Département : Meuse
La confiture de groseilles de Bar-le-Duc est une confiture composée de groseilles blanches ou rouges épépinées à la plume d'oie. C'est une spécialité gastronomique de la commune de Bar-le-Duc (Meuse, Lorraine).
Produite en petite quantité, six mille verrines de 85 g chaque année, il s'agit d'un produit de luxe surnommé « caviar de Bar-le-Duc ».
Originaire d'Asie et d'Amérique du Nord, la groseille fait son apparition dans les jardins français à partir du XIIe siècle, notamment en Lorraine.
La première mention de cette recette date de 1344 dans le domaine judiciaire. Il est alors d'usage dans la noblesse et la bourgeoisie, que le parti ayant gagné un procès offre un pot de confiture aux juges pour les remercier. En 1364 et en 1372, les cellériers du château des ducs de Bar parlent des achats de cette confiture. Le 7 janvier 1403, le duc de Bar Robert Ier fait l'acquisition de confitures pour la somme de 90 livres. Elle est alors déjà considérée comme un produit de luxe, et n'est présente que sur les plus belles tables des seigneurs.
Au XVIe siècle, la confiture bénéficie d'une réputation nationale et se retrouvent à la cour du Roi, chez les Dames nobles et les grands personnages qui traversent la ville. Elle est alors généralement servie dans des verreries en cristal.
De nombreuses personnalités apprécient cette préparation. La Reine d'Écosse Marie Stuart compare cette confiture à « un rayon de soleil dans un pot ». Alfred Hitchcock ne descendrait que dans des hôtels qui en proposent au petit-déjeuner. Le président de la République Raymond Poincaré l'introduit sur les tables du palais de l'Élysée. Le Premier ministre britannique Winston Churchill et l'écrivain Victor Hugo en raffolent.
À la fin du XIXe siècle, une vingtaine de maisons meusiennes produisent cette spécialité. L'entreprise À la Lorraine, fondée en 1879 par Georges Amiable avec la réunion de plusieurs confitureries, est la seule encore existante. En 1974, la famille Duriez rachète la maison et les secrets de fabrication
La confiture de groseilles de Bar-le-Duc est traditionnellement préparée à la main à partir de groseilles sélectionnées.
Pendant trois semaines en juillet, 500 kg de groseilles sont récoltés, au rythme d'environ 25 kg/jour. Deux variétés sont utilisées : les Versaillaises et les Groseilles de Bar ; avec pour chacune des rouges, des roses et des blanches. Des épépineuses employées pour la saison se chargent alors de les épépiner à domicile. Pour épépiner 1 kg, il faut 1 h 30 pour une personne expérimentée, et près de 15 h pour un débutant.
Une plume d’oie taillée en biseau et trempée dans l'eau permet d’extraire les pépins minuscules (en moyenne sept par groseille) sans blesser la pulpe du fruit. Une incision est faite sur le grain et les pépins sont glissés dans la tige creuse de la plume. L'entaille dans la groseille est ensuite recouverte d'un lambeau de peau pour que cette dernière puisse garder tout son croquant et toute sa saveur.
Les groseilles sont ensuite plongées dans du sirop de sucre brûlant pour conserver la saveur intacte. Il faut 700 grammes de sucre pour 500 grammes de groseilles. La suite de la recette est un secret bien gardé
Chaque année, cinq à six mille verrines de 85 g sont produites, 4 000 de rouges et 2 000 de blanches. 30 % de la production est vendue sur place à Bar-le-Duc, et les 70 % restants dans des épiceries fines un peu partout en France7. La confiture s'exporte aussi à travers le monde : en 2008, 1 000 pots ont été vendus à des magasins de luxe à Tokyo (Japon) et aux États-Unis
Chaque pot de 85 g est vendu autour de 17 €, ce qui représente 200 €/kg (2015)
La confiture de groseille de Bar-le-Duc se déguste à la cuillère pour pouvoir savourer tous les arômes du fruit. Elle peut accompagner le foie gras, ou une boule de glace vanille.
