panard-Linard.
On trouve également :
un garage (Garage Maur – Brosse 1922)
une société de transports (transports Voinot – Tissot 1930) spécialisée principalement dans le transport de produits métallurgiques vers Saint-Dizier, Commercy, surtout pour Paris.
La société forestière Marsal et Cie datant d'avant 1914.
Ainsi qu'une foule d'artisans et commerçants.
1924 : installation d'un distributeur automatique d'essence à Cousances.
1929 : la commune est désignée centre de secours.
1931 : création d'un syndicat de communes pour la réalisation d'une distribution de gaz.
_ _ _ _ _ durant ces années, le Naix – Güe (train reliant Naix-aux-forges à Ancerville-Güe (cf. : Ancerville (Meuse)) passait régulièrement avec des trains de marchandises ou de voyageurs.
Éducation, culture et loisirs : À la suite des lois de la Séparation, les sœurs de la Congrégation de la Doctrine chrétienne n'avaient plus le droit de tenir l'école Sainte-Geneviève. L'école fût rouverte en 1914. Les sœurs, quant à elles, tinrent l'école ménagère et la garderie. L'école ferma en 1942, les sœurs quittèrent Cousances. Au cours de ces années furent institués, à Cousances et à Cousancelles, des cours d'adultes pendant l'hiver. Ils étaient gratuits. En 1923, monsieur Bugnon, directeur de la Coopérative de la Meuse, permit d'installer à Cousances « un cinéma pour développer l'instruction des enfants, des adultes et du public. » Septembre 1936 : formation de la société de pêche « La Saumonée ».

Durant la « drôle de guerre », pendant quelques mois, un parc d'artillerie était installé à l'usine du château (plus tard AMSU), il fut ensuite transféré à Mogneville. Pour la défense anti-aérienne, un poste d'écoute et d'observation était installé à gauche du chemin de la côte des Folies. 5 ou 6 soldats sans matériel devaient repérer et signaler le vol d'avions ennemis. Un autre poste, équipé d'écouteurs amplificateurs à alvéoles, était installé aux Coufins, territoire de La Houpette. Au haut-fourneau et à l'usine Aubry étaient fabriquées des grenades V.B. , une commande de 4000 ches Aubry, peut – être autant au haut fourneau... dont environ la moitié fut livrée, car au mois de mai...
Un dimanche de mai, à midi, un combat aérien eut lieu au – dessus de Cousancelles. L'avion français fut touché et tomba sur le plateau entre Cousancelles et Ancerville, dans les prés Peschau. La lisière de Cousances est bombardée le 12 juin (bois Simon, vers la cité Jeanne d'Arc..). le Panzergruppe du général Guderian est à Saint-Dizier le 14 juin à 5h30 du matin. Bar-le-Duc est occupé le samedi 15. La débâcle suit. De la fin juin jusqu'en octobre 1940 cantonna à Cousances et Cousancelles un bataillon d'artillerie commandé par un capitaine. Ensuite, ce furent différentes unités. Les dernières troupes allemandes quittèrent Cousances et Cousancelles en février 1942 pour se porter sur le front russe. Une Ortskommandantur fut installée le 13 juillet 1940 dans un foyer abandonné lors de la débâcle. Elle était commandée par le capitaine Dechner qui fut remplacé, le 13 août par le capitaine Assmann. Il avait sous sa juridiction, Cousances, Cousancelles et Narcy. D'après les conventions d'armistice, la France était divisée en zone libre et en zone occupée. Ces zones comportaient elles-mêmes des espaces aux statuts particuliers. Ainsi, Cousances et Cousancelles se trouvaient ils en « zone occupée réservée » (prévue pour devenir une colonie de peuplement allemand cf : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armistice_du_22_juin_1940 ). Il en fut ainsi jusqu'en 1942, lorsqu'à la suite du débarquement des Alliés en Algérie, les Allemands occuperont toute la France. La limite de la zone occupée réservée, pour ce secteur, était le canal ou le chemin de fer Joinville - Saint-Dizier. Ainsi, pour aller à Saint-Dizier, il fallait un ausweiss (laissez-passer) que l'on devait présenter au poste allemand, situé au pont du canal.
En juillet 1940, l'activité commerciale était faible par suite de la disparition complète des stocks et les difficultés de ravitaillement. La reprise agricole avait été rapide, son activité normale. Malgré l'absence des patrons, le Haut Fourneau et l'usine Champenois furent remis en marche. Marcel Aubry était revenu presque aussitôt d'exil (il sera nommé, le 10 novembre 1943, chef du Mouvement « Ceux de la Résistance » pour la région de Cousances et le canton d'Ancerville, par Alain de Lambilly, chef régional du Mouvement pour la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, les Vosges, les Ardennes). Mi-juillet l'usine André fut remise en activité. Le stock de matières premières, fonte et charbon était important. Le Haut Fourneau, avec 40 ouvriers, peut – être plus, reprit sa production de casseroles, de cuves pour produits chimiques et de plates-formes pour chemin de fer. M. Chatel rentra d'exil vers le 17 août. Vers 1943, l'usine fabriqua des pièces mécaniques pour la marine allemande. Chez Champenois, l'usine fut remise en route vers la fin de juillet et continua sa fabrication de machines agricoles. Les Allemands en achetèrent pour leurs exploitations. Chez Aubry, avec une vingtaine d'ouvriers, on continua à fabriquer des roues métalliques, des pièces diverses de fonderie. Un des principaux clients était Dickoff, de Bar. L'usine ne travailla pas pour les Allemands. Les usines avaient besoin de matières premières : fonte, charbon, acier. Le comité d'organisation des diverses industries fournissait des bons matière à la commande. C'est vers mars 1943 que l'organisation Todt s'installa dans ce secteur pour des travaux souterrains dans les carrières de Savonnières. Le bureau était situé rue Mme Robert (maison Charoy). Quel était le but de ces travaux ? Ceux qui y ont travaillé n'ont pu le deviner : pour lancer des V1 et V2 ? Une usine souterraine ? La ligne Naïx – Güe fut aménagée pour un plus fort trafic car les allemands allaient l'utiliser beaucoup. Pour alimenter en matériaux les travaux de l'entreprise (gravier, sable, ciment), il fallut renforcer le pont du chemin de fer. une piscine, et une station de pompage électrique furent construites, l'eau ainsi collectée était acheminée à Savonnières en camions citernes. L'organisation Todt, dans ce secteur, employait environ 4000 ouvriers, dont au moins une cinquantaine originaires de Cousances, environ 7 à 800 d'entre eux logeaient à Cousances. Des membres de l'organisation Todt (Belges flamands, Luxembourgeois, Rhénans) logeaient à Cousancelles. Ils faisaient presque tous partie d'une fanfare. L'organisation Todt avait requis, pour le théâtre aux armées, un groupe de musiciens du Lido de Paris, dirigé par Ben Horris, qui donnait des concerts à la salle des fêtes de l'usine, pour les chefs de l'organisation Todt... ces derniers quittèrent Cousances le 27 août 1944. A Cousances vivaient quelques familles juives qui avaient évacué au moment de l'exode. Les membres de la famille Gougenheim, qui était revenue et avait tant bien que mal rouvert la boucherie familiale, furent déportés puis considérés comme morts selon un document du 13 avril 1944. Bar-le-Duc est libéré le 31 août 1944 au soir.

