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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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sauvetage

Publié à 09:15 par fandeloup Tags : photo animaux chevaux
sauvetage

La Fondation sauve une centaine d’animaux maltraités dans le Cher

Plus de 80 bovins et deux juments laissés à l’abandon par leur propriétaire ont été pris en charge par la Fondation 30 Millions d’Amis (12/03/15). Environ 80 bovins ont été confisqués.

Deux juments très amaigries et environ 80 bovins dénutris ont été confiés à la Fondation 30 Millions d’Amis et à l’OABA* par le Tribunal de Grande Instance de Bourges (18).

Dans la commune de Bruères-Allichamps, située dans le département du Cher, ces animaux étaient laissés à l’abandon. Sans nourriture ni eau, ils étaient livrés à eux-mêmes sur un terrain très boueux où certains bovins se sont même enlisés.

Une dizaine d’autres sont aussi morts de faim. Leurs cadavres n’ont jamais été retirés. Alertés par des voisins excédés, les services vétérinaires du Cher ont constaté l’état pitoyable des veaux, vaches et chevaux. Jusqu'au jugement, intervenu le 6 mars 2015, c’est la Chambre d’Agriculture qui leur fournissait du foin.

CONDAMNÉ POUR "ABANDON ET MAUVAIS TRAITEMENTS"

Le Tribunal a condamné l’éleveur pour "abandon et mauvais traitements" à 6 mois de prison avec sursis, 2 ans de mise à l’épreuve avec obligation de soins et confiscation des animaux au profit de la Fondation 30 Millions d’Amis et de l’OABA. Si l’éleveur ne fait pas appel d’ici 10 jours, les animaux seront définitivement confiés à ces deux organismes de protection animale.

coeur

Publié à 08:44 par fandeloup
coeur

Quand le cœur écrit...... Il n'en résulte que du bon.

bonne nuit

Publié à 19:30 par fandeloup

serre

Publié à 19:26 par fandeloup Tags : création bonne
serre

Votre façon de serrer la main en dit long sur votre personnalité COMPORTEMENT

- À moins de vivre en ermite, nous rencontrons quotidiennement des gens à qui nous serons la main et nous avons, sans doute, tous déjà rencontré des personnes serrant la main avec mollesse et d'autres qui, au contraire, font preuve de force, allant parfois jusqu'à broyer la nôtre.

Mais, le degré de force émis dans ce geste futile du quotidien appelé "poignée de mains", en dit long sur notre personnalité et notre état émotionnel. Se serrer la main est un code social qui remonterait au Ve siècle avant J.-C. A l'époque, ce geste ne servait pas nécessairement à se saluer mais avait pour principal objectif d'instaurer la confiance entre les individus.

Depuis, c'est devenu un moyen de se saluer au quotidien. Mais, ce moyen d'établir le contact en dit long sur la personne, sur son caractère, sur son état affectif et sur sa personnalité. Des chercheurs de l'Université d'Alabama ont montré qu'une personne avec une personnalité timide ou en manque de confiance aurait tendance à ne pas appuyer sa poignée de main.

A l'inverse, une personne ambitieuse ou ayant confiance en elle aurait tendance à y mettre de la force, cela est synonyme de disposition à aller vers l'autre, de volonté à partager des sensations, en somme, à communiquer.

En situation de communication interpersonnelle, il est primordial de porter toute son attention sur la façon dont on serre la main, car ce geste est d'autant plus important qu'il marque symboliquement la rencontre entre deux individus et détermine en partie la "première impression" que chacun peut laisser à l'autre et la représentation que chacun peut se faire de l'autre.

Dans cette logique, la connaissance de quelques règles de bases sont importantes à connaître pour faire bonne impression:

Tout d'abord, avant de tendre la main à votre interlocuteur, assurez-vous que celle-ci est propre au toucher, en l'occurrence, qu'elle n'est pas moite;

Si vous êtes à l'initiative de la poignée de main, il est recommandé de tendre sa main avec la paume légèrement tournée vers le haut avec les bras ouverts, cela est synonyme d'ouverture envers l'autre ;

Lorsque vos mains sont collées, pensez à mettre un peu plus d'énergie que votre interlocuteur dans ce geste si humain (en s'adaptant à la pression qu'il émet);

Enfin, respectez l'espace (la proximité spatiale) de votre interlocuteur en le regardant droit dans les yeux : cela montrera que vous n'êtes pas en proie au doute, à la crainte ou à l'indifférence et que vous êtes prêt à vous connecter à lui. Serrer la main est un geste humain marquant la rencontre et la création d'un lien social entre deux ou plusieurs individus. Mettre de la force dans ce geste symbolique exprime votre disposition à vous connecter à autrui, à transmettre vos émotions et à communiquer.

spa

Publié à 18:56 par fandeloup Tags : signature image homme france société cadre animal animaux pouvoir
spa

La SPA jugée au Tribunal de Grande Instance à Paris

Une date qui était attendue de pied ferme par 86 personnes qui ont porté plainte, ensemble, contre la Société Protectrice des Animaux pour dénoncer des « trafics » de la part des dirigeants de l’association.

