Fandeloup

Une étude publiée par le Business Insider s'intéresse sur la fréquence des rapports sexuels entretenus par des jeunes mariés heureux.

Mesdames, ces chiffres vous concernent-ils ?

Le célèbre psychothérapeute, Gary Neuman, a mené une étude des plus intéressantes auprès de 400 femmes récemment mariées.

L'objectif du médecin fétiche des stars américaines était de connaître la fréquence des rapports sexuels des ménages heureux et malheureux.

Ces recherches, publiées sous forme de vidéo très amusante sur le site du Business Insider, montrent ainsi que les deux premières années de mariage sont les plus stimulantes pour un couple.

Après avoir interrogé les 400 femmes en question, Gary Neuman estime que les duos les plus amoureux feraient l'amour près de 11 fois par mois.

Les épouses malheureuses, quant à elles, auraient environ trois à quatre rapports sexuels durant cette même période

Un écart considérable que le psychothérapeute s'empresse de justifier. Il faut s'impliquer pour entretenir la flamme Selon Gary Neuman, le mariage serait un véritable travail pour les deux personnes concernées.

Il faut s'impliquer pour conserver un bon équilibre d'intimité et d'excitation.

Deux ans après avoir dit "oui", il arrive que certaines obligations de la vie prennent le dessus. Les enfants, le manque de sommeil ou encore le prêt de la maison pourraient ainsi éloigner deux personnes très amoureuses.

Leur activité sexuelle est donc impactée et une certaine distance peut alors s'installer.

L'auteur de "La Science du sexe" conseille donc d'entretenir la flamme et de ne pas tomber dans une routine qui rendrait quiconque malheureux. Au moins, ça a le mérite d'être clair.

Maintenant, chaque couple est différent. Et on n'a pas toujours le temps !

Il y a des êtres qui font d'un soleil une simple tache jaune, mais il y en a aussi qui font d'une simple tache jaune, un véritable soleil.

Sainte-Rita, l'église des animaux, sera démolie et ses fidèles expulsés

Dominique Philippe, second en partant de la gauche. Sur la façade ensoleillée de la petite église catholique gallicane Sainte-Rita – un peu défraîchie depuis sa construction en 1900 – dans le 15e arrondissement parisien, la bannière fièrement tendue

« Non à la démolition de la paroisse Sainte-Rita » semble défier la pancarte de permis de démolition qui jonche le parvis.

Pourtant, ni Sainte-Rita, patronne des causes désespérées, ni la mobilisation active des fidèles n'auront pu empêcher la décision du tribunal administratif de Paris qui a rejeté, mardi 11 mars, le recours déposé par l'association de défense de Sainte-Rita contre la démolition et, par conséquent, l'expulsion des paroissiens.

En lieu et place de l'église seront construits une vingtaine de logements sociaux et des parkings. Les occupants ont six mois, à compter de la notification du jugement, pour quitter les lieux. Un drame pour les nombreux fidèles qui parcourent des centaines de kilomètres, chaque dimanche, accompagnés de leur chiens , chats, oiseaux, lapins ou furets pour se rendre à Sainte-Rita : la paroisse est l'une des rares, en France, à permettre la présence des animaux de compagnie durant l'office.

Mais elle est encore plus célèbre pour sa bénédiction de tous les animaux, chaque premier dimanche de novembre lors de la messe de Saint-François d'Assise, patron des bêtes, qui attire presque un millier de fidèles. Lamas, dromadaires, zèbres, perroquets, singes et même tigres y ont été bénis par Mgr Dominique Philippe, archevêque catholique gallican de Paris qui officie depuis vingt-neuf ans à Sainte-Rita, hors de l'autorité du Vatican.

Le religieux a repris l'édifice en 1988, alors que celui-ci était fermé depuis douze ans.

« C'ÉTAIT LE BON TEMPS »

Dans sa longue robe écrue, l'homme sourit en se remémorant le passage de François Hollande et de Ségolène Royal, il y a de ça « presque dix ans, lorsqu'ils étaient encore ensemble », pour une messe des chats. « Ils disaient adorer les chats et venaient voir s'ils pouvaient en adopter », s'amuse Mgr Philippe.

« C'était le bon temps ».