Évolution démographique
(Source : Insee)

1962 : 1643
1968 : 1694
1975 : 1883
1982 ; 1890
1990 : 1828
1999 : 1716


Personnalités liées à la commune
Abbé André Gaillemin (Histoire de Cousances et Cousancelles en 3 volumes).

Paris : Population

Publié à 07:51 par dessinsagogo55 Tags : jeune paris 2010 center monde

 

Selon l'Insee, la population de la ville de Paris était de 2 234 105 habitants au 1er janvier 2009 (cinquième ville de l'Union européenne) pour une superficie de 10 540 hectares soit une densité de 21 196 habitants/km2, l'une des plus fortes d'Europe. Au 1er janvier 2009, 
l'agglomération définie par l'Insee comprend 412 communes et totalise 10 413 386 habitants. Son aire urbaine, incluant des communes situées dans une zone d'influence forte de la ville, atteint 12 161 542 habitants au 1er janvier 2009 dans la délimitation de 2010, ce qui en fait la 20e aire urbaine du monde environ ou la 3e en Europe.
La population de la ville est relativement jeune : en 2008, selon l'Insee, le pourcentage d'habitants âgés de moins de 35 ans est de 46 %93, soit 4 points de plus que la moyenne nationale, qui est de 41,8 %.


Paris : Population
Croissance de la population parisienne depuis le premier recensement en 1801.

Rambluzin-et-Benoite-Vaux

Publié à 11:55 par dessinsagogo55 Tags : center coeur centerblog background sur monde saint travail sommaire maison

Rambluzin-et-Benoite-Vaux est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine.


Rambluzin-et-Benoite-Vaux
Les hommes du Sacré Coeur dans la procession de Saint Sacrement en 1908


Le nom de cette commune laisse penser que son origine remonte aux invasions franques, il s'agit d'une altération du germanique "Rampel Haussen", signifiant "les maisons isolées". Longtemps et jusqu'au XVIIIe siècle, ce village fut une frontière entre le comté-évêché de Verdun et le comté puis duché de Bar.
Le pèlerinage à Notre-Dame-de-Benoite-Vaux attirait dès le XVIIe siècle des foules accourues entre autres de Nancy lors des grandes crises politiques de la Guerre de Trente Ans

Rambluzin-et-Benoite-Vaux
Maison SIMON (auberge)


Au XIXe siècle, ce village connu une expansion liée à l'exploitation forestière et au travail du bois (bois tournés). Une entreprise, tenue par la famille Périn, originaire de la Woevre, comptait entre 1880 et 1914 plus d'une centaine d'ouvriers.Cette même famille Périn était bien celle qui comptait parmi ses membres le maire de Verdun à la veille et au début de la Révolution Française. Les batailles dévastatrices de la Grande Guerre qui se déroulèrent autour de Verdun, furent la véritable cause du déclin de son industrie du bois et l'entreprise Périn cessa toute activité au début des années 1960 alors qu'elle n'était déjà plus que l'ombre de ce qu'elle avait été un demi-siècle plus tôt.
La période révolutionnaire à Rambluzin a servi de canevas historique à l'œuvre d'André Theuriet.