Les faits ont été discutés hier dans le cadre d’une audience au Tribunal de Grande Instance de Paris. Planète Animaux était sur place et vous en dit plus sur cette procédure. Dans le labyrinthe des 24 km de couloirs et des 7000 portes du Palais de Justice de Paris, nous nous sommes présentés devant la Salle d’audience de la Première Chambre du TGI pour suivre les débats (qui s’y sont tenus de 16h00 à 17h00).

Les 86 demandeurs étaient représentés par Maître Belcolore qui, le premier, a pris la parole pour exposer les griefs formulés par ses clients à l’encontre de la SPA, à savoir « des modifications apportées dans des conditions irrégulières aux statuts de l’association » et qui auraient altéré l’intégrité de l’élection de la Présidente de l’association. Pendant sa plaidoirie, il a rappelé les difficultés rencontrées par la SPA en 2009 (ndlr : épinglée par la Cour des Comptes) qui avaient mené à la mise sous tutelle de l’association, qui était dès lors dirigée non plus par un Président, mais par une administratrice judiciaire.

Cette dernière avait convoqué une Assemblée Générale Extraordinaire, le 3 décembre 2011, pour soumettre au vote des adhérents de l’association des modifications des statuts de la SPA, qui avaient été adoptées.

« Dans cette nouvelle version des statuts, l’article 5 stipulait que le vote par procuration n’est pas autorisé, notamment pour s’assurer de l’implication des statutaires ».

Or,

« comme la SPA est reconnue d’utilité publique, ses statuts doivent être agrées par le Conseil d’Etat, puis par le ministère de l’Intérieur ». Le problème est qu’une fois validés par ces deux instances, les statuts en question n’étaient plus les mêmes, et n’étaient donc pas ceux approuvés par les adhérents !

L’article 5 avait en cours de route été modifié, « clandestinement » selon Maître Belcolore, pour permettre l’utilisation du vote par procuration « sans que ce changement ne soit à nouveau soumis à un vote en Assemblée Générale, qui est pourtant souveraine pour les modifications statutaires ».

La Présidente de la SPA élue de façon non légitime ? Seulement, lors de l’AG du 22 juin 2013 (au cours de laquelle la nouvelle Présidente de la SPA, Natacha Harry, a été élue), le vote par procuration a été largement utilisé, notamment par le biais « d’épais paquets de procurations distribués de façon bizarre entre les membres de l’équipe dirigeante de la SPA », signale Maître Belcolore.

Une situation qui lui fait se demander si l’irrégularité évoquée plus tôt ne serait pas volontaire, afin de biaiser le résultat des élections. En conséquence, il requiert la nullité des statuts modifiés « en catimini », ainsi que la nullité des décisions adoptées dans les AG ultérieures (dont la nomination de Natacha Harry).

L’avocat de la SPA aurait précédemment « insinué que les demandeurs ne sont que d’éternels contestataires ». Pourtant, rétorque Belcolore, parmi eux se trouvent « des figures de l’organisation de protection animale », dont une ancienne Présidente, des administrateurs passés et actuels, la créatrice de la Cellule Anti-Trafic de la SPA, etc.

Maître Penaud, l’avocat de la Société Protectrice des Animaux, a tenté de défendre sa cliente en avançant qu’une clause adoptée en 2011 permettait de « donner pouvoir à 3 membres pour qu’ils donnent leur accord » sur les modifications statutaires, et que la version avec l’article 5 modifié « porte la signature de l’une de ces 3 personnes ».

A cet instant, désapprobation et rires jaunes se font entendre sur les bancs où sont assis les 20 demandeurs venus assister à l’audience (et ce, depuis toute la France: Vendée, Lorraine, Mayenne…). Maître Belcolore a en effet affirmé avoir interrogé les deux autres « délégués », qui ont tous les deux indiqué « ne pas avoir été mis au courant de telles modifications statutaires », « ne pas avoir été sollicités », et « ne pas y avoir consenti » de ce fait. Face à eux, la juge L. Guibert et ses deux assesseuses (P. Postel-Vinay et E. Guennec) écoutent avec attention, sans perdre une miette des plaidoiries.