Car les ennuis ont commencé il y a deux ans lorsque le propriétaire de l'époque, l'association cultuelle des Chapelles catholiques et apostoliques, a entamé une procédure d'expulsion des occupants – demandant à la justice de résilier le bail accordé à la communauté qui occupe l'église –, avant de vendre le lieu à un promoteur immobilier nantais, Loceane.

Le bâtiment, non classé, est jugé sans intérêt patrimonial ou architectural par la commission du Vieux Paris, qui rend des avis sur le patrimoine et l'urbanisme de la capitale. Le permis de démolir est alors délivré. « Nous nous interrogeons sur la recevabilité de la demande [d'expulsion] de l'association », a réagi lors de l'audience Me Jean-Marc Fedida, avocat de Sainte-Rita. « Nous demandons à ce que toute la clarté soit faite sur les conditions dans lesquelles elle continue à se prétendre propriétaire d'un bien immobilier pour lequel un promoteur a déposé et obtenu un permis de construire », a-t-il ajouté.

ENJEU DES MUNICIPALES

Le maire du 15e arrondissement, Philippe Goujon (UMP), candidat à sa propre succession aux municipales de mars, s'est toujours positionné contre la démolition, au nom de la protection du patrimoine culturel du quartier. « Cette église néogothique est un marqueur de l'identité du quartier, je ne comprends pas qu'on puisse vouloir y construire des logements sociaux à la place », déclare au Monde celui qui tâcle la politique « bétonneuse » de Mme Hidalgo dans le 15e. L'édile dit n'avoir reçu aucune réponse du maire de Paris, qu'il avait saisi sur le cas de Sainte-Rita.

Il s'est ensuite adressé à la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) pour qu'elle attribue au bâtiment le label: « Patrimoine culturel du XXe siècle ». A l'occasion des municipales de mars, les autres candidats dans le 15e arrondissement se sont aussi prononcés sur la question. Le numéro deux sur la liste d'Anne Hidalgo, Claude Dargent, s'est déclaré, selon Paris Tribune, « favorable au principe d'une opération de logements sur cette parcelle là (…)

Sainte Rita est une église qui relève d'un culte qui n'est pas l'église catholique (…) qui n'entre [donc] pas dans la loi de 1905 ». APPEL À BILL GATES OU AU QATAR L'enjeu électoral semble dépasser Mgr Dominique Philippe. Le religieux a toujours été conscient qu'il n'avait pas les moyens de réunir les 3,3 millions d'euros nécessaires au rachat des lieux. Résigné plutôt qu'irascible, il préfère préparer la suite et espère trouver les fonds pour acheter un local abordable sur Paris.

« Rien d'accessible pour l'instant », déplore-t-il. De quoi commencer à sérieusement s'inquiéter pour le devenir des trente mariages prévus d'ici l'été. « Des américains, des japonais, des chinois veulent se marier chez nous. Que va-t-on faire ? », s'interroge-t-il. Sans compter la célèbre messe des motards, chaque été.

Mais la décision du tribunal n'arrêtera sûrement pas François Lusinchi, président de l'Association Paroisse Sainte-Rita qui, quelques heures avant son rendu, croyait encore en la possibilité de racheter la paroisse grâce à un large appel au don sur internet . « Quelques personnes anonymes ont déjà envoyé des chèques de 500€ après avoir entendu parler de notre situation », s'étonne presque Mgr Dominique Philippe.

Si les dons ne suffisent pas, François Lusinchi assure qu'il fera appel à d'autres généreux donateurs : « Je me suis renseigné pour faire appel à la fondation de Bill Gates ou pour demander de l'aide au Qatar : ils ont racheté le PSG, ils peuvent bien racheter une église à 3 millions ».

Pour ce paroissien qui parcourt 15 kilomètres chaque dimanche avec Venus, son caniche, pour assister à l'office, démolir Sainte-Rita et y établir un immeuble à la place reviendrait à « tuer toute l'âme du village qu'est la rue François-Bonvin », qui perdrait ainsi « son cachet ». « Nous n'allons pas nous laisser faire et allons faire appel de la décision qui porte atteinte à notre liberté religieuse », a-t-il ensuite déclaré. Une manifestation de soutien qui rassemblera fidèles et animaux est prévue le 15 mars sur le parvis de l'Hôtel de ville.