Elle est considérée comme un aliment de luxe et partage un statut d’exception qui l’apparente au « caviar Beluga », ce qui lui vaut le surnom de « caviar de Bar »
L'implantation humaine à Fouchères-aux-Bois semble donc ancienne, comme en témoignent les différents objets retrouvés au lieu-dit Mazerois :
« Rappelons les ruines à Mazeroye, aujourd'hui Mazerois, dont on exhume de temps à autre quelques vestiges, tels que restes de constructions, statues en pierre représentant des divinités païennes, pièces de monnaies romaines. Un vase renfermant quantité de ces pièces y a été trouvé en 1876, par M. Moreau Paulin, qui l'a cédé au musée de Bar-le-Duc en 1876. »
Mais des implantations humaines plus anciennes ont dû exister sur le territoire de la commune.
Pour ce qui est de l'histoire plus récente, il est fait mention de la commune une première fois en 1302. On peut reprendre ensuite les différentes dates :
Une ordonnance de 1488 règle les droits de vaine pâture entre les gens de Fouchères et ceux du Bouchon. Par cette ordonnance, les habitants de Fouchères avaient droit de passage dans le Bouchon pour aller mener les bestiaux paître dans la prairie.
En 1504, la haute, moyenne et basse justice de Fouchères, le ban et finage de cette localité appartenaient par moitié au Duc de Bar et au Comte de Ligny : aussi le mayeur de ce village était-il alternativement nommé par les deux seigneurs pour lesquels il rendait la justice.
Pour éviter un conflit entre le duc de Lorraine et le comte de Ligny, un partage des habitants et sujets de Fouchères eut lieu en 1659.
C'est à cette date (1659) qu'il faut faire remonter l'origine de l'existence simultanée à Fouchères, de deux mairies : l'une, composée d'un maire, d'un lieutenant, d'un procureur, d'un substitut et d'un greffier, rendant la justice pour S.A.R. le duc de Lorraine ; l'autre, composée également d'un maire, d'un lieutenant, d'un procureur, d'un substitut et d'un greffier, rendant la justice pour monseigneur de Luxembourg.
Avant la réunion des deux duchés à la France, Fouchères faisait partie du Barrois mouvant, partie office et prévôté de Bar, partie office et prévôté de Ligny ; recette, coutume et bailliage de Bar-le-Duc, présidial de Châlons et parlement de Paris. En 1734, toutes juridictions sur les deux parties furent réunies et incorporées à la seule prévôté de Ligny. Après la réunion des deux duchés (1766), le roi en était seul seigneur.
Avant la Révolution, la paroisse de Fouchères dépendait du diocèse de Toul, de l'archevêché de Trêves, du doyenné de Dammarie, et avait saint Laurent et saint Maur pour patrons. La petite paroisse du Bouchon qui en était déjà l'annexe en 1645, l'est demeurée jusqu'en 1847. La nomination à la cure appartenait à l'abbé de Saint-Léon de Toul, qui était décimateur avec le curé du lieu et le prieur de Dammarie. Des redevances étaient aussi payées au marquis de Stainville et aux dames religieuses Annonciades de Ligny.
En 1790, cette paroisse fut comprise dans le diocèse de Verdun, puis lors de la suppression de ce diocèse, en 1801, elle fut réunie à celui de Nancy, et depuis 1823, elle fait partie du diocèse de Verdun, alors reconstitué, de l'archiprêtré de Bar-le-Duc et du doyenné de Montiers sur Saulx. Elle a pour patrons saint Maur (15 janvier) et saint Laurent (10 août).
Ensuite du décret de l'Assemblée Nationale du 30 janvier 1790, constituant le département de la Meuse et le divisant, Fouchères devint l'une des municipalités du district de Bar et du canton de Stainville. Ce n'est qu'en 1800 que Fouchères fut réuni au canton de Montiers. On y comptait quarante-neuf citoyens actifs en 1792.
Aux xixe et xxe siècles, l'histoire du village est semblable à celle des campagnes françaises : à savoir une augmentation de la population puis une diminution jusqu'à la fin du XXe, pour se terminer par la fermeture de l'école communale (qui ne comptait plus que deux élèves) au début des années 1980.
Pendant la Première Guerre mondiale, le village était loin des combats, seules quelques troupes y ont stationné en repos.
La commune a eu à déplorer deux enfants morts pour la France. La tombe d'un soldat mort dans la commune se situe aussi au cimetière.
On notera l'anecdote suivante :
À la fin du Premier Conflit Mondial, le conseil municipal a pris la décision de modifier le nom du village, passant ainsi de Fouchères à Fouchères-aux-Bois, afin de différencier le village des autres communes homonymes (voir la page : Fouchères), pour, semble-t-il des problèmes d'acheminement de courrier. Du fait de la présence de plusieurs mares à l'époque, le choix de Fouchères-aux-Mares avait été aussi envisagé.