A noter qu’aucun représentant ou cadre de la SPA n’était présent dans la salle, ce qui est fort étonnant. Maître Penaud poursuit, on remarque toutefois que son élocution est hésitante et qu’il semble mal à l’aise. Il déclare que, selon lui, la procédure de modification des statuts de la SPA est « conforme, et pas viciée », qu’elle a été demandée par le ministère de l’Intérieur, et que le fait d’autoriser le vote par procuration n’a pas été décidé pour « la cause prétendue » par la partie adverse (à savoir : permettre l’élection de Natachy Harry). En conséquence, il demande le « rejet de l’intégralité des annulations demandées ».

La SPA n’a toujours pas de Comité d’Ethique » A la sortie de l’audience, dans l’impressionnante Salle des Pas Perdus, nous nouons le dialogue avec les demandeurs. « Depuis quand peut-on nous dicter nos statuts ? », s’offusque Ginie Van de Noort, qui siège actuellement au Conseil d’Administration de la SPA. « J’ai bon espoir.

Si le juge se base sur le Droit pur, il nous donnera raison », avance-t-elle, optimiste, avant de regretter par ailleurs que la SPA « ne dispose toujours pas d’un Comité d’Ethique, ce qui est pourtant obligatoire eu égard aux statuts, mais n’a toujours pas été mis en place par la Présidente Harry ». SPA_TGI3Maître Penaud avait, au cours de sa plaidoirie, signalé que désormais les statuts étaient en règle, suite à leur approbation à posteriori lors de l’AG du 5 juillet 2014.

« Ce vote a été instauré plusieurs mois après le dépôt de notre plainte, pour tenter de régulariser discrètement la situation », commente Maître Belcolore. « Notre procédure a été passée sous silence lors de cette AG, les adhérents n’en ont pas été informés avant qu’il leur soit demandé de valider les nouveaux statuts de la SPA. Cela leur a permis de faire valider le vote par procuration de façon cachée », s’agace une demandeuse à ses côtés.

Une autre adhérente, Madame Arnaudon, qui nous indique venir de la Sarthe, dit avoir été pendant des années « membre Bienfaiteur » de la SPA, mais que « depuis Harry, c’est fini ». Quand on lui demande pourquoi, elle répond :

« Parce que maintenant, il n’y a plus de protection animale à la SPA. Natacha Harry n’est là que pour son image, ses actions vont à l’encontre de ce que nous voulons, et du bien-être animal. J’ai aussi été choquée par le nouveau logo de la SPA, qui est minable ».

« Elle réduit la capacité d’accueil des refuges, l’argent ne va pas aux animaux. Lorsqu’il y a des legs la SPA récupère les propriétés mais les animaux qui y vivaient ne sont pas pris en charge, c’est aux bénévoles de s’occuper d’eux et de les nourrir à leurs propres frais », ajoute, en colère, Madame Ronnay, qui vient du même département et participe également à la procédure collective contre la SPA.

A l’unanimité, les demandeurs se disent « optimistes » suite à l’audience de cet après-midi. « Et si ça ne marche pas, on fera appel. On ne va pas les laisser tranquille ! », précise avec véhémence un homme. L’affaire a été mise en délibéré au 14 avril 2015. Nous vous tiendrons, bien sûr, informés de la teneur de la décision.

à 7 ans, il vient à l'école avec un pistolet

Publié à 17:54 par fandeloup Tags : voyage vie enfants
à 7 ans, il vient à l'école avec un pistolet

Nord : à 7 ans, il vient à l'école avec un pistolet, 18 mois de prison pour son père

Un enfant de sept ans s'est présenté mardi à son école de Bruay-sur-l'Escaut (Nord) avec un pistolet qui n'était toutefois pas chargé.

Un enfant de sept ans s'est présenté mardi à son école Léo-Lagrange de Bruay-sur-l'Escaut (Nord) avec un pistolet 3.65 qui n'était toutefois pas chargé, indique jeudi François Pérain, le procureur de la République de Valenciennes.

Jugé en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Valenciennes, le père du petit garçon a été condamné jeudi à un an et demi de prison ferme.