AMARANTO seulement 3ans, ... et atteinte de leishmaniose ... elle attends la vraie vie !!!!

Ce n'est pas une fatalité, la leishmaniose se soigne  Hé ben voila !!!

je suis en refuge maintenant

Il m'a abandonné comme ca , vous savez il ne c 'st méme pas retourné il m'a laissé la , moi qu'il lui ai tant donné tout ce que je pouvais. Il ma trahit , mais vous savez quoi ??

Si lui , il revenais je lui ferais une féte et je serais tellement heureuse Mais il ne reviendra, pas je suis fatigué, je suis malade, je ne lui sers plus a rien. Alors je suis la ,tete basse et j'attend ... j'attend que l'on me regarde. J'attend un peut de répis

Vous savez je ne suis pas vieille,j'ai juste 3 ans.J'ai fait mon temps dans mon ancienne vie avec lui .Lui c'est Il , Il c'est ce "maitre", ce chasseur qui m'a trahit

Mais moi je VOUS attend pour commencer MA nouvelle vie. Je vous attend pour renaitre de mes cendres , encore plus belle et plus forte. Vous savez comme le phenix ,cette oiseau de lègende .Je suis une petite mére qui a tout a donné .Ne me laissez pas svp , pas trop longtemps la bas

Merci

http://scooby-france.e-monsite.com/p…/actualites-page-3.html contact SCOOBY FRANCE christelle.scoobyfrance@gmail.com

Vous n'êtes jamais seul, vous avez un ange bien qu'il puisse sembler très loin de vous. Quelque part dans le ciel, au-dessus des nuages... C'est bien de là-haut qu'ils viennent, mais ils peuvent en descendre. Vous n'avez qu'à les appeler à vos côtés, car, vous n'êtes jamais seul, vous avez un ange. Vous avez un ange, peut-être deux ou plus, demandez-leur une question, attendez la réponse... Par la télévision, le journal ou dans votre lit, lorsque vous dormez profondément, ou que vous êtes éveillé. La première chose à faire le matin à votre réveil est de prendre note de vos rêves et de les analyser. Ils peuvent être porteurs de bien des messages du ciel pour vous aider, vous guider, ou pour vous combler d'amour. Car, vous n'êtes jamais seul, vous avez un ange. Alors si vous vous sentez seul, ou déprimé il y a un ange à vos côtés pour vous aider, c'est vrai! Car, vous n'êtes jamais seul, vous avez un ange. Maintenant, ouvrez grand votre coeur, il n'attend que ça.

Recherché pour violence avec armes, il est interpellé à Dijon

Le véhicule de l'homme interpellé a été bloqué par les gendarmes à l'entrée de Dijon.

Ce vendredi, la vigilance d’un réserviste régulièrement employé au peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie d’Is-sur-Tille a permis l’interpellation d’un homme recherché dans le cadre d’une affaire de violence avec armes.

Prudent, le réserviste, qui n’était pas en opération au moment des faits, a alerté le PSIG d’Is-sur-Tille qui a lui-même alerté le centre opérationnel de la gendarmerie.

Très vite, un dispositif de surveillance a été mis en place avec le concours des unités de la compagnie d’Is-sur-Tille, qui recherchaient cet homme de 32 ans depuis plusieurs semaines.

L'hélicoptère de la gendarmerie s'est aussi rendu sur place pour ne pas perdre la trace du véhicule du suspect. Enfin, la brigade anti-criminalité de la police de Dijon avait été alerté pour apporter son assistance si l'homme venait à entrer dans Dijon.

Et c’est à la faveur d’un ralentissement à l’entrée de Dijon, près du rond-point de la Toison d’Or, que les gendarmes ont pu bloquer le véhicule du fuyard et l’ont interpellé.

Il s'agit d'un homme habitant à Is-sur-Tille et qui était recherché par les gendarmes suite à une affaire violences avec arme. De plus, cet individu de 32 ans né à Dijon faisait l’objet de plusieurs fiches de recherches pour purger une condamnation à 30 mois de prison. Il était, ce matin, en garde à vue.