Si on s'en tient ainsi à l'étymologie retenue, la notion de bois apparaît donc deux fois dans le nom de la commune.
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Fouchères-aux-Bois est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.
Il semble que le nom des habitants soit (était) « les Fous ». Cette appellation n'est pas ou plus utilisée.
La commune de Fouchères-aux-Bois se situe au sud-ouest du département de la Meuse, dans le canton de Montiers-sur-Saulx, arrondissement de Bar-le-Duc. D'un point de vue moins administratif, la commune se situe dans le Barrois.
Les distances aux centres urbains les plus proches sont les suivantes :
Ligny-en-Barrois : 10 km ;
Bar-le-Duc : 25 km ;
Saint-Dizier : 30 km ;
Nancy : 85 km ;
Paris : environ 250 km.
On notera par ailleurs que la commune se situant à proximité de la RN 4, les temps de parcours sont assez rapides, dont :
Saint-Dizier : 20 min ;
Bar-le-Duc : 25 min ;
Nancy : environ 1 heure.
Situé sur le versant occidental des collines qui séparent la vallée de l'Ornain et celle de la Saulx, le territoire est peu accidenté. À part le vallon qui se trouve entre le village et la forêt communale, il ne se compose que de deux plateaux dirigés du sud-ouest au nord-est, et dont les principales altitudes sont 271, 291, 294 et 325 mètres. Le vallon situé entre le village et la forêt communale se prolonge vers la commune de Ménil-sur-Saulx, fixant ainsi l'altitude la plus basse aux environs de 250 m. Ce vallon est rejoint par d'autres (dont le Fossé Chapelot). Il n'existe pas de cours d'eau à Fouchères-aux-Bois bien que, lors d'importante précipitations, on assiste épisodiquement à des phénomènes d'écoulement dans le vallon évoqué. On compte par ailleurs une mare, à l'entrée du village en venant de Villers-le-Sec (la commune en comptait un plus grand nombre, au moins une supplémentaire, au début du xxe siècle). On notera aussi un nombre important de puits et citernes dans le village.
Le territoire de Fouchères est situé sur les dernières assises du jurassique inférieur. Une partie se trouve constituée par les dépôts de la période de transition entre les époques secondaires et tertiaires, dépôts vulgairement nommés couches de Puzbec.
Au sud, le minerai de fer affleure et occupe en général une épaisseur moyenne de cinq mètres. Le nom du lieu-dit est les Minières.
Les fossiles sont très rares, à peine trouve-t-on dans la partie nord, quelques vestiges de bélemnites et d'ammonites, représentants de la période secondaire.
Les assises que l'on rencontre au sud en creusant une section verticale sont, après la couche de terre arable, la terre glaise, le minerai de fer, la marne noire argileuse, et la marne jaunâtre agglomérée.
Au nord, le sous-sol est une roche dure que l'on exploitait autrefois comme carrière. Le lieu-dit de cette exploitation est les Lavières. Cette pierre se remarque dans les murs des maisons par se teinte grise, presque bleutée.
Le village se situant en hauteur par rapport à ses abords immédiats, la vue y est assez dégagée, en particulier, au sud-ouest vers la vallée de la Saulx (on peut voir Dammarie-sur-Saulx) et vers l'ouest, direction où on peut apercevoir le plateau de l'autre côte de la vallée, avec une vue sur l'abbaye de Jovilliers. Le paysage en lui-même est composé de champs de taille moyenne (le remembrement date de 1968) et de forêts les entourant. On trouve aussi quelques prés. La commune est donc bordée à l'est et au sud-est par la forêt de Ligny, au nord par la forêt communale de Menaussard, au nord-ouest par le bois de Charmois (petit massif forestier qui s'étend aussi sur les communes de Ménil-sur-Saulx et Nant-le-Petit. Au sud, on trouve aussi le bois des Minières. On voit donc ici que le village porte son nom à juste titre.
La commune de Fouchères a pour écart la ferme de la Borde. Fondée à une époque incertaine par les religieux de l'ordre des Prémontrés de l'abbaye de Jovilliers, cette ferme, qui était primitivement une léproserie, est demeurée propriété et dépendance paroissiale de cette abbaye jusqu'à la Révolution. En 1791, elle fut vendue par le Trésor National et réunie à la paroisse de Fouchères.