Commercy : Madeleine (cuisine)

Commercy : Madeleine (cuisine)

Une madeleine est un petit gâteau traditionnel lorrain aux œufs, en forme de coquillage, allongée ou ronde, originaire de Commercy.



Les marchandes de madeleines sur le quai de la gare vers 1910

La madeleine de Commercy porterait le prénom d'une jeune soubrette de Commercy, Madeleine Paulmier, servante de la marquise Perrotin de Baumont, qui en 1755, fabriqua ces gâteaux pour le duc viager Stanislas Leszczy?ski. Cette tradition lorraine s'est prolongée jusqu'à nos jours.
Selon d'autres sources incertaines, la madeleine remonterait à l'origine du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, où une jeune fille nommée « Madelaine », aurait offert aux pèlerins un gâteau aux œufs, moulé dans une coquille Saint-Jacques (qui est l'emblème du pèlerinage).

Depuis la fin du XIXe siècle, jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les voyageurs du chemin de fer qui passaient par Commercy se pressaient aux portières des wagons, afin de contempler le spectacle insolite des vendeuses de madeleines portant de grands paniers d'osier aux marques bien apparentes et qui circulaient au milieu de la foule en gare de Commercy, en criant aussi fort qu'elles pouvaient le nom de la fabrique qu'elles représentaient. Ce spectacle très attendu, coloré et bruyant était unique sur l'ensemble du réseau ferré français. Ce fut un dur métier pour ces femmes, tenues de vendre le maximum de boîtes dans un minimum de temps, mais cela contribua à la popularité de la madeleine.


En France, la madeleine est souvent présente durant le goûter des enfants ou la pause café en entreprise.
Symbole de convivialité (le fait de « tremper sa madeleine » va de pair avec le fait de converser autour d'une boisson chaude), elle a fait la réputation de la ville de Commercy, en Meuse, où elles sont fabriquées depuis le XVIIIe siècle.
Il existe en France plusieurs maisons spécialisées dans la production de madeleines :
la madeleine Bijou, commercialisée à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne), Limoges (Haute-Vienne) et Brive (Corrèze). La maison Bijou a été créée en 1845.
la madeleine Bébé, commercialisée à Saint-Yrieix-la-Perche, Limoges et Bellac (Haute-Vienne). La madeleine Bébé s'est implantée à Saint-Yrieix dans les années 1870.
la madeleine de Liverdun, commercialisée à Liverdun (Meurthe-et-Moselle), par la famille Chenel depuis le début du XXe siècle.


Culture populaire
Dans le film Le Transporteur (film d'action avec François Berléand), une scénographie présente la madeleine comme produit gastronomique vecteur de finesse d'esprit.

 

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Liens externes                                                  
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Commercy

Notes et références                                                    
    Meuse (Sommaire)
    Commercy : Un rapide coup d'oeil sur la commune
    Commercy
    Commercy : Géologie et relief
    Commercy : Urbanisme
    Commercy : Voies de communications et transports
    Commercy : Histoire
    Commercy : Politique et administration
    Le maire de Commercy a présenté sa démission
    Jean-Philippe Vautrin : Maire de Commercy (Meuse)
    Commercy : Démographie
    Commercy : Culture locale et patrimoine
   
    Commercy : Madeleine (cuisine)
    Charles-Henri de Lorraine-Vaudémont
    Élisabeth-Charlotte d'Orléans
    Jean-François Paul de Gondi
    Stanislas Leszczynski
    Origine des Madeleines de Commercy
    MISE A JOUR : 2024
 
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Bar-le-Duc : Ville Haute

Publié à 20:30 par dessinsagogo55 Tags : center histoire centerblog background sur femme sommaire
Bar-le-Duc : Ville Haute



L'histoire de Bar ne commence d'une manière suivie qu'à partir de l'époque où Frédéric Ier, duc de Haute-Lorraine, fait construire un château sur un promontoire dominant la Vallée de l'Ornain peu avant l'an mil donnant ainsi un nouvel élan au développement de la cité

Autour de cette forteresse se forma ce qu'on appelle aujourd'hui la Ville haute, qui est, par conséquent, moins ancienne que la Ville basse. Frédéric d'Ardenne échangea les domaines de sa femme contre des terres qui entouraient le château, et prit le nom de duc de Bar.





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