Philippines : un buffle sème la panique dans les rues de Manille

L'animal a encorné deux bouchers dans un abattoir avant de terroriser des centaines de personnes dans les rues de la capitale.

Cette bufflonne a pu être arrêtée pour être reconduite à l'abattoir.

Cette bufflonne de trois ans et de près d'une demi-tonne s'est échappé de l'abattoir pour semer la panique dans les rues de la capitale pendant deux heures.

Le buffle était épris de liberté. L'animal a pris la fuite alors qu'il arrivait par camion dans un abattoir du centre de Manille. Cette bufflonne de trois ans et de près d'une demi-tonne a encorné deux bouchers avant de se lancer dans une course effrénée dans les rues de la capitale des Philippines, terrorisant des centaines de personnes.

Trois personnes ont été blessées par ses cornes lors de cette virée. L'animal a galopé à travers les rues les plus fréquentées, encornant une passante avant d'atteindre Cubao, le quartier des affaires après avoir parcouru plus d'un kilomètre.

Puis, a indiqué le policier James Bagay, il est entré dans le hall d'un hôtel et a renversé des meubles avant de pénétrer dans un centre d'appel. Il a cassé quelques panneaux de verre à la réception, mais n'a blessé personne.

Les quelque 200 salariés du centre d'appels ont été obligés d'évacuer les lieux. «J'ai couru, mais le buffle allait plus vite que moi. Il m'a fait voltiger dans les airs avec ses cornes et quand je me suis réveillé, j'étais à l'hôpital où l'on m'a fait des points de suture», a déclaré l'un des bouchers, Jonet Rufino, qui fut la première victime de l'énorme bovin.

«En 14 ans de travail , c'est la première fois que je suis attaqué par un animal», a confié l'homme de 35 ans, qui a 14 points de suture sur son postérieur. L'animal a été freiné dans sa course au bout de deux heures, et selon James Bagay, il devrait être reconduit à l'abattoir.

LE DON DU SANG, UN ACTE INDISPENSABLE

Le don du sang, un acte indispensable

Le sang circule dans les vaisseaux sanguins.

Il est composé à 55 % d’un milieu liquide (le plasma) et à 45 % de cellules : l

es globules rouges (hématies) qui sont chargés de transporter l’oxygène aux muscles grâce à l’hémoglobine qu’ils renferment ;

les globules blancs (leucocytes) qui permettent de lutter contre les infections ;

les plaquettes qui arrêtent les saignements.

Le corps humain contient 4 à 6 litres de sang.

Chaque jour, 10.000 dons sont nécessaires pour aider par exemple les femmes qui ont perdu beaucoup de sang lors de leur accouchement, pour subvenir aux besoins dans le cadre d'actes chirurgicaux, pour contribuer au rétablissement d’une personne atteinte de cancer et affaiblie par la chimiothérapie…

Le don de sang est un acte généreux qui permet de soigner chaque année 1 million de malades.

Selon les chiffres de l'EFS (Établissement Français du Sang), 2,6 millions de dons de sang total ont été effectués en 2013. Sur les 1,7 millions de donneurs, la majorité (51%) sont des femmes.

42,4 % des dons réalisés ont été effectués par les 18-39 ans tandis que les dons de sang réalisés par les 50-64 ont représenté 53,4 %.

En 2012, l’EFS a accueilli 348 168 nouveaux donneurs contre 365 593 en 2011, soit 17 425 nouveaux donneurs en moins. L’éthique du don de sang

Le don de sang est un acte gratuit , volontaire et anonyme (seul l’EFS connaît l’identité du donneur et du receveur). Il est réalisé dans des conditions d’hygiène stricts (matériel stérile et à usage unique) afin d’assurer la sécurité du donneur et du receveur.

Les différents types de don Le don de sang total est le plus connu. Il permet de prélever tous les composants du sang en même temps. Les globules rouges, les plaquettes et le plasma sont ensuite séparés. Il dure environ 10 minutes.

Le don en aphérèse est moins connu. Le sang est prélevé et séparé en ses différents composants grâce à un séparateur de cellules. Seuls les composants dont les malades ont besoin sont collectés. Les autres sont restitués au donneur au fur et à mesure du don.