La ferme de la Borde a eu à subir en 1991 un incendie qui a détruit la majeure partie des bâtiments. Il ne reste donc que deux bâtiments servant de hangars.
Six maisons individuelles de type HLM (appelé le quartier des HLM).
« D'après la traduction latine Fulcherium ou Foulcherium, Fouchères tirerait son nom de fougère, ce qui est d'autant moins vraisemblable que la fougère est très rare sur le territoire. L'étymologie celtique Fonéa, Faon (hêtre), Focaria (chauffage ou droit de prendre du bois dans une forêt) paraît beaucoup plus probable. »
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« Son ancienne église, dont le chœur remontait au XIIe siècle, eut à souffrir d'un commencement d'incendie en 1783. Restaurée en 1786, sa tour, qui avait cinquante-neuf pieds de hauteur, fut réduite à cinquante-trois. Restaurée de nouveau en 1852, l'arcade la coupant en deux parties fut supprimée ; les voûtes de la nef et des contreforts extérieurs furent construits. Démolie en 1868, elle a été reconstruite en 1869-1870 dans le style primitif (XIIe siècle ou ogival). Un chœur carré et une fenêtre trilobée au fond de l'abside sont les particularités architecturales qu'elle présente ; les statues de saint Laurent et de saint Maur, déjà anciennes et de médiocre valeur, ainsi que deux grands reliquaires en pierre incrustés dans le mur absidal, composent toutes ses richesses archéologiques. »
Cette reconstruction a aussi été l'occasion de déplacer le cimetière à l'extérieur du village.
Il est par ailleurs fait mention de quelques éléments de fortifications dans certains ouvrages, le village est même mentionné au musée des fortifications de Montmédy. Ces éléments se résument à des meurtrières placées dans l'escalier du clocher. On trouve aussi une vierge de Pitié datant du XVIe siècle.
Trois croix sont réparties aux limites de l'agglomération : chacune dédiée à un des saint-patrons de la commune.
Dans la monographie du XIXe siècle, on trouve encore :
« Disons également qu'il existait anciennement un château dont on voyait encore les ruines en 1760. Non loin de là, dans les jardins, on retrouve, à environ quarante centimètres de profondeur, un béton que la pioche a du mal à entamer. Des restes d'une conduite en pierres soudées avec du plomb, y existent encore. »
Aujourd'hui, aucune trace de ces ruines ne subsiste.
Comme déjà évoqué, au sud de la commune se situe le lieu-dit Mazerois (nom qui, étymologiquement, évoque une construction ou une ruine). Il n'est pas impossible qu'à cet endroit se soit établie une « villa » gallo-romaine (voir la partie historique). Cependant, aucune fouille archéologique n'a été entreprise : l'intérêt scientifique est sans doute assez limité.
Lieu-dit :
On raconte que « dans le temps » (c'est-à-dire avant mais on ne sait pas quand...) un homme, le Père François avait voulu s'installer seul dans un endroit éloigné du village (1 km au plus), en lisière de la forêt de Ligny. Les gens du village parlaient ainsi de la folie du père François. Cette anecdote, vraie ou pas, a donné le nom du lieu-dit la Folie. On apercevait à cet endroit, il y a une dizaine d'années encore, ce qui avait dû être un puits. Certains esprits poétiques ont voulu y voir l'ancienne implantation du village. Le mystère reste présent.
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Évolution de la population
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
238 | 238 | 225 | 247 | 292 | 304 | 317 | 334 | 340 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
327 | 357 | 335 | 311 | 296 | 283 | 274 | 272 | 272 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
235 | 229 | 217 | 191 | 190 | 179 | 165 | 154 | 138 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
143 | 130 | 124 | 138 | 134 | 135 | 138 | 138 | 150 |
2016 | - | - | - | - | - | - | - | - |
140 | | | | | | | | |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2016, la commune comptait 140 habitants, en diminution de 4,76 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Sans doute du fait de sa proximité de certaines aires urbaines et de l'accès rapide à la RN 4 (et pourquoi pas grâce au lieu lui-même), la population de Fouchères-aux-Bois a réussi à se maintenir ces dernières années, malgré les départs et les décès. On remarque ainsi que peu de maisons sont abandonnées et que même certaines ont été remises en état et réoccupées récemment.
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En 2016, la commune comptait 170 habitants, en augmentation de 0,59 % par rapport à 2011 (Meuse : -2,33 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
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