«Mercredi, le directeur de l'école a prévenu la police et le père a été placé en garde à vue dans l'après-midi pour détention et acquisition d'une arme de catégorie B et mise en danger de la vie d'autrui», précise le procureur. Le jeune garçon avait découvert l'arme dans un tiroir de la salle de bain, avec son frère de 9 ans, et avait décidé de l'apporter à l'école et de la montrer à ses camarades. Les deux enfants vivent seuls avec leur père, qui a été condamné à 28 reprises et fait partie de la communauté des gens du voyage sédentarisés, a-t-on appris de même source.

Le père a expliqué aux policiers avoir acquis la semaine dernière ce pistolet contre la somme de 100 euros «par rapport à des histoires d'avant».

Les armes de catégorie B doivent être stockées dans un coffre fort. Les deux enfants, qui vivaient seuls avec leur père, qui a été condamné à 28 reprises, étaient déjà suivis par un juge des enfants.

«Ce dernier a décidé du placement des deux garçons car il a considéré qu'ils étaient en danger», déclare François Perain.

humour

Publié à 17:26 par fandeloup Tags : photo
humour

Souris ! Tu vois bien qu'on nous prend en photo

prix

Publié à 17:22 par fandeloup
prix

Un dijonnais récompensé pour ses recherches contre le cancer Lionel Apetoh, chercheur à l’Inserm, à Dijon

Lionel Apetoh, chercheur à l’Inserm, à Dijon, reçoit le Prix Olga Sain pour les travaux qu’il mène à l’université de Bourgogne.

Ce prix récompense des travaux “prometteurs” en cancérologie.

humour

Publié à 17:08 par fandeloup
humour

Maman ? T'as vu, j'ai tout fini....

vol

Publié à 16:54 par fandeloup Tags : nuit argent
vol

Vol spectaculaire à Montigny-le-Tilleul: des malfrats attaquent un hôpital au bulldozer

Vol au bulldozer: "Des moyens très impressionnants"

Vol spectaculaire: ils attaquent un hôpital au bulldozer

Une attaque impressionnante s'est déroulée dans la nuit de mercredi à jeudi à Montigny-le-Tilleul, dans le Hainaut. Au moins quatre individus ont défoncé le sas d'entrée de l'hôpital Vésale. Ils ont bouclé l'opération en 6 minutes seulement. Un vol particulièrement spectaculaire est survenu, ce jeudi vers 02h00 du matin, au sein même de l'hôpital André Vésale de Montigny-le-Tilleul.

Malgré la présence de personnel et de patients au sein du bâtiment, au moins quatre malfrats ont en effet défoncé le hall d'entrée, fermé durant la nuit, à l'aide d'un bulldozer volé à Marcinelle (Charleroi).

A l'aide de la benne, les voleurs ont ensuite arraché le distributeur de billets qui s'y trouvait et l'ont chargé sur un pick-up avec lequel ils ont pris la fuite.

L'opération n'a duré que 6 minutes Selon le directeur médical de l'hôpital Vésale, Luc Bissen, l'opération n'a duré que 6 minutes, comme le montrent les caméras de surveillance qui ont filmé la scène.

Le service de gardiennage de l'ISPPC (Intercommunale de Santé Pulique du Pays de Charleroi) disposait de deux agents au sein de l'hôpital ainsi que d'un patrouilleur.

Ce dernier était passé devant le hall quelques minutes avant les faits. Alerté par une alarme d'ouverture de porte, son collègue s'est rendu sur place et a été confronté au bulldozer.

Au moins un des malfrats était armé, contrairement au garde de sécurité qui a donc rebroussé chemin pour alerter la police. Pas de blessé, mais des dégâts matériels considérables "Aucun patient ni membre du personnel n'a été impacté lors de ce vol", précise le directeur médical. "Les bâtiments principaux sont en effet en retrait du hall d'accueil qui était fermé au moment des faits.

Les dégâts matériels sont néanmoins considérables. Le bulldozer a tout arraché sur son passage. Une conduite d'eau a notamment explosé", indique-t-il. Pour l'heure, le service de gardiennage redirige le public par l'entrée de la radiothérapie.

La police judiciaire fédérale de Charleroi a quant à elle repris l'enquête. "Le butin est inutilisable" Selon Belfius, l'automate arraché dispose toutefois d'un système anti-effraction qui projette de l'encre sur l'argent, le rendant inutilisable. "Ce dernier a manifestement fonctionné puisque des traces d'encre ont été retrouvées sur place.

Cette opération commando n'a donc servi à rien, hormis à causer d'importants dégâts", a indiqué la porte-parole de Belfius, Ulrike Pommée.