Ce processus dure plus longtemps que le don de sang total (30-90 minutes). Le déroulement d’un don

Il existe 4 étapes :

l’inscription : l’équipe de l’EFS vous accueille et vous remet le questionnaire pré-don à remplir ;

l’entretien pré-don : un médecin vous reçoit en toute confidentialité pour un entretien et un examen médical afin de vérifier votre aptitude au don

le prélèvement de sang : le geste est effectué par une infirmière de l’EFS spécialement qualifiée ; le temps de repos et de collation :

une collation est offerte à tous les donneurs dans un espace repos en toute convivialité. Pendant ce temps, les donneurs restent sous la surveillance du personnel de l’EFS afin de prévenir tout incident post-don (malaise vagal lié à une baisse temporaire de la tension artérielle).

Les conditions pour donner son sang Les personnes de 18 à 65 ans, reconnues médicalement aptes au don par le médecin de l’EFS, avec un poids de 50kg minimum et un taux d’hémoglobine suffisant peuvent donner leur sang. Un dosage d’hémoglobine est effectué pour les nouveaux donneurs afin de s’assurer qu’ils ne seront pas affaiblis par le don.

En effet, l’oxygène est fixé grâce au fer contenu dans l’hémoglobine. Un taux minimal d’hémoglobine est requis pour pouvoir effectuer un don. En-dessous de 12 g/dL pour les femmes et de 13 g/dL pour les hommes, il s’agit d’une carence en fer : on parle d’anémie.

Ceci est un frein au don. Une alimentation équilibrée est indispensable pour assurer les besoins journaliers en fer et traiter l’anémie (favoriser la viande rouge, les légumes verts, les fruits secs, les lentilles, les fruits riches en vitamine C, en revanche le thé et le café sont à limiter car ils diminuent l’absorption du fer).

Une femme peut donner son sang 4 fois/an et un homme 6 fois/an avec un intervalle de 6 semaines entre 2 dons de sang total. Pour le premier don, il suffit de vous munir de votre carte d’identité. Que devient le don ? La sécurité du donneur et du receveur est le maître mot de cette procédure.

Des tubes à échantillons sont recueillis au cours du prélèvement en même temps que la poche de sang. Ces échantillons sont analysés et si une anomalie est détectée, la poche de sang est écartée et l’EFS informe le donneur par courrier. Si la poche de sang ne présente aucun problème, elle est distribuée aux hôpitaux. Un dernier test de contrôle est effectué juste avant de transfuser le malade pour éviter tout risque d’incompatibilité donneur/receveur.

À partir d’un don, on peut aussi préparer des médicaments dérivés du sang pour traiter certaines pathologies du sang (leucémies). Afin d’améliorer la sécurité transfusionnelle, un échantillon de sang du donneur est conservé pendant 5 ans dans le but de rechercher l’origine d’éventuels problèmes non détectés au moment du don.

Il n’existe aujourd’hui aucun produit capable de se substituer au sang humain et les besoins en produits sanguins sont en constante augmentation. C’est pourquoi, donner son sang est un geste indispensable. Simple, sécurisé et rapide, c’est un acte accessible à tous. Un don supplémentaire par an et par personne suffirait pour répondre aux besoins croissants.

N’oubliez pas, en donnant votre sang vous pouvez vous aussi contribuer à sauver une vie …

Si vous désirez faire un don, consultez le site www.dondusang.net afin de repérer le centre le plus proche de chez vous qui sera prêt à vous accueillir.

Pour 380 euros, ce bœuf hors norme a été vendu aux enchères.

Les vendeurs jurent que l’animal est en bonne santé et que c’est un animal de première qualité. Le commissaire priseur, qui fait ce métier depuis 17 ans, affirme ne jamais avoir vu un tel bœuf.

« Two Face », c’est le nom, pas très original, de ce bœuf. L’animal semble avoir deux museaux superposés l’un sur l’autre avec un œil, une dent et des narines. Les négociants assurent que l’animal, malgré ce « léger » défaut est en bonne santé. Le bœuf a été vendu pour 380 euros.

Si l’animal est exceptionnel et en bonne santé, sa vie risque d’être de courte durée.

Two face a été acheté par un abattoir.

Du grand art,beaucoup de goût. 

Pour une fois, je peux te dire sans te choquer ! " Occupe-toi de tes oignons "